PARTIE V : Transformations chimiques en solution aqueuse. CHAPITRE : Réactions d oxydo-réduction.
|
|
- Edmond Lavallée
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PARTIE V : Transformations chimiques en solution aqueuse. CHAPITRE : Réactions d oxydo-réduction. Nombre d oxydation. Notions et contenus Exemples usuels : nom, nature et formule des ions thiosulfate, permanganate, dichromate, hypochlorite, du peroxyde d hydrogène. Potentiel d électrode, formule de Nernst, électrodes de référence. Diagrammes de prédominance ou d existence. Aspect thermodynamique. Dismutation et médiamutation. Capacités exigibles (CE) Prévoir les nombres d oxydation extrêmes d un élément à partir de sa position dans le tableau périodique. Identifier l oxydant et le réducteur d un couple. Décrire le fonctionnement d une pile à partir d une mesure de tension à vide ou à partir des potentiels d électrodes. Déterminer la capacité d une pile. Utiliser les diagrammes de prédominance ou d existence pour prévoir les espèces incompatibles ou prévoir qualitativement ou quantitativement le caractère thermodynamiquement favorisé ou défavorisé d une réaction d oxydo-réduction. Prévoir quantitativement le caractère thermodynamiquement favorisé ou défavorisé d une réaction d oxydo-réduction. L oxydo-réduction en coiffure : L oxydo-réduction et alimentation : Oxydo-réduction et métabolisme : Etude aérobiomécanique d'un cycliste soumis à des tests de pédalage. Son corps est alors le siège de modifications métaboliques importantes, en particulier de réactions d'oxydoréduction. Vidéo n 1 : Une réaction d oxydo-réduction oscillante : 1
2 L oxydo-réduction et les hauts fourneaux : Depuis des siècles, la production de fonte brute dans des hauts-fourneaux joue un rôle économique primordial. Est également fondamental, le processus en haut-fourneau dans lequel du minerai de fer (oxydes de fer, d'autres métaux et de Si) est converti en fonte brute ; il s'agit d'un phénomène d oxydo-réduction. Coulée de fonte en bas du haut-fourneau 2
3 I- Un petit lexique sur l oxydo-réduction. Document 1 : Document 2 : Document 3 : Document 4 : Un couple rédox est l association d un réducteur et de son oxydant conjugué liés par un échange d électrons symbolisé par une demi-équation rédox : Ox + n e - Red On parle de forme réduite et de forme oxydée du couple : Ox / Red Exemples: Cu 2+ (aq) + 2 e - = Cu (s) ; l ion Cu 2+ est un oxydant et le métal Cu est le réducteur. Document 5 : Équilibrer une demi-équation d oxydo-réduction en milieu acide Vidéo n 2 : Méthode : 3
4 Document 6 : Équilibrer une demi-équation d oxydo-réduction en milieu basique Vidéo n 3 : Méthode : Travail à faire : 1- Donner trois façons de définir les mots oxydation et réduction. (Documents 1, 2 3 et document sur les hauts fourneaux) 4
5 2- Définir les mots oxydant et réducteur en solution aqueuse. (Documents 1, 2) 3-Donner des exemples de couples rédox en vous appuyant sur les documents précédents. (Documents 1, 2 3 et document sur les hauts fourneaux) 4- On donne les couples rédox : MnO - 4 / Mn 2+ ; S 2 O 2-3 / S ; Cr 2 O 2-7 / Cr 3+ ; ClO - / Cl - ; H 2 O 2 / H 2 O ; O 2 / - H 2 O 2 et MnO 4 / MnO 2. Nommer les oxydants et réducteurs appartenant à ces couples. 5
6 5- Équilibrer les demi-équations rédox associées aux couples rédox suivants en milieu acide ou neutre : MnO - 4 / Mn 2+ ; S 2 O 2-3 / S ; Cr 2 O 2-7 / Cr 3+ ; ClO - / Cl - ; H 2 O 2 / H 2 O ; O 2 / H 2 O Équilibrer la demi-équation rédox associée au couple rédox suivant en milieu basique : MnO 4 / MnO 2. 6
7 II- Nombre d oxydation. Vidéo n 4 sur les nombres d oxydation : Document 1 : une première approche de la notion de nombre d oxydation. Il sert à caractériser l état d oxydation d un élément dans une espèce chimique ; il est écrit en chiffres romains, il est noté : NO(X). Pour un ion monoatomique : le n.o. de l élément est égal à la charge algébrique de l ion. Exemples: Fe 2+ : n.o(fe) = + II Cl - : n.o(cl) = - I Pour une molécule ou un ion polyatomique : le n.o. d un élément dans une molécule ou un ion polyatomique est la charge fictive que porteraient ses atomes après rupture de toutes les liaisons covalentes : - les doublets des liaisons hétéroatomiques étant attribués à l atome le plus électronégatif, - les électrons des liaisons homoatomiques se répartissant en nombre égal sur chaque atome. Document 2 : Quelques règles simplifiées de calculs. v Pour un corps simple : le n.o. de l élément est égal à 0 (exemples : O 2, F 2 ). v Pour une molécule : la somme des n.o. des éléments