Rapport mensuel de la sécurité alimentaire au Tchad: le 23 Juillet 2003
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- Coralie Pageau
- il y a 8 ans
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1 Rapport mensuel de la sécurité alimentaire au Tchad: le 23 Juillet 2003 RESUME La situation alimentaire reste relativement satisfaisante dans la majeure partie des départements du pays pendant cette période de campagne agricole Il existe cependant des poches d insécurité alimentaire dans le pays, notamment les deux departements de Tandijilé et celui de Kanem. La campagne agricole se poursuit normalement dans les principales zones agricoles du pays. Plusieurs stations pluviométriques ont enregistré jusque là un cumul supérieur à l année dernière. FEWS NET a rapproché quelques paysans des localités de Massaguet, Massakory, Karal, Linia et Mandalia (village situé à un rayon de kilomètres de N Djamena). Ces derniers affichent une sérénité pour ce début de la campagne agricole. La situation phytosanitaire est généralement calme. Des éclosions localisées des larves des sautériaux sont signalés dans les secteurs de Massakory et Dougia situés respectivement à 150 et 70 kilomètres environ au nord et à l ouest de N Djamena.. Le pâturage s est considérablement amélioré dans la zone soudanienne et une partie de la zone sahélienne. Les mares sont gorgées d eau et les animaux s abreuvent dans des conditions satisfaisantes. Quelques cas de charbons bactéridiens et symptomatiques sont signalés dans le département de Hadjer Lamis. La mission d enquête rapide de FEWS NET a constaté que le retard de la mise en place des vaccins contre ces maladies a causé la mort de quelques bovins dans le village Annahla situé à une soixantaine de kilomètres au nord de N Djaména. Les 4 marchés suivis par FEWS NET sont bien approvisionnés en céréales et les prix connaissent une baisse modérée par rapport au mois dernier. Ceci s explique par le bon démarrage de la campagne agricole dans plusieurs départements. Compte tenu de l insuffisance du stock de l Office National pour la Sécurité Alimentaire (ONASA) et les moyens de transport, le Comité Directeur du Comité d Action pour la Sécurité Alimentaire et la Gestion des Crises (CASAGC) s est réuni en date du 3 juin Le comité a décidé dans un premier temps d acheminer des vivres dans les zones exposées à plus d insécurité alimentaire. Ces zones sont les deux départements de Tandjilé et le département du Kanem.
2 1. Situation agrométéorologique 1.1 Situation pluviométrique de quelques stations Au niveau national selon la Direction des Ressources en Eau et de la Météorologie (DREM), à la fin de la deuxième décade de juillet, plusieurs stations ont enregistré un cumul compris entre 57 mm dans la zone sahélienne et mm dans la zone soudanienne. En faisant une analyse comparative, un certain nombre de stations sont excédentaires par rapport à l année dernière et à la normale. La mission de routine (d une journée) que FEWS NET a effectué dans le département de Hadjer Lamis à la fin de la première décade de juillet confirme que 8 stations de ce département ont enregistré un cumul fin juin 2003 supérieur à celui de l année dernière à la même période. Les écarts sont assez significatifs plus particulièrement pour les stations de Karal, Mani et Massaguet qui ont dépassé les 100 mm alors que l année dernière les stations de Sagour et Karal n avaient pas enregistré de pluie à la fin du mois de juin L espoir renaît du coté des agriculteurs qui sont concentrés sur l entretien des premiers semis Semis et stade de culture Les données sur les dates de semis dans les principales zones agricoles du pays tardent à venir à la direction de l Office National du Développement Rural (ONDR), principal informateur du ministère de l agriculture. Cela est dû aux difficultés financières que rencontre cette direction. Les agents sur le terrain se déplacent difficilement. Selon les informations qui parviennent