ACTIVITÉS DU PROGRAMME DE PRÉVENTION ET DE CONTRÔLE DES INFECTIONS Période 8 (du 09 octobre au 05 novembre 2011)
|
|
- Madeleine Pageau
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Période 8 ( ) Du 9 octobre au 5 novembre 211
2 Période 8 (du 9 octobre au 5 novembre 211) 2 INDICATEURS SURVEILLANCE PROVINCIALE HÔPITAL PIERRE-BOUCHER DONNÉES BRUTES INFECTIONS Pér 8 Bactériémies à Staphylococcus aureus d origine nosocomiale S. aureus sensible S. aureus résistant (SARM) Bactériémies sur cathéters centraux aux soins intensifs Diarrhée associée au Clostridium difficile d origine nosocomiale Hôpital Pierre-Boucher Province de Québec: 93 hôpitaux/ SURVEILLANCE LOCALE HÔPITAL PIERRE-BOUCHER INFECTIONS NOMBRE Pér 8 Entérocoque résistant à la vancomycine d origine nosocomiale (ERV) Cas isolé 1 Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline d origine nosocomiale (SARM) (surveillance régionale) Nb cultures positives (dépistage et spécimens cliniques) Taux d incidence total par 1 jours-présence Nombre d infections sévères Influenza Origine communautaire Origine nosocomiale 3 3.7
3 Période 8 (du 9 octobre au 5 novembre 211) 3 INCIDENCE DE CAS DE DIARRHÉE ASSOCIÉE À CLOSTRIDIUM DIFFICILE (DACD) D ORIGINE NOSOCOMIALE EN COMPARAISON AVEC LES HÔPITAUX DE LA PROVINCE DE QUÉBEC (13 dernières périodes) Comparaison avec la Province de Québec Hôpital Pierre-Boucher Province de Québec 6,7 7,6 1 1,5 9,7 9,9 9 8,8 8 9,6 7,7 7,2 6,8 6,6 8,7 6,8 6,5 6,9 5 3,8 6,5 4,9 1,2 1, Périodes Périodes SARM D'ORIGINE NOSOCOMIALE - HÔPITAL PIERRE-BOUCHER (13 DERNIÈRES PÉRIODES) ,4 17, ,8 13 1,8 8,1 6,5 5,9 5,3 6,3 3,5 3,7 1 pér 9 pér 1 pér 11 pér 12 pér 13 pér 1 pér 2 pér 3 pér 4 pér 5 pér 6 pér 7 pér 8 taux incidence 1 /jours présence Nombre d'infections sévères
4 Période 8 (du 9 octobre au 5 novembre 211) 4 SURVEILLANCE LOCALE EN CENTRES D HÉBERGEMENT NOMBRE INFECTIONS Pér 8 Entérocoque résistant à la vancomycine d origine nosocomiale (ERV) Cas isolé Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline d origine nosocomiale (SARM) Nombre de cultures positives (dépistage et spécimens cliniques) Nombre d infections sévères Influenza (A et B) Tests positifs Diarrhée associée au Clostridium difficile d origine nosocomiale Gastro-entérite : INFORMATIONS SUR LES ACTIVITÉS DE L ÉQUIPE EN PRÉVENTION ET CONTRÔLE DES INFECTIONS POUR LA PÉRIODE 8 : ÉCLOSION DE DIARRHÉE ASSOCIÉE AU CLOSTRIDIUM DIFFICILE (DACD) À L UNITÉ DU 8 E NORD DE L HÔPITAL PIERRE-BOUCHER: Le 28 octobre dernier une éclosion de DACD à l Hôpital Pierre-Boucher a été déclarée au sein de l unité de gériatrie active du 8 e nord. Au total, 6 cas d origine nosocomiale ont été répertoriés au cours de la période 8. Cette éclosion a débuté avec 2 cas recensés le 12 et le 13 octobre. Par la suite 4 cas supplémentaires ont été documentés du 