constitutifs est nulle. v Pour un ion : la somme des n.o. des éléments constitutifs est égale à la charge de l ion. v Pour la molécule d un corps composé ou pour un ion polyatomique le n.o. attribué à l élément O est II et celui attribué à l élément H est + I si ces éléments sont présents ; attention, il y a des exceptions (cas d espèces contenant l élément F, cas d espèces contenant la liaison covalente O O) On retient : La somme des nombres d oxydation de tous les atomes de l édifice chimique est égale à la charge globale de cet édifice chimique. Remarques : Le nombre d oxydation maximal d un élément «représentatif» du tableau périodique (colonnes 1, 2, 13 à 18) ne peut être supérieur au nombre d électrons de la couche externe. Il peut arriver, lorsqu il y a plusieurs atomes du même élément dans un composé, que le calcul conduise à un nombre d oxydation fractionnaire. On est alors amené à considérer que tous les atomes de l élément considéré ne sont pas au même nombre d oxydation. 7
8 Document 3 : Cas particuliers pour H et O. Nombres d oxydation de l élément hydrogène Cas général : n.o.(h) = + I Cas des hydrures: NaH (Na + + H - ), CaH 2 (Ca H - ) : n.o.(h) = - I - I 0 + I n.o. hydrures H 2 majorité des composés (NaH, CaH 2 ) (HX, H 2 O ) Nombres d oxydation de l élément oxygène Cas général : n.o.(o) = - II Cas des peroxydes : Na 2 O 2, BaO 2, H 2 O 2 (peroxyde d hydrogène) : n.o.(o) = - I - II - I 0 composés usuels peroxydes O 2 (H 2 O, OH -, oxydes ) (H 2 O 2, Na 2 O 2 ) O 3 n.o. Document 4 : Utilisation et interprétation de la valeur du no. 1. L oxydation d un élément correspond à une augmentation de son n.o. 2. La réduction d un élément correspond à une diminution de son n.o. 3. La variation du n.o. d un élément chimique dans deux espèces est égal au nombre d électrons qui interviennent dans l écriture de la demi-équation électronique du couple rédox formé par les deux espèces. 4. On peut classer des composés contenant tous le même élément chimique suivant le nombre d oxydation de cet élément. Travail à faire : 1- Exploitation du document 1 : Pour chaque entité, donner son schémas de Lewis et déterminer la valeur du no de chaque atome constitutif. - H 2 O ; HCl ; SO 2 ; MnO 4 ; S 2 O 2-3 (un atome de soufre est central, tous les autres atomes lui sont liés), CO 2 8
9 2- Exploitation des documents 2 et 3 : Calculer la valeur du no des atomes combinés aux atomes - 2- d oxygène dans les entités suivantes : MnO 4 ; Cr 2 O 7 ; ClO - ; H 2 O Exploitation des documents 2 et 3 : Calculer les no des atomes dans les entités suivantes : I 3 ; O 3 et S 2 O 2-3 (atome de soufre). Commenter. 4- Exploitation du document 4 : Soit le couple rédox Fe 2+ / Fe, écrire la demi-équation d oxydation des atomes de fer en ion fer II, Illustrer les items 1 et 3 de ce document. 9
10 5- Exploitation du document 4 : Soit le couple rédox MnO - 4 / Mn 2+, écrire la demi-équation de réduction des ions permanganate en ions manganèse II, illustrer les items 2 et 3 de ce document. 6- Exploitation du document 4 : Dire si les espèces suivantes constituent un couple rédox, si oui identifier l oxydant et le réducteur du couple : NO et NO ; H 2 SO 4 et SO 4 ; C et CO 2. (Item 4) BO : Identifier l oxydant et le réducteur d un couple. seul avec un camarade Avec un appel professeur partiellement réussi 10
11 7-Application: Donner le nombre d oxydation du chlore dans les entités suivantes (no(cl)) : Cl - ; Cl 2 ; ClO - ; ClO - 2 ; ClO - 3 ; ClO - 4. Une de ces espèces donne le no maximal du chlore, à quoi correspond cette valeur maximale pour le chlore? (Nombre d électrons externes, numéro de colonne de la classification périodique). Faire le lien avec l élément manganèse dans l espèce MnO - 4.(Documents 1, 2, 3 et 4) BO : Prévoir les nombres d oxydation extrêmes d un élément à partir de sa position dans le tableau périodique. seul avec un camarade Avec un appel professeur partiellement réussi 8- Quels sont les nombres d oxydation extrêmes du carbone, du phosphore et du soufre en relation avec leurs places respectives dans la classification périodique des éléments? (Document 2) BO : Prévoir les nombres d oxydation extrêmes d un élément à partir de sa position dans le tableau périodique. seul avec un camarade Avec un appel professeur partiellement réussi 11
