Décisions Cellulaires: Moelle épinière et Diversification des identités neuronales
|
|
- Jean-Jacques Laurent
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Décisions Cellulaires: Moelle épinière et Diversification des identités neuronales Françoise Helmbacher
2 Plan du cours Partie I Neurogénèse dans la moelle épinière Patterning Dorso-ventral de la neurogénèse Programme de spécification de l identité Motoneurones Partie II Diversification des Motoneurones Specification des colonnes de MNs Distinction de sous-classes Contrôle transcriptionnel des trajectoires axonales
3 Développement des Motoneurones: Induction & Diversification Induction neurale Diversification des types neuronaux dans la moelle épinière Diversification des motoneurones
4 Plan du cours Partie I Neurogénèse dans la moelle épinière Patterning Dorso-ventral de la neurogénèse Programme de spécification de l identité Motoneurones Partie II Diversification des Motoneurones Specification des colonnes de MNs Distinction de sous-classes Contrôle transcriptionnel des trajectoires axonales
5 Développement du système nerveux: diencéphale mesencéphale A télencéphale n.iii n.iv Ébauche du cervelet rhombencéphale g.v. trijumeau g.vii VO n.xi C1 g.viii C2 n.v n.vii C3 n.ix n.x n.xii C4 P Plexus brachial Innervation du membre antérieur V D Système nerveux d un embryon de souris de E13.5
6 Développement du système nerveux: formation du tube neural (neurulation) a: Plaque neurale (neural plate) b: goutière neurale (neural fold) c: tube neural
7 Neurogénèse Ex: moelle épinière et différenciation neuronale Renouvellement des précurseurs: divisions symétriques Neurogénèse: divisions asymétriques (neurones = cellules post-mitotiques)
8 régionalisation Dorso-Ventrale de la moelle épinière : Actions opposées de deux morphogènes: Shh et BMP BMPs Shh
9 régionalisation de la moelle épinière ventrale par le morphogene Sonic Hedgehog (Shh) Shh (ARN) Shh (protéine) Shh produit par la notochorde + plaque du plancher (Floor plate) Des concentrations différentes de Shh induisent des réponses cellulaires distinctes Mise en place de domaines de progéniteurs distincts
10 Développement du système nerveux: régionalisation de la moelle épinière ventrale Domaines de progéniteurs ventraux Types de neurones ventraux
11 régionalisation de la moelle épinière ventrale par le morphogene Sonic Hedgehog (Shh) Expansion ventrale de Pax7 (type I-dorsal) Déplacement ventral des neurones V0 (Pax7 + En1) Perte de Nkx2.2 et HNF3β (typeii- ventraux) Absence de production de Motoneurones (islet-1, Lhx3) (neurones ventraux)
12 régionalisation de la moelle épinière ventrale par le morphogene Sonic Hedgehog (Shh)
13 Cross-régulations négatives entre facteurs de transcription Exemple de la frontière Nkx6-Dbx2 Vallstedt et al. 2001
14 Cross-régulations négatives entre facteurs de transcription Situation normale Nkx6.1 -/- Nkx6 -/- Cross-répression de Dbx2 et Nkx6 Influence indirecte sur l identité des neurones produits
15 Signalisation par le morphogene Sonic Hedgehog (Shh) En absence de Shh En présence de Shh
16 Signalisation par le morphogene Sonic Hedgehog (Shh) Drosophile Vertébrés Ci: Cubitus interruptus Ci rep Ci act Gli (Gli1, Gli2, Gli3) Gli R Gli A
17 Signalisation par le morphogene Sonic Hedgehog (Shh) En absence de Shh En présence de Shh Chez la Drosophile Therond & Briscoe, 2005
18 Signalisation par le morphogene Sonic Hedgehog (Shh) En absence de Shh En présence de Shh
19 Mode d action du gradient de Sonic Hedgehog Modele 1: nombre et affinité des sites de liaison Gli
20 Mode d action du gradient de Sonic Hedgehog Modele 2: Gli agit en combinaison avec des répresseurs/activateurs supplt.