par quelques messages radios des provinces aux membres de Groupe de Travail Pluridisciplinaire (GTP) les semis sont d une manière générale précoces par rapport à l année dernière. L équipe de FEWS NET a effectué une mission de routine dans le département de Hadjer Lamis et a constaté une hétérogénéité sur les dates de semis. La première pluie utile est tombée le 29 mai 2003 (35.7 mm). Certains paysans ont semé le lendemain. D autres ont attendu la pluie de la fin de la première décade de juin (60.5 mm) pour procéder au semis. Selon plusieurs agriculteurs rencontrés sur le terrain et les techniciens de l ONDR, les semis généralisés ont eu lieu à la première moitié de la deuxième décade de juin Par rapport à l année dernière, les semis généralisés ont été précoces. L ONDR - Massaguet a remarqué que l année dernière les semis dans son secteur a eu lieu le 12 juillet 2002, soit un retard d un mois par rapport à la campagne en cours. Le secteur de Dougia affirme que, dans son secteur, les dates de semis sont en avance de deux semaines par rapport à l année dernière. Selon l avis de tous, la campagne agricole a bien démarré dans les deux secteurs de Massakory et de Dougia. Dans la sous préfecture de Mandalia (département de Hadjer Lamis), les semis sont précoces par rapport à l année dernière. Certains paysans ont semé à sec (mil) fin mai, d autres ont semé avec les premières pluies (mi-juin) et ceux qui ont eu peur de la divagation des animaux des nomades ont semé pendant la première décade de juillet. 2
3 Le stade phénologique varie de levée à tallage avec une prédominance de tallage. Certains champs sont envahis par les mauvaises herbes. D autres sont bien entretenus. Aucun ennemi de culture n a été signalé au moment du passage de la mission. 2. Pâturage et points d eau Fig.1 NDVI deuxième décade de juillet 03. Source NOAA. Interprétation FEWS NET Tchad Le pâturage continue à s améliorer dans la plupart des localités visitées courant juillet par FEWS NET. Ailleurs dans le pays seul le centre de Biltine, Batha et Kanem connaissent un début d émergence de la biomasse (fig. 1). Au sud de ces départements le tapis herbacé varie de moyen à bon. Le bétail n a pas encore retrouvé son embonpoint dans les zones visitées mais de l avis de la plupart des personnes interrogées et des observations de FEWS NET,,l alimentation des animaux est assurée depuis le début de la première décade de juillet Par rapport à l année dernière, l émergence de pâturage de la campagne en cours a été précoce. L année dernière c était à la dernière décade de juillet 2002 que les animaux ont commencé à brouter le pâturage hivernal dans le département de Hadjer Lamis. La plupart des mares sont partiellement gorgées d eau ; ce qui permet aux animaux de s abreuver dans des conditions satisfaisantes. Le seul problème réside sur les maladies telluriques et les diahrées saisonnières. La campagne de vaccination contre le charbon symptomatique et bactéridien a démarré par endroits dans le secteur de Massakory. C est un bon signe de prévention contre ces maladies qui causent parfois des mortalités assez élevées dans le secteur. 3. Situation alimentaire des zones visitées par FEWS NET Compte tenu de certaines informations faisant état des difficultés alimentaires dans quelques localités du département de Hadjer Lamis et comme les distances n excèdent pas 200 kilomètres de N Djamena, FEWS NET a jugé utile de faire un déplacement aller-retour (d une journée) pour s enquérir de la situation sur le terrain. Fig.2 Zone visitée par la mission 3