12 III- Pile électrochimique, potentiel d électrode, électrodes de référence. Document 1 : La pile Daniell Vidéo n 5 sur la pile Daniell : La pile Daniell a été inventée par le chimiste britannique John Daniell en 1836 au moment où le développement du télégraphe faisait apparaître un besoin urgent de sources de courant sûres et constantes. La pile électrique Daniell est constituée d'une anode (lame de zinc plongée dans une solution contenant du sulfate de zinc) et d'une cathode (lame de cuivre plongée dans une solution contenant du sulfate de cuivre). Les deux solutions sont reliées par un pont salin (solution de chlorure de potassium KCl ou de nitrate de potassium KNO 3 qui sert à équilibrer les charges). Document 2 : la pile Daniell Schéma : e - ma i Zn Cu Pont électrolytique (ex : K + + Cl - ) [Zn 2+ ] = 1 mol/l [Cu 2+ ] = 1 mol/l demi-pile demi-pile ou demi-cellule ou électrode(1) (2) Le pont électrolytique ou pont salin est constitué par un tube en U qui contient une solution concentrée et gélifiée d un sel très soluble et très conducteur. Il assure la fermeture du circuit électrique où la conduction est assurée par des ions. Mesures : Elles donnent les polarités. Ampèremètre le sens de circulation du courant : du pôle + vers le pôle - Voltmètre f.é.m. E (Cu/Zn) = 1,10 V (tension en circuit ouvert, ou à vide) Cette force électromotrice est une différence de potentiel entre les deux électrodes. Document 3 : Représentation conventionnelle des piles Il existe une représentation conventionnelle des piles : on place le pôle négatif à gauche, le pôle positif à droite, et on sépare chaque espèce par un trait (/), le pont électrolytique (ou tout autre dispositif de jonction) étant symbolisé par un double trait (//) 12
13 Document 4 : Potentiel d électrode (potentiels d oxydoréduction ou potentiel rédox) La f.é.m. de la pile Cu/Zn peut s écrire comme la différence de deux termes : les potentiels des deux couples. E (Cu/Zn) = E + - E - = E (2) E (1) = E (Cu 2+ /Cu) E (Zn 2+ /Zn) Avec : E (Cu 2+ /Cu): Potentiel rédox du couple Cu 2+ /Cu, ou potentiel de l électrode (2), E (Zn 2+ /Zn): Potentiel rédox du couple Zn 2+ /Zn, ou potentiel de l électrode (1). Le potentiel rédox d un couple (ou potentiel d électrode) est une grandeur associée à la demi-pile comportant le couple considéré. Document 5 : Document 6 : Électrode de référence D après ce qui précède, on ne peut mesurer que des différences de potentiel. Pour connaître le potentiel rédox d un couple, il faut donc disposer d une référence. Electrode standard à hydrogène (E.S.H.) H + (aq) / H 2(g) / Pt 2 H + (aq) + 2 e - = H 2 (g) Electrode à hydrogène : Electrode standard à hydrogène (E.S.H.) : p H2 = 1 atm [ H+] = 1 mol/l, d où ph = 0 E (H + (aq)/h 2(g)) = 0,00 V à toute température, par convention Remarque : si l électrode à hydrogène n est pas dans les conditions standard, on la nomme électrode quelconque à hydrogène (E.Q.H.), et son potentiel E est différent de zéro. 13
14 Document 7 : L électrode au calomel saturée Le système électrochimique de l'électrode est constitué de : Hg 2 Cl 2 / Hg / Cl -, KCl saturé. Le potentiel de cette électrode est : E = 0,244 V à 25 C, dans KCl saturé. Cette électrode est utilisée comme électrode de référence pour les dosages ph-métriques et pour la plupart des dosages potentiométriques exceptés ceux où les ions chlorures seraient susceptibles de réagir avec un composé présent dans la solution, comme avec les ions Ag + avec lesquels les ions chlorures forment un précipité, AgCl, dans quel cas on utilisera une électrode au sulfate mercureux.. Document 8 : L électrode d Argent Document 9 : Mesure d un potentiel rédox Pour mesurer le potentiel E Ox/Red du couple Ox/Red ; on constitue la chaîne électrolytique : Ox/Red couple rédox H + (aq) / H 2 (g) / Pt à étudier, dans des conditions données de dans les conditions standard température, éventuellement de ph E.S.H. Par convention : U Ox/Red / E.S.H. = E Ox/Red 14
15 Le potentiel rédox ou potentiel d électrode du couple Ox/Red par rapport à l E.S.H. est la d.d.p. (en circuit ouvert) entre l électrode du couple Ox/Red et l E.S.H. U Ox/Red/E.S.H. = E Ox/Red E (E.S.H.) = E (couple à étudier) E (référence) E Ox/Red est une grandeur algébrique, positive ou négative. E Ox/Red dépend du couple Ox/red, de la température et des activités des espèces. Travail à faire : 1- Donner la représentation conventionnelle de la pile Daniell. (Document 3) 2- Justifier les polarités de la pile Daniell. (Document 2) BO : Décrire le fonctionnement d une pile à partir d une mesure de tension à vide ou à partir des potentiels d électrodes. seul avec un camarade Avec un appel professeur partiellement réussi 3- Donner les équations des réactions aux électrodes ainsi que l équation bilan lorsque la pile débite. (Documents 1 et 2) BO : Décrire le fonctionnement d une pile à partir d une mesure de tension à vide ou à partir des potentiels d électrodes. seul avec un camarade Avec un appel professeur partiellement réussi 4- définir anode et cathode (Documents 1 et 2) 15