25 au 31 octobre dernier. Les personnes touchées avaient toutes reçu un traitement antibiotique dans les jours précédant leur épisode de DACD et séjournaient sur l unité de gériatrie active depuis quelques temps déjà. Des mesures supplémentaires de prévention et contrôle des infections ont été instaurées rapidement, notamment : Note interne envoyée à tous les gestionnaires, employés, bénévoles et médecins; Rappel des pratiques de base et des précautions additionnelles sur tous les quarts de travail de l unité; Hygiène des mains pour tous les patients avant les repas; Nettoyage et désinfection de l unité en 3 étapes avec produit chloré et rehaussement des mesures d hygiène et salubrité au quotidien; Rencontres hebdomadaires du comité de gestion d éclosion de DACD;
5 Période 8 (du 9 octobre au 5 novembre 211) 5 Travail en continu entre l équipe d hygiène et salubrité, l équipe de prévention et contrôle des infections et le personnel du 8 e nord; Présence journalière de la conseillère en prévention et contrôle des infections sur l unité; Arrêt des transferts du 8 e nord vers d autres unités; Utilisation de sacs hygiéniques pour tous les usagers nécessitant une bassine de lit ou une chaise d aisance; Trousse de matériel dédié à tous les patients de l unité. Un suivi rigoureux de la situation se fait au quotidien par l équipe de PCI en partenariat avec la coordonnatrice des services internes de gériatrie et des membres du personnel de l unité. CAMPAGNE D HYGIÈNE DES MAINS C est sous le thème «Après c est bien, avant c est NETtement mieux!» que la campagne d hygiène des mains a pris son envol du 17 octobre au 4 novembre dernier. Le personnel des différentes installations, CLSC, centres d hébergement et hôpital, a été visité par l équipe de prévention et contrôle des infections. Les objectifs de la campagne étaient : Sensibiliser le personnel sur le rôle essentiel de l hygiène des mains dans la réduction des infections nosocomiales ; Mettre en premier plan un des 4 moments de l hygiène des mains, c est-à-dire «Avant d entrer en contact avec un usager ou son environnement». L énergie et la conviction des membres de l équipe de prévention et contrôle des infections ont permis de rencontrer plus de 695 employés provenant de différentes catégories d emploi. Une gamme d activités était au programme : Défi de l hygiène des mains à la lampe UV ; Observation des micro-organismes sur les géloses ; Escouade tactique sur les unités de soins et unités de vie ; Kiosque, quiz, affiches, mosaïque de photos d employés. L implication du personnel, des gestionnaires et des médecins dans les différentes activités, a fait en sorte que la campagne 211 a connu un vif succès. Par le fait même, elle a contribué une fois de plus, nous le croyons, au développement d une culture de sécurité dans notre CSSS.
