L hyper stimulation ovarienne
|
|
- Norbert Brosseau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L hyper stimulation ovarienne Aspects Pratiques SRMGO 28 MARS 2009 Dr Bennis, Dr Berranoun, Dr Ouajou, Dr Jennan
2 Introduction Le syndrome d hyper stimulations ovariennes (SHSO) en augmentation depuis l usage des analogues, banalisation de la PMA Situation grave, médecin désemparé, recommandations Complication potentiellement létale Cause direct: par collapsus, ou accidents thrombo-embolique Cause indirect liée aux Gross. multiples: (infection, toxémie, hémorragies) Iatrogène sur le plan légal, manipulation inadéquate des gonadotrophines Évitable Les mesures préventives sont bien codifiées
3 Évolution des Tendances l hyper stimulation contrôlée «années Avènement des Analogues 80» Attitude volontariste, plus de foll plus de succès Inflation des HSO et des Grss multiples (Cortège de complications) en particulier la gde prématurité Soft Stimulation ou le retour à la raison * Objectif : 6 à 8 Follicules, Baisse notable des HSO à 4 Embryons de ht grade, choix confortable avt transf Politique du SET (SW, Be) dès 1998 Pression du législateur transfert de l embryon unique Réduire l incidence des HSO et des Gr. Multiples sans compromettre les résultats (taux naissance)
4 La Genèse de l HSO Le seuil de sensibilité ovarienne est variable (âge, pds, Hrm) Le choix de la doses d induction empirique Dose d induction > seuil de sensibilité : recrutement massif de follicules hcg Une synthèse accrue (niv follicules) R-Lh : sensibilité des ovaires à l hcg +++ VEGF: à l origine de la pathogénie R-Lh (vascular endothelium factor ) L Hcg est le facteur déterminant Luteinisation massive des cell granulosa (détonateur) Activation de VEGF GF E V
5 La Genèse de l HSO Le seuil de sensibilité ovarienne est variable Le choix de la doses d induction empirique (âge, pds, Hrm) Dose > seuil de sensibilité : recrutement massif de follicules hcg Une synthèse accrue (niv follicules) R-Lh : sensibilité des ovaires à l hcg +++ VEGF (vascular endothelium factor ) R-Lh L hcg reste le facteur déterminant Luteinisation massive des cell granulosa (détonateur) Activation de VEGF à l origine de la pathogénie GF E V
6 La Genèse de l HSO Le seuil de sensibilité ovarienne est variable Le choix de la doses d induction empirique (âge, pds, Hrm) Dose > seuil de sensibilité : recrutement massif de follicules hcg Une synthèse accrue (niv follicules) R-Lh : sensibilité des ovaires à l hcg +++ VEGF (vascular endothelium factor ) R-Lh L hcg reste le facteur déterminant Luteinisation massive des cell granulosa (détonateur) Activation de VEGF à l origine de la pathogénie Perméabilité capillaire Formation d un 3ème secteur GF E V
7 Physiopathologie FSH +++ Synthèse R-LH et VEGF Hcg +++ Cell Granulosa VEGF Perméabilité capillaire
8 Physiopathologie FSH +++ Synthèse R-LH et VEGF Hcg +++ Hypovolémie Cell Granulosa VEGF Perméabilité capillaire 3ème secteur Syst R.Angiotensine Aldosterone et ADH Extravasation Liquide riche en proteines Entretenir les épanchements Oligurie
9 Signes de gravité Doivent motiver une hospitalisation Augmentation brutale du poids Ascite avec distension abdom, Dyspnée ou tachycardie Diminution de la diurèse < 500 ml / 24h Ovaires > 12 cm Hémo concentration:ht >45%, leuco> Désordre ionique: hypo Na+ hyper K+ Forme Critique L élévation de la Créatinine et enzym Hép Ht > 55%, leucocytes > 25000
