Courbes de retrait et compressibilité des sols (Marais de Rochefort Charente- Maritime).

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1 Courbes de retrait et compressibilité des sols (Marais de Rochefort Charente- Maritime). Dudoignon Patrick, Bernard Marjorie ESIP UMR 6532 du CNRS, RESUME. Le comportement structural des sols de marais a été étudié à partir des courbes de retrait et de compressibilité. Les courbes de retrait obtenues par dessiccation d échantillons intacts en laboratoire et les chemins de compressibilité obtenus par essais oedomètriques sont comparés aux profils de teneurs en eau et porosité mesurés in situ. Les évolutions de structure des matériaux sont expliquées à partir des courbes de retrait en milieu non saturé (W<) et des courbes de compressibilité en milieu saturé (W>). La représentation du mécanisme de dessiccation est appréhendée dans un diagramme e/w en fonction des différentes échelles d observation. ABSTRACT. The structural behaviour of marsh soils was studied through the shrinkage and the compressibility curves. The shrinkage curves calculated from the intact sample drying in laboratory, and the compressibility curves, obtained by oedometric tests, are compared with the in situ water content and porosity profiles. The behaviour of the successive structural layers are explained by their shrinkage curves (W<) or their compressibility curves in saturated domain (W>). The shrinkage and consolidation mechanisms are represented in a e-w diagram considering different observation scales. MOTS-CLES : sols argileux, structure, porosité, courbe de retrait, oedomètre KEYWORDS : clay dominant soils, structure, porosity, shrinkage curve, oedometer 1. Introduction Classiquement les propriétés de retrait - gonflement des sols argileux, soumis à des cycles dessiccation humidification, sont abordées à partir de la détermination de la limite de retrait (Wr), sur la fraction < 400µm, et à partir des courbes de retrait d échantillons intacts. Ces courbes sont obtenues par dessiccation d échantillons dont les teneurs en eau varient de la limite de liquidité (Wl) à des valeurs proches de la dessiccation totale (Braudeau et al., 1988a,b ;1999 ; Chertkov et al., 2004). En Revue Française de Génie Civil

2 - 2 - Revue Française de Génie Civil parallèle, les propriétés de compressibilité des sols saturés sont abordées à partir d essais de compressibilité à l oedomètre ou à la presse triaxiale (Delage et Fry, 2001; Biarez et al., 1987). Les sols de marais présentent des profils de teneur en eau qui évoluent de leur limite de retrait en surface à leur limite de liquidité en profondeur (Bernard et al., 2006 ; Hallaire et al., 1994). L objectif de ce travail est de présenter les variations verticales de structure de sol argileux in situ et de les comparer (1) aux courbes de retrait en prenant en compte les différentes échelles de porosités (micro méso et macroporosité) d un et (2) aux courbes de compressibilité en milieu saturé. Le matériau étudié est le bri du Marais de Rochefort. Les investigations in situ ont démontré une structure en trois niveaux ; un bri supérieur consolidé par les cycles de dessiccation saisonniers, un bri inférieur saturé caractérisé par des teneurs en eau supérieure à, et un bri profond consolidé. A partir du bri inférieur (niveau intermédiaire), deux chemins d état sont suivis ; un chemin de dessiccation du niveau intermédiaire vers la surface et un chemin de compressibilité en milieu saturé drainé du niveau intermédiaire vers la profondeur. Parallèlement des mesures de compressibilités à l oedomètre sont effectuées sur échantillons intacts. Les variations de porosité provoquées par le phénomène de dessiccation sont comparées aux variations de porosités induites lors des essais de compressibilité. 2. Méthodes Les investigations ont été menées sur le site expérimental de l INRA de St Laurent de la Prée (Marais de Rochefort). Ce sol argileux permet de suivre les évolutions structurales et texturales, de sa limite de retrait (en surface) à des teneurs en eau supérieures à sa limite de liquidité (Wl) en profondeur. La fraction < 10 µm constitue entre 78 et 87 % du matériau et les minéraux argileux plus de 50%. Identifiés par diffraction de rayons X et par analyses à la microsonde, cette matrice argileuse est composée par un intime assemblage de smectite, d interstratifiés d illite-smectite, d illite, de kaolinite et de chlorite en faible quantité. Le pourcentage de smectite y est voisin de 20%. Des carottages à la tarière ont permis de mesurer des profils de teneur en eau et de densité humide en saison sèche et en saison humide. Des fosses ont été creusées afin d observer la structure du sol et de prélever des échantillons intacts pour imprégnation et confection de surfaces polies (9x10 cm), et pour essais à l oedomètre. L imprégnation des échantillons par échange eau acétone - résine permet d étudier les évolutions de texture et de porosité des matériaux par analyse d images. La résine d imprégnation est une résine polyester avec 35% de Styren (viscosité de 380 mpa.s). Elle est «colorée» par un pigment fluorescent aux UV (UVITEX OB) qui permet de numériser les états de porosité du matériau lorsqu on l observe sous lumière UV (Murphy et al., 1977 ; Hallaire et al., 1994). La limite de retrait sur la fraction < 400 µm est déterminée en considérant une densité réelle des

