EVALUATION de la per1nence des demandes d examen d imagerie lombaire. Nathalie Szapiro Eric Decoux Catherine Cyteval
|
|
- Victoire Fradette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 EVALUATION de la per1nence des demandes d examen d imagerie lombaire Nathalie Szapiro Eric Decoux Catherine Cyteval
2 826 demandes analysées 118 radiologues (sur 445 inscrits au RPPS) - 11 cabinets de radiologie (sur 50) - 7 structures avec scanner (sur 16) - 14 structures avec scanner et IRM (sur 27)
3 Qualifica1on de la demande - 46 % RX - 31 % TDM - 22 % IRM 0.9% pas de technique demandée 1% changement de technique
4 Données descrip1ves : descrip1on de la situa1on clinique 42% de descrip1ons incomplètes 15% restent incomplètes après interrogatoire (pas de différence entre généralistes, spécialistes, urgen1stes) 48 % RX 38 % TDM 13 % IRM. 461 demandes complètes 826 demandes 347 demandes incomplétes 240 demandes complètées par un interrogatoire 107 restent incomplètes 18 informa1on non renseignée
5 Indica1ons 62% des demandes : douleur lombaire avec ou sans radiculalgie 43% sans red flag 19% chroniques 18% aigues 14% :trauma1smes
6 Demandes urgentes 17% 64 % Rx 22 % TDM 18 % IRM Nombre de dossiers Demandes totales Demandes en urgence Radio Scanner IRM
7 Demandes urgentes 94% dans des structures avec structure d urgence. 57% par des urgen1stes 23% généralistes 17% par des spécialistes. 84% dans une structure avec TDM et IRM
8 Radiographie standard - 57% des cas le résultat de la radiographie est normal en tenant compte de l âge du pa1ent - 43% des cas le radiologue es1me que d autres examens d imagerie sont nécessaire
9 Conformité de la demande en regard du GBUsEI en fonc1on de la situa1on clinique (614 demandes analysables) 67% des demandes non conformes 90% des 249 RX 93% des 199 TDM 4% des 166 IRM 67% généralistes 18% spécialistes 13% urgen1stes 66% généralistes 30% spécialistes 2% urgen1stes 17% généralistes 83% spécialistes 83% auraient dû être IRM et 6% TDM 90% auraient dû être IRM
10 Conformité de la demande 36 % de non cohérence entre l avis du radiologue et celle préconisée par le GBUsEI pour la situa1on décrite - 34% quand le GBUsEI préconise une IRM - 30% pour le scanner - 75% pour la radiographie
11 L avis des radiologues 8% 13% X3 4.4% n aurait du avoir aucun
12 Au total Demande complète < 6 cas sur 10 (48% RX,38% TDM,13% IRM) Demandes en urgence 65% de RX 57% de RX normales 2/3 des cas demande non conforme au GBU (>80% pour TDM et RX) 1/3 des cas l avis du radiologue non conforme au GBU (mais changement seulement 1%) 4.4% n aurait du avoir aucun examen
13 Le radiologue «ac1f» 28% des demandes sont complétées par le radiologue 0.9% sans technique demandée 1% de changement de technique 43% ou le radiologue es1me que d autres examens sont nécessaires 36% de non cohérence avec le GBU (75% quand learx est préconisée par le GBU) Valida1on de la demande?
14 Que peut- on faire dans l avenir? Pédagogie au prescripteur Remplir les demandes Laisser le choix au radiologue Booster le pouvoir décisionnel du radiologue Choix ou changement de l examen (demandes visées) IRM supplémentaires
15 Document remis aux Médecins Généralistes lors de la campagne de 2011/2012 par les délégués de l Assurance Maladie
16
17 Les besoins en IRM osteo- ar1culaire ENORMES
18 Etat des lieux LR ( habitants) Ostéo ar6culaire 3T AUDE 5 autor- 4 installées 1 non installée GARD 9 autor- 8 installées 1 HERAULT LOZERE 1 PO installées IRM par million d habitant
19 Enregistrements d'ac1vité du secteur privé 2012 IRM des mb est la procédure principale 40% ( exams en 2009) (genou++) (OCDE 2012:taux publique < 15% / privé ) 4 X plus Mb inf que Mb sup Rachis 24% (Crane 21%) Colonne + membres: 64% de l'ac1vité globale des IRM privées.
