Sofiane GUESSASMA 4 INRA, unité BIA, rue de la Géraudière, Nantes Nantes, FRANCE. sofiane.guessasma@nantes.inra.fr

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Sofiane GUESSASMA 4 INRA, unité BIA, rue de la Géraudière, Nantes 44316 Nantes, FRANCE. sofiane.guessasma@nantes.inra.fr"

Transcription

1 Simulation des Flux Thermiques lors du soudage TIG et prédiction de la taille des zones du cordon dans les tôles d Acier 304L, Partie A : Evolution D. Mouloud AISSANI 1, Abdelhalim ZITOUNI Mechanical and Metallurgical Division Welding and NDT Research Center (CSC) BP.64, Cheraga, ALGÉRIE m.aissani@csc.dz Rabah HAMZAOUI 3 Ecole Spéciale des T.P du Bâtiment et de l'industrie (ESTP) - 8, avenue du Président Wilson 9434 Cachan, FRANCE. hamzaoui@profs.estp.fr Sofiane GUESSASMA 4 INRA, unité BIA, rue de la Géraudière, Nantes Nantes, FRANCE. sofiane.guessasma@nantes.inra.fr Younes BENKEDDA 5 Département Mécanique, Université Saad Dahlab de Blida. BP 70, route de Soumaa. Blida, ALGÉRIE y_benkedda@yahoo.fr Résumé La connaissance du flux thermique et du champ de température lors d un procédé de soudage est primordiale pour toute étude du comportement thermique ou mécanique (ou métallurgique) des soudures. Dans le présent travail (Partie I), on détermine les vecteurs du flux thermique et le champ de température, à travers une simulation bidimensionnelle du phénomène de transfert de la chaleur, lors du soudage TIG (tungsten Inert Gas) des tôles d acier. Ainsi, on prédit l étendu des zones thermiques critiques d un cordon de soudure. Le calcul est effectué par la méthode des éléments finis. La source de chaleur du soudage TIG est modélisée par une source Gaussienne surfacique de forme bi-elliptique. Le maillage optimal du calcul ainsi que les rayons optimaux du modèle source thermique sont recherchés et déterminés. Parmi les résultats numériques présentés, on a les cycles thermiques à quelques points proches au cordon de soudure sur la tôle, où ils ont été l objet d une validation expérimentale. La comparaison avec l expérimental de ces différents cycles thermiques montre une bonne concordance. Cela a permis la prédiction de l étendu des zones critiques du cordon, lors du soudage, et comparer à d autres références. Ces résultats servent aussi à toutes études du comportement mécanique ou métallurgique ultérieurs. Mots clés Soudage TIG, Flux thermique, Acier 304L, MEF, température. I. INTRODUCTION L utilisation du soudage en remplacement du rivetage, lors de l assemblage, permet la minimisation du poids des structures de transport, c.à.d. l'allègement et l'économie de la matière. Cela permet aussi de réduire les coûts de fabrication et d exploitation qui préoccupent de plus en plus le domaine aéronautique. Mais, le soudage à l arc TIG qui est une opération d assemblage par la fusion des bords de pièces à assembler, induit des traitements et des effets thermiques à des températures très élevées. Ce qui engendre l apparition des zones à risques (Zone fondue ZF et zone affectée thermiquement ZAT), après soudage [1]. Dans certains cas, cela peut amener à des ruptures catastrophiques en service []. Alors, il faut obtenir une meilleure qualité de la soudure et éviter les éventuelles ruptures en service. La connaissance du flux thermique et la maîtrise de l étendu de ces zones thermique à risques sont importantes pour toute étude préventive de l effet des différents paramètres de soudage qui les influence. En conséquence, la direction des flux thermiques et les variations de température, en termes de vitesse de refroidissement local, déterminent l état microstructural et les propriétés mécaniques du cordon de soudure. Donc l étude thermique est primordiale pour toute étude d optimisation des caractéristiques des cordons de soudure ou amélioration de leur qualité. Dans ce cadre, notre travail fait suite à nos études antérieures de modélisation thermique [3,4] qui ont permis d avoir un modèle consistant de prédiction des champs thermique au cours de soudage. La source de chaleur du soudage TIG est modélisée par une source Gaussienne surfacique de forme bi-elliptique [4,5]. On utilise dans ce travail la méthode de résolution MEF en D (à travers le code ANSYS) pour simuler le champ thermique, les cycles thermiques et déduire l étendus des zones à risques [6]. Ainsi, l effet des paramètres de la source (rayons) sur la température sera recherché. Une validation expérimentale sera aussi menée dans ce travail. On rappel et on montre le procédé de soudage TIG par la

