SECOD : Base de Données sur le Contribuable Urbain.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "SECOD : Base de Données sur le Contribuable Urbain."

Transcription

1 1 SECOD : Base de Données sur le Contribuable Urbain. 5- LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE A DOUALA. Collection «Entreprises & Territoire». RAPPORT PROVISOIRE D ETAPE n 5. Avril 2006

2 2 SECOD : Collection «Entreprises & Territoire à Douala»

3 3 AVANT-PROPOS : On peut se demander pourquoi nous avons choisi d ouvrir les premières pages de la constitution de notre base de données sous une Collection intitulée «Entreprises & Territoire à Douala». Pour nous, cependant, la raison en est toute simple. C est, fondamentalement, parce que l observation d une économie locale n a de sens que parce qu elle apparaît comme un préalable à l action. Dit autrement, cela revient à reconnaître qu il y a un lien indéfectible entre l Economique et l aménagementurbanisme. Car les entreprises, comme toutes autres formes d unités organisées sur une Commune, ne vivent pas sur «pilotis» dans un espace aérien. Mais elles occupent bien une portion du territoire et avec laquelle elles sont en interaction dynamique. Aussi, le travail de l O.S.E.E.D se situe-t-il également au carrefour entre l Economique et l aménagement-urbanisme et où il rejoint parfaitement les postulats majeurs de ce dernier. Ceux-ci, comme le rappellent assez éloquemment D. MATOUZET *, par exemple, se résument ainsi qu il suit : -l aménagement-urbanisme est un champ de connaissances (toutes aussi empiriques que théoriques incluant savoirs et savoir-faire) portant sur l espace, ses composantes et ses transformations éventuelles, -il se donne comme moyen la transformation de l espace et/ou des éléments qui le composent, en vue d une amélioration (spatiale ou plus large) souhaitée par rapport à un état initial jugé améliorable, -en outre comme réflexion, l aménagement-urbanisme se concrétise sur le terrain dans l action. Il est donc à la fois, prescriptif («il faut faire cela») -ce qui pose le problème de la responsabilité- et, normatif, -comme l Economiste, l aménageur-urbaniste ne peut savoir, à priori, où s arrête le champ de son action. Le travail de l économiste et, à travers lui, celui de l O.S.E.E.D., rejoint donc foncièrement celui de l aménageur-urbaniste dès lors qu il ne s agit pas seulement de présenter des analyses (au travers des modèles descriptifs et/ou explicatifs), mais également de proposer des pistes pour l action à mettre en œuvre. Et cela suppose, bien entendu, des choix : -quant aux objectifs à atteindre : et qui peuvent même être contradictoires entre eux, -quant aux moyens à mettre en œuvre pour atteindre ces objectifs, ou encore -quant à la forme de cette mise en œuvre : dans des processus longs, complexes et/ou collectifs, ou même seulement dans le support proposé pour le déroulement de toute action. Ainsi donc, le choix d une Collection intitulée «Entreprises & Territoire à Douala» situe volontairement l observation et l analyse des producteurs locaux des biens et services non dans le sens de l inquisition, mais bien dans celui de la nécessité d éclairer l Exécutif Communautaire dans l action. D autant que parallèlement, la «mondialisation» oblige aujourd hui, et plus encore qu hier, à mieux connaître l espace «à soi» pour pouvoir faire face aux forces hétéronomes extérieures. A cet égard d ailleurs, et vis-à-vis des autres grandes métropoles de la côte ouest africaine ( DAKAR, ABIDJAN, LIBREVILLE,.. ), Douala ne saurait construire, ou même seulement, sauvegarder sa compétitivité territoriale en ignorant les principales caractéristiques de son économie locale voire, celles spécifiques de son espace intérieur de production. * D. MATOUZET (2002) : Normativité et interdisciplinarité en aménagement - urbanisme, in RERU, vol. IV,n 4, pp.619/641.

4 4 INTRODUCTION Comme dans la plupart des villes contemporaines la physionomie de Douala est, de plus en plus, marquée par une diminution des effectifs des densités de populations en son centre, et par une croissance démographique et de l espace occupé par la population (et/ou les emplois), repoussant ainsi les frontières initiales de la ville. De moins en moins importants dans le centre, les taux de croissance démographique deviennent élevés en périphérie (1). Cette évolution dispersée de ménages (même si, dans le même temps, on observe que ces derniers tendent plutôt à diminuer de taille (2) ) entraîne également celle de certaines activités et se trouve aussi à l origine de nombreuses opportunités. Certains Arrondissements de la ville situés dans des espaces périurbains, autrefois soumis à un exode rural (BONAMOUSSADI, NKOLBONG, LOGBABA,.) connaissent désormais l arrivée de nouveaux ménages et, dans certains cas, d emplois nouveaux. Car cette migration s accompagne, bon an mal an aussi, de la mise en place des services de proximité et donc, d unités de prestations, aux ménages ou même parfois de la production de biens locaux (3). De façon générale, l on sait que la physionomie de la ville renvoie également au choix de localisation des ménages et des activités (ou des entreprises). Dans ce sens, la configuration spatiale actuelle des entreprises de Douala apparaît également comme une des variables explicatives de la configuration de la ville. En d autres termes, la localisation spatiale des entreprises ici apparaît comme faisant partie des forces centrifuges et centripètes à l origine de la configuration actuelle la population de la ville. A cet égard la Théorie Economique, notamment à travers son modèle standard de «l économie urbaine», offre également un cadre d intelligibilité des choix de localisation des ménages qui, toutefois, ne semble répondre entièrement au cas de Douala. En effet, ce «modèle» explique la configuration spatiale urbaine de la population par des facteurs déterminants assez précis, à savoir : - une baisse des coûts de transport : (ce qui entraîne un effet-prix et un effet-revenu) qui conduit à une augmentation de revenu des ménages, - une augmentation de la population, et - une répartition des aménités qui, très souvent, peuvent constituer une force centrifuge ou centripète selon leur nature. Grâce à ces variables déterminantes, et moyennant des hypothèses diverses relatives à la fois : - à la forme des fonctions de production de logement et de la demande de logement, mais aussi - à une distribution de revenus, Le «modèle» conceptuel de l économie urbaine établit alors une forme fonctionnelle spécifique de répartition de population dans l espace et d après laquelle la densité de population diminue de façon exponentielle avec la distance. Or, outre le fait que les ménages de Douala (comme d ailleurs ceux du pays tout entier) n ont pas connu une augmentation de revenus ces dernières années, la dispersion de la population est, elle-même, susceptible de générer une déconcentration des activités relatives en particulier à la production des biens et services de proximité aux ménages. Par ailleurs, on remarque que, si certaines entreprises restent sensibles aux économies d agglomération (ou «économies d échelle») et demeurent localisées au centre (1) On notait ainsi qu en 2002, par exemple, la population de Douala III et Douala V représentait 64% de la population totale de la ville, contre moins de 55% en 1987 lors du second recensement général de la population ( INS (2003) : enquête sur le cadre de vie des populations de Yaoundé et de Dla. en 2002, vol IIB, Résultats pour la ville de Dla ; Yaoundé, Juillet., P. 30). Et le recensement général de la population et de l habitat initié à partir du 11 novembre 2005 devrait logiquement confirmer cette évolution. (2) Le taux moyen des personnes vivant dans un ménage à Douala est passé de 5,2 en 1996 à 4,4 en 2002 (INS (2003), op. cit. P. 31. Une tendance qui, elle aussi, devrait bientôt être confirmée par les résultats du RGPH de novembre (3) Bien entendu, cette évolution entraîne aussi de nombreux autres problèmes dont le recours constant et croissant à la voiture ou à l usage des «Ben-skins» comme modes de transport. Ce qui se traduit, entre autres, par une augmentation de la pollution. La congestion liée aux déplacements quotidiens à Douala est également aujourd hui synonyme de «temps perdu», et dont le coût pour la Collectivité devrait d ailleurs pourvoir désormais être également calculé par rapport au PIB (national ou local) par exemple. Ce qui permettrait, notamment, d illustrer le temps perdu par les habitants à cause de leurs modes de déplacements quotidiens. On pourrait même aussi arriver à déterminer, pour les employés de la ville, les pertes de productivité occasionnées par les modes de transport quotidiennement utilisés.

