Analyse systémique ORION

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Analyse systémique ORION"

Transcription

1 Analyse systémique ORION v3 Société AFM AFM Tous Tous droits droits réservés réservés

2 Qu apporte la méthode ORION? Une méthode intuitive d analyse d un événement qui permet : de comprendre le pourquoi de l événement d identifier des actions correctives réfléchies d améliorer le système dans son ensemble Société AFM 42 Tous droits réservés 2

3 Qu apporte la méthode ORION? Une méthode qui peut être utilisée pour tout type d événement : accidents majeurs 1 gravité accidents 10 incidents 30 précurseurs 600 Pyramide de Bird Société AFM 42 Tous droits réservés 3

4 Qu apporte la méthode ORION? Une méthode qui peut être utilisée lors d une démarche a priori Comité de Retour d EXpérience (CREX) ou a posteriori Revue de Mortalité-Morbidité Une méthode conçue pour les systèmes complexes, faisant intervenir de nombreux acteurs. Société AFM 42 Tous droits réservés 4

5 La méthode ORION n est pas Une méthode pour déterminer la responsabilité de chacun dans l événement étudié Une méthode d évaluation des éventuelles fautes de chacun Une méthode qui décrit l événement sans traiter les raisons de son apparition Société AFM 42 Tous droits réservés 5

6 Les étapes d une analyse Étape I : Étape II : Étape III : Étape IV : Étape V : Collecter les données Reconstituer la chronologie de l événement Identifier les facteurs contributifs et les facteurs influents Proposer les actions à mettre en œuvre Rédiger le rapport d analyse Société AFM 42 Tous droits réservés 6

7 Les étapes d une analyse Étape I : Étape II : Étape III : Étape IV : Étape V : Collecter les données Reconstituer la chronologie de l événement Identifier les facteurs contributifs et les facteurs influents Proposer les actions à mettre en œuvre Rédiger le rapport d analyse Société AFM 42 Tous droits réservés 7

8 Étape I : collecter les données Objectif : Rassembler les informations sur l'événement, son contexte et sa gestion, sur les plans : technique organisationnel humain environnement Résultat attendu : appréhender l'événement à partir de l'ensemble des faits nécessaires et suffisants dans ce contexte. Société AFM 42 Tous droits réservés 8

9 Étape I : collecter des données Quelles données? Qui collecte les données? Quand collecter les données? Comment collecter les données? Entretien individuel Débriefing Déclaration écrite Société AFM 42 Tous droits réservés 9

10 Quelles données et qui les collecte? Rassembler l ensemble des données qui permettront de reconstruire le scénario de l événement Une donnée est une indication exacte de ce qui s est passé. C est le pilote chargé de l analyse qui doit recueillir les données. Il est important que le pilote de l analyse ne soit pas à la fois juge et partie. La collecte des données doit donc être réalisée par une personne indépendante de l événement. Société AFM 42 Tous droits réservés 10

11 Quand collecter les données? La collecte des données doit être effectuée : ni trop tôt (les acteurs pouvant être encore perturbés par l événement) ni trop tard (risque de perte d information). de quelques heures (cas d un événement non traumatisant) à quelques jours après l événement semble être le délai à respecter. Société AFM 42 Tous droits réservés 11

12 Comment collecter les données? Le but est de recueillir les faits dans leur totalité grâce aux visions partielles de chacun et non de rechercher les fautes des uns ou des autres. Le pilote de l analyse doit rester neutre dans ses formulations. La collecte doit être préparée à partir de : documents (appréhender les grandes lignes de l'événement) une liste de personnes à rencontrer (y compris celles impliquées dans les phases de préparation et de planification des activités concernées) Trois manières de collecter les données: Entretiens individuels Débriefings Déclarations volontaires anonymes ou confidentielles Société AFM 42 Tous droits réservés 12 12

13 Entretien individuel L entretien individuel de type «semi-directif» permet de recueillir le témoignage de personnes qui n oseraient pas s exprimer en groupe ou dont l emploi du temps ne permet pas de participer à un débriefing de groupe. L entretien se déroule en deux temps : 1er temps : des questions exploratoires pour laisser la personne s exprimer spontanément sur ce qu elle a vécu 2ème temps : des questions plus précises pour compléter les manques du récit spontané. Société AFM 42 Tous droits réservés 13

14 Entretien individuel A la fin de l entretien : Demander à l interviewé s il a des suggestions à faire pour éviter que l événement ne se reproduise ou pour améliorer certaines faiblesses de la situation. Établir un compte rendu et le faire valider par l interviewé. Société AFM 42 Tous droits réservés 14

15 Debriefing Le débriefing est une confrontation en temps réel des versions de plusieurs personnes ayant préparé, assisté ou participé à l événement permettant le recueil simultané de leurs données. L avantage du débriefing est d arriver rapidement à une version consensuelle des événements. Le débriefing doit comprendre les deux temps décrits pour l entretien individuel (questions exploratoires / questions complémentaires plus précises). Un compte rendu est rédigé et validé par les participants. Société AFM 42 Tous droits réservés 15 15

16 Déclaration écrite Une déclaration écrite (pouvant être anonymisée et/ou confidentielle) est une alternative, à l initiative du déclarant ou quand l entretien n est pas envisageable. Cette déclaration est articulée en trois temps : La narration libre des faits tels que vécus par le déclarant L analyse du déclarant Les suggestions du déclarants en termes de stratégies correctives. Un document «prêt à remplir» en trois étapes peut être proposé. Tous les acteurs impliqués dans l événement doivent être écoutés. Société AFM 42 Tous droits réservés 16

17 Les étapes d une analyse Étape I : Étape II : Étape III : Étape IV : Étape V : Collecter les données Reconstituer la chronologie de l événement Identifier les facteurs contributifs et les facteurs influents Proposer les actions à mettre en œuvre Rédiger le rapport d analyse Société AFM 42 Tous droits réservés 17

18 Étape II : reconstituer la chronologie des faits Objectif : Reconstituer le "film" de l'événement en ordonnant les données collectées selon leur apparition dans le temps Résultat attendu : Obtenir la liste chronologique cohérente de l'enchaînement des faits comportant, dans la mesure du possible, des références de dates et d heures. Société AFM 42 Tous droits réservés 18

19 Étape II : reconstituer la chronologie des faits Trier les données Recenser les faits, les états et les écarts aux attendus Traduire les écarts aux attendus en faits Reconstituer la chronologie des faits Repérer les états défaillants et les actions inappropriées Valider l étape Société AFM 42 Tous droits réservés 19

