Complications des examens endoscopiques et pharmacologie
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- Raphaël Carrière
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1 Complications des examens endoscopiques et pharmacologie ENDOFIC 2015 Th. De Ronde UCL Mont-Godinne
2 PLAN Erreur médicale? Complication? Facteurs de risque Sédation et anesthésie Risque infectieux Transmission d infections Prophylaxie antibiotique Désinfection du matériel Risque hémorragique Anticoagulants et antiagrégants Risques spécifiques
3 Erreur médicale PROJET DE LOI relatif à l indemnisation des dommages résultant de soins de santé (Loi en application depuis 2012) Il n y aurait qu une erreur médicale pour actes accomplis. Le risque d erreur médicale est donc de l ordre de 0,005 %. Malgré cette sécurité des soins, les assureurs enregistrent environ déclarations de sinistres par an. En outre, il est bien connu que tous les accidents ne font pas l objet d une réclamation. Il est, dès lors, raisonnable de penser qu il y a chaque année, près de accidents liés aux prestations de soins.
4 Complication Echec de procédure Echec technique (cannulation) Geste inefficace Récidive précoce (occlusion prothèse) Evénement imprévu Complication: connotation négative
5 Effet secondaire (adverse event) Impact négatif sur le patient Atteinte directe, indirecte ou potentielle Augmentation du temps de procédure Nécessité d examen ou de R/ complémentaire Anticipé ou non Pré-per- ou post-procédure Nécessite de réaction rapide Différents degrés de sévérité
6 Incident Événement Anticipé Identifié et corrigé rapidement Sans répercussion pour le patient N empêche pas de terminer la procédure N augmente pas de façon excessive la durée de la procédure
7 Complications ou risques calculés? Tout examen endoscopique est à risque Risque acceptable? Risque prévisible? Risque gérable? La technicité croissante augmentera le risque
8 Comment l évaluer? Influence sur le déroulement de la procédure? (arrêt, geste supplémentaire) Changement d orientation du patient? (H, USI) Nécessité de geste correcteur invasif? (chirurgie, radiologie, endoscopie)
9 Complications ou risques calculés? Prévention Matériel adapté et performant Formation du personnel Information orale et écrite (consentement éclairé) Reconnaissance précoce et gestion adéquate
10 Gestion et communication des complications Information immédiate et compréhensible Nature et cause de la complication Stratégie de gestion Médecins impliqués dans le management Issue attendue Par le responsable direct Au patient, sa famille, son MT Au chirurgien si nécessaire
11 Delvaux, Hannover 2009
12 Communication avant procédure Consentement éclairé du patient: Information orale et écrite préalable (Cs) Information personnalisée avec preuve de celle-ci dans le dossier Balance risque-bénéfice de la procédure Type et fréquence de complications selon données de la littérature et expérience personnelle
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14 Communication après procédure A qui? Patient, famille Médecins référents et impliqués dans la gestion Compagnie d assurance Comment? Données de la littérature Compte-rendu détaillé de la procédure et du suivi recommandé (écrits, anesthésiste, photos, films, RX, )
15 FACTEURS DE RISQUE Liés au patient Indication Diagnostic Age Co-morbidités médications Liés à l opérateur Training Expérience Volume Pression N.B. L infarctus récent < 30j ne majore pas le risque de complications
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17 FACTEURS DE RISQUE Procédure Programmation Instructions préalables Sédation et monitoring Post-procédure Surveillance immédiate Instructions de suivi Follow-up Lieu d activité (hôpital ou privé)
18 SEDATION ET ANESTHÉSIE Diminuer l inconfort physique ou psychologique Atténuer la douleur Accroître la sécurité de l acte