10 Tableau Clinique L épanchement Un synd sub occlusif: nausée et vomissement Une dyspnée et tachycardie ( épanchement pleural ou péricardique) L hypo volemie va induire Une Insuffisance rénale fonctionnelle Une Oligurie (aldostérone, ADH) L évolution habituelle l hypotension, détresse resp,.voire collapsus l insuffisance rénale l hémo concentration puis thrombose (Mbre sup, ou cérébrale ) Torsion de l ovaire (rare) Hémorragie par rupture KO s
11 Classification NCCWCH 2004 Intègre des marqueurs biologiques Golan 1989 Grade 1 Distension abdominale Grade 2 Nausées, vomissements Grade 3 Ascite à l échographie Ovaires entre 8 et 12cm Grade 4 Ascite clinique et hydrothorax Ovaires > 12 cm Minime Météorisme, douleur moyenne ETG : Ovaires < 8 cm, Modérée Nausées, vomissements, Ascite à l échographie Ovaires 8-12 cm, Ht < 45%, GB < Sévère Ascite clinique +hydrothorax Ovaires > 12cm, Ht > 45 %. GB> 15000, Grade 5 Ascite sous tension, dyspnée, Diminution de la fonction rénale Hémoconcentration Troubles ioniques et Anomalies de coagulation.. Critique Ascite sous tension, dyspnée, Insuff rénale, oligurie, Élévation Créat et Transaminases Ht >55%, GB > 25000, Risque Thrombose+++
12 Prise en charge
13 Formes mineures Minime Météorisme, douleur moyenne ETG : Ovaires < 8 cm, Peuvent être suivies en ambulatoire Repos, tt en évitant l alitement légère restriction hydrique Antispasmodiques, antiémétiques Anticoagulants à dose iso, systématique Surveillance / 2 jours Clinique, échographique et biologique
14 Formes modérées Nausées, vomissements, Ascite à ETG, ovaires 8-12cm Ht < 45%, GB < Hospitalisation n est pas encore systématique Repos impératif, Restriction hydrique modérée Anticoagulants sont systématiques, à doses iso, pdt 21 jours Surveillance quotidienne Clinique, échographique et biologique Admission en soins intensifs dès l aggravation du tableau
15 Formes Sévères Hospitalisation en milieu spécialisé Équipe rodée, la physio pathologie du SHSO Surveillance pluri quotidienne TA, diurèse, ascite, NFS, ino Admission en Réanimation pour prévenir le risque létal Les impératifs Remplissage vasculaire Restauration de la Volémie Les objectifs Maintenir la perfusion rénale et la diurèse Prévenir l hémo concentration et la thrombose
16 Le traitement de fond Remplissage et relance la diurèse Suffisant dans la plupart des cas Sérum salé à 9% ( hypo natrémie) fc de la diurèse Diurétique / anti aldostérone si Htc < 38% (hémo concentration) Restaurer la volémie Albumine Humaine à 20%, efficacité +++ (innocuité?) en 2ème intention seulement si diurèse < 20 ml / h Prévenir la thrombose Anticoagulants systématique, doses iso ou doses hypo si D dimères élevés ou GB >
17 Thérapeutiques associées Découlant de la physio pathologie Glace sur le ventre Anti inflammatoires, anti histaminiques Dopamine, afin de maintenir la perfusion rénale Évacuation des épanchements Soulager une tension abdominale, dyspnée Risque collapsus si évacuation intempestive (restaurer la volémie avt ) Une amp Alb Hum / L d ascite évacué Traitement chirurgical exceptionnel Torsion ovarienne ou hémorragie kystique L interruption de la grossesse (formes critiques, résistantes au tt médical ) La résolution se fait après une phase d aggravation J10 en absence de grossesse (demie vie hcg ou hcg-r ) 7ème semaine en cas de Gross «Il suffit de tenir le cap»
18 Prévention primaire Rôle du gynécologue +++ Dépister les terrains à risque Choisir le protocole de stimulation Adapter les doses gonadotrophines