21 Mode d action du gradient de Sonic Hedgehog Modele 3: mecanismes de type «Feed-Forward ou Feed-back» Boucle «Feed-Forward» Positive «Feedback»
22 régionalisation de la moelle épinière ventrale par le morphogene Sonic Hedgehog (Shh)
23 Mécanismes de correction des erreurs
24 Développement du système nerveux: régionalisation de la moelle épinière ventrale Domaines de progéniteurs ventraux Types de neurones ventraux
25 Specification des Motoneurones
26 Specification des Motoneurones Chx10 Hb9 Complexe NLI +/- Islet1: Choix dichotomique MN vs V2
27 Specification des Motoneurones Hb9 Chx10
28 Specification des Motoneurones Couplage Neurogénèse et spécification identité MN
29 Specification des Motoneurones Cross-répressions: répression des gènes MN dans les V2 répressions des gènes V2 dans les MNs
30 Specification des Motoneurones Cross-répressions: répression des gènes MN dans les V2 répressions des gènes V2 dans les MNs HB9 et LMO4: Consolidation de l identité MN
31 Plan du cours Partie I Neurogénèse dans la moelle épinière Patterning Dorso-ventral de la neurogénèse Programme de spécification de l identité Motoneurones Partie II Diversification des Motoneurones Specification des colonnes de MNs Distinction de sous-classes Contrôle transcriptionnel des trajectoires axonales
32 Diversification des motoneurones Sous-types de MNs: Distribution géographique Kanning, Kaplan & Henderson, 2010
33 Diversification des motoneurones MMC Medial motor column Muscles axiaux (dos) LMC lateral motor columns Muscles des membres Target muscles Muscles axiaux (intercostaux) Moelle épinière
34 Expériences de traçages rétrogrades Injection de colorants vitaux: DiI, HRP, autres
35 Cartographie des pools de MNs par traçages rétrogrades Marquages rétrogrades de deux pools de motoneurones dans des embryons sauvages ou suite à une greffe homotopique Sartorius femorotibialis Matise and Lance-Jones 1996
36 Cartographie des pools de MNs par traçages rétrogrades
37 Expression de combinaisons de facteurs de transcription Chaque pool de motoneurones est aussi reconnaissable par les genes (combinaisons de gènes) qu il exprime
38 Expression de combinaisons de facteurs de transcription MMC Medial motor column Muscles axiaux (dos) LMC lateral motor columns Muscles des membres Target muscles Muscles axiaux (intercostaux) Moelle épinière
39 Action combinatoire/séquentielle de facteurs de transcription
40 Action combinatoire/séquentielle de facteurs de transcription
41 Action combinatoire/séquentielle de facteurs de transcription
42 Patterning de la moelle épinière le long des axes DV et AP
43 Signaux de l environnement: acquisition de l identité AP Embryon de poulet Stade 15 Raldh2: rétinaldéhyde deshydrogénase 2 Enzyme de sythèse de l acide rétinoique
44 Signaux de l environnement: acquisition de l identité AP Gènes Hox: facteurs de transcription à homéodomaine Expression précoce dans les précurseurs
45 Codes HOX et colonnes de motoneurones Dasen et al., 2008
46 FoxP1: un cofacteur des Hox? Dasen et al., 2008
