Les perceptions des populations sur l amélioration des conditions de vie des populations au Bénin. Emmanuel N. SAMBIENI Université de Parakou

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1 Les perceptions des populations sur l amélioration des conditions de vie des populations au Bénin Emmanuel N. SAMBIENI Université de Parakou

2 introduction Depuis quelques années, politiques et actions publiques se multiplient comme dispositifs d intervention aux fins d améliorations des conditions de vie des ménages L espace d intervention de développement connaît une ingénierie de stratégies et approches Que produit les dispositifs en termes d output? Qu en pensent les principaux bénéficiaires que sont les ménages?

3 Les points de la présentation 1. Les concepts de perceptions, population et conditions de vie 2. La situation matérielle des conditions de vie des ménages 3. Ce qu en pensent ceux qu on appelle la population

4 1. Les concepts du sujet

5 La perception Processus par lequel un individu prend conscience de son environnement et l interprète en fonction de son schéma personnel. La perception est influencée par la motivation, la personnalité, les attitudes et les apprentissages de l individu. «la beauté est dans l œil qui regarde».

6 La population Population: hommes, femmes, jeunes, vieux, enfants, riches, pauvres, urbains, ruraux, etc. ensemble des êtres humains d un espace temps, sans considérations de leurs caractéristiques démographiques particulières comme le sexe, l âge, le revenu, l instruction. Terme inapproprié pour rendre compte de la structuration des perceptions faites des conditions de vie des individus et des ménages.

7 Structure de la population au Bénin Une population: 1. jeune : 17% des 5-9 ans, 2. légèrement féminine (97,4 h pour 100 f), 3. à dominance rurale ( près de de ruraux contre 3, d urbains), 4. très insuffisamment instruite (37 % niveau primaire et 2,5% niveau supérieur. L Alibori et l Atacora comptent respectivement 78% et 56% de non instruits (EMiCoV 2011).

8 Conditions de vie Capacité transitoire ou structurelle de satisfaire ou non des besoins (physiologique, sécurité, appartenance, accomplissement, etc.) de l existence d un individu ou d un ménage Pauvreté= termes en arrière plan des conditions de vie Améliorer les conditions de vie = réduire la pauvreté

9 La pauvreté Pauvreté non monétaire et pauvreté monétaire

10 La pauvreté non monétaire Pauvreté des conditions de vie: difficultés, manques ou privations dans différents domaines des conditions d'existence des ménages. Pauvreté de nature existentielle" (alimentation, logement par exemple) ou de nature "sociale" (relations, emploi, loisirs,...). Pauvreté en termes d actifs : patrimoine du ménage

11 La pauvreté monétaire le revenu du ménage est l indicateur de niveau de vie. la somme des revenus en espèces et en nature, qui en règle générale, sont de nature récurrente et sont reçus régulièrement par le ménage ou par ses membres à intervalles de temps inférieurs ou égaux à un an. revenu mensuel, revenu annuel ou alors revenu permanent= revenu durant tout le cycle de vie de l individu serait la meilleure mesure, car il permet d éviter de considérer comme pauvre des individus qui n éprouvent que des difficultés passagères à cause par exemple de certaines anticipations ou de problèmes conjoncturels: pauvreté transitoire et pauvreté structurelle.

12 Les indicateurs de la pauvreté L incidence de la pauvreté globale (P0) est le pourcentage de la population (ou de ménage) qui n arrive pas à couvrir ses besoins alimentaires et non alimentaires représentés par le seuil de pauvreté. Généralement, P0 est présenté en pourcentage. La profondeur de la pauvreté (P1) indique la distance à laquelle les ménages se trouvent de la ligne de pauvreté. Elle enregistre le déficit collectif moyen de revenu ou de consommation par rapport à la ligne de pauvreté pour l ensemble de la population. La sévérité de la pauvreté (P2) donne des indications sur l écart de pauvreté, mais surtout mesure l inégalité parmi les pauvres. La prise en compte de la sévérité permet d'évaluer les conditions de vie des plus pauvres qui ne peuvent pas sortir de la pauvreté sans action ou assistance extérieure.

