Obésité chez le chien : une approche globale
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- Alexis Gaspard Lamarche
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1 C ommunication Obésité chez le chien : une approche globale par Christophe Blanckaert Docteur vétérinaire Certificat d études supérieures de diététique canine et féline 14 avenue Charles de Gaulle, Boulogne sur Mer RÉSUMÉ Maladie à part entière, l'obésité est une affection multifactorielle rencontrée chez plus d un tiers des chiens. Pour être couronné de succès, le traitement de l animal en surpoids réclame une approche globale et pluridisciplinaire. En premier lieu, un examen clinique attentif, couplé à des examens complémentaires simples, fournit des éléments d appréciation de la gravité de la maladie, de son étiologie supposée et permet d assurer la démonstration de l obésité au propriétaire de l animal. Dans un second lieu, le plan de traitement est défini en ayant recours aux multiples outils thérapeutiques disponibles. Il peut s agir de traitements médicamenteux ou de mesures diététiques, de la pratique renforcée d une activité physique, ou encore du recours aux médecines alternatives. C est probablement la combinaison judicieuse des différentes solutions thérapeutiques, établie de manière individuelle, qui garantit la meilleure efficacité. La collaboration étroite entre l équipe soignante et le propriétaire est un atout supplémentaire. Enfin, le volet de la prévention ne doit jamais être sous-estimé : à chaque moment-clé de la vie du chien, le vétérinaire doit énoncer des recommandations pour prévenir la prise de poids. Mots-clés obésité, chien, diététique, traitement, prévention Bull. Soc. Vét. Prat. de France, octobre/novembre/décembre 2009, T. 93, n o 4 7
2 SUMMARY Really considered as an illness, obesity is a multifactorial disease interesting more than a third of dogs. To be successful, the treatment of the overweight animal requires a global and multidisciplinary approach. First of all, an attentive clinical examination, coupled with simple complementary examinations, supplies elements of the appreciation of the gravity of the disease, its supposed etiology and insures the demonstration of obesity to the animal s owner. In a second place, the treatment plan is defined using the multiple available therapeutic tools. It can be medicinal treatments, dietary measures, more intensive practice of a physical activity, or alternative medicines. It is probably the mix of various therapeutic solutions, established in an individual way, which guarantees the best efficiency. The close collaboration between the medical team and the owner is a trump card. Finally, the prevention of obesity must be never underestimated : at every key moment of the dog s life, the veterinarian has to express recommendations to prevent the dog from gaining weight. Keywords obesity, dog, dietetics, treatment, prevention Introduction L obésité est certainement la maladie nutritionnelle la plus couramment rencontrée en médecine vétérinaire canine [2, 4, 5]. Elle découle directement d un déséquilibre entre les apports caloriques alimentaires et les besoins énergétiques de l animal. Cette maladie devrait systématiquement être prise en charge, dans l idéal dès ses premières manifestations (prise de poids même jugée mineure). À défaut d une gestion efficace, les effets néfastes de l accumulation graisseuse sur la santé apparaissent et peuvent aboutir à un réel handicap, voire à une diminution significative de la durée de vie. Il est souvent rapporté que les tentatives de traitement seraient vouées à l échec ou que la prévention s avèrerait illusoire dans certains cas. Les outils de traitement et de prévention sont pourtant variés et efficaces lorsqu ils sont bien utilisés. Une approche pluridisciplinaire et raisonnée est par conséquent envisageable et induit une efficacité thérapeutique maximale [3]. La première étape de la prise en charge du chien obèse consiste à évaluer le surpoids de manière précise (cf. figure 1). Dans de nombreuses situations cliniques, à l issue du recueil consciencieux des commémoratifs, de l examen clinique rigoureux et de la réalisation d examens complémentaires aisés à mettre en œuvre en pratique de ville, il est même possible de cerner l étiologie de l obésité ou d appréhender les mécanismes physiopathologiques complexes qui ont abouti au développement du surpoids. Muni de ces éléments scientifiquement établis, le vétérinaire peut alors présenter au propriétaire de l animal un ensemble d arguments visant à obtenir son consentement éclairé pour la mise en route d un traitement adapté au cas précis de son animal. A la fin de la phase de traitement, qui est souvent longue et qui réclame une bonne motivation de la part du maître et de l équipe soignante, il convient de prévoir un plan de prévention des récidives, en particulier afin d éviter l un des phénomènes les plus générateurs de frustration : l effet rebond. De façon plus large, l approche médicale moderne de l obésité devrait systématiquement inviter les vétérinaires à informer les propriétaires d animaux de compagnie sur les dangers de l obésité, à promouvoir de bonnes pratiques alimentaires et une hygiène de vie saine pour leurs compagnons, et ce aux différents moments-clés de la vie. 8
