²Initiation à l audit Audit c est une appréciation de la comptabilité
|
|
- Rachel Chevalier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ²Initiation à l audit 2011 Audit c est une appréciation de la comptabilité Normalisation et réglementation comptable La normalisation comptable- c est le processus de production des normes comptables, alors que la norme comptable c est une obligation imposé a la pratique comptable : ce sont les obligations techniques (utilisé les comptes de 1 a 7), des obligations de raisonnement (debit, crédit), on peut pas utilisé en plus ou en moins par ex, obligation de faire (de faire un bilan,compte de résultat, remplir les barder aux ), la norme comptable c est une obligation. Le travail de l audit est de savoir si c est bien a été fait Intérêt et limite des normes comptables 1) Tout le monde utilise les mêmes norme ce qui facilite la comparaison 2) Cette norme est un support a la détermination du résultat fiscal (fiscalité) 3) Cela sert pour la détermination de la fiscalité (afin d avoir un abus social) 4) C est un langage unique quasiment mondial 5) La norme permet de produire une information qui ne trompe pas les tiers (banquer, fournisseur) Les limites Le fait qu il ait des normes cela empêche de faire la comptabilité créative (de créer sa propre comptabilité) Les normes ne permettent pas de traiter certaines innovations et problèmes (la vie d entreprise se résume a 7 normes), il est très difficile d appréhender la fusion(prime de fusion difficilement apparent ) L utilisation de cette norme nous amène a payer moins d impôt
2 Les sources de droit comptable Réglementation internationale et française Dans le cas où on a un doute on s adresse à ANC autorité des normes comptables, fait référence en matière des normes comptables (elle fait bcp de travaux théorique sur l évolution de la comptabilité, conformité des normes ) CNC conseil national de comptabilité, travail sur le plan comptable(propose de rajouter un tiroir ) CRC comité de réglementation comptable (aide a la transparence financière, consolidation ) 3 entités qui regardent les cormes comptables. Les autres sources : La jurisprudence en cas de conflit il y a des décisions rendues à l issus. La doctrine (commentaires, intérpretaion des différents organismes qui sont chargés de veiller a la bonne application : conseil de la comptabilité, ordre des experts comptables) En cas de problème d audit, de comptabilité Les principes comptables Ils s orientent autour de 3 pôles : Fidélité Sincérité/régularité Principes comptables fondamentaux FIDELITE c est l objectif suprême de la comptabilité. Il y a pas d articles définissant la fidélité. Une image fidèle de l E lorsque les règles comptables sont respectées. Une vérité sur la vie de d E
3 Article ce qui prime c est la fidélité plutôt que les règles comptables SINCERITE ET LA REGULARITE On a deux moyens pour attendre l image fidèle de l E c est la SINCERITE ET LA REGULARITE, article 120-2, c est une notion qui est définit par le PCG et pas la loi. REGULARITE cela veut dire que la comptabilité est conforme aux règles en vigueur et aux procédures (respect de la loi juridique et de la loi comptable) (de faire la comptabilité jour au jour, toute sortie doit être écrit jour au jour ) SINCERITE, elle est définit par le PCG 1982 A.5, c est l application de bonne fois des règles et des procédures Pour qu une E est-ce que c est fidèle, et ça été fait avec la sincérité et régularité est est-ce c est conforme aux règles de la procédure Les autres principes comptables fondamentaux Les principes CONTINUETE DE L EXPLIOTATION (PCG 120-1) C est la comptabilité permet d effectuer des comparaisons périodique et d apprécier l évolution de l entité dans une perspective de continuité d activité. (Ex : Bilan au 31/12 les investissement sont de manière continue 2 dans le PCG, en effet il y a certains éléments qui nécessite la continuité capitaux propres, capital social etc) INDEPENDANCE DES EXERCICES (PCG 313-1)
4 Objectif : déterminer le résultat pour qu il soit imposé On doit arrêter chaque année les comptes pour en déduire le résultat, c'est-à-dire il faut clôturer au 31/12. Voir fiscalité conditions de déductions des charges PRINCIPE DES COUTS HISTORIQUES (PCG 321-1) Il est stipulé a la date d entrée dans le patrimoine les biens acquis a titre onéreux sont enregistré a leurs coût d acquisition et les biens produits sont enregistré a leurs coût de production. Ce principe est très critiqué, car aujourd hui on est dans une phase des coûts réels. Il faut peut être modifié et de les mettre aux coûts réels. PRUDENCE (PCG 120-3) Ce principe de prudence consiste a faire des écritures comptables de manière prudent afin d éviter un risque Ex : Stock de matière premiers des pommes, risque des les perdre et donc de faire des dépréciation, donc par souci de prudence on faire la dépréciation. Ex : réserves légales et facultatives et donc de faire plus de réserves par prudence Idée est de ne pas prendre le risque à l entreprise, de faire tout pour éviter le risque (mauvais analyse) PRINCIPE DE LA PERMANENCE DES METHODES (PCG 120-4) Il doit y avoir de la cohérence des informations comptables qu cours des périodes successives Implique la Permanence dans l application des règles et des procédure Ex : amortissement linéaire où dégressive on ne peut pas, on doit appliquer une méthode une année, l année prochaine on doit appliquer la même méthode, donc on ne peut pas changer de méthode PRINCIPE DE L IMPORTANCE RELATIVE (decret 21/1983)