3 Courbes de retrait et compressibilité grains de 2.58 mesurée au pycnomètre. Les courbes de retrait sont obtenues sur des échantillons intacts cylindriques (2cm de hauteur et 2 cm de diamètre). Masses, hauteurs et volumes des échantillons sont mesurés chaque jour jusqu à la dessiccation «complète» obtenue finalement par étuvage à 105 C. Les essais de compressibilité sont effectués à l oedomètre. Les évolutions de structure du matériau argileux mesurées sur la fraction < 400 µm, lors de la dessiccation d éprouvettes d échantillons intacts et lors de la compression des échantillons sont représentées dans le même diagramme indice des vides (e) teneur en eau (W) afin de comparer les chemins d état. 3. Résultats Les observations in situ et les profils de teneurs en eau distinguent deux niveaux structuraux. De la surface (Wr) jusqu à la profondeur de (40%), le sol présente une fracturation de retrait en colonnades. Sous la profondeur de, le sol hydromorphe est exempt de fracturation. Les teneurs en eau augmentent pour atteindre ou dépasser la limite de liquidité (Wl=75%). e 2, ,5 e p pp 1 e r 0,5 e m AEP 0 0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1 Wr w (%) Figure 1. Courbes de retrait obtenues par dessiccation d échantillons intacts (blanc) ; profil vertical e-w mesuré sur échantillons intacts (gris) ; courbe de retrait de la matrice argileuse mesurée par analyse d image (noir). e p indice des vides à, e r indice des vides à Wr, e m indice des vides minimum de la matrice argileuses. Segment noir = droite de retrait. 1, 2, 3, 4 domaines définis par Braudeau (1988, 1999). Wl Représentées dans un diagramme indice des vides (e) - teneur en eau (W), la droite de retrait, la limite de retrait Wr (20%) et l indice des vides associé e r (0.50) mesurés sur la fraction <400 µm s accordent avec la courbe de retrait obtenue par

4 - 4 - Revue Française de Génie Civil dessiccation d échantillons intacts (figure 1). Cette dernière s écarte de la droite de retrait 400 µm en présentant les quatre domaines décrits par Braudeau (1988 a,b ; 1999): - 1 le domaine de volume minimum, e=0.50, W < 18% - 2 la partie concave de la courbe (18% < W< 25%), W=25% correspondant au point d entrée d air - 3 la partie linéaire parallèle à la droite de retrait (25%<W<40%) - 4 la partie convexe de la courbe (W>40%). Les couples e-w qui caractérisent le profil in situ se superposent à la courbe de retrait (figure 1). a Joint de prismes matrice fissures b bri supérieur W< r=3 W = 20% γb = 1.90 n = 40 % W = 40% γb = 1.77 n = 52% bri inférieur W> r=1 W = 100% γb= 1.40 n =73% µm Nb de pixels c matrice fissures Niveaux de gris Figure 2. a- Modèle structurale préliminaire du retrait. La limite bri supérieur bri inférieur est fixée par la profondeur. r = coefficient géométrique de retrait (Chertkov et al., 2004). Retrait isotrope, r=3 ; tassement seul, r=1. b- Image de la texture intra-prisme c- Principe de seuillage de la mésoporosité de fissure intraprisme. A partir des courbes de retrait caractéristiques du matériau et des profils de teneurs en eau mesurés in situ, la structure du bri peut être représentée à partir d une