5 5 (Effet de vitrine à DOUALA I en général), d autres se créent ou sont incitées à gagner la périphérie, sous les effets de concurrence, par l occupation du sol, les effets de congestion au centre ou encore, le coût comparativement élevé du loyer au centre (le m 2 de bureau, par exemple, coûte plus cher à Bonanjo qu à Bonamoussadi). Enfin d un point de vue conceptuel d ailleurs, l on sait depuis que l établissement d une relation de causalité entre «distance et densité» présuppose également deux préalables incontournables, et là encore difficilement vérifiables dans le cas de Douala, à savoir que : - le coût de transport soit une fonction univoque de la distance au centre (la réalité à Douala est plutôt caractérisée à la fois par l existence d une offre insuffisante de transport à forte capacité et dont le nombre est largement limité et, des infrastructures à faible capacité et à vitesse réduite ou «ben-skins»), et - qu il existe une isotropie de l espace ainsi qu une homogénéité des réseaux de transport. Même si cette absence d isotropie ne remet pas fondamentalement en cause la relation «distance-densité», il reste qu étant donné que les coûts du transport varient pour des localisations situées à distance égale du centre, la relation entre distance et densité cesse d être univoque. Si donc l existence (ou l absence) d une offre appréciable de moyens de transport (collectif par exemple) entre le centre de Douala et sa périphérie ne peut expliquer entièrement la localisation des ménages dans les excroissances de la ville, il nous paraît donc d autant plus indispensable de trouver d autres variables explicatives. A cet égard, la présentation de la localisation spatiale des entreprises (et dont d ailleurs les modalités, ainsi que les logiques qui les gouvernent, restent également à étudier) souffle donc comme un vent nouveau qu il convient de décliner et de déchiffrer avec toute l attention nécessaire pour comprendre les méandres de l industrialisation et des emplois dans la ville. Quatre «Rapports Provisoires d Etape» ont déjà été présentés par l OSEED dans la Collection «Entreprises & Territoire à Douala», à savoir : - Un premier rapport sur les entreprises industrielles à Douala, paru en novembre 2005 ; - Un second portant sur le secteur primaire à Douala, commis en Janvier 2006 ; - Un troisième sur la localisation spatiale des entreprises (mars 2006), et -Un quatrième qui présente les entreprises de l artisanat à Douala, également paru en mars L OSEED en est ainsi à son cinquième rapport dans cette Collection. Et celui-ci concerne les «professionnels de santé à Douala». Comme la plupart des secteurs antérieurement étudiés, ce dernier est également composé de plusieurs sous-secteurs (ou, pour aller vite, «filières»). De sorte que, lorsqu on parle de «professionnels de santé», il s agit aussi bien des hôpitaux, que d autres structures comme les dispensaires, les pharmacies, les cabinets médicaux, et même les centres de sport et de la forme,... L EQUIPE DE L O.S.E.E.D. Jean-Roger ESSOMBE EDIMO Pascaline MPAKO NYAKE et Gabriel NJOCKE

6 6 SECOD : LES ENTREPRISES A DOUALA : REPARTITION PAR SECTEUR D'ACTIVITE. collection "Entreprises & Territoire à Douala" mars-06 Secteurs Nbe. D entreprises. % PRIMAIRE agriculture 14 agro-industrie (+ Boulangeries) 178 agro-alimentaire 38 SECONDAIRE industrie 340 Artisanat 180 TERTIAIRE Finances 229 Sces aux Particuliers et aux Entreprises Services Publics 121 Professions de la Santé 336 Etablissements Scolaires Privés 159 CCE (+ Stations-service) ,1 9,3 86,6 TOTAL SECOD Graphique: 1

7 7

8 8 LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE : aperçu général. La base «SECOD» de l O.S.E.E.D. dénombre à ce jour 366 entreprises liées à la santé. Elles sont organisées autour de onze filières. (Tableau 1 ). Tableau 1 : Répartition par filière Filières Nombre % Hôpitaux-Dispensaires-Soins médicaux 13 3,55 Cabinets médicaux-cliniques ,79 Pharmacies ,14 Parapharmacies 3 0,82 Pharmacies grossistes 12 3,28 Kinésiethérapie-Massage 23 6,28 Naturopathes-Dietétiques-Nutritionistes- Herboristes 36 9,84 Vétérinaires et pharmacies vétérinaires 8 2,19 Ambulances 2 0,55 Centres de sport et de la forme 17 4,64 Matériel médical 29 7,92 TOTAL

9 9 I. TABLEAUX RECAPITULATIFS Tableau 2 Ventilation (tous types confondus) par quartier Quartiers Nb. d'entreprises % Akwa Bali 35 9,6 Bassa 34 9,3 Bépanda 5 1,4 Béssèguè 1 0,3 Bonabéri 21 5,7 Bonamoussadi 12 3,3 Bonamouang 2 0,5 Bonanjo 24 6,5 Bonapriso 46 12,6 Bonassama 1 0,3 Bonéwonda 1 0,3 Camp yabassi 3 0,8 Cité des palmiers 1 0,3 Cité sic 1 0,3 Deido 25 6,8 Madagascar 2 0,5 Makèpè 3 0,8 Ndogbong 2 0,5 Ndogpassi 1 0,3 New-bell 19 5,2 Yassa 1 0,3 Localisat non spécifiée 16 4,4 Total GRAPHIQUE RECAPITULATIF A : (tous types confondus) Par quartier