3 Score corporel/9 Silhouette de profil 5 Côtes palpables sans excès de couverture graisseuse. Taille et creux abdominal présents. 6 Côtes palpables avec un léger excès de graisse de couverture. Taille discernable vue du dessus mais pas proéminente. Creux abdominal encore visible. 7 Côtes difficilement palpables. Dépôt graisseux sur les lombes et à la base de la queue. Creux abdominal parfois présent mais taille absente. 8 Côtes pas palpables et abdomen pouvant être arrondi. Dépôt graisseux important sur les lombes et à la base de la queue. Ni creux abdominal, ni taille marquée. 9 Dépôt graisseux très important sur le thorax, les lombes et à la base de la queue. Distension abdominale. Figure 1 Silhouettes et descriptifs correspondants de chiens normaux et en surcharge pondérale. Démontrer objectivement l état de surpoids L obésité canine est assez couramment définie comme une surcharge pondérale atteignant et dépassant 15 %. Cette définition montre rapidement son insuffisance, eu égard à la difficulté de connaître le poids idéal d un chien donné. La démonstration de l obésité se fait plutôt en confrontant diverses données recueillies au cours de l examen (poids, score de condition corporelle [7], pourcentage de masse grasse) (cf. tableau I). La démarche est complétée par la mise en évidence éventuelle de co-morbidités pouvant par exemple se traduire par des désordres métaboliques, des troubles hormonaux (diabète, troubles du métabolisme lipidiques, hypothyroïdie) ou des affections invalidantes (orthopédiques, cardiorespiratoires ). Les conséquences graves sur la santé, de même que la diminution significative de l espérance de vie, doivent être présentées au propriétaire lorsqu il prend conscience que son chien relève d une prise en charge de son surpoids. 9
4 Tableau I Corrélation entre les scores de condition corporelle, et les pourcentages de surpoids et de gras corporel. Score de Score de condition condition % de % GC Qualificatif corporelle / corporelle / surpoids approximatif 5 points 9 points 3 5 Optimal ,5 6 Surcharge pondérale 4 7 Net surpoids, gros 4,5 8 Obèse Obésité morbide, 40 et + 45 et + très obèse Comprendre la physiopathologie Le stockage excessif de réserves énergétiques sous forme de graisses dans le corps répond à des mécanismes complexes qui peuvent être physiologiques, cellulaires et moléculaires [4, 6]. Ils concernent la régulation de l appétit, l activité d hormones et de médiateurs (adipokines), ou encore l effet pseudo-pharmacologique de certains nutriments Il est difficile de considérer ces divers mécanismes isolément, dans la mesure où ils sont très fortement interdépendants. Selon les modalités de stockage de la graisse (dépôt sous-cutané ou viscéral, phases de constitution de la surcharge adipeuse), l efficacité des traitements est variable. Par conséquent, les modalités de l amaigrissement sont différentes en fonction de l individu considéré. Dans tous les cas, les objectifs doivent être clairement énoncés : la perte de poids est définie en intensité (le chien doit perdre «x» kilogrammes) et en durée (= le poids cible doit être atteint dans «y» semaines). Définir un traitement adapté Parmi toutes les solutions thérapeutiques théoriquement disponibles, il est judicieux de choisir les plus pertinentes et les plus adaptées à la situation clinique. Il est possible et fréquent d en associer plusieurs pour améliorer l efficacité globale et pour correspondre aux mécanismes physiopathologiques mis en évidence (cf. tableau II). Ainsi, la restriction alimentaire associée à la pratique renforcée d une activité physique est une mesure parfaitement suffisante pour gérer une obésité simple, consécutive à un simple déséquilibre de la balance énergétique (apports caloriques excessifs par rapport aux dépenses). En revanche, lors de désordres hormonaux démontrés par les examens de laboratoire, un traitement spécifique, voire étiologique, peut être mené [8]. En cas de dérégulation notable de l appétit, l emploi de médicaments régulateurs de la satiété est envisageable, tout au moins en début de traitement et sur une courte période. Les situations dans lesquelles sont clairement mis en évidence des troubles du comportement alimentaire réclament une prise