PARCOURS 1 PROMOUVOIR ET VALORISER LA SOLIDARITE INTERNATIONALE

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1 PARCOURS 1 PROMOUVOIR ET VALORISER LA SOLIDARITE INTERNATIONALE INTRODUCTION Le parcours 1 des assises, intitulé «Promouvoir et valoriser la solidarité internationale», était animé par Odile Ambry, directrice de l agence Tocsin et rédactrice en chef de la lettre «sociétés de l information». Il proposait de réfléchir à la communication sur les actions de solidarité et de coopération internationale en direction des acteurs organisés et de la population. La communication est un domaine de travail essentiel car les acteurs de la solidarité internationale (SI) connaissent parfois des difficultés pour rendre visibles leurs actions, alors que le soutien à la solidarité internationale reste généralement à la marge des politiques locales. Il existe donc un véritable enjeu à valoriser les actions menées et à sensibiliser un public plus large. Comment alors mieux communiquer, valoriser et s ouvrir au grand public et/ou l impliquer? Trois objectifs spécifiques ont été définis pour ce parcours : - Exposer les enjeux et difficultés auxquels sont confrontés les acteurs de la SI, - Identifier les besoins et les attentes de ces acteurs, - Proposer des méthodes et des outils pour mieux promouvoir, donner plus de visibilité, sensibiliser et mobiliser le grand public, Pour introduire la première après-midi de travail, Odile Ambry a présenté un rapide cadrage théorique. La première étape de toute action de communication est de formuler les objectifs à atteindre. Il faut identifier clairement à quoi la communication va servir (par exemple : recruter 50 bénévoles, réunir euros, faire venir 80 personnes à une conférence ). Une fois les objectifs définis, il convient de s interroger à partir du schéma de base de la communication. Celui-ci est constitué des trois entités : l émetteur, le récepteur et le message. Contrairement à une idée courante, c est le récepteur, en retenant tel ou tel élément du message qui «fait le message», et non l émetteur. «Communiquer, c est aller vers l autre» dit-on souvent dans la communication. Pris dans leurs projets, leurs valeurs, leur éthique, les acteurs de la solidarité internationale ont souvent tendance à oublier à qui ils s adressent et que leur message ne sera pas entendu de la même manière qu il est envoyé. Vouloir communiquer demande donc d abord de s interroger sur la ou les cibles, c'est-à-dire les gens que l on veut atteindre, avant de travailler sur le message que l on veut transmettre, puis sur les canaux ou vecteurs qui vont être utilisés pour le diffuser. Tout travail de communication commence donc par ces quatre questions de base : les objectifs, la cible, le message, les outils ; sans oublier beaucoup de bon sens! Mobiliser des gens, convaincre, récolter de l argent demandent de donner envie, il faut que «ce soit joli, agréable». Afin de répondre aux objectifs définis précédemment, le parcours s est déroulé en deux temps. L aprèsmidi du vendredi s est structurée autour de trois témoignages portant sur «les mots de la communication», «les objectifs de la communication» et «les outils de la communication». Les discussions du samedi matin ont ensuite permis de faire émerger des propositions concrètes pour améliorer la communication et la promotion des actions de SI.