5 Courbes de retrait et compressibilité -5- modélisation préliminaire qui distingue (1) le bri supérieur prismé avec sa porosité totale calculée et assimilée aux joints de prismes et (2) le bri inférieur saturé sous la profondeur équivalente à (figure 2a). Les mesures de porosité effectuées sur les surfaces polies (verticales et horizontales) des échantillons intacts (intra prismes, figure 2a) sont basées sur la décomposition mathématique des diagrammes de niveaux de gris d images obtenues sous lumière UV. Elles mettent en évidence l évolution verticale de mésoporosité (mésofracturation de retrait intra prismes) et de microporosité de la matrice argileuse (pores <100 µm, figure 2c). Ces mesures de porosités sont étalonnées sur les porosités mesurées sur les échantillons intacts. Elles permettent de reconstruire les courbes de retrait du matériau en tenant compte des effets d échelle : courbe de retrait de la matrice argileuse seule (microporosité < 100µm), courbe de retrait intégrant la mésoporosité (mésofracturation de retrait), et courbe de retrait intégrant les joints de prismes (porosité totale ; figures 4 et 5). Les analyses de texture en microscopie optique (Dudoignon et al., 2004) démontrent l isotropie d arrangement des particules au sein de la matrice argileuse pour les teneurs en eau supérieures à Cette isotropie est confirmée par les observation au microscope électronique à balayage (figure 3a, b). a b Figure 3. a- réarrangement des particules argileuses à la limite de plasticité. barrangement isotrope des particules argileuses à la limite de liquidité. photographie MEB d échantillons lyophilisés après trempe dans l azote pâteux(mode électrons absorbés). Les essais de compressibilité à l oedomètre ont été effectués sur des échantillons intacts prélevés aux profondeurs 70, 100 et 120 cm. Les tassements mesurés permettent de calculer une courbe de compressibilité du matériau dans un domaine de teneur en eau qui décroît de 70 à 25 % (figure 4). Représentées dans le diagramme e-w ces évolutions de texture suivent la droite de retrait de la matrice argileuse. Quatre domaines sont mis en évidence :

6 - 6 - Revue Française de Génie Civil - 0 < W < Wr la matrice argileuse a atteint son volume minimum. La répartition de porosité entre microporosité (matricielle), mésoporosité interprisme et macroporosité (joints de prisme) n évolue pas. - Wr < W <. A la fermeture de microporosité matricielle s ajoute l ouverture de meso et macroporosité. C est le domaine de retrait et de fracturation du bri supérieur. - 60% > W > Une seule courbe caractérise le comportement du matériau en milieu saturé. La courbe de compressibilité se superpose à la courbe de retrait. - W > 60% La courbe de retrait et la courbe de Braudeau sont superposées et s écartent de la droite de retrait (< 400 µm) indice des vides Wr Wl courbe de Braudeau (microporosité) courbe de retrait (porosité totale calculée) oedomètre (échantillon 100cm) oedomètre (échantillon 70cm) oedomètre (échantillon 120cm) teneur en eau % Figure 4. Courbe de Braudeau équivalente à la courbe de retrait des échantillons intacts (triangles noirs), courbe de retrait calculée englobant l indice des vides correspondant à l ouverture des joints de prismes pour W < (ronds noirs), et représentation des droites de compressions des échantillons à l oedomètre (losanges blancs, carrés, croix). 4. Discussion La représentation dans le même diagramme e/w des courbes de retrait obtenues par dessiccation d échantillons intacts, des caractéristiques in situ des échantillons prélevés à différentes profondeurs (échantillon total et matrice argileuse associée) et

