PLAN DU COURS. 1. Historique 2. Défini2ons 3. Principes de la vaccina2on 4. Classifica2on des vaccins 5. Perspec2ves vaccinales 6.
|
|
- Baptiste Brunet
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1
2 PLAN DU COURS 1. Historique 2. Défini2ons 3. Principes de la vaccina2on 4. Classifica2on des vaccins 5. Perspec2ves vaccinales 6. Conclusion
3 PLAN DU COURS 1. Historique 2. Défini2ons 3. Principes de la vaccina2on 4. Classifica2on des vaccins 5. Perspec2ves vaccinales 6. Conclusion
4 Historique Indiens / Chinois Xie ou XVIéme siècle, route de la soie : variolisa2on 1796 Jenner Les femmes chargées de la traite des vaches étaient résistantes à la variole Inocula2on de la vaccine (produit d origine bovine «vacca») 1885 Pasteur Inocula2on préven2ve d un enfant avec un agent infec2eux modifié (rage) = 1 ère vaccina2on humaine 1967 OMS campagne de vaccinagon systémagque pour variole (2 M morts / an)
5 Bases empiriques de la vaccination
6 PLAN DU COURS 1. Historique 2. Défini2ons 3. Principes de la vaccina2on 4. Classifica2on des vaccins 5. Perspec2ves vaccinales 6. Conclusion
7 Dé#initions 1. IMMUNITE ACTIVE = IMMUNISATION Chaque individu produit ses propres an2corps En réponse à une infec2on En réponse à un vaccin Ac2on décalée dans le temps Durée d ac2on prolongée
8 Dé#initions IMMUNITE PASSIVE PASSIVE = prophylactique ou stérilisante L individu (Sérothérapie acquiert des an2corps ou Séroprophylaxie) d un autre individu Maternels Sérothérapie Ac2on immédiate Durée d ac2on limitée
9 Dé#initions 2. IMMUNITE PASSIVE = prophylactique ou stérilisante (Sérothérapie ou Séroprophylaxie) IgG humaines polyclonales purifiés ou Ig hyperimmunes ou Ac monoclonaux hétérologues (rat, souris) chimériques humanisés ou humains / Acs avec nucléo2des subs2tués / miniacs (bactériophages) Méthodes de purifica2on en éliminant les acides nucléiques (sécurité +/- surtout pour prions, états de primo- infec2on virale) Indica2ons : Hypo- ou agammaglobulinémie (selon taux individuel de catabolisme) Infec2ons virales (varicelle chez pa2ent à haut risque, prophylaxie Hépa2te B si pt non vacciné) Formes graves de rage, tétanos, sérum an2- vénins allo- immunisa2on foeto- maternelle Rh MAI
10
11 Dé#initions 3. IMMUNITE INNEE = réponse immunitaire naturelle Immédiate (0-4 heures) Non spécifique Absence de mémoire immunitaire Inductrice dans >90% cas la destruc2on de l agent Cellules (phagocytes) Protéines (complément, protéines de l inflamma2on) +/- réponse intermédiaire : Ac naturels préformés de faible affinité polyspécifiques (sans expansion clonale) et TCR γδ
12 Dé#initions IMMUNITE ADAPTATIVE Délai > 96 heures Spécifique de l ag immunisant Mémoire immunitaire Cellules effectrices (lymphocytes B et T) (BCR et TCRαβ)
13
14 Dé#initions 5. MÉMOIRE IMMUNITAIRE Réponse B: les λb mémoire quinent le ganglion, migrent dans la moelle osseuse et recirculent dans le sang, la rate et les ganglions Réponse T: les λt centraux/mémoire recirculant entre la moelle et les ganglions
15 Dé#initions 6. REPONSE PRIMAIRE/SECONDAIRE Réponse primaire : ascension différée et lente des Acs (++IgM) Maximale S2- S4, commuta2on isotypique Réponse secondaire (= mémoire ou anamnes2que) plus rapide (pic J7), et durable Titre an2corps plus élevés (++IgG) Capacités neutralisantes augmentées
16 PLAN DU COURS 1. Historique 2. Défini2ons 3. Principes de la vaccina2on 4. Classifica2on des vaccins 5. Perspec2ves vaccinales 6. Conclusion
17 Principe de la vaccination IM ou SC ou PO
18 Principe de la vaccination IM ou SC ou PO (comme une primo-infection pauci-symptomatique)
19 Réponse immunitaire
20 Principe de la vaccination
21 Principe de la vaccination
22 Principe de la vaccination
23 Olàpçi g- (k Notion d antigène / immunogène Les protéines et polysaccharides sont fortement immunogènes car polymorphes Les lipides ne sont pas immunogènes, les AN et les haptènes le sont faiblement
24 Antigènes vaccinaux principes d obtention