10 10 GRAPHIQUE RECAPITULATIF B : (tous types confondus) Par quartier Les enseignements que nous pouvons tirer de la localisation spatiale des entreprises de ce secteur sont les suivants : L on observe un regroupement des structures de santé dans les quartiers centraux de la ville. Ainsi, le quartier Akwa enregistre le plus grand nombre de centres de santé avec 110 établissements sur les 366 recensés, soit 30% du total. Les autres quartiers centraux comme Bonapriso (qui compte 46 établissements de santé, soit 12,6% du total), le quartier Bali (avec ses 35 centres soit 9,6% du total), ou encore Bonanjo (avec 24 établissements soit 6,5%), confirment cette tendance générale de la concentration spatiale des établissements de santé dans les Aires Centrales de la ville.

11 11 Nonobstant cette tendance, L on peut également relever un certain «étalement» des structures de santé dans les quartiers périphériques de Douala, à l instar des quartiers comme Yassa, Ndogpassi, ou Madagascar, qui dénombrent chacun au moins un centre de santé. L analyse de la localisation spatiale par Arrondissement dans ce secteur confirme le regroupement majoritaire des centres de santé à Douala I avec 244 établissements sur les 366 recensés, soit 66,7% du total. Toutefois, il faut quand même noter une couverture sanitaire prononcée dans les différents Arrondissements de la ville, avec au moins une vingtaine de centres de santé par Arrondissement. ( Tableau 3, Graphiques récapitulatifs C et D ). Tableau 3: Ventilation par arrondissement Arrondissements Nb d'entreprises % Douala ,7 Douala ,3 Douala Douala Douala ,6 Manoka Localisat non spécifiée 16 4,4 Total GRAPHIQUE RECAPITULATIF C : Par arrondissement GRAPHIQUE RECAPITULATIF D : Par arrondissement

12 12 PRISE EN COMPTE DES DONNEES DEMOGRAPHIQUES : Selon les données démographiques disponibles (Tableau 4), la population de la ville (en attendant les résultats du dernier Recensement de novembre 2005) se décompose de la manière suivante : Tableau 4 : La Population de Douala et sa répartition par Arrondissement. n Populatio Totale 05 Tx de Cce Projecti on 2015 Dla I en 2005 SECOD Population de Dla : Sources MINPAT 00 et INS 03 Dla II en 2005 Dla III en 2005 Dla IV Dla V en en Manoka en 2005 Pop Rurale 1998 Tx Cce Urbaine en 98 Nb de Ménage s 2002 taille Moy Ménage Superfi cie de DLA (km2) % / Province % Pop DLA / Provinc e Tx d'activit é DLA Tx d'act Moy Nation Si l on tient compte de ces indicateurs, il advient alors successivement que : 1)-l Arrondissement de DLA III, avec un total des établissements de santé de 37 (Tableau 3 infra) possède le taux de couverture médicale le plus élevé de la ville. Puisque celui-ci s établit en effet à, environ, 0,1 structure médicale pour 1000 habitants, contre 0,8 pour 1000 habitants à DLA I, 0,07 habitants pour 1000 à DLA II et 0,06 habitants pour 1000 à DLA III. 2)-Enfin, le rapport établissements sanitaires/nbre d habitants permet de noter que l Arrondissement de DLA V, qui est le plus peuplé de la ville, possède encore la plus faible couverture sanitaire de la cité, avec un taux de 0,05 établissements pour 1000 habitants. Ainsi rapprochée au poids démographique de chaque Arrondissement, l analyse de la couverture sanitaire de la ville fait ressortir DLA III comme l Arrondissement le plus pourvu en structures sanitaires compte tenu du nombre d habitants de cette Commune. II. L ANALYSE PAR FILIERE 1. CAS DES HOPITAUX DISPENSAIRES ET CENTRES DE SANTE Douala compte à ce jour, d après les statistiques recueillies par «SECOD», 13 hôpitaux et dispensaires sur les 366 établissements sanitaires de la ville, soit 3,55% du total. On y dénombre, par ailleurs, 7 hôpitaux publics dont 2 grands hôpitaux : l un situé à Akwa (hôpital Laquintinie) et l autre à Makèpè (hôpital général), et 6 hôpitaux et dispensaires privés. Ce qui paraît négligeable pour une population estimée à un peu plus de d habitants. Cette insuffisance de la couverture sanitaire, loin d être propre à Douala, traduit également l une des caractéristiques des villes du tiers-monde en général, et de l Afrique en particulier. Le quartier Bonabéri dénombre à lui seul 4 hôpitaux et dispensaires. Néanmoins nous remarquerons une dispersion dans quelques autres quartiers de Douala. (Tableau 5 et Graphique E )

13 13 Tableau 5 : Ventilation des hôpitaux, dispensaires et centres de santé par quartier Quartiers Nbe d'entreprises % Akwa 1 7,69 Bali 1 7,69 Bassa 1 7,69 Bonabéri 4 30,77 Bonamoussadi 1 7,69 Bonassama 1 7,69 Deido 1 7,69 Makèpè 1 7,69 New-bell 2 15,4 Total Graphique E La répartition par Arrondissement fait apparaître que Douala IV compte le plus grand nombre d hôpitaux et dispensaires avec un total sectoriel de 5 institutions sur les 13 répertoriées, soit 38,5% du total. Cet Arrondissement est suivi de Douala I, qui comptabilise 3 institutions sur 13, soit 23% du total. (Tableau 5, Graphique F). Tableau 5 : Ventilation par arrondissement des hôpitaux, dispensaires et centres de santé. Arrondissements Nb d'entreprises % Douala Douala ,4 Douala 3 1 7,7 Douala ,5 Douala ,4 Manoka Total