2 figure suivante (Figure 1). II. MODÉLISATION MATHÉMATIQUE A. Formulation, hypothèses et condition aux limites L équation de conduction de la chaleur (1) dans les tôles à souder 1& (Figure ) s écrit en générale [7] : T T T T Cp K. K. K. S (1) t x x y y z z 1 h,, Fig. 1. Procédé de soudage TIG. v Source thermique ZAT Fig.. Schéma du processus de soudage de deux tôles métalliques. Où T : Température ; t : Temps ; : Densité du matériau à souder ; Cp : Chaleur spécifique ; K : Conductivité thermique ; S : Source de chaleur (générée ou absorbée). Pour modéliser le processus, il est important d évoquer quelques hypothèses importantes [3, 6] : Les propriétés thermiques (K et.cp) du matériau sont fonction de la température [8] ; Le régime est transitoire et bidimensionnelle (0,x,y). Le cas tridimensionnel fait l objet d un travail ultérieur [11] ; Prise en compte du changement de phases dans les métaux à souder ; La source de chaleur est mobile et est répartie ; Les déperditions calorifiques par convection et rayonnement à travers les surfaces libres et les frontières de la pièce sont prises en compte. Pour bien poser le problème et avoir une solution unique, on résume les conditions aux limites comme suit : Au niveau des frontières, on a le flux q n égale à : 4 4 () q n h T T T T Tel que le flux est donné par l équation de Fourier : q K. T (3) n Au plan symétrique d assemblage, le flux de chaleur est nul donc : q n = 0. (4) La température initiale du matériau est supposée égale à la température ambiante T 0 =300 k. B. Modèle thermique de source d énergie : Le terme S de l équation (1) est la source de la chaleur qui s écrit selon le Modèle du bain de fusion bi-elliptique [3] (notre modèle), par une distribution surfacique Gaussienne (inspirer de l article du référence [5]). Pour le métal de base, c est l énergie interne générée : 4 4 S h T T T T Au niveau du cordon : 4 4 f ( x, y, t ) S h T T T T q 0 e Ce terme doit être représenté sous la forme linéaire : S = SC + SP*T p. (5) Tel que, la linéarisation de ce terme s obtient en utilisant la méthode de la tangente. Nous l adaptons sous une forme générale, équations (6), (Au niveau du métal de base et du cordon de soudure) comme suit : (,, ) ( ) 3 o4 4 f x y t SC cas ht T T cas q0e SP ( cas) h 4 T o3 (6) Où : cas = 0 => Au niveau du métal de base ; cas = 1 => Au niveau du cordon de soudure. Et l indice de T indique que la température est calculée à l instant précédent. Le coefficient q0 de l expression (6) de la source de chaleur est égal : 3Q où q0 Q U I rx ( ryav ryar)/ Tel que U : Tension électrique (V) ; I : l intensité de courant (A) ; : le rendement de l arc. La fonction f (, xyt,) est définie par : x ( yvt) f ( x, y, t) 3 r x r y Les rayons du bain bi-elliptique (rx, ryav et ryar ) sont définis de manière que 95% de la chaleur générée [9] soit contenue dans la bi-ellipse.