5 Seules les informations pertinentes et utiles sont nécessaire a l établissement des documents de synthèse. On ne doit pas mettre que les éléments utiles et pertinents. On doit avoir un impacte sur le situation financière et patrimoniale de l E.( Voir seuil de signification, des compléments des info) PRINCIPE DE NON COMPENSANTION (code de commerce art 13) Postes actifs et de passifs doivent élevés séparément. Aucune compensation entre les éléments de produits et de charges Pour un même client on ne peut pas compenser les opérations même si c est la même entité entre les E.(principe de la comptabilité) PRINCIPE D INTANGIBILITE DU BILAN D OUVERTURE (PCG 130-2) Le bilan d ouverture est égal au bilan de clôture Ex au 31/12 la clôture donc le bilan, et en même temps c est le même bilan d ouverture Les immo de 31/12 sont les même au 1/01 ainsi que la trésorerie, créances clients PRINCIPE DE PREEMINENCE DE LA REALITE ECONOMIQUES SUR L APPARENCE JURIDIQUE Ce qui prime en matière de comptabilité c est l approche comptable qui correspond a la réalité économique C est la réalité comptable qui prime Ex : Une opération financière qui doit être visible dans le bilan, principe d adaptation a la vie de l E. C est un aménagement des dispositions comptables sous conditions particulières PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE LES NORMES INTERNATIONALES C est la norme IAS IFRS Ces sont les normes internationales, lorsqu on est un groupe international, c esta dire on doit faire le bilan et le compte de résultat selon ses normes. Si on est une E française on fait sous PCG
6 Si on est international on opte sous IFRS Si o est l E mère en France et la filiale à Londres, on doit opter pour IAS IFRS, pour éviter de passer sous les différentes normes de chaque pays Début du cours absent Audit financier Fait valider les étapes financières Que cela concerne l E et l exercice de l entreprise Pour valider l audit on a quelques outils. Les outils de l audit Des procédures analytiques O compare les données de l»exercice N-1 et l année en cours. Souvent ces variations on compare a d autres E comparables. EX : les frais d emballages N-1 =500, N = 510, est ce que c est vrai? On regarde que la croissance dans le secteur est de 1%, donc on se dit que on a besoin d avoir plus de papier pour emballer. Il faut bien entendu connaître bien le secteur. Ici on utilise beaucoup des ratios. C est aussi plutôt dans les grandes entreprise cette procédure analytique Souvent la procédure analytique c est pour AUTRES ACHATS ET CHARGES EXTERNES
7 Car cela englobe toutes les charges La confirmation directe C est obtenir des tiers qui ont des relations avec l entreprise des informations sur le sol du compte de l entreprise. On audit pas l entreprise mais l opération de l autre E. EX : Cela se fait quand on a une mère et une fille Les sondages L auditeur ne peut pas vérifier toutes les écritures, et dans ce cas là il tire au sort par période. Fin novembre et 24 décembre. Donc on fait le tirage au sort Utilisation des travaux de l expert comptable et de documents juridiques Lors de la fusion on fait un audit Utilisation des travaux de services de contrôle interne Contrôle de gestion, sur la logistique etc Il faut être sur que le contrôle interne a été réalisé de bonne foie Observation physique Aller vérifier physiquement, c est la vérification des stocks et des papiers A 95% cela se fait régulièrement On fait beaucoup appel a la géométrie Quand il y a des écarts on doit trouver l origine des écarts : vol, faute de frappe, périmer, évaporation etc Ais il y a toujours un écart, qui est lié souvent au vol en stock etc
8 Vérification en profondeur des stocks et des amortissements C est le commissaire au compte qui valide l audit légal Le commissare aux comptes Champs d application/ CONTROLE LEGAL Loi de 1/ C est un contrôle permanent confié a un ou plusieurs commissaire au compte chargé de vérifier la régularité et la sincérité des comptes annuelles et apporter aux actionnaires aux autorités tutelles et aux tiers d assurance de la qualité de l information comptable et financières A rendu obligatoire na nomination de commissaires aux comptes dans le cadre suivant Dans toutes les sociétés par action Dans les sociétés commerciales type SARL, etc qui a la clôture de leurs exercice ont atteint deux des trous seuils suivant : Total Bilan > 1.55 Mln d euros Quand le CA HT > 3,1 Mln d euros Nombre de salariés > 50 Dans toutes les sociétés par actions SA on a obligation de nommer le Commissaire au compte et dans les sociétés commerciaux où les 2 de 3 sont réunit On peut avoir des audits obligatoires dans certaines associations dans les etablissemnts public. C est en générale quand on a des subventions d exploitations > On trouve cela dans le compte de résultat Particularité :
