CTEF de l Est lyonnais FICHES ACTIONS 2010
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- Marie-Paule Charpentier
- il y a 8 ans
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1 CTEF de l Est lyonnais FICHES ACTIONS 2010 Novembre 2009
2 s Une meilleure prise en compte des données économiques du territoire au profit de la gestion locale de l emploi Consolider le développement de l activité et de l emploi Sécuriser les parcours Soutenir l accompagnement des personnes dans l emploi Favoriser la mise en place des préconisations de l action «Pour des Emplois stables et durables» portée par la MRIE, ARAVIS et Uni-Est. Projet 1 : Pérenniser la démarche expérimentée en 2008 Projet 2 : Poursuivre la mise en œuvre d un accompagnement collectif Sécurise RA en expérimentant une nouvelle approche d accompagnement. Projet 3 : Faire de l ingénierie de formation pour mettre en place une formation collective de tutorat dans l entreprise. OBJECTIFS DE L ACTION : La volonté des acteurs est de poursuivre en priorité une action permettant la mise en réseau des acteurs et la pérennisation d un groupe mixé sur le territoire. A savoir : - la mise en réseau des acteurs : créer des lieux d échanges pour permettre aux acteurs de se réunir et d échanger sur les problématiques de recrutement et d intégration des salariés. - le maintien d un groupe «mixé» sur le territoire réunissant des employeurs, des intermédiaires de l emploi et demandeurs d emploi ; un groupe ressource pouvant être sollicité par tout acteur sur les questions d emploi. L enjeu est de créer des liens plus forts et plus réguliers entre les acteurs sur le territoire, pour partager et construire ensemble des réponses adaptées aux difficultés rencontrées dans l accès et le maintien dans l emploi. Il est proposé ainsi d animer et structurer des réseaux sur le territoire : - un réseau d entreprises : mise en commun de pratiques, collaboration dans des actions telles qu une formation au tutorat, une opération collective portant sur les pratiques de recrutement, d intégration et de fidélisation sur des postes peu qualifiés, dans le cadre du dispositif Sécurise RA - un réseau pour les intermédiaires de l emploi : échanges de pratiques, d outils, coopération - un réseau avec les structures qui animent des groupes de demandeurs d emploi dans des démarches collectives, et qui souhaiteraient proposer à ces demandeurs d emploi de participer au groupe mixé, en le soutenant dans cet engagement Le groupe mixé rassemblera des participants de ces réseaux pour partager les expériences et avoir un regard croisé sur différents sujets liés à l emploi. Les différents réseaux constitueront un «terreau» à ce groupe mixé, qui pourra ainsi s enrichir de travaux divers. Uni-Est MRIE ARAVIS Ce projet fait suite à une expérimentation menée en 2008 sur la ZTEF de l Est-lyonnais, intitulée «Pour des emplois stables et durables dans l est-lyonnais regards croisés». Il s agissait d un projet participatif, expérimental et innovant autour des questions d intégration professionnelle des personnes en situation de précarité (accès et maintien dans l emploi) en associant à la réflexion des demandeurs d emploi et salariés précaires, des intermédiaires de l emploi et des employeurs. 2
3 Ce projet est né du constat suivant : La précarité du marché du travail est particulièrement visible sur l est-lyonnais : l accès à l emploi ne constitue pas la difficulté majeure, même si elle existe ; le maintien dans l emploi est plus problématique et devient l enjeu fort pour ce territoire. De nombreux secteurs d activité connaissent des difficultés de recrutement alors que des personnes sont en recherche d emploi. Cette rencontre entre l offre et la demande peut se faire mais elle n engendre pas pour autant une relation durable et pérenne. Les raisons sont multiples, et on peut identifier entre autre un manque de qualification du public, un accueil du salarié difficile dans l entreprise dû à des pratiques d intégration encore inadaptées et insuffisantes, et une préparation du public qui reste insuffisante en amont (mauvaise connaissance des secteurs d activité, des droits et devoirs en entreprise etc.). Les responsabilités sont partagées entre les acteurs. Ainsi, la MRIE (Mission Régionale d Information sur l Exclusion), ARAVIS (Agence Rhône-Alpes pour la Valorisation de l Innovation Sociale et l amélioration des conditions de travail) et UNI EST ont choisi d unir leurs efforts pour créer les conditions d une coopération réussie entre 3 types d acteurs : - des personnes rencontrant des difficultés particulières d emploi (salariés précaires, demandeurs d emploi longue durée, bénéficiaires des minimas sociaux, participants au PLIE ) - des intermédiaires de l emploi, - des acteurs de l entreprise. Les objectifs de cette action expérimentale étaient de : - Partager notre compréhension et notre analyse sur les difficultés d accès et de maintien dans l emploi - Rechercher des propositions d actions concrètes pour faire évoluer les pratiques de chacun et favoriser l emploi durable - Transmettre ces pistes d actions aux acteurs du territoire et décideurs du CTEF - Impulser et pérenniser une nouvelle forme de collaboration