25 Vaccins vivants atténués Plotkin JID 2003
26 Vaccins vivants atténués par réassortiment ou réarrangement Réassor2ment géné2que lors d un coinfec2on en culture cellulaire entre: Le virus anénué Le virus sauvage apportant les gènes codant pour les an2gènes induisant une réponse immunitaire protectrice Exemples: virus à ARN segmenté (rota, grippe) ou souches vaccinales chimères (fièvre jaune avec West Nile ou dengue)
27 Vaccins viraux atténués thermosensibles Virus capables de se mul2plier à une température différente de 37 C à Mutants thermosensibles adaptés au froid après passages successifs en culture cellulaire à basse température et réplica2on très réduite à 37 C (VRS, grippe) Grippe : pour chaque type de virus grippal vaccinal par réassor2ment Souche «mère» anénuée avec réplica2on réduite à 37 C et mul2plica2on au niveau de la muqueuse nasale Souche sauvage apportant les gènes pour la NA et HA spécifiques de chaque recommanda2on annuelle
28 Vaccins vivants atténués par délétion génique Manipula2ons géné2ques (délé2ons) guidés par l iden2fica2on de gènes responsables de la virulence, de la colonisa2on, de la capacité à survivre dans les cellules hôtes Exemples : HSV- 1 et gène gh (entrée cellulaire) Vibrio cholera (toxine)
29 Vaccins entiers inactivés et vaccins sous- unités Plotkin JID 2003
30 Vaccins sous- unitaires Protéine recombinante : inser2on du plasmide contenant le gène codant pour la protéine dans un système d expression cellulaire «in vitro» (levure, bactérie, baculovirus, eucaryote) Exemples : HBV, HPV, HIV, Lyme, CMV, paludisme
31 Vaccins sous- unitaires Pep2diques : forte affinité avec molécules classe I et II, reconnaissance lymphocytes T à + améliora2on de l immunogénicité : conjugaison à une protéine porteuse, lipida2on Polysaccharides conjugués : Bactérie encapsulée à an2corps bactéricides et opsonisants Polysaccharide capsulaire : pas immunogène chez le jeune enfant, pas de mémoire (méningocoque, pneumocoque) Polysaccharides conjugués à une protéine porteuse à Immunogène chez l enfant, mémoire
32 Olàpçi g- (k Notion d adjuvant Concerne les vaccins formés de sous- unités purifiés (ex. anatoxine tétanique) Substance ou mélange de substances Augmenta2on de l immunogénicité par : Modifica2on de la présenta2on physique de l Ag sous forme de réseau ou d agrégats pour ralen2r son catabolisme et favoriser sa présenta2onaux lymphocytes (rn inflammatoire) Ac2on sur les CPA pour s2muler des cosignaux d ac2va2on (+ mécanismes de défense non spécifique) Induc2on d une réponse de type 1 ou 2 selon la structure moléculaire de l adjuvant Types d adjuvant : ++ gels minéraux (hydroxyde d alumine ou alun), liposomes, substances bactériennes (adjuvant incomplet de Freund : eau + huile minérale + agent émulsifiant)
33 Les adjuvants
34 Polarisation de l immunité vaccinale Coopération B-T Détermine la commutation isotypique mémoire et la maturation d affinité Influence de la voie d administration
35 Polarisation de l immunité vaccinale - pas de coopéra2on B- T (IMMUNISATION T- INDEPENDANTE)
36 Polarisation de l immunité vaccinale (ex: vaccin conjugué pour Hi avec protéine porteuse : anatoxine diphtérique ou tétanique)
37 Polarisation de l immunité vaccinale
38 Polarisation de l immunité vaccinale
39 Polarisation de l immunité vaccinale
40 Polarisation de l immunité vaccinale à Dosage d Ac sériques ou réponse humorale = reflet partiel de la protection (Hépatite B)
41 Facteurs injluençant la réponse vaccinale
42 Facteurs injluençant la réponse vaccinale
43 Facteurs injluençant la réponse vaccinale
44 Place de l évaluation de l immunité pré- et post- vaccinale Objec2fs : déterminer l indica2on vaccinale et la réponse vaccinale Pas d indica2on systéma2que Pré- vaccinale : pas d indica2on pour les vaccins à faire systéma2quement (DTPolio, grippe, pneumo, H influenzae) Recommandée: HBV, rougeole, rubéole, varicelle Post- vaccinale : indica2on pour rappel éventuel (HBV, fièvre jaune?)