6 Période 8 (du 9 octobre au 5 novembre 211) 6 FORMATION La formation sur les pratiques de base et les précautions additionnelles pour tous les nouveaux employés se poursuit en continu. VOTRE ÉQUIPE DE PRÉVENTION ET CONTRÔLE DES INFECTIONS
7 Période 8 (du 9 octobre au 5 novembre 211) 7
Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailPRÉVENTION ET CONTRÔLE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES. Plan d action 2010-2015 État d avancement des travaux Bilan et faits saillants
PRÉVENTION ET CONTRÔLE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES État d avancement des travaux Bilan et faits saillants Août 2013 Édition : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux
Plus en détailSURVEILLANCE PROVINCIALE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES
SURVEILLANCE PROVINCIALE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES Guide de l utilisateur du système d information pour la surveillance provinciale des infections nosocomiales (SI-SPIN) INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailPROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31
Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :
Plus en détailLa campagne québécoise des soins sécuritaires volet prévention et contrôle des infections
La campagne québécoise des soins sécuritaires volet prévention et contrôle des infections Annie Laberge, CSSS Drummond et INSPQ Lise-Andrée Galarneau, CSSSTR présidente du CINQ Congrès annuel de l OIIQ,
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailINDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE
INDICATEUR 1 INDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE Mesurer la fréquence des accidents de service survenus dans l année. Renseigner sur la sinistralité dans le domaine des accidents de service entrainant
Plus en détailLa stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand
La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections
Plus en détailÉtat de la situation: dépenses en médicaments au Québec, comparaison canadienne et internationale
Journée d étude - Contrôle du coût des médicaments : cible prioritaire pour les finances publiques Union des consommateurs, 21 octobre 2010. État de la situation: dépenses en médicaments au Québec, comparaison
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailAssociation des Victimes d Infections Nosocomiales (ADVIN) Entrevue d Infiressources
1 Association des Victimes d Infections Nosocomiales (ADVIN) Entrevue d Infiressources Claire-Andrée Frenette-Leclerc, inf., Ph.D., Infiressources Jacques Besson, M.D. et Christine Besson, Licence ès Lettres
Plus en détailNote informative. Table des matières SOMMAIRE. Agence d évaluation des technologies et des modes d intervention en santé
VERSION PRÉLIMINAIRE Note informative Agence d évaluation des technologies et des modes d intervention en santé Évaluation du rapport coûts/bénéfices de la prévention et du contrôle des infections nosocomiales
Plus en détailAnalyse documentaire sur les pratiques exemplaires de contrôle des ERV basées sur des données probantes
Analyse documentaire sur les pratiques exemplaires de contrôle des ERV basées sur des données probantes Comité consultatif provincial des maladies infectieuses (CCPMI) Publié en août 2012 Révisé en décembre
Plus en détailRecommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation
Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation
Plus en détailEvaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires
Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,
Plus en détailMESURES DE PRÉVENTION ET DE CONTRÔLE DES INFECTIONS À STAPHYLOCOCCUS AUREUS RÉSISTANT
GUIDE DE PRÉVENTION ET DE CONTRÔLE À L INTENTION DES ÉTABLISSEMENTS DE SOINS MESURES DE PRÉVENTION ET DE CONTRÔLE DES INFECTIONS À STAPHYLOCOCCUS AUREUS RÉSISTANT À LA MÉTHICILLINE (SARM) AU QUÉBEC 2 E
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailBulletin N 47 AU SOMMAIRE BLOC-NOTES ERRATUM. Octobre 2008 - Trimestriel. Bloc-Notes. Erratum. Annuaire web du CCLIN Ouest.
Bulletin N 47 Octobre 2008 - Trimestriel AU SOMMAIRE Bloc-Notes p. 1 Erratum p. 1 C.CLIN Ouest BLOC-NOTES Nouveautés du site http://www.cclinouest.com - Les résultats de la surveillance des Bactéries Muti-Résistantes
Plus en détailPrécautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux
Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Ivana Novakova, Arlin IDF ivana.novakova@sap.aphp.fr arlin.idf@sap.aphp.fr La vie en EHPAD: modèle de tous les paradoxes et
Plus en détailProgramme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012
Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National
Plus en détailLe contexte de la profession en santé dentaire publique...5
Table des matières Introduction...1 Module 1 Le contexte de la profession en santé dentaire publique...5 Chapitre 1..Historique de la profession d hygiéniste dentaire en santé dentaire publique au Québec...7
Plus en détailOCTOBRE ROSE 2014 Activités de proximité et actions de communication
OCTOBRE ROSE 2014 Activités de proximité et actions de communication 1 CONTEXTE Octobre Rose Pour la 21 ème année consécutive, Octobre Rose est le mois de sensibilisation dédié aux cancers féminins et
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailPSDP et usage des pénicillines - ESAC
Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailNOTE INFORMATIVE 06-11
Direction de l évaluation, de la qualité, de l ingénierie de la performance et de la prévention des infections NOTE INFORMATIVE 06-11 LA PRÉVENTION ET LE CONTRÔLE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES : ÉVALUATION
Plus en détailSECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR
SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailCertiAWARE. «La Sensibilisation autrement!»