9 On peut nommer quelques fois un ou plusieurs commissaires au compte On a tout toujours des commissaires au compte suppléants. On nomme 3 commissaires au compte titulaires et 3 suppléants Toutes les sociétés cotés en bourse qui on les comptes consolidés doivent avoir minimum 2 commissaires en compte. On a aussi besoin de commissaires au compte pour faire l audit particulier (fusion) Quand on fait la transformation des sociétés anonymes Pour la fusion on a besoin un commissaire a la fusion Audit se fait chaque année, mais aussi pour augmentation de capital et fusion, transformation de sociétés. Compte tenu du contrôle légal des comptes Missions générale du commissaire au compte Un commissaire au compte cela peut être une personne physique où morale inscrite sur la liste professionnel dressé par la commission régionale de la cours d appel Cette inscription sur la liste professionnelle confère aux commissaires au compte des droits et des obligations Il y a des incompatibilités et des interdictions 2 types d incompatibilités Incompatibilités générales et spécifiques Incompatibilité Spécifique : Un code de déontologie du commissaire au compte existe On ne peut pas être commissaire au compte si on a des liens familiaux, professionnels, financiers. Il est interdit au commissaire au compte qui est chargé de vérifier les comptes d E de fournir une autre prestation spécifique, sauf s il y a un point spécifique dans la lettre de mission
10 Incompatibilités générales Incompatible avec toute activité où tout acte de nature a porter attente a son indépendance Toute activité commerciale est incompatible Toute activité salariale est incompatible sauf s in travaille dans une E où son activité est commissaire au compte EX : Un commissaire ne peut pas ouvrir une activité commerciale, donc ouvrit un magasin Les interdictions : Un commissaire au compte ne peut pas prendre, recevoir, directement, ou indirectement un intérêt auprès de la personne morale dont il est chargé de certifier les comptes Dans le but de pas garder le lien et pas de contrepartie Pas d acceptation des actions de la sociétés pas d achat des actions Il y a très peu de litiges car ils font attention Les commissaires au compte ne peut pas être nommé dirigeant d une société dont il est chargé d auditer les comptes, moins de 5 ans après la cessation de leur fonction Mais dans le cas aussi d abandon de la fonction de commissaire au compte. Les dirigeants où salariés d une personne morale ne peuvent être nommée un commissaire au compte il faut avoir 5 ans de décalage entre deux fonctions Si on est dirigent on décide devenir un commissaire au compte ne peut pas le faire s il le dirigeant détient plus de 10% du capital. Conditions d exercices Droit de commissaire au compte Il a un pouvoir d investigation permanent Ils peuvent opérer toutes les opérations qu ils veulent, se communiquer des pièces qu ils veulent, obtenir tout les documents dont il a besoin (le droit d appeler le fournisseur, le client)
11 Le droit de participer aux réunions des organes sociaux Quels sont les obligations de commissaire au compte A le droit d assister aux assemblées générale Obligation essentielle Certifier le contrôle et les comptes Il est astreint au secret professionnel En gros on ne doit pas avoir le lien et secret professionnel Toute erreur de jugement met en cause sa responsabilité Dans le rapport général Il doit donner son opinion Il doit certifier les comptes Doit justifier ces appréciations Doit vérifier les informations spécifiques (vérifier le rapport de conseil d administration, documents envoyés aux actionnaires) A l issue de son opinion il certifie où il ne certifie pas. Certification sans réserve cela veut dire que l audit est bon. Certification avec réserve cela veut dire que La non certification cela entraîne une procédure d alerte et la constatation de fait delectieux Il peut émettre un rapport spécial lors de l opération spéciale lors de la fusion et d augmentation du capital STATUT DU COMMISSAIRE AUX COMPTES PRINCIPES FONDAMENTAUX DU COMPORTEMENT DE COMMISSAIRES AUX COMPTES ET EXERCICE EN RESEAUX Le CC il est indépendant inscrit sur une liste son inscription est prononcé par la commission régionale d inscription et il l a prêté serment. Cette une personne physique où morale. Doit être de bonne moralité de nationalité française où de UE et avoir son diplôme
12 CC peut être en réseaux où indépendant CC doit avoir le comportement d indépendance art 5 du code de déontologie (code de commerce) des experts comptables, Il doit être : Indépendant de la personne dont il certifie les comptes Honnête Droit Intègre Le comportement d impartiale (doit avoir une attitude impartiale, ni d avoir de préjugé ni parti prix) Ne doit pas être en conflit d intérêt art 6, lors de sa mission il ne doit pas mettre l E dans la situation de conflit. EX : Lors de demande de client sur l achat Compétence art 7, c'est-à-dire il doit avoir une formation théorique et pratique (3 ans de stage) Il a obligation de se former régulièrement (sur l évolution juridique sur fiscalité sur audit) Comportement Confraternel art 8, c est a dire les CC doivent se forcer de résoudre en cas de litige a l amiable EX : Pas d attaque des autres CC en cas de mauvaise certification précédente par son collègue. Car cela nuira à la profession Discrétion art 9, c'est-à-dire de respecter le secret professionnel et d être prudent et discret CC peut être en réseaux, c est en générale pour les grands cabinets d expertise (PWC pricewaterhousecooper) Il faut spécifier qu il est dans le réseaux. CC doit informer le client Quand on est membre d un réseaux on doit être indépendant. EX : PWC audite chez une société et le fils du patron travaille chez PWC Il ne doit pas avoir Interdiction d être en relation avec la personne chez qui on audite. Pas de lien familiales et personnels. Pas de liens financiers (actions, pas de prêt)
L AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES. TRANSVERS CONSULTING L'audit des compagnies d'assurances 2005 1
L AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES 2005 1 Séminaire - Atelier L audit interne dans l assurance 1 ère communication : Généralités sur l audit interne 2 ème communication : L audit interne des compagnies
Plus en détailLes tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse
Synthèse // Réflexion // Une entreprise/un homme // Références Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse Particulièrement utiles pour évaluer la capacité
Plus en détailChapitre 1 : Consolidation et image fidèle
Chapitre 1 : Consolidation et image fidèle I -Notion de consolidation et de groupe A - Définition B - Motivation de la consolidation C - Comment la notion de contrôle doit-elle se comprendre? Exemple simplifié
Plus en détailIntroduction à la comptabilité financière
PARTIE 1 Introduction à la comptabilité financière Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 Chapitre 4 D une approche patrimoniale et juridique à une approche économique et financière... 3 Les tableaux de synthèse
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. Introduction CHAPITRE CHAPITRE
TABLE DES MATIÈRES Introduction 1 Le diagnostic financier des sociétés et des groupes... 1 I. L analyse du risque de faillite... 2 A. L analyse fonctionnelle... 2 B. L analyse dynamique du risque de faillite
Plus en détailChapitre I. Introduction L histoire et la normalisation de la comptabilité... 15
Sommaire Avertissement au lecteur....................................................... 11 Introduction générale........................................................... 13 Chapitre I. Introduction
Plus en détailRECOMMANDATION. Note de présentation
AUTORITE DES NORMES COMPTABLES RECOMMANDATION n 2013-02 du 7 novembre 2013 Relative aux règles d évaluation et de comptabilisation des engagements de retraite et avantages similaires pour les comptes annuels
Plus en détailCIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06. Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit.
Tunis, le 20 mai 2011 CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06 Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit. Le Gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie,
Plus en détailOuvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE. Éditions d Organisation, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3
Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3 SOMMAIRE DÉTAILLÉ INTRODUCTION : L évolution de l environnement a transformé les métiers de la finance
Plus en détailCHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE
CHAPITRE 1 : LA PROFESSION COMPTABLE I. Organisation de la profession comptable Profession comptable Comptable s salariés Comptable s libéraux Comptable s publics A. Comptables salariés 1. La profession
Plus en détailAlerte. «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés»
Alerte «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés» La loi du 20 août 2008 portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps
Plus en détailFiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic
Le diagnostic financier Fiche 1 1 Introduction Le diagnostic financier permet d évaluer le potentiel de l entité. Il peut se faire en différentes occasions (achat d entreprise, placements, demande d emprunt,
Plus en détailNouvelle Directive comptable européenne Quels changements? Quels impacts sur le droit comptable français?
Nouvelle Directive comptable européenne Quels changements? Quels impacts sur le droit comptable français? La directive européenne relative aux états financiers annuels, aux états financiers consolidés
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Les fondations en questions Gouvernance, spécificités comptables, avantages fiscaux Découvrez les règles propres aux différents types de fondations 1 - Quelles sont les
Plus en détailCOMPTABILITÉ APPROFONDIE. DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - IMMOBILISATIONS DÉCOMPOSÉES ET SUBVENTION D INVESTISSEMENT
COMPTABILITÉ APPROFONDIE DCG - Session 2008 Corrigé indicatif DOSSIER 1 - IMMOBILISATIONS DÉCOMPOSÉES ET SUBVENTION D INVESTISSEMENT 1. Expliquer les raisons pour lesquelles la société YPREMIUM ne peut
Plus en détailChapitre 7 Consolidation et comptes de groupes
Chapitre 7 Consolidation et comptes de groupes Comptabilité approfondie Chapitre 7 1 Pourquoi consolider? La société A a acheté la société B. La somme payée s élève à 9 500 par achat des titres du capital
Plus en détailCommissaires aux comptes et surveillance prudentielle des établissements du secteur bancaire et financier
ÉTUDES Commissaires aux comptes et surveillance prudentielle des établissements du secteur bancaire et financier L a mise en place par le législateur d un commissariat aux comptes obligatoire repose sur
Plus en détailAUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010
AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRESENTATION DU REGLEMENT DE l ANC n 2010-01 DU 3 JUIN 2010 Relatif aux modalités de première application du règlement du CRC n 99-02 par les sociétés dont les instruments
Plus en détailUE 4 Comptabilité et audit 2 Identification du candidat (prénom, nom) : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion DSCG D é c r e t N 2 0 0 6-1 7 0 6 d u 2 2 d é c e m b r e 2 0 0 6 - A r r ê t é d u 8 m a r s 2 0 1 0 Validation des Acquis de l Expérience VAE R é f é
Plus en détailL existence de la société commerciale
TABLE DES MATIÈRES Liste des principales abréviations 5 Introduction 9 Section I Classification des sociétés commerciales 11 1. Grandes catégories 11 A) Sociétés commerciales par la forme ou par l objet
Plus en détailFusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48
Fusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48 Résumé de l article Les regroupements d entreprises peuvent se traduire en comptabilité par une fusion régie par le règlement
Plus en détailOPÉRATIONS DE CESSION
OPÉRATIONS DE CESSION Anticipation des difficultés de mise en œuvre de la norme IFRS 5 «Actifs non courants détenus en vue de la vente et activités abandonnées» Paris le 23/09/2014 Sandra Dujardin Antoine
Plus en détailCOMPTABILISATION DES OPÉRATIONS EN DEVISES
ENCYCLOPEDIE DE COMPTABILITE, CONTROLE DE GESTION ET AUDIT (SOUS LA DIRECTION DE BERNARD COLASSE), EDITIONS ECONOMICA, MARS 2009, P. 331 A 341. COMPTABILISATION DES OPÉRATIONS EN DEVISES Robert OBERT Doit-on
Plus en détailRèglement intérieur. de la Commission de surveillance
Règlement intérieur de la Commission de surveillance L a loi du 28 avril 1816 dote la Caisse des Dépôts et Consignations d un statut particulier destiné à assurer à sa gestion une indépendance complète
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION
Rabat, le 13 octobre 2005 NOTE DE PRESENTATION sur la circulaire n 06 /05 relative à la publication et à la diffusion d informations financières par les personnes morales faisant appel public à l épargne
Plus en détailLA MISSION D AUDIT LEGAL
MANUEL DES NORMES LA MISSION D AUDIT LEGAL ET CONTRACTUEL La mission d'audit légal et contractuel Les normes relatives au comportement professionnel Les normes de travail Les normes de rapports Les normes
Plus en détailIntervenant. Patrick MORGENSTERN. Expert-comptable, Chargé d enseignement fiscal à l Université de Bourgogne
Les impôts différés Intervenant Patrick MORGENSTERN Expert-comptable, Chargé d enseignement fiscal à l Université de Bourgogne Sommaire Présentation synthétique du mécanisme des impôts différés Impôts
Plus en détailLe comité d entreprise
Le comité d entreprise En bref Dans les entreprises de 50 salariés et plus, le chef d entreprise est tenu d organiser la mise en place d un comité d entreprise (CE) composé de représentants élus du personnel
Plus en détailInformation financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic
COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 27 mars 2013 Information financière pro forma 2012 consolidée Icade-Silic Conformément à ce qui avait été annoncé lors de la publication des comptes annuels, Icade publie
Plus en détailLa protection des associés en droit congolais et en droit OHADA
Le statut des associés des sociétés commerciales La protection des associés des sociétés commerciales constitue une avancée du droit OHADA sur le droit congolais La République démocratique du Congo (RDC)
Plus en détailCommissaire aux comptes
Fédération Internationale des Ligues des Droits de l Homme F.I.D.H. ASSOCIATION RECONNUE D UTILITÉ PUBLIQUE 17, passage de la Main d Or 75011 PARIS Rapports du Exercice clos le 31 décembre 2005 18 rue
Plus en détailLes nouvelles obligations en matière de transparence financière des Comités d Entreprise Loi du 5 mars 2014 :
Les nouvelles obligations en matière de transparence financière des Comités d Entreprise Loi du 5 mars 2014 : Situation antérieure et obligations prochaines www.semaphores.fr Situation antérieure à la
Plus en détailInternational Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts. 2 février 2005
International Financial Reporting Standards (IFRS) Mise en place et Impacts 2 février 2005 QUE SONT LES IFRS? Les IFRS ont été élaborées par l International Accounting Standards Board (IASB) en vue de
Plus en détailRapport de Transparence
Bureau régional d Arles Bureau régional d Avignon Bureau régional de Bagnols s/ Cèze Bureau régional de Grenoble 5, rue Charles Chaplin Zone de la Courtine 14, Avenue Paul Langevin 27 rue René Cassin 13200
Plus en détailRapport annuel commun. Système belge de supervision publique des réviseurs d entreprises
Rapport annuel commun Système belge de supervision publique des réviseurs d entreprises Le Conseil supérieur des Professions économiques tient à remercier le SPF Economie, P.M.E., Classes moyennes et Energie
Plus en détailI. LES RAPPORTS DU COMMISSAIRE AUX COMPTES SUR LES COMPTES ANNUELS ET CONSOLIDÉS
COLLECTION NOTES D INFORMATION I. LES RAPPORTS DU COMMISSAIRE AUX COMPTES SUR LES COMPTES ANNUELS ET CONSOLIDÉS FÉVRIER 2010 SERVICES DÉPARTEMENT ÉDITION 3 SOMMAIRE SYNTHÉTIQUE AVANT-PROPOS... 19 1. TEXTES
Plus en détailIntroduction à la gestion
Introduction à la gestion comptable La comptabilité générale est une technique permettant de codifier et de conserver une trace des opérations réalisées par une entreprise dans le cadre de son activité.
