L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN RÉGIONS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN RÉGIONS"

Transcription

1 IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS ETUE ANNUEE CB RICHAR EIS MAI 2011

2 N 1 MNIA U CNSEI EN IMMBIIER ENTREPRISE Bureaux, activités, logistique, retail, résidentiel, hôtels ASSISTANCE À MAITRISE UVRAGE CNSEI EN CMMERCIAISATIN AUIT TECHNIQUE STRATÉGIE IMMBIIÈRE ES ENTREPRISES MARKETING INGÉNIERIE FINANCIÈRE CNSEI EN VENTE ET ACQUISITIN CIENTS PRIVÉS CNSEI EN IMPANTATIN INVESTISSEMENT ETUES AMÉNAGEMENT ESPACE CNSEI GESTIN CNSEI AUX ENTREPRISES PRÉSENTES A ÉTRANGER EXPERTISE GESTIN E PRTEFEUIES CATIFS 20 CHIFFRES CÉS FRANCE 114,6 M CA 730 SAARIÉS* 37 IMPANTATINS 30 BUREAUX EN RÉGINS Brest Vannes Rennes Nantes Caen Bordeaux e Havre Rouen Blois Tours ille Région Parisienne Clermont-Ferrand yon Nancy ijon Besançon Bourgoin Jallieu Metz Grenoble Strasbourg Annecy Chambéry Mulhouse Toulouse Sophia Antipolis Avignon Nice Aix-en-Provence Montpellier Marseille * Hors franchisés CNTACTS RÉGINS Stanislas EBRGNE / stanislas.leborgne@cbre.fr Tél. : 33 (0) / Fax : 33 (0) ÉTUES ET RECHERCHE Aurélie EMINE / aurelie.lemoine@cbre.fr Tél. : 33 (0) / Fax : 33 (0) Achevé de rédiger le 20 mai 2011 par le département Etudes et Recherche de CB Richard Ellis. Rédaction : Etienne Chatenay, Edouard de aboulaye, Christelle Bastard, Erika éonard

3 SMMAIRE CNTEXTE ÉCNMIQUE ET PERSPECTIVES BUREAUX : INICATEURS ET ANAYSE 20 BUREAUX : TENANCES 2011 CAUX ACTIVITÉS ET ENTREPÔTS : INICATEURS ET ANAYSE 20 CAUX ACTIVITÉS ET ENTREPÔTS : TENANCES 2011 ZM : E MARCHÉ E A GISTIQUE EN FRANCE (ENTREPÔTS > 000 M²) IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS 16 ES INVESTISSEMENTS 20 EXIQUE AGENCES CB RICHAR EIS (AFFIIÉES ET FRANCHISÉES) AIX EN PRVENCE Philippe E NRMAN Tél : aix@cbre.fr ANNECY Jean-François BERTHIER Tél : annecy@cbre.fr AVIGNN Pierre MURGUET Tél : avignon@cbre.fr BESANCN Isabelle HRRENBERGER Tél: besancon@cbre.fr BIS Cyrille HENAUT Tél : blois@cbre.fr BREAUX Alexandre CIEUX Tél : bordeaux@cbre.fr BURGIN JAIEU Marc GENTY Tél : marc.genty@cbre.fr BREST Thomas SEGERS Tél : thomas.slegers@cbre.fr CAEN Nicolas CARN Tél : caen@cbre.fr CHAMBERY Xavier TRIAR Tél : chambery@cbre.fr CERMNT-FERRAN Karine RE Tél : k.rodde@atrium-cbre.com IJN Patrick PEYRUSSIE Patrick MESTANIER Tél : dijon@cbre.fr GRENBE Hugues de VIAR Tél : grenoble@cbre.fr E HAVRE Nicolas CARN Tél : lehavre@cbre.fr IE Patrick UEZ Tél : lille@cbre.fr YN Thibaut d'anterrches Tél : lyon@cbre.fr MARSEIE Philippe E NRMAN Tél : marseille@cbre.fr METZ François SUTY Tél. : metz@cbre.fr MNTPEIER Martine PATIENT Nicolas HUET Tél : montpellier@cbre.fr MUHUSE Jean-Arnaud ESAUES Tél: desaulles@cbre.fr NANCY François SUTY Tél : nancy@cbre.fr NANTES Christophe FURAGE Tél : nantes@cbre.fr NICE éon PIMIENTA Tél : nice@fici-cbre.com RENNES Hervé KERMARREC Tél : kermarrec.rennes@cbre.fr RUEN Bertrand BNNET Nicolas CARN Tél : rouen@cbre.fr SPHIA ANTIPIS Georges BENICHU Tél : sophia@fici-cbre.com STRASBURG livier HEYT Tél : rivegauche@cbre.fr TUUSE Michèle BEAN Tél : toulouse@cbre.fr TURS Franck BEVE Tél : tours@cbre.fr VANNES Stéphane GRIBIUS Tél : kermarrec.vannes@cbre.fr es agences CB Richard Ellis participent aux travaux des observatoires régionaux de l immobilier d entreprise. e traitement des données réalisé par ces organismes participe à la qualité de nos études. 1

4 IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS CNTEXTE ÉCNMIQUE ET PERSPECTIVES Évolution du PIB et taux de chômage en métropole Après la récession de 2009, l économie française a observé en 20 une phase de convalescence avec une croissance de + 1,5 %. es régions où le PIB a le mieux progressé sont essentiellement celles de l uest et du Sud du pays. es meilleures performances étant à mettre au crédit de Pays de la oire, Midi-Pyrénées, Bretagne, Rhône- Alpes, anguedoc-roussillon et Aquitaine. Tout comme en 2009, les régions industrielles du Nord et de l Est ont été les moins dynamiques. e retour à la croissance n a pas entraîné de réelle amélioration sur le marché de l emploi. Fin 20, le taux de chômage en métropole atteint 9,2 %, soit une baisse annuelle de seulement 0,3 point. évolution la plus favorable a été observée en Franche-Comté (- 1 point). Suivent Pays de la oire et Rhône-Alpes (- 0,6 point), puis Alsace, orraine, Picardie et Poitou-Charentes (- 0,5 point). En Île-de-France, Midi- Pyrénées, Nord - Pas-de-Calais, PACA, Aquitaine et Corse, le taux de chômage a moins bien évolué que la moyenne nationale. es défaillances d entreprises en France ont reculé, mais sont restées très nombreuses. Selon le cabinet Altarès, elles ont même progressé dans 7 régions (Haute-Normandie, Picardie, Nord Pas de Calais, Champagne- Ardenne, orraine, Midi-Pyrénées, anguedoc Roussillon). activité des entreprises en régions en 20 par grandes branches de l économie peut se résumer de la manière suivante : dans l industrie, les chiffres d affaires ont progressé dans toutes les régions de la métropole (avec une ampleur variable selon les secteurs d activités). Mais cette amélioration n a pas permis de rattraper les pertes très lourdes enregistrées en ans 12 régions, les hausses de chiffre d affaires ont dépassé + 5 %. es rebonds les plus conséquents ont été observés en Franche-Comté, en Alsace et en région PACA, alors que anguedoc-roussillon, Nord-Pasde-Calais et Midi-Pyrénées ont affiché les évolutions les moins fortes. Globalement, l emploi n a pas profité de cette amélioration de l activité et la baisse des effectifs s est poursuivie à un rythme naturellement plus modéré. le volume d affaires dans les services marchands aux entreprises a également progressé partout. es régions les plus dynamiques ont été Rhône-Alpes, Midi-Pyrénées et Île-de-France. Avec seulement + 1,7 %, la région PACA a un peu déçu. poursuite quasi généralisée du tassement de l activité dans le BTP. A ce titre, la Haute-Normandie a été particulièrement en retrait avec - 6,8 %. Perspectives 2011 Pour 2011, les prévisions de croissance du PIB les plus optimistes concernent l Alsace, Midi-Pyrénées et anguedoc-roussillon. A contrario, l activité pourrait faire du sur-place en Franche-Comté, Bourgogne, Haute-Normandie et Champagne-Ardenne. es anticipations de chiffres d affaires sont à nouveau à la hausse dans l industrie et dans les services marchands, bien que la variation de l activité, exception faite de quelques régions, devrait être plus faible qu en 20. Globalement, les entrepreneurs sont plus optimistes quant à l évolution de la rentabilité d exploitation, plus particulièrement dans les services marchands aux ÉVUTIN U PIB ET U CHÔMAGE EN MÉTRPE entreprises. 0,0 % 0,5 % 1,0 % 1,5 % 2,0 % 2,5 % 12 % 11 % % 9 % 8 % 7 % 6 % 5 % 4 % (p) 12 (p) Sources : INSEE, xford Economics Pays de la oire Midi-Pyrénées Bretagne Rhône-Alpes anguedoc-roussillon Aquitaine Provence-Alpes- Côte d'azur Corse Poitou-Charentes France Haute-Normandie Alsace Centre Franche-Comté Île-de-France Nord - Pas-de-Calais Auvergne Basse-Normandie Picardie orraine Champagne-Ardenne imousin Bourgogne Taux de chômage en métropole au 4T Evolution du PIB (en %) ÉVUTIN U PIB EN 20 PAR RÉGINS 5 % 4 % 3 % 2 % 1 % 0 % - 1% - 2% - 3% Source : xford Economics 2