20 Trier les données, recenser les faits, les états et les écarts aux attendus Faire le tri (reformuler si besoin est) des faits et uniquement des faits. Un fait est une donnée réelle de l expérience, un état ou une action qui existe à un moment donné. Il doit être défini par une phrase simple sous la forme active, de type : un sujet, un verbe et un complément. Exemple: «il n a pas suivi la procédure» n est pas un fait mais un écart aux attendus Identifier les états, décrivant la situation Société AFM 42 Tous droits réservés 20

21 Trier les données, recenser les faits, les états et les écarts aux attendus La collecte des données va permettre au pilote de l analyse de déceler des écarts par rapport : au référentiel défini au sein de l établissement à une procédure ou à une consigne écrite permettant de répondre à un événement identifié à une règle de l art généralisée et acceptée par une majorité d intervenants Cette identification nécessite donc de connaître les référentiels et peut demander des recherches de données complémentaires à celles initialement collectées. Ces écarts seront traduits en faits Société AFM 42 Tous droits réservés 21

22 Reconstituer la chronologie des faits Il s agit d ordonner les faits selon leur apparition dans le temps, en indiquant pour chacun d eux le jour, la date et l heure L enchaînement des faits doit être organisé en trois grandes parties correspondant aux trois temps de l événement avant pendant après Société AFM 42 Tous droits réservés 22

23 Repérer les états défaillants et les actions inappropriées Selon le contexte de l événement : les états peuvent être normaux ou défaillants les faits, ou actions, peuvent être adéquats ou inappropriés Dans la chronologie des faits, le pilote de l analyse fera donc ressortir les états défaillants et les actions inappropriées. Société AFM 42 Tous droits réservés 23

24 Validation de l étape A la fin de cette étape il est utile de présenter cette chronologie aux différentes personnes impliquées (éventuellement en groupe), de façon à obtenir un consensus qui valide les faits recueillis. Cette pratique permet de préciser les données recueillies et de s assurer de la validité et de la cohérence du scénario. Cette validation constitue la garantie d une base solide pour continuer l analyse. Société AFM 42 Tous droits réservés 24

25 Les étapes d une analyse Étape I : Étape II : Étape III : Étape IV : Étape V : Collecter les données Reconstituer la chronologie de l événement Identifier les facteurs contributifs et les facteurs influents Proposer les actions à mettre en œuvre Rédiger le rapport d analyse Société AFM 42 Tous droits réservés 25

26 Étape III : identifier les facteurs contributifs et les facteurs influents Objectif : Expliciter les relations de cause à effet entre les faits. Repérer les facteurs contributifs et influents qui peuvent expliquer : les états défaillants les actions inappropriées les écarts aux attendus Résultat attendu : La liste des facteurs contributifs explicités par domaine. La liste des facteurs influents qui ont joué un rôle dans l événement. Les raisons pour lesquelles les lignes de défense prévues n'ont pas joué leur rôle. Société AFM 42 Tous droits réservés 26

27 Étape III : identifier les facteurs contributifs et les facteurs influents Reconstituer les relations de cause à effet entre les faits Identifier les facteurs contributifs S assurer que les quatre grandes familles de facteurs contributifs ont bien été explorées Identifier les facteurs influents Société AFM 42 Tous droits réservés 27

28 Reconstituer les relations de cause à effet entre les faits, identifier les facteurs contributifs Afin de comprendre les différents faits, il faut reconstituer les relations de cause à effet entre ces derniers. La reconstitution du mécanisme de l événement nécessite de partir des faits aboutissants à l événement et de se poser les questions suivantes : qu'a-t-il fallu pour que ce fait se produise? était-ce suffisant? Cette reconstitution se fait par itération, en vérifiant que tous les états défaillants et actions inappropriées identifiés comme facteurs contributifs dans la chronologie ont bien été repris dans ces relations de cause à effet. Société AFM 42 Tous droits réservés 28

29 Quatre grandes familles de facteurs contributifs à explorer environnement technique événement organisation, processus facteur humain Société AFM 42 Tous droits réservés 29

30 Identifier les facteurs influents Plus on s éloigne de l événement analysé, plus la relation de cause à effet entre les faits devient difficile à établir. Les faits ne peuvent plus être considérés comme des facteurs contributifs de l événement; on les appelle alors des facteurs influents Ils constituent des fragilités du système global, que l on risque de retrouver de façon générique dans d autres événements. Ils aident à comprendre certains facteurs contributifs, et à expliquer : les états défaillants, les actions inappropriées, les écarts aux attendus. Société AFM 42 Tous droits réservés 30

31 Omniprésence du facteur humain Le facteur humain est à prendre en compte tout au long de la recherche de facteurs contributifs et influents : Une action peut être différente d une intention Stress des acteurs Erreur Etat psychologique des acteurs Processus de prise de décision Mauvaise communication / compréhension Synergie d équipe Systèmes complexes Interface homme-machine Vigilance collective Société AFM 42 Tous droits réservés 31

32 Les étapes d une analyse Étape I : Étape II : Étape III : Étape IV : Étape V : Collecter les données Reconstituer la chronologie de l événement Identifier les facteurs contributifs et les facteurs influents Proposer les actions à mettre en œuvre Rédiger le rapport d analyse Société AFM 42 Tous droits réservés 32

33 Étape IV : Proposer les actions à mettre en œuvre Objectif : Trouver des actions pour éviter le renouvellement des états défaillants, des actions inappropriées et des écarts aux attendus constatés Résultat attendu : Proposer des actions correctives et pour chaque action proposée, donner : sa description l'entité chargée de sa mise en œuvre si possible, l'estimation de son coût Société AFM 42 Tous droits réservés 33

34 Déterminer les actions envisageables Proposer des actions pour éliminer les facteurs contributifs profonds et non pas pour supprimer les symptômes repérés en cours d analyse. Faire des propositions d action aussi larges que possible (brainstorming du groupe d analyse) Pour chaque action, analyser son contexte d application pour s assurer qu elle n engendre pas de nouveaux risques. L analyse approfondie peut permettre de conforter ou de faire évoluer l action qui avait permis de sortir de l événement et de revenir à une situation normale stabilisée. Société AFM 42 Tous droits réservés 34

35 Préparer la décision concernant les actions à mettre en œuvre Six critères caractérisent l efficacité d une action : La pérennité : effets constants dans le temps. Le traitement des facteurs influents : action préventive L'acceptabilité en interne : cohérence avec les enjeux, les politiques et les grands projets de l établissement. L'acceptabilité par «l'externe» : considérer l acceptabilité d'une action par une entité externe. La portée : examiner la généralisation possible pour se prémunir contre l'occurrence d autres événements. La durée de mise en œuvre : une action pouvant être réalisée rapidement sera à engager au plus tôt, une action portant sur un facteur contributif profond fera l'objet d'une planification concertée sur une plus longue période. Chaque action peut être notée suivant chacun de ces six critères selon son efficacité prévisionnelle. Proposer l'entité chargée de mettre en œuvre l'action Société AFM 42 Tous droits réservés 35