19 Avant l acte endoscopique Interrogatoire du patient: antécédents, allergies, âge Médicaments: anticoagulants ou antiagrégants insuline, metformine anxiolytiques, sédatifs, opiacés, A jeun? liquides 3-4 heures solides 6 heures
20 Surveillance Monitoring du patient avant, pendant et APRES la procédure Fréquence cardiaque et respiratoire, SaO2 (O2 systématique réduit la désaturation inévitable) TA ECG continu si patient à risque Utiliser la dose la plus faible possible Les réactions indésirables augmentent avec la complexité de la procédure Perfusion: même un acte non douloureux peut entraîner une syncope vagale Pas de sédation en IM
21 Complications 50% des complications majeures sont cardio-pulmonaires soit 0,6-2,1%, conséquences de l hypoxémie induite par les médications ( H > F) Désaturation < 90% 7-40% des OGD 1-81% des coloscopies Surtout si BMI élevé
22 Recommandations Pas de dose fixe type mg/kg Adaptez la dose au patient Personnaliser le traitement sédatif Toujours utiliser des médicaments facilement réversibles
23 Xylocaïne Spray Fausse déglutition Allergie Méthémoglobinémie (cyanose clinique sans chute de la P O2) bleu de méthylène iv 2 mg/kg Bradycardie, vomissements, vertiges
24 Dormicum (midazolam) Sédatif et hypnotique, mais non analgésique Action centrale rapide 3-5 min par l intermédiaire des récepteurs GABA (effet inhibiteur) Durée d action : 1-3h Hydrosoluble, métabolisation hépatique CI: patients traités par anti-protéases (HIV) ont une sensibilité extrême au midazolam: soit s abstenir soit diminuer de manière drastique les doses E2: rares réactions paradoxales, hypotension, apnée (accentuée par opiacés) dysphorie, amnésie antérograde Présentation 5 et 15 mg dose habituelle: 3-4 mg IVD réduire la dose de 30% si associé aux opiacés
25 Opiacés c/ind absolue avec IMAO (Aurorix ) qui potentialisent leurs effets Fentanyl analgésique peu sédatif Effet en 5-8 min, durée d action 1-3h Dose initiale µg IV à répéter si nécess toutes les 2 min jusqu à µg Dépression respiratoire, hypotension Rapifen (alfentanil) Synergie puissante avec le midazolam, prudence!!
26 Diprivan (propofol) Sédatif à courte durée d action, amnésiant et hypnotique, peu analgésique, non barbiturique Effet en sec, demi-vie 2-4 min Métabolisation hépatique temps de demi-vie d élimination 60 min c/ind allergie aux œufs et aux bisulfites Douleur à l injection (10-20%, phlébite <1%) Apnée (3-7%) Hypotension (4-7%) Dose initiale : 25µ/kg/min en perfusion
27 Anticholinergiques Indications: excès de salivation ou de secrétions gastriques hypermotilité réaction vagale CI: glaucome, HTIC Visceralgine 5 mg/2ml spasmolytique musculotrope antimuscarinique Robinul Buscopan
28 Dolantine (péthidine) CI absolue: IMAO Temps de demi-vie plasmatique 3 à 6 heures
29 Antagoniste des benzodiazépines Anexate flumazenil Effet en 1-2 min, durée d action 1-2 h Ampoules de 0.5 mg/5 ml Dose initiale 0,2 mg i.v. en 15 secondes + si néc 0,1 mg après 1 min. Max 1 mg Risque de ré-sédation : perfusion de 0.1 à 0.4 mg/h Plus efficace pour la dépression neurologique que respiratoire Pas de risque de surdosage
30 Antagoniste des opiacés Narcan naloxone Effet en 1-2 min, durée d action 1-3h Dose de départ 0.1 mg IV soit ¼ ampoule diluée dans 9 ml de physio jusqu à 0.4 mg toutes les 2-3 minutes si nécessaire Titration jusqu à l effet souhaité Effet souvent non associé aux manifestations d hyperactivité sympathique (douleur, agitation, N+, V+, tachycardie, arythmie, œdème pulmonaire) visibles après utilisation de la naloxone, pfs nécessité de perfusion (2 ampoules dans 500 cc de physio)
31 Situation d urgence Ventilation inadéquate Demander au patient une respiration profonde Si pas de réponse: stimuli douloureux et puis même instruction SI respiration spontanée, oxygène au masque, surveiller les réflexes des voies aériennes et les bruits respiratoires. Canule de Guedel. Si pas de ventilation : luxer la mâchoire inf., oxygène au masque, ventiler au ballon Antagonistes Prendre pression artérielle Appeler la réanimation (min 2 personnes + tél!!)