20 IRM Ostéo ar1culaires cerveau 7% 21% genou membres 18% poignet rachis 24% Seins & Cardio 3% tronc 7% Vasc 5% 40% 3% 8% 9% 55% Pied / cheville coude épaule hanche Aqen1on 4 adossées à une IRM polyvalente dans le LR - Cause d une douleur autre que d origine ostéoar1culaire Problème gynécologique et douleurs de hanche Néoplasie du pancréas et lombalgie - Mise en évidence d une pathologie sans rapport : anévrysme de l aorte sur un examen de rachis lombaire - Bilan d extension : myelome et localisa1ons extra osseuses
21 L indispensable Les urgences (spondylodiscites, compression nerveuses) Les bilan des tumeurs malignes Objec1f aqeint en Nombre de machine? - Le délai dans l urgence? - Permanence des soins
22 L indispensable Les urgences (spondylodiscites, compression nerveuses) Les bilan des tumeurs malignes Le possible Réduc1on des délais : subs1tu1on L exhaus1vité des pathologies déjà prises en charges (F. scaphoïde, Col..) Développement de séquence longues (AngioMR, diffusion du genou..)
23 Délais de rendez- vous en LR Subs1tu1on certainement possible si le délai est raccourci
24 L avis des radiologues sur la prise en charge de la pathologie lombaire 8% 13% X3
25 Blum A. et al.the diagnosis of recent scaphoïd fractures: review of the literature. Radiol 2007 Jenkins PJ et al. A comparabve analysis of the accuracy diagnosbc uncertainly and cost of imaging modalibes in suspected scaphoïd fractures. Injury 2008 L exhaus1vité des pathologies Fractures prises en charge
26 La moelle osseuse
27 Séquences isotropes en coupes fines Le possible Résolu1on spa1ale Les enjeux : le car1lage, la trame osseuse 3T Antennes performantes (chères!!)
28 La cartographie fonc1onnelle 3 mois Monitoring des glycosaminoglycanes après greffe de cartilage 15 mois
29 L indispensable Les urgences (spondylodiscites, compression nerveuses) Les bilan des tumeurs malignes Le possible L exhaus1vité des pathologies déjà prises en charges (F. scaphoïde, Col..) Développement de séquence longues (AngioMR, diffusion du genou..) Réduc1on des délais : subs1tu1on L idéal L analyse du Car1lage des pe1tes ar1cula1ons 3T Distrac1on L IRM dynamique L IRM en posi1on debout MR Imaging May Serve as a Valid Alternative to Standing Radiography in Evaluating the Sagittal Alignment of the Upper Thoracic Spine. Wang F, Sun X, Mao S, Liu Z, Qiao J, Zhu F, Zhu Z, Qiu Y.J Spinal Disord Tech Oct 16.
30 L idéal 3-T direct MR arthrography of the wrist: Value of finger trap distraction to assess intrinsic ligament and triangular fibrocartilage complex tears Milena Cerny Fabio Becce European Journal Of radiology : June 06, 2013
31 L IRM dynamique des ar1cula1ons Rectus femoris knee muscle moment arms measured in vivo during dynamic mobon with real- Bme magnebc resonance imaging. FiorenBno NM, Lin JS, Ridder KB, GuPman MA, McVeigh ER, Blemker SS.J Biomech Eng Apr;135(4):
32 Les Besoins Dépendent de la poli1que de santé Diagnos1c précoce Diagnos1c étendu à d autres pathologies Suppression des examens «agressifs» Meilleure prise en charge et du temps d hospitalisa1on Subs1tu1on / économie (PET) Progression dans l analyse morphologique et fonc1onnelle Actuellement l IRM du Rachis occupe 25% des machines D après l étude sur le rachis les besoins sont 3 fois plus importants. le nombre d IRM osteo ar1culaires adossées à des IRM actuellement 3/35 alors que environ 40% d occupa1on des IRM sont des membres
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailN oubliez pas de sauvegarder après avoir intégré ce fichier dans votre espace extranet!