4 Dans la sous-préfecture rurale de Massakory, la situation alimentaire est assez bonne malgré une augmentation de prix de mil de 10% par rapport au mois dernier. Le marché de Massakory n est pas suivi régulièrement par FEWS NET comme les 4 autres marchés où les prix ont baissé par rapport au mois dernier. Les disponibilités en céréales restent moyennes sur le marché de Massakory et Bachom que FEWS NET a visité. Le berbéré, le mil et le maïs sont vendus en détail par les femmes ainsi que quelques sacs de mil et berbéré et de maïs par quelques grossistes. Par contre une grande partie de la population des trois villages de la sous-préfecture rurale de Massaguet (Karmé, Chawaye et une partie de Benisset) éprouvent des difficultés à s alimenter régulièrement à cause de manque de production et de revenus.. FEWS NET a aussi observé les vendeuses du lait qui ont démarré timidement leur activité. Quelques collecteurs de lait avec des bidons de 40 litres sont aussi observés dans certains villages comme Lamadji, Pont Belilé, Djarmaye et Annahla. Toutes ces observations montrent que la situation alimentaire des éleveurs et quelques agropasteurs commencent à s améliorer dans le département de Hadjer Lamis. Les produits de vente de lait générant des revenus qui permettent à une catégorie de ménages de se procurer des céréales et des condiments pour assurer le repas.. Pour les plus démunis, les dernières stratégies d adaptation en cette période de soudure sont en train d être intensifiées pour subvenir au besoin des ménages. 4. Stratégie d adaptation des ménages Les stratégies pendant cette période de soudure sont orientées vers les travaux dans les champs (sarclage, semis) moyennant une indemnité fixe en nature ou en espèce (métayage) au cours d une demi-journée. L équipe de FEWS NET a interrogé deux travailleurs exerçant dans le champ des particuliers. Selon ces paysans la moyenne d indemnité journalière tourne autour de 300 F cfa. De fois après une journée de travail dans un champ, le propriétaire accorde un coro (2,5 kg) de sorgho qui coûte entre 225 à 300 Fcfa. Les femmes pilent le mil, le sorgho ou le maïs chez des ménages un peu aisés moyennant une somme de 150 à 200 F par sac de 100kg, pilé en un jour, plus le son. Certains hommes continuent à pétrir la boue pour le crépissage des murs et les traditionnelles ventes de fagots et de charbon. Les travailleurs saisonniers ayant séjourné dans les grands centres du pays sont rentrés dès les premières pluies pour préparer leur champ ou aider leur famille restée sur place. Selon le chef de secteur certains ont rapporté à leur famille un peu de céréales, du sucre et du thé et des habits pour leur progéniture. Cela stimulerait ces ménages à s adonner aux travaux champêtres qui ont débuté le mois dernier. 4
5 5. Programme d intervention dans les zones à risque Fig 2. Zone d insécurité alimentaire Le Comité Directeur du Comité d Action pour la sécurité alimentaire et la gestion des crises (CASAGC) vient de décider d envoyer des vivres sous forme de vente subventionnée dans les départements du Kanem et les deux Tandjilés dont une partie de la population éprouve des difficultés à se nourrir. Le Kanem est une zone structurellement déficitaire en céréales et les deux Tandjilés pratiquent le riz comme culture de base. La mauvaise répartition de la pluviométrie et la pression des ennemis de culture ont amoindri sensiblement les récoltes de ces départements. Ainsi le département de Tandjilé Est par exemple a accusé un déficit de 9770 tonnes selon la Direction de la Statistique Agricole (DSA). La production du mil dunaire dans le Kanem pour la campagne etait de 2490 tonnes contre 9280 tonnes pour la campagne Kanem L intensification des stratégies d adaptation (travaux saisonniers, exode et envoi des biens en nature ou en espèce par les migrants) ont été certes bénéfiques mais restent insuffisantes jusqu à la prochaine récolte. C est ainsi que 1000 tonnes de céréales sont en train d être acheminées dans le Kanem et 1000 autres tonnes pour les deux Tandjilés. La Coopération Française a donné son accord pour la prise en charge du transport. 