2 1. TEMOIGNAGES Compte-rendu des Assises de la solidarité internationale Parcours 1 Le premier témoignage était axé sur les mots de la communication. Thierry Burlot, vice-président du Conseil régional de Bretagne, président de la Communauté de communes de Lanvollon-Plouha, a présenté la coopération décentralisée engagée depuis plus de dix ans avec la commune malgache d Ankadinondry Sakay. Au moment de la mise en place de cette coopération, les élus ont pris conscience qu il n est pas simple d expliquer la coopération comme un acte politique : comment expliquer aux citoyens que, dans un moment de crise, la collectivité va contribuer au financement de projets au Sud? Comment faire comprendre que la coopération internationale a un intérêt pour appréhender des problèmes qui touchent les territoires du Nord? Pour dépasser ces difficultés, il a été choisi de travailler avec la commune malgache sur une problématique qui touche les deux collectivités partenaires : la gestion de l eau. En France, on ne sait plus d où provient notre eau courante. A partir du travail sur l accès à l eau à Madagascar, l idée était de redonner du sens à des gestes qui nous paraissent normaux, comme ouvrir le robinet. Même si les difficultés rencontrées au Nord et au Sud sont de natures diverses (plutôt d ordre qualitatif dans les pays du Nord et quantitatif dans les pays du Sud), l objectif, en travaillant sur ce sujet partagé, était de faire prendre conscience aux Bretons que l eau est un patrimoine commun et qu une mauvaise gestion de cette dernière peut créer des problèmes et des tensions qui peuvent desservir notre propre développement. Concernant le financement, les élus ont décidé qu il ne fallait pas que la coopération soit un coût supplémentaire assumé par les citoyens : c est donc en faisant des économies dans la gestion de l eau que sont financés les projets dans le cadre de la coopération (dans le cadre de la loi Oudin Santini). Pour expliquer la coopération décentralisée aux citoyens, il est donc important de montrer qu ils sont directement concernés par les sujets abordés. Pour une collectivité comme la communauté de communes de Lanvollon Plouha, la coopération avec Madagascar présente des intérêts directs en terme de prévention (sur le thème de l eau par exemple) mais aussi d éducation (sensibilisation aux valeurs de partage, de solidarité). L entrée par l international est un bon moyen d amener les interrogations sur nos propres modes de fonctionnement et de faire évoluer nos comportements. Par ailleurs, il ne faut pas oublier que la solidarité internationale et la coopération contribuent à faire vivre nos territoires, elles sont des vecteurs d animation de nos territoires. Ainsi, la coopération décentralisée à Lanvollon Plouha est une bonne illustration de ce que peut être la démocratie participative : elle mobilise un conseil de citoyens, des associations, un budget participatif Ces explications restent malgré tout assez techniques et nécessitent beaucoup de conviction et d enthousiasme. Le terme même de «solidarité» est à utiliser avec prudence : il a tendance à être associé à l idée d aide, alors qu il s agit réellement d une démarche réciproque, d un échange, d un enrichissement mutuel. Au-delà de ce que nous apportons, il faut voir ce que l on reçoit! Le second témoignage a permis d introduire une réflexion sur les objectifs de la communication. Yaïguere Tembely, directrice de l ONG Ya-G-Tu Mali a présenté les actions menées au sein de son association. Cette dernière est née en 1997 d une initiative locale et s est construite en deux temps. Dans un premier temps, l association a mené un travail de sensibilisation auprès des groupes de femmes et d enfants pour faire ressortir leurs besoins et élaborer conjointement un document de projet. Dans un second temps, elle a recherché des partenariats. Par l intermédiaire de la Maison de la Coopération, les ONG Ya-G-Tu et «Agronomes Sans Frontières» ont été mises en contact et ont initié un partenariat qui perdure aujourd hui. La communication de Ya-G-Tu a donc poursuivi deux objectifs bien distincts : - Mobiliser la population (notamment féminine) pour construire un projet commun ;

3 - Identifier des partenaires techniques et financiers. Les outils de communication utilisés par l association sont divers et diffèrent selon «les cibles». La communication ne se fait pas de la même façon avec les différents acteurs. Avec les populations locales, des stratégies participatives sont mises en place : assemblées, réunions, sketches et représentations théâtrales, utilisation d illustrations, d images, transmission par la musique Vis-àvis des partenaires, l association a choisi d utiliser des supports écrits, notamment des rapports d activités réalisés selon les canevas transmis. Ce témoignage a mis en évidence la nécessité de bien identifier les objectifs en amont des actions de communication afin d adapter les outils utilisés à la cible. Le troisième et dernier témoignage avait pour thème les outils de la communication. Antoine Matthieu, co-président de l association ESPoIR (association créée en 2008) a présenté les outils utilisés par leur association pour la promotion de leurs activités organisées «ici» ( forum «jeunesse et solidarité internationale», concerts, conférences ). A chaque type d évènement correspond des outils spécifiques. Pour les évènements très ouverts (festival de musique et d arts du spectacle par exemple), l association choisit une communication de masse avec campagne d affichage et distribution de flyers pour promouvoir l évènement, dans le simple esprit de donner envie de venir. Le message n est ni précis, ni technique : il doit juste être attractif et donner les informations logistiques (nature, lieu, date et heure de l évènement). Pour des évènements plus spécialisés, le message doit également rester très simple. En revanche, il faut utiliser des canaux de diffusion différents en ciblant davantage le public. L association utilise alors ses réseaux pour diffuser des annonces : réseau d associations étudiantes, réseau des associations de solidarité internationale, mais aussi réseaux sociaux. L intérêt de ces derniers, c est que l émetteur est également récepteur et vice-versa. Le site Internet est également un bon outil, à condition d être capable de le mettre à jour soi-même. Si les compétences ne sont pas présentes au sein de l association pour mettre à jour des sites internet, il existe d autres formats plus accessibles comme les blogs. Ce témoignage a permis de montrer qu il existe différents vecteurs ou outils de communication, répondant chacun à des objectifs différents. Le choix d un ou plusieurs canaux de diffusion n est pas neutre et doit être réfléchi en adéquation avec la nature de l évènement. 2. LES ECHANGES Ces trois interventions ont été suivies par un temps d échanges entre les participants, apportant différents éléments complémentaires sur le messages et les outils. L une des difficultés de la communication pour les acteurs de la solidarité internationale est que les concepts maniés sont complexes. Or, aujourd hui, la communication doit être immédiate : il faut que les éléments soient percutants et parlent tout de suite. Un gros effort est donc nécessaire pour accepter dans un premier temps de simplifier au maximum le message. Donner envie pour intéresser et mobiliser les gens, et ensuite commencer à discuter de la complexité. La «conscientisation» peut venir après, dans des productions plus élaborées, mais ce n est plus du ressort de la communication. A ce titre, l animatrice a rappelé les grandes règles de la communications : trois idées au maximum, 1500 signes maximum dans un communiqué. Pour être lu, il faut faire court. Suite au témoignage d Antoine Matthieu, différents outils de communication ont été présentés : Les relations-presse ou relations publiques : c est le moment privilégié pour tisser son réseau, pour convaincre (les assises de la SI ont été citées à titre d exemple). Une préconisation a été émise sur l organisation d événements par les associations : il faut qu ils soient envisagés à la mesure de la structure organisatrice : faire simple et ne pas hésiter à s associer.