3 C. Résolution Numérique par la méthode des éléments finis MEF (sous le code ANSYS) La résolution du problème thermique du soudage est effectuée par la Méthode des Eléments Finis "MEF", réputée par sa puissance à résoudre des problèmes non linéaires et complexes. Tel que, la résolution est menée sous le code ANSYS [10] en utilisant l élément fini type PLAN55 pour les calculs en D et le type SOLID70 pour les calculs en 3D. Le premier élément est un quadrilatère à quatre nœuds et le second est un solide à huit nœuds. Vu la symétrie des plaques à soudées, on a choisi de mailler que la première plaque, où les nombres de nœuds (nd) sont aussi adoptés selon deux zones différentes pour affiner le maillage dans la zone de soudure et améliorer le calcul. III. RÉSULTATS DE LA SIMULATION BIDIMENSIONNEL (D) A. Effet du maillage sur la convergence des résultats Les résultats obtenus évoluent en fonction du maillage adopté et convergent vers la solution exacte. Afin d obtenir le maillage le plus adapté à notre modèle et qui permet la bonne convergence des résultats, nous avons effectué plusieurs maillages, selon différentes subdivisions du domaine en D (nx et ny) et en 3D (nx, ny et nz). On a constaté que, l obtention de la solution la plus proche de la réalité, nécessite d affiner suffisamment le maillage des zones de fort gradient thermique. Nous avons utilisé, pour cela, une variable Rp qui représente le rapport entre la taille d un élément de la frontière gauche (sur l axe X) et celui de l autre frontière liée à la ligne de soudage. La figure 3 montre un recueil de résultats de l effet du changement de la taille du maillage sur l évolution des maximas de la température du centre de la source (enveloppe des pics), au cours du soudage. Au début, la subdivision nx est fixée à 30 et le rapport Rp à 10 puis à 0 et on utilise les mêmes paramètres de la source de chaleur (rx=4.0 mm, ryav = 3.0 mm et ryar= 8.0 mm). Pour une faible taille du maillage (jusqu à ny=50), on constate que la solution présente des fluctuations et les résultats sont imprécis à cause du pas du temps assez grand par rapport aux caractéristiques du phénomène thermique. Pour ny comprise entre 50 et moins de 00, les résultats sont sans fluctuations et présentent une bonne courbure de l évolution des maximas de températures, les maillages utilisés dans ces cas sont acceptables. A partir de la valeur 00 pour ny, la solution oscille et diverge. Le meilleur compromis est donc le cas (60x10 avec Rp=0). B. Effet du changement des rayons du modèle source Bielliptique (rx, ryav et ryar) L optimisation des paramètres géométriques de la source est un problème délicat qui n est pas uniquement lié à la recherche d une solution convergente, mais doit aussi vérifier les résultats expérimentaux tout en utilisant plusieurs paramètres géométriques en même temps. Fig. 3. Effet du changement la taille du maillage sur la convergence des résultats thermiques. La figure 4 donne quelques résultats de l évolution des maximas de températures du centre de la source en changeant les rayons de ce modèle de source de chaleur (rx, ryav et ryar successivement). On a présenté quelques changements des rayons où en fixant par exemple les rayons avant et arrière de la bi-ellipse aux valeurs de 3 et 6 mm respectivement (selon l axe Y), et on fait varier le rayon transversal rx [6]. Les résultats montrent que lorsque la valeur de rx augmente, les températures des maximas de la phase quasistationnaire diminuent des valeurs où le bain de fusion est assez surchauffé ( 3000K) vers des valeurs en dessous de la fusion ( 1500K). Cette diminution globale de la chaleur introduite par la source est la conséquence de l élargissement de la surface bi-elliptique. La figure montre aussi une légère augmentation des maximas de température à la fin des courbes. Cela est dû à l effet de bord et à la fin du soudage sans phase de refroidissement. On remarque également que le temps nécessaire pour atteindre la température de fusion est globalement de quelques secondes ( 6s) et pour le régime quasi-stationnaire le temps nécessaire est de l ordre de 0s. La meilleure combinaison retenue des valeurs des rayons de notre modèle est celle qui donne des maximas légèrement supérieurs à 000 K. Fig. 4. Effet du changement des rayons du modèle source bielliptique sur l évolution des maximas de température.

4 C. Résultats retenus et validation 1) Maillage final de comparaison des résultats Le maillage final considéré est représenté sur la figure 5. Ce maillage est composé de 700 éléments et comporte 7381 nœuds. Les rayons optimisés de la source de chaleur sont : y x Direction de soudage Ligne de soudage rx=4.0 mm ; ryav = 3.0 mm et ryar= 8.0 mm. Le maillage présente une diminution de la taille des éléments finis le long de l axe X jusqu à la ligne de soudage (grâce au rapport Rp utilisé de l ordre de 0). ) Contours isothermes et champs thermiques Les figures 6.a,b,c,d montrent la répartition de température par les contours isothermes et les champs des températures (cartographies thermiques) sur l une des tôles assemblées ; aux instants (t=41s, 8s, 10s et 160s). Ces champs thermiques montrent l évolution de la température au cours du soudage et retracent la trajectoire de la source de chaleur. Les contours des résultats obtenus sont comparables à ceux obtenus par la méthode des volumes finis [4], les températures maximales sont presque les mêmes. On constate que les régions proches de la source sont soumises à des gradients de température très élevés. Les lignes des isothermes sont beaucoup plus denses en amont qu en aval de la source de chaleur, car la diffusion de chaleur et le déplacement de la source ont le même sens en amont mais opposé en aval. Fig. 5. Illustration du maillage opté de calcul. Fig. 6.a,b,c,d Lignes isothermes et champs thermiques ; a/ t =41s, b/ t =8s, c/ t =10s et d/ t =160.8s.

5 3) Les étendues des zones du cordon de soudure TIG Les étendues de différentes zones du cordon de soudure sont déduites à partir de la figure des contours des isothermes rapportés à la ligne du milieu du cordon. Delà, les étendues de la Zone Fondue (ZF) et de la Zone Affectée Thermiquement (ZAT) pour ce calcul D et ce matériau sont de l ordre de 1.9*=3.8mm et 5.mm respectivement (figure 6.b). Ces valeurs sont proches de celles obtenues par d autres méthodes numériques [4], et bien validées. 4) Flux thermique TF(le vecteur densité de flux thermique) Afin d avoir une idée plus claire sur le transfert thermique interne par conduction dans la tôle soudée en présence des gradients thermiques importants, nous avons évalué le flux thermique traversant la tôle à travers son vecteur densité TF. Cette densité du flux thermique (Watt/m ) est exprimée par la loi de Fourier (équation ). Elle dépend donc du gradient des températures. En utilisant la répartition thermique obtenue et par le code ANSYS, on détermine à l instant t=41s ce vecteur flux thermique TF (figure 7) et ses composantes en D (TFX et TFY) par les résultats suivants (figure 8). Vecteur Flux TF Min = 0.36e-9 Max = 0.110e+8 Fig. 7.. Répartition des vecteurs TF densités de flux thermique avec agrandissement. b/ Composante TFY Min = e+7 Max = 0.90e+7 a/ Composante TFX Min = e+7 Max = e-9 Fig. 8. a,b : Champs de répartition des composantes du vecteur densité de flux thermique ; a/ Composante sur l axe X (TFX), b/ Composante sur l axe Y (TFY).