16 5- Expliquer l extrait du document 1 suivant : «Les deux solutions sont reliées par un pont salin (solution de chlorure de potassium KCl ou de nitrate de potassium KNO 3 qui sert à équilibrer les charges)», en détaillant le rôle du pont salin dans le cas de la pile Daniell. (Documents 1 et 2) BO : Décrire le fonctionnement d une pile à partir d une mesure de tension à vide ou à partir des potentiels d électrodes. seul avec un camarade Avec un appel professeur partiellement réussi 6- Application : (Documents 1 ; 2 ; 3 ; 4 et 5) Données : M Zn = 65,4 g.mol -1 ; M Cu = 63,5 g.mol -1 ; la valeur du Faraday : 1 F = C.mol -1. BO : Décrire le fonctionnement d une pile à partir d une mesure de tension à vide ou à partir des potentiels d électrodes. BO : Déterminer la capacité d une pile. seul avec un camarade Avec un appel professeur partiellement réussi 16
17 7- Que doit vérifier une électrode pour servir d électrode de référence. (Documents 6 ; 7 et 8) 8- L électrode d Argent est la plus utilisée de nos jours en démarche expérimentale, pourquoi? 17
18 9- Applications : Caractéristiques électriques de piles (un peu de physique ) BO : Déterminer la capacité d une pile. seul avec un camarade Avec un appel professeur partiellement réussi 18
19 IV- Potentiel rédox standard, formule de Nernst. Document 1 : Potentiel rédox standard. Vidéo n 6 about Standard Reduction Potentials : Si le couple Ox/Red à étudier est dans les conditions standard, alors E Ox/red = E Ox/Red et E Ox/Red est appelé potentiel rédox standard ; il caractérise le couple rédox Ox/Red ; il ne dépend que de la température. Le potentiel rédox standard d un couple Ox/Red est la d.d.p. en circuit ouvert entre l électrode du couple Ox/Red, dans les conditions standard et l E.S.H. U Ox/Red/E.S.H. = E Ox/Red E E.S.H. = E Ox/Red 0 = E Ox/Red Plus E est élevé, plus la forme oxydée du couple a un pouvoir oxydant élevé. Plus E est élevé, plus la forme réduite du couple a un pouvoir réducteur faible. Pour les ampholytes rédox : E est moyen ; on les trouve dans le milieu du tableau (par exemple, E (I 2 /I - ) = 0,54 V). Document 2 : Les conditions standards Dans les conditions standard, les quantités de matière et l état physique des constituants doivent être définis. La température est fixée : en général elle vaut 298K (25 C) L état physique des éléments est le plus stable à la température fixée. Exemples : L eau est liquide, L oxygène est sous sa forme gazeuse de dioxygène O 2. Les quantités de matières sont telles que l activité de tous les constituants est égale à 1. Document 3 : Expression d un potentiel rédox : loi de Nernst Quand un couple rédox n est pas utilisé dans les conditions standard, il faut pouvoir calculer la valeur de son potentiel. α Ox + β B + + n e - = α Red + β C +. E Ox/Red Avec R = 8,314 J.K -1.mol -1 ; T température en K (Kelvin) et F = C.mol -1 (Le Faraday qui est la quantité d électricité transportée par une mole d électrons). ln x = 2,30 log x ; le calcul est le plus souvent fait à 25 C soit 298 K ; On a alors La relation devient : á â = 0 RT a Ox a B E Ox/Red + ln á' nf a a â' RT 2,3 = 0,059V F Red 0,059 C a á â = 0 Ox B E Ox/Red E Ox/Red + log á' à 25 C. n a â' Red a C On écrit en fait une expression simplifiée faisant intervenir les expressions des activités. a 19
20 Travail à faire : 1-À partir de l extrait du document 1 : «Pour les ampholytes rédox : E est moyen ; on les trouve dans le milieu du tableau (par exemple, E (I 2 /I - ) = 0,54 V)», définir et illustrer le terme «ampholyte rédox» 2- Appliquer la loi de Nernst (à 25 C) aux couples suivants : Fe 3+ / Fe 2+ ; MnO - 4 / Mn 2+ ; Cu 2+ / Cu ; O 2 / H 2 0 et Hg 2 Cl 2 (s) / Hg(l) (Conclure sur ce couple si la solution est saturée en ion Cl - ) (Documents 2 et 3) 20
21 V-Réactions d oxydo-réduction. Document 1 : Calcul de la constante d équilibre K 0 d une réaction d oxydo-réduction Une réaction d oxydoréduction (ou réaction rédox) met en jeu deux couples rédox. En solution aqueuse une oxydation ne peut avoir lieu sans être couplée avec une réduction : Les échanges électroniques entre l oxydant d un couple 1 et le réducteur du couple 2 se font par contact direct. Dans une pile électrochimique, les électrons sont échangés par l intermédiaire des conducteurs métalliques du circuit extérieur. Construction de l équation de la réaction d oxydoréduction à partir des deux demi-équations rédox. 21