47 FoxP1: low-foxp1 spécifie les neurones préganglionnaires Dasen et al., 2008
48 FoxP1: high-foxp1 spécifie les LMC (innervation des membres) Dasen et al., 2008
49 Action combinatoire/séquentielle de facteurs de transcription
50 Définition séquentielle des divisions des LMCs E10.5 E11.5 E12.5 E15.5 Early born Isl1 + Produce RA late born RA -> Lim1 Lim1 -- Isl1 Seggregation LMC(m)/LMC(l) Colonnes distinces LMC(m) isl1 + -RALDH2 + RA New born LMC isl1 + LMC(l) Lim1+ Sockanathan & Jessell, 1998
51 Contrôle Transcriptionnel des trajectoires des axones moteurs? Spécification des trajectoires axonales par les FT Lim1 et Islet1 Generation des LMC(l) Isl1 RA Lim1 Lim1 isl1 Spécification des trajectoires axonales Dorsal LMC(m) LMC(l) Ventral Isl1 Lim1 Lim1 Dorsal Kania et al., 2003
52 Technique d electroporation du tube neural d embryons de Poulet - ADN + Injection ADN electroporation 2 jours D incubation
53 Contrôle Transcriptionnel des trajectoires des axones moteurs? Technique d electroporation du tube neural d embryons de Poulet Kania et al., 2003
54 Contrôle Transcriptionnel des trajectoires des axones moteurs? Exemple des Facteurs de transcription Lim1 et Islet 1 Kania et al., 2003 Lim1 est suffisant pour l innervation dorsale des LMCl Islet1 pour l innervation ventrale
55 Contrôle Transcriptionnel des trajectoires des axones moteurs? Exemple du Facteur de Transcription Lim1 et de l innervation dorsale Lim1 TauLacZ Anti-NF Lim1 tau-lacz : trace LMC(l) axons Kania et al., 2000 Lim1 est nécessaire pour l innervation dorsale des LMCl
56 Contrôle Transcriptionnel des trajectoires des axones moteurs? la vue d ensemble epaxial hypaxial Non-appendicular migratory muscles PEA3? Dorsal limb muscles LMC(l) Lim1 Dorsal EphA4-ephrinAs (Helmbacher 2000, Kania 2003, Eberhardt 2004) Ret-GDNF (Kramer 2006) Ventral limb muscles LMC(m) Isl1 Lim1 Np1-Sema3 (Huber 2005) EphBs-EphrinBs (Luria, 2008)
57 Contrôle des trajectoires des axones moteurs? signalisation bi-directionnelle par les ephrines et leurs récepteurs Eph R. Klein 2008
58 Contrôle des trajectoires des axones moteurs? Les molécules contrôlant la trajectoire dorsale EphA4 Ab Ret Ab GDNF-lacZ GDNF Ab E11.5 Kramer et al., 2006
59 Contrôle Transcriptionnel des trajectoires des axones moteurs? Guidage des axones dorsaux: Role essentiel du Récepteur EphA4 EphA4 EphrinAs EphrinAs WT EphA4 -/- Helmbacher et al. 2000
60 Contrôle Transcriptionnel des trajectoires des axones moteurs? Guidage des axones dorsaux: Role essentiel du Récepteur EphA4 EphA4 EphrinAs EphrinAs WT EphA4 EphA4 overexpression -/- Eberhart et al., 2002; Kania Helmbacher et al., 2003 et al. 2000
61 Contrôle Transcriptionnel des trajectoires des axones moteurs? Guidage des axones dorsaux: GDNF/Ret aussi GDNF GDNF Ret WT Ret -/- Kramer et al., 2006
62 Contrôle Transcriptionnel des trajectoires des axones moteurs? Guidage des axones dorsaux: coopération de deux couples ligand/récepteur GDNF Ret Instructive? Permissive? EphrinAs repulsion EphA4 Deux signaux pour une décision de guidage axonal Comment coopèrent-ils?
