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1 Page i C A N A D A PROVINCE DE QUÉBEC DISTRICT DE MONTRÉAL DOSSIER R RÉGIE DE L'ÉNERGIE CAUSE TARIFAIRE D'HYDRO- QUÉBEC DISTRIBUTION HYDRO-QUÉBEC En sa qualité de Distributeur -et- Demanderesse STRATÉGIES ÉNERGÉTIQUES (S.É.) -et- L'ASSOCIATION QUÉBÉCOISE DE LUTTE CONTRE LA POLLUTION ATMOSPHÉRIQUE (AQLPA) Intervenantes LA FIABILITÉ ET LA CONTINUITÉ DE SERVICE D'HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION INDICATEURS DE PERFORMANCE STRATÉGIE EN MAINTENANCE DU RÉSEAU ET CONTRÔLE DE LA VÉGÉTATION ET BUDGET 2009 STRATÉGIE DE PÉRENNITÉ DES ACTIFS ET BUDGET D'INVESTISSEMENTS 2009 RAPPORT Jean-Claude Deslauriers, ing. Préparé pour: Stratégies Énergétiques (S.É.) Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) Octobre 2008

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3 Page iii SOMMAIRE EXÉCUTIF Les indicateurs de performance Il ressort de notre étude que la performance du Distributeur quant aux indices de fiabilité et de continuité de service doit être améliorée. Le positionnement d'hydro-québec Distribution est peu satisfaisant par rapport aux autres utilités publiques. Comparé lors d'un balisage, il se situe systématiquement dans le dernier ou l'avant-dernier quartiles. L indice brut de fiabilité, l'indice normalisé de même que les indices spécifiques de continuité liés à la végétation et aux équipements montrent une dégradation. Ces indices doivent être utilisés pour aider à la prise de décision quant aux niveaux de dépenses requis en maintenance de réseau et maîtrise de la végétation et aux niveaux d'investissements requis en maintien des actifs. Nous invitons par ailleurs la Régie de l'énergie à demander de nouveau au Distributeur de lui faire part de sa réflexion et de lui soumettre une proposition en réponse à la demande exprimée dans la décision D , permettant d'établir un lien entre la méthodologie utilisée pour déterminer le niveau des investissements requis pour le maintien des actifs du réseau de distribution et l évolution de l indice de continuité (IC) ou d'un autre indicateur plus approprié permettant d'identifier les causes des discontinuités de service sur le réseau de distribution et de quantifier le risque de ne pas effectuer les investissements requis. La stratégie en maintenance du réseau et contrôle de la végétation et le budget 2009 Nous recommandons fortement à la Régie d'approuver les budgets supplémentaires en maintenance demandés par le Distributeur de 3,3 M$ pour l'inspection et retraitement des poteaux de bois (en vue d'en prolonger la durée de vie, permettant à long terme de contenir le niveau des investissements), de 2,5 M$ pour la gestion des cours d'entreposage de poteaux et de 4,0 M$ pour l'entretien préventif systématique et réhabilitation des ouvrages civils. Ces besoins accrus en maintenance sont le résultat du vieillissement du réseau et de la baisse de son taux de pérennité et se manifestent par des dégradations du sous-indicateur spécifique d'indice de continuité lié aux équipements. Ces dépenses permettent par ailleurs de réduire la pression sur les besoins en investissements. Nous recommandons à la Régie d'appuyer le

4 Page iv Distributeur dans la poursuite de ses démarches pour systématiser l'identification de ses besoins en maintenance à long terme. Par ailleurs, étant donné la piètre performance d'hydro-québec Distribution quant à son indice de continuité lorsque comparé à d'autres distributeurs et étant donné la dégradation spécifique de l'indice de continuité lié à la végétation, nous recommandons fortement à la Régie de l'énergie d'autoriser l'accroissement du budget de maîtrise de la végétation de 5,3 M$ en 2009, tel que demandé par le Distributeur, afin d'atteindre le niveau planifié de 60 M$ annuellement. Suite à la décision rendue lors de sa cause tarifaire 2007, Hydro-Québec Distribution avait déjà dû retarder d'une année l'atteinte de ce niveau souhaité. Il ne devrait pas être retardé davantage. La stratégie de pérennité des actifs et le budget d'investissements 2009 Nous recommandons à la Régie d'autoriser l'enveloppe de 308,8 M$ demandée pour Hydro- Québec Distribution pour ses investissements en maintien des actifs de moins de 10 M$ en Nous invitons toutefois la Régie à s'interroger sur la suffisance de cette enveloppe, compte tenu de la faiblesse du taux de pérennité de plusieurs groupes d'actifs tel que noté, que l'on doit conjuguer avec les constatations faites au présent rapport quant à la performance insuffisante du Distributeur sur l'indice de continuité de service et ses variantes. Nous ne percevons pas la cohérence de la démarche d'hydro-québec Distribution qui ne donne plus suite, au présent dossier, à l'évaluation qu'elle avait soumise à la Régie les années antérieures quant à la croissance à venir de ses besoins en maintien des actifs. La stratégie de gestion de la pérennité des actifs du Distributeur n'apparaît pas encore bien arrimée avec ses décisions quant au niveau d'investissements requis en maintien des actifs. Le Distributeur doit encore poursuivre ses études afin de valider et réviser au besoin les durées de vie techniques de ses diverses classes d'équipements et de réévaluer leurs critères de renouvellement. Une meilleure coordination devrait avoir lieu entre les estimations de durées de vie utilisées aux fins de déterminer les besoins en maintenance et celles utilisées aux fins de déterminer les besoins en investissements. Plus généralement, le Distributeur devrait s'assurer de l'harmonisation entre les deux stratégies d'intervention. Il serait souhaitable que le Distributeur fournisse dorénavant l'information sur l âge moyen pondéré réel de chaque catégorie d actif, ce qui permettrait de mieux évaluer si le taux de pérennité de chaque catégorie reste adéquat. La mise à jour de l âge moyen réel de chaque catégorie d'actifs du réseau est une information nécessaire à une prise de décision adéquate quant au niveau d'investissements requis en maintien de ces actifs. La Méthodologie déposée il y a deux ans par Hydro-Québec Distribution n'offrait que de l'information très partielle sur