22 Document 2 : Prévision des réactions d oxydo-réduction. On reprend le tableau comparatif de la force des oxydants et des réducteurs mais en donnant une échelle des potentiels standard associés aux couples rédox. La réaction est d autant plus totale que les potentiels rédox des deux couples sont plus éloignés ; la réaction peut être considérée comme totale si ΔE > 0,3 V. Remarque: une réaction thermodynamiquement possible peut ne pas être observée, si sa cinétique est trop lente. Document 3 : Prévision des réactions avec le formalisme du gamma. Généralisation : Force croissante de l oxydant Ox1 Red1 Ox2 Red2 Force croissante du réducteur Dans le cas d une réaction d oxydoréduction spontanée, c est l oxydant le plus fort qui réagit avec le réducteur le plus fort : pouvoir réducteur de Red 2 >> pouvoir réducteur de Red 1 ; et donc : pouvoir oxydant de Ox 1 >> pouvoir oxydant de Ox 2. Plus un corps perd facilement des électrons, plus son pouvoir réducteur est grand. Plus un corps gagne facilement des électrons, plus son pouvoir oxydant est grand. Les FORTS Les faibles Si pouvoir réducteur de Red 2 >> pouvoir réducteur de Red 1, cela implique que le pouvoir oxydant de Ox 1 >> pouvoir oxydant de Ox 2 et la réaction précédente est totale dans le sens 1. Ainsi il est fréquent d observer une réaction totale dans le sens direct 1, et impossible à réaliser thermodynamiquement dans le sens indirect 2. Document 4 : Diagrammes de prédominance. Comme pour les équilibres acido-basiques pour lesquels la prédominance des espèces en fonction du ph dépendait de la valeur des pka, on peut définir pour les couples rédox des domaines de prédominance en fonction de la valeur du potentiel d'équilibre de la solution. La prédominance des espèces est alors fonction de la valeur des potentiels standard des couples par la relation de Nernst. Document 5 : Diagrammes d existence. Lorsqu une des deux espèces intervenant dans le couple n est pas dissoute, on ne peut plus définir sa concentration dans la solution. Le cas se produit en particulier lorsque cette espèce est solide. Sa présence est alors conditionnelle: elle est présente ou absente. On définit donc un domaine d existence de l espèce condensée. La frontière correspondra à l apparition du 1 er cristal de solide. La frontière correspond à l apparition du solide dans une solution qui contient l autre forme du couple. Nous aurons cette fois un domaine d existence de l espèce solide. 22
23 Document 6 : Conventions de tracé. Pour définir la frontière entre les deux domaines de prédominance, on a trois conventions : Convention n 1 : Sur la frontière, il y a égalité des concentrations molaires des deux espèces solubles, cette concentration étant fixée arbitrairement à C tracé = C 0 Cr 2 O H e - 2 Cr H 2 O E = 1,33 + 0,01 log ([Cr 2 O 7 2- ] [ H + ] 14 /[Cr 3+ ] 2 ) E = 1,33 0,14 ph + 0,01 log ([Cr 2 O 7 2- ] / [Cr 3+ ] 2 ) Sur la frontière : [Cr 2 O 7 2- ] = [Cr 3+ ] = C 0 donc Efrontière =1,33 0,14pH 0,01 log C 0 Convention n 2 : On fixe arbitrairement une concentration totale C 0 en espèces dissoutes avec égalité des concentrations des 2 espèces dissoutes sur la frontière. Sur la frontière : [Cr2O7 2- ] = [Cr 3+ ] et C 0 = [Cr2O7 2- ] + [Cr 3+ ] [Cr 3+ ] = C 0 /2 et [Cr2O7 2- ] = C 0 /2 donc Efrontière =1,33 0,14 ph - 0,01 log C 0 /2 Convention n 3 : On fixe arbitrairement une concentration totale C 0 en élément avec égalité des concentrations atomiques des 2 espèces sur la frontière. Sur la frontière : 2. [Cr2O7 2- ] = [Cr 3+ ] et C 0 = 2. [Cr2O7 2- ] + [Cr 3+ ] [Cr 3+ ] = C 0 /2 et [Cr2O7 2- ] = C 0 /4 donc Efrontière =1,33 0,14pH 0,01 log C 0 Document 7 : Discussion extraite du forum prépa.org à propos de la dismutation et de la médiamutation : Médiamutation et Dismutation??? Par Supman88» Lun Mars 05, :20 am Bonjour, Pourriez-vous me dire ce que sont une "médiamutation" et une "dismutation" dans les oxydoréductions SVP? Merci. Supman88 Par RP1700» Lun Mars 05, :44 am Médiamutation : on part de deux degrés d'oxydation différents d'un même élément et on arrive à un degré intermédiaire, par exemple Cu + Cu 2+ = 2 Cu + (degré 0 + degré 2 -> degré 1) Dismutation : on part d'un même degré d'oxydation et on arrive à 2 degrés différents et de part et d'autre du degré initial : 2 Cu + = Cu + Cu 2+ (degré 1 -> degré 0 + degré 2) 23
24 Document 8 : Calcul du potentiel standard d un couple rédox. 24