32 Suivi post-procédure Salle de repos Monitoring saturation TA, pouls, douleur O2 si nécessaire Surveillance active
33 Instructions post-procédure Sédation en gastroentérologie
34 RISQUE INFECTIEUX
35 Antibioprophylaxie Patient à risque Procédures à risque
36 Gastrointestinal Endoscopy 2008 (6) Bactériémie Dilatation œsophagienne aux bougies: 12-22% Sclérose de varices: 0-52% (moyenne 14,6%) Ligature de varices : 1-25% (moyenne 8,8%) ERCP sans obstruction: 6,4% ERCP avec obstruction: 18% OGD: 0-8% (moyenne 4,4%) Coloscopie: 0-25% (moyenne 4,4%) Ponction sous EUS de lésion kystique ou solide: 4,0-5,8%
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38 Prophylaxie antibiotique Pas de lien démontré entre endocardite et endoscopie Pas de preuve de l utilité de la prophylaxie AB systématique
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41 risque cardiaque élevé Risque Procédure AB prophylaxie Prothèse valvulaire Sclérose de VO Oui (c/ entérocoques) AP d endocardite Dilatation de sténose Péni, ampi, pipéra, vanco Shunt pulmonaire Greffé cardiaque avec valvulopathie Cardiopathie congénitale - non opérée -< 6 mois post-op ERCP pour obstruction biliaire
42 Recommandations ASGE 2014 GIE 2014 Etat du patient Procédure endoscopique Recommandation AB Prévention endocardite Toute procédure Non Risque cardiaque élévé Pour sepsis avec possibilité entérocoque Oui Obstruction biliaire sans angiocholite ERCP avec drainage complet Non Greffé hépatique ou obstruction biliaire sans angiocholite Collection pancréatique stérile communiquant avec le Wirsung ERCP avec drainage incomplet ERCP Collection pancréatique stérile Drainage transmural Oui Masse solide TD supérieur EUS-FNA Non Lésion kystique (médiastin, pancréas, péri-pancréas) EUS-FNA Tout patient GEP-JEP cefazoline Hémorr Dig Aiguë sur cirrhose Toute procédure ceftriaxone (Rocéphine ) Dialyse péritonéale Endoscopie basse oui Prothèse vasculaire, défibrillateur, Toute procédure Non Oui Oui Oui
43 Résistance des micro-organismes aux désinfectants Bactéries sporulées Bacillus subtilis- Clostridium difficile Mycobactéries Virus non-lipidiques Polio-Rhino Champignons Bactéries végétatives Pseudomonas,... Virus lipidiques HBV-HIV-HSV
44 Asepsie Désinfection de haut niveau des endoscopes Stérilisation du petit matériel
45 Transmission virale Importance du suivi des recommandations de désinfection Endoscopes: désinfection mécanique (lave-endoscope) Matériel: Usage unique Autoclave
46 Contamination par aiguille souillée HBV: 30% HCV: 2,1-5,4% HIV: 0,3%
47 Détection de l ARN d Hépatite C dans le canal opérateur 19 patients HCV (+) T0: prélèvement sanguin avant la procédure Deflandre et al T1: rinçage du canal opérateur après la procédure et recueil du liquide T2: rinçage du canal opérateur après nettoyage et recueil du liquide T3: rinçage du canal opérateur après la désinfection et recueil du liquide T3 E C: écouvillonnage de l extrémité de l endoscope
48 Détection de l ARN d Hépatite C dans le canal opérateur Procédures: Biopsies: 15/19 Ligatures de VO: 3/19 Sclérothérapie: 1/19 Deflandre et al T1: 10/19 (53%) T2: 0/19 T3 - T3 EC : 0/19
49 Transmission de l HCV par injections IV Acute hepatitis C by contaminated anaesthetic ampoules Tallis et al J. Vir. Hepatitis 2003 Cluster of HCV after sedation by multidose vials Massari et al J. Clin. Microbio HCV contamination in a IV clinic (antibiotic) Larke et al Transfusion 2002
50 HCV «Incident Cidex» Près de patients testés Positivité HCV 265 (dont 99 connus) Confirmation : 65/166 Relation avec endoscopie non exclue Mais probabilité d infection ancienne
51 Transmission de l hépatite C Nécessité de procédure invasive (biopsie, ) Rôle probable des injections iv anesthésiques Désinfection classique efficace
52 Hépatite B du canard: transmission par angioscopes Chauffour et al.j Vasc Surg présence virus Contrôles 100% Rinçage à l eau stérile 93% Non-nettoyé + Glutar. (2%) ~ 5min 90% Non-nettoyé + Glutar. (2%) ~ 10min 70% Non-nettoyé + Glutar. (2%) ~ 20min 6% Nettoyé + Glutar. (2%) quel que soit le temps 0%
53 Transmission de l hépatite B Risque élevé de transmission aux patients et au personnel soignant Désinfection (dont nettoyage immédiat) efficace Vaccination!