5 ES YNAMIQUES ÉCNMIQUES RÉGINAES Evolution du taux de chômage (en pts de %) Evolution de l'emploi Evolution de l'emploi Evolution du PIB Evolution du PIB Taux de survie des total total (p) (p) (p) entreprises à 5 ans Alsace + 3,5-1,9 % 7,6 % 4,4 % 17,4 % 54,8 % Aquitaine + 0,6 7,1 % 5,5 % 17,6 % 22,8 % 54,3 % Auvergne + 0,4 1,3 % - 2,5 % 7,8 % 12,6 % 57,1 % Basse-Normandie + 0,8-0,9 % 0,5 % 5,7 % 13,3 % 59,9 % Bourgogne + 1,4 2,0 % - 4,7 % 4,5 %,2 % 56,9 % Bretagne + 1,1 9,3 % 4,6 % 16,5 % 23,0 % 58,4 % Centre + 1,8 0,4 % 0,6 % 6,4 % 14,8 % 55,3 % Champagne-Ardenne + 0,9-1,4 % - 7,0 % 0,8 %,1 % 57,4 % Corse -1,9 19,9 %,4 % 31,3 % 24,8 % 60,0 % Franche-Comté + 3,2 0,4 % -2,6 % 1,3 %,8 % 54,9 % Haute-Normandie 0,8 3,9 % -2,5 % 5,8 %,8 % 54,7 % Île-de-France + 1,1 4,6 % 6,4 % 14,2 % 23,3 % 51,8 % anguedoc-roussillon -0,5 12,6 % 15,8 % 20,9 % 35,7 % 49,2 % imousin + 1,7 2,0 % - 1,9 % 7,2 % 11,6 % 61,3 % orraine + 2,4-4,2 % - 0,3 % 3,5 % 11,8 % 52,9 % Midi-Pyrénées + 0,3 11,0 %,4 % 22,2 % 27,0 % 54,8 % Nord-Pas-de-Calais + 0,9 1,8 % - 0,1 %,9 % 12,2 % 53,5 % Pays de la oire + 1,2,2 % 4,1 % 15,8 % 19,7 % 58,0 % Picardie + 1,7-3,3 % - 0,4 % 2,6 %,2 % 54,9 % Poitou-Charentes + 0,9 4,0 % 1,5 % 11,7 % 17,2 % 51,9 % Provence-Alpes-Côte d'azur - 0,9 13,2 % 9,1 % 18,4 % 23,6 % 50,8 % Rhône-Alpes + 1,5 6,1 % 7,8 % 13,1 % 22,7 % 54,4 % France métropolitaine + 1,1 5,0 % 4,6 % 12,5 % 20,2 % 52,5 % IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS Sources : INSEE, xford Economics PANRAMA ÉCNMIQUE ES RÉGINS (p) : perspective Population Part du PIB national PIB par habitant Nombre d'entreprises Emploi total 20 Taux de chômage (en milliers) au 4T 20 Alsace ,7 % ,3 8,4 % Aquitaine ,6 % ,6 9,2 % Auvergne ,8 % ,0 8,1 % Basse-Normandie ,8 % ,6 8,5 % Bourgogne ,2 % ,9 8,3 % Bretagne ,4 % ,4 7,7 % Centre ,5 % ,9 8,4 % Champagne-Ardenne ,9 % ,8 9,4 % Corse 311 0,4 % ,7 9,3 % Franche-Comté ,5 % ,9 9,0 % Haute-Normandie ,6 % ,1,2 % Île-de-France ,5 % ,3 8,2 % anguedoc-roussillon ,2 % ,2 12,5 % imousin 746 0,9 % ,1 7,9 % orraine ,9 % ,1 9,8 % Midi-Pyrénées ,1 % ,4 9,2 % Nord-Pas-de-Calais ,1 % ,1 12,7 % Pays de la oire ,1 % ,6 7,9 % Picardie ,3 % ,5,9 % Poitou-Charentes ,3 % ,8 9,0 % Provence-Alpes-Côte d'azur ,3 % ,6,8 % Rhône-Alpes ,8 % ,8 8,3 % France métropolitaine % ,5 9,2 % Sources : INSEE, Heuler Hermès SFAC, xford Economics 3

6 IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS BUREAUX INICATEURS 20 INICATEURS SYNTHÉTIQUES U MARCHÉ ES BUREAUX EN RÉGINS* Évolution emande placée m² m² + 22 % Part du neuf 44 % 41 % - 3 points ffre immédiate m² m² - 3 % Part du neuf 32 % 23 % - 9 points ffre future certaine à 2 ans m² m² - 17 % oyer «prime» (HT HC/m²/an) % oyer moyen neuf et restructuré (HT HC/m²/an) oyer moyen de seconde main (HT HC/m²/an) % % *15 PRINCIPAES MÉTRPES RÉGINAES : Aix-en-Provence/Marseille, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Grenoble, ille, yon, Metz, Montpellier, Nantes, Nancy, Nice/Sophia Antipolis, Rennes, Rouen, Strasbourg, Toulouse PARC TERTIAIRE PAR RÉGIN (En milliers de m²) Source : AS - RIE Parc de bureaux (limite basse) Parc de bureaux (limite haute) Île-de-France Rhône-Alpes PACA Nord-Pas-de-Calais Pays de la oire Aquitaine Midi-Pyrénées Bretagne Centre anguedoc-roussillon Alsace orraine Haute-Normandie Poitou-Charentes Brourgogne Picardie Basse-Normandie Champagne-Ardenne Auvergne Franche-Comté imousin Corse Total E MARCHÉ ES BUREAUX VIE PAR VIE ffre immédiate Part du neuf dans emande placée Part du neuf dans oyers neufs / restructurés oyers de seconde main au 31/12 (en m²) l'offre immédiate en 20 (en m²) la demande placée au 31/12 ( HT HC/m²/an) au 31/12 ( HT HC/m²/an) Aix-en-provence % % 145/ /170 Annecy % % 145/225 80/195 Avignon % % 135/190 80/150 Bordeaux % % 125/176 80/150 Caen % N. C. 125/180 70/120 Chambéry % % 115/145 75/135 Clermont Ferrand % % 1/135 80/120 Grenoble % % 140/180 80/130 e Havre % % 120/150 90/120 ille % % 116/200 80/160 yon % % 135/280 1/2 Marseille = 22 % % 140/250 1/230 Metz % % 120/156 75/130 Montpellier % % 140/152 5/142 Mulhouse % % 1/160 50/150 Nancy % % 125/145 85/160 Nantes % % 135/175 1/150 Nice % % 180/215 1/160 Rennes % % 160/205 1/150 Rouen % % 120/150 58/130 Sophia Antipolis % % 160/ /175 Strasbourg % 58 0 = 27 % 125/190 75/160 Toulouse % % 125/170 0/150 Tours % % 125/150 90/130 N.C. : Non Communiqué 4

7 BUREAUX ANAYSE 20 Une demande exprimée faible au 1 er semestre 20 a été marquée par une demande exprimée en retrait par rapport à Cette faiblesse a néanmoins été compensée par une qualité des demandes en hausse notable. a vague des renégociations de baux ne s est pas prolongée en 20, notamment en raison de la stabilisation de la conjoncture économique et du recul de l indice du coût de la construction. es projets immobiliers des entreprises ont donc gagné en solidité. Ils correspondaient à des stratégies bien déterminées, (re)pensées dans le contexte économique actuel, et reflétaient l attention portée aux coûts et à la rationalisation des établissements. En conséquence, le taux de transformation de cette demande a été plus élevé que par le passé. Pour les petites entreprises, l intérêt toujours marqué pour l acquisition des locaux a surmonté la difficulté accrue d accès au crédit dans un environnement de taux d intérêts très attractifs. Un marché plus homogène et plus actif e marché des bureaux en régions* a été plus homogène en 20 qu en 2009, où de grandes disparités avaient été observées entre les métropoles. ès le 1 er semestre, les volumes commercialisés ont affiché une hausse de 34 % par rapport au 1 er semestre Cette reprise s est confirmée au 2 nd semestre et la demande placée a progressé en 20 de 22 % par rapport à 2009 pour atteindre 1,32 million de m², un volume comparable à 2006 (1,37 million de m²) mais inférieur à 2007 (1,43 million de m²). a reprise de l activité immobilière a dépassé la croissance économique. A défaut de reprendre immédiatement leur croissance, les entreprises ont retrouvé une visibilité, une capacité à se projeter dans l avenir. es besoins non satisfaits en 2009 n avaient pas disparu, voire même s étaient accrus. Un effet de glissement a pu être observé, certaines grandes transactions qui n avaient pu aboutir en 2009 ont été signées en a offert aux utilisateurs une «fenêtre de tir» leur permettant de se positionner sur un choix encore large d offres de qualité à des conditions rendues avantageuses par la crise. Nombre d entreprises ont su saisir cette opportunité que la remontée des loyers, même mesurée, et la rareté croissante de l offre sont venues progressivement limiter. QUEQUES TRANSACTINS 20 Adresse - programme Preneur EVUTIN E FFRE IMMÉIATE ET E A EMANE PACÉE ANS ES 15 PRINCIPAES MÉTRPES RÉGINAES (En millions de m²) Surface Type de État des oyer / Prix (en m²) Contrat locaux ( HT HC/m²/an ou H/m²) Rennes - es Champs Blancs Technicolor m² ocation Neuf 165 Grenoble Atos 11 0 m² ocation Neuf 145 ille - Euralille SNCF m² ocation Neuf BBC 200 Marseille - Capelette Pôle Emploi m² ocation Neuf 195 yon - Monolithe GF m² ocation Neuf 2 ille - ys les annoy Kiabi m² ocation Seconde main N.C. Montpellier - centre-ville RSI m² ocation Seconde main 135 Mulhouse - centre-ville UISS m² ocation Rénové 90 Clermont-Ferrand - unant Euromaster & Chu m² ocation Neuf 1 Nancy - Rives de Meurthe Acticall m² ocation Neuf 125 Marseille - Meyreuil Softway m² ocation Neuf Conf. Nice - Nice Plaza Groupe Zénith 2 0 m² ocation Neuf 190 2,5 2,0 1,5 1,0 0, emande placée ffre immédiatement disponible au 31/12 RÉPARTITIN E A EMANE PACÉE PAR ÉTAT ES CAUX ANS ES 15 PRINCIPAES MÉTRPES RÉGINAES (En millions de m²) 1,50 1,25 1,00 0,75 0,50 0, Seconde main Neuf IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS Sources : CB Richard Ellis N.C. : Non Communiqué 5

8 IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS es grandes transactions, supérieures à m², ont été particulièrement nombreuses en régions en 20 avec 27 mouvements recensés représentant un total de m². es 11 opérations de cette envergure en 2009 ne totalisaient que m². Compte-tenu de la faiblesse de l offre neuve, nombre de ces signatures sont des pré-commercialisations d immeubles dont certains n auraient pas été mis en chantier sans que ces investissements ne soient sécurisés par des baux fermes. Comme en 2009, le secteur public et parapublic a animé le marché avec 13 grandes transactions représentant 55 % de la demande placée supérieure à m². a Révision Générale des Politiques Publiques a continué de pousser les services déconcentrés de l Etat à se regrouper sur des implantations communes, plus modernes, et permettant une organisation plus efficace. es acteurs parapublics, dont Pôle Emploi est le meilleur exemple, ont également poursuivi en 20 la consolidation de leurs implantations déjà largement entamée en e regain d activité du secteur privé a été mené par la banqueassurance, l informatique et le conseil au sens large. A la différence du secteur public, ils se sont positionnés sur toutes les tranches de surfaces. a quasi-totalité des marchés a progressé, dont certains de plus de 70 % (Rennes, Grenoble). 5 marchés régionaux ont dépassé les m² placés. Bordeaux a rejoint yon, ille, Toulouse et Aix-en- Provence/Marseille dans ce club. Ces marchés ont affiché des hausses annuelles de 24 % à 34 %, à l exception de Toulouse dont la demande placée n a crû que de 4 %. es utilisateurs restent sensibles à la qualité des immeubles. e neuf/restructuré a représenté 41 % du volume commercialisé. Cette part est en baisse de 3 points par rapport à 2009 mais cette évolution traduit plus la raréfaction de l offre neuve dans les localisations les plus demandées. attractivité du neuf ne se dément pas. Stock stabilisé et chute de l offre neuve ETAT E FFRE ET E A EMANE PACÉE AU 31/12/ 15 PRINCIPAES MÉTRPES RÉGINAES (En milliers de m²) ffre immédiate neuve ffre future certaine livrable en 2011 ffre future certaine livrable en 2012 ffre future probable ANS ES emande placée neuve 20 FFRE NEUVE ET EMANE PACÉE NEUVE ANS ES 15 PRINCIPAES MÉTRPES RÉGINAES (En milliers de m²) emande placée neuve 07 ffre certaine livrable dans l'année ffre immédiate neuve (fin d'année) 2 millions de m² de bureaux étaient disponibles en régions* à fin 20, soit une baisse annuelle de 3 %. es évolutions ont été très contrastées entre les métropoles, allant d une croissance de 50 % comme à Nantes à une chute de 36 % comme à Bordeaux. En revanche, la chute de l offre neuve est une tendance nationale à l exception des marchés nantais et grenoblois m² neufs et restructurés sont disponibles à fin 20, presque m² de moins qu à fin e neuf/restructuré ne représente plus que 23 % du stock contre 32 % à fin A l inverse, le stock de seconde main a connu une croissance de %. Selon les secteurs, et particulièrement dans les quartiers périphériques et peu accessibles, 20 % à 35 % de l offre apparaît «hors marché». 2 phénomènes sont susceptibles d impacter cette situation : la hausse de la fiscalité et notamment de la taxe foncière qui aura un impact proportionnellement plus important sur les immeubles dont la valeur locative est basse. es utilisateurs essayeront d économiser sur le loyer ce qu ils paieront en impôts ; FFRE FUTURE CERTAINE (En milliers de m²) yon Rennes ille Nancy Montpellier Aix / Marseille Metz Toulouse Nantes Strasbourg Bordeaux Nice / Sophia ivraisons 2011 ivraisons 2012 Grenoble Rouen Clermont-Ferrand 6