13 Les indicateurs de la pauvreté Source principale d eau de boisson ; - Distance entre la source d eau et la maison ; - Nombre de toilettes publiques ou communautaires ; - Moyen énergétique de cuisson principalement utilisé ; - Moyen énergétique d éclairage principalement utilisé ; - Mode de gestion des ordures ménagères ; - Satisfaction du ménage par rapport aux besoins minima (services publics essentiels) ; - Niveau d adhésion aux paiements des taxes et impôts locaux ; - Insertion sociale (participation aux activités communautaires, politiques, etc.) ;

14 2. Etat des lieux de la pauvreté au Bénin entre 2009 et 2011 EMiCoV 2011; INSAE 2012

15 Contraction de la consommation annuelle par tête Entre 2009 et 2011, la dépense annuelle par tête est passée de FCFA à FCFA. Si l on élimine l effet prix entre les deux périodes, il est loisible de constater un repli dans la consommation des ménages passant de FCFA à FCFA, soit une baisse de 2%. Ce repli peut être assimilé à une baisse du niveau de vie entre 2009 et 2011.

16 Aggravation de la pauvreté monétaire Entre 2009 et 2011 la proportion de personnes pauvres (P0) s est accrue de 1 point, passant de 35,2% en 2009 à 36,2% en 2011 ; Plus de pauvres en milieu rural qu en milieu urbain (38,4 et 39,7) mais l écart s est plus creusé en milieu urbain (29,8 et 31,4). Les seuils de pauvreté se sont établis respectivement à FCFA par tête et par an en 2009 et à FCFA en 2011

17 Disparité de la pauvreté monétaire entre départements le premier groupe composé du Littoral, de l Ouémé, du Borgou et du Plateau se caractérise par un niveau de l incidence plus faible que la moyenne nationale en 2009 et 2011; le second groupe composé de la Donga est caractérisé par une incidence de pauvreté plus forte que la moyenne nationale en 2011 mais plus faible en 2009; le troisième groupe composé de l Alibori, de l Atlantique, de l Atacora, du Zou, des Collines et du Couffo est caractérisé par un dépassement de moyenne nationale des deux années ; le quatrième groupe composé du Mono est caractérisé par une incidence de pauvreté plus forte que la moyenne nationale en 2009 et 2011.

18 Recul de la pauvreté non monétaire l incidence de la pauvreté non monétaire est passé de 42% en 2006 à 30% en 2011, soit une baisse de 12 points ( à cause de la réalisation des infrastructures sociocommunautaires de base (eau, école, magasin, etc.) Le milieu rural est plus touché par la pauvreté non monétaire (à l image de la pauvreté monétaire), mais les ménages ruraux ont connu une amélioration de leurs conditions en 2011 par rapport à 2009 (l incidence est passée de 35,2% à 32,9%),

19 Disparité de la pauvreté non monétaire suivant les départements Cinq (5) départements sur douze (12) ont connu une aggravation entre 2009 et 2011 La pauvreté non monétaire a été moins perceptible comparativement à la pauvreté monétaire en En effet, la pauvreté non monétaire touche plus de 30% de la population dans les départements de l Atacora (58,4%), de l Alibori (41,4%), du Mono (41,2%) et du Couffo (37,2%). Par contre, huit (8) départements ont une incidence de pauvreté non monétaire en dessous de la moyenne nationale. Au nombre de ces départements, il convient de citer le Littoral (20,1%), l Ouémé (20,1%), les Collines (22,6%), la Donga (23,8%) et l Atlantique (24,3%) qui ont affiché une incidence de plus de cinq points de pourcentage en moins par rapport au niveau national.

20 3. Perceptions des populations Etudes socioanthropologiques empiriques

21 Perceptions sur les dysfonctionnements de l administration Corruption (97% des instruits en 2009) Politisation (90%) Absentéisme (85%) Incompétences (70%)

22 Le travail des enfants à Savalou «Si vous sortez d ici et vous allez dans une autre commune, vous allez voir les enfants d ici, âgés de 8 à 9 ans qui travaillent dans les champs et en fin d année, les parents vont chercher de l argent chez eux. Par manque de moyens, ces enfants sont aussi confiés à des parents ou amis et autres qui viennent nous mentir». (CA Gobada, 14/12/09).