6 La figure 7 montre une répartition typique du vecteur densité à l instant t=41s, ainsi qu un agrandissement de la zone de concentration de ces vecteurs. On constate que les vecteurs s orientent à partir des points de haute température vers les points de basses températures (énoncé de Clausius) et du centre de la source vers le reste de la tôle mais perpendiculairement aux surfaces entourant la source. Ceci s explique par la définition mathématique de ce flux qui est lié au gradient de température (loi de Fourier). Son intensité est maximale au centre de la source (elle est de l ordre de 11.0 Watt/mm ) et diminue au fur et à mesure que ce vecteur s éloigne de cette source, jusqu elle atteint des valeurs d ordre de quelques milliwatt/mm. Ce vecteur d intensité maximale est orienté d environ 45 par rapport à la ligne de soudage et comprend les composantes TFX et TFY. La distribution de ces deux composantes est montrée sur la figure 8.a,b. La répartition de la composante longitudinale TFY montre qu en amont de la source on a des valeurs positives et en aval de cette dernière, les valeurs sont négatives (sens opposé) mais de du même ordre de grandeur. On remarque aussi pour la composante TFX, une concentration au centre de la source avec des intensités du même ordre que précédemment. Sur le reste de la tôle, les intensités sont proches de zéro. 5) Cycles thermiques et validation La comparaison entre les cycles thermiques obtenus expérimentalement [4] pour les thermocouples A1 et A5 de la figure 9 et ceux obtenus par le calcul bidimensionnel [6] pour la même ordonnée, est montrée sur la figure 10. Donc, les relevés expérimentaux de température, par les thermocouples A1 jusqu à A5 en fonction du temps, sont présentés à la figure 9. On constate que l allure globale des courbes est la même pour les cinq thermocouples. C.à.d la température augmente rapidement en passant par un maximum, puis un refroidissement plus ou moins long au fil du temps. 1000, Température ( C) 500, 0, A3 Direction de soudage 00:00 03:18,500 06:37 Time (mn:s) Intervalle mineur = 00:19,850 A A4 A1 A5 Fig. 9. A5 A1 A4 A3 A5 A4 Line de soudage A3 A1 A Cycles thermiques expérimentaux de chaque thermocouple implanté Fig. 10. Cycles thermiques expérimentaux et numériques des thermocouples A1 et A5 avec un cycle thermique numérique A0 du milieu de cordon à la même ordonnée y. Le maximum présenté par les courbes a la forme d un pic fin, situant aux abords de la ligne de soudage et qui s émousse (jusqu à presque disparaitre) et décroit au fur et à mesure que la position des thermocouples s éloigne de cette ligne. On constate globalement de la figure 10, pour la phase de chauffage, une bonne concordance entre les résultats expérimentaux et ceux obtenus numériquement. Mais pour la partie de refroidissement, on remarque un décalage clair entre ces résultats, cela est dû au fait que la simulation D (par ANSYS) ne permet pas d avoir un refroidissement suffisant sur les surfaces de la tôle (supérieure + inférieure) afin d approcher au mieux les courbes expérimentales. Tandis que, ceci est bien atteint avec la simulation 3D réalisée dans un autre travail [11]. La figure 10 montre aussi une courbe d un cycle numérique d un point situé au milieu de la zone fondue A0. Ce résultat nous donne une information sur l ordre de grandeur de la température ( 050K) en ce point qui n est pas accessible pour la mesure expérimentale. CONCLUSION La modélisation et la simulation thermique bidimensionnelle du problème de soudage TIG des tôles d acier 304L, ont été menées conjointement avec une étude expérimentale de validation et de caractérisation. La simulation numérique a été effectuée par la méthode des éléments finis (MEF) en utilisant le code ANSYS. Sur la base des résultats expérimentaux obtenus, un travail d optimisation du maillage du domaine de calcul et des paramètres du modèle de source de chaleur, a permis d obtenir des résultats numériques concluants. Une bonne concordance des résultats est observée. L effet du changement de la taille du maillage et les paramètres de la source de chaleur sur l enveloppe des pics des cycles thermiques a bien été mis en évidence. Donc, la précision des résultats numériques dépend fortement des paramètres du modèle de source de chaleur utilisé et de la