9 les obligations issues des décrets d application de la loi Grenelle II forceront les propriétaires à décider de la mise aux normes ou de la reconversion de leurs immeubles. es emplacements les plus pertinents, centraux et accessibles, capables de créer de la valeur justifieront sans doute aux yeux des propriétaires des travaux, même lourds. a reconversion des autres sites dépendra des valeurs atteignables pour les autres produits immobiliers, particulièrement en commerce et en résidentiel. offre future certaine livrable à deux ans représentait m² de bureaux, en baisse de 15 % par rapport à fin m² sont livrables en 2011, ce qui sera insuffisant pour répondre à la demande neuve (qui s élevait à m² en 20). a raréfaction de l offre neuve est donc appelée à perdurer et à s aggraver en 2011 et yon et Rennes sont les deux seules métropoles à disposer d une offre future certaine importante à deux ans avec respectivement m² et m². Aucun autre marché, y compris ille, Aix-en-Provence/Marseille, Toulouse et Bordeaux ne dispose d une offre future certaine à deux ans supérieure à m². ÉVUTIN U ÉAI THÉRIQUE ÉCUEMENT ANS ES 15 PRINCIPAES MÉTRPES RÉGINAES (en HT HC/m²/an et en années) 2,00 1,75 1,50 1,25 1,00 0,75 0,50 0, IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS Progression des loyers e loyer moyen des bureaux neufs et restructurés en régions a progressé de 5,2 % sur un an pour s inscrire à 168 HT HC/m²/an. Une part de cette évolution peut être mise au crédit de transactions sur des immeubles neufs et verts qui ont permis dans plusieurs métropoles de franchir des seuils psychologiques. Ainsi, à Euralille, le loyer facial d un immeuble BBC a atteint 200. A yon, des bureaux dans la Tour xygène ont été signés à 280. Ces transactions sont à prendre en compte car ces bâtiments sont les prototypes des immeubles «prime» à développer dans les métropoles régionales bien que le nombre de ces transactions reste marginal. e loyer moyen pour les surfaces de seconde main affiche également une hausse de 6,1 % pour atteindre 134 HT HC /m²/an. es surfaces de seconde main en bon état ont tiré parti de la rareté du neuf dans certaines localisations recherchées. Après avoir servi à préserver le loyer facial des pressions baissières, les avantages commerciaux sont désormais en recul, particulièrement dans les marchés où l offre est tendue. ÉVUTIN ES YERS ANS ES 15 PRINCIPAES MÉTRPES RÉGINAES (En HT HC/m²/an) oyer «prime» oyer moyen seconde main oyer moyen neuf YERS «PRIME» ET MYENS PAR VIE (en HT HC/m²/an) oyer Évolution oyer moyen Évolution oyer moyen Évolution «prime» annuelle neuf/restructuré annuelle seconde main annuelle Aix-en-Provence / Marseille 250 stable % % Bordeaux % % % ille % % % yon % % % Nantes 175 stable % % Nice / Sophia-Antipolis % % 145 stable Strasbourg % % % Toulouse 170 stable 148 stable % N.C. : Non Communiqué 7

10 IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS PSITINNEMENT ES MARCHÉS E BUREAUX EN RÉGINS FIN 20 oyer moyen du neuf en HT HC/m 2 /an Metz Nancy Rennes Montpellier Rouen Nice / Sophia-Antipolis Nantes Bordeaux Grenoble Strasbourg Aix-en-Provence / Marseille ille Toulouse yon Clermont-Ferrand ffre immédiate en m a taille des bulles est proportionnelle au volume de la demande placée BUREAUX TENANCES 2011 emande placée élevée mais en baisse es facteurs qui ont permis les forts niveaux de commercialisation enregistrés en 20 sont appelés à s estomper en ans ce contexte, malgré des fondamentaux sains, la demande placée, tout en restant à un niveau élevé, devrait s inscrire à la baisse en es grandes mutations du secteur public et parapublic touchent à leur fin. a Révision Générale des Politiques Publiques a déjà porté l essentiel de ses fruits en termes immobiliers ; les regroupements des principales administrations en régions qui ont animé le marché devraient se faire plus rares. Parmi les grands acteurs publics, Pôle Emploi et les agences régionales de santé ont mené à bien leur réorganisation et satisfait la plus grande part de leurs besoins immobiliers. ans le secteur privé, la croissance économique seule ne devrait pas suffire à faire croître la demande. e retour attendu des fusions-acquisitions sera source de regroupements. Tensions sur l offre neuve a forte baisse de l offre neuve et de l offre future certaine va compliquer la recherche des utilisateurs en quête de qualité. es grands utilisateurs, s ils ont la visibilité nécessaire, peuvent se positionner très en amont via des VEFA/BEFA. A défaut, les entreprises devront choisir entre des immeubles neufs dans des localisations moins attractives ou des surfaces rénovées ou de seconde main bien situées. a reprise des lancements en blanc, trop timide jusqu à présent, devrait s accentuer. Interrogations sur le traitement de l obsolescence En parallèle à la raréfaction de l offre neuve, l offre de seconde main continue de croître. Une part significative de cette offre est obsolète. ans un contexte économique stabilisé avec des obligations réglementaires précisées, 2011 devrait permettre de tester de multiples approches pour le traitement de l obsolescence et d apporter des éléments de réponse. Quelles techniques économiquement réalisables pour la mise aux normes des immeubles obsolètes? Quels bureaux transformer en logements? Evolution contrastée des valeurs Sur les offres de qualité les négociations devraient évoluer en 2011 en faveur des mandants. émergence d une offre neuve labellisée «verte» pourrait permettre de justifier une augmentation des valeurs «prime». ans certaines localisations très recherchées, les loyers des surfaces de seconde main pourront justifier des loyers élevés en l absence d offres neuves concurrentes. En revanche, le volume global d offre de seconde main reste important et pourrait tirer les valeurs vers le bas dans les localisations plus périphériques. 8

11 BUREAUX TENANCES 2011 égende : emande placée 2011 oyers 2011 ffre future livrable en 2011 et 2012 En hausse Stable En baisse Brest Aix-en-Provence/Marseille 1 er trimestre 2011 décevant avec m² placés (moitié moins qu au 1 er trimestre 20). Aix reste un secteur clé avec un tiers du volume commercialisé. Malgré ces chiffres, les perspectives restent optimistes pour l année 2011 pendant laquelle le ralentissement des livraisons devrait conduire à une réduction du stock et soutiendra les valeurs locatives. Cependant la situation déjà tendue de l offre neuve à Marseille pourrait peser sur l activité. offre de seconde main progresse, alimentée par des libérations de surfaces en voie d obsolescence. e volume d offre future certaine est limité mais l offre future probable est conséquente. es valeurs locatives sont stables. e «prime» reste à 250 HT HC/m²/an. Rennes Bordeaux e Havre Toulouse Caen Rouen Clermont-Ferrand ijon yon ille Avignon Grenoble Aix-en-Provence Marseille Nice Sophia Antipolis IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS ille Après une très bonne année 20, le marché des bureaux lillois affiche des performances en demiteinte m² ont été commercialisés au 1 er trimestre 2011 contre m² au 1 er trimestre 20. e faible niveau de commercialisation des bureaux neufs (3 0 m²) contraste avec le succès qu avaient rencontré ces offres en 20. offre immédiate décroît de - 5 % pour atteindre m². es disponibilités immédiates et prochaines de bureaux neufs sont relativement limitées et laissent apparaître des tensions sur certains secteurs comme les grands boulevards. e «prime» est stable à 200 HT HC/m²/an. yon Soutenues par une reprise plus solide qu ailleurs et par la diversité de son économie, les perspectives 2011 du marché immobilier lyonnais sont positives. a demande placée s inscrit à m² au 1 er trimestre 2011, stable par rapport au même trimestre l an passé. a rareté croissante de l offre neuve n est pas compensée par des lancements «en blanc». e ce fait, le marché de l utilisation devrait être animé par des pré-commercialisations. es valeurs hors IGH sont en hausse avec une transaction observée à 260 HT HC/m²/an rue de la République. Toulouse Excellent 1 er trimestre à Toulouse avec m² placés en 60 transactions dont m² neufs. 1 ère transaction sur Andromède à Blagnac, les commercialisations devraient y bénéficier de la reprise du secteur aéronautique. offre continue de croître mais à un rythme plus faible, l offre neuve baisse et, compte-tenu de la faiblesse de l offre future certaine, cette baisse devrait continuer pendant toute l année es valeurs locatives sont relativement stables mais, particularité toulousaine, c est pour les surfaces de seconde main les mieux localisées du centre-ville que sont signés les loyers les plus élevés. e «prime» reste à 200 HTHC/m²/an mais le neuf ne dépasse pas

12 IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS CAUX ACTIVITÉS ET ENTREPÔTS INICATEURS 20 INICATEURS SYNTHÉTIQUES U MARCHÉ ES CAUX ACTIVITÉS ET ENTREPÔTS ES RÉGINS* ES MÉTRPES RÉGINAES E ÉCHANTIN Évolution emande placée m² m² - 8 % Part du neuf 39 % 25 % - 14 points ffre immédiate m² m² + 4 % Part du neuf 22 % 19 % - 3 points ffre future «en blanc» m² m² - 46 % ffre future «en gris» m² m² + 0 % oyer «prime» % oyer moyen neuf % *15 PRINCIPAES MÉTRPES : Aix-en-Provence/Marseille, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Grenoble, ille, yon, Metz, Montpellier, Nantes, Nancy, Nice/Sophia-Antipolis, Rennes, Rouen, Strasbourg, Toulouse. E MARCHÉ ES CAUX ACTIVITÉS ET ENTREPÔTS VIE PAR VIE EN 20 Métropoles régionales ffre immédiate Part du neuf dans emande placée Part du neuf dans oyers neufs / restructurés oyers de seconde main au 31/12 (en m²) l'offre immédiate en 20 (en m²) la demande placée au 31/12 ( HT HC/m²/an) au 31/12 ( HT HC/m²/an) Aix-en-Provence % % 41 / 0 30 / 70 Annecy N.S % 70 / / 67 Avignon N.. N.S N.. 25 % 40 / / 60 Bordeaux % % 43 / / 69 Caen % % 45 / / 50 Chambéry N.S % 55 / / 65 Clermont-Ferrand % % 60 / / 55 Grenoble % % 70 / / 65 e Havre % % 57 / / 60 ille % % 40 / / 45 yon % % 42 / / 55 Marseille % % 60 / / 60 Metz % = 30 % 50 / / 55 Montpellier % % 75 / / 80 Mulhouse % % 45 / / 0 Nancy % % 42 / / 65 Nice N.S N.S. N.S. 65 / 0 Rennes % % 35 / / 60 Rouen % % 40 / / 60 Sophia Antipolis = N.S % 0 / / 0 Strasbourg % % 46 / / 85 Toulouse % % 45 / / 75 N.S. : Non Significatif N.. : Non éterminé