36 Les étapes d une analyse Étape I : Étape II : Étape III : Étape IV : Étape V : Collecter les données Reconstituer la chronologie de l événement Identifier les facteurs contributifs et les facteurs influents Proposer les actions à mettre en œuvre Rédiger le rapport d analyse Société AFM 42 Tous droits réservés 36

37 Étape V : Rédiger le rapport d'analyse Objectif : Retracer le résultat des principales étapes de la méthode pour servir de base à la décision. Résultat attendu : Un rapport clair et lisible pour une personne externe au processus d analyse. Société AFM 42 Tous droits réservés 37

38 Étape V : Rédiger le rapport d'analyse Identification de l'événement Résumé de l analyse Chronologie des faits Analyse des facteurs contributifs Repérage des facteurs influents Actions proposées Société AFM 42 Tous droits réservés 38

39 Rédacteur de la fiche, Date de rédaction Date de l événement Libellé succinct Conséquences de l événement Société AFM 42 Tous droits réservés 39

40 Rédiger un résumé de l analyse qui a été menée. Se restreindre aux faits majeurs, de manière à faire comprendre la logique de l événement Faire apparaître les principaux facteurs contributifs et influents aboutissants à l événement L objectif est de fournir un résumé succinct (env. 15 lignes), pour permettre à une personne tierce de comprendre l événement ainsi que les actions correctives qui seront choisies suite à l analyse. Société AFM 42 Tous droits réservés 40

41 Chronologie des faits La chronologie présente les faits dans leur ordre d apparition et met en évidence les trois moments de l événement : Le contexte et les circonstances Le déroulement de l événement La gestion de l événement et le retour à une situation normale ou stabilisée Le pilote de l analyse fera ressortir les états défaillants, les actions inappropriées et les écarts aux attendus dans chacune de ces trois parties. Société AFM 42 Tous droits réservés 41

42 Analyse des facteurs contributifs Synthétiser l idée majeure de chaque facteur contributifs et développer son contenu en quelques lignes. Présenter tous les facteurs contributifs classées par grande famille : Technique Organisation, processus Facteur humain Environnement Société AFM 42 Tous droits réservés 42

43 Repérage des facteurs influents Synthétiser l idée majeure de chaque facteur influent et développer son contenu en quelques lignes. Présenter tous les facteurs contributifs classées par grande famille : Technique Organisation, processus Facteur humain Environnement Société AFM 42 Tous droits réservés 43

44 Actions proposées Conclure par : La liste des actions proposées Un tableau de synthèse présentant, les critères d efficacité de chaque action, et si possible l estimation de son coût. Les instances/personnes proposées pour la mise en œuvre des actions correctives qui seront retenues Société AFM 42 Tous droits réservés 44

45 Si besoin Afin d améliorer la lisibilité et la compréhension de l analyse, des outils peuvent être utilisés dans le rapport: Digramme d Ishikawa Facteur 1 Facteur 3 événement QQOQCP Facteur 2 Digramme papillon Société AFM 42 Tous droits réservés 45

46 Conclusion Les conditions de réussite d une analyse : La désignation par la hiérarchie du pilote de l analyse, il est le garant de la démarche et est compétent sur le sujet. Il est préférable qu il ne soit pas lié à l événement La confiance entre le pilote et les acteurs sollicités est capitale puisqu elle conditionne la qualité des données La mise en œuvre de l analyse dans des délais proches de la détection de l événement. L insertion de l analyse dans une démarche REX organisée et acceptée La mise en œuvre et le contrôle de la mise en œuvre des actions correctives par le CREX La communication Société AFM 42 Tous droits réservés 46

47 Étude de cas : CRESTOR Société AFM 42 Tous droits réservés 47

48 Étude de cas : CRESTOR Événement remonté : «L IDE a demandé du Crestor 80 au préparateur de la pharmacie!» Société AFM 42 Tous droits réservés 48

49 Étude de cas : CRESTOR Etapes I & II : chronologie des faits Ven 7 sept 07 14:00 MD1 reçoit VM et la doc CRESTOR 10 Ven 7 sept 07 14:30 Ven 7 sept 07 14:30 Ven 7 sept 07 15:00 PH reçoit le VM et accepte un lot de Crestor 10 avec une documentation Le Crestor 10 est présenté par le VM comme un remplaçant du Tahor 40 sans présenter les mêmes effets secondaires (l usage veut que dans la clinique lorsque l on souhaite doubler la dose de Tahor 40 on écrive Tahor 80) PH range le Crestor 10 dans la pharmacie en C et la doc. en doc. Perso Dim 9 sept 07 PH lit «Prescrire» qui parle du Crestor 10 Lun 10 sept 07 Mar 11 sept 07 11:00 Mar 11 sept 07 11:15 Mar 11 sept 07 12:00 Mar 11 sept 07 12:10 Mar 11 sept 07 12:10 Mar 11 sept 07 12:20 Mar 11 sept 07 12:20 MD1 vante Crestor 10 à MD2 MD2 prescrit Crestor 80 hors livret thérapeutique et sans documentation MD2 donne l ordonnance à l IDE IDE demande du Crestor 80 au préparateur Préparateur délivre 8 boites de Crestor 10 Devant la quantité délivrée, IDE s étonne PH entend et intervient PH appelle MD2 pour clarification Mar 11 sept 07 MD2 modifie Crestor 80 par Tahor 40x2 12:30 Société AFM 42 Tous droits réservés 49

50 Étude de cas : CRESTOR Etapes II : identifier les écarts MD1 reçoit VM et la doc CRESTOR 10 PH reçoit le VM et accepte un lot de Crestor 10 avec une documentation Le Crestor 10 est présenté par le VM comme un remplaçant du Tahor 40 sans présenter les mêmes effets secondaires (l usage veut que dans la clinique lorsque l on souhaite doubler la dose de Tahor 40 on écrive Tahor 80) PH range le Crestor 10 dans la pharmacie en C et la doc. en doc. Perso PH lit «Prescrire» qui parle du Crestor 10 MD1 vante Crestor 10 à MD2 MD2 prescrit Crestor 80 hors livret thérapeutique et sans documentation MD2 donne l ordonnance à l IDE NOK : VM ne respecte pas les textes de la clinique (PH en 1 er ) NOK : MD1 ne fait pas respecter les textes en écoutant VM et en acceptant la doc OK NOK : (cf manuel) les médicaments hors livret thérapeutiques ne doivent pas être rangés directement dans le stock Incohérence : la doc. est rangée en doc perso. OK NOK : la prescription d un médicament hors livret thérapeutique est possible mais avec procédure spéciale non suivie ici. Nom erroné. IDE demande du Crestor 80 au préparateur OK Préparateur délivre 8 boites de Crestor 10 NOK : pas de demande de l avis de la PH Devant la quantité délivrée, IDE s étonne PH entend et intervient PH appelle MD2 pour clarification OK MD2 modifie Crestor 80 par Tahor 40x2 Société AFM 42 Tous droits réservés 50