23 Le travail des enfants à Kandi «J ai dû laisser les études en classe de 3 ème parce que je ne pouvais plus supporter les menaces de mon tuteur. En dehors des études, j avais 3 autres occupations pour mon tuteur : le jardinage, l élevage et l agriculture. Pourtant si mon père ne m envoie pas de l argent, je n ai pas droit au petit déjeuné. J ai passé trois fois le BEPC, non pas que je ne sois pas intelligent, mais parce que je n avais pas du tout du temps pour apprendre. On me renvoyait toujours à cause de la contribution que mon père remettait pourtant à mon tuteur et qu il dépensait pour son propre compte» (Issiakou, agriculteur et ancien déscolarisé rencontré à Kandi, 24/12/09). «On ne devait pas, on n avait même pas le droit de manger avec la sauce du propriétaire et de sa famille mais on devait travailler au champ» (Soumanou, Ancien déscolarisé, CA de Sonsoro, 13/12/09).

24 La situation des talibés de Kandi La mendicité est notre seul moyen de survie. Personne ne nous nourrit. Chacun se débrouille et celui qui ne mendie pas ne peut pas vivre. Le Kalifa ne nourrit personne. On doit mendier le matin, à midi et le soir. Si tu tombes malade, c est Dieu qui te guérit car il n y a personne pour t amener à l hôpital. Mais Dieu merci! Ici tout le monde est croyant. Quand les gens nous voient malades, ils nous achètent des comprimés. Il y en a qui tombent malades et qui en meurent faute de soins. C est ici que j ai vu un cadavre pour la première fois. C était un des nôtres du nom de SENI. Il est venu de Sègbana. Il est tombé évanoui du retour des champs. Nous l avons abandonné parce qu on craignait d en informer l Alfa. C est ainsi qu un monsieur passait et le vit couché. Il le prit et l amena à l hôpital où il décéda peu de temps après. Alfa a quatre champs que nous entretenons pour lui du labour jusqu à la récolte. Nous sommes également sollicités régulièrement par les membres de sa famille pour des travaux champêtres ou autres. Des particuliers viennent également solliciter notre service au moyen de rémunérations directement versées à Alfa. Nous aidons également les vendeuses de repas qui nous donnent à manger et un peu d argent en retour. Parfois on n a pas de quoi manger et on est obligé de voler pour manger. J ai déjà volé une fois 300 f et une autre fois 150 f parce que je n avais rien à manger. J ai été arrêté la première fois, mais quand ils ont su que je suis un talibi, ils m ont libérer avec cet argent. Un de nos problèmes majeurs, c est qu il nous est impossible de garder une certaine somme sur nous. Non seulement un collègue peut te la voler mais c est surtout parce que si le maître te surprend en possession de plus de 1000 f, tu es considéré comme un voleur. Même quand mon père vint me voir, il m a donné de l argent, mais je l ai refusé. Actuellement, j ai creusé un trou quelque part dans la brousse dans lequel j épargne mon argent» (Kandi, le 17/12/09.

25 La gestion des ressources «ce n est pas que les gens sont pauvres en tant que tel. Ils produisent suffisamment pour avoir de quoi se nourrir pendant toute la saison. En plus, le système de troc existe encore, et leur permet d avoir auprès des autres ce qu ils n ont pas produit en échange de ce qu ils ont. Il y a problème quand une situation qu ils n ont pas prévue survient. Par exemple, si un enfant est malade, ou si l une des femmes enceintes du père de famille est évacuée vers un hôpital de référence pour accoucher, le père de famille est obligé de vendre une partie des récoltes destinée à nourrir la famille. C est la même chose quand il y a des cérémonies à faire. Si bien que le grenier peut être vidé avant le terme prévu, et les enfants ne pouvant pas rester à jeun n hésitent pas à partir, souvent avec la bénédiction des parents» (F. H. animateur de OFAD ONG Djougou le 07/12/2009)

26 Récoltes du coton par les enfants à Kouandé

27 Le travail des enfants «à Ahomey, 60 sur 100 jeunes de 15 ans révolus vont saisonnièrement à Tokpa ou à la carrière d Akassato pour chercher de l argent et pouvoir manger. Et ce qui est encourageant, lorsqu ils y vont leur retour est pourvu : de l argent et du matériels et ils sont très propres en plus ; ce qui amène les autres qui restent à abandonner les bancs ou quitter ce qu ils font et les suivre pour le mieux-être. Dans ce cas, même si les papas refusent que les enfants partent, ils osent et fuguent la maison à l insu de leur père.» T.E., cultivateur, Gbékpa 11/12/2009