54 Transmission de l hépatite A Transmission par endoscope impossible à moins d erreurs grossières Transmission au personnel soignant jeune est possible Vaccination!
55 Prions Les seules procédures valables de désinfection détruiraient le matériel d endoscopie Matériel strictement à usage unique, y compris l endoscope Eviter de faire une endoscopie à des patients souffrant de pathologies à prions
56 VIH, VHC et VHB: ordre de passage? France 2007 Avis du Comité Technique des Infections Nosocomiales et des Infections Liées aux Soins sur la pertinence d instaurer pour la réalisation d actes invasifs médico-chirurgicaux un ordre de passage dans les programmes quotidiens d interventions où figurent des patients porteurs de virus hématogènes
57 VIH, VHC et VHB: ordre de passage? En endoscopie : l analyse rétrospective des cas publiés de transmission de virus hématogènes par endoscopie suggère que le risque lié à cette pratique est faible, même en cas de désinfection insuffisante des endoscopes ; la transmission du VHC a été estimée, à partir de l ensemble des données de la littérature médicale, dans l hypothèse la plus pessimiste à 1/ actes ; récemment, le suivi prospectif d une cohorte de 9000 malades ayant bénéficié d une endoscopie digestive dans des centres ne pratiquant pas d ordre de passage en fonction du statut infectieux virologique, a montré l absence de transmission du VHC
58 VIH, VHC et VHB: ordre de passage? Le CTINILS ne recommande pas l instauration d un ordre de passage pour tout patient porteur de virus hématogène lors d actes invasifs médico-chirurgicaux, et notamment lors d endoscopies, hémodialyses ou interventions chirurgicales. En revanche, le CTINILS considère comme une priorité l application des précautions standard et le respect des mesures de prévention de la transmission croisée. Cependant, la décision d instaurer un ordre de passage reste subordonnée à l avis de l opérateur (endoscopiste, chirurgien) sous réserve d une stricte observance des précautions standard.
59 RISQUE HEMORRAGIQUE Anticoagulants Antiagrégants
60 Agrégation plaquettaire
61 Antiagrégants plaquettaires (AAP) Aspirine Inhibition COX1 irréversible empêche la synthèse de thromboxane A2 Thiénopyridine clopidogrel (Plavix ) prodrogue activée par Cytochrome P450 se fixe de façon irréversible sur les récepteurs ADP des PS prasugrel (Efient )idem, mais moins sensible aux variations génétiques et aux interactions médicamenteuses, durée d action plus longue ticlopidine (Ticlid ) moins utilisé (E2 ++) Ticagrelor (Brilique ) Inhibition réversible
62
63 Arrêt des AAP 10% des PS sont renouvelés chaque jour PS/µL sont nécessaires pour une coagulation normale Retour à une coagulation normale: Aspirine et clopidogrel: 5 jours Prasugrel: 7 jours
64 AAS: risque hémorragique Dose dépendant
65 Recommandations Parekh et al Am J Gastroenterol 2014; 109: 9-19
66 Cascade de la coagulation
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68 Anticoagulants iv ou sc Héparine Héparine de bas poids moléculaire (HBPM) activation antithrombine modérée Inhibition Xa > 12h après une dose unique Inhibiteur du Xa Fondaparinux (Arixtra )
69 Anticoagulants oraux Antagonistes de la Vitamine K (II, VII, IX, X, prot C et S) acénocoumarol (Sintrom ) phenprocoumone (Marcoumar ) warfarine (Marevan ) Inhibiteur de la thrombine Dabigatran (Pradaxa ) Inhibiteurs du Xa Apixaban (Eliquis ) Rivaroxaban (Xarelto )