CertiAWARE «La Sensibilisation autrement!» 1 CertiAWARE «La Sensibilisation autrement!» Une campagne annuelle type? TEMPS FORT FORMATION SUR SITE FORMATIONS EN LIGNE 2 TEMPS FORT CRÉATION D UN TEMPS FORT
Plus en détailLA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012
LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 SOMMAIRE La norme RABC, qu est-ce que c est? Les grandes lignes La blanchisserie et la Fonction linge - incidences sur l application de la méthode Les
Plus en détailPrévalence du portage digestif des entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) dans les établissements de santé de la région Lorraine, juin 2007
Maladies infectieuses Prévalence du portage digestif des entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) dans les établissements de santé de la région Lorraine, juin 2007 MINISTÈRE DE LA SANTÉ, DE LA JEUNESSE,
Plus en détailTarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB)
Tarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB) valable à partir du 1 er janvier 2014 1 Introduction... 2 2 Traitements ambulatoires... 3 2.1 Interventions chirurgicales... 3 2.2 Diagnostics
Plus en détailDanielle D Amour, inf. Ph.D. IUFRS 24 février 2011
+ Miser sur le renouvellement de l organisation des services infirmiers pour améliorer la qualité et la sécurité des soins Danielle D Amour, inf. Ph.D. IUFRS 24 février 2011 + Membres de l équipe Carl-Ardy
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailR E G U L A T I O N & S E N S I B I L I S A T I O N : L A C O N F O R M I T E EN 3 ETAPES
R E G U L A T I O N & S E N S I B I L I S A T I O N : L A C O N F O R M I T E EN 3 ETAPES A PROPOS DE NOUS Conscio Technologies développe des solutions complètes de formation et de communication afin de
Plus en détailprocessus cliniques et administratifs en santé
Centre de santé et de services sociaux Du Nord de Lanaudière Les principes de la pensée LEAN appliqués s aux processus cliniques et administratifs en santé Marcelle Lajoie Directrice des programmes multiclientèles
Plus en détailSONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014
1 SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 Document d information Le 2 décembre 2014. Le Sondage national des médecins est un important projet de recherche continu qui permet de recueillir les opinions de médecins,
Plus en détailRAPPORT ANNUEL DE GESTION
RAPPORT ANNUEL DE GESTION 2013-2014 12 juin 2014 Ensemble, pour la santé et le mieux-être au cœur de notre communauté 2 TABLE DES MATIÈRES Message des autorités... 6 Mot de la présidente et du directeur
Plus en détailFORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE NON REMBOURSABLE POUR PETITS PROJETS LOCAUX. Libreville - GABON. Tel. : (241) 73-22-97/ Fax : (241) 73-60-60
FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE NON REMBOURSABLE POUR PETITS PROJETS LOCAUX FORMULAIRE DE DEMANDE AMBASSADE D AIDE NON DU REMBOURSABLE JAPON POUR PETITS PROJETS B.P. 2259 LOCAUX Libreville - GABON AMBASSADE
Plus en détailAssurance de soins de longue durée
Assurance de soins de longue durée Feuille de renseignements à l intention du conseiller ne pas remettre au demandeur Ce que vous devez faire avant de remettre un formulaire de demande de règlement au
Plus en détailH A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.
H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place
Plus en détailLE TRAVAIL EN DYADE: UN ART QUI S APPRIVOISE!