FORMULAIRE PDF REMPLISSABLE POUR REPONSE PEDAGOGIQUE AAP 2015 DU Page 1 sur 14 Avant toute chose, rappelez ici : 1 - Le titre principal (anciennement titre long) de votre projet [90 caractères] Lombalgies
Plus en détailTable des matières. Remerciements...v. Préface... vii. Avant-propos... xi. Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv
Remerciements...v Préface... vii Avant-propos... xi Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv Nomenclature française traditionnelle et terminologie anatomique officielle...xvii Table des matières...
Plus en détailRisques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire
Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire Mireille Loizeau Cours DIUST Paris Descartes-20 janvier 2015 1 Définition et facteurs de risque 2 Définition Contraintes bio-mécaniques,
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailmythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet
mythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet Le conflit fémoro-acétabulaire concept (Ganz 2003*) explication des lésions labrales et cartilagineuses
Plus en détailLES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION
LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION Parfois sous estimées, les orthèses de compression contention augmentent le niveau de vigilance par leur mécanisme de «rappel à l ordre», préviennent les récidives
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailAPPORT DE LA MICROKINESITHERAPIE DANS LES TMS
APPORT DE LA MICROKINESITHERAPIE DANS LES TMS 10è Congrès International en Microkinésithérapie, Arcachon 2 juin 2012 André Bonté Daniel Grosjean Introduction: Cette étude a été lancée dans le cadre d'une
Plus en détailPROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc
CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailLombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat
Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie
Plus en détailLe mal de dos est décrit par de nombreux auteurs
Carrière et mal de dos, la nécessaire prévention Les professionnels des métiers de la petite enfance sont particulièrement confrontés au fléau social qu est le mal de dos. Touchant près de 80 % de la population
Plus en détailMON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS
MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS Le mal de dos? Nous sommes pratiquement tous concernés! En effet, plus de 80% de la population
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailUN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C
CS 9300 / CS 9300C UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que
Plus en détailGROUPE CLINIQUE DU MAIL
DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLa prévention c est pour la vie! LES MAUX DE DOS. La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé
D O S S I E R S P É C I A L LES MAUX DE DOS La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé La source du mal Éviter les maux de dos Écouter son corps Quand la douleur demeure : les maux de dos chroniques
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailI. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture
148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une
Plus en détailSOMMAIRE LE COU P.4 L EPAULE / LE BRAS / LE POIGNET / LA MAIN P.6 LE TRONC P.12 LE GENOU P.16 LA CHEVILLE P.20 LE PIED P.22
SOMMAIRE LE COU P.4 - Collier cervical souple, semi rigide ou rigide L EPAULE / LE BRAS / LE POIGNET / LA MAIN P.6 - La clavicule, l immobilisation d épaule - Coudière, soutien du bras - Immobilisation
Plus en détailLe don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?...
Le don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?... François MOUREY Corinne ANTOINE et le COPIL Maastricht 3 Agence de la biomédecine Les jeudis de l urgence: Marseille 9 janvier
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailLombalgies inflammatoires de l homme jeune
Lombalgies inflammatoires de l homme jeune Auteur : Dr Éric TOUSSIROT, Besançon Comité éditorial : Dr Laure GOSSEC, Paris Dr Henri NATAF, Mantes-La-Jolie Relecteurs CFMR : Pr Bernard DUQUESNOY, Lille Pr
Plus en détailERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS
Qu est ce que l ergonomie d un poste de travail? ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS Un poste de travail ergonomique est un poste qui offre un environnement et des équipements permettant de créer
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailDU Pharmacien-orthésiste Responsable : Pr. Daniel Cussac
Responsable : Pr. Daniel Cussac Objectifs de la formation Permettre l acquisition par les pharmaciens de compétences indispensables à l application et la délivrance des orthèses (petit appareillage orthopédique).