7 Courbes de retrait et compressibilité des échantillons comprimés à l oedomètre permet de schématiser les deux modes de consolidation du sol qui caractérisent le bri supérieur et le bri inférieur (figure 2a) : - le retrait isotrope (coefficient géométrique r=3; Chertkov et al., 2004) dans la zone superficielle non saturée (Wr-) - le tassement vertical (r=1) dans le domaine saturé in situ (W>). indice des vides 2,0 e l 1,5 e 2,5 bri sup. bri inf. p 1,0 méso.+macro. retrait matrice porosité 0,5 retrait avec e porosité Porosité totale r consolidation en Wr Wl milieu saturé teneur en eau % profondeur bri sup. bri inf. Wl consolidation bri profond Joint de prismes consolidation bri profond courbe de retrait a b Figure 5. a- Représentation schématique des courbes de retrait ou de compressibilité du bri; La courbe de Braudeau correspond à la courbe de retrait de la matrice (microporosité). La mésoporosité (fissures intra-prismes) et la macroporosité (inter-prisme) compensent le retrait de matrice entre et Wr. La droite de compression du bri suit la courbe de retrait en milieu saturé (W>) et continue sur la courbe de Braudeau pour W< en milieu saturé. e l, e p et e r = indices des vides à Wl, et W.b représentation schématique des niveaux de bri

8 - 8 - Revue Française de Génie Civil supérieur et inférieur affectés par le retrait et du bri profond affecté par la consolidation. A ce comportement structural du bri en partie inférieure et superficielle s ajoute la densification et consolidation en profondeur du matériau qui est représentée par le chemin de compression oedométrique. En partie intermédiaire, le bri inférieur présente des teneurs en eau voisines ou supérieures à la limite de liquidité ; le couple e - W sur lequel s applique la consolidation est voisin de %. Les chemins de consolidation s arrêtent au couple e p - (1 40%) à la limite du bri supérieur mais peuvent atteindre e r - Wr (0.5 20%) en profondeur, en milieu saturé. Bibliographie Bernard M., Dudoignon P., Pons Y., Chevallier C., Structural characteristics of clay dominant soils of marsh and paleosol in a crossed diagram. Ss presse Eur. J. Soil. Sci. Biarez J., Fleureau J-M, Zerhouni M-I, et Soepandji B. S., 1987 Variations de volume des sols argileux lors de cycles de drainage-humidification. Revue Française de Géotechnique 41 p Braudeau E., 1988 Essai de caractérisation quantitative de l état structural d un sol basé sur l étude de la courbe de retrait. C.R. Acad. Sci. Paris SII. 307 : Braudeau E., 1988 Equation généralisée de courbes de retrait d échantillons de sol structures. C.R. Acad. Sci. Paris SII. 307 : Braudeau E., J.M. Costantini, G. Bellier et H. Colleuille New device and method for soil shrinkage curve measurement and characterization. Soil Sci. Soc. Am. J. 63: Chertkov V.Y., RavinaI.I et Zadoenko V., An approach for estimating the shrinkage geometry factor at a moisture content. Soil Sci. Soc. Am..J. 68 : Delage P. & Fry J-J., 2001 «Comportement des sols compactés : apports de la mécanique des sols non saturés» Revue Française de géotechnique, n 92 p Dudoignon P., Gélard D., et Sammartino S Cam-Clay and Hydraulic conductivity diagram relations in consolidated and sheared clay-matrices. Clay Minerals, 39, Hallaire V. et Curmi P., Image analysis of pore space morphology in soil sections, in relation to water movement. In: Ringrose-Voase, A.J., Humphreys, G.S. (Eds), Soil Micromorphology : Studies in Management and Genesis. Developments in Soil Science, vol 22. Elsevier, Amsterdam, p Murphy C.P., Bullock P. & Turner H., 1977 The measurement and characterisation of void in soil sections by image analysis. Part I. Principles and techniques, Journal of Soil Science, 28,

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