14 14 Graphique F 2. CAS DES CABINETS MEDICAUX ET CLINIQUES PRIVES Comme nous le disions précédemment, il existe un nombre relativement important d établissements privés de santé à Douala, et où l on dénombre quelques 120 cabinets et Cliniques, soit en peu moins de 33% de l offre médicale ambulatoire locale. Leur localisation est particulièrement remarquable à Akwa qui compte 44 établissements sur les 120 recensés dans ce secteur privé, soit un peu moins de 37% du total. De son côté, Bonapriso, quartier résidentiel et où vit une population relativement aisée, loge 20 Cabinets et Cliniques, soit un peu moins de 17 % du total sectoriel de la ville. A l opposé, l on peut aussi remarquer entre autres que les quartiers comme Bépanda et New-bell n ont pas plus de 5 établissements de ce genre. (Tableau 6 Graphique G) Tableau 6: Cabinets médicaux,cliniques privés : ventilation par quartier. Quartiers Nb d'entreprises % Akwa 44 36,67 Bali 14 11,67 Bassa 8 6,67 Bépanda 2 1,67 Béssèguè 1 0,8 Bonabéri 6 5 Bonamoussadi 5 4,2 Bonamouang 1 0,83 Bonanjo Bonapriso 20 16,66 Deido 4 3,33 New-bell 3 2,5 Total

15 15 Graphiques G. Par rapport aux Arrondissements, Douala 1 regroupe 96 cabinets médicaux et cliniques, sur un total de 120 soit 80%. Ce qui est une évidence puisque les quartiers où l on dénombre la majorité des cabinets sont dans l Arrondissement de Douala 1. L Arrondissement de Douala 4, qui comme nous l avons vu précédemment, compte le plus grand nombre d hôpitaux et de dispensaires, fait mutandis paridis piètre figure en matière de localisation de structures sanitaires privées (Tableau 7 et Graphique H). Tableau 7: Ventilation par arrondissement Arrondissements Nbe. d'entreprises % Douala Douala 2 3 2,5 Douala 3 8 6,7 Douala Douala 5 7 5,8 Manoka Total Graphiques H.

16 16 3. CAS DES NATUROPATHES DIETETIQUES NUTRITIONNISTES HERBORISTES. La croyance en la médecine traditionnelle aidant, la filière de la naturopathie... prend de l ampleur au sein de la communauté. Ainsi la ville de Douala compte 36 centres de santé en matière de naturopathes, diététiques, nutritionnistes, herboriste ; sur un total de 366, soit 9,84%. Akwa et Bassa dénombrent chacun 9 établissements sur 36, soit 25%. Il est surtout important de signaler le nombre d autres structures sectorielles (13,88%) et dont la localisation spatiale n a pu être spécifiée par «SECOD» (Tableau 8 et Graphique i) Tableau 8 :Ventilation par quartier (des Naturopathes, etc...). Quartiers Nb d'entreprises % Akwa 9 25 Bali 2 5,56 Bassa 9 25 Bonabéri 1 2,78 Bonamoussadi 1 2,78 Bonanjo 2 5,56 Bonapriso 4 11,1 Deido 2 5,56 New-bell 1 2,78 Localisat non spécifiée 5 13,88 Total Graphique i : Pour ce qui est de la répartition par Arrondissement, l on remarque que ce secteur d activités est particulièrement implanté à DLA I (19 établissements sur 36, soit un total d un peu moins de 53%). De leur côté DLA II, III et V en comptent un chacun (soit un peu moins de 3% des effectifs sectoriels). Alors que DLA III loge effectivement le quart des établissements concernés.( Tableau 9 et Graphique j)

17 17 Tableau 9: Ventilation par arrondissement des Naturopathes,... à Douala. Arrondissements Nbe d'entreprises % Douala ,77 Douala 2 1 2,78 Douala Douala 4 1 2,78 Douala 5 1 2,78 Manoka Localisat non spécifiée 5 13,89 Total Graphique j. 4. CAS DES PHARMACIES L on ne saurait parler du secteur sanitaire à Douala en passant sous silence l activité des pharmacies locales. De manière générale en effet, la pharmacie, lieu où l on se procure les médicaments, fait partie intégrante des professionnels de la santé. Pour Douala, «SECOD» a dénombré 103 pharmacies. Et la répartition spatiale qui en découle permet les constatations suivantes : -Douala 1 compte 57 pharmacies sur les 107 répertoriées c est-à-dire, un peu plus de la moitié du secteur soit 53,3%. Ceci s explique largement par l importante implantation de ces officines dans des quartiers centraux de la ville. Ainsi, par exemple, on retrouve 22 pharmacies à Akwa (soit 21,3% du total), 14 à Deïdo soit 13,6% et 10 à Bonanjo, soit un peu moins de 10% des effectifs répertoriés. - Contrairement aux autres structures relevant du domaine de la santé (cf Chapitres précédents infra), l on note également la présence d au moins une pharmacie dans les quartiers périphériques de la ville. ( Yassa, Ndogbong, Makèpè,... ).

18 18 - Enfin l observation la plus intéressante est qu on dénombre au moins 8 pharmacies par Arrondissement. (Tableaux 10 et 11). Tableau 10 :Ventilation des pharmacies par quartier Tableau 11 : ventilation/arrondissement Quartiers Nbe Nbe d'entreprises % Arrondissements d'entreprises % Akwa 22 21,3 Douala ,3 Bali 6 5,8 Douala ,7 Bassa 12 11,6 Douala ,6 Bépanda 3 2,9 Douala 4 8 7,8 Bonabéri 8 7,8 Douala 5 9 8,7 Bonamouang 1 1 Manoka Bonamoussadi 3 2,9 Localisat non spécifiée 3 2,9 Bonanjo 3 2,9 Bonapriso 10 9,7 Total Bonéwonda 1 1 Camp yabassi 1 1 Cité des palmiers 1 1 Deido 14 13,6 Madagascar 2 1,9 Makèpè 1 1 Ndogbong 1 1 New -bell 10 9,7 Yassa 1 1 Localisat non spécifiée 3 2,9 Total

19 19 5. CONCLUSION Ce cinquième rapport intitulé «les professionnels de la santé à Douala» de notre Collection «Entreprises & Territoire» met en évidence à la fois, la structuration et la spatialisation des établissements sanitaires dans la ville. Nonobstant un volume encore insuffisant des hôpitaux publics ou de l offre médicale ambulatoire publique, Douala semble présenter un effectif moyennement important des professionnels de la santé. Les remarques générales qui se dégagent de cette présentation concernent l implantation désormais acquise d au moins un centre de santé dans chacun des Arrondissements de la ville, l émergence de la filière «naturopathie» et, surtout, le nombre de plus en plus élevé des officines de pharmacies. L analyse par Arrondissement de ce dernier secteur montre en effet que l on dénombre généralement, en moyenne, 21 pharmacies par Arrondissement à Douala.