5 Page v l'âge moyen des diverses catégories d'équipements et n'en contenait pas quant aux appareillages dits "majeurs", tant aériens que souterrains. Il manque aussi une vision à long terme qui permettrait d'établir un lien entre la stratégie de pérennité des actifs de mesurage et relève et les options de compteurs intelligents qui sont parallèlement examinées par le Distributeur, en identifiant non seulement les besoins prévus de celui-ci quant aux économies d'énergie, mais également ses besoins quant à la gestion de la pointe et au développement de la production distribuée pendant la durée de vie de futurs actifs de mesurage et relève. Les grandes utilités publiques au Canada et aux États-Unis sont déjà engagés dans une stratégie de compteurs intelligents adaptés à ces divers besoins futurs. Enfin, nous recommandons à la Régie de demander de nouveau au Distributeur de lui proposer une variante ou une autre méthode pour évaluer les besoins d investissement en pérennité des actifs hors réseau, soit les bâtiments, le matériel roulant et les "autres actifs de soutien" (essentiellement des actifs informatiques).

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7 Page vii TABLE DES MATIÈRES 1 - LE MANDAT LES INDICATEURS DE PERFORMANCE LA DEMANDE DE LA RÉGIE EN FAVEUR D'INDICATEURS PLUS FINS LE BALISAGE QUANT À LA CONTINUITÉ DU SERVICE L'INDENTIFICATION DES CAUSES DE DISCONTINUITÉ DU SERVICE LA STRATÉGIE EN MAINTENANCE DU RÉSEAU ET CONTRÔLE DE LA VÉGÉTATION ET LE BUDGET CONSIDÉRATIONS À LONG TERME LA STRATÉGIE DE DÉPENSES EN MAÎTRISE DE LA VÉGÉTATION ET LE BUDGET LA STRATÉGIE QUANT AUX DÉPENSES EN ENTRETIEN DE RÉSEAU ET LE BUDGET LA STRATÉGIE DE PÉRENNITÉ DES ACTIFS ET LE BUDGET D'INVESTISSEMENTS LES INVESTISSEMENTS DE 2009 DANS LE RÉSEAU DE DISTRIBUTION ET LEUR STRATÉGIE LES INVESTISSEMENTS DE 2009 EN MESURAGE ET RELÈVE LES INVESTISSEMENTS DE 2009 DANS LE RÉSEAU DE DISTRIBUTION EN BÂTIMENTS, MATÉRIEL ROULANT ET AUTRES ACTIFS DE SOUTIEN (ESSEMNTIELLEMENT LES ACTIFS INFORMATIQUES) RECOMMANDATIONS...26

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9 Page LE MANDAT L'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) et Stratégies Énergétiques ont requis nos services aux fins de préparer un rapport relatif à la fiabilité et à la continuité de service d'hydro-québec Distribution, plus particulièrement en ce qui a trait aux indicateurs de cette fiabilité et continuité, à l'autorisation demandée par Hydro-Québec Distribution (ci-après "le Distributeur") de son budget en maintenance du réseau et contrôle de la végétation pour 2009 et de son budget d'investissements en maintien des actifs pour 2009 et aux stratégies la sous-tendant, le tout dans le cadre de la cause tarifaire du Distributeur (dossier R de la Régie de l'énergie). Le présent rapport est le fruit de notre expertise et est remis à nos clientes afin de pouvoir être déposé en preuve par elles dans ce dossier.

10 Page LES INDICATEURS DE PERFORMANCE LA DEMANDE DE LA RÉGIE EN FAVEUR D'INDICATEURS PLUS FINS Lors de l'examen de la cause tarifaire d'hydro-québec Distribution, à la décision D du dossier R , la Régie de l'énergie avait souligné le besoin d'établir un lien entre la méthodologie utilisée pour déterminer le niveau des investissements requis pour le maintien des actifs du réseau de distribution et l évolution de l indice de continuité (IC) ou d'un autre indicateur plus approprié permettant : a) d'identifier les causes des discontinuités de service sur le réseau de distribution et b) de quantifier le risque de ne pas effectuer les investissements requis : La Régie s'exprimait alors comme suit : Méthodologie proposée pour évaluer les besoins d investissement en pérennité Lors de la présente demande d autorisation, le Distributeur propose la méthodologie qu il entend utiliser à l avenir pour déterminer le niveau des investissements requis pour le maintien du réseau de distribution. [ ] La Régie considère que la méthodologie proposée pour évaluer les besoins d investissement en pérennité constitue un bon point de départ, mais des améliorations doivent y être apportées. Elle demande au Distributeur de poursuivre son développement, compte tenu de l augmentation substantielle des investissements en pérennité que son application laisse entrevoir. La Régie invite le Distributeur à se pencher sur le choix des paramètres déterminants, en particulier la période acceptable de renouvellement des actifs, qui a un impact majeur sur les décisions d investissement. La Régie demande également d associer à la nouvelle méthodologie une évaluation qui pourrait s appuyer sur l évolution de l IC ou sur un autre