13 CAUX ACTIVITÉS ET ENTREPÔTS ANAYSE 20 es marchés encore à la peine e marché des locaux d activités et entrepôts enregistre une fois de plus une performance en baisse. En effet, en 20, la demande placée s élève à m², soit - 8 % par rapport à 2009 et - 27 % par rapport au pic de Ce marché reste fragile et continue de s adapter à la situation économique encore difficile en 20. Néanmoins, il convient de modérer cette baisse de la demande placée puisque, globalement, les tendances s inversent. Alors que la quasi-totalité des marchés affichait une baisse de leur demande placée en 2009, huit seulement sont encore en baisse en 20 parmi lesquels yon, Aix-en-Provence, ille, Caen, Nice. es diminutions annuelles en 20, sont comprises entre - 9 % à ille ( m² en 20) et - 49 % à Montpellier ( m² en 20). es hausses annuelles sont comprises entre + 11 % à Rennes et Strasbourg (respectivement m² et m²) et + 74 % à Annecy ( m²). Malgré le recul de la demande placée à yon et à ille, le classement des principaux marchés est inchangé avec, dans l ordre décroissant, yon ( m²), ille ( m²), Strasbourg ( m²), Bordeaux ( m²) et e Havre ( m²). Bien que la légère embellie économique permette une meilleure visibilité aux entreprises, il n y a pas eu de phénomène de rattrapage des besoins préexistants. activité demeure caractérisée par la recherche d économies et la densification des espaces. Par ailleurs, les déménagements peuvent être motivés par la volonté d intégrer des locaux neufs ou de seconde main normés à des valeurs compétitives, surtout lorsqu il s agit d acquisition. Alors que les conditions bancaires sont moins favorables, les stratégies patrimoniales des utilisateurs restent d actualité en 20. Cela est d autant plus vrai que les mises en chantier se sont raréfiées diminuant ainsi l offre de qualité en régions. En 20, la commercialisation de locaux neufs ou restructurés en régions, représente 25 %. En baisse depuis deux ans, elle s élevait à 39 % en 2009 et 43 % en a perte de 14 points en moyenne en 20 pour les 15 métropoles régionales dissimule des disparités importantes entre, d une part, les plus gros marchés qui accusent de fortes baisses tels que yon ou ille (respectivement - 77 % et - 53 %) et, d autre part, les marchés dits «secondaires» tels que Nancy ou Clermont-Ferrand qui ont vu augmenter leur part du neuf (respectivement + 54 % et + 39 %). es difficultés d accès au foncier, notamment sa rareté et son prix, constituent toujours un frein pour l activité du neuf aussi important que la disparition progressive de l offre «en blanc» du stock disponible ou future. a plupart des zones d activités prisées par les utilisateurs ne disposent plus d offre neuve alors que les locaux de seconde main aux normes ou bien localisés, même dans les secteurs secondaires, retrouvent de fait une certaine attractivité. offre Fin 20, l offre immédiatement disponible atteint m². Avec + 4 % par rapport à fin 2009, elle tend à la stabilisation. 4 marchés se distinguent par l importance de leur stock disponible : yon ( m²), Strasbourg ( m²), ille ( m²) et Aixen-Provence/Marseille ( m²). eur évolution annuelle est comprise entre + 3 % (Aix-en-Provence/Marseille) et + 16 % (ille). ÉVUTIN E FFRE IMMÉIATE ET E A EMANE PACÉE ANS ES 15 PRINCIPAES MÉTRPES RÉGINAES (En millions de m²) ffre immédiatement disponible au 31/12 emande placée dans l'année 09 RÉPARTITIN E A EMANE PACÉE PAR ÉTAT ES CAUX ANS ES 15 PRINCIPAES MÉTRPES RÉGINAES (En millions de m²) 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0, Seconde main Neuf ÉVUTIN E A EMANE PACÉE ES PRINCIPAUX MARCHÉS (En millions de m²) 1 0,8 0,6 0,4 0,2 yon ille Strasbourg Aix-en-Provence / Marseille IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS 11

14 IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS Si ce parc vacant continue légèrement sa croissance, sa qualité continue également de se dégrader, cette tendance étant renforcée par l arrêt des lancements «en blanc» et la libération de locaux obsolètes. En 20, faute de neuf, les utilisateurs se tournent vers des locaux de seconde main de qualité. ans un contexte d après-crise, ces derniers redeviennent une vraie cible alors que les locaux libérés tendent à faire augmenter le nombre de «friches». es propriétaires de locaux anciens, pour éviter les pertes qu entraîne une vacance longue, sont de plus en plus souvent enclins à transiger : vendre en l état un bien peu valorisé, réaliser des travaux, parfois très onéreux, pour ensuite relouer ou vendre ou encore, envisager une reconversion de leur usage. Cette réalité deviendra de plus pesante avec l application progressive des normes et contraintes environnementales représentera à cet égard une année charnière avec le début de la mise en application de la loi du Grenelle de l environnement concernant les locaux dits «existants». offre disponible neuve, qui représente 19 % de ce stock, affiche une baisse pour la 2 ème année consécutive (- 3 points par rapport à fin 2009). insuffisance, voire l absence, d offres neuves ou aux normes devient problématique pour les parcs d activités les plus recherchés dans l ensemble des régions. Parmi les 15 métropoles de l échantillon, seules 5 ont un stock neuf supérieur à la moyenne, Nancy et Rennes (20 % chacune), Aix-en-Provence/Marseille (23 %), ille (30 %) et Bordeaux (77%). orsque cela est possible, des projets de comptespropres sont envisagés (un certain nombre devrait être signé en 2011, notamment en logistique) afin de pallier ce manque et de satisfaire la forte volonté patrimoniale des utilisateurs. offre future «en blanc» des 15 métropoles a de nouveau chuté en 20, de 44 % en un an, pour atteindre en fin d année m². Aixen-Provence regroupe plus de la moitié de cette offre avec près de m². Ce niveau faible d offre «en blanc» en régions entraînera un décalage entre l offre et la demande exprimée lorsque la reprise économique se fera ressentir plus concrètement, notamment sur les marchés les moins réactifs. élément positif est l importance des projets «en gris» et leur localisation. Ils ont doublé en un an ( m² fin 20) et sont mieux répartis sur le territoire que l offre «en blanc», notamment entre les principaux marchés. e fait, 2011 devrait enregistrer une part significative de clés-en-main. es valeurs locatives PART ES CÉS-EN-MAIN ET CMPTES-PRPRES ANS A EMANE PACÉE 20 FFRE ET EMANE PACÉE NEUVES ANS ES 15 PRINCIPAES MÉTRPES RÉGINAES (En millions de m²) 1,75 1,50 1,25 1,00 0,75 0,50 0,25 Aix-Marseille Grenoble Toulouse yon Clermont-Ferrand e Havre Nancy Montpellier Annecy Metz Strasbourg ille Mulhouse ffre immédiate % % 15 % 20 % 25 % 30 % 35 % ffre «en blanc» ffre «en gris» emande placée YERS «PRIME» ET MYEN PNÉRÉ ES CAUX ACTIVITÉS ET ENTREPÔTS NEUFS ANS ES 15 PRINCIPAES MÉTRPES RÉGINAES (En HT HC/m²/an) 125 a rareté des locaux neufs a entraîné une hausse des valeurs. Ainsi, fin 20, le loyer «prime» affiche une progression de + 14 % par rapport à fin 2009, pour atteindre 125 HT HC/m²/an (Sophia-Antipolis), contre + 7 % entre 2008 et e loyer moyen des locaux neufs ou restructurés, également en progression (+ 9 %), s élève à 62, juste au-dessus du niveau de es mesures d accompagnement restent d actualité concernant notamment les biens de seconde main. Ils tendent toutefois à disparaître pour les locaux de qualité, bien placés oyer moyen pondéré du neuf ou restructuré oyer «prime» 62 12

15 QUEQUES TRANSACTINS 20 Adresse - programme Preneur Surface Type État Type oyer / Prix (en m²) des locaux des locaux de contrat ( HT HC/m²/an ou H/m²) Aix-en-Provence/Marseille - St Martin de Crau Recall 6 0 Entrepôts Neuf ocation N.C. yon - Isle d Abeau ecathlon Entrepôts Neuf N.C. N.C. e Havre - boulevard Jules urand Privé ocaux d activités Seconde main N.C. N.C. Grenoble - Tulin elire ocaux d activités Ancien Vente 220 Mulhouse - Saint-ouis Agility 800 Entrepôts Ancien ocation 31 Strasbourg - Illkirch Clestra ocaux d activités Neuf N.C. N.C. Nancy - udres ynapôle Sogetrel ocaux d activités Récent ocation 60 Nice/Sophia -Antipolis- Carros ZI 4 ème av. aboratoires Ineldea Entrepôts / Bureaux Ancien Vente Annecy - ZI de Balve Techniwood ocaux d activités Ancien Vente 225 Rouen - Cirquebeuf sur Seine Vente Unique Entrepôts Neuf ocation 111 Caen - Mondeville Transport eret Entrepôts Etat d usage ocation 36 Sources : CB Richard Ellis et veille Explore N.C. : Non Communiqué IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS CAUX ACTIVITÉS ET ENTREPÔTS TENANCES 2011 égende : emande placée 2011 oyers 2011 ffre future livrable en 2011 et 2012 En hausse Stable En baisse Activités Brest Entrepôts Rennes e Havre Caen Rouen ijon ille yon Bordeaux Clermont-Ferrand Grenoble Toulouse Avignon Aix-en-Provence Marseille Nice Sophia Antipolis 13