70 Durée d action après une dose: Sintrom 3j Marcoumar 7-10j Marevan 5j
71 Recommandations Parekh et al Am J Gastroenterol 2014; 109: 9-19
72 Dabigatran et fonction rénale Parekh et al Am J Gastroenterol 2014; 109: 9-19
73 Recommandations Parekh et al Am J Gastroenterol 2014; 109: 9-19
74 Desai et al Gastrointes Endosc 78 (2) ,
75 Dabigatran vs warfarine Pradaxa Parekh et al Am J Gastroenterol 2014; 109: 9-19
76 Rivaroxaban vs warfarine Xarelto Parekh et al Am J Gastroenterol 2014; 109: 9-19
77 Desai et al Gastrointes Endosc 78 (2)
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85 Risque thrombotique du patient stenté SFED-HAS: Service des bonnes pratiques professionnelles juin 2012
86 Stents coronaires et Plavix
87 Interruption des AAP mg/j
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108 RISQUE SPECIFIQUE Toute endoscopie Perforation Lié à la technique Hémorragie Autre
109 Perforation Causes, diagnostic et choix thérapeutique Traitement endoscopique
110 Fréquence Examen Δ Examen R/ mortalité Œsophage (60% des perforations) 0,018% Dilat: 0,1-5% <48h: 0-30% Estomac % 2-5% >48h:36-56% ERCP 0,3-1% 0.5-1% Côlon 0,2-0,4% 0,3-1% EMR 0,2% ESD 5,7% 0.02%
111 Coumaros 2010
112 Coumaros 2010
113 Cessot, 2008
114 Perforation de l œsophage: facteurs favorisants Intubation Ostéophytes cervicaux Introduction à l aveugle Pathologie sous-jacente Paroi fragilisée (sclérodermie, sténose, inflammation, caustique) Tumeur Zenker
115 Perforation de l œsophage: diagnostic Per-endoscopie Douleur Emphysème Fièvre tachycardie Pneumomédiastin Pneumopéritoine CT scan
116 Post OGD thérapeutique Dilatation: 0,1% à 1-5% (achalasie) EMR: 0,5% ESD: 4%
117 Perforation de l œsophage: traitement Médical À jeun strict, parentérale SG? AB Drainage collections éventuelles Surveillance stricte Endoscopique Chirurgical si échec ou dégradation EG
118 Perforation Causes, diagnostic et choix thérapeutique Traitement endoscopique Fermeture: clips, prothèse, colle, suture By-pass Pneumopéritoine Infection
119 CLIPS EZ Clip Quick Clip Resolution TriClip Olympus Olympus Boston Cook Taille 9-11 mm 10 mm 11 mm 12 mm Réutilisable Oui Les + Rotation Prix Rotation Ecartement Recapturable Orientation Les - A monter Non recapturable Non recapturable Prix Prix Manipulation
120 Clips Le clip idéal n existe pas: ouverture large, orientable (axial et latéral), préhension, transfixiant Limitations Taille de la perforation : > 2 cm impossible (Raju 2005) > 1 cm discutable (Seewald 2006) <1 cm indication idéale Tangence pariétale (œsophage) : confrontation des berges difficiles
121 Clip Resolution Boston Scientific
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124 Prothèses Indiqué pour l œsophage (18-24 mm) guérison 73-92% complications 18-37% (migration) estomac: absence d étanchéité (sleeve gastrectomy) colo-rectal: absence de publication Caractéristiques: extractible donc «couverte» étanche (diamètre adapté) précise (positionnement optimal TTS) Barthet postgraduate UEGW 2007 Amrani, Barthet JFPD 2008 Siersema GIE 2005; 61: Raju GIE 2005; 62: Eisendrath Endoscopy2007; 39:625-30
125 Taewong NitiS
126 Polyflexstent Boston Scientific Retrait après 10 semaines
127 Partially covered non TTS stent (Ultraflex Boston Scientific)