20 ANNEXES 20

21 21 SECOD: Les services aux particuliers et aux entreprises à Douala Collection " Entreprises & Territoire à Douala" OSEED, Nov.2005 Professionnels de la santé ( Matériel médical ) Ventilation par quartier Quartiers Nb d'entreprises % Akwa 13 44,82 Bassa 2 6,9 Bonamoussadi 1 3,45 Bonapriso 2 6,9 Cité sic 1 3,45 Ndogbong 1 3,45 Ndogpassi 1 3,45 New-bell 1 3,45 Localisat non spécifiée 7 24,13 Total Graphiques Professionnels de la santé ( Matériel médical )

22 22 Ventilation par arrondissement Arrondissements Nbe d'entreprises % Douala ,72 Douala 2 1 3,45 Douala ,8 Douala Douala 5 2 6,89 Manoka Localisat non spécifiée 7 24,14 Total Graphiques

23 23 SECOD: Les services aux particuliers et aux entreprises à Douala Collection " Entreprises & Territoire à Douala" OSEED, Nov.2005 Profession de la santé (Kinésithérapie - Massage) Ventilation par quartier Quartiers Nbe d'entreprises % Akwa 11 47,82 Bali 1 4,35 Bonanjo 1 4,35 Bonapriso 5 21,73 Camp yabassi 2 8,7 Deido 1 4,35 New-bell 2 8,7 Total Graphiques

24 24 Profession de la santé (Kinésithérapie - Massage) Ventilation par arrondissement Arrondissements Nbe d'entreprises % Douala ,6 Douala ,4 Douala Douala Douala Manoka Total Graphiques

25 25 SECOD: Les services aux particuliers et aux entreprises à Douala Collection " Entreprises & Territoire à Douala" OSEED, Nov.2005 Profession de la santé ( Centres de sport et de la forme ) Ventilation par quartier Quartiers Nbe d'entreprises % Akwa 2 11,8 Bali 3 17,6 Bassa 1 5,9 Bonabéri 1 5,9 Bonamoussadi 1 5,9 Bonanjo 3 17,6 Bonapriso 5 29,4 Deido 1 5,9 Total Graphiques

26 26 Profession de la santé ( Centres de sport et de la forme ) Ventilation par arrondissement Arrondissements Nbe d'entreprises % Douala ,3 Douala Douala 3 1 5,9 Douala 4 1 5,9 Douala 5 1 5,9 Manoka Total Graphiques

27 27 SECOD: Les services aux particuliers et aux entreprises à Douala Collection " Entreprises & Territoire à Douala" OSEED, Nov.2005 Profession de la santé ( Parapharmacies ) Ventilation par quartier Quartiers Nbe d'entreprises % Bali 1 66,7 Deido 2 33,3 Total Graphiques

28 28 Profession de la santé ( Parapharmacies ) Ventilation par arrondissement Arrondissements Nbe d'entreprises % Douala Douala Douala Douala Douala Manoka Total Graphiques

29 29 SECOD: Les services aux particuliers et aux entreprises à Douala Collection " Entreprises & Territoire à Douala" OSEED, Nov.2005 Profession de la santé ( Pharmacies grossistes ) Ventilation par quartier Quartiers Nbe d'entreprises % Akwa 5 41,67 Bali 4 33,34 Bassa 1 8,33 Bonanjo 1 8,33 Localisat non spécifiée 1 8,33 Total Graphiques

30 30 Profession de la santé ( Pharmacies grossistes ) Ventilation par arrondissement Arrondissements Nbe d'entreprises % Douala ,33 Douala Douala 3 1 8,33 Douala Douala Manoka Localisat non spécifiée 1 8,34 Total Graphiques

31 31 SECOD: Les services aux particuliers et aux entreprises à Douala Collection " Entreprises & Territoire à Douala" OSEED, Nov.2005 Profession de la santé ( Vétérinaires et pharmacies vétérinaires ) Ventilation par quartier Quartiers Nbe d'entreprises % Akwa 3 37,5 Bali 2 25 Bonabéri 1 12,5 Bonanjo 1 12,5 Makèpè 1 12,5 Total Graphiques

32 32 Profession de la santé ( Vétérinaires et pharmacies vétérinaires ) Ventilation par arrondissement Arrondissements Nbe d'entreprises % Douala Douala Douala Douala ,5 Douala ,5 Manoka Total Graphiques

33 33 SECOD: Les services aux particuliers et aux entreprises à Douala Collection " Entreprises & Territoire à Douala" OSEED, Nov.2005 Profession de la santé ( Ambulances... ) Ventilation par quartier Quartiers Nbe d'entreprises % Bali 1 50 Bonanjo 1 50 Total Graphiques

34 34 Profession de la santé ( Ambulances... ) Ventilation par arrondissement Arrondissements Nbe d'entreprises % Douala Douala Douala Douala Douala Manoka Total Graphiques

35 35 : OBSERVATOIRE DE LA STATISTIQUE & DES ETUDES ECONOMIQUES DE DOUALA ( O.S.E.E.D ). Téléphone : (237) (lignes groupées). COMMUNAUTE URBAINE DE DOUALA. B.P. : 43 DOUALA. Akwa-Douala, avril 2006.

Energie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports. Luc Adolphe

Energie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports. Luc Adolphe Energie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports Luc Adolphe RÉDUCTION DES BESOINS ÉNERGÉTIQUES DANS LES TRANSPORTS. Contexte : Densité, Mobilité Réduire

Plus en détail

Le point sur la couverture du risque maladie au Niger

Le point sur la couverture du risque maladie au Niger REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LES ENDEMIES Le point sur la couverture du risque maladie au Niger I PLACE ACTUELLE DE L ASSURANCE MALADIE 1. Recensement des dispositions

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

Le Bas-Rhin, locomotive de la région ALCA*?

Le Bas-Rhin, locomotive de la région ALCA*? Le, locomotive de la région ALCA*? * Alsace, Champagne-Ardenne, Lorraine Sources : Insee Pôle emploi-dares (STMT) Urssaf-Acoss A l échelle de la France métropolitaine, la region ALCA représente : 10,6

Plus en détail

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement

Plus en détail

Lambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011

Lambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011 Aménagement rural et développement durable Dépendance à la voiture en milieu rural : le cas de la Province du Luxembourg Constats, enjeux et pistes de solutions à moyen-long terme via l aménagement du

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités

Plus en détail

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal FICHE SIGNALETIQUE Pays Cœur de Flandre Consultable sur www.sigale.nordpasdecalais.fr Le pays a été reconnu le 9 mars 2004 et le premier contrat a été signé le 15 décembre 2004. Il comporte 45 communes

Plus en détail

URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON?

URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? B.H. Nicot 1 Juin 2005 «Entre 1990 et 1999, le rural en France métropolitaine a connu une croissance démographique de 4,2 % sur la période, tandis que l urbain ne croissait

Plus en détail

LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE

LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE Michel MOUILLART Directeur Scientifique de l Observatoire de l Endettement des Ménages

Plus en détail

Schéma Régional d Organisation des Soins VOLET AMBULATOIRE ANNEXE PHARMACIES DIAGNOSTIC DE L OFFRE AMBULATOIRE

Schéma Régional d Organisation des Soins VOLET AMBULATOIRE ANNEXE PHARMACIES DIAGNOSTIC DE L OFFRE AMBULATOIRE VOLET AMBULATOIRE ANNEXE PHARMACIES DIAGNOSTIC DE L OFFRE AMBULATOIRE SOMMAIRE 1.DIAGNOSTIC REGIONAL DE LA DELIVRANCE DU MEDICAMENT EN AMBULATOIRE... 3 1.1.Les modes d ouverture d une pharmacie... 3 1.2.Le

Plus en détail

ÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région

ÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région ÉDITORIAL Les mutations environnementales, économiques et sociales n ont de cesse et depuis quelques années nous ressentons que cette vitesse d évolution tend à devenir exponentielle Que sera demain? Cette

Plus en détail

L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail

L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail Thème : Transport durable Orientation : Faire évoluer les pratiques de mobilité L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail par aire urbaine et département hors aires urbaines La part

Plus en détail

Aide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées

Aide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées Pôle Culture, Sport, Santé, Associations Secteur Santé Aide à l installation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires en zones médicalement sous équipées Nom du demandeur: Intitulé du projet : Contact

Plus en détail

Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude

Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau

Plus en détail

pas de santé sans ressources humaines

pas de santé sans ressources humaines Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième

Plus en détail

Vision de la planification «TOD Bois-Franc» Direction de l aménagement urbain et des services aux entreprises

Vision de la planification «TOD Bois-Franc» Direction de l aménagement urbain et des services aux entreprises Vision de la planification «TOD Bois-Franc» Direction de l aménagement urbain et des services aux entreprises S O M M A I R E La gare de train Bois-Franc deviendra la troisième station intermodale (métro/gare)

Plus en détail

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005 Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme

Plus en détail

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière?

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière? L autopartage en trace directe : quelle alternative à la particulière? Résultats de la première enquête sur l impact d un service d autopartage en trace directe (le cas d Autolib ) Cette étude réalisée

Plus en détail

les évolutions récentes

les évolutions récentes DE L ADEUS les évolutions récentes dans le BAS-RHIN : des territoires plus spécialisés et plus interdépendants 92 DéCEMBRE 2012 TRANSVERSAL Illustration : ADEUS, 2012 Depuis le milieu des années 1970,

Plus en détail

Présentation des projets de plans directeurs sectoriels

Présentation des projets de plans directeurs sectoriels Présentation des projets de plans directeurs sectoriels Le plan sectoriel logement PSL Sommaire Considérations générales Le PSL, ses éléments réglementaires et la mise en conformité des PAG 3 Considérations

Plus en détail

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d

Plus en détail

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social Nations Unies ECE/CECI/2015/4 Conseil économique et social Distr. générale 30 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de la coopération et de l intégration économiques

Plus en détail

Transports sanitaires

Transports sanitaires Observatoire régional de la santé des Pays de la Loire Juillet 2015 www.santepaysdelaloire.com La santé observée dans les Pays de la Loire Transports sanitaires L'essentiel En 2014, 5,6 millions de patients

Plus en détail

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France

Plus en détail

Accès des populations rurales au capital en Agroland

Accès des populations rurales au capital en Agroland PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour

Plus en détail

Notes méthodologiques

Notes méthodologiques Notes méthodologiques SUPERFICIE Service Public Fédéral Economie, PME, Classes moyennes et Energie, Direction générale Statistique et Information économique (SPF Economie / DGSIE), Statistiques Utilisation

Plus en détail

Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives

Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Présentation à la Commission des affaires sociales Ordre des pharmaciens du Québec 28 mai 2002

Plus en détail

Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme

Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Déposé à la Commission de l aménagement du territoire de l Assemblée nationale du Québec Dans le cadre

Plus en détail

Agence Régionale des Territoires d'auvergne. Gérard Lombardi Marketing Territorial Relations entreprises Emploi

Agence Régionale des Territoires d'auvergne. Gérard Lombardi Marketing Territorial Relations entreprises Emploi Agence Régionale des Territoires d'auvergne Gérard Lombardi Marketing Territorial Relations entreprises Emploi En quelques mots L'Auverg ne L'Agence des Territoires d'auvergne L'accueil de nouvelles populations

Plus en détail

Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne

Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Termes de référence pour le recrutement de quatre (4) consultants dans le cadre du Projet «Modules d initiation à la statistique à l attention

Plus en détail

ANNEXE 1 LA BASE DE DONNEES 1

ANNEXE 1 LA BASE DE DONNEES 1 ANNEXE 1 LA BASE DE DONNEES 1 La publication du CECEI-Banque de France 2 à partir du FIB, recense pour les deux régions 7 265 guichets permanents contre 6 657 agences pour la base du laboratoire C.R.E.T.E.I.L

Plus en détail

travail MRC Vaudreuil-Soulanges Recensement 2006 Présenté par Hubert Létourneau Le 28 janvier 2009

travail MRC Vaudreuil-Soulanges Recensement 2006 Présenté par Hubert Létourneau Le 28 janvier 2009 Lemarché du travail MRC Vaudreuil-Soulanges Recensement 2006 Présenté par Hubert Létourneau Le 28 janvier 2009 600, boul. Casavant Est, Saint-Hyacinthe (Québec) J2S 7T2 450 773-7463 Plan de la présentation

Plus en détail

L ARTISANAT EN REGION CENTRE

L ARTISANAT EN REGION CENTRE L ARTISANAT EN REGION CENTRE 1 842 communes 2 457 516 habitants (est. 1.1.2) 32 813 entreprises artisanales employant 9 113 salariés (eff. moyen : 2,7) Dreux Nogent le Rotrou CHARTRES Châteaudun Pithiviers

Plus en détail

Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise.

Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise. Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise. La zone de chalandise : une zone géographique de captation La zone de chalandise, ou zone d attraction, est le territoire géographique dans

Plus en détail

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement

Plus en détail

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres

Plus en détail

Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues

Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.