51 Étude de cas : CRESTOR Etapes III : identifier les facteurs contributifs et facteurs influents Domaines facteurs contributifs Facteurs influents MD1 reçoit VM et la doc CRESTOR 10 MD1 appelle PH pour qu elle reçoive VM PH reçoit le VM et accepte un lot de Crestor 10 avec une documentation Le Crestor 10 est présenté par le VM comme un remplaçant du Tahor 40 sans présenter les mêmes effets secondaires (l usage veut que dans la clinique lorsque l on souhaite doubler la dose de Tahor 40 on écrive Tahor 80) PH range le Crestor 10 dans la pharmacie en C et la doc. en doc. Perso PH lit «Prescrire» qui parle du Crestor 10 MD1 vante Crestor 10 à MD2 MD2 prescrit Crestor 80 hors livret thérapeutique et sans documentation MD2 donne l ordonnance à l IDE IDE demande du Crestor 80 au préparateur NOK : VM ne respecte pas les textes de la clinique (PH en 1 er ) NOK : MD1 ne fait pas respecter les textes en écoutant VM et en acceptant la doc OK NOK : (cf manuel) les médicaments hors livret thérapeutiques ne doivent pas être rangés directement dans le stock Incohérence : la doc. est rangée en doc perso. OK NOK : la prescription d un médicament hors livret thérapeutique est possible mais avec procédure spéciale non suivie ici. Nom erroné. OK Usage largement répandu 1 er fait non suffisant pour le 2 ème Absence de procédure Prescription hors livret thérapeutique, sans documentation «Verroterie» Séduction VM sur MD1 Gradient d autorité Veille de WE Effets indésirables du Tahor40 Consonance en «-or + chiffres» Préparateur délivre 8 boites de Crestor 10 Devant la quantité délivrée, IDE s étonne NOK : pas de demande de l avis de la PH Non respect quasi systématique du règlement (PH doit valider) Ph à 0,8 EPT Habitude / usage : Tahor 80 = 2 boites de Tahor PH entend et intervient OK PH appelle MD2 pour clarification MD2 modifie Crestor 80 par Tahor 40x2 Société AFM 42 Tous droits réservés 51

52 Étude de cas : CRESTOR Etapes IV : proposer les actions à mettre en œuvre # Description de l action proposée Responsable proposé 1 Ecrire et diffuser une note rappelant la consigne interdisant aux MD de recevoir les VM 2 Ecrire et diffuser une procédure «rangement des médicaments hors livret thérapeutique» 3 Ecrire et diffuser une procédure «accès aux médicaments hors livret thérapeutique» 4 Renforcer la participation aux réunions pluridisciplinaires 5 Vérifier et rediffuser la procédure «prescription hors livret thérapeutique» 6 Alerter le laboratoire pharmaceutique des consonances sources d erreurs 7 Vérifier et rediffuser la procédure «validation des prescriptions par le PH» Chef de département PH PH Chef de département MD Chef de département PH Société AFM 42 Tous droits réservés 52

53 Étude de cas : CRESTOR Etapes IV : proposer les actions à mettre en œuvre # Description de l action proposée Responsable proposé 1 Ecrire et diffuser une note rappelant la consigne interdisant aux MD de recevoir les VM 2 Ecrire et diffuser une procédure «rangement des médicaments hors livret thérapeutique» 3 Ecrire et diffuser une procédure «accès aux médicaments hors livret thérapeutique» 4 Renforcer la participation aux réunions pluridisciplinaires 5 Vérifier et rediffuser la procédure «prescription hors livret thérapeutique» 6 Alerter le laboratoire pharmaceutique des consonances sources d erreurs 7 Vérifier et rediffuser la procédure «validation des prescriptions par le PH» Chef de département PH PH Chef de département MD Chef de département PH Société AFM 42 Tous droits réservés 53

54 Analyse systémique ORION MERCI de votre attention Société AFM 42 Tous droits réservés 54

Fonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com

Fonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com Fonctionnalités HSE PILOT Groupe QFI www.hse-pilot.com Module produit chimique RECENSEMENT DES PRODUITS Les produits chimiques sont omniprésents dans les entreprises. La gestion qui leur est associée peut

Plus en détail

Organisation de la fin d année du Master 2 de stratégie de communication globale

Organisation de la fin d année du Master 2 de stratégie de communication globale Organisation de la fin d année du Master 2 de stratégie de communication globale Dossiers de suivi de stage - Rapport intermédiaire de Mission A rendre courant février (date précisée sur le site et sur

Plus en détail

Le modèle conceptuel des traitements

Le modèle conceptuel des traitements Le modèle conceptuel des traitements 1 Le Modèle Conceptuel des Traitements Il décrit le fonctionnement du SI d une organisation au niveau conceptuel : on fait abstraction des contraintes d organisation

Plus en détail

OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager. Assistant(e) secrétaire commercial(e)

OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager. Assistant(e) secrétaire commercial(e) OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager Assistant(e) secrétaire commercial(e) Référentiel d activités+analyse d activités Référentiel de compétences Référentiel

Plus en détail

La raison d être des systèmes d information

La raison d être des systèmes d information La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi

Plus en détail

Chaîne de production des médicaments

Chaîne de production des médicaments Chaîne de production des médicaments GPAO : Aspects légaux et pharmaceutiques 2 Principe de base Une préparation n est entreprise que si la pharmacie possède les moyens appropriés pour la réaliser et la

Plus en détail

A Nancy 14 novembre 2012 n 12/00388, Ch. soc., M. c/ Sté Lorraine Environnement

A Nancy 14 novembre 2012 n 12/00388, Ch. soc., M. c/ Sté Lorraine Environnement A Nancy 14 novembre 2012 n 12/00388, Ch. soc., M. c/ Sté Lorraine Environnement (Extraits) Sur le licenciement : Attendu que la lettre de licenciement, qui fixe les limites du litige, doit être suffisamment

Plus en détail

Fiche pour les étudiants «Comment répondre à une question à développement?»