en charge comportementale. Enfin, si l obésité est morbide, les affections intercurrentes doivent parallèlement recevoir un traitement spécifique qui s intègre parfaitement à la démarche. Par exemple, lors d obésité compliquée de difficultés orthopédiques (arthrose), la prescription d un traitement visant à soulager la douleur articulaire peut améliorer significativement l aptitude à se mouvoir, permettant la pratique d une activité physique. De manière synergique, la perte de poids est elle-même un excellent moyen de diminuer le handicap de l arthrose. Quoi qu il en soit, les modalités d induction du traitement et du suivi, par le vétérinaire lui-même Tableau II Conduite à tenir en fonction de l intensité du surpoids. Poids normal Surpoids Obésité Simple surveillance périodique Apports alimentaires contrôlés Mesures d hygiène et de diététique simples et de bon sens Correction des erreurs alimentaires Surveillance régulière et réévaluations périodiques Prise en charge médicale et nutritionnelle Régime hypocalorique Accompagnement psychologique Médicaments Obésité morbide Prise en charge médicale et nutritionnelle Régime hypocalorique Accompagnement psychologique Médicaments, prise en charge des maladies intercurrentes Chirurgie? 10
5 ou par son personnel soignant, influencent considérablement l observance et l efficacité de la prescription. Envisager la prévention Dès la phase de traitement de l obésité, il est nécessaire de prévoir les actions de prévention de la récidive qui pourrait apparaître en phase de post-traitement. Une reprise de poids est possible si les efforts ne sont pas maintenus au-delà de la période de perte pondérale. Si la reprise est rapide (effet rebond), il s agit souvent de la conséquence d un régime trop drastique ou d un défaut de préparation au retour à une alimentation plus classique. Avant même que le chien ne soit obèse, la prévention est un sujet qui mérite d être systématiquement évoqué avec les propriétaires de chiens, eu égard à la prévalence élevée de cette maladie dans l espèce canine. Le vétérinaire est amené à formuler des recommandations alimentaires et hygiéniques (activité physique) tout au long de la vie de son patient et en particulier à certains moments-clés de la vie (croissance, stérilisation, vieillissement, prescription de certains médicaments qui modifient le métabolisme énergétique ). La prévention de l obésité canine mériterait d être envisagée dans un cadre plus large que celui du cabinet vétérinaire. Les structures professionnelles vétérinaires et les média ont probablement un rôle à jouer pour la sensibilisation du public au risque de surpoids chez le chien. Conclusion Considérant que l obésité s avère être une maladie multifactorielle qui associe origine génétique, déséquilibres métaboliques et hormonaux, troubles du comportement alimentaire, pratiques nutritionnelles inadaptées et sédentarité, les modalités pratiques de prise en charge doivent être adaptées au cas par cas. Les approches classiques (diététique et hygiéniste) sont très logiquement au cœur du traitement. Si les régimes hypocaloriques, ménagers ou industriels (1), en association à des mesures d hygiène de vie, sont la plupart du temps très efficaces, la consultation de nutrition ne doit pas se résumer à une démarche caricaturale de prescription d un aliment hypocalorique. La prise en charge globale du patient doit s attacher à identifier, dans le cadre d une démarche médicale complète, les causes et les conséquences du surpoids. Au bilan, les modalités du traitement font appel à des mesures combinées de correction nutritionnelle, d activité physique encadrée, de prise en charge des troubles du comportement alimentaire et de prescription de médicaments spécifiques. Références bibliographiques 1. Blanchard G., Paragon B.M. - L alimentation des chiens. Conseils pratiques - Rations adaptées, 224 p., Éditions France Agricole, Blanckaert C. - L obésité, une maladie, pas seulement un état de fait. Pratique Vét., 2008, 43, Blanckaert C. - Prise en charge du chien obèse : une vision globale. Pratique Vét., 2009, 44, Blanckaert C. - Obésité du chien. 248 p., Éditions Masson, collection abrégés vétérinaires, Colliard L. et al. - Risk factors for obesity in dogs in France. J. Nutr., 2006, 136, 1951S-1954S. 6. Diez M., Nguyen P. - Obésité : épidémiologie, physiopathologie et prise en charge du chien obèse. In : Pibot P., Biourge V., Elliott D. Encyclopédie de la Nutrition Clinique Canine, Paris : Aniwa SAS, 2006, Laflamme D.P. - Development and validation of a body condition score for dogs. Canine Pract., 1997, 22, Martin L. et al. - Hormonal disturbances associated with obesity in dogs. J. Anim. Physiol. Anim. Nutr., (Berl.), 2006, 90,
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