Plus en détail

Couverture Maladie Universelle au Sénégal : Etat de mise en oeuvre et perspectives

Couverture Maladie Universelle au Sénégal : Etat de mise en oeuvre et perspectives République du Sénégal Un Peuple- Un But- Une Foi Ministère de la Santé et de l Action Sociale Couverture Maladie Universelle au Sénégal : Etat de mise en oeuvre et perspectives Symposium sur la Protection

Plus en détail

Enquête industrie Agroalimentaire

Enquête industrie Agroalimentaire [Texte] Enquête industrie Agroalimentaire La CCI de la Vendée a mené, courant 2013, une enquête auprès des entreprises industrielles vendéennes afin d analyser la structuration et l organisation de ces

Plus en détail

Enquête globale transport

Enquête globale transport Enquête globale transport N 15 Janvier 2013 La mobilité en Île-de-France Modes La voiture L EGT 2010 marque une rupture de tendance importante par rapport aux enquêtes précédentes, en ce qui concerne les

Plus en détail

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Plus en détail

Négociations APE sur les services entre l AC et l UE Revue des engagements de l UE dans l APE CARIFOROM 25-29 Avril 2011, Douala, Cameroun

Négociations APE sur les services entre l AC et l UE Revue des engagements de l UE dans l APE CARIFOROM 25-29 Avril 2011, Douala, Cameroun Négociations APE sur les services entre l AC et l UE Revue des engagements de l UE dans l APE CARIFOROM 25-29 Avril 2011, Douala, Cameroun Sékou F. Doumbouya Programme Officer, JEICP s.doumbouya@ileap-jeicp.org

Plus en détail

Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations»

Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Point d étape de la négociation PPCR 10 Mars 2015 Discours d ouverture de Marylise LEBRANCHU Mesdames et Messieurs, Nous

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE

IMMOBILIER D ENTREPRISE La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber

Plus en détail

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services 1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de

Plus en détail

Bellevue - Chantenay - Sainte-Anne

Bellevue - Chantenay - Sainte-Anne Mendès France Croix Bonneau - Bourderies auriers Mairie de Chantenay Plessis Cellier - Roche Maurice Boucardière - MallèveJean Macé Salorges - Cheviré - zone portuaire E QUARTIER Sainte- Anne, contrasté,

Plus en détail

Avec près des deux tiers des

Avec près des deux tiers des Les Dossiers de l Observatoire Régional du Tourisme n 42 - mars 2012 Le poids économique de l hôtellerie de plein air en Pays de la Loire Plus de 600 campings Un chiffre d affaires annuel de 230 millions

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars

Plus en détail

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un

Plus en détail

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS Ordonnance n o 2010-18 du 7 janvier 2010 portant création d une agence nationale chargée de la sécurité sanitaire de l

Plus en détail

Élections municipales de 2014. Communes de moins de 1000 habitants

Élections municipales de 2014. Communes de moins de 1000 habitants Élections municipales de 2014 Communes de moins de 1000 habitants Introduction présentation générale de la réforme Importantes modifications du code électoral introduites par la loi du 17 mai 2013 et son

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES 4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION

Plus en détail

L'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance. Application à la liaison Grenoble Sisteron

L'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance. Application à la liaison Grenoble Sisteron L'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance Application à la liaison Grenoble Sisteron **** 1 Sommaire Introduction : les facteurs de développement

Plus en détail

58 ème CONGRES DE L UIA Florence, Italie 29 octobre 02 novembre 2014

58 ème CONGRES DE L UIA Florence, Italie 29 octobre 02 novembre 2014 58 ème CONGRES DE L UIA Florence, Italie 29 octobre 02 novembre 2014 COMMISSIONS DROIT DES ASSURANCES/ DROIT MEDICAL Vendredi 31 Octobre 2014 LA TECHNOLOGIE MEDICALE DE POINTE ET SON COUT N GANN Supermann

Plus en détail

COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE

COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE 4 MAI 2004 LA SITUATION DE L EMPLOI ET DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE EN REGION D ILE-DE-FRANCE

Plus en détail

La certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux

La certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux C.E.R.A. Cellule Économique Rhône-Alpes Observatoire Régional du BTP La certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux Edition décembre 2006 INTRODUCTION Les

Plus en détail

Activité n 8.2.5 du PAA 2014

Activité n 8.2.5 du PAA 2014 République du Niger Fraternité Travail Progrès MINISTÈRE DE LA SANTÉ PUBLIQUE Secrétariat Général DIRECTION DES ETUDES ET DE LA PROGRAMMATION DIVISION DES ETUDES, RECHERCHES Termes de références pour la

Plus en détail

Le logement dans tous ses états. Définition : le logement et l'habitat

Le logement dans tous ses états. Définition : le logement et l'habitat Le logement dans tous ses états 17/10/ 2012 Définition : le logement et l'habitat Le logement est un produit : une maison, un appartement, un type 3, un duplex L'habitat est un service : l'espace produit

Plus en détail

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées SYNTHÈSE BP 823-98845 Nouméa Nouvelle-Calédonie (687) 27 54 81 isee@isee.nc www.isee.nc Directeur de la publication Alexandre Gautier Conception et réalisation Département publications Synthèse N 3 Édition

Plus en détail

Note Conflagration. Janvier 2010

Note Conflagration. Janvier 2010 Janvier 2010 Note Conflagration De nombreux sinistres de caractère événementiel dans le monde mettent en jeu plusieurs risques en Dommages, sans qu il s agisse d évènements naturels. On parle en général

Plus en détail

Charte d exploitation et de demande d accès aux Géoservices. Plateforme Territoriale GUYANE SIG

Charte d exploitation et de demande d accès aux Géoservices. Plateforme Territoriale GUYANE SIG Charte d exploitation et de demande d accès aux Géoservices Plateforme Territoriale GUYANE SIG 25/02/2014 SOMMAIRE 1. LEXIQUE... 3 2. DEFINITION... 3 3. DOMAINE D APPLICATION... 3 A. Objet... 3 B. Bénéficiaires...

Plus en détail

L achat de médicaments sur Internet

L achat de médicaments sur Internet L achat médicaments sur Intern Adéï ZULFIKARPASIC Directrice Détement Opinion Institutionnel 01 55 33 21 41 06 17 45 78 98 ai.zulfikaric@lh2.fr Vanessa GALISSI Directrice d étus Détement Opinion Institutionnel

Plus en détail

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation Guide sur les mutuelles de formation Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION AVRIL 2008 Dans le cadre d une entente de délégation prévue par la Loi sur le ministère de l Emploi et de la Solidarité

Plus en détail

SÉMINAIRE PRODUCTIF 18, 19 AVRIL 2013

SÉMINAIRE PRODUCTIF 18, 19 AVRIL 2013 SÉMINAIRE PRODUCTIF 18, 19 AVRIL 2013 Cergy-Pontoise REPLAY* D UN ENTRE DEUX À UN TERRITOIRE DU GRAND PARIS : LA PLAINE DE PIERRELAYE BESSANCOURT * Innover, comprendre, inventer, renouveler, régénérer,

Plus en détail

BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX

BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX 1 - Des communes inégalement desservies en terme d équipements 2 - Des pôles majeurs d attraction en terme d équipements 3 -

Plus en détail

Evaluation générale de la qualité des données par âge et sexe

Evaluation générale de la qualité des données par âge et sexe Analyse démographique pour la prise des décisions. Tendances, et inégalités de mortalité et de fécondité en Afrique francophone : les outils en ligne de l UNFPA / UIESP pour l'estimation démographique.