11 Page 3 indicateur plus approprié. Toutefois, ce dernier devra contribuer à quantifier le risque de ne pas faire les investissements requis. La Régie demande également d incorporer les causes de dégradation de l indicateur retenu à la méthodologie afin d être en mesure d apprécier les résultats des investissements consentis sur chacune des variables impliquées. 1 L'année suivante, le Distributeur affirmait ne pas avoir encore complété sa réflexion à ce sujet : La Régie demandait également d'associer à la méthodologie une évaluation qui pourrait s'appuyer sur l'évolution de l IC ou sur un autre indicateur plus approprié devant contribuer à quantifier les impacts de ne pas faire les investissements requis. Le Distributeur entend poursuivre l'analyse des options possibles pour répondre aux préoccupations de la Régie. 2 Au présent dossier, le Distributeur n'a toujours aucune réflexion ou proposition à soumettre en réponse à la demande de la Régie exprimée dans sa décision D précitée, permettant d'établir un lien entre la méthodologie utilisée pour déterminer le niveau des investissements requis pour le maintien des actifs du réseau de distribution et l évolution de l indice de continuité (IC) ou d'un autre indicateur plus approprié permettant d'identifier les causes des discontinuités de service sur le réseau de distribution et de quantifier le risque de ne pas effectuer les investissements requis. 3 Recommandation Nous invitons la Régie de l'énergie à demander de nouveau au Distributeur de lui faire part de sa réflexion et de lui soumettre une proposition à cet égard. 2.2 LE BALISAGE QUANT À LA CONTINUITÉ DU SERVICE Malgré l'absence de réflexion ou de proposition d'hydro-québec Distribution sur les indicateurs requis par la Régie, nous disposons malgré tout, au présent dossier, de certaines informations utiles permettant d'évaluer la continuité du service de distribution et d'identifier, dans des parties ultérieures du présent rapport, les causes des discontinuités constatées RÉGIE DE L'ÉNERGIE, Dossier R , Décision D , pages Les caractères gras sont dans le texte. Les soulignés sont de nous. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-13, Document 1, page 10, lignes HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-13, Document 1, pages 9-10.

12 Page 4 En premier lieu, nous notons que la performance d'hydro-québec Distribution par rapport à ses pairs n est pas très reluisante quant à la continuité de son service. Déjà, lors de la cause tarifaire , la Régie avait noté que "[l]a performance du Distributeur pour les indicateurs de continuité de service s est détériorée de 2004 à 2005". 4 Le tableau suivant, émanant de l'information alors fournie par Hydro-Québec Distribution, illustre cette dégradation constatée. Le balisage de 2004 situait notre Distributeur entre le 2 e et le 3 e quartile, comparé aux autres distributeurs ; le balisage de 2005 faisait passer notre Distributeur au 3 e quartile "moins" (Q3-) : Tableau 1 Résultat de l'indicateur de continuité de services du processus Distribution d'hydro-québec Distribution - Selon l'information déposée au dossier tarifaire (R ) Rang HQD (sur 27) Rang HQD (quartile) Rang HQD (sur 19) Rang HQD (quartile) Continuité de service Entre Q2 et Q Q3 - Devant cette dégradation de l'indicateur de continuité de service et d'autres indicateurs du Processus Distribution, la Régie invitait alors Hydro-Québec Distribution à "poursuivre l amélioration du processus «Distribution»" RÉGIE DE L'ÉNERGIE, Dossier R , Décision D , page 29. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-3, Doc. 1, page 26, Tableau 3. Reproduit à : RÉGIE DE L'ÉNERGIE, Dossier R , Décision D , page 29. RÉGIE DE L'ÉNERGIE, Dossier R , Décision D , page 30.

13 Page 5 Au présent dossier, Hydro-Québec Distribution présente le balisage selon un indicateur de continuité différent. On y constate que, chaque année de 2004 à 2006, notre Distributeur se situait toujours dans le troisième ou le quatrième quartile de ce balisage. Tableau 2 Performance - Indice de continuité de service (SAIDI) d'hydro-québec Distribution (minutes) 7 L'indice de fiabilité (que nous comprenons être l'indice de continuité calculé selon une méthode différente de l'indice SAIDI 8 ) montre également que la durée moyenne des interruptions (sans évènements majeurs) ne s'améliore pas : Tableau 3 Historique de l'indice de fiabilité de service d'hydro-québec Distribution (IC-Distribution - minutes) (6 mois) Indice de continuité brut Indice de continuité normalisé L'INDENTIFICATION DES CAUSES DE DISCONTINUITÉ DU SERVICE Hydro-Québec Distribution, dans son évaluation des indices de continuité de service, ne semble pas s inquiéter outre mesure de sa faible performance par rapport à ses pairs HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-3, Doc. 1, page 24, Tableau 6. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-3, Doc.1, page 24, note infrapaginale. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-3, Doc.1, page 9.

14 Page 6 L'an dernier, au dossier tarifaire , celle-ci affirmait : L'indice de continuité brut ne montre pas de tendance nette depuis La composante liée aux journées d événements majeurs fluctue énormément en fonction des aléas climatiques. L'année 2004 (près de 130 minutes) a été marquée par un nombre limité de journées d'événements majeurs (4). Par contre, l'année 2006 (près de 480 minutes) reflète le nombre élevé de journées d'événements majeurs (17) découlant de dix événements climatiques qui représentent le pire résultat depuis Plus de la moitié de l'ic associé à ces événements majeurs est due à la végétation. En juin 2007, l'ic se situe à 110 minutes. 10 Au présent dossier, elle affirme de nouveau : L'indice de continuité (IC) brut ne montre pas de tendance nette au cours des cinq dernières années. L'année 2004 (près de 130 minutes) a été marquée par un nombre limité de journées d'événements majeurs (3) liées aux aléas climatiques. Par contre, l'année 2006 (près de 480 minutes) reflète le nombre élevé de journées d'événements majeurs (17) découlant de dix événements climatiques. Il s agit du pire résultat depuis Plus de la moitié de l'ic associé à ces événements majeurs est due à la végétation. En juin 2008, l'ic se situe à 192 minutes sous l'effet de 3 événements climatiques ayant produit 5 journées d'événements majeurs totalisant 131 minutes d'interruptions par client. 11 Nous croyons que l'on ne doit pas se satisfaire des résultats actuels des indicateurs de fiabilité et de continuité de service énoncés à la sous-section précédente. L indice de continuité de service est le critère le plus important pour mesurer la performance du Distributeur. L'on doit par ailleurs garder à l esprit que le client subit l'indice de continuité de service brut et non l'indice normalisé. L'indice de continuité normalisé se définit comme suit : Indices de continuité - Distribution Calcul de l'indice normalisé: L'indice de continuité normalisé est basé sur la méthode reconnue IEEE STD 1366 tm Cette dernière a été adaptée au contexte d'hydro-québec par HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-3, Doc. 1, page 11, lignes Souligné et caractères gras par nous. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-3, Doc.1, page 10. Souligné et caractères gras par nous.