6. Impacts du revenu pétrolier sur la sécurité alimentaire et les revenus au niveau de ménages A partir de juillet 2003 le Tchad va produire barils par jour et avec un prix moyen de 18,5 dollars le baril, le Produit Intérieur Brut (PIB) serait de 13%. Mais avec une hypothèse de prix de baril à 25 dollars, le PIB serait de 17,5%. Donc, en 2004 la croissance du PIB passera de 9,7 à 40%. Il y aura aussi une augmentation généralisée de prix. L'inflation qui était de 12,4% en 2001 a baissé à 5,2% en 2002 pour rebondir à 10% en Certaines prévisions augurent avec l'année La campagne agricole 2002/03 a été moyen et les prix vont sans doute augmenter dans l'avenir. Le déficit en 2002/03 net et immédiat est de tonnes selon la direction de la statistique agricole (DSA). A raison de 169 Fcfa le kg de mil penicillaire (prix moyen de juillet 2003 à N Djaména), il va falloir rechercher 3,718 milliards de Fcfa pour combler le déficit. Les produits locaux occupent 77% des produits de consommation et ceux importés 23%. Les produits alimentaires occupent 59% du panier de la ménagère qui est composé en majorité de céréales. 5
6 Sur le plan économique, le revenu pétrolier va faire un boom économique. En termes de retombées, l'augmentation du budget des secteurs prioritaires (santé et éducation) sera de 30% en En 2005, le budget va augmenter de 40% et ça va s'étaler jusqu'à 15 ans. Si le Tchad va investir dans le secteur de production agricole et l'élevage on aura à moderniser ces 2 secteurs. Sinon, le Tchad risque de tomber dans la situation du Gabon où l'agriculture n'est pas développée et l'industrie du bois est à l'état sauvage. Quant à la politique fiscale, on peut dire qu'il y aura une amélioration en termes de recettes. En termes de dépenses on risquerait d'avoir des problèmes avec le revenu du pétrole. Bien sur il y a une loi qui fixe la répartition de revenu du pétrole, la taxation et les redevances. Mais cette loi a ses limites. Le Tchad reçoit 12,5% du prix de baril et c'est automatique dès que ça sort puisque pas de taxes jusqu'a 5 ans. Avec le revenu pétrolier, on passera aussi de la phase extensive à la phase intensive et donc augmenter leur rendement. Exemple : achat des tracteurs pour une agriculture mécanisée et achat des engrais pour améliorer le sol. Ces deux facteurs vont augmenter le rendement qui va par conséquent causer une réduction de l'inflation qui est souvent locale depuis plusieurs années (de 1995 a 1998 elle était importée selon l'effet de la dévaluation), après il y a eu stabilisation et actuellement baisse. Une baisse de l'inflation va agir sur la vie des ménages pauvres et moyens. Ca c'est l'impact du pétrole à moyen terme (2-3 années) si on arrive à injecter dans les deux secteurs de l'agriculture et de l'élevage. A long terme, c'est l'investissement effectué dans les 2 secteurs santé et éducation (social). Effets économiques, le capital humain ne peut être formé que dans l'éducation ; si les occidentaux se portent bien c'est parcequ'ils ont des spécialistes. Effet social : santé de la nation. Ils travaillent mieux. Ca c'est aussi un des effets positifs du revenu pétrolier. Infrastructures routières : Si l on investit dans les grands axes (construction des routes) qui vont relier les centres urbains des uns et des autres ça va permettre un développement harmonieux du pays ; c est à dire les villes vont se rapprocher des campagnes. Les produits agricoles de la campagne vont se déverser vers les grandes villes et les produits industriels vont aller vers les campagnes et cela avec un temps record. Ce problème de conservation des produits ne va pas se poser. Par exemple, si on arrive à mécaniser le sorgho de décrue ( berbéré) au Salamat et que si l'axe N'Djaména-Mongo est goudronné, ça va remonter et accélérer le développement économique. Tout ce qui est produit est immédiatement consommé et on continue à produire et le cycle est accéléré. Bongor est un autre exemple : depuis que l'axe Bongor-N'Djamena est bitumé, en un jour les horticulteurs et les commerçants des légumes emmènent la salade et la tomate à N'Djamena et repartent avec du poisson frais. 7. Accessibilité Alimentaire a) Prix du Marché 6