Fiche pour les étudiants «Comment répondre à une question à développement?» VOLUME 11, NO 1 AUTOMNE 2012 Cégep de Rimouski Développement pédagogique Annexe 2 du Pédagotrucs no 40 Fiche pour les étudiants «Comment répondre à une question à développement?» Voici un guide qui t aidera

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

APPEL A CANDIDATURES

APPEL A CANDIDATURES APPEL A CANDIDATURES L objet Le présent appel à candidatures a pour objet le développement de formations à destination des salariés des professions libérales de santé, dans les domaines suivants : Accueil,

Plus en détail

Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes

Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes Rappel: définitions Accident: - événement soudain Permet de distinguer l accident de la maladie, et en particulier de la maladie professionnelle

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation

PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur

Plus en détail

Comment parler de sa pratique pour la faire partager?

Comment parler de sa pratique pour la faire partager? pour la faire partager? 1. Profiter de l expérience des autres 2. Comment raconter son expérience? 2.1. Théoriser sous forme de récit 2.2. Les ingrédients de la théorisation de pratique 3. Élargir le récit

Plus en détail

«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie. Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris

«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie. Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris «Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris OBJECTIFS 1- Niveau et insertion dans la programmation 2-

Plus en détail

Collaboration MRS (MRPA) - Pharmacie

Collaboration MRS (MRPA) - Pharmacie Collaboration MRS (MRPA) - Pharmacie 5 mars 2015 Laurent Lamard Sales Manager Care Pharmacien Tom Claes BU Manager Corilus Pharma Pharmacien Hugues Florquin Agenda Le cadre de la TUH Comment démarrer?

Plus en détail

L entraînement à la synergie d équipe «CrewResource Management» Cyrille Colin Pauline Occelli

L entraînement à la synergie d équipe «CrewResource Management» Cyrille Colin Pauline Occelli L entraînement à la synergie d équipe «CrewResource Management» Cyrille Colin Pauline Occelli Du CRM au CRM Aviation: 70 % des accidents proviennent d erreurs humaines Cockpit Crew Company Resource Management

Plus en détail

Lecture critique et pratique de la médecine

Lecture critique et pratique de la médecine 1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne

Plus en détail

Conseil d examen du prix des médicaments brevetés

Conseil d examen du prix des médicaments brevetés Conseil d examen du prix des médicaments brevetés 2010-2011 Rapport sur les plans et les priorités L honorable Leona Aglukkaq Ministre de la Santé Table des matières Message du Président...5 Section I

Plus en détail

1 - Qu est-ce qu une mission, comment déterminer son contenu et qui va les accomplir?

1 - Qu est-ce qu une mission, comment déterminer son contenu et qui va les accomplir? FICHE N 20 : LES MISSIONS DE TERRAIN À ASSURER Pour assurer la mise en œuvre des missions de sauvegarde, il est nécessaire de disposer d intervenants de terrain. En fonction des phénomènes, de la situation,

Plus en détail

Diapo 1. Objet de l atelier. Classe visée. Travail en co-disciplinarité (identité et origine académique des IEN)

Diapo 1. Objet de l atelier. Classe visée. Travail en co-disciplinarité (identité et origine académique des IEN) COMMENTAIRE Séminaire national Réforme de la série Gestion-administration Lyon 10 et 11 mai 2012 Vendredi matin Martine DECONINCK (IEN EG), Michèle SENDRE (IEN L), Isabelle VALLOT (IEN EG) Diapo 1. Objet

Plus en détail

DESCRIPTION DES STRESSEURS LIÉS AUX SOINS DE FIN DE VIE CHEZ LES INFIRMIÈRES OEUVRANT EN USI

DESCRIPTION DES STRESSEURS LIÉS AUX SOINS DE FIN DE VIE CHEZ LES INFIRMIÈRES OEUVRANT EN USI DESCRIPTION DES STRESSEURS LIÉS AUX SOINS DE FIN DE VIE CHEZ LES INFIRMIÈRES OEUVRANT EN USI Céline Gélinas, inf., Ph.D., Marie-Anik Robitaille, M.A., Lise Fillion, inf., Ph.D. & Manon Truchon, Ph.D. Dans

Plus en détail

Circuit du médicament informatisé

Circuit du médicament informatisé Circuit du médicament informatisé Points de vigilance axe technique SOMMAIRE... 1 FICHE N 1- DISPONIBILITE ET PERFORMANCE... 2 FICHE N 2- ENVIRONNEMENT DE TEST... 4 FICHE N 3- VERSIONNING... 5 FICHE N

Plus en détail

Le Document Unique : une obligation légale des entreprises

Le Document Unique : une obligation légale des entreprises Avis d expert Marc Koffi, Responsable de SIGMA-RH France Le Document Unique : une obligation légale des entreprises En France, le Document Unique (ou Document Unique de Sécurité - DU ou DUS), a été introduit

Plus en détail

MANUEL DE L UTILISATEUR

MANUEL DE L UTILISATEUR MANUEL DE L UTILISATEUR COMPAS DYNAMIQUE Page 1 / 81 Page 2 / 81 SOMMAIRE PREAMBULE... 7 CHAPITRE 1 :... 9 PRESENTATION DU COMPAS DYNAMIQUE... 9 1 INTRODUCTION... 11 1.1 QU EST-CE QUE LE COMPAS DYNAMIQUE?...

Plus en détail

Organisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011

Organisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense

Plus en détail

Fiche n 15. SST 4.5.3.1 : Enquête en cas d incidents 4.5.3.2 : Non-conformité, actions correctives et actions préventives

Fiche n 15. SST 4.5.3.1 : Enquête en cas d incidents 4.5.3.2 : Non-conformité, actions correctives et actions préventives INERIS DVM-11-121612-08005A - HPa Fiche n 15 NON-CONFORMITE, ACTION CORRECTIVE ET ACTION PREVENTIVE ACCIDENTS ET INCIDENTS 1. Ce qu'exigent les référentiels Environnement ISO 14001 4.5.3 : Non-conformité,

Plus en détail

Applications de l'approche systémique à la conduite du changement dans des entreprises. Conférence UBS par Dominique Bériot 14 mars 2011

Applications de l'approche systémique à la conduite du changement dans des entreprises. Conférence UBS par Dominique Bériot 14 mars 2011 Applications de l'approche systémique à la conduite du changement dans des entreprises Conférence UBS par Dominique Bériot 14 mars 2011 Sommaire Nos sources Notion de système Logique analytique / logique