15 Page 7 la méthode C À partir d'un algorithme basé sur les probabilités statistiques, la méthode permet d'identifier les journées à normaliser. Pour ce faire, l IC de chaque journée est comparé à un seuil de référence. Lorsque l IC provincial d'une journée dépasse ce seuil de référence, la journée est appelée "événement majeur" et est retirée du calcul de l'indice de continuité normalisé pour l'ensemble du Québec. Le redressement de l IC se fera dorénavant de façon automatique en utilisant cette méthode. 12 Toutefois, le Distributeur nous informe que "[p]lus de la moitié de l'ic associé à ces événements majeurs est du à la végétation.". 13 L'on constate que l'indice de continuité brut (qui inclut les évènements majeurs) peut croître de façon considérable certaines années. Or, si le Distributeur n'a pas de contrôle sur les évènements climatiques, il dispose de moyens d action pour en contrôler les effets, au moyen de pratiques de maîtrise la végétation le long de son réseau. Dans un autre ordre d'idée, le Distributeur contrôle également l'état de la maintenance sur son réseau de distribution. Ces aspects sont examinés dans la section 3 du présent rapport. La dégradation observée de l'indice de continuité de service brut d'hydro-québec Distribution de 2004 à 2006 nous amène par ailleurs à nous interroger sur le niveau des investissements en maintien des actifs du Distributeur et leur pérennité, ce qui fait l'objet de la section 4 du présent rapport HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-3, page 45. Souligné et caractères gras par nous. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-3, page 10, lignes

16 Page LA STRATÉGIE EN MAINTENANCE DU RÉSEAU ET CONTRÔLE DE LA VÉGÉTATION ET LE BUDGET CONSIDÉRATIONS À LONG TERME Lors de sa cause tarifaire , au dossier R , Hydro-Québec Distribution soulignait que ses priorités budgétaires passées l'avaient amenée, au cours des dernières années, à accumuler un certain retard dans ses activités de maintenance et de contrôle de la végétation. 14 Bien que ce retard, selon le Distributeur, ne menace pas "la fiabilité du réseau à court terme", celui-ci "constate depuis quelques années une légère dégradation de l'indice de continuité (IC) normalisé 15. Bien que les analyses menant à une compréhension complète des éléments expliquant cette diminution de la performance ne soient pas complétées, ce constat s'ajoute aux éléments déjà évoqués pour accroître les dépenses touchant les infrastructures de distribution d'électricité." 16 Pour Hydro-Québec Distribution, ce contexte est d'autant plus préoccupant qu'il se conjugue à une diminution anticipée de sa capacité de réalisation des travaux, en raison d'importants départs à la retraite prévus notamment chez les monteurs et les jointeurs. Le Distributeur souligne que le développement de nouveaux employés exige une période de cinq ans pour une qualification complète et n'est pas certain de la suffisance de l'expertise d'entrepreneurs externes HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, p. 13. Note dans le texte : Voir la section 2.3 de la pièce HQD-3, document 1 [N.D.L..R.: au dossier R ] portant sur la nouvelle norme de calcul de l'indice de continuité établie à partir du guide IEEE Std ainsi que la section 3.1 de la pièce HQD-14, document 1 [N.D.L..R.: au dossier R ] pour l'évolution de l'indice de continuité. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, p. 13. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, pp

17 Page 9 C'est pourquoi, selon le Distributeur : un des éléments clés du présent dossier tarifaire vise à augmenter graduellement au cours des prochaines années les sommes d argent prévues, tant aux charges qu aux investissements, en vue d assurer une fiabilité optimale du réseau et de limiter les impacts négatifs futurs que pourraient avoir des anomalies sur le réseau de distribution. Le Distributeur, par cette approche de gestion proactive et progressive de la croissance de ses coûts, s'évitera de devoir réagir ponctuellement par des dépenses massives pour faire face à des situations où la fiabilité de réseau serait en dessous de ses objectifs LA STRATÉGIE DE DÉPENSES EN MAÎTRISE DE LA VÉGÉTATION ET LE BUDGET 2009 Le Distributeur a confirmé qu'une insuffisance d'entretien de la végétation au cours des dernières années se reflétait au niveau de l'indice de continuité lié à la végétation (augmentation du taux de bris causés par la végétation et hausse de la durée moyenne des pannes par client interrompu) et amenait une augmentation significative du coût relié aux équipes de rétablissement de service : Le Distributeur constate depuis plusieurs années une croissance plus rapide de la végétation ainsi qu'une augmentation importante d'évènements climatiques dont la violence est de plus en plus forte et sur des périodes beaucoup plus étendues qu'auparavant. Ces éléments, hors du contrôle du Distributeur, viennent créer une pression sur les activités liées à la végétation. En conséquence, le Distributeur constate, pour les dernières années, une augmentation significative du coût relié aux équipes de rétablissement de service. Cette situation se reflète aussi sur le niveau du IC végétation 19 dont l'analyse détaillée des indicateurs composants l'indice 20 révèle une augmentation du taux de bris causés par la végétation et une hausse de la durée moyenne des pannes par client interrompu. Le IC - végétation normalisé dont la moyenne sur la période 2002 à 2005 se situait à 19 minutes/client était de 23 minutes/clients en HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, pp Souligné et caractère gras par nous. Note dans le texte : IC- végétation mesure le nombre de minutes d'interruption de service causée par la végétation, par client, pour l'ensemble de la clientèle desservie et ce par type de réseau. Note dans le texte : Les composants du IC végétation incluent le taux de panne, la durée moyenne d'interruption et le nombre moyen de clients interrompus. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, p. 15.