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailGenou non traumatique
Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec
Plus en détailDate de l événement d origine Date de récidive, rechute ou aggravation. Date d expiration. Date de la visite. Membre supérieur Membre inférieur
N o d assurance maladie ATTESTATION MÉDICALE Code RAMQ 09926 Prénom et nom à la naissance Date de naissance Année Mois Jour Sexe Année Mois Date d expiration Init. Nom du médecin N o de permis N o de groupe
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailANALYSE DU MOUVEMENT EXEMPLE : LE SQUAT
PACOUIL Christophe1 Option culturisme 2012-2013 ANALYSE DU MOUVEMENT 1. Nous étudions les articulations concernées 2. Nous analysons la mécanique 3. Nous cherchons les muscles sollicités au plan moteur,
Plus en détailLivret participant. Prévention. Ouest. Kiné
Livret participant 1 Objectifs : Atelier «La santé du dos» Permettre aux participants d évaluer leurs facteurs de risques personnels et environnementaux de rachialgies Permettre aux participants d acquérir
Plus en détailAthénée Royal d Evere
Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement
Plus en détailErgonomie au bureau. Votre santé avant tout
Ergonomie au bureau Votre santé avant tout L individu est unique, sa morphologie aussi. L aménagement ergonomique de la place de travail doit tenir compte des spécificités de chacun. Il permet d éviter
Plus en détailApport de l AQM, en pratique clinique, dans les indications d appareillage chez l enfant Paralysé Cérébral (PC)
Apport de l AQM, en pratique clinique, dans les indications d appareillage chez l enfant Paralysé Cérébral (PC) Principes de l AQM Paramètres Spatio-Temporaux Left Right Cadence 116 ± 4.63 steps/min 116
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailSommaire de ce numéro :
Sport, Santé et Préparation Physique N 59 Lettre électronique des entraîneurs du Val-de-Marne AVRIL 2008 Université Paris 12 Conseil général du Val-de-Marne Sommaire de ce numéro : 1) SCIATIQUE ET CRURALGIE
Plus en détailÉDITO SOMMAIRE DES ACCIDENTS TOUJOURS EN AUGMENTATION
Septembre 2013 ÉDITO Accident du travail : les indicateurs d absence s aggravent dans les conseils généraux et régionaux Depuis 2006, près de 130 00 agents (1) TOS* et personnels DDE** ont intégré les
Plus en détailJérôme OSTALIER Gabor SAGI INSTITUT McKENZIE FRANCE
Jérôme OSTALIER Gabor SAGI INSTITUT McKENZIE FRANCE IMPACT DE LA FLEXION ET DE L EXTENTION SUR LA DYNAMIQUE DISCALE: LE MODÈLE DISCAL LA FLEXION INDUIT UNE MIGRATION POSTÉRIEURE DU NUCLEUS L EXTENSION
Plus en détailIntérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils
Intérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils LAPEGUE Franck (1-2), LOUSTAU Olivier (2), DENIS Aymeric (2), BOUSCATEL Elodie (1), PONSY Sylvie (1), SANS
Plus en détailSynthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale.
Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale. Exécution en bloc opératoire de procédures planifiées en préopératoire Réduction
Plus en détailLa main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab
La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête
Plus en détailPROTHÈSE AMPUTATION. Amputation fémorale. Prescription
1 PROTHÈSE AMPUTATION Amputation fémorale prothèse pour amputation fémorale avec ou sans manchon, genou à verrou - pneumatique hydraulique micro processeur. rotateur de genoux pied classe I II III tout
Plus en détailCabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION AVEC BW CONSULTANTS CHOISISSEZ DE GARANTIR VOTRE DEVELOPPEMENT
Cabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION 1 Pourquoi nous choisir? Le chef d entreprise, surtout s il est propriétaire, déteste l aventure. Notre Objec>f est de vous accompagner
Plus en détailDouleur au cou, au dos et hernie: solutions en physiothérapie.