45 EfJicacité vaccinale
46
47 Vaccination de l immunodéprimé Peu de données dans la linérature sur l immunogénicité et l inocuité des vaccins dans ces popula2ons Peu de données sur l efficacité clinique Pas ou peu de recommanda2ons spécifiques à Evalua2on par le clinicien au cas par cas du rapport bénéfice/ risque selon les vaccins et les indica2ons v Risque de survenue de maladie vaccinale avec les vaccins vivants v Risque théorique d aggrava2on de la maladie sous- jacente v Diminu2on de l efficacité par diminu2on de l immunogénicité (double dose, nb d injec2ons, voie intradermique, adjuvant)
48 PLAN DU COURS 1. Historique 2. Défini2ons 3. Principes de la vaccina2on 4. Classifica2on des vaccins 5. Perspec2ves vaccinales 6. Conclusion
49 Classifica2on des vaccins Vaccins vivants a*enués Viraux Bactériens Fièvre jaune, rotavirus, rougeole, rubéole, oreillons, varicelle, (grippe, polio, variole, zona, encéphalite japonaise) Tuberculose, (typhoïde Ty21a) Vaccins viraux inertes Inac2vés complets Inac2vés fragmentés Sous- unitaires Hépa2te A, poliomyélite, grippe, rage, encéphalite à 2ques, encéphalite japonaise Grippe Hépa2te B, papillomavirus, grippe Vaccins bactériens inertes En2ers inac2vés Sous- unitaires Autres Leptospirose, (choléra) Anatoxines (tétanos, diphtérie) Polyosidiques (Pneumo 23, typhoide, méningo AC, méningo ACYW135 Conjugués (pneumo 13, méningo C, méningo ACYW135, Hi type b) Coqueluche acellulaire
50 ClassiJications des vaccins
51 PLAN DU COURS 1. Historique 2. Défini2ons 3. Principes de la vaccina2on 4. Classifica2on des vaccins 5. Perspec2ves vaccinales 6. Conclusion
52 Approches vaccinales: perspectives Approches vaccinales: perspectives! Nouvelles voies d4administration -intranasale(grippe), aérosol (rougeole, rubéole) -transcutanée -orale -rectale(mst)! Adjuvants de l4immunité 36
53 Approches vaccinales: perspectives Vaccina2on thérapeu2que ou immunothérapie spécifique : Maladies chroniques persistantes (HIV, hépa2tes b et C) Maladies auto- immunes (SEP, LED), Diabète, maladie d Alzheimer Contrôle de la fer2lité (Ac an2- gamètes ou an2- betahcg) Désensibilisa2on dans maladies allergiques Cancers
54 Vaccins thérapeutiques et cancers Vaccins thérapeutiques et Cancers Principe de la vaccination anti-tumorale: " Identifier les antigènes tumoraux (sur)exprimés par les cellules tumorales (antigènes associés aux tumeurs) et par la vaccination renforcer la réponse immunitaire spécifique du patient " 5 catégories d=antigènes associés au cancer qui sont des cibles potentielles pour le vaccin thérapeutique: -Agd=activation: MAGE-1, MAGE-3, NY-ESO-1 -Agde différenciation: PSA, tyrosinase, Gp100, alphafoetoprotéine -Agsurexprimés: Her-2/neu, Muc-1 -Agcodés par des gènes mutés: P53 mutée, TCRU -certains Agviraux: EBV, HBV, HCV, HPV 39
55 Vaccins ADN ou vaccins géniques Vaccins ADN ou vaccins géniques Nouvelle approche vaccinale - introduction de l8adn codant pour l8ag identifié - permet des réponses humorales et cellulaires spécifiques de l8ag - ADN «nu» ou ADN au sein d8un vecteur vivant non pathogène chez l8homme Applications des vaccins ADN -maladies infectieuses: préventif et thérapeutique - cancer - maladies auto-immunes - allergie 28
56 29 Vaccins ADN Vaccins ADN: vaccin ADN «nu»
57 Vaccins ADN Vaccins ADN: vaccin ADN nu Insertion dans le génome de la cellule hôte et dérégulation de protooncogènes? 1. injection du plasmide contenant le gène pour le peptide antigénique (Ag) 5. présentation de l<ag au LT 4. Ag transféré à la surface de la cellule 2. expression de l<ag REL protéolyse TAP 1 & 2 3.Ag lié au CMH
58 Les IgA
59 REVERSE VACCINOLOGY
60 PLAN DU COURS 1. Historique 2. Défini2ons 3. Principes de la vaccina2on 4. Classifica2on des vaccins 5. Perspec2ves vaccinales 6. Conclusion
61 Conclusion
62 Merci
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailQuelles Vaccina,ons en santé au travail? Actualités. DIU- IST Mardi 14 avril 2015 ACMS Dr Arthur Fournier
Quelles Vaccina,ons en santé au travail? Actualités DIU- IST Mardi 14 avril 2015 ACMS Dr Arthur Fournier Plan 1. Cadre réglementaire 2. Bases ra:onnelles de la vaccina:on 3. Vaccina:ons recommandées en