25 Travail à faire : 1- Cas de la pile Daniell : Établir et calculer la constante d équilibre de la réaction spontanée se produisant lorsque la pile débite, on donne : E 0 (Cu 2+ / Cu) = 0,34 V et E 0 (Zn 2+ / Zn) = - 0,76 V. Conclure sur l aspect thermodynamique. (Document 1) BO : Prévoir quantitativement le caractère thermodynamiquement favorisé ou défavorisé d une réaction d oxydoréduction. seul avec un camarade Avec un appel professeur partiellement réussi 2- Répondre aux mêmes questions pour la réaction de réduction des ions permanganate par les ions fer II, on donne : E 0 (MnO - 4 / Mn 2+ ) = 1,51 V et E 0 (Fe 3+ / Fe 2+ ) = 0,77 V. (Document 1) BO : Prévoir quantitativement le caractère thermodynamiquement favorisé ou défavorisé d une réaction d oxydoréduction. seul avec un camarade Avec un appel professeur partiellement réussi 25
26 3- Illustrer à l aide de la règle du gamma les deux situations précédentes, et conclure sur la prévision des espèces incompatibles et prévoir qualitativement le caractère thermodynamiquement favorisé ou défavorisé de ces réactions d oxydo-réductions. (Documents 2 et 3) BO : Utiliser les diagrammes de prédominance ou d existence pour prévoir les espèces incompatibles ou prévoir qualitativement ou quantitativement le caractère thermodynamiquement favorisé ou défavorisé d une réaction d oxydoréduction. seul avec un camarade Avec un appel professeur partiellement réussi 26
27 4-Par analogie avec les diagrammes de prédominances acido-basiques vus en terminale S, établir les domaines de prédominance des espèces du couple Fe 3+ / Fe 2+, on donne : E 0 (Fe 3+ / Fe 2+ ) = 0,77 V. Est-il utile de préciser, dans ce cas là, le convention de tracé choisie? (Documents 4 et 6) 5- Tracer les domaines de prédominances des espèces du couple Cr 2 O 2-7 / Cr 3+ à ph = 0, on utilisera les conventions de tracé 1 et 3 et une concentration de tracé c tracé = c 0 = 1, mol.l -1. On donne : E 0 (Cr 2 O 2-7 / Cr 3+ ) = 1,33 V. (Documents 4 et 6) 27
28 28
29 6- Tracer les domaines d existences des espèces du couple Fe 2+ / Fe, en prendra comme concentration de tracé c tracé = c 0 = 1, mol.l -1. On donne : E 0 (Fe 2+ / Fe) = -0,44 V. (Documents 5 et 6) Superposer au diagramme trouvé à la question 4, mettre en relation avec le document 7. BO : Utiliser les diagrammes de prédominance ou d existence pour prévoir les espèces incompatibles ou prévoir qualitativement ou quantitativement le caractère thermodynamiquement favorisé ou défavorisé d une réaction d oxydoréduction. seul avec un camarade Avec un appel professeur partiellement réussi 29
30 7- Tracer les domaines d existences des espèces du couple Cu 2+ / Cu + et Cu + / Cu, en prendra comme concentration de tracé c tracé = c 0 = 1, mol.l -1. On donne : E 0 (Cu 2+ / Cu + ) = 0,16 V ; E 0 (Cu + / Cu) = 0,52V. (Documents 4 ; 5 et 6) Mettre vos résultats en relation avec le document 7. BO : Utiliser les diagrammes de prédominance ou d existence pour prévoir les espèces incompatibles ou prévoir qualitativement ou quantitativement le caractère thermodynamiquement favorisé ou défavorisé d une réaction d oxydoréduction. seul avec un camarade Avec un appel professeur partiellement réussi 8- Tracer les domaines d existences des espèces du couple Cl 2 (g) / Cl - (aq), en prendra comme concentration de tracé c tracé = c 0 = 1, mol.l -1 et P tracé = P 0 = 1 bar. On donne : E 0 (Cl 2 (g) / Cl - (aq) = 1,36 V. (Documents 5 et 6) 30
31 9- Application : Calculer le potentiel standard E 0 (IO - 3 / I - ) du couple IO - 3 / I - ; On donne : E 0 (IO - 3 / I 2 ) = 1,2 V ; E 0 (I 2 / I - ) = 0,54 V. 31
32 Documents complémentaires : Classement des couples rédox : 32
33 33
34 34
1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailPhysique : Thermodynamique
Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une
Plus en détailREACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION
CHIMIE 2 e OS - 2008/2009 : Cours et exercices -19- CHAPITRE 5 : REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION Chacun d entre nous a déjà observé l apparition de rouille sur un objet en fer, ou de «vert-degris»
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES
Elèves-Ingénieurs en Sciences et Génie des Matériaux 2ème année TRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES G. BARRAL B. LE GORREC C. MONTELLA (UJF) (IUT 1) (ISTG) GRENOBLE
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailFIOLAX. SCHOTT Instruments Solutions. Les solutions tampon dans les ampoules uniques à deux pointes offrent une haute sureté et précision.