18 Page 10 Le Distributeur estime probable que cette hausse du IC-végétation résulte de la diminution progressive du volume d'activités d'élagage et d'abattage des dernières années, lequel aurait été réduit d'environ 28 % entre 2003 et 2005 et par conséquent, aurait augmenté de façon significative le cycle moyen d'élagage par rapport aux normes en vigueur, pouvant atteindre plus de 5-6 ans dans certains sites à forte croissance de la végétation. Selon Hydro-Québec, cette situation risque d'accroître les risques pour la sécurité du public et celle des travailleurs en plus d'affecter la qualité du service. 22 Le Distributeur estime que le cycle d'élagage devrait être de 5 ans, ce qui requerrait un budget annuel en maîtrise de la végétation d'environ 59,0M$. 23 Le budget annuel depuis 2003 pour cette activité était de l'ordre de 40 M$. 24 Hydro-Québec Distribution proposait donc d'augmenter le rythme de ses dépenses en maîtrise de la végétation au cours des prochaines années, «afin de maintenir et stabiliser l'indice de continuité-végétation au niveau de ses performances historiques». 25 Pour 2007, Hydro-Québec Distribution demanda un accroissement de 10 M$, pour porter son budget annuel à 50 M$. 26 Une diminution globale de la croissance prévue des charges du Distributeur, requise par la Régie 27, ramena toutefois le budget effectivement consacré à la végétation en 2007 à 48,6 M$. 28 En 2008, au dossier R , un accroissement de ce budget annuel de 6,2M$, pour le porter à 54,8 M$ fut demandé par Hydro-Québec Distribution 29 et approuvé par la Régie HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, pp RÉGIE DE L'ÉNERGIE, Dossier R , Décision D , p. 51. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, p. 16. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, p. 16. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, p. 16. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, p. 16. RÉGIE DE L'ÉNERGIE, Dossier R , Décision D , pp HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, p. 8, lignes HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, p. 8, lignes RÉGIE DE L'ÉNERGIE, Dossier R , Décision D , pp. 51, 54.

19 Page 11 Au présent dossier tarifaire 2009 (R ), Le Distributeur affirme : L'année 2007 fut une année charnière où d'importantes décisions ont été prises en vue d'éviter une détérioration de la qualité de service et ainsi assumer pleinement les responsabilités qui incombent au Distributeur en matière de qualité et de fiabilité du service à ses clients. 31 Maîtrise de la végétation En continuité avec les deux derniers dossiers tarifaires (R et R aux pièces HQD-7, document 3), le Distributeur augmente les sommes consacrées à la maîtrise de la végétation de 5,3 M$ par rapport à celles approuvées pour Ainsi, le budget total 2009 de cette activité totalisant 60 M$ permettra d'atteindre le cycle moyen d'élagage de la végétation souhaité. 32 En réponse à une question de la Régie, il précise : Le Distributeur avait annoncé en 2007 qu'il augmenterait progressivement sur trois ans ses budgets en vue de rétablir les cycles normaux d'élagage. Ainsi, la demande additionnelle de 5,3 M$ en 2009 constitue la dernière augmentation s'inscrivant dans la stratégie du Distributeur débutée en Ces augmentations combinées permettront d'atteindre un équilibre entre les coûts, le niveau de continuité de service ainsi que la sécurité du public et des travailleurs à l'horizon De plus, afin de maintenir la performance de l'indice de continuité de service, le Distributeur prévoit réaliser l'abattage d'arbres les plus susceptibles d'endommager le réseau lors d'événements climatiques importants. Cette activité représente un volume d'environ arbres par an HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, page 3, lignes 4-7. Souligné et caractère gras par nous. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, page 12, lignes HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-9, HQD-16, Doc. 1, pp , Réponse 32 à la DDR2 de la Régie. Souligné et caractère gras par nous.

20 Page 12 Recommandation Étant donné la piètre performance d'hydro-québec Distribution, examinée plus haut, quant à son indice de continuité lorsque comparé à d'autres distributeurs et étant donné la dégradation spécifique de l'indice de continuité lié à la végétation, nous recommandons fortement à la Régie de l'énergie d'autoriser l'accroissement du budget de maîtrise de la végétation de 5,3 M$ en 2009, tel que demandé par le Distributeur, afin d'atteindre le niveau planifié de 60 M$ annuellement. Suite à la décision rendue lors de sa cause tarifaire 2007, Hydro-Québec Distribution avait déjà dû retarder d'une année l'atteinte de ce niveau souhaité. Il ne devrait pas être retardé davantage. 3.3 LA STRATÉGIE QUANT AUX DÉPENSES EN ENTRETIEN DE RÉSEAU ET LE BUDGET 2009 Au dossier R , Hydro-Québec Distribution rappelait que son budget annuel au programme d'inspection et de maintenance préventive s'établissait depuis plusieurs années à quelques 48 $. 34 Son budget consacré à la maintenance corrective a, quant à lui, été de l'ordre de 5 M$/an au cours des dernières années. 35 Pour la maintenance préventive, Hydro-Québec Distribution avait besoin d'une augmentation de 7 M$, demandée pour Pour la maintenance corrective, il aurait besoin en moyenne, sur 10 ans, d'un budget de 20 M$/an et commençait par demander pour 2007 une augmentation 7 M$ par rapport à son budget antérieur de 5 M$/an. 37 Il annonçait son intention de demander progressivement l'augmentation de ces charges annuelles à cet effet. 38 Nous rappelons que la gestion de la maintenance est par ailleurs affectée par le problème des départs à la retraite importants du personnel, tel que vu plus haut HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, pp HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, pp HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, pp HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, pp HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, pp