Plus en détailContacts Presse Leem : Stéphanie Bou-Fleurot - Tél : 01 45 03 88 38-06 60 46 23 08 - sfleurot@leem.org Virginie Pautre - Tél : 01 45 03 88 87 -
50 QUESTIONS SUR LES VACCINS Contacts Presse Leem : Stéphanie Bou-Fleurot - Tél : 01 45 03 88 38-06 60 46 23 08 - sfleurot@leem.org Virginie Pautre - Tél : 01 45 03 88 87 - vpautre@leem.org 1 Les vaccins,
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailNathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis
Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012
Plus en détailVaccins et chimiothérapies chez l adulte
Vaccins et chimiothérapies chez l adulte 1 1 Coordination Pr Odile LAUNAY (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris), Dr Pierre LOULERGUE (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris) Membres du groupe de travail
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailTransmission des maladies infectieuses. «maladies transmissibles»
Transmission des maladies infectieuses «maladies transmissibles» 1 Généralités I. Un germe (agent pathogène) qui nécessite II. Un hôte (ou cible) : l homme [H] ou l animal [An] III. Entre les 2, il y a
Plus en détailPARTAGER NOTRE PASSION. Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins
PARTAGER NOTRE PASSION Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins PARTAGER NOTRE PASSION LIVRET DE PRÉSENTATION DE LA VACCINATION ET DE NOS VACCINS Ces hommes qui ont fait l histoire de
Plus en détailCalendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS.
Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS. Sommaire 1. Points-clés sur les nouvelles recommandations 4 2. Recommandations 5 Vaccination des personnes
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2006 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 200 La vaccination contre les infections invasives à méningocoque Depuis l introduction du vaccin contre
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailPROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014
PROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014 Mois Année Chapitre Section Sujets : changements - nouveautés Pages à changer Avril 2014 Table des matières Correction
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 décembre 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 décembre 2010 MENVEO, poudre et solution pour injection Vaccin méningococcique des groupes A, C, W-135 et Y conjugué B/1 flacon + 1 seringue préremplie (CIP: 360 379-1)
Plus en détailVaccinations et milieu professionnel
La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures
Plus en détailSommaire de la séquence 8
Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos
Plus en détailObserver : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS
4.1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée 4.1.1 Les cellules de défense au microscope optique : Par l'observation d'une goutte de sang humain au microscope, repérer chaque type de cellule
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2012 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 293 Vaccinations pour les personnels de santé INTRODUCTION La vaccination des personnels de santé a
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailLA VACCINATION PROFESSIONNELLE
F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège
Plus en détailTout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans. Mikalou se fait vacciner
Tout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans Mikalou se fait vacciner Récit Mikalou n a peur de rien Dans le jardin, Mikalou s assoit sur la balançoire. Il n est pas une poule mouillée, et pourtant, il
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailLa politique vaccinale de la France
COMMUNICATION A LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES DU SENAT ARTICLE LO. 132-3-1 DU CODE DES JURIDICTIONS FINANCIERES La politique vaccinale de la France Octobre 2012 SOMMAIRE Avertissement... 5 Résumé...