4 Dès lors que des personnes se sont déplacées, il faut veiller à la bonne qualité de l accueil et écouter ceux qui sont venus. Le print : ce sont les affiches, les flyers, les plaquettes. La difficulté de faire un document consensuel et communiquant a été relevée. Les sites internet. Il faut qu ils soient mis à jour très régulièrement, sans quoi l image transmise sera négative. L impact des courriers électronique et news letters est difficile à mesurer, faute de retour. Les réseaux sociaux. Le monde associatif est assez en retrait par rapport aux entreprises dans ce domaine. Ces réseaux restent des outils peu utilisés alors qu ils semblent adaptés au monde associatif. C est un nouveau mode de communication qu il serait très intéressant d explorer. Le bouche à oreille. En ciblant quelques personnes, une information peut être ensuite largement diffusée. La vidéo La création de ces différents outils demande souvent des compétences spécifiques ; il peut être très utile de se faire accompagner par des personnes compétentes lors de leur conception. Celle-ci a un coût souvent trop élevé pour les acteurs de la solidarité internationale, mais d autres pistes peuvent également être envisagées : recrutement de bénévoles compétents dans le domaine de la communication, partenariats avec des lycées ou des écoles spécialisées, partenariat avec des associations qui font de l audiovisuel... De nouveaux outils de communication performants et malins émergent actuellement, portées par différents mouvements comme «les enfants de Don Quichotte», «Jeudi noir 1» ou encore «les indignés». Dans la mouvance du street-marketing (pratiques héritées de la publicité), ces jeunes associations parviennent régulièrement à faire la une des médias, et à jouer un vrai rôle de lobby. 3. QUELQUES PISTES CONCRETES Dans le prolongement des témoignages et discussions du vendredi après-midi, les participants se sont retrouvés le samedi matin pour élaborer des propositions concrètes. Cinq idées fortes sont ressorties à l issue de cette matinée : Mettre en place des formations et des partenariats Une proposition clé est ressortie tout au long du parcours, celle de la formation des bénévoles aux outils de communication. Comment aider les bénévoles à être de meilleurs porte-parole de leurs projets, de leurs valeurs? Une alternative est le recrutement de bénévoles en formation dans la communication ou le partenariat avec des associations étudiantes en communication ou audiovisuel. La mutualisation des moyens de communication a également été évoquée : il est possible de s organiser à plusieurs de façon à répartir les coûts. Savoir se remettre en question tout en gardant sa spontanéité La posture du communiquant doit être la suivante : qu est-ce que j ai fait qui n a pas fonctionné, qu est-ce que j aurais dû faire? Les associations et collectivités doivent pouvoir se poser ces questions. Néanmoins, dans les actions de communication, les associations ne sont pas des professionnels, il faut garder cette fraîcheur et cette envie de convaincre. Des temps forts pour communiquer et mobiliser, et après? 1 «Jeudi noir» : association dénonçant le mal logement et s appliquant à le mettre en lumière.

5 L importance des rencontres avec les partenaires a été soulignée par une participante. Ces moments forts, à l occasion de l invitation d un partenaire du Sud par exemple, sont indispensables pour redonner envie, motiver et mobiliser. La semaine de la solidarité internationale chaque année, ou les Assises, tous les deux ans, sont également des temps forts de mobilisation. Mais comment continuer de travailler entre ces temps-là? Des idées encore controversées : utiliser les medias et développer des partenariats avec les entreprises? Certains mouvements ont su saisir des moyens de communication utilisés dans la publicité pour être visibles (exemple des militants pour le droit au logement). Ils parviennent ainsi à braquer pendant un temps les projecteurs sur une question particulière de société. De même, les partenariats avec les entreprises ont été abordés comme un moyen efficace pour les associations d obtenir des soutiens financiers permettant ainsi de dédier une ligne budgétaire à la communication. Ces pratiques soulèvent cependant des débats idéologiques. Ce parcours a permis d aborder différentes façons de promouvoir et de valoriser la solidarité internationale. Des recommandations concrètes ont été formulées pour l avenir. Des pistes intéressantes ont été évoquées pour mieux communiquer, mais le débat est parfois allé au-delà des questions de communication. Certains participants auraient en effet souhaité davantage aborder les questions de sensibilisation à la solidarité internationale et de conscientisation des populations.

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