16 IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS ZM : E MARCHÉ E A GISTIQUE EN FRANCE (ENTREPÔTS > 000 M²) Un faible niveau de demande exprimée En 20, la demande exprimée est restée faible en France, peinant à retrouver son dynamisme. ans toutes les régions, notamment en Ilede-France, le marché a surtout été animé par les sociétés issues de la grande distribution et les logisticiens, ceux-ci ayant été particulièrement actifs au cours du dernier trimestre. En effet, un nombre croissant de chargeurs cherche à externaliser leur fonction logistique, dans des objectifs de réduction des coûts et de recentrage sur leur activité principale. es demandes portent pour l essentiel sur des entrepôts très fonctionnels, bénéficiant d une localisation optimale par rapport aux bassins de consommation et aux flux de circulation, et de dernière génération (c'est-à-dire regroupant des caractéristiques techniques supérieures aux standards actuels). Tant que le marché sera sur-offreur et qualitatif, les demandes resteront exigeantes. En outre, l importance des développements futurs «en gris» permet de répondre à ces besoins précis, au travers de clés-en-main, en recrudescence en 20. Enfin, en régions, les chargeurs se sont beaucoup positionnés sur de petites et moyennes surfaces (par exemple entre m² et m² dans la région lyonnaise). ÉVUTIN E A EMANE PACÉE EN FRANCE (en millions de m²) 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0, Régions Sources : CB Richard Ellis et Immostat Ile-de-France RÉPARTITIN ES TRANSACTINS PAR TRANCHE E SURFACES EN FRANCE (en nombre) 0 % 09 es résultats en demi-teinte année 20 affiche un paysage plutôt contrasté en termes de demande placée. À l échelle nationale, avec m² commercialisés, le marché est en légère hausse de 5 % par rapport à 2009, mais d un point de vue régional, les résultats sont très hétérogènes. En effet, alors que l Ile-de-France a performé, les autres marchés régionaux ont peiné à rebondir. Ainsi, en Ile-de-France, m² ont été transactés en 20, soit une hausse de 50 % en un an. Plus de la moitié des volumes a été échangée sur les 3 premiers mois de l année, le 4 ème trimestre ayant été moins performant que prévu, en raison de décalages de projets dans le temps. e dynamisme du 1 er trimestre a été favorisé par la bonne qualité des produits disponibles, dont le «repricing» était acté, et par le report de projets entrepris dès Sur les 28 transactions réalisées en 20 dans la région capitale, 36 % ont été signés dans le secteur nord, phénomène traditionnel. est de la région a également été très bon, puisqu avec 29 % des commercialisations (contre 12,5 % en 2009), il dépasse le sud (25 %, - 5 points en un an). es autres régions étant à la peine depuis la crise, leur poids dans le marché logistique français a reculé. En 20, l Ile-de-France a concentré 34 % de la demande placée (contre 24 % un an auparavant), le grand nord 13 % (contre 20 %) et le grand sud 12 % (contre 13 %). Parmi les grands pôles logistiques régionaux, seul le couloir rhodanien a vu sa part stagner à 15 %. Effectivement, avec m² commercialisés, le marché y est à peu près équivalent 80 % 60 % 40 % 20 % m² m² m² m² > m² Sources : CB Richard Ellis et Immostat RÉPARTITIN GÉGRAPHIQUE E A EMANE PACÉE EN FRANCE EN 20 (en volume) uest 3 % Grand centre 3 % Bourgogne / Franche-Comté 3 % Normandie 3 % Grand est 7 % Grand sud ouest 7 % Grand sud 12 % Sources : CB Richard Ellis et Immostat Ile-de-France 34 % Couloir rhodanien 15 % Grand nord 13 % 14

17 à 2009, mais reste toutefois moitié moins élevé qu en Notons que c est le département de l Isère qui a permis au marché de se tenir, suivi de celui de la rôme, alors que le secteur lyonnais est en souffrance. En ce qui concerne le grand nord, c est surtout la région Nord-Pas de Calais qui a marqué le pas, ses volumes placés reculant de 49 % en un an ( m²), alors que ceux de Picardie ont progressé (+ 49 %, m²). e marché du grand sud, avec un 4 ème trimestre dynamique, affiche m² commercialisés (+ 2 % en un an). Enfin, il est à noter que, globalement cette année, la surface moyenne des transactions a diminué. Un plus grand nombre de signatures a porté sur des petites et moyennes surfaces (près des deux tiers entre 000 m² et m²), au détriment de celles comprises entre m² et m². Ce phénomène est lié au passage de plus en plus fréquent des entreprises d une logistique de stock vers une logistique de flux, afin de réduire leurs coûts, ce qui a un impact direct sur les surfaces. ÉVUTIN E FFRE IMMÉIATE EN FRANCE (en millions de m², en fin de période) 4,0 3,6 3,2 2,8 2,4 2,0 1,6 1,2 0,8 0, Régions 07 YERS EN FRANCE AU 1 ER JANVIER 2011 (valeurs faciales, en HT HC/m²/an, classe A neuf) 08 Île-de-France 09 IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS Un stock élevé et dont la qualité se dégrade Au 1 er janvier 2011, le stock disponible est toujours relativement élevé en France (plus de 3,9 millions de m²), malgré un ralentissement de la hausse depuis plusieurs mois. Bien qu il soit composé à 60 % de bâtiments de classe A, sa qualité se détériore au fil des mois. En effet, le gel des mises en chantier ne permet plus de l alimenter en produits neufs. Ceux de seconde main, libérés pour des produits de meilleure qualité, viennent alimenter le stock et peinent à retrouver preneur. e surcroît, la recrudescence des clés-en-main en 20 freine la diminution du stock existant. es objectifs du Grenelle de l Environnement vont avoir un impact non négligeable sur une partie de ce stock vieillissant et constituent les enjeux d avenir du marché de la logistique : remise aux normes du parc, réhabilitation des friches industrielles, logistique de proximité, etc., tout cela dans le respect des individus, de leur sécurité et de leur environnement. u côté de l offre «en blanc», elle est toujours quasi-inexistante au 1 er janvier 2011 ( m² répartis entre le couloir rhodanien et le grand sud). Elle ne devrait pas reprendre à court ou moyen terme, le marché n étant pas encore prêt pour que des investisseurs se positionnent sur ce type d actifs. Ces derniers se tournent plutôt vers des stratégies de développement clés-en-main, investissements plus sécurisés dans un contexte économique encore fragile. offre «en gris», très élevée (4,4 millions de m², dont 18 % dans le grand nord et 17 % en Ile-de- France), a ainsi légèrement diminué en 3 mois. es loyers : un marché contrasté es valeurs locatives faciales se sont repositionnées en 2009 et se sont stabilisées en 20, pour les produits de qualité, bien situés. Pour ceux de seconde main, ne bénéficiant pas d une situation géographique favorable, les loyers économiques sont parfois encore attaqués, les propriétaires consentant à des avantages commerciaux élevés. Ces derniers sont, en moyenne, compris entre 1,5 et 2 mois de franchise par année de bail ferme. Île-de-France 46 / 52 Couloir rhodanien 43 / 45 Grand nord 40 / 45 Grand sud 40 / 45 Normandie 37 / 49 Grand est 37 / 53 Bourgogne / Franche-Comté 30 / 35 uest 40 / 42 Grand sud ouest 42 / 50 PREMIÈRES TENANCES 2011 Alors que la demande exprimée progresse au 1 er trimestre 2011, la demande placée diminue en un an (- 51 %). es régions sont encore à la peine et c est essentiellement l Ile-de-France qui a porté le marché, avec 43 % des volumes commercialisés. e grand nord en recense 22 % (uniquement dans le Nord-Pas de Calais). e couloir rhodanien et le grand sud sont devancés par l ouest et le grand sud ouest qui se sont bien tenus. Compte-tenu du nombre significatif de dossiers actuellement en cours d instruction, la demande placée pourrait atteindre un bon niveau fin 2011, tant en Île-de-France que dans les autres régions. offre immédiate atteint près de 3,8 millions de m² au 1 er avril 2011 et est en légère baisse trimestrielle (- 3 %). es lancements «en blanc» n ont toujours pas repris. e volume des offres «en gris», en revanche, est toujours relativement élevé (plus de 4 millions de m²). es valeurs locatives faciales se tiennent sur le marché national. Toutefois, pour des emplacements exceptionnels, des utilisateurs sont prêts à dépasser les valeurs de marché. En outre, sur quelques secteurs sur-offreurs et excentrés, dont les bâtiments anciens disposent de prestations standards moyennes, certains acteurs acceptent encore de revoir leurs loyers à la baisse. 15

18 IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS ES INVESTISSEMENTS Une amélioration réelle mais partielle En 20, près de 2,8 milliards d euros ont été échangés en régions sur le marché de l investissement en immobilier d entreprise banalisé, soit une progression de 48 % sur un an. Après une année 2009 difficile où la crise financière avait touché de plein fouet les régions, le rebond apparaît notable, permettant aux volumes transactés de se rapprocher des niveaux enregistrés avant la crise. e 4 ème trimestre a notamment bénéficié de la traditionnelle pression à la conclusion des négociations en fin d année, même si elle a été moins forte qu en Ile-de-France. Près d un milliard d euros a été engagé sur les 3 derniers mois de 20, ce qui en fait le meilleur trimestre enregistré depuis début Ainsi, depuis 3 ans, le poids des régions se maintient au-dessus de la barre des 20 %. Cette situation atteste de leur statut désormais établi d alternative crédible à la capitale auprès des investisseurs, notamment internationaux, qui y trouvent un marché de diversification moins cyclique. ENGAGEMENTS EN IMMBIIER ENTREPRISE BANAISÉ EN RÉGINS (En milliards d euros) Volumes annuels T 11 Part dans le total France 30 % 24 % 18 % 12 % 6 % Cette amélioration s explique par l intérêt retrouvé des investisseurs pour l immobilier d entreprise, notamment de la part des institutionnels. Face à un environnement financier particulièrement bousculé et incertain (crise de la dette publique européenne, marché boursier instable, incertitudes sur l évolution des taux d intérêt à moyen terme ), l immobilier, actif réel et tangible, apparaît de nouveau comme un placement protecteur sur le long terme. Corollaire de ce statut de valeur refuge, les acquéreurs se sont focalisés sur les actifs sécurisés, assortis de baux long terme signés avec des locataires solides à des loyers de marché. a vigueur incertaine de la reprise économique a également fortement contribué à faire perdurer cette aversion au risque des acteurs immobiliers. Il en résulte la persistance du blocage du marché des actifs secondaires, pour lesquels la décote n a toujours pas eu lieu. e fait, les rares acquéreurs potentiels exigent un niveau de rémunération du risque sur ce type d investissement particulièrement élevé que les vendeurs, en l absence de contrainte à la vente, refusent d acter. e marché a cependant retrouvé en 20 davantage de profondeur et de liquidité, grâce notamment à un certain assouplissement des conditions de crédit (apports en «equity» légèrement réduits, conditions financières attractives grâce à la faiblesse des taux courts) dès lors que l actif sous-jacent est sécurisé. Aussi, le poids des petites transactions, qui avait été très important en 2009 en raison des difficultés de financement pour les volumes unitaires plus importants, est en recul notable. es produits : confirmation de la primauté des commerces Face à un environnement économique incertain, et dans un contexte de forte aversion au risque, les investisseurs ont focalisé leur intérêt sur les immeubles de qualité, bien situés, sécurisés sur le long terme à des valeurs locatives pérennes. es acquéreurs se sont donc détournés des produits et localisations secondaires. es commerces, actifs réputés très défensifs et qui constituent traditionnellement le produit de diversification ÉVUTIN TRIMESTRIEE ES ENGAGEMENTS EN IMMBIIER 'ENTREPRISE BANAISÉ (En milliards d'euros) T 08 Sources : CB Richard Ellis et Immostat RÉPARTITIN PAR TAIE ES PÉRATINS EN 20 (En volumes) > 50 M 41 % 2T 08 3T 08 4T 08 1T 09 Régions 2T 09 3T 09 4T 09 1T 2T Île-de-France 3T 4T 1T 11 < M 17 % M - 25 M 19 % 25 M - 50 M 23 % 16