participative. Cette action expérimentale a permis de : Préciser le diagnostic, en particulier : - mieux connaître le vécu et le ressenti des personnes en difficulté d emploi (chômeurs, salariés précaires) et enrichir avec elles l analyse de la situation - mieux prendre en compte la parole des professionnels de l insertion mais aussi des acteurs de l entreprise (DRH, chefs d entreprises) - mieux cerner les représentations réciproques qui sont souvent sources d incompréhension et d obstacles à l action. Pour construire une analyse croisée, rechercher ensemble des propositions d action concrètes et adaptées visant : - le recrutement réussi des collaborateurs dont l entreprise a besoin - à améliorer l accès mais aussi le maintien dans l emploi des personnes précaires ou durablement éloignées de l emploi. Favoriser la participation des citoyens et en particulier des personnes directement concernées par les actions. Enrichir le regard et la perception des réalités des acteurs du CTEF par des points de vue situés différemment, en prenant en compte la perception et le vécu de personnes en difficulté d emploi. Ce travail a également permis de travailler sur l évolution des pratiques de recrutement et à la conception d une démarche nouvelle, avec notamment l élaboration d outils : Une aire pour l emploi, Une charte de coopération, Des fiches pour l intégration dans l entreprise (élaboration des outils non finalisés à ce jour) Enfin, l opportunité de pérenniser ces lieux d échanges et de coopération entre acteurs sur le territoire a été confirmée. 3
4 DEROULEMENT DE L ACTION : Des pistes d actions concrètes ont été identifiées, permettant ainsi de poursuivre notre travail en 2010 : 1. Pérenniser un groupe d échanges mixé sur le territoire Un groupe mixé permanent, acteur incontournable sur le territoire, au service des idées des uns et des autres : - pour être ressource pour les acteurs du territoire, pouvant être sollicité pour différents projets - pour travailler et produire ensemble des outils, des formations, sensibilisations - pour compléter les outils travaillés lors de l expérimentation (Aire pour l emploi, Charte de coopération et Fiches d intégration) 2. Travailler à la conception d une formation au tutorat Une formation de tuteurs pensée par UNI EST, la MRIE, et ARAVIS avec une pédagogie permettant de croiser les approches, sensibiliser sans stigmatiser, faire tomber des représentations, favoriser le dialogue. 3. Mettre en place une action d accompagnement des entreprises pour faire évoluer les modes de recrutement et d intégration Une intervention en entreprise, avec le dispositif Sécurise RA, pour établir un diagnostic et faire des propositions d'amélioration sur : Les profils et besoins de recrutement - Le mode de recrutement - L'intégration dans l'entreprise En associant les approches complémentaires des 3 acteurs. 4. Capitalisation les travaux menés sur 2008 Pour retranscrire la richesse des échanges, donner de la lisibilité sur les travaux menés et formaliser les différentes pistes d action qui ont pu être identifiées. Des employeurs, intermédiaires de l emploi, demandeurs d emploi et salariés précaires du territoire Région Rhône-Alpes, Fondation de France Entreprises de l Est lyonnais, demandeurs d emploi et intermédiaires de l emploi De octobre 2009 à décembre 2010 Nombre de fois où les groupes (de pairs/ mixé) se sont réunis Mobilisation des participants Degré d appropriation de l action par les acteurs du territoire 4
5 Une meilleure prise en compte des données économiques du territoire au profit de la gestion locale de l emploi Favoriser l accès et le retour à l emploi des publics les plus éloignés de l emploi Mieux connaitre les besoins des entreprises Mesurer le poids des structures du service à la personne sur la ZTEF et la typologie des emplois proposés Avoir une lisibilité du secteur du service à la personne, pour permettre la construction d un accompagnement collectif à destination des entreprises et associations du territoire, et travailler sur la qualité de l emploi. SA CTEF Unité Territoriale DIRECCTE Le secteur du service à la personne connait une croissance importante depuis ces dernières années. Toutefois, nous observons que ces emplois sont souvent précaires avec de nombreux temps partiels subis qui ne permettent pas de générer des revenus suffisants pour les salariés. L objectif des acteurs du CTEF est donc de travailler sur la qualité des emplois de ce secteur. Toutefois, avant d entreprendre une action d accompagnement, il est souhaitable de mieux identifier la réalité économique de ce secteur sur la ZTEF et d identifier plus précisément la typologie des emplois. DEROULEMENT DE L ACTION : Il s agira donc, en partenariat avec la DIRECCTE, de réaliser un court diagnostic sur le secteur permettant notamment d avoir des données suivantes : - nombre d entreprises et d associations présentes, - localisation des structures, - activités proposées, - nombre d emplois concernés, - typologie des emplois, - etc Etude sur les structures commerciales et associatives dans le secteur du service à la personne. Pas de financement spécifique DIRECCTE, réseaux associatifs du secteur (UNA, ADMR ) 1er semestre 2010 Présentation des résultats de l étude aux membres du Comité opérationnel 5