SCHOTT Instruments Solutions Les solutions tampon dans les ampoules uniques à deux pointes offrent une haute sureté et précision. L exactitude de la mesure de ph dépend de l exactitude de l étalonnage.
Plus en détailBAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30
Terminales S1, S2, S3 2010 Vendredi 29 janvier BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures 30 Toutes les réponses doivent être correctement rédigées et justifiées. Chaque exercice sera traité sur une
Plus en détailTitre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet
Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailSite : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ
Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ LE JUS E FRUIT 35(0,Ê5(3$57,(%LRFKLPLHSRLQWV L'analyse d'un jus de fruit révèle la présence d'un composé
Plus en détailVitesse d une réaction chimique
Chimie chapitre itesse d une réaction chimique A. Avancement d un mobile et vitesse de déplacement Soit un mobile supposé ponctuel P se déplaçant le long d un axe x [Doc. ] : sa position instantanée est
Plus en détailSéquence 5 Réaction chimique par échange de protons et contrôle de la qualité par dosage
Séquence 5 Réaction chimique par échange de protons et contrôle de la qualité par dosage Problématique La séquence 5, qui comporte deux parties distinctes, mais non indépendantes, traite de la réaction
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailSartorius DocuClip & Docu-pH Meter. La nouvelle référence pour des analyses électrochimiques sûres
Sartorius DocuClip & Docu-pH Meter La nouvelle référence pour des analyses électrochimiques sûres Docu-pH Meter Une base solide pour des résultats sûrs La sécurité commence par un fonctionnement facile
Plus en détailSolutions pour le calibrage et l entretien Gamme complète d accessoires indispensables
Solutions laboratoires Solutions pour les laboratoires Tampons ph Étalons de conductivité Solutions de mesure redox et O 2 dissous Solutions de mesure ISE Solutions de maintenance Solutions pour le calibrage
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailExemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf
Plus en détailACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard
Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation
Plus en détailSéquence 6. Les piles électriques et l énergie chimique. Fabriquons et utilisons une pile de Volta
Sommaire Les piles électriques et l énergie chimique Séance 1 Comment Volta a-t-il inventé la première pile électrique? Séance 2 Fabriquons et utilisons une pile de Volta 1 Fabriquons la pile 2 Utilisons
Plus en détailSéquence 4. Les liquides et la conduction électrique. 1 Qu est-ce qu une «solution aqueuse»? 2 Tous les liquides ne sont pas des solutions aqueuses.
Sommaire Les liquides et la conduction électrique Séance 1 Quels liquides utilisons-nous dans la vie quotidienne? 1 Qu est-ce qu une «solution aqueuse»? 2 Tous les liquides ne sont pas des solutions aqueuses.
Plus en détailAccumulateurs portables
Accumulateurs portables par Georges CAILLON Ingénieur de l École Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles de la ville de Paris (ESPCI) Ingénieur de Recherche et Développement Société SAFT 1. Principe
Plus en détailCORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE
Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale
Plus en détailLES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie
EPREUVE COMMUNE DE TIPE 2006 partie D 5 TITRE : LES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie 10 Temps de préparation : 2 h 15 Temps de présentation devant le jury : 10 minutes Entretien
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détailFiche de révisions sur les acides et les bases
Fiche de révisions sur les s et les s A Définitions : : espèce chimique capable de libérer un (ou plusieurs proton (s. : espèce chimique capable de capter un (ou plusieurs proton (s. Attention! Dans une
Plus en détailPrincipe de la corrosion galvanique :
Préconisations d installation d un ballon d ECS face à la corrosion galvanique Des questions reviennent fréquemment sur le forum de l APPER concernant la corrosion, les couples galvaniques, les cuves ballons
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détail(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»
Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.
Plus en détailSP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :
SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailChimGéné 1.3. Guide d utilisation. Auteur : Alain DEMOLLIENS Lycée Carnot - Dijon avec la collaboration de B. DIAWARA Ecole de Chimie de Paris
ChimGéné 1.3 Guide d utilisation Auteur : Alain DEMOLLIENS Lycée Carnot - Dijon avec la collaboration de B. DIAWARA Ecole de Chimie de Paris INOVASYS 16 rue du Cap Vert 21800 Quétigny Tel : 03-80-71-92-02
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailNotes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux
XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte
Plus en détailAIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES
Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailTS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée
TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.
Plus en détailExemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014
Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Commentaires pour l'évaluation Contenu du cahier de laboratoire Problématique : Le glucose est un nutriment particulièrement important pour le sportif.