128 Colle Biologique (fibrine glue+aprotinine) non ulcérogène promoteur de cicatrisation moins de risque de complication plus utilisé, chirurgie ++ Cyanoacrylate (Histoacryl ) ulcérogène promoteur de réponse corps étranger BonanomiG Surg Endosc 2004;18: Papavramidis GIE 2004;59: Rotondano GIE 2008;67:
129 Indications Pas de séries randomisées 37 cas décrits Sessions multiples (6-8), délai 3-4 semaines Succès 55-87% Fistule longue, fine, étroite Problème des fistules chroniques ré-épithélialisées Technique abrasion des berges si chronique (plasma argon, sonde thermique) aiguille ou catheter droit ou ballonnet injection lumière +/-berges, sécurisation avec clips? Richter GT J Pediatr Surg 2008;43: BonanomiG Surg Endosc 2004;18: Rabago Endoscopy 2002;34:632-8 Papavramidis GIE 2004;59: Rotondano GIE 2008;67:
130 Suture endoscopique Traitement endoscopique du RGO: Endocinch Bard ESD Cook
131 Eagle Claw Endoscopic Suturing Device (ECESD) suture trans-pariétale perforation de 1,5 à 2 cm de long Pham GIE 2006; 64: 113-9
132 Perforation post-dilatation œsophagienne
133 Problèmes Lavage et drainage préalable (drainage médiastinal chirurgical ou radiologique) Prothèse extractible couverte: risque migration 18%-37% : clip? modèle spécifique avec 5 mm de collerette sup non couverte? Extraction après min 4 semaines : choix entre risque de persistance fistule et inextractibilité: délai idéal 6 à 8 semaines Barthet postgraduate UEGW 2007 Amrani, Barthet JFPD 2008 Siersema GIE 2005; 61: Raju GIE 2005; 62: Schubert GIE 2005 Gebelman Endoscopy2004
134 Gestion du pneumopéritoine Risque de diffusion au médiastin et au rétropéritoine Problème de ventilation par hyperpression abdominale Limiter l insufflation, aspiration régulière Exsufflation à l aiguille 14G CO2!! Seewald GIE 2006; 63 : Minami GIE 2006; 63: Raju GIE 2005; 62:
135 Gestion de l infection Fermeture rapide Fermeture étanche Antibiothérapie précoce Drainage endoscopique transluminal EUS ou NOTES Association drainage chirurgical? (médiastin, péritoine) Seewald GIE 2006; 63 : Minami GIE 2006; 63: Raju GIE 2005;62:278-86
136 Traitement endoscopique des perforations iatrogènes Œsophage < 1-2 cm: clips (colle) large: prothèse Estomac Clips (succès 98% post EMR) Côlon Clips (possible 81%, succès 69%) Taku Gastroenterol Hepatol 2007;22:
137 Risque lié à l urgence Avant l endoscopie: Troubles de la coagulation? PS< , INR >2 Troubles cardio-pulmonaires sévères? Modifications anatomiques? Instabilité hémodynamique? ATTENDRE Hématémèse massive? INTUBATION
138 HDH et pneumonie d inhalation Intubation préalable à l OGD Koch et al. GI Dig Dis Sci 2007 Risque d aspiration massive lors d une OGD en urgence pour HDH, évitable par intubation mais sans répercussion statistique sur morbidité et mortalité
139 Où et comment faire l endoscopie? Salle d endoscopie? Salle d urgence? USI? Jamais seul avec une infirmière Jamais en salle d endoscopie le WE ou la nuit
140 Risque lié à la technique OGD <0,1% Coloscopie 0,25% dont décès 1/14000 ERCP 5-8% EUS-FNA 0,1-2% EMR 0-10% ESD 23-54% GEP 4-24% dont décès 0,4% DBE? (pancréatite) VCE 1-2%
141 OGD Complications rares Cardiaques : embolie gazeuse Neurologiques : œdème cérébral aigu, embolie gazeuse cérébrale Oculaires : luxation oculaire, hémorragie sousconjonctivale, œil noir ORL : luxation mandibulaire, hémo-tympan Thoracique : chylothorax, syndrome cave supérieur, hernie paraoesophagienne, incarcération de viscère Digestives : Mallory-Weiss, hémorragie diverses, rupture de hernie ombilicale, éviscération, stripping oesophagien, gastrique, hématomes divers, œsophage noir, ischémie gastrique, pancréatite, mégacolon, perforation colique, explosion, électrocution, impaction d endoscope, perte de matériel