6 Accompagner, qualifier et professionnaliser pour une meilleure évolution vers et dans l emploi Favoriser l accès et le retour à l emploi des publics les plus éloignés de l emploi Accompagner les publics et salariés précaires Piloter et évaluer l action à destination des jeunes de ans de l Est lyonnais, «PARI». En 2009, pour répondre à la problématique des mineurs déscolarisés, une action a été mise en place: PARI sur l avenir. Celle-ci a pour objectif de leur permettre un retour à la formation. Elle concerne 15 jeunes, dont 4 filles. Cette action leur propose un travail autour de 3 axes : une mise en activité dans les ACI, une découverte/ sensibilisation à l art dans le cadre de la biennale de l art contemporain, et des modules de redynamisation et de construction du projet professionnel. L action est expérimentale et soutenue par l Etat et la Région. En 2010, le comité de pilotage, qui a assuré l ingénierie de l action, aura pour objet de suivre le déroulement de celle -ci (jusqu à fin avril 2010) et d en évaluer la valeur ajoutée. Le comité de pilotage devra entre autre mesurer la valeur ajoutée de cette action par rapport aux dispositifs de droit commun déjà financés par la Région. L objectif premier de cette évaluation est bien de mesurer l attractivité de l action (aussi bien pour les jeunes que pour l ACI, l OF, le CTEF), et mesurer en quoi cette étape est significative pour les jeunes dans la construction de leur parcours. Le comité de pilotage constitué de l UCJG, la DIRECCTE, l Education Nationale, Mission Locale, le Pôle Emploi, le PLIE Uni-Est et l UROFRA. Les concertations menées avec les acteurs du CTEF au printemps 2008, dans le cadre des AOF (Actions Orientation Formation) ont fait émerger les difficultés à construire des réponses appropriées pour permettre aux jeunes âgés de 16 à 17 ans révolus, sortis du système scolaire sans qualification, d enclencher un parcours d insertion sociale et professionnelle avec les outils actuellement à leur disposition. Il est donc nécessaire d apporter des réponses qui soient adaptées aux problématiques particulières de ces jeunes (difficulté à intégrer un groupe, problèmes disciplinaires, désocialisation, difficultés à rentrer dans un cadre) et ce afin d éviter un risque de marginalisation puis d exclusion. Ce risque est aggravé par la situation actuelle de l emploi en forte dégradation. C est pourquoi, la Région Rhône- Alpes a décidé, dans le cadre du Plan de Soutien à l Economie et à l Emploi, de renforcer son action au bénéfice de ce public et de soutenir des projets expérimentaux d insertion sociale et professionnelle, initiés par les territoires, prenant en considération les problématiques particulières de ces jeunes de 16 à 17 ans révolus. Dans le cadre du Contrat Territorial Emploi Formation de l Est lyonnais, s est donc engagée une réflexion autour de ce public mineur (16-17 ans), sorti du système scolaire sans qualification. Ainsi, les partenaires, et notamment ceux tout particulièrement concernés par ce public (Missions Locales, PLIE, CIDFF, UROFRA, CIO, Unité Territoriale de la DIRECCTE) se sont réunis pour engager une réflexion sur le sujet, et travailler sur une méthodologie d action. DEROULEMENT DE L ACTION : L évaluation de l action se déroulera pendant et après l action. Il s agira d évaluer à la fois l impact de l action sur les jeunes mineurs et également le partenariat que cette action a généré sur le territoire. Il est envisagé d avoir recours à une stagiaire pour la réalisation de cette évaluation. 6
7 Quelques critères d évaluation ont déjà été identifiés : Critères quantitatifs : - Nombre d OF ayant répondus à l appel à projet - Nombre d ACI engagés dans l action - Nombre de prescriptions - Nombre de personnes présentes à l information collective - Nombre de personnes bénéficiaires de l action - Nombre de stagiaires restés tout au long de l action - Nombre d abandons/ruptures - Taux de sorties vers la formation - Suivi des jeunes à un an pour voir ce qu ils sont devenus Critères qualitatifs : - Valeur ajoutée de la mise en activité dans les ACI - Valeur ajoutée par rapport aux dispositifs existants (et notamment différences avec les AOF spécifiques mineurs mis en œuvre) - Articulation des 3 espaces de l action et dynamique de l action Cette liste n est pas exhaustive, l évaluation se construira aussi au fil de l action. L action s adresse à 15 jeunes mineurs de l Est-lyonnais. Plusieurs professionnels interviennent dans l action : l UCJG (organisme de formation portant la coordination de l action et assurant les modules de redynamisation), les ACI (pour fournir le support travail), Veduta (pour assurer le lien avec la biennale de l art contemporain). Région RA Fonds de soutien à l économie et à l emploi Plusieurs partenaires sont mobilisés : - ceux qui ont participé à l ingénierie de l action et qui participe maintenant au comité de pilotage, chargé de l évaluation : Education Nationale, Mission Locale, PLIE Uni-Est, UROFRA, DIRECCTE et Pôle Emploi - ceux qui mettent en place l action: l UCJG, Veduta et les ACI (Régie de Quartier Armstrong, Dem Ailoj, Armée du Salut, MSD et ARRADEP). 1er semestre 2010 Constitution d un cahier des charges reprenant les attentes du comité de pilotage vis-à-vis de cette évaluation Recrutement d un(e) stagiaire Restitution des résultats de l évaluation auprès des instances du CTEF 7