7 finition du maillage appliqué. Cette étude a permis aussi de voir l effet des paramètres de soudage sur les évolutions de champs de température, les cycles thermiques, le flux thermique et les étendus des zones à risques (ZF et ZAT). Des simulations tridimensionnelles (3D) du même problème font l objet des travaux (Partie B) présentés ultérieurement [11]. RÉFÉRENCES [1] R. Blondeau, "Procédés et applications industrielles du soudage", Edition Lavoisier, France, 001. [] L. Witek, "Failure Analysis of the wing-fuselage connector of an agricultural aircraft", Engineering Failure Analysis, Vol.13, N.4, pp , 006. [3] M. Aissani, H. Maza, B. Belkessa, "Contribution à la modélisation du soudage TIG des tôles minces d acier austénitique 304L par un modèle source bi-elliptique avec confrontation expérimentale", J. Physique IV, Vol 14, pp 13-0, 005. [4] M. Aissani, D. H. Bassir, Y. Benkedda, "Thermal Simulation and Experimental Characterizations of Aeronautic Stainless Steel Welded by TIG process, Int. Review of Aerospace Engineering. Vol. 1 N 5, pp , 008. [5] J. Goldak, A. Chakravarti, M. Bibby, "A double ellipsoid finite element model for welding heat sources". IIW Doc N , [6] M. Aissani, "Simulation & Expérimentation en Soudage : Etude du Comportement Thermique et Mécanique des Métaux à Usage Aéronautique", Edi. Presses Académiques Francophones, Allemagne ISBN: , pp196, 07/014. [7] J. Goldak, & M. Akhlaghi, "Computer Simulation of Welding Processes: Chap II". In Springer US (Ed.), Computational Welding Mechanics, pp , 005. [8] M. Choi, R. Greif, & M. Salcudean, "A study of the heat transfer during arc welding with application to pure metals or alloys and low or high boiling temperature materials", Numerical Heat Transfer, vol.11n.4, pp , [9] J. Goldak, A. Chakravarti, M. Bibby, M. "A new finite element model for welding heat sources". Metallurgical Transactions B, V.15B, pp , [10] Ansys Inc. "Guide to ANSYS User Programmable Features". Ansys Release 11.0, 007. [11] M. Aissani, R. Hamzaoui, D. H. Bassir, S. Guessasma, Y. Benkedda, " Simulation des Flux Thermiques lors du soudage TIG et prédiction de la taille des zones du cordon dans les tôles d Acier 304L, Partie B : Evolution 3D", International conference IC-WNDT-MI 14, Annaba, Nov.014.

Influence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique

Influence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique SYMPOSIUM DE GENIE ELECTRIQUE (SGE 14) : EF-EPF-MGE 2014, 8-10 JUILLET 2014, ENS CACHAN, FRANCE Influence de la géométrie du conducteur sur la dans un poste sous enveloppe métallique Nesrine REBZANI 1,2,3,

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs.

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. H. ZAÏDI a, S. FOHANNO a, R. TAÏAR b, G. POLIDORI a a Laboratoire

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

Le turbo met les gaz. Les turbines en équation

Le turbo met les gaz. Les turbines en équation Le turbo met les gaz Les turbines en équation KWOK-KAI SO, BENT PHILLIPSEN, MAGNUS FISCHER La mécanique des fluides numérique CFD (Computational Fluid Dynamics) est aujourd hui un outil abouti de conception

Plus en détail

Fiche de lecture du projet de fin d étude

Fiche de lecture du projet de fin d étude GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &

Plus en détail

Simulation du transport de matière par diffusion surfacique à l aide d une approche Level-Set

Simulation du transport de matière par diffusion surfacique à l aide d une approche Level-Set Simulation du transport de matière par diffusion surfacique à l aide d une approce Level-Set J. Brucon 1, D. Pino-Munoz 1, S. Drapier 1, F. Valdivieso 2 Ecole Nationale Supérieure des Mines de Saint-Etienne

Plus en détail

SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE

SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce

Plus en détail

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»

Plus en détail

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s) Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS

Plus en détail

La soudure à l arc. électrique. Jean-Claude Guichard. Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11913-5

La soudure à l arc. électrique. Jean-Claude Guichard. Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11913-5 La soudure à l arc électrique Jean-Claude Guichard Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11913-5 INITIATION À LA SOUDURE 14 1-PRINCIPES DE BASE.............................. 16 LA SOUDABILITÉ DES ACIERS.........................................