LE TRAVAIL EN DYADE: UN ART QUI S APPRIVOISE! Présentation au XVII e Colloque des CII-CIR Montréal, le 2 Mai 2012 Josée F. Breton, Inf., B. Sc., MBA, conseillère en organisation des soins et du travail
Plus en détailCONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin
CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité
Plus en détailGUIDE DE DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL EN SOINS INFIRMIERS. pour les centres d hébergement. Décembre 2007 Direction des soins infirmiers
GUIDE DE DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL EN SOINS INFIRMIERS pour les centres d hébergement Décembre 2007 Direction des soins infirmiers CE GUIDE A ÉTÉ PRODUIT PAR L ÉQUIPE DE LA DIRECTION DES SOINS INFIRMIERS
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailLa Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE
La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE David Pronier Country Manager Europe du Sud Motion Computing Pascal Detemmerman CEO SwissEnov Sommaire La Mobilité
Plus en détail- SOCIETE immatriculée au RCS de.. sous le numéro... dont le siège social est situé. N Siret :. Représentée par M... en qualité de...
CONVENTION DE STAGE «A LA DECOUVERTE D UNE PROFESSION» pour personne mineure La présente convention est exclusivement réservée aux entreprises immatriculées au Registre du Commerce et des Sociétés de la
Plus en détailCOLLABORATEURS CLINIQUES
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE QUÉBEC CONCEPTION Véronique Roberge, Infirmière clinicienne COLLABORATEURS CLINIQUES Céline Bergeron, Infirmière clinicienne spécialisée Sylvie Côté, Assistante infirmière
Plus en détailN o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible
Plan qualité 2015-2016 pour Soins continus Bruyère Objectifs et initiatives d amélioration BUT Mesure Changement Initiatives prévues Dimension de la qualité Objectif Mesure/indicateur Unité/population
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailLignes directrices pour une compétence continue chez les hygiénistes dentaires de l Ontario
Lignes directrices pour une compétence continue chez les hygiénistes dentaires de l Ontario Section F Tenue d un portfolio professionnel Toutes les hygiénistes dentaires en Ontario doivent maintenir un
Plus en détailL ÉTAT QUÉBÉCOIS STRUCTURE ET TAILLE DE L ÉTAT LA DETTE. L'Observatoire de l administration publique - ENAP Été 2008
L ÉTAT QUÉBÉCOIS EN P E R S P E C T I V E STRUCTURE ET TAILLE DE L ÉTAT LA DETTE L'Observatoire de l administration publique - ENAP Été 2008 Aucun élément du contenu du présent document ne peut être utilisé,
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailMessage du président du conseil d administration et du directeur général p. 3 Déclaration de fiabilité des données p. 5 Rapport de la direction p.
Rapport annuel de gestion 2013-2014 Table de matières Message du président du conseil d administration et du directeur général p. 3 Déclaration de fiabilité des données p. 5 Rapport de la direction p.
Plus en détailLuce Landry, DESS sc. infirmières, UQAR. Résumé
Le groupe de codéveloppement professionnel : une stratégie d amélioration de l aptitude à gérer des situations complexes pour les infirmières qui pratiquent en prévention et contrôle des infections au
Plus en détailLe Psoriasis Qui est touché?
LE PSORIASIS 1 Le Psoriasis Qui est touché? De 2 à 5 % de la population française soit2 à 3 millionsde personnes en France Deux "pics" de survenue : à l'adolescence et vers la soixantaine Parfois sur des
Plus en détailDAKAR. arrivée à Dakar hébergement sorties culturelles (Julie-Mélissa Picard) KAOLACK repas (à vos frais) repos, hydratation, salle de bain, $
AVANT LE DÉPART passeport billet d avion visa assurances liste des bagages personnels liste des bagages sac à dos valise de médicaments et matériel liste maitre pour médicaments à apporter gestion des
Plus en détailE8 - Faire l exercice d entraînement : Surveillance des infections nosocomiales en maternité : Produire les résultats avec des programmes
E8 - Faire l exercice d entraînement : Surveillance des infections nosocomiales en maternité : Produire les résultats avec des programmes Temps estimé nécessaire à l entraînement 1 H 30 Objectifs à consolider
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailFORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE
FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la
Plus en détailComment devenir référent? Comment le rester?
Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use
Plus en détailÀ QUOI SERVENT VOS DONS
La Fondation Farha est le chef de file québécois en collecte de fonds pour venir en aide aux hommes, femmes et enfants qui vivent avec le VIH/SIDA. Fondée en 1992, la Fondation Farha se consacre à l amélioration
Plus en détailVotre bébé a besoin de soins spéciaux
Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il
Plus en détailRapport d hygiène pour le département du service d ambulance
Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Dans le cadre des exigences de qualité posées, l on aimerait savoir dans quelle mesure le nettoyage et la désinfection des ambulances suffisent
Plus en détailLes groupes de médecine familiale (GMF) Sondage Omniweb. Dossier 70902-019 21 septembre 2012
Les groupes de médecine familiale (GMF) Sondage Omniweb Dossier 70902-019 21 septembre 2012 La méthodologie 6 Le profil des répondants 9 L analyse détaillée des résultats 10 Conclusions stratégiques
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailL expérience patient : lorsque le rationnel rencontre l émotion Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska
Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska Écrit par Jocelyn Théoret, directeur en gestion de l expérience client, Groupe-conseil en stratégie et performance de Raymond Chabot Grant Thornton, en collaboration avec
Plus en détailMUT @ctu.net La lettre d information électronique de la Mutualité Française Aquitaine
MUT @ctu.net La lettre d information électronique de la Mutualité Française Aquitaine N 13 : 30 mars 2011 Priorité Santé Mutualiste : un kit de communication pour permettre aux mutuelles de promouvoir
Plus en détailQualité des soins Campagne de sensibilisation
Qualité des soins Campagne de sensibilisation INAMI Service des Soins de Santé Direction Recherche, développement et promotion de la qualité Dr Carl Cauwenbergh et Isabelle Collin Carl.cauwenbergh@inami.fgov.be
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailDÉCHETS (Volume) - Suivi journalier SEMAINE 1
DÉCHETS (Volume) - Suivi journalier SEMAINE 1 Complétez le premier tableau en notant le jour de collecte, ainsi que le nombre de sacs ou des sortis. A la fin de la semaine, faites le total pour chaque
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailInfections nosocomiales
Infections nosocomiales NOUVELLES RECOMMANDATIONS 2001-2002 NORD-AMÉRICAINES CONCERNANT LA PRÉVENTION DES INFECTIONS SUR CATHÉTER Aux États-Unis, environ 145 millions de cathéters périphériques et 5 millions
Plus en détailRESTAURANTS SCOLAIRES COMMUNAUX RESTAURANT DU CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT «RÉGLEMENTATION RELATIVE AU FONCTIONNEMENT»
Page 1 ANNEE SCOLAIRE 2014/2015 RESTAURANTS SCOLAIRES COMMUNAUX RESTAURANT DU CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT «RÉGLEMENTATION RELATIVE AU FONCTIONNEMENT» Le Maire de la Commune de Labouheyre, Vu l article
Plus en détailCollection Avis et Rapports
Maîtrise de la diffusion des bactéries multirésistantes aux antibiotiques importées en France par des patients rapatriés ou ayant des antécédents d hospitalisation à l étranger Collection Avis et Rapports
Plus en détailRapport annuel de gestion 2013-2014. Adopté au conseil d administration le 10 juin 2014
Rapport annuel de gestion 2013-2014 Adopté au conseil d administration le 10 juin 2014 Ce document est produit par la Direction générale du Centre de santé et de services sociaux de Maskinongé Rédaction
Plus en détailLa Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation
La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation Céline Michel, pharmacien hospitalier clinicien Charline Artoisenet, pharmacien hospitalier clinicien Université Catholique de Louvain, Cliniques
Plus en détailFICHES D INFORMATION Agence de la santé et des services sociaux de Montréal Août 2011
FICHES D INFORMATION Agence de la santé et des services sociaux de Montréal Août 2011 Agence de la santé et des services sociaux de Montréal 3725, rue Saint-Denis Montréal (Québec) H2X 3L9 514 286-6500
Plus en détailGlossaire. de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner. Frais d accompagnement. CMU Tiers payant ...