8 Accompagner, qualifier et professionnaliser pour une meilleure évolution vers et dans l emploi Favoriser l accès et le retour à l emploi des publics les plus éloignés de l emploi Accompagner les publics et salariés précaires Favoriser l accès à la Promotion Sociale et Professionnelle aux publics en SIAE et salariés précaires La note de conjoncture du territoire réalisée fin 2009 montre que la part de la population peu qualifiée (chez les +15 ans non scolarisés) en est baisse (de 47% en 1999 à 40% en 2006) mais elle reste importante (40% de la population a un niveau VI et V bis, 35% au niveau du département). La volonté des acteurs du CTEF est ainsi de favoriser l augmentation des niveaux de qualification chez les salariés précaires en encourageant notamment leur accès à la Promotion Sociale et Professionnelle. SA CTEF - Groupe Formation La PSP est insuffisamment mobilisée par les salariés à bas niveaux de qualification. Plusieurs éléments viennent expliquer ce constat: - la programmation n est pas connue des salariés et aucune communication n est faite dans les entreprises - les modalités de mise en place de ces programmations ne sont parfois pas adaptées au public salarié. Au regard du contexte économique et aux licenciements de nombreux salariés peu qualifiés, il parait d autant plus important de se saisir de cette programmation. DEROULEMENT DE L ACTION : Plusieurs actions sont envisagées : Réaliser un bilan de la programmation PSP et mesurer l entrée des salariés précaires sur la programmation Communiquer l offre PSP et son organisation auprès des référents PLIE et des entreprises, en s appuyant sur plusieurs relais d informations : la DIRECCTE (inspection du travail), les partenaires sociaux et associations d entreprises Réaffirmer le public prioritaire du CTEF auprès des OF prestataires Salariés précaires Pas de financement spécifique sur cette action La programmation PSP est financée par la Région RA OF prestataires Réseaux de l IAE, partenaires sociaux, associations d entreprises, DIRECCTE Année 2010 Réalisation du bilan de la programmation en partenariat avec les OF prestataires Rencontres avec les partenaires pour la communication de l offre 8
9 Accompagner, qualifier et professionnaliser pour une meilleure évolution vers et dans l emploi Favoriser l amélioration des compétences et des niveaux de qualification Adapter l offre de formation aux besoins Evaluer les actions ADV et peinture, financées dans le cadre des conventions individuelles en 2009, et selon les résultats faciliter leur intégration dans la programmation collective qualifiante. Evaluer la pertinence et les résultats de ces deux actions menées de manière expérimentales en Déterminer grâce à ce travail s il est pertinent de les reconduire sur l année à venir, et si oui faciliter leur intégration dans la programmation collective qualifiante. Groupe Formation Depuis 2005, le PLIE Uni Est, le PLIE de Lyon et le PLIE du Sud Ouest lyonnais travaillent en partenariat avec l AFPA de Rillieux pour mettre en place des sessions de formation «Assistante de Vie», avec un montage bien spécifique. Cette action fait suite à un constat partagé sur les trois territoires des PLIE : leurs participants ayant une expérience professionnelle en tâches domestiques ne parviennent pas à accéder à l emploi pérenne du fait de l écart entre les compétences acquises et la professionnalisation du secteur (loi de modernisation). En effet, les participants PLIE ont des difficultés à accéder à la formation qualifiante (problèmes de réussite aux tests SOP et difficultés à se mobiliser et à s organiser sur des formations longues). L objectif est bien d aider les entreprises et associations à recruter du personnel qualifié sur ce secteur en tension, tout en permettant aux publics PLIE d obtenir une qualification professionnelle en cours d emploi. La durée de formation est ici inférieure à la durée de formation classique, avec un accompagnement renforcé. Un second projet visait le secteur du bâtiment, et plus spécifiquement la formation de peintre en bâtiment. Le constat étant le suivant : beaucoup de personnes ont une expérience et des compétences techniques à valoriser, mais ils manquent d autonomie et ont réellement besoin d être accompagnés. Ils accèdent difficilement à l emploi, y compris au métier d aide peintre. La plus value de cette formation est bien de permettre aux publics de gagner en autonomie via l acquisition de compétences techniques plus pointues, et via l accompagnement. Plusieurs sessions ont été engagées sur les deux secteurs. Le CTEF a cofinancé ces actions, financements prélevés sur l enveloppe «conventions individuelles». En effet, un «fonds d expérimentation» de avait été voté en CO courant 2009, pour permettre le financement de ce type d actions expérimentales. Il est désormais question d apporter des éléments d évaluation pour juger de la pertinence de ces contenus pédagogiques bien spécifiques, et en fonction de la qualité des résultats obtenus, d intégrer s il y a lieu ces deux formations dans la programmation collective qualifiante de la Région. DEROULEMENT DE L ACTION : Un certains nombre d éléments devront être nécessairement définis en groupe formation, à savoir: Les attentes vis-à-vis de cette évaluation Les critères dévaluation L échantillon retenu Les données disponibles L organisation du recueil de données Le mode de restitution des résultats La structure d animation du CTEF se chargera du recueil des données, et l analyse pourra être réalisée collectivement en groupe de travail. 9