142 COLOSCOPIE Coloscopie Hémorragie: <0,2% Perforation: 0,2-04% Mortalité: < 0,02% Polypectomie Complications: 0,3-2,3% Perforation: 0,3-1% Brûlure transmurale: 0,4-1% Hémorragie: 0,9-2,7%
143 COLOSCOPIE PERFORATION HEMORRAGIE
144 Facteurs de risque Age > 75 ans Co-morbidités (BPCO, AVC, FA, décomp cardiaque) Expérience Lieu d activité: hors hôpital Geste endoscopique Localisation: caecum, charnière recto-sigmoïdienne, angles coliques Pathologie: diverticulose, ischémie, sténose, colite, radiothérapie Mauvaise préparation
145 Perforation colique: symptômes Douleur (<50%) Fièvre (>25%) Météorisme Emphysème Nausées, vomissements Hyperleucocytose
146 Perforation colique: délai diagnostique Immédiat (per-endoscopie) Réveil Retardé (42-58%)! Chute d escarre (jusqu à 10 jours)!
147 Perforation colique: traitement Médical: si perfo limitée ou rétropéritonéale, diagnostic précoce (<6h), peu S, propre, bon EG À jeun strict, +/- SG, Perfusion AB large spectre Surveillance stricte Endoscopique Chirurgical: si large perfo, péritonite, mal préparé, mauvais EG ou détérioration, diagnostic tardif: suture simple ou résection stomie temporaire 33%
148 Perforation
149 Hémorragie Facteurs de risque Inexpérience Matériel défectueux Courant inadapté, trop peu de coagulation Côlon D > 65 ans, IRC ou déc card, anticoagulants Taille du polype > 20 mm Taille du pédicule > 5 mm Caractère sessile Tumeur néoplasique
150 Délai: Immédiat: 1,5% Retardé: 2% (! HTA) souvent < 1 semaine, mais parfois 3 hémostase spontanée 2/3 des cas Prévention Cold snare pour polypes sessiles < 6 mm Endoloop pour polype pédiculé: efficace mais difficile Clips sur pédicule avant ou après résection Traitement Adrénaline Électro-coagulation Clips Étranglement du pédicule > 10 minutes
151 Saignement artériel post-polypectomie: hémostase par clips
152
153 Injection d adrénaline 1: Endoloop
154 Syndrome post-polypectomie Brûlure transmurale et sérosite Facteurs de risque Coagulation prolongée ou trop puissante Polype sessile > 2 cm Capture et section de tissu normal adjacent Délai: 12h à 5 jours Symptômes: Dl, T, GB sans perforation Traitement: A jeun strict, AB
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156 Complications plus rares Syndrome de distension post-polypectomie : Explosion colique : 33% de patients sont méthano-producteurs Colite sur glutaraldéhyde Appendicite, diverticulite, thrombose hémorroïdaire, volvulus caecal, hématurie, impaction du scope dans un orifice herniaire, pneumomédiastin ou pneumothorax, pneumatose coli, rupture splénique, dilacération du mésentère, du foie, dissection aortique, pneumonie, emphysème massif sous-cutané, fistule colo-iléale
157 ERCP Fréquence: 4-16% dont majeures: 4-5% Mortalité: 0-1% Pancréatite: 5% (2-9%) Hémorragie: 0,3-0,5% 50% retardée, jusqu à 10 jours! Perforation: 0,3-1,3% mortalité 8-14% Sepsis: Angiocholite: 0,3-1,3% Cholécystite: 0,1-0,7%
158 Anatomie bilio-pancréatique Foie VBIH D et G Hépatique commun Vésicule biliaire Cystique Cholédoque Canal pancréatique Pancréas Duodénum Papille majeure
159 Sphinctérotomie - Précoupe Prothèse métallique