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailEnseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours
Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2009-2010 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailEnseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours
Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2004-2005 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détailL assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013
1 L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices Édition 2013 L assurance maternité Sommaire Les prestations maternité 3 Cas particuliers 8 Le congé paternité 11
Plus en détailVaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques
Vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques Recommandations Collection Avis et Rapports Vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques Recommandations Rapport 2012 Haut Conseil
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détailVaccinations. Actualités et perspectives
Vaccinations Actualités et perspectives Cet ouvrage présente les travaux du groupe d experts réunis par l Inserm dans le cadre de la procédure d expertise collective, pour répondre aux questions posées
Plus en détail6.1 Généralités. Chapitre 6. maladies évitables par la vaccination et vaccins. 6.1.1 Prévention de la maladie. 6.1.2 Vaccination et autres précautions
Chapitre 6. maladies évitables par la vaccination et vaccins CHAPitre 6 Maladies évitables par la vaccination et vaccins 6.1 Généralités La vaccination consiste à administrer un vaccin pour provoquer une
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailPour l'entrée en institut de formation paramédicale
FORMER Dossier médical Pour l'entrée en institut de formation paramédicale Avril 2015 Aide-soignant-e Auxiliaire de puériculture Infirmier-e Masseur-kinésithérapeute Manipulateur-trice en électroradiologie
Plus en détailProgramme National d Immunisation
Programme National d Immunisation Aspects pratiques de la vaccination Manuel de formation 2013 Direction de la Population L élaboration de ce guide a été coordonnée par le Service de Protection de la Santé
Plus en détailManifestations cliniques après la vaccination
7.1 Introduction Les produits immunisants modernes sont efficaces et sécuritaires. Cependant, aucun vaccin ne protège la totalité des personnes que l on vaccine, et tous les vaccins peuvent occasionner
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE
ACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE SANTÉ PUBLIQUE - MÉDICAMENT - PRODUITS DE SANTÉ - BIOLOGIE - SANTÉ ET ENVIRONNEMENT Fondée le 3 août 1803 sous le nom de Société de Pharmacie de Paris Reconnue d utilité
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailDu 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination
Du 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination Vaccination : êtes-vous à jour? DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse national complété des informations en Vaucluse où la semaine se prolonge
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailMISE À JOUR SUR L UTILISATION DES VACCINS CONJUGUÉS QUADRIVALENTS CONTRE LE MÉNINGOCOQUE
RELEVÉ DES MALADIES TRANSMISSIBLES AU CANADA RMTC JANVIER 213 VOLUME 39 DCC-1 ISSN 1481-8531 Une déclaration d un comité consultatif (DCC) Comité consultatif national de l immunisation (CCNI) MISE À JOUR
Plus en détailMONOGRAPHIE DE PRODUIT NIMENRIX. Vaccin polysaccharidique conjugué contre le méningocoque des groupes A, C, W-135 et Y
MONOGRAPHIE DE PRODUIT NIMENRIX Vaccin polysaccharidique conjugué contre le méningocoque des groupes A, C, W-135 et Y Poudre et diluant pour solution injectable Agent d immunisation active GlaxoSmithKline
Plus en détail82 collaborateurs 52 millions
Édito Chiffre d affaires à fin Septembre 2007 Assemblée générale du 26 juin 2007 Réponses aux questions des actionnaires * Actualité R&D et produits I 2 : la science d Innate * Innate Pharma et ses actionnaires
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailMaster Développement et Immunologie
Master Développement et Immunologie MASTER 2 PROFESSIONNALISANT EN IMMUNOLOGIE Le Master 2 Professionnalisant en Immunologie propose aux étudiants des filières scientifiques et médicales une formation
Plus en détailLES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES
LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailRisque infectieux et protection de l organisme
Risque infectieux et protection de l organisme 1 La menace microbienne Comment définir les microbes? Activité 1 Les micro-organismes qui nous entourent Q1. Observer la préparation du bacille de Koch ou
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailVACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailPlan québécois de promotion de la vaccination
Plan québécois de promotion de la vaccination INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Plan québécois de promotion de la vaccination Direction des risques biologiques et de la santé au travail Octobre
Plus en détailQUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA
QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter
Plus en détailOptimisation grâce aux Systèmes Immunitaires Artificiels
Optimisation grâce aux Systèmes Immunitaires Artificiels Mokhtar GHARBI Professeur encadrant : Vincent RODIN CERV : Centre Européen de Réalité Virtuelle EA 3883 EBV Ecosystémique et Biologie Virtuelles
Plus en détailVACCINER? MIEUX COMPRENDRE POUR DÉCIDER. ProVac
Comité de rédaction : M.C. Miermans, Provac, Université de Liège, Service STES-APES Dr B. Swennen, Provac, Université libre de Bruxelles, Ecole de santé publique M.C. de Terwangne, Service Education pour
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détail