10 Une fois cette évaluation réalisée, la réflexion autour de l intégration de ces formations à la programmation qualifiante collective sera abordée en groupe de travail. Pôle Emploi a d ores et déjà proposé, si toutefois les résultats témoignent de la valeur ajoutée d un tel contenu pédagogique, de racheter les places en tant que places complémentaires à la programmation collective régionale. Cela permettrait d inscrire ces formations dans le droit commun, et de ne plus les financer sur les enveloppes conventions individuelles. Les publics bénéficiaires de ces sessions de formation Pas de financement spécifique pour mener l évaluation Les PLIE ayant réalisé l ingénierie de ces deux actions, l AFPA, Formadom, Pôle Emploi, les employeurs et les bénéficiaires de ces formations. Début 2010 La présentation des résultats de l évaluation aux membres du CO. La réflexion autour de la plus value d un renouvellement de ces actions. La réflexion engagée sur la manière de les intégrer dans la programmation qualifiante. 10
11 Accompagner, qualifier et professionnaliser pour une meilleure évolution vers et dans l emploi Favoriser l amélioration des compétences et des niveaux de qualification Adapter l offre de formation aux besoins Redéfinir le cadrage local des conventions individuelles et veiller à la cohérence avec ceux des CTEF de l agglomération lyonnaise Repenser les priorités locales de financement des conventions individuelles et optimiser la consommation de notre enveloppe annuelle Groupe formation Nous avons connu sur cette année 2009 une rupture de l enveloppe conventions individuelles dès la fin du mois d octobre. C est avec difficulté que nous avons tenté de couvrir les besoins sur la fin de l année. Ainsi, s est engagée une réflexion avec les prescripteurs sur la manière d une part de mieux gérer en interne, au sein de chacun des réseaux, leur consommation propre, mais aussi sur la manière d optimiser cette consommation en réservant ces financements aux formations amenant les bénéficiaires à l emploi sur des secteurs réellement porteurs. Par exemple, les formations dans le secteur coiffure-esthétique représentaient à fin octobre près de 30% des formations financées par la mesure sur Localement, les acteurs conviennent que c est beaucoup trop, notamment si l on tient compte du fait que sur les 56 formations en coiffure esthétique financées, 5 seulement faisaient l objet d un CARED. Ils souhaiteraient en 2010 que l on limite les financements sur ce secteur aux CARED. Cela a déjà été inscrit dans le cadrage local du CTEF Rhône Ouest et Sud en Veiller à la cohérence entre nos cadrages locaux, à l échelle de l agglomération, vise avant toute chose à limiter certaines pratiques (comme les changements de domiciliation des publics par exemple). La volonté n est pas pour autant d aller vers une uniformisation de nos 3 cadrages locaux, nous restons bien dans une logique de territorialisation. DEROULEMENT DE L ACTION : Organisation d un temps de travail avec les acteurs des trois CTEF de l agglomération lyonnaise (Rhône Ouest et Sud, Grand Lyon Centre et Nord, Est lyonnais) pour faire en sorte d articuler nos cadrages locaux et de veiller à ce qu ils restent en cohérence. Les publics bénéficiaires des Conventions individuelles Pas de financement Autres CTEF de l agglomération, prescripteurs. Début 2010 L évaluation des conventions individuelles 2010 nous permettra de faire apparaitre toute la plus value de cette réflexion, conduite cette année en inter-ctef. 11
12 Accompagner, qualifier et professionnaliser pour une meilleure évolution vers et dans l emploi Favoriser l amélioration des compétences et des niveaux de qualification Favoriser la formation des salariés à bas niveaux de qualification Organiser un forum des mobilités pour informer les salariés du territoire des dispositifs de formation existants. Permettre au public salarié de notre territoire de s informer lors d un évènement «élargi» sur les dispositifs de formation existants, dans le but d améliorer leurs compétences ou de valider leurs acquis de l expérience. Tout l intérêt d organiser localement ce type d évènement est d être en mesure d orienter les personnes intéressées vers nos partenaires locaux. Commission RH Le constat est le suivant: - le public salarié a peu recours à des solutions de formation et ne sait pas où chercher l information. - le CIBC offre ce service, notamment via la mesure Diapason (accompagnement de salariés dans leur projet de formation), mais étant localisé sur Lyon, cette offre de service est difficilement mobilisable et peu connue des personnes de l Est