Plus en détail

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

Chapitre 0 Introduction à la cinématique

Chapitre 0 Introduction à la cinématique Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à

Plus en détail

OPTIMISATION DE LA MAINTENANCE DES EQUIPEMENTS DE MANUTENTION DU TERMINAL A CONTENEURS DE BEJAIA (BMT)

OPTIMISATION DE LA MAINTENANCE DES EQUIPEMENTS DE MANUTENTION DU TERMINAL A CONTENEURS DE BEJAIA (BMT) OPTIMISATION DE LA MAINTENANCE DES EQUIPEMENTS DE MANUTENTION DU TERMINAL A CONTENEURS DE BEJAIA (BMT) LAGGOUNE Radouane 1 et HADDAD Cherifa 2 1,2: Dépt. de G. Mécanique, université de Bejaia, Targa-Ouzemour

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Manuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques

Manuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Titre : TTLV100 - Choc thermique dans un tuyau avec condit[...] Date : 02/03/2010 Page : 1/10 Manuel de Validation Fascicule V4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Document : V4.25.100

Plus en détail

ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION. Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique

ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION. Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique 1 ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique G. ALLAIRE 28 Janvier 2014 CHAPITRE I Analyse numérique: amphis 1 à 12. Optimisation: amphis

Plus en détail

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques

Plus en détail

Thermodynamique (Échange thermique)

Thermodynamique (Échange thermique) Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication

Plus en détail

Abstract : Mots clefs : Résistance thermique de contact ; Modèles prédictifs. 1 Introduction

Abstract : Mots clefs : Résistance thermique de contact ; Modèles prédictifs. 1 Introduction Étude comparative et validation de modèles prédictifs de résistance thermique de contact dans le cas solide-liquide avec prise en compte de la tension superficielle Saannibe Ciryle SOME a, Didier DELAUNAY

Plus en détail

LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation:

LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: 1 www.cetime.ind.tn LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: met à votre disposition des compétences et des moyens techniques pour vous assister dans vos démarches d innovation et d

Plus en détail

Les Conditions aux limites

Les Conditions aux limites Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,

Plus en détail

Confort thermique d un local d habitation: Simulation thermoaéraulique pour différents systèmes de chauffage

Confort thermique d un local d habitation: Simulation thermoaéraulique pour différents systèmes de chauffage Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 1 (2012) 91 102 Confort thermique d un local d habitation: Simulation thermoaéraulique pour différents systèmes de chauffage F. Boudali Errebai 1*, L. Derradji

Plus en détail

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques

Plus en détail

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide

Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide J.B. Campen Wageningen UR Glastuinbouw, Wageningen xxx 2007 Rapport xxx 2007 Wageningen, Wageningen UR Glastuinbouw Tous

Plus en détail

Fonctions de deux variables. Mai 2011

Fonctions de deux variables. Mai 2011 Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

Long Carbon Europe Sections and Merchant Bars. Poutrelle Angelina. L alchimie réussie entre résistance, légèreté et transparence

Long Carbon Europe Sections and Merchant Bars. Poutrelle Angelina. L alchimie réussie entre résistance, légèreté et transparence Long Carbon Europe Sections and Merchant Bars Poutrelle Angelina L alchimie réussie entre résistance, légèreté et transparence Poutrelle Angelina Une idée audacieuse adaptée à un produit industriel Plus

Plus en détail

Union générale des étudiants de Tunisie Bureau de l institut Préparatoire Aux Etudes D'ingénieurs De Tunis. Modèle de compte-rendu de TP.

Union générale des étudiants de Tunisie Bureau de l institut Préparatoire Aux Etudes D'ingénieurs De Tunis. Modèle de compte-rendu de TP. Union générale des étudiants de Tunisie Modèle de compte-rendu de TP Dipôle RC Ce document a été publié pour l unique but d aider les étudiants, il est donc strictement interdit de l utiliser intégralement

Plus en détail

Monitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments

Monitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments Monitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments Alexandre Nassiopoulos et al. Journée d inauguration de Sense-City, 23/03/2015 Croissance de la demande énergétique et

Plus en détail

TP 7 : oscillateur de torsion

TP 7 : oscillateur de torsion TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)

Plus en détail

Figure 3.1- Lancement du Gambit

Figure 3.1- Lancement du Gambit 3.1. Introduction Le logiciel Gambit est un mailleur 2D/3D; pré-processeur qui permet de mailler des domaines de géométrie d un problème de CFD (Computational Fluid Dynamics).Il génère des fichiers*.msh

Plus en détail

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent

Plus en détail

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE ÉPREUVE DE SCIENCES DE L INGÉNIEUR ÉPREUVE DU VENDREDI 20 JUIN 2014 Session 2014 Durée de l épreuve : 4 heures Coefficient 4,5 pour les candidats ayant choisi un

Plus en détail

Précision d un résultat et calculs d incertitudes

Précision d un résultat et calculs d incertitudes Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................

Plus en détail

Élan d ouverture. 30 fois plus rapide qu un battement de cil : ABB simule l extrême dans un disjoncteur CCHT

Élan d ouverture. 30 fois plus rapide qu un battement de cil : ABB simule l extrême dans un disjoncteur CCHT 30 fois plus rapide qu un battement de cil : ABB simule l extrême dans un disjoncteur CCHT Daniel Ohlsson, Jakub Korbel, Per Lindholm, Ueli Steiger, Per Skarby, Christian Simonidis, Sami Kotilainen L une

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

Texte Agrégation limitée par diffusion interne

Texte Agrégation limitée par diffusion interne Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse

Plus en détail

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre

Plus en détail

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

Fonction inverse Fonctions homographiques

Fonction inverse Fonctions homographiques Fonction inverse Fonctions homographiques Année scolaire 203/204 Table des matières Fonction inverse 2. Définition Parité............................................ 2.2 Variations Courbe représentative...................................