19 Femmes à risques d HSO Le Profil Femme jeune < 32 ans Ovaires poly kystiques, LH / FSH Maigre : BMI < 20 Terrain allergique > 1.4 L importance de l HSO Nbre follicules recrutés / ovaire > 15 Taux d œstradiol J hcg > 3500 pg/ml ( 1500 et 6000 ) Le facteur aggravant ATCD thrombose Marqueurs de trombophilie: Prot S, anti Thr III, mut Fact V
20 Choix du Protocoles de Stimulations Le PL Analogues- FSH-r Pourvoyeur de SHSO élargissement de la fenêtre de recrutement folliculaire Le choix de la dose d induction doit être adaptée au profil 75 à 100 UI de FSH-r chez une hyper répondeuse 150 à 200 UI normo répondeuse Les gonadotrophines seront utilisées selon deux schémas PL Step up low dose PL Step down
21 Protocole step-up low dose permet un meilleur contrôle du recrutement folliculaire Indications: atcd HSO ou OPK Assurant une réponse ovarienne rarement explosive Dose d induction Au dessous du seuil de réactivité ov (50 75 UI) Augmentation par paliers de 25 UI / 2 à 3J Jusqu à atteindre le seuil de sensibilité Durée stimulation s en trouve allongée, Taux d SHSO est à O% ( Marci ) Taux de grossesse conservé à 38%
22 PL Analogues Step-up Low dose E2 Dose seuil 2000 OPK ou atcd HSO 1500 Analogues 0.1 mg 1000 E2 bas hcg 500 3foll>17mm +25 Fsh 50-75UI CO Hémorragie de privation J1 J5 +25 J7 Dose seuil J h Critères démarrage E2 < 50 pg / ml Absence de KO LH > seuil 1.2 à 2 UI Monitorage E2 -LH Echo Recueil
23 E2 L allongement de la stimulation n est pas délétère en terme de taux de grossesse Analogues 0.1 mg 1000 E2 bas hcg 500 3foll>17mm +25 UI Fsh 50-75UI CO Hémorragie de privation J1 J5 J7 Dose seuil J h Critères démarrage E2 < 50 pg / ml Absence de KO LH > seuil 1.2 à 2 UI Monitorage E2 -LH Echo Recueil
24 Protocole step down --- En cas d échappement de l E2 malgré des doses modestes E2 J5 > 500 pg / ml et nbre de foll > 12 / ov Consiste à réduire les doses de FSH-r par palier jusqu à l infléchissement de la courbe de l E2 Efficace si la mise en place est précoce, dès J5-7 (monitorage+++) Expose parfois à une atrésie folliculaire Chute brutale de l E2 délétère (maturation de l endomètre ) Impact qualité embryonnaire (fragmentation élevée) Délétère si chute brutale de l E2 > 30% Taux de grossesse plus faible (10%)
25 E2 PL Analogues 3500 Step down SHSO, échappement Analogues 0.1 mg 1000 hcg 5000UI Fsh-r UI Hémorragie de privation J1 J5 75 J7 J h Critères démarrage E2 < 50 pg / ml Absence de KO LH > seuil 1.2 à 2 UI E2 -LH 1500 Monitorage Echo 2000 Recueil
26 La E2 chute de l E2 > 30% délétère 3500 Taux de grossesse plus faible Analogues 0.1 mg 1000 hcg 5000UI Fsh-r UI Hémorragie de privation J1 J5 75 J7 J h Critères démarrage E2 < 50 pg / ml Absence de KO LH > seuil 1.2 à 2 UI E2 -LH 1500 Monitorage Echo 2000 Recueil
27 Protocole antagoniste indication de choix dans les ovaires poly kystiques Avantages Dose standard de Fsh-r 150 UI Moins contraignant, initiation à J6 date fixe Moins de follicules secondaires recrutés Déclenchement possible par Analogues ( plus physiologique ) Inconvénients Chute de l E2 fin de stimulation Avance de la maturation de l endomètre (Kolibianakis) Moins de S HSO: 0.82% vs 2.2% / analogues ( H.Inany ) Taux naissances / ponction similaire aux PL Analogues (Kolibianakis, Griesinger 2007)
28 Protocole Antagoniste Avantages antagoniste Fsh-r 150 UI dose std CO Règles J1 Fenêtre Recrutement J6 Désensibilisation Date fixe Déclenchement par Analogues
29 Inconvénients Chute des hormones à l initiation des Antag Phase lutéale inadéquate FSH Orgalutran Lh FSH-r 150 UI CO dose constante Phase lutéale Règles J1 J6 Phase Foll tardive J12