Plus en détail

L impact d un incident de sécurité pour le citoyen et l entreprise

L impact d un incident de sécurité pour le citoyen et l entreprise L impact d un incident de sécurité pour le citoyen et l entreprise M e Jean Chartier Président Carrefour de l industrie de la sécurité 21 octobre 2013 - La Malbaie (Québec) Présentation générale La Commission

Plus en détail

Bureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration

Bureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation

Plus en détail

Compte Qualité. Maquette V1 commentée

Compte Qualité. Maquette V1 commentée Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration

Plus en détail

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,

Plus en détail

Analyser l environnement

Analyser l environnement Analyser l environnement > Analyser pour anticiper > Analyser pour résoudre > Analyser pour anticiper - La grille M.O.F.F. - Le diagramme Causes/Effet - Le benchmarking - Les cercles de qualité 3. MÉTHODES

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Activités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets

Activités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Activités 1. 1. Pilotage, management Direction Informer et aider les élus à la décision Définir (ou participer à la définition de) la stratégie de la direction

Plus en détail

Intelligence précoce

Intelligence précoce Les données de procédé constituent une mine d informations très utiles pour l entreprise Geoff Artley Le secteur du raffinage est aujourd hui soumis à forte pression financière : amputation des marges,

Plus en détail

AGASC / BUREAU INFORMATION JEUNESSE 06700 Saint Laurent du Var - E mail : bij@agasc.fr / Tel : 04.93.07.00.66 CONSIGNE N 1 :

AGASC / BUREAU INFORMATION JEUNESSE 06700 Saint Laurent du Var - E mail : bij@agasc.fr / Tel : 04.93.07.00.66 CONSIGNE N 1 : CONSIGNE N 1 : Rédiger puis envoyer un nouveau message La fenêtre de la boîte de messagerie s affiche Cliquer sur «Ecrire» ou «Nouveau message» pour ouvrir cette nouvelle fenêtre. Ensuite, suivre cette

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

Manuel de recherche en sciences sociales

Manuel de recherche en sciences sociales Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales

Plus en détail

Appendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs

Appendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs Appendice 2 (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs NOTE Dans les propositions de Texte identique, XXX désigne un qualificatif de norme

Plus en détail

Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE

Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE UE4 : Biostatistiques Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Introduction

Plus en détail

«Identifier et définir le besoin en recrutement»

«Identifier et définir le besoin en recrutement» «Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité

Plus en détail

Ce document est destiné à suivre le parcours de formation d un candidat au CQP «Conduite de ligne de conditionnement», en intégrant :

Ce document est destiné à suivre le parcours de formation d un candidat au CQP «Conduite de ligne de conditionnement», en intégrant : Commission Paritaire Nationale de l Emploi des Industries de Santé CQP «Conduite de ligne de conditionnement» Livret de suivi de la formation en contrat de professionnalisation Nom et prénom du candidat

Plus en détail

360 feedback «Benchmarks»

360 feedback «Benchmarks» 360 feedback «Benchmarks» La garantie d un coaching ciblé Pour préparer votre encadrement aux nouveaux rôles attendus des managers, Safran & Co vous propose un processus modulable, adapté aux réalités

Plus en détail

TUTORIEL Qualit Eval. Introduction :

TUTORIEL Qualit Eval. Introduction : TUTORIEL Qualit Eval Introduction : Qualit Eval est à la fois un logiciel et un référentiel d évaluation de la qualité des prestations en établissements pour Personnes Agées. Notre outil a été spécifiquement

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3054 Convention collective nationale IDCC : 925. DISTRIBUTION ET COMMERCE

Plus en détail

CREATION & GESTION DE VOTRE COMPTE UTILISATEUR

CREATION & GESTION DE VOTRE COMPTE UTILISATEUR NOTICE D UTILISATION DE LA PLATEFORME DES AIDES REGIONALES CREATION & GESTION DE VOTRE COMPTE UTILISATEUR SOMMAIRE 1- PREMIERE CONNEXION : ACCEDER A LA PAR... 2 2-CREER SON COMPTE UTILISATEUR SUR LA PAR...

Plus en détail

Logiciels de Gestion de Projet: Guide de sélection

Logiciels de Gestion de Projet: Guide de sélection Logiciels de Gestion de Projet: Guide de sélection Logiciels de Gestion de Projets: Guide de sélection PPM Software Selection Guide ETAPE 1: Faiblesses Organisationnelles identifier clairement vos besoins

Plus en détail

Brique BDL Gestion de Projet Logiciel

Brique BDL Gestion de Projet Logiciel Brique BDL Gestion de Projet Logiciel Processus de développement pratiqué à l'enst Sylvie.Vignes@enst.fr url:http://www.infres.enst.fr/~vignes/bdl Poly: Computer elective project F.Gasperoni Brique BDL

Plus en détail

Manipulation de données avec SAS Enterprise Guide et modélisation prédictive avec SAS Enterprise Miner

Manipulation de données avec SAS Enterprise Guide et modélisation prédictive avec SAS Enterprise Miner Le cas Orion Star Manipulation de données avec SAS Enterprise Guide et modélisation prédictive avec SAS Enterprise Miner Le cas Orion Star... 1 Manipulation de données avec SAS Enterprise Guide et modélisation

Plus en détail

CONVENTION RELATIVE À LA MISE EN ŒUVRE D UNE PÉRIODE DE MISE EN SITUATION EN MILIEU PROFESSIONNEL N

CONVENTION RELATIVE À LA MISE EN ŒUVRE D UNE PÉRIODE DE MISE EN SITUATION EN MILIEU PROFESSIONNEL N CONVENTION RELATIVE À LA MISE EN ŒUVRE D UNE PÉRIODE DE MISE EN SITUATION EN MILIEU PROFESSIONNEL N Articles L.5135-1 et D.5135-1 et suivants du code du travail L ORGANISME PRESCRIPTEUR 13912*02 Dénomination

Plus en détail

> innovation. Action «Normalisation» descriptif

> innovation. Action «Normalisation» descriptif Action «Normalisation» descriptif > Pour répondre aux questionnements des entreprises, la CCI Paris Ile-de-France et AFNOR Normalisation proposent aux entreprises de réaliser un pré-diagnostic normalisation

Plus en détail

Etude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure.

Etude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure. Etude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure. Participants : Dr Evelyne Barraud, Martine Chevillard, Marie-José Dureau Mer, Isabelle Gouget,

Plus en détail

Définir une politique de maintenance et sa stratégie de mise en œuvre de responsabilités

Définir une politique de maintenance et sa stratégie de mise en œuvre de responsabilités Chapitre 1 Définir une politique de maintenance et sa stratégie de mise en œuvre de responsabilités La politique de maintenance, entre prévention et correction 25 f Qu est-ce que le «préventif» et le «correctif»?