21 Page 13 Les hausses budgétaires en maintenance demandées par Hydro-Québec Distribution pour 2007 devaient lui permettre procéder à l'embauche et la formation d'environ 120 effectifs (principalement des monteurs et des jointeurs). 39 Au sujet de la maintenance préventive, le Distributeur exprimait ses besoins à long terme comme suit : Maintenance préventive La maintenance préventive est une activité proactive permettant d'identifier les anomalies potentielles sur les composants du réseau. Alors que les actions qui favorisent la réduction des interruptions planifiées et la maîtrise de la végétation ont un impact à court terme sur la performance du réseau, une gestion optimale de la maintenance du réseau et des équipements produira des gains à plus long terme. L'évolution récente des normes de maintenance associée à une croissance du réseau a eu comme impact de créer un besoin à la hausse des heures reliées à la maintenance préventive (environ heures). Le Distributeur souligne qu'une maintenance préventive inadéquate sur le réseau moyenne tension pourrait entraîner à moyen terme une augmentation des défaillances d'équipement. Ces défaillances se traduiront éventuellement par une détérioration de la continuité de service et une croissance dans les budgets de maintenance corrective (pannes). Le budget annuel consacré au programme d'inspection et de maintenance a été de l'ordre de 48 M$ au cours des dernières années. Le Distributeur constate que : les efforts alloués en inspection ne permettent pas de satisfaire aux normes de maintenance ; de nouvelles normes entraînent des actions et des coûts additionnels ; les efforts n'ont pas été récemment ajustés afin de tenir compte de l'accroissement du réseau. 39 HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, pp , et HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 4.

22 Page 14 Le Distributeur propose donc une augmentation de 7 M$ du budget destiné à la réalisation de la maintenance préventive permettant de respecter les programmes d'inspection et ainsi de maintenir la fiabilité du réseau. 40 Quant à ses besoins en maintenance corrective, il dressait un portrait urgent de la situation actuelle : Maintenance corrective Le Distributeur pose le constat que malgré les contrôles de qualité, le réseau comporte une quinzaine de composants tels que les coupe-circuits, les isolateurs et les manchons électriques qui ne sont plus conformes aux exigences techniques. Le coût de remplacement de ces composants s'élève à plus de 200 M$, ce qui représente une moyenne de 20 M$/an pour les 10 prochaines années alors que le budget consacré à la maintenance corrective a été de l'ordre de 5 M$ au cours des dernières années. Les conséquences d'une telle situation sont : les risques à la sécurité des travailleurs : Ces derniers travaillent sur ou près de composants dont les caractéristiques mécaniques ou électriques ne sont plus conformes aux exigences techniques ; les risques pour la sécurité du public (ex.: chute de conducteurs) ; l'augmentation de la fréquence et de la durée des interruptions planifiées due à l'interdiction de toute intervention sous tension sur ou à proximité de ces composants. Les travailleurs doivent alors intervenir hors tension ; une tendance à la hausse de l'ic défectuosité aérienne; bien que la corrélation entre le nombre recensé de composants non conformes et l'évolution de la continuité de service soit difficile à démontrer, la détérioration prématurée des composants entraînent une augmentation de la probabilité de bris et du nombre d'interruptions de service HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, pp HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, pp

23 Page 15 Le Distributeur indiquait suivre l'évolution des résultats de ses interventions par le biais de son indicateur "IC défectuosités matérielles (réseau aérien)" afin d'ajuster le niveau de ses dépenses futures en maintenance selon les résultats obtenus. 42 Au présent dossier, Hydro-Québec Distribution affirme avoir revu ses pratiques de maintenance au cours des dernières années, ce qui lui a permis de réviser les cycles d'inspection et d'entretien de certains actifs ainsi que de prioriser les corrections d'anomalies relevées sur le réseau en fonction des risques. Ces travaux ont aussi permis au Distributeur d'identifier ses besoins d'amélioration dans la maintenance de ses ouvrages civils. Selon Hydro-Québec Distribution, ses besoins supplémentaires ne peuvent se réaliser à l'intérieur des montants habituels alloués à la maintenance du réseau, d'où ses demandes pour 2009 de sommes additionnelles de 3,3 M$ pour l'inspection et retraitement des poteaux de bois (en vue d'en prolonger la durée de vie, permettant à long terme de contenir le niveau des investissements), de 2,5 M$ pour la gestion des cours d'entreposage de poteaux et de 4,0 M$ pour l'entretien préventif systématique et réhabilitation des ouvrages civils. 43 Inspection et retraitement des poteaux de bois Le Distributeur souligne être l'un des seuls de l'industrie à ne pas avoir de programme structuré d'inspection et de retraitement de ses poteaux. 44 Le budget supplémentaire demandé de 3,3 M$ lui permettra d'inspecter quelques poteaux en À plus long terme, le Distributeur entend faire de l'inspection de poteaux une activité récurrente au sein de ses actions de maintenance déjà en place. Il prévoit inspecter tous les poteaux ayant plus de 20 ans et ce, à une fréquence de 10 ans soit environ poteaux annuellement. Selon l'âge moyen estimé du parc, quelque poteaux seront inspectés HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, pp HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, Annexe A, Page 3. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, Pages HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, Annexe A, Page 8, lignes HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, Annexe A, Page 10, lignes 8-9. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, Annexe A, Page 10, lignes

24 Page 16 Selon Hydro-Québec Distribution, la mise en place de l'inspection et du retraitement tels que proposés devrait permettre de diminuer le nombre de poteaux à remplacer par rapport aux pratiques actuelles, de sorte que le taux de renouvellement requis passera de «2,2 % à 1,5 %» vers 2020, réduisant ainsi la pression sur les investissements. 47 Gestion des cours d'entreposage de poteaux Le montant supplémentaire de 2,5 M$ demandé en 2009 permettra de procéder à la réalisation d'essais-pilotes sur l'aménagement et la modification des équipements des cours d'entreposage de poteaux en vue de préciser les travaux à réaliser de même que les coûts et échéancier s'y rattachant. Cette démarche est rendue nécessaire suite aux nouveaux encadrements de 2007 du Ministère du Développement durable, de l'environnement et des Parcs (MDDEP) sur la gestion du bois traité. 48 Entretien préventif systématique et réhabilitation des ouvrages civils En 2009, le Distributeur prévoit : compléter la collecte de données par échantillonnage des ouvrages civils afin de déterminer leur niveau de détérioration ; cibler les ouvrages présentant un haut potentiel de risque de dégradation et les inspecter ; réaliser les travaux de réfection des ouvrages selon leur état de dégradation. 49 À plus long terme, le Distributeur dit souhaiter implanter un programme systématique de maintenance préventive des ouvrages civils et débutera en 2009 ses démarches à cet effet HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, Annexe A, Page 11. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, Page 15. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3 Page 16. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3, Annexe A, Pages HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-7, Document 3 Page 16.