Plus en détailMissions connexes du Commissaires aux comptes
Missions connexes du Commissaires aux comptes Le commissaire aux comptes Le commissaire aux comptes intervient sur des missions d audit légal pour certifier les comptes des entreprises et garantir la fiabilité
Plus en détail2011 [GÉNÉRALITÉ SUR LES. DJIMBI TCHITEMBO Ariel STRUCTURES DES SOCIÉTÉS]
2011 [GÉNÉRALITÉ SUR LES DJIMBI TCHITEMBO Ariel STRUCTURES DES SOCIÉTÉS] Généralité sur les structures des sociétés En France, il existe différentes forment qui ont pour but de s adapter à leur environnement
Plus en détailPROFESSION COMPTABLE ET FINANCEMENT EXPORT
PROFESSION COMPTABLE ET FINANCEMENT EXPORT Rôle de certificateur Jean SAPHORES C.S.O.E.C. 1 Handicaps des PME La chaîne de l information financière des PME est moins sécurisée que pour les entreprises
Plus en détailCODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS
CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS Référence : Type de politique : Références juridiques : Autres références : INTRODUCTION Gouvernance autonome Code des professions, Code civil du Québec
Plus en détailOPTIMISEZ VOTRE INVESTISSEMENT IMMOBILIER
PASCAL DÉNOS Diplômé d expertise-comptable DESS en Banques et Finances Commissaire aux Comptes et Professeur de droit fiscal OPTIMISEZ VOTRE INVESTISSEMENT IMMOBILIER www.editions-organisation.com/livres/denos
Plus en détailQuestionnaire de sondage: de la communication interne dans l organisation
Cours 7 Audit : Exemple de questionnaire Questionnaire de sondage: de la communication interne dans 1. Votre organisation s est-elle dotée officiellement d une stratégie, d un programme ou d une politique
Plus en détailNorme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1
Norme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1 Champ d application 1 La présente norme doit être appliquée à la comptabilisation
Plus en détailChapitre 4 : Retraitement et homogénéité
Chapitre 4 : Retraitement et homogénéité I - Les retraitements de pre-consolidation A - Les retraitements pour seules applications des législations fiscales B - Les retraitements d'homogénéité II- les
Plus en détailNouvelles règles fiscales de sous-capitalisation en France : Conditions de déductibilité des intérêts financiers*
Nouvelles règles fiscales de sous-capitalisation en France : Conditions de déductibilité des intérêts financiers* * sur compte courant ou prêt Sommaire 1. Avant propos 2. Ancien dispositif 3. Pourquoi
Plus en détailComptes consolidés de l Etat : étapes préalables
Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables Séminaire relatif à la pertinence des IPSAS et normes comptables européennes Cour des comptes 25 mars 2013 Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables
Plus en détailGestion budgétaire et financière
Élaboration et suivi de la programmation budgétaire Exécution budgétaire et comptable Aide au pilotage et contrôle financier externe Expertise financière et juridique Ministère de la Culture et de la Communication
Plus en détailEVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS
EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS Ce document présente la procédure d évaluation des services centraux de l UNIL
Plus en détailNorme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière
IFRS 1 Norme internationale d information financière 1 Première application des Normes internationales d information financière Objectif 1 L objectif de la présente Norme est d assurer que les premiers
Plus en détailACTIONNAIRE Un actionnaire est une personne physique ou personne morale détenant une ou plusieurs actions.
Lexique des principaux termes financiers A ACTION Une action est un titre négociable émis par une société de capitaux cotée ou non et représentatif de la valeur unitaire du capital social de celle-ci,
Plus en détailCarrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière
Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Chiffres clés 2012 Croissance des ventes du Groupe : +0,9% à 76,8
Plus en détailRAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES COMPTES ANNUELS
RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES COMPTES ANNUELS Société Générale Exercice clos le 31 décembre 2014 Aux Actionnaires, En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale,
Plus en détailIII. LE COMMISSAIRE AUX COMPTES ET L ALERTE
COLLECTION NOTES D INFORMATION III. LE COMMISSAIRE AUX COMPTES ET L ALERTE AVRIL 2010 SERVICES DÉPARTEMENT ÉDITION 3 SOMMAIRE SYNTHÉTIQUE AVANT-PROPOS... 25 1. DISPOSITIF LÉGISLATIF ET RÉGLEMENTAIRE RELATIF
Plus en détailIntroduction 5. larcier 347
TABLE DES MATIÈRES Introduction 5 Chapitre I L accès à la profession : l autorisation d établissement 7 Section 1. Le champ d application de la loi d établissement 8 A. Les personnes nécessitant une autorisation
Plus en détailOuvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE. Éditions d Organisation, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3
Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3 CHAPITRE 4 AUDIT Il ne peut y avoir d analyse financière sans états financiers fiables. Le but de l audit
Plus en détailConsultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS
Consultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS 2 Présentation et état d avancement du
Plus en détailRèglement intérieur du Conseil de surveillance
Règlement intérieur du Conseil de surveillance 1. Préambule...3 2. Rôle du Conseil de surveillance...4 2.1. Mission générale de contrôle permanent... 4 2.2. Rôle de vérification du bon exercice du pouvoir
Plus en détailAtelier : Le budget de fonctionnement des CE : anticiper les réformes
Atelier : Le budget de fonctionnement des CE : anticiper les réformes Transparence financière et nouvelles prérogatives économiques 28 MAI 2013 PALAIS DES CONGRÈS DU FUTUROSCOPE POITIERS - 5 E ÉDITION
Plus en détailHSBC Global Asset Management (France) Politique de vote - Mars 2015
HSBC Global Asset Management (France) Politique de vote - Mars 2015 Ce document présente les conditions dans lesquelles la société de gestion HSBC Global Asset Management (France) entend exercer les droits
Plus en détailNOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées
NOTE SUR LES SUBVENTIONS - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées - Les produits de la tarification ne sont pas des subventions A. Récapitulatif des obligations des associations
Plus en détailLA COMPTABILITE MATIERE
INFORMATIONS CONSEIL ET ASSISTANCE AUX E.P.L.E. DE LA GUADELOUPE LA COMPTABILITE MATIERE S O M M A I R E 1 - Rappel des dispositions réglementaires page 2 2 - Modalités de mise en œuvre de la comptabilité
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE
Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système
Plus en détailMutuelle Retraite Européenne N SIREN 477 908 305 STATUTS RÈGLEMENTS. M E RMutuelle Retraite Européenne
Mutuelle Retraite Européenne N SIREN 477 908 305 2015 STATUTS RÈGLEMENTS M E RMutuelle Retraite Européenne Statuts MRE applicables à compter du 01/01/2015 Titre I ER - Formation, Objet et composition
Plus en détailFICHE PRATIQUE SCPI QU EST-CE QU UNE SCPI? AVANTAGES DE L INVESTISSEMENT IMMOBILIER CONTRAINTES DE LA GESTION «EN DIRECT» LES ATOUTS DES SCPI
FICHE PRATIQUE SCPI QU EST-CE QU UNE SCPI? La Société Civile de Placement Immobilier est un organisme de placement collectif qui a pour objet l acquisition et la gestion d un patrimoine immobilier locatif
Plus en détailLa comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets.
La comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets. STAND 114 SOMMAIRE 1. Rôles et objectifs de la comptabilité analytique a) Rôle b) Objectifs 2. Organisation
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. I. La comptabilité : une invention ancienne toujours en évolution... 17
TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 1 Histoire, définition et rôle de la comptabilité... 17 I. La comptabilité : une invention ancienne toujours en évolution... 17 A. Les origines antiques de la comptabilité...
Plus en détailNORME IAS 23 COÛTS DES EMPRUNTS
NORME IAS 23 COÛTS DES EMPRUNTS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORME IAS 23 : COÛTS DES EMPRUNTS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit de la norme...3
Plus en détailINSTRUCTION. N 08-017-M9 du 3 avril 2008 NOR : BUD R 08 00017 J. Texte publié au Bulletin Officiel de la Comptabilité Publique
INSTRUCTION N 08-017-M9 du 3 avril 2008 NOR : BUD R 08 00017 J Texte publié au Bulletin Officiel de la Comptabilité Publique LES COMPTES CONSOLIDÉS DANS LES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS NATIONAUX ANALYSE Objectifs,
Plus en détailParis, le 17 mai 2010
Conseil National des Barreaux LEPRESIDENT SAINT-DENIS de LA REUNION Madame Fernande ANILHA Bâtonnier Ordre des Avocats Palais de Justice 5, avenue André Malraux 97490 SAINTE-CLOTILDE Paris, le 17 mai 2010
Plus en détailNouvelles exigences en matière de présentation des comptes et de révision
www.pwc.ch Nouvelles exigences en matière de présentation des comptes et de révision Aperçu des modifications du Code des obligations suisse Décembre 2011 Un document PwC destiné aux responsables de la
Plus en détailNorme comptable internationale 33 Résultat par action
Norme comptable internationale 33 Résultat par action Objectif 1 L objectif de la présente norme est de prescrire les principes de détermination et de présentation du résultat par action de manière à améliorer
Plus en détailPrincipales dispositions du projet de règlement
Principales dispositions du projet de règlement (TEXTE VOTÉ PAR LA COMMISSION JURI LE 21 JANVIER 2014) Février 2014 1 Honoraires d audit (article 9) (1/3) Limitation des services non audit Si un contrôleur
Plus en détailCode de déontologie de la profession de commissaire aux comptes (Annexe 8-1 du Livre VIII du Code de commerce, partie réglementaire)
Article 1 er Article 2 Code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes (Annexe 8-1 du Livre VIII du Code de commerce, partie réglementaire) PLAN TITRE Ier - PRINCIPES FONDAMENTAUX DE COMPORTEMENT
Plus en détailTABLEAU DE FONCTIONS ET ACTIVITES COMPATIBLES AVEC LE STATUT D EXPERT-COMPTABLE
TABLEAU DE FONCTIONS ET ACTIVITES COMPATIBLES AVEC LE STATUT D EXPERT-COMPTABLE L activité principale de l expert-comptable doit être l expertise comptable telle que définie à l article 2, alinéas 1 et
Plus en détailRapport financier semestriel. Société Anonyme au capital de 13.401.587 Euros Siège Social : 12, rue Ampère ZI 91430 IGNY 343 902 821 RCS EVRY
Rapport financier semestriel 2013 Société Anonyme au capital de 13.401.587 Euros Siège Social : 12, rue Ampère ZI 91430 IGNY 343 902 821 RCS EVRY SOMMAIRE RAPPORT SEMESTRIEL D ACTIVITE DU CONSEIL D AMINISTRATION
Plus en détailB Qui sont les propriétaires et les gestionnaires des entreprises?