Plus en détail

Assurance de la qualité Initiation

Assurance de la qualité Initiation Assurance de la qualité Initiation Définition et principe La qualité, c est : L aptitude d un ensemble de caractéristiques intrinsèques à satisfaire des exigences ISO 9000 2000 3.1.1 Série des normes ayant

Plus en détail

Mise en place d un Système de Management Environnemental sur la base de la Norme ISO 14001. SARRAMAGNAN Viviane

Mise en place d un Système de Management Environnemental sur la base de la Norme ISO 14001. SARRAMAGNAN Viviane Mise en place d un Système de Management Environnemental sur la base de la Norme ISO 14001 SARRAMAGNAN Viviane Master II Économie et Gestion de l Environnement Année universitaire 2008/2009 Sommaire Présentation

Plus en détail

Note à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle

Note à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle Alger, le 08 février 2015 Note à Messieurs les : - Présidents des Conseils d Administration ; - Présidents Directeurs Généraux ; - Directeurs Généraux ; - Présidents des Directoires ; - Directeur Général

Plus en détail

Guide de bonnes pratiques de sécurisation du système d information des cliniques

Guide de bonnes pratiques de sécurisation du système d information des cliniques Guide de bonnes pratiques de sécurisation du système d information des cliniques Le CNA a diligenté un audit de sécurité du système de facturation des cliniques et de transmission à l Assurance Maladie,

Plus en détail

GUIDE D UTILISATION DES SERVICES PACKAGES

GUIDE D UTILISATION DES SERVICES PACKAGES GUIDE D UTILISATION DES SERVICES PACKAGES SOMMAIRE 1 Accès au Webmail Orange... 3 2 Contrôle Parental... 3 2.1 Installation du contrôle parental... 3 2.2 Utilisation du contrôle parental... 7 2.2.1 Lancement

Plus en détail

PLATEFORME MÉTIER DÉDIÉE À LA PERFORMANCE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION

PLATEFORME MÉTIER DÉDIÉE À LA PERFORMANCE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION PLATEFORME MÉTIER DÉDIÉE À LA PERFORMANCE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION KEOPS Automation Espace Performance 2B, rue du Professeur Jean Rouxel BP 30747 44481 CARQUEFOU Cedex Tel. +33 (0)2 28 232 555 -

Plus en détail

Introduction à la méthodologie de la recherche

Introduction à la méthodologie de la recherche MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape

Plus en détail

Systèmes de distribution robotique des médicaments d ordonnance

Systèmes de distribution robotique des médicaments d ordonnance Systèmes de distribution robotique des médicaments d ordonnance Vos patients comptent sur vous, à titre de pharmacien, pour les conseiller en matière de médicaments. Le manque de temps peut compromettre

Plus en détail

FORMATION ACCUEIL CLIENT PHYSIQUE ET TELEPHONIQUE

FORMATION ACCUEIL CLIENT PHYSIQUE ET TELEPHONIQUE FORMATION ACCUEIL CLIENT PHYSIQUE ET TELEPHONIQUE CNSS Du 14 au 16 janvier 2013 THEME 3 : L ACCUEIL TELEPHONIQUE Le téléphone est un outil de base de la vie professionnelle, par lequel transitent aussi

Plus en détail

Circulaire n 41/G/2007 du 2 août 2007 relative à l 'obligation de vigilance incombant aux établissements de crédit

Circulaire n 41/G/2007 du 2 août 2007 relative à l 'obligation de vigilance incombant aux établissements de crédit Circulaire n 41/G/2007 du 2 août 2007 relative à l 'obligation de vigilance incombant aux établissements de crédit Le Gouverneur de Bank Al-Maghrib ; vu la loi n 34-03 relative aux établissements de c

Plus en détail

Management Interculturel

Management Interculturel Management Interculturel La mondialisation et l ouverture des marchés ont permis l interconnexion des mondes. Ces phénomènes ont en même temps accéléré la mutation des modes de pensée et de consommation.

Plus en détail

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

Plus en détail

STACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis

STACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis 3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine

Plus en détail

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 1 LA REDACTION DU RAPPORT DE STAGE Le mémoire ne doit pas consister à reprendre tels quels des documents internes de l entreprise ou

Plus en détail

Les médicaments génériques

Les médicaments génériques ASSURANCE COLLECTIVE Les médicaments génériques Leurs effets bénéfiques sur votre portefeuille Qu est-ce qu un médicament générique? Un médicament générique est l équivalent d une marque maison dans le

Plus en détail

CHARGÉ(E) DE SÉCURITÉ (60 % - 80 %)

CHARGÉ(E) DE SÉCURITÉ (60 % - 80 %) La Municipalité de Montreux met au concours un poste de : Tâches principales : CHARGÉ(E) DE SÉCURITÉ (60 % - 80 %) Conseiller et aider la Municipalité, les services, les supérieurs hiérarchiques et les

Plus en détail

CAP C.R.M. Conducteur Routier Marchandises

CAP C.R.M. Conducteur Routier Marchandises CAP C.R.M. Conducteur Routier Marchandises Lycée Bel Air de TINTENIAC Le titulaire de ce CAP doit être capable d assurer, en prenant en compte la sécurité et la qualité, le service transport de marchandises

Plus en détail

Identification et analyse des ruptures de flux en pratique

Identification et analyse des ruptures de flux en pratique Identification et analyse des ruptures de flux en pratique Benjamin GAREL Directeur Qualité CHU GRENOBLE Catherine GUIMIER Pharmacien praticien hospitalier CHU GRENOBLE Contexte Ouverture NSC en 2007 Activité

Plus en détail

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1 Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...

Plus en détail

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Vous êtes visé Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Prévenir les vols ou les effets d un vol sur les employés Rôle de la direction de la succursale Désigner un

Plus en détail

Recours aux entreprises extérieures

Recours aux entreprises extérieures RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation

Plus en détail

Ordonner les étapes «Voitures en circulation»

Ordonner les étapes «Voitures en circulation» «Voitures en circulation» 17-21 Niveau 2 Entraînement 1 Objectifs - S entraîner à décomposer une action. - S entraîner à anticiper une action. - S entraîner à ordonner une suite de mouvements dans l ordre

Plus en détail

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux 3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central

Plus en détail

PNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03

PNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03 PNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03 Introduction : Questions/réponses : Qu est-ce que pour vous un bon recrutement? Cela dépend de quoi? Qu est-ce qui est sous votre contrôle?