lyonnais. - dans ce contexte de crise, un des enjeux est de «mettre à profit» des temps de chômage partiel en orientant les salariés vers la formation. Il est par ailleurs difficile de mesurer l accès à la formation pour les salariés de la ZTEF. En effet la formation continue relève à ce jour principalement des plans de formation des entreprises. Le droit individuel de formation s inscrit également dans une stratégie d entreprise. Considérant que les TPE ont un moindre recours à la formation professionnelle continue, nous pouvons présumer que les salariés du territoire accèdent faiblement à la formation. Ce phénomène est par ailleurs accentué par la faible visibilité de l offre de formation pour les entreprises, l éloignement des centres de formation, et l absence de culture de formation des salariés. DEROULEMENT DE L ACTION : Organiser un forum des mobilités, en multipliant les lieux sur l Est lyonnais pour permettre au plus grand nombre de venir s informer à proximité de son lieu de travail ou de résidence. - Valider la liste des intervenants - Définir le format de l évènement - Valider les modalités de communication (gros travail à prévoir en amont de cet évènement, pour garantir une participation conséquente (éventuellement passer par le FONGECIF, les bulletins municipaux pour la diffusion de l information). - Prévoir un suivi des salariés présents suite à l évènement. Salariés (y compris ceux en fin de CDD) FINANCEURS DE L ACTION A définir CIBC, CIO, représentants d entreprises, partenaires sociaux, FONGECIF, Communes, SIAE, Pôle Emploi 12
13 2010 Les supports de communication réalisés et les réseaux de partenaires mobilisés pour diffuser l information et participer à l évènement. Le nombre de participants. Les effets en terme de nombre d entrées en formation dans les mois suivant l évènement. 13
14 Accompagner, qualifier et professionnaliser pour une meilleure évolution vers et dans l emploi Développer l offre de formation, d orientation et d insertion Favoriser le transfert de compétences et la prise de conscience des compétences acquises et des parcours Piloter et développer la VAE sur le territoire, mesurer les difficultés d accès à la VAE pour les publics prioritaires de la Région Augmenter le nombre de personnes intégrant une démarche VAE Communiquer à la Région les difficultés à intégrer les publics cibles dans la démarche Groupe de travail Formation - CIO de Décines, animateur de la VAE sur la ZTEF. Les éléments de bilan de 2008 montrent que le nombre de personnes informées et reçues en entretien conseil sur le territoire est très faible en comparaison avec d autres CTEF ou même du département. De plus, le public prioritaire de la Région, à savoir les travailleurs handicapés, les saisonniers et demandeurs d emploi non indemnisés sont peu représentés dans la part des personnes informées et engagées dans la démarche. En 2008, les publics cibles ne représentent que 10% du public reçu en entretien conseil. DEROULEMENT DE L ACTION : Il s agira dans un premier temps d effectuer un bilan de l activité VAE en 2009 sur la ZTEF pour mesurer l accès des salariés et DE au dispositif : ce bilan sera effectué en groupe formation en présence du CIO de Décines qui assure l animation de la VAE sur le territoire. Dans un second temps, nous mesurerons les difficultés d accès au dispositif pour les publics prioritaires de la Région. Une communication sur le dispositif, auprès des salariés et des acteurs du CTEF, sera effectuée : avec une intervention de la Région et du CIO de Décines pour présenter le dispositif et son organisation sur la ZTEF (en Comité opérationnel, lors du forum des mobilités, etc). Les salariés à bas de niveau de qualification du territoire Les demandeurs d emploi Pas de financement spécifique, le travail sera réalisé par les acteurs du groupe Formation Animatrice VAE du territoire, Pôle Emploi, CIDFF, Cap Emploi, syndicats de salariés 2010 Présentation du bilan 2009 en Comité opérationnel Remontée de besoins du territoire effectuée à la Région, notamment sur les publics cibles Intervention/communication sur le dispositif 14
15 Améliorer l attractivité et l image du territoire Consolider le développement de l activité et de l emploi Améliorer la qualité de l emploi dans le secteur des services aux personnes Mettre en place un accompagnement collectif des associations et entreprises du secteur du service à la personne pour travailler sur la qualité de l emploi. Mobiliser des entreprises et associations du territoire pour mener une réflexion collective sur la qualité des emplois proposés dans le secteur du service à la personne et identifier les leviers permettant une qualité de l emploi meilleure, notamment en limitant le nombre d emplois partiels. CBE Lyon Sud RDI Le secteur du service à la personne se développe fortement sur le territoire, toutefois nous constatons que souvent ces emplois sont des temps partiels subis pour les salariés et que le turn-over dans les structures est très important. Les acteurs du CTEF souhaitent soutenir le développement de ce secteur mais en travaillant sur la qualité des emplois proposés. DEROULEMENT DE L ACTION : L action se déroulera en plusieurs temps : - affiner le