63 TWO THREE signals for for one one guidance decision EphrinAs EphA4 Ret GDNF EphA4 EphrinAs Ret? Ret?
64 Guidage DV: Role attractif de epha4 dans le mésenchyme dorsal? EphrinAs EphA4/7 Dudanova and Klein 2012
65 Guidage DV: Role attractif de epha4 dans le mésenchyme dorsal? EphrinAs EphA4/7 Addition de EphA4 ventralement Dudanova and Klein 2012
66 Guidage DV: Role attractif de epha4 dans le mésenchyme dorsal? EphrinAs EphA4/7 Dudanova and Klein 2012
67 Guidage DV: Ablation tissus-spécifique de EphA4 EphA4 EphrinAs EphA4/7 EphrinAs Dudanova and Klein 2012
68 Guidage DV: Ablation tissus-spécifique de EphA4 Dudanova and Klein 2012
69 Guidage DV: Ablation tissus-spécifique de EphA4 EphA4-GFP: pas de domaine tyrosine kinase pas de signalisation Forward compétent pour la signalisation réverse Dudanova and Klein 2012
70 Guidage DV: Ablation tissus-spécifique de EphA4 Dudanova and Klein 2012
71 Guidage DV: Ablation tissus-spécifique de EphA4 Signalisation Réverse Attraction par les EphA dorsaux: Minoritaire Signalisation Forward Prédominant Répulsion par les ephrines ventrales: Dudanova and Klein 2012
72 Selection des trajectoires dorsales et ventrales La totale!! Bonanomi and Pfaff, 2012
73 Selection des trajectoires dorsales et ventrales Bilan complet Bonanomi and Pfaff, 2010
Gènes du développement et structuration de l organisme
03-Gènes du développement_00/maquette imports 19/01/10 10:45 Page99 Revue des Questions scientifiques, 2010, 181 (1) : 99-110 Gènes du développement et structuration de l organisme René Rezsohazy Unité
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES. Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83
ORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83 INTRODUCTION Rythmes biologiques: définition Tout être vivant (humain, animal, végétal) est soumis
Plus en détailMicroscopie Multiphotonique
Microscopie Multiphotonique Philippe Guillaud 2014 Université Pierre et Marie Curie Paris 6 Principaux problèmes rencontrés en microscopie confocale La dégradation rapide des échantillons biologiques et
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailMorphogènes et endocytose
MEDECINE/SCIENCES 2003 ; 19 : 351-7 > Les protéines signalisatrices des familles Wingless/Wnt, Hedgehog et Decapentaplegic (Dpp)/Bone morphogenic protein (BMP) agissent comme des morphogènes au cours du
Plus en détailUn ver, 959 cellules et 13 000 gènes
SYNTHÈSE médecine/sciences 1997 ; 13 : 156-65 Un ver, 959 cellules et 13 000 gènes Marie-Anne Félix Les cascades moléculaires spécifiant la destinée des cellules au cours du développement sont identifiées
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLa maladie de Huntington, une maladie du cerveau
Actualités à propos de la recherche sur la maladie de Huntington. Expliqué simplement. Écrit par des scientifiques. Pour la communauté mondiale HD. La greffe de moelle osseuse dans la maladie de Huntington
Plus en détailhttp://www.neur-one.fr/ Cerveau & Psycho - N 28
1 Cerveau & Psycho - N 28 Les souvenirs sont gravés dans la mémoire sous forme de combinaisons particulières de modifications de synapses, les jonctions entre neurones. Ces modifications doivent être consolidées,
Plus en détailTUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours 2012-2013
TUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours 2012-2013 réalisée par les tuteurs, non contrôlée par les professeurs de l'ue NON OFFICIELLE QCM n 1 : A, B, D, E L homéocode odontogénique regroupe 4 principaux
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailThérapies par cellules souches dans la SEP
Thérapies par cellules souches dans la SEP Rédigé en partenariat avec Sommaire Introduction 3 Qu est-ce que la SEP? 4 Que sont les cellules souches? 5 Qu est-ce qu une thérapie par cellules souches? 6
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailConsolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY
Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY La problématique Tissu osseux : forte aptitude à se réparer MAIS Situations cliniques particulières
Plus en détailFormation et évolution des organes sensoriels chez les insectes
Formation et évolution des organes sensoriels chez les insectes Conférences Neuro-Évo-Dévo Masters SCN et GCDE - Université Paris Sud Virginie Orgogozo Bat. A, 5e étage, Paris 6 Virginie.orgogozo@snv.jussieu.fr
Plus en détaildos La qualité au service de votre santé Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse p r e n d r e s o i n d e s o n
dos p r e n d r e s o i n d e s o n Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse La qualité au service de votre santé Cette information, éditée par l Institut de physiothérapie de la Clinique de La Source, vous
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailLes Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises
Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailDossier thématique. de la Fondation de l'avenir THERAPIE CELLULAIRE SOMMAIRE. B - Cellules fonctionnelles, précurseurs et cellules souches