19 phare en régions, ont particulièrement bénéficié de l exigence de sécurité des investisseurs. Ils ont concentré 61 % des engagements annuels, tirant en particulier les volumes du 1 er semestre. Il s agit du seul marché qui a retrouvé et même dépassé les niveaux d activité d avant la crise. Avec près de 1,7 milliard d euros échangé, le secteur enregistre en effet une croissance annuelle de 63 %, permettant à 20 de se positionner comme la meilleure année jamais atteinte en régions en termes de volumes transactés «retail». Une performance qui s explique par quelques grandes cessions de centres et de galeries commerciales (plus des 2/3 des engagements), à l image de l Espace St Georges à Toulouse, de St Martial à imoges ou de l Heron Parc à Villeneuve d Ascq. Surtout, le segment a été dynamisé par une signature phare, la vente par les Galeries afayette de Cap 3000 à St aurent du Var pour 450 M, qui constitue la plus importante transaction de 20 en France. A l inverse, les investissements en murs d enseignes ont continué de pâtir des difficultés de cessions de portefeuilles et du ralentissement de la consommation dans les zones périphériques, phénomène qui impacte également négativement le marché des «retail parks». ÉVUTIN E A TYPGIE ES PRUITS (En volumes) 0 % 80 % 60 % 40 % 20 % % 61 % 24 % Bureaux Commerces Activités / ogistique IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS es investissements en bureaux ont quant à eux souffert de l effondrement depuis 2009 des VEFA, les actifs en développement étant toujours difficilement finançables. Ainsi, seulement 650 millions d euros ont été échangés l an dernier sur le marché des bureaux en régions, qui a connu une reprise très molle (+ % sur un an). Toutefois, le segment a bénéficié d un rebond significatif au 4 ème trimestre, qui concentre plus de la moitié des engagements 20. Par ailleurs, sur la fin de l année les acquéreurs ont élargi leurs cibles d intérêt. En effet, sur le marché des bureaux, la qualité technique de l immeuble constitue un facteur de choix essentiel et l offre de produits récents de qualité apparaît très restreinte, particulièrement en régions. es investisseurs recommencent donc à s intéresser aux VEFA, en particulier dans les grandes métropoles comme ille ou yon avec le retour de transactions «en blanc», même si leur poids demeure pour l instant anecdotique. Après un début d année difficile, le 4 ème trimestre 20 a marqué le redémarrage du marché des entrepôts et des locaux d activités, permettant le doublement des volumes engagés sur les 9 mois précédents. Au final, 400 millions d euros d engagements, dont 70 % de logistique, ont été recensés en régions en 20 sur ce segment (+ 72 % sur un an). es acquéreurs : des acteurs aux stratégies «core» RÉPARTITIN ES VENTES / ACQUISITINS PAR TYPE ACTEURS EN 20 (En volumes) 60 % Foncières Promoteurs 31 % 40 % 27,5 % Ventes 20 % Fonds d'investissement Privés Acquisitions 20,5 % 19 % % 11 % 7 % 4 % 1 % 11 % 0 % 20 % 40 % 60 % RÉPARTITIN ES ACQUISITINS PAR NATINAITÉ EN 20 (En volumes) Institutionnels Utilisateurs 28 % 30 % 58 % Malgré l assouplissement des conditions de financement, les investisseurs en fonds propres ont dominé le marché tout au long de l année, avec en première ligne les institutionnels. es SCPI, boostées par un excellent niveau de collecte, se sont positionnées sur un volume d engagements record en régions. Elles ont été particulièrement actives sur le segment des bureaux. es fonds ouverts allemands, traditionnellement focalisés sur les bureaux franciliens, ont réalisé, quant à eux, une percée notable en régions grâce à l acquisition de quelques beaux actifs commerciaux. Enfin l intérêt des privés pour l investissement Français 65,5 % Britanniques 8,5 % Autres Européens 8 % Autres 1 % Allemands 17 % 17

20 IMMBIIER ENTREPRISE EN RÉGINS immobilier, perçu comme une valeur refuge suite aux déconvenues subies sur les marchés boursiers, est resté très fort. Il a trouvé à se concrétiser tout particulièrement en régions où les actifs sont particulièrement accessibles aux acteurs disposant de capacités d engagement limitées en raison de leur valeur unitaire plus faible, à l image de petits actifs industriels ou logistique. es foncières, qui dominent traditionnellement le marché de l investissement en régions, ont été comme en 2009 en retrait. C est particulièrement vrai des foncières SIIC, qui ont poursuivi leur politique de désendettement et ont été clairement désinvestisseurs nets en régions (19 % des ventes pour 8 % des acquisitions). es foncières non côtées, notamment étrangères (britanniques essentiellement), ont été plus actives, en particulier durant le 2 nd semestre. Enfin, dans un contexte où la dette était peu disponible, notamment pour les actifs non «core», les investisseurs plus opportunistes faisant appel à l effet de levier ont continué à être pénalisés. es fonds d investissement ont donc été peu présents en régions. Seuls quelques acteurs britanniques et surtout allemands, avec les fonds spéciaux, se sont positionnés sur de gros actifs commerces et logistique. TAUX E RENEMENT CATIF «PRIME» AU 01/01/2011 Régions Ile-de-France Bureau 6,30 % - 8,25 % 4,75 % - 5,50 % ogistique classe A 7,15 % - 8,00 % 7,15 % - 8,00 % ocal d activités 8,75 % -,50 % 8,75 % -,50 % Parc d activités 8,50 % -,00 % 8,50 % -,00 % Boutique centre-ville 5,25 % - 9,75 % 4,50 % - 8,25% Centre commercial 5,00 % - 6,90 % 4,75 % - 5,75 % Retail Park 6,50 % - 9,60 % 6,25 % - 8,00 % ÉVUTIN ES TAUX E RENEMENT CATIF «PRIME» BUREAUX % 8 % 6 % 4 % es taux de rendement : généralisation de la baisse En 20, le marché de l investissement immobilier s est trouvé dans une situation de fort déséquilibre entre une demande croissante mais qui est restée limitée aux actifs sécurisés de qualité et une offre correspondante largement insuffisante. e marché pour les actifs secondaire est quant à lui resté quasiment au point mort. Il en a résulté une accentuation de la baisse des rendements locatifs «prime» enclenchée fin 2009, dans un contexte de recul des taux long terme. es bons actifs tertiaires (bureaux, commerces) des meilleures localisations en régions ont été les premiers touchés. Ainsi, le «prime» bureau à yon s établissait dès début 20 à 6,40 %. Puis le mouvement s est généralisé, la qualité du produit (neuf ou récemment livré et répondant aux nouvelles normes environnementales) et de son bail (engagement ferme de longue durée avec un bon locataire) tendant à primer sur les critères traditionnels de sectorisation géographique et de typologie. Ainsi, le recul des taux de rendement a été rapide ces derniers mois pour la logistique classe A (jusqu à 90 points de base dans le couloir rhodanien) et s est propagé pour les bureaux à la plupart des grandes métropoles régionales. Aix-Marseille, Bordeaux, ille et Toulouse ont rejoint début 2011 yon sous la barre des 6,5 %. es perspectives : 2011, année de stabilisation Certes, le marché «core» a retrouvé de la profondeur, nombre d institutionnels ayant revu en faveur de l immobilier leur allocation d actifs. a prime de risque immobilière est importante et la classe d actifs «immobilier» demeure attractive. Par ailleurs, la spéculation est pour l instant absente du marché, les acteurs se positionnant dans une logique de sécurisation de leurs capitaux sur le long terme. 2 % Fin 00 Fin 01 Fin 02 Fin 03 Fin 04 Régions Fin 05 Fin 06 Fin 07 Fin 08 Paris QCA ES TAUX E RENEMENT CATIF «PRIME» EN NEUF /RESTRUCTURÉ Au 01/01/2011 dans les15 villes de l échantillon CBRE Métropoles régionales Bureaux ogistique et locaux d activités Aix-en-Provence / Marseille 6,30 % - 7,75 % 7,50 % - 9,50 % Bordeaux 6,60 % - 8,50 % 7,50 % -,50 % Clermont-Ferrand 7,00 % - 8,00 % 8,00 % - 9,00 % Grenoble 7,30 % - 8,00 % 9,00 % - 9,50 % ille 6,30 % - 7,75 % 7,90 % - 8,50 % yon 6,30 % - 6,80 % 7,15 % - 9,00 % Metz 6,80 % - 7,70 % N Montpellier 6,80 % - 7,70 % N Nancy 7,50 % - 8,20 % N Nantes 6,50 % - 7,75 % N Nice / Sophia-Antipolis 6,75 % - 8,00 % 8,00 % - 9,00 % Rennes 6,90 % - 8,50 % N Rouen 7,00 % - 8,50 % N Strasbourg 7, % - 8,30 % 7,50 % - 9,50 % Toulouse 6,50 % - 7,50 % N * Selon la conjoncture, et en l absence de transaction représentative, ces taux peuvent être estimés N.. : Non éterminé Fin 09 Fin 1T 11 18

Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives

Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives CB Richard Ellis 16 septembre 2008 Contexte économique Environnement international o L économie mondiale tourne au ralenti (incertitudes financières, inflation,

Plus en détail

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success. Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien

Plus en détail

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière

Plus en détail

LE MARCHÉ DE L INVESTISSEMENT EN FRANCE

LE MARCHÉ DE L INVESTISSEMENT EN FRANCE CB RICHARD ELLIS Market View Conjoncture immobilière ILE-DE-FRANCE / FRANCE 3 ème trimestre 2010 TENDANCES Investissements France entière Engagements Taux «prime» bureaux Bureaux Ile-de-France Demande

Plus en détail

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique Trimestriel 27 Janvier 214 nº2 Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 213 Tendances > Progressif redémarrage de l activité attendue au 4 e trimestre 213, mais l évolution du PIB devrait rester

Plus en détail

Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier

Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier UN MARCHÉ LOCATIF QUI TOURNE AU RALENTI 2 e trimestre 2013 Direction des Études Point de conjoncture bureaux marché locatif L INÉVITABLE REPLI D ACTIVITÉ

Plus en détail

L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013

L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Paris, le 15 octobre 2013 COMMUNIQUE DE PRESSE L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Un marché immobilier résidentiel caractérisé par une baisse

Plus en détail

UN MARCHÉ EN BONNE TENUE

UN MARCHÉ EN BONNE TENUE A ix- en-p r o vence et M a r seille MarketView Régions Bilan 20 / Perspectives 23 BUREAUX Demande placée Offre immédiate Loyer «prime» LOCAUX D ACTIVITÉS Demande placée Offre immédiate Loyer «prime» UN

Plus en détail

L année immobilière 2014

L année immobilière 2014 www. creditfoncier. com L année immobilière 2014 vue par le Crédit Foncier MARS 2015 synthèse Lors de sa traditionnelle conférence annuelle Les Marchés Immobiliers le 5 février 2015, le Crédit Foncier