160 Ginsberg, Hannover 2009
161 Expérience de l opérateur USA 17 centres < 50 SE/an > 50 SE/an hémorragie 2,9% 1,1% complications 11,1% 8,4% complications sévères 2,3% 0,9% Échec de cathétérisme ou drainage après SE 5,4% 1,2% Autriche < 50 ERCP/an >50 ERCP/an Succès R/ 86,9% 80,3% Complications 13,6% 10,2% Freeman 2009
162 Pancréatite Facteurs de risque Jeune âge Dysfonction oddienne Examen à visée pancréatique Difficultés de cannulation Injection dans le Wirsung Pré-coupe si inexpérimenté
163 Pancréatite Prévention Prothèse pancréatique prophylactique (5F 3cm sans flap distal) Cannulation sur fil-guide plutôt qu à l injection AINS (suppo d Indocid )
164 5 novembre 2008
165 7 novembre 2008
166 20 novembre 2008
167 02 janvier 2009
168 02 janvier 2009
169 19 janvier 2009
170 19 janvier 2009
171 4 février 2009
172 Kysto-gastrostomie
173 Drainage de pseudo-kyste pancréatique
174 Hémorragie
175 Hémorragie Facteurs de risque SE Coagulopathie Angiocholite Pré-coupe Inexpérience Prévention Endocut
176 Hémorragie Traitement Hémostase spontanée: le plus fréquent Injection adrénaline Tamponnade au ballon Clips Embolisation Chirurgie
177 Perforation
178 Perforation Facteurs de risque Pré-coupe Injections intra-murales Site de perforation Œsophage, estomac, duodénum Papillaire post SE Biliaire (fil-guide-dormia) Traitement Conservateur: AB, A jeun strict +/- drainage biliaire Chirurgical: perforation TD, échec R/ conservateur
179 Perforation post SE
180 Sepsis Angiocholite: facteurs de risque Drainage incomplet Inexpérience Ictère Prothèse pour tumeur maligne Cholécystite: facteurs de risque Calculs vésiculaires SE Obstruction tumorale du cystique
181 Complications rares Migration de stent et perforations distales Ulcères duodénaux Diverticulite Impactions de matériel d extraction de calculs (ou perte de segments de ceux-ci) Traumatisme splénique ou hépatique Hématome ou bilome sous-capsulaire hépatique Abcès splénique Embolie gazeuse dans la veine porte Sténose de la SE: 0,5-6,8% Angiocholites à répétition Lithiase cholédocienne
182 Allergie aux produits de contraste??
183 EUS +/- FNA Perforation % Post FNA Pancréatite % Pas de 22 ou 19G, surtout si bénin ou lésion kystique Bactériémie % Rare infection, surtout lésions kystiques Hémorragie 0.9-6% Doppler couleur, fine aiguille
184 EUS: facteurs de risque de perforation Age Ostéophytes Sténoses Dilatation préalable Inexpérience (<1 an) Sédation Diverticule duodénal
185
186 Vidéo Capsule Endoscopique Rétention: 1-2% Crohn: 2/3 des cas AINS, radior/, chirurgie digestive, ischémie mésentérique, tumeur OED Transit: pas une garantie Agile patency capsule? Examen incomplet: 15% Pas contre-indiquée si pacemaker ou défibrillateur
187 EMR, ESD EMR: résection muqueuse: 0-10% ESD: dissection sous-muqueuse : 23-54% Perforation: 3-5% Hémorragie: immédiate 20%, retardée 0-9% ESD> EMR Estomac > côlon = œsophage Sténose : 0-90%
188
189
190
191
192
193 Ampullectomie Complications: 8-25% Perforation 1-2% Hémorragie 7-8% Pancréatite 12-17% (stent transitoire)
194 Cap Olympus Duette Cook
195
196 ESD
197 Rôle du personnel infirmier Préparation du patient Préparation du matériel pour la procédure Préparation du matériel pour une complication éventuelle Travail d équipe: profiter de l expérience! COOPÉRATION ET COMMUNICATION L endoscopie n est pas un one man show
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