28 Santé «J utilise les moustiquaires mais pas [celles] imprégnées à cause de la substance qu elle contient qui est toxique. J ai suivi une émission du professeur Fayomi qui a montré que l insecticide qu on met dans la moustiquaire est toxique» (L. Daniel, forestier, ). «Moi je n utilise pas les moustiquaires bizarres qu ils ont distribuées. C est une stratégie, leur objectif est de nous rendre malade, de nous appauvrir. Ils savent très bien que si on lave deux fois ces moustiquaires, l effet de l insecticide va partir et avec la grande maille, les moustiques vont pénétrer et te piquer. Tu seras en train de dire que tes enfants dorment sous moustiquaire alors qu ils sont bien piqués par les moustiques. Enfin de compte, tu seras toujours à l hôpital pour acheter leurs médicaments.» (K. Albert, guérisseur traditionnel, Sô-Ava, 20/12/11).

29 Santé «J ai reçu la moustiquaire lors de la campagne de distribution gratuite que le gouvernement a organisée. Mais avant de commencer par l utiliser je l ai séché à cause de l odeur» (H. Gilbert, chef village et producteur agricole, ).

30 «Avant, avec les interventions des ONG, les femmes et les enfants dormaient tous sous moustiquaires. Les pères qui s aiment et qui ont les moyens achètent leurs moustiquaires. Mais les personnes âgées qui n ont personne pour les aider à acheter étaient laissées pour compte. Grâce à Yayi Boni, elles ont aussi des moustiquaires.» (H. Houssa, grand-père, Sô-ava, 20/12/11).

31 Assainissement: So-ava

32 Education Les peulhs ne voient pas jusqu aujourd hui l importance d aller à l école. Moi, j ai mes trois enfants qui vont à l école. Mais mes efforts pour faire comprendre l importance de l école à ma population sont vains. Rien ne change. Quand tu parles, devant toi ils font semblant d accepter. Mais il suffit que tu quittes pour qu ils ne prennent plus en compte ce que tu as dit. Il y a plein de filles et de garçons qui ne vont pas à l école. Les filles travaillent à la maison ou amènent les moutons au pâturage. Les garçons conduisent les bœufs au pâturage. Propos de B. A. délégué d un camp peulh, septembre 2012 Ce qui est grave aujourd hui, c est que les filles qui ont étudié n aiment plus se marier aux hommes qui n ont pas étudié. Elles préfèrent se marier aux hommes de la ville qui ont étudié, même s ils sont sans emploi. Propos de K.G., délégué de village, septembre 2012

33 Education Le bureau APE a été mis en place et n a pas été renouvelé depuis la création de l école en Nous avons demandé au directeur et à la facilitatrice EdufiG de nous aider à le renouveler car il ne travaille plus. Quand les enfants du président APE ne reçoivent pas les fournitures offertes par EdufiG, il s ensuit une bagarre avec le directeur de l école. Aujourd hui le bureau ne fait rien. Si on ne change pas ce bureau, l école ne va pas avancer. Le président APE est allé dire au Maire qu on veut le changer. Ce dernier a appelé le directeur pour le menacer. En conséquence, le directeur a étouffé l affaire. Propos du délégué d un village, septembre 2012

34 Éducation Les parents savent que EduFiG soutient les filles à l école. Mais ils ne s intéressent pas. J avais ma fille Belou qui allait à l école dès la création de notre école. Par la suite, sa mère l a retirée de l école et l a donnée en mariage. Elle a déjà un enfant et elle a seulement 17 ans. J ai accepté la décision de sa mère parce qu il n y avait pas aussi d enseignants. Les enfants s amusaient trop à l école. Quand il y a eu d enseignants Belou avait déjà 15 ans. Peut-être il va falloir maintenant forcer les parents à envoyer les enfants à l école. Propos d un sage peulh, septembre 2012 Ma nièce, Sounon Aïssatou, écolière en classe de CE2, âgée de 13 ans et bénéficiant de l appui de EduFiG est actuellement en état de grossesse de quatre mois. L AME s est plainte auprès du CLS pour gérer le problème mais il n y a pas eu de suite. Propos de D.G., femme du troisième âge et membre du bureau de l AME, septembre 2012

35 Conclusion De nombreux dispositifs appliqués dans les secteurs sociaux surtout comme la santé, l éducation, l agriculture, etc. Un impact faible sur l incidence de pauvreté et par conséquent les conditions de vie des ménages Une perception, en général, défavorable, en rapport avec la vie au quotidien

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