Dossier thématique de la Fondation de l'avenir THERAPIE CELLULAIRE SOMMAIRE I Qu est ce que la thérapie cellulaire A - Approche de définition B - Cellules fonctionnelles, précurseurs et cellules souches
Plus en détailPlateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations
Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse
Plus en détailLes bases de données transcriptionnelles en ligne
Les bases de données transcriptionnelles en ligne Différents concepts en régulation transcriptionnelle sites de fixation - in vitro/vivo? - quelle technique? - degré de confiance? facteur de transcription
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailRôle du sommeil dans la consolidation de la mémoire: un dialogue entre structures cérébrales
Laboratoire Neurobiologie des Processus adaptatifs, UMR 7102, Université Pierre et Marie Curie Ecole Thématique CNRS, Berder 7 avril 2011 Rôle du sommeil dans la consolidation de la mémoire: un dialogue
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailTUTORAT UE 6 2014-2015 Initiation à la connaissance du médicament CORRECTION d annales Semaine du
TUTORAT UE 6 2014-2015 Initiation à la connaissance du médicament CORRECTION d annales Semaine du Concours PACES 2013-2014 Semaine du 27/04/2015 QCM n 1 : B, D, E A. Faux. Le monde animal et minéral a
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailLes postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011
Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Introduction Le rôle du médecin MPR : poser les indications Réflexion pluridisciplinaire Définir les objectifs
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailPRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II
Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie
Plus en détailAllégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2
Allégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2 Objectif Les apprenants soulèvent et portent des charges correctement. Public-cible - Des apprenants
Plus en détailPROJET D'IMAGERIE MULTI(X) PHOTONIQUE ETENDUE LARGE BANDE
PROJET D'IMAGERIE MULTI(X) PHOTONIQUE ETENDUE LARGE BANDE (ACTUALISATION 2005) Reconstruction 3D, par microscopie multiphotonique, d un réseau de neurones sensoriels de moelle épinière d embryon de xénope.
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détailFONCTION DU POUCE. Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE
FONCTION DU POUCE Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE L iconographie est notamment issue des ouvrages de Mr Netter et Kapandji. LA COLONNE DU POUCE Constituée
Plus en détailSéquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailLa reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006
La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailNEUROPHYSIOLOGIE (2)
NEUROPHYSIOLOGIE (2) B - LE SYSTEME NERVEUX (SUITE) - NEURONES ET GLIOCYTES IV - LES NEURONES ET LES GLIOCYTES 1) OBJET DE LEUR ETUDE La NEUROPHYSIOLOGIE est l étude du fonctionnement du système nerveux.
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailLe Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant.
MEDAILLE D OR DU CNRS 2011 Le Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant. Extrait de l allocution prononcée le 19 juin 2007 par Jules Hoffmann,
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détailSituation 1 : Note :...
Situation 1 : Adhérence sur les pavés et positionnement en entrée de giratoire pour aller à gauche à noter un rampant aigu descendant de plateau ralentisseur en sortie du giratoire Situation 2 : Adhérence
Plus en détailLe sens du goût. Une infinité de saveurs.
Le sens du goût. Que serait le goût sans la vue, la mémoire, la senteur, le plaisir? Lorsqu on parle du goût, on ne pense pas toujours à l ensemble des sensations qui permettent d identifier ce que l on
Plus en détailLa langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,
LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailHRP H 2 O 2. O-nitro aniline (λmax = 490 nm) O-phénylène diamine NO 2 NH 2
! #"%$'&#()"*!(,+.-'/0(,()1)2"%$ Avant d effectuer le dosage en IR de la biotine, il est nécessaire de s assurer de la reconnaissance du traceur par la streptavidine immobilisée sur les puits. Pour cela,
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailCircuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance
Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite
Plus en détailR A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique
Commune de Peseux Conseil communal R A P P O R T du Conseil communal au Conseil général relatif à une demande de crédit de CHF 1'910'000.- pour la rénovation des conduites d'eau, de gaz, d'électricité,
Plus en détailLes Angles. I) Angles complémentaires, angles supplémentaires. 1) Angles complémentaires. 2 Angles supplémentaires. a) Définition.