Plus en détail

La Gestion Technique Centralisée. Qu est ce que c est? A quoi ça sert?

La Gestion Technique Centralisée. Qu est ce que c est? A quoi ça sert? La Gestion Technique Centralisée. Qu est ce que c est? A quoi ça sert? Cet article a pour objectif de rappeler les notions principales relatives à la Gestion Technique Centralisée. Mais qu entend on par

Plus en détail

Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes

Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux Au Centre hospitalier de Valenciennes 1 Le centre hospitalier de Valenciennes MCO Psychiatrie SSR Soins de longue durée Maison de retraite

Plus en détail

Démarche de prévention des TMS et outils pour l action

Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Ce document a pour objet de présenter de manière synthétique la démarche de prévention des TMS du membre supérieur avec des outils opérationnels permettant

Plus en détail

Ingénieur en prévention des risques

Ingénieur en prévention des risques Ingénieur en prévention des risques G1X22 Prévention hygiène et sécurité / Restauration - IR L ingénieur de recherche en prévention des risques assiste et conseille la direction de l établissement pour

Plus en détail

FOIRE AUX QUESTIONS : SONDAGE 2015 SUR L EFFICACITÉ MENÉ AUPRÈS DES INTERVENANTS

FOIRE AUX QUESTIONS : SONDAGE 2015 SUR L EFFICACITÉ MENÉ AUPRÈS DES INTERVENANTS FOIRE AUX QUESTIONS : SONDAGE 2015 SUR L EFFICACITÉ MENÉ AUPRÈS DES INTERVENANTS Cette FAQ est préparée à l intention des titulaires de permis et des exploitants de maisons de retraite. Objectif du sondage

Plus en détail

DEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN

DEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN DEVENIR INTERVENANT CERTIFIE WELLSCAN Vous êtes un professionnel consultant, coach, formateur et vous accompagnez les individus ou les entreprises dans leurs enjeux de performance sociale, managériale

Plus en détail

Le guide du bon usage des médicaments

Le guide du bon usage des médicaments Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour

Plus en détail

Ministère de l intérieur --------

Ministère de l intérieur -------- Ministère de l intérieur -------- Examen professionnel d ingénieur principal des systèmes d information et de communication du ministère de l intérieur Session 2013 Meilleure copie Sujet n 1 - Réseaux

Plus en détail

JEAN-LUC VIRUÉGA. Traçabilité. Outils, méthodes et pratiques. Éditions d Organisation, 2005 ISBN : 2-7081-3260-1

JEAN-LUC VIRUÉGA. Traçabilité. Outils, méthodes et pratiques. Éditions d Organisation, 2005 ISBN : 2-7081-3260-1 JEAN-LUC VIRUÉGA Traçabilité Outils, méthodes et pratiques, 2005 ISBN : 2-7081-3260-1 2 à l assurance qualité Après la définition de la traçabilité dans la métrologie, on peut remarquer que le domaine

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT CONSULTANT POUR LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE DE MISE EN PLACE DU LMS

TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT CONSULTANT POUR LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE DE MISE EN PLACE DU LMS TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT CONSULTANT POUR LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE DE MISE EN PLACE DU LMS (Learning Management System) DU CENTRE DE FORMATION POUR LE DEVELOPPEMENT CFD/MADAGASCAR

Plus en détail

Portefeuille. Bénévolat. de compétences. Modes d emploi pour. Tout bénévole Les jeunes Les actifs Les responsables d associations

Portefeuille. Bénévolat. de compétences. Modes d emploi pour. Tout bénévole Les jeunes Les actifs Les responsables d associations Bénévolat Portefeuille de compétences Modes d emploi pour Tout bénévole Les jeunes Les actifs Les responsables d associations Tout bénévole Votre mode d emploi Le Portefeuille de compétences vous aide

Plus en détail

Formations FH des opérateurs de systèmes de transport à risques

Formations FH des opérateurs de systèmes de transport à risques Formations FH des opérateurs de systèmes de transport à risques Jean-Yves Jollans jy.jollans@yahoo.fr IRBA/ACSO/Sécurité des systèmes complexes 1 Pourquoi s'intéresser au FH? Des événements incompréhensibles

Plus en détail

Comment répondre aux questions d un examen en droit qui sont basées sur des faits

Comment répondre aux questions d un examen en droit qui sont basées sur des faits Comment répondre aux questions d un examen en droit qui sont basées sur des faits Types de questions d examen Un examen en droit peut comporter plusieurs types de questions : à réponse courte, à développement,

Plus en détail

Refondation du Mali et refondation de l aide internationale

Refondation du Mali et refondation de l aide internationale Refondation du Mali et refondation de l aide internationale La crise malienne et la manière dont elle a pris les partenaires techniques et financiers de ce pays par surprise est un bon révélateur des faiblesses

Plus en détail

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition 09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation

Plus en détail

Introduction...2. I. Pour commander...3. II. Bienvenue sur PCA...4. III. L activation de votre compte...5. IV. Se connecter...10

Introduction...2. I. Pour commander...3. II. Bienvenue sur PCA...4. III. L activation de votre compte...5. IV. Se connecter...10 Introduction...2 I. Pour commander...3 II. Bienvenue sur PCA...4 III. L activation de votre compte...5 III.1 Le code d activation... 5 III.2 Comment est délivré le code d activation?... 6 III.3 La procédure

Plus en détail

Informations sur l utilisation du webmail du CNRS. Webmail du CNRS. Manuel Utilisateur

Informations sur l utilisation du webmail du CNRS. Webmail du CNRS. Manuel Utilisateur Informations sur l utilisation du webmail du CNRS Webmail du CNRS Manuel Utilisateur V1.0 Octobre 2012 Table des matières Généralités... 2 Navigateurs testés... 2 Internet Explorer... 2 Firefox... 3 Connexion...

Plus en détail

L outillage du Plan de Continuité d Activité, de sa conception à sa mise en œuvre en situation de crise

L outillage du Plan de Continuité d Activité, de sa conception à sa mise en œuvre en situation de crise Auteur : Robert BERGERON Consultant en Sécurité des Systèmes d Information et Management de la Continuité d Activité Quel outil pour le PCA? de sa conception à sa mise en œuvre en situation de crise Introduction

Plus en détail

GUIDE METHODOLOGIQUE

GUIDE METHODOLOGIQUE GUIDE METHODOLOGIQUE AIDE A LA MISE EN PLACE D UNE POLITIQUE «QUALITE ET RISQUES» EN ETABLISSEMENT DE SANTE Février 2006 Direction des Activités Médicales et de la Qualité Cellule Qualité, Risques et Vigilances

Plus en détail