B Qui sont les propriétaires et les gestionnaires des entreprises? a) L entrepreneur individuel trepreneur individuel Nombre de propriétaires = 1 seul Responsabilité sur ses biens propres = illimitée Activités
Plus en détailLES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL
LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL (SPF) www.bdo.lu 2 Les Sociétés de Gestion de Patrimoine Familial (SPF) TABLE DES MATIERES AVANT-PROPOS 3 1. INTRODUCTION 4 2. ACTIVITES D UNE SPF 2.1 Activités
Plus en détailAUDIT FRANCE ASSOCIATION DEPARTEMENTALE DES FRANCAS DE L HERAULT. Association loi 1901 Siège social : 27 rue Lafeuillade 34070 MONTPELLIER
AUDIT FRANCE ASSOCIATION DEPARTEMENTALE DES FRANCAS DE L HERAULT Association loi 1901 Siège social : 27 rue Lafeuillade 34070 MONTPELLIER EXERCICE CLOS LE 31 DECEMBRE 2010 RAPPORT DU COMMISSAIRE AUX COMPTES
Plus en détailNouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté. 1 er juillet 2014
Nouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté 1 er juillet 2014 Nouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté 2 S O M M A I R E PAGES Contexte 3 Rappel des différentes procédures existantes
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les
Plus en détailPrésentation de la consolidation
Chapitre I Présentation de la consolidation Établir les comptes consolidés d un groupe consiste à présenter son patrimoine, sa situation financière et les résultats de l ensemble des entités qui le constituent
Plus en détailwww.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts
www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts Sommaire Préface...p.3 Définition et types de conflit d intérêts...p.4 Comment identifier un conflit d intérêts...p.6 Exemples
Plus en détailCONVENTION PORTANT CREATION D UNE COMMISSION BANCAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE
CONVENTION PORTANT CREATION D UNE COMMISSION BANCAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE Sur recommandation du Comité Monétaire institué par la Convention de Coopération du 22 novembre 1972, Le Gouvernement de la République
Plus en détail3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES
3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES Considérant que la révision des comptes consolidés doit s exercer conformément aux normes générales de révision; que ses caractéristiques
Plus en détailINTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE
INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE Avril 2013 EVALUATION D ENTREPRISE 1 Introduction en bourse Une introduction en bourse est avant tout une opération financière. Les avantages financiers de
Plus en détailCOMPTABILITÉ. PCG : provisions pour grosses réparations vs amortissements par composants. Cette étude a pour objet. reflexion. Résumé de l article
PCG : provisions pour grosses réparations vs amortissements par composants Eric DELESALLE Expert-comptable, Commissaire aux comptes Professeur agrégé CNAM-INTEC Président de la Commission de droit comptable
Plus en détailLA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015
Groupement des Métiers de l Imprimerie -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- DÉCEMBRE 2014 NOTE N 24 LA
Plus en détailCréer en solo : EI, AE, EURL, SASU Quel statut juridique choisir pour réaliser votre projet? Maître Muriel LEON Ordre des Avocats
Créer en solo : EI, AE, EURL, SASU Quel statut juridique choisir pour réaliser votre projet? Maître Muriel LEON Ordre des Avocats Plan de l intervention 1. Contexte du projet 2. Statut du projet Partie
Plus en détailNOTE DE PRÉSENTATION
AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRÉSENTATION RÈGLEMENT N 2014-02 du 6 février 2014 Relatif aux modalités d établissement des comptes des sociétés de financement Abrogé et repris par règlement ANC
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances L année 2002 est de nouveau marquée par une forte baisse des marchés financiers. Celle-ci entraîne une diminution des plus-values latentes et des produits
Plus en détailNormes professionnelles des experts-comptables : Et vous, où en êtes-vous?
Normes professionnelles des experts-comptables : Et vous, où en êtes-vous? Intervenantes : Florence Hauducœur Expert-comptable et commissaire aux comptes, Présidente de la commission Déontologie et Etudes
Plus en détailNORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS
NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détailDILIGENCES REGLEMENTAIRES DES COMMISSAIRES AUX COMPTES DANS LES ETABLISSEMENTS DE CREDIT DE LA CEMAC
COMMISSION BANCAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE RENCONTRE DU SECRETAIRE GENERAL DE LA COBAC AVEC LES COMMISSAIRES AUX COMPTES DES ETABLISSEMENTS DE CREDIT DE LA CEMAC (Douala, le 31 mai 2011) DILIGENCES REGLEMENTAIRES
Plus en détailRÉSULTATS ANNUELS 2014
RÉSULTATS ANNUELS 2014 Chiffre d affaires de 48,5 Mds, en progression organique de + 4,7 % En France : - Fin du cycle de repositionnement tarifaire des enseignes discount (Géant et Leader Price) - Développement
Plus en détailIAS 39 ET ÉVALUATION AU COÛT AMORTI : PRINCIPES ET APPLICATIONS
Réflexion IAS 39 ET ÉVALUATION AU COÛT AMORTI : PRINCIPES ET APPLICATIONS 22 Pierre SCHEVIN Professeur à l Université Robert Schuman de Strasbourg et à l IECS Diplômé d expertise comptable La norme IAS
Plus en détailDCG session 2009 UE10 Comptabilité approfondie Corrigé indicatif
DCG session 2009 UE10 Comptabilité approfondie Corrigé indicatif DOSSIER 1 - AUGMENTATION DE CAPITAL 1. Préciser les limites dans lesquelles le prix d'émission doit se situer en cas d augmentation de capital.
Plus en détailANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES
PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures
Plus en détail