diagnostic du territoire et le besoin : poids du secteur du service à la personne sur le territoire, type de structures (statut juridique, taille), localisation, typologie des emplois proposés, taux de turn-over dans les structures etc. - nouer un partenariat avec RDI pour mobiliser le dispositif d accompagnement DLA, et travailler à l articulation avec le dispositif Sécurise RA - clarifier l objet et le contenu de l accompagnement, élaborer le cahier des charges de l accompagnement - mobiliser les entreprises et associations pour intégrer l accompagnement collectif - choisir le cabinet conseil intervenant - lancer la démarche d accompagnement - suivre la prestation du consultant - évaluer l accompagnement et sont impact sur la qualité des emplois. Associations et entreprises du secteur du service à la personne sur le territoire Dispositifs Sécurise RA et DLA Région RA, Etat, Caisse des Dépôt et Consignation Chambres consulaires, réseaux associatifs (UNA, ADMR), chargés de relations entreprises Mise en place d un accompagnement collectif pour des associations et entreprises Evaluation de cet accompagnement 15
16 Améliorer l attractivité et l image du territoire Développer l offre d orientation, de formation et d insertion Encourager la mise en place de formations aux métiers de l environnement Poursuivre la réflexion sur le développement des formations environnement/développement durable Une réflexion a été lancée en 2009 pour favoriser la mise en place de formation environnement développement durable. Deux approches ont été privilégiées : une approche à court terme pour cerner le besoin de compétences actuel des éco-entreprises du territoire, ; une approche à plus long terme pour anticiper les besoins de compétences des entreprises. L objectif en 2010 est donc de poursuivre cette réflexion, de se saisir des résultats de l étude pour proposer des actions concrètes aux éco-entreprises. L objectif est également de poursuivre la réflexion sur l anticipation des besoins de compétences. TEE - SA CTEF Il apparaît comme primordial d intégrer les préoccupations environnementales sur l évolution des métiers. Tous les métiers, quel que soit le secteur d activité, sont amenés à évoluer pour répondre aux enjeux environnementaux. Il n y a pas forcément de nouveaux métiers «verts», mais ce sont les métiers actuels qui sont amenés à évoluer. Ainsi, pour répondre à ces futurs besoins de compétences, il est nécessaire de les anticiper pour développer des formations adaptées. DEROULEMENT DE L ACTION : En 2009, nous avons principalement travaillé à l approche court terme en sollicitant les éco-entreprises par le biais d un questionnaire, pour identifier leurs besoins. Cette étude a été conduite en partenariat avec le TEE et l APPEL (Association Pour la Promotion des Eco-entreprises Lyonnaises). Les résultats de l étude permettrons de mieux identifier les besoins de compétences des éco-entreprises et ainsi de de proposer des réponses adaptées. Selon le besoin, des dispositifs/actions pourront être proposés à l entreprise: l expérimentation de nouvelles formations, un accompagnement RH, etc. Cette analyse des questionnaires sera effectuée en fin d année 2009, avec un rendu en CO début En parallèle à ces actions, les acteurs du CTEF ont souhaité sensibiliser les acteurs de l orientation, de l emploi et de la formation à ces enjeux environnementaux et leur impact sur les métiers et compétences. Ainsi, dans le cadre du plan de professionnalisation du PRAO à destination des acteurs de l orientation, de l emploi et de la formation, une session intitulée «Métiers de l environnement : secteur en émergence, nouveaux métiers, nouvelles compétences?» sera proposée sur le territoire en début d année er axe de travail : les éco-entreprises de la ZTEF 2ème axe de travail : toutes entreprises de la ZTEF Pas de financement Les branches professionnelles, les représentants d entreprises, les chambres consulaires, les syndicats de salariés 2010 Présentation des résultats de l étude en Comité Opérationnel sur le 1er trimestre Reprise de contact avec les entreprises pour proposer des interventions au regard des besoins exprimés. Réalisation de la session «Métiers de l environnement : secteur en émergence, nouveaux métiers, nouvelles compétences?» 16
17 Améliorer l attractivité et l image du territoire Favoriser l accès et le retour à l emploi des publics les plus éloignés de l emploi Sensibiliser et inciter les acteurs du territoire à lutter contre les discriminations et favoriser l égalité de traitement dans l accès à l emploi Sensibiliser les organismes de formation du territoire à la Lutte contre les Discriminations (LCD), et les amener à réfléchir sur les risques discriminatoires dans leurs pratiques professionnelles. Projet 1: Sensibiliser les organismes de formation à la LCD Projet 2: Travailler avec les OF du territoire sur l identification des risques discriminatoires dans leurs pratiques professionnelles (de l accueil à la présélection des candidats) Actions conduites en inter CTEF. Apporter à l ensemble des OF de l agglomération retenus sur le nouveau marché AOF un même niveau de connaissance sur la thématique des discriminations. Les amener à un