Plus en détail

Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker

Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker DeCarvalho Adelino adelino.decarvalho@iutc.u-cergy.fr septembre 2005 Table des matières 1 Introduction

Plus en détail

Contrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre.

Contrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre. Contrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre. Isabelle Bombard, Bruno da Silva, Pascal Dufour *, Pierre Laurent, Joseph Lieto. Laboratoire d Automatique

Plus en détail

On peut être «lourd» et agile!

On peut être «lourd» et agile! éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,

Plus en détail

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. . MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision

Plus en détail

Coup de Projecteur sur les Réseaux de Neurones

Coup de Projecteur sur les Réseaux de Neurones Coup de Projecteur sur les Réseaux de Neurones Les réseaux de neurones peuvent être utilisés pour des problèmes de prévision ou de classification. La représentation la plus populaire est le réseau multicouche

Plus en détail

La demande Du consommateur. Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal

La demande Du consommateur. Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal La demande Du consommateur Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal Plan du cours Préambule : Rationalité du consommateur I II III IV V La contrainte budgétaire Les préférences Le choix optimal

Plus en détail

TP2 ACTIVITE ITEC. Centre d intérêt : AUBE D UN MIRAGE 2000 COMPORTEMENT D UNE PIECE. Documents : Sujet Projet Dossier technique - Document réponse.

TP2 ACTIVITE ITEC. Centre d intérêt : AUBE D UN MIRAGE 2000 COMPORTEMENT D UNE PIECE. Documents : Sujet Projet Dossier technique - Document réponse. ACTIVITE ITEC TP2 Durée : 2H Centre d intérêt : COMPORTEMENT D UNE PIECE AUBE D UN MIRAGE 2000 BA133 COMPETENCES TERMINALES ATTENDUES NIVEAU D ACQUISITION 1 2 3 * * Rendre compte de son travail par écrit.

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

Analyse statique d une pièce

Analyse statique d une pièce Analyse statique d une pièce Contrainte de Von Mises sur une chape taillée dans la masse 1 Comportement d un dynamomètre On considère le dynamomètre de forme globalement circulaire, excepté les bossages

Plus en détail

La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS

La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS Rev. Energ. Ren. : Chemss 2000 39-44 La Recherche du Point Optimum de Fonctionnement d un Générateur Photovoltaïque en Utilisant les Réseaux NEURO-FLOUS D.K. Mohamed, A. Midoun et F. Safia Département

Plus en détail

Le polissage par laser

Le polissage par laser B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques

Plus en détail

SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE

SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE Sébastien LALLECHERE - Pierre BONNET - Fatou DIOUF - Françoise PALADIAN LASMEA / UMR6602, 24 avenue des landais, 63177 Aubière pierre.bonnet@lasmea.univ-bpclermont.fr

Plus en détail

INFO SOUDAGE LE SOUDAGE PAR FRICTION, UN PROCEDE DE SOUDAGE MULTIPLE ET INNOVATEUR

INFO SOUDAGE LE SOUDAGE PAR FRICTION, UN PROCEDE DE SOUDAGE MULTIPLE ET INNOVATEUR LE SOUDAGE PAR FRICTION, UN PROCEDE DE SOUDAGE MULTIPLE ET INNOVATEUR PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT, CLASSEMENT, APPLICATIONS & AVANTAGES Cet article passe en revue le principe de fonctionnement du soudage

Plus en détail

Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires

Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires 25 Lechapitreprécédent avait pour objet l étude decircuitsrésistifsalimentéspar dessourcesde tension ou de courant continues. Par

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

FEMAP. Environnement d analyse d ingénierie actuel le plus avancé. Des réponses pour l industrie.

FEMAP. Environnement d analyse d ingénierie actuel le plus avancé. Des réponses pour l industrie. FEMAP Environnement d analyse d ingénierie actuel le plus avancé Des réponses pour l industrie. Simulation numérique de pointe Pourquoi utiliser la simulation numérique? La pression du marché, imposant

Plus en détail

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version

Plus en détail

Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR

Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR Introduction En analyse d images, la segmentation est une étape essentielle, préliminaire à des traitements de haut niveau tels que la classification,

Plus en détail

Nombre dérivé et tangente

Nombre dérivé et tangente Nombre dérivé et tangente I) Interprétation graphique 1) Taux de variation d une fonction en un point. Soit une fonction définie sur un intervalle I contenant le nombre réel a, soit (C) sa courbe représentative

Plus en détail

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS) apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

Problèmes sur le chapitre 5

Problèmes sur le chapitre 5 Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire

Plus en détail

OM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables

OM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.