Plus en détailPhysique Chimie. Quelques aspects de la physique et de la chimie du piano
Physique Chimie PSI 4 heures Calculatrices autorisées Quelques aspects de la physique et de la chimie du piano 2013 e piano est un instrument de musique à cordes frappées inventé par l italien Bartolomeo
Plus en détailMÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE
MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailBurette TITRONIC Titrateurs TitroLine
Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine 22 rue de l'hermite 33520 BRUGES Tél. 05 56 16 20 16 - Fax 05 56 57 68 07 info-devis@atlanticlabo-ics.fr - www.atlanticlabo-ics.fr Un pas en avant pour la titration
Plus en détailLES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2
Pr atem BEN ROMDANE LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPILES EN SÉRIE ALIPATIQUE S N 1 ET S N 2 3 - LE MÉCANISME S N 2 a - Constatations expérimentales Cinétique : l'étude des réactions de substitution nucléophile
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailExercices sur le thème II : Les savons
Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide
Plus en détailDéfi 1 Qu est-ce que l électricité statique?
Défi 1 Qu estce que l électricité statique? Frotte un ballon de baudruche contre la laine ou tes cheveux et approchele des morceaux de papier. Décris ce que tu constates : Fiche professeur Après avoir
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailMéthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/
Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailMesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre
Kourou Novembre 2010. MANGOTECHNO Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre Frédéric BOUCHAR (TENUM Toulouse) Version 1.0 Table des matières 1.Introduction...3 2.Qu'est-ce que la salinité?...3
Plus en détailL eau de Javel : sa chimie et son action biochimique *
N 792 BULLETIN DE L UNION DES PHYSICIENS 451 L eau de Javel : sa chimie et son action biochimique * par Guy DURLIAT Département de biochimie ENS de Cachan - 61, avenue du Président Wilson - 94235 Cachan
Plus en détailCONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE
CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailA propos du sens conventionnel de circulation du courant électrique dans un circuit.
A propos du sens conventionnel de circulation du courant électrique dans un circuit. Beaucoup de nos élèves sont convaincus qu Ampère s est trompé car, dans un conducteur, les électrons se déplacent dans
Plus en détaileedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7
eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 I- ETUDE D UNE PHOTOGRAPHIE DE YANN ARTHUS-BERTRAND : Stockage d ordures dans la périphérie de Saint-Domingue en République dominicaine au cœur des Caraïbes Légende
Plus en détailTable des matières. Acides et bases en solution aqueuse... 10. Oxydo Réduction... 26
Annales de Chimie aux BTS 2000-2004 Table des matières Table des matières Table des matières... 1 Réactions chimiques...5 BTS Agroéquipement 2003 et BTS Maintenance et après vente des équipement de travaux
Plus en détailTITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes
TITRONIC et TitroLine Les nouveaux titrateurs et burettes Un pas en avant pour la titration Si vous cherchez l innovation: SI Analytics vous propose ses nouveaux TitroLine 6000 et 7000 et ses nouvelles
Plus en détailHortensia! bleu! Hortensia!
Vousêtesgérantd unmagasindeplantesetfleurs(l Arcenfleur).Vousrecevezlecourrierd unclientmécontent(m Durand):ilaachetéchezvousdesgrainesd hortensiasdontlaphotod emballageprésentaitdesfleursdecouleur bleue.ilvousindiquedanscecourrierquepeud
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailSCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures. L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. CHIMIE
Banque «Agro-Véto» Technologie et Biologie AT - 0310 SCIECES PYSIQUES Durée : 3 heures L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. Si, au cours de l épreuve, un candidat repère ce qui lui
Plus en détailChoix multiples : Inscrire la lettre correspondant à la bonne réponse sur le tiret. (10 pts)
SNC1D test d électricité Nom : Connaissance et Habiletés de la pensée compréhension (CC) (HP) Communication (Com) Mise en application (MA) 35 % 30 % 15 % 20 % /42 /31 grille /19 Dans tout le test, les
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailOFPPT ROYAUME DU MAROC RESUME THEORIQUE & GUIDE DE TRAVAUX PRATIQUES ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU MODULE N : 5 ELECTROTECHNIQUE SECTEUR :
OFPPT ROYAUME DU MAROC Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail DIRECTION RECHERCHE ET INGENIERIE DE FORMATION RESUME THEORIQUE & GUIDE DE TRAVAUX PRATIQUES MODULE N : 5 ANALYSE
Plus en détailDES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES. Épreuve de Physique-Chimie. (toutes filières) Mardi 18 mai 2004 de 08h00 à 12h00
CONCOURS COMMUN 004 DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Mardi 18 mai 004 de 08h00 à 1h00 Barème indicatif : Physique environ /3 - Chimie environ
Plus en détailMesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles
Mesure de conductivité on-line Mesurer Surveiller Régler La mesure de conductivité est un paramètre reconnu, dont on ne peut plus se passer en analyse moderne des process, des eaux et eaux usées. On utilise
Plus en détailEXERCİCE N 1 : «Synthèse de l éthanamide» (7 pts)
Terminale S Lycée Massignon DEVİR MMUN N 4 Durée : 2h Les calculatrices sont autorisées. Il sera tenu compte de la qualité de la rédaction et de la cohérence des chiffres significatifs. EXERİE N 1 : «Synthèse
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détail