25 Page 17 Recommandation Nous recommandons fortement à la Régie d'approuver ces budgets supplémentaires en maintenance demandés par le Distributeur et de l'appuyer dans la poursuite de ses démarches pour systématiser l'identification de ses besoins en maintenance à long terme. Ces besoins accrus en maintenance sont le résultat du vieillissement du réseau et de la baisse de son taux de pérennité et se manifestent par des dégradations du sous-indicateur spécifique d'indice de continuité lié aux équipements, tel que noté plus haut. Ces dépenses permettent par ailleurs de réduire la pression sur les besoins en investissements.

26 Page LA STRATÉGIE DE PÉRENNITÉ DES ACTIFS ET LE BUDGET D'INVESTISSEMENTS LES INVESTISSEMENTS DE 2009 DANS LE RÉSEAU DE DISTRIBUTION ET LEUR STRATÉGIE Au dossier tarifaire , Hydro-Québec Distribution nous annonçait que ses besoins en investissements pour le maintien de ses actifs iraient en augmentant, compte tenu de leur vieillissement, particulièrement en ce qui a trait au réseau aérien : Le Distributeur a démontré que : les investissements actuels en pérennité de 188 M$/an n'assurent pas un renouvellement adéquat du réseau de distribution à long terme, particulièrement en aérien ; les investissements annuels en pérennité doivent être augmentés graduellement pour atteindre un niveau situé entre 300 et 430 M$ par an [ ]; La croissance des investissements annuels en pérennité pourra être étalée dans le temps selon la nature des différents actifs [ ]. 51 Selon le rythme actuel des investissements en maintien des actifs, le Distributeur estimait que la période de renouvellement du réseau souterrain serait de 50 ans et celle du réseau aérien passerait à 160 ans : Sur la base d un coût de reconstruction de l ensemble du réseau aérien estimé à 14 milliards de dollars, la démarche permet de démontrer que le montant annuel moyen d investissements en pérennité sur le réseau aérien, 90 M$/an 1, mène à une période de renouvellement de l ordre de 160 ans. Pour le réseau souterrain, le coût de reconstruction estimé est de 5 milliards de dollars. Des investissements en pérennité de l ordre de 98 M$/année 1, soit le 51 HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-14, Doc. 1, page 50, lignes 1-9.

27 Page 19 niveau moyen investi au cours des dernières années, mènent à une période de renouvellement de l'ordre de 50 ans. 52 [Note 1 dans le texte :] Ces sommes comprennent les dépenses d'investissements pour le maintien du réseau et certains montants des autres catégories: croissance de la demande, respect des exigences et amélioration de la qualité [ ]. En ce qui a trait au renouvellement du réseau aérien, ce rythme est clairement inapproprié selon le Distributeur : Le vieillissement des composantes entraîne généralement une augmentation de la probabilité de bris et du nombre d'interruptions de service. Les écarts importants relevés entre les périodes de renouvellement et les durées de vie techniques estimées, particulièrement en aérien, ne pourront être maintenus indéfiniment sans mettre en péril les performances du réseau. 53 Le rythme de renouvellement du réseau souterrain est également source d'inquiétude pour Hydro-Québec Distribution : Le Distributeur est d'avis que le niveau moyen des investissements en renouvellement de l'actif souterrain semble adéquat à long terme. Cependant sachant que les investissements actuels servent essentiellement à remplacer certains types d'équipement qui ne sont plus conformes même s'ils n'ont pas atteint la fin de leur durée de vie technique, il est possible que les investissements en pérennité soient insuffisants. 54 Les montants annuels d'investissements mentionnés plus haut ne portaient par ailleurs pas exclusivement sur le maintien des actifs mais en incorporaient aussi certains en croissance, amélioration de la qualité et respect des exigences, comme l'indique la note infrapaginale incluse à la citation où se trouvent énoncées ces période de renouvellement de l ordre de 160 ans et 50 ans HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-14, Doc. 1, pages HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-14, Doc. 1, page 11, lignes HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-14, Doc. 1, Annexe 1, page 41.

28 Page 20 Lors de ce même dossier d'investissements , Hydro-Québec Distribution démontrait que la période de renouvellement de toutes les catégories d'actifs aériens et souterrains (sauf l'appareillage majeur souterrain) dépassait largement la durée de vie prévue de ces mêmes actifs : Tableau 4 Âges moyens et durées de vie technique estimés des principaux actifs du réseau de distribution (en années) 55 Note 1 du tableau : American Electric Power, BC Hydro, Hydro-One, Oklahoma Gas & Electric. Le Distributeur recommandait donc une accélération du rythme des investissements en maintien des actifs. 55 HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-14, Doc. 1, Annexe 1, page 21, Tableau 5.