www.cliniquephysioplus.com Une solution naturelle pour vous aider à vous rétablir : la physiothérapie Douleur au cou, au dos et hernie: solutions en physiothérapie. ÉRIC GUY PHYSIOTHERAPEUTE EST : par
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détail& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT
A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE
Plus en détaildmt Lombalgies et travail : Pour une stratégie consensuelle La lombalgie en chiffres Paris, 18 janvier 2002 notes de congrès La fréquence
dmt 90 notes de congrès TD 118 Lombalgies et travail : Pour une stratégie consensuelle Paris, 18 janvier 2002 Cette journée, organisée conjointement par la Société française de médecine du travail et la
Plus en détailAméliorer l enseignement de la relation médecin- patient aux internes en imagerie médicale : étude nationale. Nathalie Faye, Rokhaya Thiam
Améliorer l enseignement de la relation médecin- patient aux internes en imagerie médicale : étude nationale Nathalie Faye, Rokhaya Thiam TABLE DES MATIERES RESUME... 3 1. INTRODUCTION... 4 1.1 Objectifs
Plus en détailProtocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL
Delivered by Protocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL Docteur Artem Rogalev et Spok APPLICATEURS - PARAMETRES MACHINE CERA-MAX C 15 : Grâce à sa composition en poudre
Plus en détailAllégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2
Allégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2 Objectif Les apprenants soulèvent et portent des charges correctement. Public-cible - Des apprenants
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailD O S S I E R D E P R E S S E
La Fondation Lenval présente le bilan des réalisations financées grâce aux dons et lance sa campagne d information 2013 Mon ISF pour nos enfants Sommaire D O S S I E R D E P R E S S E 18 avril 2013 P 2/5
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailLOMBALGIES CHRONIQUES & MALADIES PROFESSIONNELLES
LOMBALGIES CHRONIQUES & MALADIES PROFESSIONNELLES CODE DE LA SÉCURITÉ SOCIALE : «Toute personne salariée ou travaillant à quelque titre ou en quelque lieu que ce soit, pour un ou plusieurs employeurs ou
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailItem 215 : Rachialgies
Item 215 : Rachialgies COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...5 SPECIFIQUE :...5 I Cervicalgies... 6 I.1 Quand faut-il
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailRAPPORT DE STAGE S ANNEE SCOLAIRE 2010-2011 B 3EME 5 CABINET DE MASSEUR KINESITHERAPEUTE. MONSIEUR Edouard CHEVALIER
S ANNEE SCOLAIRE 2010-2011 B 3EME 5 RAPPORT DE STAGE CABINET DE MASSEUR KINESITHERAPEUTE MONSIEUR Edouard CHEVALIER 42 Ter Rue Gambetta 58600 FOURCHAMBAULT Collège PAUL LANGEVIN 9, rue Dufaud 58600 FOURCHAMBAULT
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailMaladies rhumatismales. Le mal de dos
Maladies rhumatismales Le mal de dos L arthrite, l arthrose, l ostéoporose, le mal de dos et les rhumatismes des parties molles sont les affections rhumatismales les plus fréquentes. En tout, il existe
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailDiagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires
Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Emmanuelle Vignot Hôpital Edouard Herriot, Lyon Unité Inserm UMR1033 Lyon emmanuelle.vignot@chu-lyon.fr Arthrite septique (1) 1/ Monoarthrite :
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailTRAVAIL D INTERET PROFESSIONNEL
INSTITUT DE FORMATION DE MANIPULATEURS D ELECTRORADIOLOGIE MEDICALE CHU DE MONTPELLIER Institut de Formation et des Ecoles 1146, Avenue du Père Soulas 34295 MONTPELLIER CEDEX 5 DIRECTEUR : Georges BOURROUNET
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes Radiculalgies et syndromes canalaires (279) Professeurs P. Lafforgue, J.C. Peragut et R.