Glossaire de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner Frais d accompagnement CMU Tiers payant... «Bien comprendre et bien choisir votre complémentaire» A...P.3 B...P.4 C...P.4 D...P.7
Plus en détailRelier l apprentissage à la pratique Comment faire un exercice de réflexion sur la pratique pour obtenir des crédits MAINPRO-C
Lien à la version électronique de le formulaire l Apprentissage à la Pratique : https://www.formrouter.net/forms@cfpc/mainpro_linking_learning_practice_fr.html Relier l apprentissage à la pratique Comment
Plus en détailDRC-IHP: Plans de communication, positionnement et de marquage LA PLANIFICATION FAMILIALE DANS LE PMA. Par Dr Colette LOSSO. PF Advisor PROSANI
DRC-IHP: Plans de communication, positionnement et de marquage LA PLANIFICATION FAMILIALE DANS LE PMA Par Dr Colette LOSSO PF Advisor PROSANI 1 PLAN DE LA PRESENTATION 1. LE PROJET PROSANI ET LES DOMAINES
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailLes médicaments génériques
ASSURANCE COLLECTIVE Les médicaments génériques Leurs effets bénéfiques sur votre portefeuille Qu est-ce qu un médicament générique? Un médicament générique est l équivalent d une marque maison dans le
Plus en détailDECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI)
DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI) Arrêté du 5 juillet 2012 portant fixation du document type de la déclaration publique d'intérêts mentionnée à l'article L. 1451-1 du code de la santé publique Je soussigné(e)
Plus en détailMémoire présenté. Comité de l Assemblée législative pour un régime d assurance automobile public abordable, équitable et accessible
Mémoire présenté au Comité de l Assemblée législative pour un régime d assurance automobile public abordable, équitable et accessible par la Société des enseignantes et des enseignants retraités francophones
Plus en détailL impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU
L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailMise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier
Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service
Plus en détailModule 1. Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé
Module 1 Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé Partie 3 - Assurance Maladie Invalidité les indemnités. Plan A- INCAPACITÉ PRIMAIRE(1)(2) B- INVALIDITÉ (1)(2) (3)Principes
Plus en détailBILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY
Gestion d une épidémie de Klebsiella pneumoniae (Kpn) productrice de carbapénèmase OXA 48 dans un service de Maladies nfectieuses et Tropicales francilien. C. BLLON, C. BURNAT, S.DELLON C. FORTAT, M. PALOMNO
Plus en détailJASP 2010 Québec 24 novembre 2010
Direction de santé publique L'éthique pour guider la réflexion et influencer l'élaboration des politiques publiques favorables à la santé: le cas des logements insalubres à Montréal JASP 2010 Québec 24
Plus en détailnombre vendu par mois ( Pôle Hosting ) Total Prix CA
previsions_financieres.031.sxc previsions financieres 16/09/2004 14:29:48 1/19 Trimestre 1 Trimestre 2 Trimestre 3 Trimestre 4 Hosting nombre vendu par mois ( Pôle Hosting ) Total Prix Bénévole 20 2 2
Plus en détailPOINTS DE VUE DES CANADIENS SUR LA COUVERTURE DES MÉDICAMENTS D ORDONNANCE
www.ekos.com POINTS DE VUE DES CANADIENS SUR LA COUVERTURE DES MÉDICAMENTS D ORDONNANCE [Ottawa 22 mai 2013] Selon un nouveau sondage commandé par la Coalition canadienne de la santé (CCS) et la Fédération
Plus en détailCoordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme
Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances
Plus en détail