Plus en détail

Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier

Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier UN MARCHÉ LOCATIF QUI TOURNE AU RALENTI 1 er trimestre 213 Direction des Études Point de conjoncture bureaux marché locatif UN MARCHÉ LOCATIF QUI TOURNE

Plus en détail

Property Times La Défense Bureaux T1 2012 Un début d année encourageant

Property Times La Défense Bureaux T1 2012 Un début d année encourageant 21 24 212 Un début d année encourageant 11 Avril 212 Sommaire Executive summary 1 Contexte économique 2-3 Demande placée et valeurs locatives 4 Carte et principales transactions 5 Offre 6 Définitions 7

Plus en détail

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013 CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale

Plus en détail

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,

Plus en détail

L immobilier au service de l épargne

L immobilier au service de l épargne Corporate au service de l épargne La performance durable au service de l épargne 14 15 Dans un marché de l immobilier d entreprise particulièrement concurrentiel, la construction d un patrimoine de qualité

Plus en détail

LE MARCHE LOCATIF DES BUREAUX FRANCILIENS IL FAUT SAVOIR GARDER RAISON

LE MARCHE LOCATIF DES BUREAUX FRANCILIENS IL FAUT SAVOIR GARDER RAISON LE MARCHE LOCATIF DES BUREAUX FRANCILIENS IL FAUT SAVOIR GARDER RAISON Un vent d optimisme nouveau commence à souffler sur le marché francilien de la location de bureaux. Le volume des transactions s est

Plus en détail

Effet «La Marseillaise»

Effet «La Marseillaise» DTZ Research PROPERTY TIMES Effet «La Marseillaise» Marseille Bureaux T4 214 1 Février 215 Sommaire Contexte économique 2 Demande placée et valeurs locatives 3 Offre 4 Définitions 5 Le marché marseillais

Plus en détail

L épargne de tous au service de l intérêt général

L épargne de tous au service de l intérêt général L épargne de tous au service de l intérêt général 1 Pour la réussite de tous les projets Sommaire Un modèle unique et vertueux 4 Prêts au logement social et à la politique de la ville 7 Prêts au secteur

Plus en détail

performance environnementale Synthèse Décembre 2013 Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france

performance environnementale Synthèse Décembre 2013 Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france Étude réalisée en partenariat avec Immobilier tertiaire et performance environnementale Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france Synthèse Décembre 2013 Ce document synthétise les principaux

Plus en détail

la création d entreprise en nord-pas de calais

la création d entreprise en nord-pas de calais Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en

Plus en détail

LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES

LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement

Plus en détail

Observatoire de l Eolien

Observatoire de l Eolien Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels

Plus en détail

Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier

Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier 2013 : UN BON DEUXIÈME SEMESTRE EN PERSPECTIVE 2 e trimestre 2014 Direction des Études Point de conjoncture bureaux Marché locatif Île-de-France UN MARCHÉ

Plus en détail

DTZ Research. Les Clés du Marché ILE-DE-FRANCE T4 2013 Léger mieux côté transactions. Clés du marché du 4 ème trimestre 2013.

DTZ Research. Les Clés du Marché ILE-DE-FRANCE T4 2013 Léger mieux côté transactions. Clés du marché du 4 ème trimestre 2013. Les Clés du Marché ILE-DE-FRANCE T4 2013 Léger mieux côté transactions 7 Janvier 2014 Données Ile-de-France T4 2013 : Demande placée : 1 844 500 m² Loyer moyen de première main : 443 Loyer moyen de seconde

Plus en détail

Quand le QCA va. DTZ Research PROPERTY TIMES. Paris QCA T4 2014. Sommaire. Auteur. Contacts

Quand le QCA va. DTZ Research PROPERTY TIMES. Paris QCA T4 2014. Sommaire. Auteur. Contacts DTZ Research PROPERTY TIMES Quand le QCA va Paris QCA T4 214 8 Janvier 215 Sommaire Contexte économique 2 Demande placée et valeurs locatives 3 Offre 4 Définitions 5 Auteur Pierre d Alençon Chargé d Etudes

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

Panorama bureaux Lyon. On Point 1 er trimestre 2014

Panorama bureaux Lyon. On Point 1 er trimestre 2014 Panorama bureaux Lyon On Point 1 er trimestre 2014 L immobilier tertiaire a souffert du manque de grandes demandes L agglomération a bénéficié d une éclaircie économique confirmée par l INSEE. L environnement

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE

IMMOBILIER D ENTREPRISE La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber

Plus en détail

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse

Plus en détail

LES VALEURS LOCATIVES COMMERCIALES SAINSARD EXPERTS

LES VALEURS LOCATIVES COMMERCIALES SAINSARD EXPERTS LES VALEURS LOCATIVES COMMERCIALES 14 NOVEMBRE 2012 1 ère PARTIE LES LOYERS DES COMMERCES 1 UN CONTEXTE ECONOMIQUE INCERTAIN Situation économique difficile depuis de 2eme semestre 2008. Stagnation de la

Plus en détail

Cinq ans après le début de la crise financière, l économie

Cinq ans après le début de la crise financière, l économie 52 5 L immobilier d entreprise allemand et les investisseurs Par Marcus Cieleback, directeur de recherche, PATRIZIA Immobilien AG. 5.1/ SITUATION GÉNÉRALE Cinq ans après le début de la crise financière,

Plus en détail

DES DEMANDES INSATISFAITES

DES DEMANDES INSATISFAITES Toulouse MarketView Régions Bilan 20 / Perspectives 23 CBRE Études et Recherche BUREAUX Demande placée Offre immédiate Loyer «prime» LOCAUX D ACTIVITÉS Demande placée Offre immédiate Loyer «prime» ENTREPÔTS

Plus en détail

Marchés immobiliers en régions. Marseille 9 avril 2015

Marchés immobiliers en régions. Marseille 9 avril 2015 Marchés immobiliers en régions Marseille 9 avril 2015 Le tour de France de l immobilier par le Crédit Foncier Plan de la présentation Le baromètre Crédit Foncier/CSA sur le moral des professionnels de

Plus en détail

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? 1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%

Plus en détail

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005 Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme

Plus en détail

Le marché des bureaux 3ème trimestre 2008 Octobre 2008. Nanterre

Le marché des bureaux 3ème trimestre 2008 Octobre 2008. Nanterre Le marché des bureaux 3ème trimestre 28 Octobre 28 1 Nanterre Chiffres clés Le marché de Péri-Défense au 3ème trimestre 28 : Nanterre - Un niveau de demande placée boosté par une transaction clé en main

Plus en détail

Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier

Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier UN MARCHÉ LOCATIF QUI TOURNE AU RALENTI 3 e trimestre 2013 Direction des Études Point de conjoncture bureaux marché locatif FORTE DÉCÉLÉRATION SUR LES GRANDES

Plus en détail

FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES

FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES Octobre 2011 Gabriela TURCATTI Jordi GUILLO SOMMAIRE IMMOBILIER SUISSE 3 CATÉGORIES L immobilier résidentiel 4 L immobilier commercial 5 L immobilier de bureau 5

Plus en détail

ATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation

ATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation ATELIER PARISIEN D URBANISME Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation AVRIL 2015 Directrice de la publication : Dominique Alba Étude réalisée par : François Mohrt Sous la direction

Plus en détail

Un bon début d année. 6 mai 2014. Des succès locatifs grâce à un patrimoine de qualité. Solides performances opérationnelles

Un bon début d année. 6 mai 2014. Des succès locatifs grâce à un patrimoine de qualité. Solides performances opérationnelles Chiffre d affaires 3M 2014 Le Patio, Le Patio, Lyon Lyon - - Villeurbanne CB 21, La Défense Un bon début d année 6 mai 2014 Des succès locatifs grâce à un patrimoine de qualité 7 000 m² loués à La Défense

Plus en détail

Le marché immobilier en France

Le marché immobilier en France Le marché immobilier en France Immobilier d entreprise, logement, immobilier de loisirs Jean-Claude GINISTY Notaire à Paris Juin 2013 1 L immobilier d entreprise dans le GRAND PARIS 2 L immobilier d entreprise

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

Le scandale de l immobilier d entreprise dans un contexte de crise du logement

Le scandale de l immobilier d entreprise dans un contexte de crise du logement Le scandale de l immobilier d entreprise dans un contexte de crise du logement Décembre 2012 Introduction Alors que, consciente des problèmes graves de logement et d hébergement auquel est confronté notre

Plus en détail

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le

Plus en détail

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale Le baromètre Dauphine-Crédit Foncier de l immobilier résidentiel Tendance globale N. 3 Juin 2011 Kevin Beaubrun-Diant, co-responsable de la chaire «Ville et Immobilier», Université Paris-Dauphine. Cette

Plus en détail

Le marché des bureaux dans l agglomération rennaise

Le marché des bureaux dans l agglomération rennaise Bureaux Le marché des bureaux dans l agglomération rennaise Cet observatoire dresse un bilan rapide de l année écoulée et permet de mettre en évidence les tendances de l année 2015. L offre neuve est désormais

Plus en détail

note de conjoncture immobilier d entreprise Bilan du 1 er semestre 2013

note de conjoncture immobilier d entreprise Bilan du 1 er semestre 2013 Juillet 13 note de conjoncture immobilier d entreprise Bilan du 1 er semestre 13 Chiffres-clés 1 er semestre 13 Investissement France Engagements Bureaux Île-de-France Offres 5 3 m² Placement 833 m² Locaux

Plus en détail

Le présent chapitre porte sur l endettement des

Le présent chapitre porte sur l endettement des ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation

Plus en détail

Immobilier de bureaux

Immobilier de bureaux Immobilier de bureaux Observatoire Nantais de l Immobilier Tertiaire L année en chiffres Nantes Métropole AURAN Édito 5 ans déjà! En 2009, le CINA décidait d organiser la collecte des transactions du marché

Plus en détail

Analyse du marché de l investissement des commerces en France. commerces. 3 ème trimestre 2012

Analyse du marché de l investissement des commerces en France. commerces. 3 ème trimestre 2012 Analyse du marché de l investissement des commerces en France commerces 3 ème trimestre 2012 L essentiel du marché 1 Ce qu il faut retenir Après un début d année relativement calme, le marché de l investissement

Plus en détail

Les clés du marché Ile-de-France Bureaux T2 2012 Fort recul des grandes transactions

Les clés du marché Ile-de-France Bureaux T2 2012 Fort recul des grandes transactions Fort recul des grandes transactions 5 juillet 2012 Contents Executive summary 1 Carte de synthèse 2 Demande placée et taux de rotation 3 Offre immédiate et taux de vacance 4 Loyers moyens 5 Définitions

Plus en détail

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014 Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

Les marchés de l immobilier à l international. Évolutions, structures et performances

Les marchés de l immobilier à l international. Évolutions, structures et performances Les marchés de l immobilier à l international Évolutions, structures et performances Séminaire d actualité 22 mai 2015 Montants investis en immobilier d entreprise milliards d euros 50 45 40 35 30 Données