29 Page 21 Lors de sa cause tarifaire , Hydro-Québec Distribution réitérait la nécessité d'augmenter graduellement les investissements liés au renouvellement du réseau : Réseau de distribution Dans la dernière demande tarifaire (R ), le Distributeur a démontré la nécessité d'augmenter graduellement les investissements liés au renouvellement du réseau. En effet, il a démontré que le maintien d'un niveau d'investissement annuel de l'ordre de 190 M$ 56 en pérennité ne suffirait pas à long terme pour assurer la qualité du service. 57 La Régie prenait acte de ces déclarations du Distributeur : Elle demande au Distributeur de poursuivre [ le développement de sa méthodologie proposée pour évaluer les besoins d investissement en pérennité ], compte tenu de l augmentation substantielle des investissements en pérennité que son application laisse entrevoir. 58 Or, au présent dossier, Hydro-Québec Distribution demande une enveloppe de 308,8 M$ pour ses investissements en maintien des actifs de moins de 10 M$ en 2009, soit une augmentation de seulement 7,9 M$ par rapport aux sommes autorisées à cet effet en Hydro-Québec Distribution note d'ailleurs que sa performance en termes de coûts, par rapport aux autres distributeurs s'est améliorée au cours des années (entre 2005 et 2006) en raison "de l'augmentation plus significative des dépenses de la part des entreprises de service public participantes au processus de balisage, et ce plus précisément au niveau des dépenses d'investissements. Le Distributeur ne peut cependant se prononcer et porter de jugement quant à la nature et la cause de l'augmentation importante des investissements de ces entreprises." Note dans le texte : Moyenne des investissements , répartis dans les différentes catégories : maintien des actifs 125 M$, croissance de la demande 23 M$, amélioration de la qualité 4 M$ et respect des exigences 36 M$ (voir R , HQD14, document 1, pp. 16 à 18). HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-13, Doc. 1, page 9, lignes Caractère gras dans le texte. RÉGIE DE L'ÉNERGIE, Dossier R , Décision D , page 110. Les caractères gras sont dans le texte. Les soulignés sont de nous. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-13, Doc. 1, page 8, lignes HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-9, HQD-16, Document 1, page 37, Réponse 15.2 à la Demande de renseignements no. 2 de la Régie. Souligné et caractère gras par nous.

30 Page 22 Hydro-Québec Distribution affirme que : [l]es investissements en maintien des actifs pour le réseau de distribution ont été établis selon le modèle présenté dans le dossier tarifaire R (HQD-14, document 1, annexe 1) pour le réseau aérien, ajusté en fonction du niveau de connaissance actuel de l'état du parc de poteaux et par un estimé des remplacements de câbles souterrains. Le Distributeur priorise ses projets en fonction du risque et de leur impact sur le réseau. 61 Pourtant, les renseignements fournis par le Distributeur laissent voir que, dans plusieurs cas, le taux de pérennité résultant du présent dossier est très inférieur au taux de pérennité selon la durée de vie. 62 Cette situation n est pas nouvelle puisque, comme nous l avons souligné plus haut, il y a deux ans, au dossier R , le Distributeur reconnaissait que, si l'on maintenait le niveau actuel des investissements en maintien des actifs, la période de renouvellement du réseau souterrain serait de 50 ans et celle du réseau aérien passerait à 160 ans, ce qui était problématique dans les deux cas. Le taux de pérennité des actifs d'hydro-québec Distribution est particulièrement préoccupant en ce qui a trait aux actifs du réseau de distribution. Ce taux de pérennité s'établit, selon la présente demande d'investissements 2009, à 1,4 %, soit un taux deux fois plus faible que le taux de pérennité selon la durée de vie (2,9 %). 63 Cette situation est inchangée par rapport aux demandes d'investissements annuelles antérieures du Distributeur, où le taux de pérennité restait toujours approximativement à la moitié du ratio de pérennité selon la durée de vie qui se maintient à 2,9 %, comme l'illustre le tableau suivant : HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-9, HQD-16, Document 2, page 79, Réponse 62(a) à la Demande de renseignements no. 1 de l'acef de Québec. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-13, Doc. 1, page 9, Tableau 5. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-13, Doc. 1, pages 8-10.

31 Page 23 Tableau 5 Évolution du taux de pérennité des actifs du réseau d'hydro-québec Distribution 64 Actifs du réseau de distribution à la fin de l'année (M$) Durée de vie moyenne à la fin de l'année (années) Taux de pérennité selon la durée de vie (%) Demande d'investissements annuelle (M$) Taux de pérennité selon la d'investissements annuelle (%) ,9 2,9 2,9 2,9 2,9 134,3 123,4 157,6 165,7 152,9 1,4 1,3 1,6 1,5 1,4 Si l'on suppose que l age moyen réel pondéré de l ensemble des équipements du réseau est approximativement égal à leur demi-vie, on se retrouve dans une situation de sousinvestissement significatif qui n assure en aucune façon la pérennité du réseau de Distribution. Dans l éventualité ou les équipements auraient déjà dépassé de façon significative leur demivie, la situation pourrait être encore beaucoup plus préoccupante. Certes, si, comme dans le cas de la catégorie Actifs de soutien (qui sera vue plus loin), l âge réel des actifs de réseau était très bas, il y aurait moins lieu de s inquiéter. Il serait cependant très surprenant que l ensemble du réseau de distribution se caractérise par un âge moyen très faible. La mise à jour de l âge moyen réel de chaque catégorie d'actifs du réseau serait donc une information nécessaire à une prise de décision adéquate quant au niveau d'investissements requis en maintien de ces actifs. La Méthodologie pour évaluer les besoins d'investissements en pérennité du réseau de distribution, déposée il y a deux ans par Hydro-Québec Distribution 65, n'offrait que de l'information très partielle sur l'âge moyen des diverses catégories d'équipements. Elle n'en contenait pas quant aux appareillages dits "majeurs", tant aériens que souterrains HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce HQD-9, Doc. 1 page 9. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce HQD-8, Doc. 1 page 9. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce HQD-14, Doc.1 page 8. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce HQD-13, Doc. 1 page 9. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-13, Doc. 1 page 7. HYDRO-QUÉBEC DISTRIBUTION, Dossier R , Pièce B-1, HQD-14, Doc. 1, Annexe 1, page 21, Tableau 5.

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