30 Prévention secondaire Le coasting La congélation des embryons L abandon du cycle....
31 Le Coasting Quand E2 > 3500 Age < 32 ans Step down inefficace Interruption de la stimulation, différer le déclenchement Poursuite du blocage : une atrésie des petits follicules et une diminution du VEGF Le déclenchement est maintenu Si l E2 chute < à 3500 pg/ml Dose unique hcg à 5000 UI
32 PL analogues FSH-r 4000 E2 Coasting Décapeptyl 0.1 mg 1000 Coasting hcg 5000UI E2<3500 Fsh UI Hémorragie de privation J1 100 J5 50 J7 J h Critères démarrage E2 < 50 pg / ml Absence de KO LH > seuil 1.2 à 2 UI E2 -LH 1500 Monitorage Echo 2000 Recueil
33 Coasting dans la littérature Auteur Année Nbre Patientes Taux E2 SHSO %Gross Chen > 3000 < / 9% 34 % Lee > 2800 * < / 20% 40 % Waldenstrom < / 3% 42 % Aktan > 4000 * < * Bennis > 3500 < / début coasting NC Taux E2 pg/ml j / hcg en sévère % 50 %** 13% * Il n y a pas de corrélation entre le taux E2 et l incidence de SHSO n ** Le taux de grossesse est conservé malgré le coasting par cycles ** 26 %
34 Coasting en pratique Auteur SHSO Gross NON G NON G NON NON Légère GGG Taux E Cas a Con Con Age Bennis Agd1 35 Beranoun Cas a Mekouar Laghzaoui Année Nbre Ovocytes E2 début Coasting Ide nt Dose induction FSH-r J hcg Nbre Total Foll
35 Transfert différé Femme jeune Quand 3500 < E < 5000 Age < 32 ans, foll > 15 / ovaire Le déclenchement est maintenu Le transfert est différé ( hcg / 5000 UI ) Ne met pas toujours à l abri d une l HSO précoce (résolution rapide) Eviter l HSO tardive (abs grss ) Taux de grossesse après TEC (Fivnat n=520) 20% pour les SHSO Sévères 18% pour les SHSO Légères 10 à 15% en dehors des SHSO
36 Les HSO Sévères Auteur Ident Age BMI Année Bas R.Lahlou Casa Dose Initiale FSH-r 225 E2 Début stp D 5000 Taux E2 J hcg 5800 Nbre foll > 20 Cong Oui SHSO Sévère Gross G TEC M.Bennis Oujd 27 Oui > 20 Oui Sévère G TEC T Chraibi Casa > 20 2ET Sévère GG S.Lazrak Casa ET Sévère GGG
37 Abandon du cycle les situations à haut risque E2 > 5000 pg/ml ou ascendant Age < 32, Nbre de foll > 20/ ov ATCD d accident TE ou Thrombophilie Interruption de la stimulation Poursuite du blocage ( antagonistes ) Pas de déclenchement +++ Pas de rapports +++
38 Abandon du cycle Malgré stp down précoce E2 continue augm Auteur Ident Age Année Dose Initiale E2 / J FSH-r Début stp down Taux E2 Nbre cycle foll Annulé SHSO M.Bennis Mkn J > 20 Oui NON M.Bennis Casa J > 20 Oui NON R.Lahlou Casa J > 20 Oui NON
39 Les transferts de haut rang au Maroc Sont encore largement pratiqués ( 5-6Embr ) chez des femmes jeunes Compenser la mauvaise qualité embryonnaire par les transferts de Haut rang ( faute médicale, cadre de loi ) ² Le taux de succès en PMA est Lié à la qualité des embryons transférés et non à leur Nombre Évaluation des centres % de naissances et non % Grss / P La quête du Graal passe par un travail d équipes Optimisation de toutes les étapes de PMA, stimulation, ponction et qualité de transfert Centres de 2ème génération : équipement et contrôle de qualité ( impliquer le biologiste )
40 Conclusion L HSO est une complication potentiellement létale Manip inadéquate des gonadotrophines (iatrogène) La Prévention!! Dépistage des situations à risque, bilan pré fiv Choix du protocole et doses d induction, l étape cruciale Gross multiples: facteur de risque, stratégie de transfert
GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire
ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailExploration et Prise en charge d un couple infertile
Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailHématome rétro-placentaire ( HRP )
Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée
Plus en détailPatient Diagnostics Tests Rapides Désir d Enfant