7 Fcfa/kg Juillet 02 Graphique 3: Prix moyens mensuels du mil sur les 4 principaux marchés du Tchad Juillet 2002 à Juillet 2003 Août 02 Sept 02 Analyses FEWS NET Chad; Source: SIM En ce début de la période de soudure, le prix de mil a connu une baisse dans les quatre marchés suivis par FEWS NET. Le kg de mil penicillaire coûte 160 Fcfa à Abéché soit une baisse de 9% et 5% par rapport à juin vement. Mais il est 2003 et par rapport à la moyenne des 5 dernières années respecti resté stable comparé à la même période de l année dernière. Cette baisse s explique par trois raisons : 1) une pluviométrie suffisante et bien repartie jusque là ; 2) déstockage au niveau des commerçants et des ménages riches et moyens, et ; 3) des marchés suffisamment approvisionnés. La même tendance est observée dans les marchés de Moundou (-10%), de Sarh (-5%) et de N Djaména (-3%). Il est en baisse 38% à Moundou, de 45% à Sarh et de 16% à N Djamena par rapport à la même période de Il reste aussi bas (-5% à Abéché, -40% à Moundou et -29% à Sarh) par rapport à la moyenne de la période des cinq dernières années. Avec un bon début de campagne agricole associé au niveau actuel des prix,, une bonne production agricole se pointe à l horizon sauf imprévu des aléas climatiques en août et septembre. b) Termes d échanges Oct 02 Nov 02 Dec 02 Jan 03 Fev 03 Mois Mars 03 Avril 03 Mai 03 Le marché de bétail est caractérisé par une baisse saisonnière de l offre et des ventes des bovins et petits ruminants sur les marchés hebdomadaires de Hadjer Lamis (N djaména, Dourbali, Massaguet, Linia, etc..). En cette période de saison des pluies, l offre des bovins et ovins baisse à Hadjer Lamis et sur les marchés d exportation de Dourbali et de regroupement de Linia. Par contre la tendance est à la hausse sur le marché de Massaguet (collecte) grâce à la présence des nomades 0 0 en phase de remontée vers la zone Prix du mouton e. FEWS NET/Tchad Prix du mil(100kg) sahélienn Source: SIM et FEWS Net Tchad Kg du mil par mouton C est pourquoi depuis le début du mois de juillet, les ovins et les caprins qui transhument sont peu présents au sud du 13 ème parallèle. Par conséquent, il y a une baisse d exportation vers Bangui en provenance du Tchad et du Soudan. Francs CFA juillet-02 Abéché Sarh Juin 03 Juillet 03 Moundou N'Djaména Graphique 4. Termes d'échanges mouton/mil sur le marché de N'Djaména juillet juillet 2003 Sept 02 Octobre 02 Nov. 02 Dec. 02 Jan. 03 Fev. 03 Mars 03 Avril 03 Mai 03 Juin 03 Juillet 03 Kg du mil par mouton de 7
8 Cette progression des prix s explique par une remontée des nomades et les fortes demandes régionales et locales qui orientent les cours des moutons à la hausse. La hausse des cours des ovins se poursuit sur les marchés de la capitale du fait aussi d une demande soutenue de la part du Nigeria, du Cameroun et de la RCA, mais aussi d une progression de la consommation locale. Ainsi, les cours progressent en moyenne de 3% pour le mouton N Djamenois. Le mouton se vend à Fcfa à N djamena contre FCFA en juin 2003 et Fcfa en juin Cette hausse est aussi due à l amélioration de l état des animaux présentés. Du fait de la hausse des prix de mouton (3%) et de la baisse du prix de mil sur le marché de N Djamena (-3%), les termes d échanges de l éleveur vendeur de mouton se sont améliorés de juin à juillet 2003, car il peut échanger son mouton contre 104 kg de mil soit un peu plus d un sac de 100 kg (graphique 4). Recommandations - Les ménages pauvres des villages de Karmé, Chawaye et une partie de Benissate doivent bénéficier d une aide alimentaire sous forme subventionnée par l ONASA pour bien mener à terme la présente campagne agricole. - Les produits phytosanitaires doivent être apprêtés incessamment dans les secteurs de Massakory et de Douguia vu l éclosion des larves des sautériaux qui menacent les cultures. - Les vaccinations contre les maladies telluriques doivent être intensifiées dans les deux secteurs. 8
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