travail plus approfondi sur le repérage des risques discriminatoires dans leurs pratiques professionnelles, du premier accueil des candidats à leur présélection. Commission RH Le territoire de l Est Lyonnais comporte 25 quartiers classés en catégorie 1 ou 2 dans le cadre du contrat urbain de cohésion sociale. Parmi les habitants de ces quartiers, on note la présence importante de personnes fragilisées et potentiellement victimes de discriminations (femmes isolées avec enfant, personnes handicapées, minorités visibles.). Si les cas précis de discriminations restent parfois difficiles à démontrer, on peut supposer que les difficultés d accès à l emploi d une partie du public issu de ces quartiers se trouvent renforcées par des phénomènes de discrimination. On notera que le territoire du CTEF comporte également un potentiel économique important avec la présence de nombreuses entreprises et de secteurs d activités diversifiés (industrie, transport et logistique, BTP, commerce et distribution ). De fait, les CTEF de l agglomération souhaitent inscrire en 2010 la lutte contre les discriminations comme un axe fort de leurs plans d actions respectifs. En effet, ces pratiques sont encore trop fréquentes dans le champs de la formation et de l emploi, et les acteurs en contact avec les publics s en font parfois le relais de manière tout à fait inconsciente. Il semble fondamental d exiger des organismes de formation de nos territoires (à minima ceux qui accueillent le public en AOF) qu ils s emparent de cette question, et qu ils aient une posture réflexive sur leurs propres pratiques professionnelles, de la phase d accueil des candidats à leur présélection. En effet, les organismes de formation prestataire du nouveau marché AOF sur l agglomération lyonnaise ont différents niveaux d engagement et de mobilisation en terme de prévention et de lutte contre les discriminations: des intervenants formés, des pistes d intervention dégagées, des équipes en cours de mobilisation D autres n ont encore jamais travaillé sur cette thématique. L idée est donc bien d amener ces 18 organismes à un même niveau de connaissance sur la thématique, et de réaliser dans un second temps un travail plus approfondi sur les pratiques. 17
18 DEROULEMENT DE L ACTION : Constituer des groupes de 15 personnes environ, accompagnés par un consultant, afin de travailler selon le schéma proposé : Un jour de sensibilisation par groupe. Cette journée de formation-sensibilisation permettrait aux participants d harmoniser leurs niveaux de connaissances, de partager un langage commun et de s approprier les éléments théoriques, conceptuels et juridiques qui permettent de circonscrire et d éclairer la problématique de prévention et de lutte contre les discriminations. En ce sens il constitue un préalable incontournable, nécessaire pour la seconde partie de l action. Seuls les OF n ayant jamais eu accès à un premier niveau de formation y participeraient. En effet, REN et le CFEU ont déjà fait ce travail avec la Mission Egalité de Lyon, et le CERTA est déjà bien impliqué dans la démarche mise en place par Uni-Est (sensibilisation+approfondissement+séminaire de travail pour les responsables de structures). 2 jours par groupe pour travailler sur les pratiques professionnelles au regard de la problématique des discriminations : Tous les OF retenus dans le nouveau marché AOF y participeraient. - Identifier pour chaque étape (de l accueil à la présélection des candidats) les risques discriminatoires, et les points de vigilance. - Définir des bonnes pratiques à même d améliorer les procédures de sélection des candidats, et de réduire les risques discriminatoires. - Produire un outil mémo qui soit aussi une trace écrite du travail réalisé, pour que chaque équipe en interne puisse se l approprier. Une demi-journée de restitution associant les différents groupes, et les membres de la commission des entrées Les 18 organismes de formation prestataires du nouveau marché AOF, à l échelle de l agglomération. L idéal serait qu une personne de l équipe de direction et un formateur référent participent à ce travail, à minima, pour chaque OF. Région Rhône Alpes Un cabinet de consultants pour travailler avec les OF sur les étapes de sensibilisation et d analyse de pratiques Les missions LCD et Egalité qui travaillent en partenariat avec les CTEF, pour garantir la complémentarité avec le travail déjà réalisé Les membres de la commission des entrées pour la restitution 1er semestre 2010 INDICATEURS DE REALISATION: Le taux de participation des OF aux différentes sessions. La mobilisation au sein de chaque OF sur le sujet. La manière dont les acteurs vont s approprier cette thématique et le travail réalisé en groupe, la manière dont ils vont le restituer en interne dans chacune de leurs équipes. La qualité du support matérialisant ce travail, et son utilisation. Le lien qui va être fait avec la commission des entrées. Il est en effet primordial d associer la commission des entrées à la restitution de ce travail, car il semble indispensable pour finaliser la phase de sélection des candidats de tenir compte du travail réalisé en amont par les OF. 18
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