Plus en détail

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève *** Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention

Plus en détail

Offre et recours aux soins de premiers recours sur le Pays Sud Charente

Offre et recours aux soins de premiers recours sur le Pays Sud Charente Offre et recours aux soins de premiers recours sur le Pays Sud Charente Cette étude a été réalisée en collaboration entre les services de l Agence Régionale de Santé (ARS), Mme Anne ROUSSEL, statisticienne

Plus en détail

Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali.

Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali. Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali. Initiative conjointe CEDLAS - DNACPN Février 2011 1 Résumé... 3 Description de l étude... 3

Plus en détail

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union

Plus en détail

Forum des investisseurs privés

Forum des investisseurs privés Forum des investisseurs privés Panel : Investir dans l Immobilier au Sénégal Groupe Consultatif 25 février 2014 Chambre de Commerce et d'industrie de région Paris Ile-de-France 27, avenue de Friedland

Plus en détail

POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?

POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin

Plus en détail

N O R D - P A S D E C A L A I S

N O R D - P A S D E C A L A I S NORD-PAS DE CALAIS NORD-PAS DE CALAIS Ensemble pour une éco-rénovation responsable de notre habitat Avant-propos Dans une région où le poids du parc de logements anciens publics et privés prédomine, l

Plus en détail

Coup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés

Coup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés Coup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés BIM n - 19 février 2008 Ce BIM est réalisé en partenariat avec le Portail francophone de la microfinance : www.lamicrofinance.org.

Plus en détail

Lutte contre l étalement urbain

Lutte contre l étalement urbain Lutte contre l étalement urbain L étalement urbain et la consommation d espace résultent de plusieurs causes cumulatives. Ces phénomènes s expliquent notamment par l insuffisance et l inadaptation de l

Plus en détail

La région Nord-Pas-de-Calais

La région Nord-Pas-de-Calais La région Nord-Pas-de-Calais A Quelle est l identité de ma région? Quelles sont ses activités? 1 La région Nord-Pas-de-Calais en France 1 2 Les chiffres-clés de la région Nord-Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais

Plus en détail

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire

Plus en détail

La modélisation des déplacements : Qu est ce qu un modèle, pour qui et pourquoi?

La modélisation des déplacements : Qu est ce qu un modèle, pour qui et pourquoi? Les Modèles multimodaux des déplacements : enjeux, outils et expériences territoriales 13 février 2014, COTITA, CEREMA, Direction Territoriale Méditerranée La modélisation des déplacements : Qu est ce

Plus en détail

T andis que le flux de travailleurs frontaliers de la

T andis que le flux de travailleurs frontaliers de la T andis que le flux de travailleurs frontaliers de la Belgique vers la France s est stabilisé depuis une dizaine d années aux environs de 5 500, le flux inverse ne cesse de progresser depuis 1987, en particulier

Plus en détail

Seule adresse Le Service Information et Etudes Economiques de la CCD

Seule adresse Le Service Information et Etudes Economiques de la CCD une Seule adresse Le Service Information et Etudes Economiques de la CCD BP 84 - Tél : 21 35 10 70 Fax : 21 35 00 96 - E-mail : ccd@intnet.dj - d'une opportunité à saisir, - d un partenariat à nouer, -

Plus en détail

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA

Plus en détail

Brou-sur-Chantereine Elaboration du PLU Compte-rendu de la réunion publique de présentation du diagnostic 20 janvier 2011 1

Brou-sur-Chantereine Elaboration du PLU Compte-rendu de la réunion publique de présentation du diagnostic 20 janvier 2011 1 1. Avant-propos de Monsieur Bréhaux (adjoint au maire en charge de l urbanisme) : L importance du P.L.U. en tant qu outil législatif permettant une maîtrise de l urbanisme de la commune est rappelée aux

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020

LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020 LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie

Plus en détail

Evaluer l ampleur des économies d agglomération

Evaluer l ampleur des économies d agglomération Pierre-Philippe Combes GREQAM - Université d Aix-Marseille Ecole d Economie de Paris CEPR Janvier 2008 Supports de la présentation Combes, P.-P., T. Mayer et J.-T. Thisse, 2006, chap. 11. Economie Géographique,

Plus en détail

Atelier énergies. Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique

Atelier énergies. Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique CONGRÈS DES ECO-TECHNOLOGIES POUR LE FUTUR 2012 Atelier énergies Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique 14 juin 2012 Lille

Plus en détail

REPUBLIQUE DU CAMEROUN

REPUBLIQUE DU CAMEROUN REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix- Travail - Patrie ------------------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work - Fatherland ------------------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS

Plus en détail

Consultations prébudgétaires 2011-2012

Consultations prébudgétaires 2011-2012 Présenté au Comité permanent des finances de la Chambre des communes 12 août 2011 Sommaire Dans le cadre des consultations prébudgétaires du Comité permanent des finances de la Chambre des communes, le

Plus en détail

La diffusion des résultats statistiques du recensement de la population

La diffusion des résultats statistiques du recensement de la population La diffusion des résultats statistiques du recensement de la population Le cadre juridique La diffusion des résultats statistiques est encadrée par l arrêté du 19 juillet 2007 mis au point en liaison avec

Plus en détail

- Document d analyse - MARS 2012 OBSERVATOIRE DES SERVICES À LA PERSONNE DES CHIFFRES-CLÉS SUR L EMPLOI ET LA FORMATION

- Document d analyse - MARS 2012 OBSERVATOIRE DES SERVICES À LA PERSONNE DES CHIFFRES-CLÉS SUR L EMPLOI ET LA FORMATION - Document d analyse - MARS 2012 OBSERVATOIRE DES SERVICES À LA PERSONNE DES CHIFFRES-CLÉS SUR L EMPLOI ET LA FORMATION PRÉAMBULE Le secteur des services à la personne a connu une croissance très rapide

Plus en détail

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de

Plus en détail

Etude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny

Etude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny Etude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny Phase 2 Perspectives de développement Proposition de stratégie de mise en

Plus en détail