Les Angles I) Angles complémentaires, angles supplémentaires 1) Angles complémentaires Deux angles complémentaires sont deux angles dont la somme des mesures est égale à 90 41 et 49 41 49 90 donc Les angles
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailUniversité Toulouse 3 Paul Sabatier (UT3 Paul Sabatier) Mathilde de TAFFIN de TILQUES. 29 Octobre 2013. tre :
Université Toulouse 3 Paul Sabatier (UT3 Paul Sabatier) Mathilde de TAFFIN de TILQUES 29 Octobre 2013 tre : Contrôle transcriptionnel de l'identité musculaire chez la drosophile : Modules Cis-Régulateurs
Plus en détailBiochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détailà Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale
à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale 25 ans de lutte contre les leucémies et l infarctus du myocarde Fondé en 1987 par le Professeur Philippe Hénon et localisé au sein de l Hôpital du Hasenrain
Plus en détailMénagez votre dos Spaar uw rug
Ménagez votre dos Spaar uw rug Ménagez votre dos Vous vous êtes déjà fait mal? Il vous est déjà arrivé de ne plus pouvoir bouger? Vous vous reconnaissez? Alors, il est grand temps de réagir! La plupart
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailLes circuits neuronaux responsables du Sommeil paradoxal
Les circuits neuronaux responsables du Sommeil paradoxal Pierre-Hervé Luppi DIU Physiologie et Pathologie du Sommeil, Lyon, Jeudi 18 Décembre 2014 Le sommeil paradoxal est présent chez le chat pontique
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailMON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS
MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS Le mal de dos? Nous sommes pratiquement tous concernés! En effet, plus de 80% de la population
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailVIABILITE DES GREFFONS DE CELLULES SOUCHES NON CRYOPRESERVES A UNE TEMPERATURE DE 4 C
VIABILITE DES GREFFONS DE CELLULES SOUCHES NON CRYOPRESERVES A UNE TEMPERATURE DE 4 C M. Brahimi, N. Yafour, S. Osmani, F. Attaf, A. Arabi, B. Enta-Soltan, M.A. Bekadja. Service d Hématologie et de Thérapie
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détail014 54es Journées d études et de formation IHF, Tous droits réservés - Toute reproduction même partielle est interdite. Aéroports de Paris :
Aéroports de Paris : Bernard CATHELAIN Directeur Général Adjoint Aménagement et Développement Juin 2014 Sommaire A. Présentation de l activité B. La diversité des projets C. L organisation de la maîtrise
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détail3min. d exercices par jour pour ne pas, ne plus avoir mal au dos.
3min. d exercices par jour pour ne pas, ne plus avoir mal au dos. Pour bien comprendre le fonctionnement de la colonne vertébrale, il faut savoir qu il existe deux types de muscles qui se rattachent aux
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailDesigner d escalier GUIDE DE L UTILISATEUR. Stair Designer-1
Designer d escalier GUIDE DE L UTILISATEUR Stair Designer-1 Stair Designer-2 Designer d escalier Le Designer d escalier rend facile la réalisation et la mise en place d escaliers sur mesure dans votre
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailLeica MZ FLIII. Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica.
Leica MZ FLIII Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica. Leica MZ FLIII Observer en 3 dimensions L étude des organismes vivants, de leurs fonctions
Plus en détailEpreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9
Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Travaux pratiques de biologie... 17 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 26 Travaux d initiative personnelle encadrés
Plus en détailw w w. m e d i c u s. c a
www.medicus.ca En appelant la colonne vertébrale «arbre de vie» ou «fleuve sacré qui irrigue tout le corps», les Anciens voyaient juste. De tout temps considéré comme fragile, cet axe du corps se révèle
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailBanque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST
1 Épreuve de biologie Épreuve non prise en compte au concours PC BIO Concours Nb cand. Moyenne Ecart type Note la plus basse Note la plus haute A BIO 2158 11,94 4,10 1 20 A ENV 883 13,54 3,69 1,5 20 Ce
Plus en détail