Plus en détail

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du

Plus en détail

Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée

Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée P. Schaumann, T. Trautmann University of Hannover Institute for Steel Construction, Hannover, Germany 1 OBJECTIF

Plus en détail

3 Approximation de solutions d équations

3 Approximation de solutions d équations 3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle

Plus en détail

L efficience énergétique...

L efficience énergétique... ......Une technique intelligente de régulation au service Edgar Mayer Product Manager CentraLine c/o Honeywell GmbH 02 I 2009 Grâce aux techniques de régulation intelligentes d aujourd hui, il est possible

Plus en détail

Introduction au maillage pour le calcul scientifique

Introduction au maillage pour le calcul scientifique Introduction au maillage pour le calcul scientifique CEA DAM Île-de-France, Bruyères-le-Châtel franck.ledoux@cea.fr Présentation adaptée du tutorial de Steve Owen, Sandia National Laboratories, Albuquerque,

Plus en détail

1 Mise en application

1 Mise en application Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau

Plus en détail

Réseau SCEREN. Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la. Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel.

Réseau SCEREN. Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la. Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Campagne 2013 Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté, adapté

Plus en détail

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007 Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................

Plus en détail

Les nouveautés de Femap 11.1

Les nouveautés de Femap 11.1 Siemens PLM Software Les nouveautés de Femap 11.1 Amélioration de la productivité des Ingénieurs calcul Avantages Manipulation plus rapide des modèles grâce à des performances graphiques améliorées Flexibilité

Plus en détail

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à

Plus en détail

BTS Groupement A. Mathématiques Session 2011. Spécialités CIRA, IRIS, Systèmes électroniques, TPIL

BTS Groupement A. Mathématiques Session 2011. Spécialités CIRA, IRIS, Systèmes électroniques, TPIL BTS Groupement A Mathématiques Session 11 Exercice 1 : 1 points Spécialités CIRA, IRIS, Systèmes électroniques, TPIL On considère un circuit composé d une résistance et d un condensateur représenté par

Plus en détail

CAPTEURS - CHAINES DE MESURES

CAPTEURS - CHAINES DE MESURES CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,

Plus en détail

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE

Plus en détail

Des solutions d analyse par éléments finis haut de gamme pour l environnement Windows. www.siemens.com/plm/femap

Des solutions d analyse par éléments finis haut de gamme pour l environnement Windows. www.siemens.com/plm/femap Femap: Des solutions d analyse par éléments finis haut de gamme pour l environnement Windows Siemens PLM Software www.siemens.com/plm/femap Le développement de produits exceptionnels qui répondent aux

Plus en détail

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS

Plus en détail

Réalisation d un dispositif de mesure de la conductibilité thermique des solides à basses températures

Réalisation d un dispositif de mesure de la conductibilité thermique des solides à basses températures Réalisation d un dispositif de mesure de la conductibilité thermique des solides à basses températures P.L. Vuillermoz, P. Pinard, F. Davoine To cite this version: P.L. Vuillermoz, P. Pinard, F. Davoine.

Plus en détail

Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton

Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Basé sur l expérience, piloté par l innovation L activation du noyau de béton : un système bien conçu, économe et durable. Construire selon ce principe,

Plus en détail

Etude Expérimentale d un Echangeur Thermique en Polypropylène Application au Conditionnement des Aquariums

Etude Expérimentale d un Echangeur Thermique en Polypropylène Application au Conditionnement des Aquariums Rev. Energ. Ren. : Journées de Thermique (2001) 103-108 Etude Expérimentale d un Echangeur Thermique en Polypropylène Application au Conditionnement des Aquariums M. Hazami, C. Kerkeni, A. Farhat, S. Kooli,

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail

Optimisation des performances d échangeurs de chaleur.

Optimisation des performances d échangeurs de chaleur. Journée d étude SFT 16/03/2011 Echangeurs thermiques et multi-fonctionnels : enjeux, applications et axes de recherche Optimisation des performances d échangeurs de chaleur. École des Mines de DOUAI 941

Plus en détail

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,

Plus en détail

Programmation linéaire

Programmation linéaire 1 Programmation linéaire 1. Le problème, un exemple. 2. Le cas b = 0 3. Théorème de dualité 4. L algorithme du simplexe 5. Problèmes équivalents 6. Complexité de l Algorithme 2 Position du problème Soit

Plus en détail

Étude d un système solaire thermique : Effet de l orientation des panneaux solaires

Étude d un système solaire thermique : Effet de l orientation des panneaux solaires Étude d un système solaire thermique : Effet de l orientation des panneaux solaires Saoussen Khalfallaoui, Dominique Seguin, Moulay Ahmed Adelghani-Idrissi LSPC Université de Rouen IUT 8 Rue Lavoisier

Plus en détail