Maladies et Grands Syndromes Radiculalgies et syndromes canalaires (279) Professeurs P. Lafforgue, J.C. Peragut et R. Legré Juin 2005 1. Introduction Les nerfs périphériques peuvent être atteints en un
Plus en détailManutentions manuelles Statistique nationale / Ile de France 1992
Unité d Ergonomie Faculté de Médecine Pitié-Salpêtrière 91, bd de l Hôpital 75 634 Paris cedex 13 www.ergonomie.chups.jussieu.fr DIPLÔME D ERGONOMIE ET DE PHYSIOLOGIE DU TRAVAIL option1 Ergonomie du travail
Plus en détailRadiographie Industrielle Etat de l Art et Alternatives Des exemples. ASN Orléans 01/04/2011 www.cofrend.com
Radiographie Industrielle Etat de l Art et Alternatives Des exemples 1 Contexte Rappels sur les techniques selon les longueurs d ondes Etat de l art de la Radiographie Numérique Quelques éléments de compréhension
Plus en détailDysplasie osseuse. Groupe hétérogène de maladies géné%ques 440 types individuellement très rares Manifesta%ons possibles :
Cura%on de contenu «La cura%on de contenu (de l'anglais content cura*on ou data cura*on) est une pra%que qui consiste à sélec%onner, éditorialiser et partager les contenus les plus per%nents du Web pour
Plus en détailLa mise en place du PACS 1 Midi-Pyrénées s inscrit
Pr Louis Lareng ADMINISTRATEUR Dr Monique Savoldelli DIRECTEUR SIH Karine Seymour CHEF DE PROJET 35 GROUPEMENT DE COOPÉRATION SANITAIRE TÉLÉSANTÉ MIDI-PYRÉNÉES, TOULOUSE Mise en place d un PACS mutualisé
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailComprendre la mort cérébrale
Comprendre la mort cérébrale Imprimeur de la Reine pour l Ontario, 2010. Adaptation et reproduction autorisées. 1 Comprendre la mort cérébrale Il est difficile d imaginer une expérience plus douloureuse
Plus en détailL'osteopathie à travers les troubles musculo squelettiques et le sport :
L'osteopathie à travers les troubles musculo squelettiques et le sport : Dans de nombreux cas il est possible de prévenir les pathologies en étant à l écoute de ses dysfonctionnements, pertes d énergie,
Plus en détailItem 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations)
Item 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations) Date de création du document 2008-2009 CAS CLINIQUE : CAS CLINIQUE N 1 Scénario : Monsieur A., vingt-cinq ans, étudiant vétérinaire, vient
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailLes lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail
Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail Yvan Campbell, B.Éd. M.Sc. SRDC Kinésiologue Campbell, Y. (2015). Les lésions musculo-squelettiques
Plus en détailItem 279 : Radiculalgie et syndrome canalaire
Item 279 : Radiculalgie et syndrome canalaire Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Atteintes radiculaires des membres inférieurs... 1 1. 1 Lomboradiculalgies communes...1 1. 1. 1
Plus en détailMETHODE D APPLICATION DE L OSTÉOPATHIE. Liste des 155 modèles thérapeutiques du Référentiel RÉÉQUILIBRATION FONCTIONNELLE Méthode SOLÈRE
METHODE D APPLICATION DE L OSTÉOPATHIE Liste des 155 modèles thérapeutiques du Référentiel RÉÉQUILIBRATION FONCTIONNELLE Méthode SOLÈRE Notre formation a pour objet la diffusion de connaissances dans le
Plus en détailLa colonne vertébrale (organisation générale et bases biomécaniques)
FICHE 1 La colonne vertébrale (organisation générale et bases biomécaniques) La colonne vertébrale est un axe souple, composé de vertèbres étagées les unes au dessus des autres, articulées entre elles
Plus en détailLES COURBURES DE LA COLONNE VERTEBRALE
LES COURBURES DE LA COLONNE VERTEBRALE La colonne vertébrale présente des courbures normales (physiologiques) : lordoses et cyphoses qu'il convient de différencier de courbures pathologiques (cyphose accentuée,
Plus en détail