Plus en détail

Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier

Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier 213 : UN BON DEUXIÈME SEMESTRE EN PERSPECTIVE 3 e trimestre 214 Direction des Études Point de conjoncture bureaux Marché locatif Île-de-France COUP DE FREIN

Plus en détail

Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers

Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers 1 er semestre 2013 Réalisé par 1 Édito L Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers succède à l Observatoire de l équipement des foyers pour

Plus en détail

#Club Pierre. Marché des bureaux en Ile-de-France. 9 Juillet 2015 DTZ Research

#Club Pierre. Marché des bureaux en Ile-de-France. 9 Juillet 2015 DTZ Research #Club Pierre Marché des bureaux en Ile-de-France 9 Juillet 2015 DTZ Research Un 2 ème trimestre meilleur que le 1 er.. Demande placée de bureaux en Ile-de-France, en milliers de m² 3 000 2 500 2 000 1

Plus en détail

LE MARCHÉ DES BUREAUX DE L'AGGLOMÉRATION DE TOURS

LE MARCHÉ DES BUREAUX DE L'AGGLOMÉRATION DE TOURS 200 OBSERVATOIRE DE L'IMMOBILIER D'ENTREPRISE LE MARCHÉ DES BUREAUX DE L'AGGLOMÉRATION DE TOURS en compte propre au sein de l'agglomération de Tours Sommaire & Chiffres clés Editorial 200 : Une année de

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

Conjuguez immobilier d entreprise et démarche environnementale

Conjuguez immobilier d entreprise et démarche environnementale L anticipation des nouvelles normes environnementales Lors de la constitution d un patrimoine immobilier à travers la création d une nouvelle SCPI, PERIAL Asset Management s efforcera de prendre en compte

Plus en détail

L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise

L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE

ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE DOSSIER DE PRESSE 18 AOÛT 2014 ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE CONTACT PRESSE LISA RIBEAUD 06 15 86 43 41 lribeaud@unef.fr presse@unef.fr 2 Rentrée 2014 SOMMAIRE Les principaux chiffres 5 Edito

Plus en détail

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs

Plus en détail

esynthèse Études & Recherche Le marché des bureaux en Ile-de-France Août 2007 Forte augmentation de l'offre neuve

esynthèse Études & Recherche Le marché des bureaux en Ile-de-France Août 2007 Forte augmentation de l'offre neuve esynthèse Le marché des bureaux en Ile-de-France Août 27 Forte augmentation de l'offre neuve Études & Recherche Les commercialisations de bureaux en Ile-de-France se maintiennent à un très bon niveau en

Plus en détail

Investir indirectement dans l immobilier d entreprise et bénéficier de revenus potentiels réguliers

Investir indirectement dans l immobilier d entreprise et bénéficier de revenus potentiels réguliers SCPI Rivoli Avenir Patrimoine Particuliers Investir indirectement dans l immobilier d entreprise et bénéficier de revenus potentiels réguliers Durée d investissement recommandée de 8 ans AVERTISSEMENT

Plus en détail

Edissimmo SCPI CLASSIQUE DIVERSIFIÉE

Edissimmo SCPI CLASSIQUE DIVERSIFIÉE Edissimmo SCPI CLASSIQUE DIVERSIFIÉE Valorisez votre patrimoine avec de l immobilier d entreprise de qualité en investissant dans la SCPI Edissimmo - Durée recommandée : 8 ans Augmentation de capital ouverte

Plus en détail

Le marché locatif de bureaux en région lyonnaise

Le marché locatif de bureaux en région lyonnaise Le marché locatif de bureaux en région lyonnaise 1 er trimestre 2015 Etude réalisée sur la base des chiffres CECIM, intégrant les transactions directes Sommaire Contexte économique L essentiel du marché

Plus en détail

Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015?

Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015? www.creditfoncier.com U N E É T U D E D U C R É D I T F O N C I E R Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015? SEPTEMBRE 2015 sommaire PAGE 02 PAGE

Plus en détail

Durée d investissement recommandée de 8 ans. Lorsque vous investissez dans une SCPI, vous devez tenir compte des éléments et risques suivants :

Durée d investissement recommandée de 8 ans. Lorsque vous investissez dans une SCPI, vous devez tenir compte des éléments et risques suivants : SCPI Rivoli Avenir Patrimoine investir INDIRECTEMENT dans l immobilier d entreprise et bénéficier de revenus potentiels réguliers Durée d investissement recommandée de 8 ans AVERTISSEMENT Lorsque vous

Plus en détail

Europimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT

Europimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT LFP Europimmo SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième

Plus en détail

SCPI GEMMEO COMMERCE. L immobilier de commerce français en portefeuille

SCPI GEMMEO COMMERCE. L immobilier de commerce français en portefeuille SCPI GEMMEO COMMERCE L immobilier de commerce français en portefeuille AVERTISSEMENT Facteurs de risques Avant d investir dans une société civile de placement immobilier (ci-après «SCPI»), vous devez tenir

Plus en détail

ETUDE COMPARATIVE INVESTISSEMENT IMMOBILIER LOGEMENTS / COMMERCES / BUREAUX

ETUDE COMPARATIVE INVESTISSEMENT IMMOBILIER LOGEMENTS / COMMERCES / BUREAUX Page 1 ETUDE COMPARATIVE INVESTISSEMENT IMMOBILIER LOGEMENTS / COMMERCES / BUREAUX 1 Introduction La présente étude a pour objet de mettre en concurrence lʼinvestissement dans un ou plusieurs appartements,

Plus en détail

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2 LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations

Plus en détail

Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013

Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013 n 65 juin 2014 Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013 Observatoire n 4 Contact : Gilles Poupard 02 97 12 06 31 Sommaire Rappel de la démarche 5 Principaux résultats 2013 7 1. Le marché des

Plus en détail

Panorama. de l économie sociale et solidaire

Panorama. de l économie sociale et solidaire Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France

Plus en détail

Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012

Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012 Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012 Juin 2012 Sextant Expertise 27, Boulevard des Italiens 75002 Paris Tél. : 01 40 26 47 38 www.sextant-expertise.fr Société inscrite à l ordre des

Plus en détail

Le marché locatif privé sur Lille et la métropole lilloise Les loyers de marché à fin novembre 2014

Le marché locatif privé sur Lille et la métropole lilloise Les loyers de marché à fin novembre 2014 Le marché locatif privé sur Lille et la métropole lilloise Les loyers de marché à fin novembre 214 par Michel MOUILLART, Professeur d'economie à l'université Paris Ouest, FRICS CLAMEUR analyse chaque année

Plus en détail

Réseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE

Réseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35

Plus en détail

Perspectives Entreprises Ile-de-France 4 ème trimestre 2013

Perspectives Entreprises Ile-de-France 4 ème trimestre 2013 Perspectives Entreprises Ile-de-France 4 ème trimestre 2013 Les faits marquants de l année 2013 Offre de bureaux disponibles : 1. Le choix de bureaux ne cesse de s accroître L offre a augmenté de 9% en

Plus en détail

Observatoire. de l immobilier d entreprise de Maine-et-Loire EDITION 2011

Observatoire. de l immobilier d entreprise de Maine-et-Loire EDITION 2011 Observatoire de l immobilier d entreprise de Maine-et-Loire EDITION 2011 LES FAITS MARQUANTS EDITORIAL UN MARCHÉ TERTIAIRE CONCENTRÉ L agglomération angevine dépasse le seuil des 30 000 m 2 de transactions

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

SICAV Agréée CSSF Code ISIN LU0685178344

SICAV Agréée CSSF Code ISIN LU0685178344 Un produit de placement différenciant et solide SICAV Agréée CSSF Code ISIN LU0685178344 RÉSERVÉ EXCLUSIVEMENT AUX INVESTISSEURS QUALIFIÉS* - NON DESTINÉ À LA COMMERCIALISATION *au sens de la directive

Plus en détail

Une stratégie payante

Une stratégie payante Chiffre d affaires 9M 2013 Silex, Lyon Le Patio, Lyon - Villeurbanne Une stratégie payante 7 novembre 2013 Une stratégie partenariale - Des revenus locatifs pérennes Loyers part du groupe solides : + 5,4%

Plus en détail

Identification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14

Identification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7

Plus en détail

Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014

Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014 Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Rappel Méthodologique Modes de réception TV À partir de 2014 : Niveau national et régional Enquête

Plus en détail

Liste des diplômes des métiers de la formation 2000/2001 par région et organisme

Liste des diplômes des métiers de la formation 2000/2001 par région et organisme Liste des diplômes des métiers de la formation 2000/2001 par région et organisme Alsace Université Mulhouse Licence anglais option anglais appliqué à la formation des adultes DESS responsable en formation

Plus en détail

Carré Vélizy, Vélizy-Villacoublay (78)

Carré Vélizy, Vélizy-Villacoublay (78) Carré Vélizy, Vélizy-Villacoublay (78) Dossier de presse 1 er décembre 2009 Jacques BLANCHARD, MRM Président Directeur Général Olivier LEMAISTRE, CB Richard Ellis Investors Responsable du portefeuille

Plus en détail

Edissimmo. Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise avec la SCPI Edissimmo

Edissimmo. Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise avec la SCPI Edissimmo Edissimmo SCPI Immobilier d Entreprise classique diversifiée à capital variable Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise avec la SCPI Edissimmo Comporte

Plus en détail

Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise

Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise Septembre 2014 Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise Quelles sont les attentes des entreprises en Loire-Atlantique? Afin de mieux cerner globalement la demande des entreprises de

Plus en détail

CONSEIL EXPERTISE COMMERCIALISATION

CONSEIL EXPERTISE COMMERCIALISATION CONSEIL EXPERTISE COMMERCIALISATION «Multiplier les points de vue pour voir la situation sous le meilleur angle». Au contact de ses clients Crédit Foncier Immobilier s est forgé la conviction que ses

Plus en détail

125 700 m² LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE. Demande placée. Taille des transactions 2010 2011 2012 2013 3T2014 2010 2011 2012 2013 3T2014

125 700 m² LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE. Demande placée. Taille des transactions 2010 2011 2012 2013 3T2014 2010 2011 2012 2013 3T2014 LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE Demande placée 125 700 m² +41% : confirme son retour en grâce sur le marché locatif, en dépit d un 3 ème trimestre 2014 beaucoup moins flamboyant que le précédent,

Plus en détail

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013

IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013 IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013 68 avenue des Guilleraies 92000 NANTERRE Téléphone : 01 55 17 00 00 Fax : 09 81 70 68 48 Mail : contact@street-office.fr DECEMBRE 2013

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales

Plus en détail

Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier

Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier Octobre 2014 Direction des Études Point de conjoncture logement SUR FOND DE MOROSITÉ, LES FRAGILITÉS DU MARCHÉ RÉSIDENTIEL S ACCENTUENT Alors que la France

Plus en détail

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Directeur général adjoint en charge des finances et services généraux du conseil régional des Pays de la Loire Contexte La région des Pays de

Plus en détail

Recettes de fonctionnement et capacité d'épargne

Recettes de fonctionnement et capacité d'épargne 1 - Recettes réelles de fonctionnement/population Recettes réelles de fonctionnement : total des recettes de la colonne mouvements réels de la balance générale en section de fonctionnement. Evaluation

Plus en détail