Enceinte ou non? Patient Diagnostics Tests Rapides Désir d Enfant Les tests uniques en leur genre d aide à la planification familiale à utiliser chez soi Test d ovulation Test de grossesse précoce Test
Plus en détailFécondation in vitro avec don d ovocytes
Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailE03 - Héparines non fractionnées (HNF)
E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailInfospot. Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014
Infospot Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) - Octobre - Novembre - Decembre 2014 1 I. Définition Il est actuellement
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailItem 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP)
Item 30 : Assistance Médicale à la Procréation (AMP) Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) Date de création du document 2010-2011 Table des matières Pré-Requis... 4 OBJECTIFS...
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailINDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT
INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailGestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux
Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Anne GODIER Service d Anesthésie-Réanimation Hopital Cochin Paris Table ronde anticoagulants 15 novembre 2013 Conflits
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailEtat des lieux et perspectives du don d'ovocytes en France
Inspection générale des affaires sociales RM2011-024P Etat des lieux et perspectives du don d'ovocytes en France RAPPORT TOME I Établi par Dr Pierre ABALLEA Anne BURSTIN Jérôme GUEDJ Membres de l Inspection
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailLes INSÉMINATIONS INTRA-UTÉRINES
1 Équipe AMP La Sagesse Rennes DOSSIER GUIDE Les INSÉMINATIONS INTRA-UTÉRINES COMPOSITION DE L'EQUIPE DE FECONDATION IN VITRO 2 L'équipe de Fécondation in vitro est multidisciplinaire et son bon fonctionnement
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLes Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes
Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes 1 Marché global des anticoagulants Un Marché en explosion: 6 milliards de $ en 2008 9 milliards de $ attenduen
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailAssistance médicale à la procréation. Informations pour les couples donneurs. Le don. d embryons
Assistance médicale à la procréation Informations pour les couples donneurs Le don d embryons Sommaire Le don d embryons, qu est-ce que c est? 2 Qui peut en bénéfi cier? Qui peut donner les embryons et
Plus en détailIII. Le temps de travail :
III. Le temps de travail : III.1. L Organisation, l Aménagement et la Réduction du Temps de Travail (OARTT). Un accord national (l OARTT «national») est négocié entre la Direction Générale et les Organisations
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailDemande de règlement d invalidité de longue durée
Régime d assurance pour les cadres de gestion de la Fonction publique Demande de règlement d invalidité de longue durée Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc. Police collective n
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailAssurance invalidité de courte durée. Guide du salarié
Assurance invalidité de courte durée Guide du salarié Assurance invalidité de courte durée Le présent guide contient les formulaires à remplir pour demander des prestations d invalidité et certains renseignements
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailProgramme pour les patients traités par les nouveaux anti-coagulants oraux.
Programme P H A R M A C O pour les patients traités par les nouveaux anti-coagulants oraux. AG Caffin 1, Y Chabi 1, C Sévin 2, B Leclere 3, C Debelmas 4, G Camus 1, X Bohand 1 1 Hôpital d Instruction des
Plus en détail