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1 > N 3 > Septembre 2004 > Nméro thématiqe La polltion atmosphériqe "L'air est capital por la vie et joe n rôle majer dans la protection contre les rayonnements solaires néfastes (coche d'ozone) et dans la réglation climatiqe (effet de serre). Ces qalités sont affaiblies par les polltions atmosphériqes qi s'échappent des villes et des campagnes, voyagent, se transforment et tochent en final à la santé hmaine, à l'environnement et ax grands éqilibres de l'atmosphère. A-delà des réglementations nationales et des conventions internationales, l'amélioration de la qalité de l'air est devene l'affaire de tos : chacn pet, chacn doit, por sa part, agir a qotidien por rédire les mille et nes émanations nocives qi rénies deviennent considérables." sommaire Cycle de gestion de la qalité de l air Entre émissions et actions, le cycle de la qalité de l air Emissions P. 4/5 Premier maillon de la polltion atmosphériqe : les émissions dans l'air Qalité de l air MÉTÉOROLOGIE ET POLLUTION ATMOSPHÉRIQUE Qand la météorologie s en mêle P. 2/3 P. 6 Qalité de l air P. 7 MESURE, MODÉLISATION ET INFORMATION Bien mesrer... por miex informer et prévoir. Impacts de la polltion P.8/9 De l homme à la planète, les dommages casés par la polltion. Actions P. 10/11 De l action pbliqe à l action citoyenne

2 Cycle de gestion de la qalité de l air Entre émissions et actions, le cycle de la qalité de l air La gestion de la polltion atmosphériqe impliqe ne bonne connaissance de chacn des maillons de ce qi est appelé le cycle de la qalité de l air. Ces dernières années, la caractérisation de la qalité de l air et la compréhension des phénomènes ont progressé ciblant, entre atres, les "espaces" où les normes étaient dépassées. Connaissant l impact sr les cibles à protéger (santé, fane, flore ), des actions réglementaires o incitatives visant à rédire les émissions (sorces de nisances) pevent être engagées (intégrant le facter coût / efficacité) et ainsi enclencher le cycle vertex de la gestion de la qalité de l air. Moins de rejets dans l atmosphère, c est moins de concentrations dans l air, et donc moins d impacts sr l environnement. A-delà d respect des normes et de la reconqête de la qalité de l air, la gestion de la polltion atmosphériqe devient n choix de société. l La srveillance de la qalité de l air Atrefois, le rôle des réseax de srveillance des pollants de l air consistait principalement à les mesrer et à alerter. Les capters étaient installés près d indstries, de rotes à grande circlation, a cœr des grandes villes pis à la campagne. Depis, les missions de srveillance de la qalité de l air se sont élargies : prévision, covertre d territoire, lien avec l origine de la polltion et les risqes encors por la santé et l environnement. Nombre d otils et d expertises ont ainsi été développés en parallèle ax mesres fixes : laboratoires mobiles, recensement des émissions por chaqe commne, cartographie, simlation d impact, etc. Comme les atres AASQA françaises (Associations agréées de srveillance de la qalité de l air), l ASPA 1 est agréée par le ministère chargé de l Environnement et administrée par qatre collèges représentant les acters de la qalité de l air (article ci-dessos). Ces AASQA sont regropées a sein de la Fédération nationale ATMO actellement présidée par Hges GEIGER, Président de l ASPA. l Les acters locax La présence de qatre collèges a sein de l ASPA permet à tos les acters locax d œvrer ensemble por préserver et améliorer la qalité de l air en Alsace : L Etat : le Préfet, la DRIRE, la DIREN, la DRASS, la DRE, veillent à l application des réglementations de gestion de la qalité de l air et d information. Ils pilotent le Plan de Protection Atmosphériqe de Strasborg. L ADEME sotient techniqement et financièrement les actions de l ASPA; Les Collectivités : la Région Alsace pilote le Plan Régional por la Qalité de l Air, les agglomérations (Strasborg, Mlhose, Colmar) gèrent des Plans de Déplacement Urbain, les Conseils Générax s impliqent dans des actions pérennes o particlières de préservation de l environnement atmosphériqe (le Conseil Général d Bas-Rhin œvre par exemple à la maîtrise des émissions locales de gaz à effet de serre); Emissions < Actions < Effets < Qalité de l air Expositions Les émetters participent à la gestion de la qalité de l air en reversant ne partie de la TGAP (Taxe Générale sr les Activités Pollantes) à l ASPA et le cas échéant mettent en place des mesres de maîtrise des rejets en cas de pic de polltion ; Les associations de défense de l environnement et des consommaters participent à l ensemble des débats relatifs à la mise en place et a sivi des plans réglementaires. Les personnalités qalifiées (épidémiologistes, météorologes, etc.) participent à des étdes relatives à la polltion atmosphériqe et à ses effets sr la santé et l environnement. l Les Echelles de polltion La prise de conscience des échelles de polltion a considérablement varié entre le constat visible des panaches de proximité dans les cités antiqes et l'attention internationale portée ajord'hi ax impacts planétaires des polltions. La polltion de proximité concerne les zones somises à des phénomènes sovent perceptibles par la ve o l'odorat (panaches indstriels, résidentiels o échappements atomobiles). La généralisation de l'atomobile et la densification des installations de chaffage a élargi les zones somises à des niveax de polltion élevés jsq'à covrir les agglomérations entières (échelle rbaine). Ces polltions rbaines et indstrielles affectent les zones rrales attenantes et pevent parcorir des distances importantes, entraînant des phénomènes de polltion photochimiqe (en banliee des agglomérations et en milie rral) et acidifiante (retombées des composés émis et transformés à plsiers dizaines voire centaines de kilomètres de ler lie d'émission). On parle alors de polltion régionale. Dex atres phénomènes de polltion mobilisent la commnaté scientifiqe depis les années 70 et 80 : la destrction de la coche d'ozone et le réchaffement climatiqe. Phénomènes ax effets planétaires (échelle globale), ils présentent des enjex sanitaires et environnementax considérables por l'homme et les écosystèmes. GLOSSAIRE : Combstion fossile : Combstion de combstible carboné non renovelable (charbon, gaz, pétrole ) Dépôts acides : Ensemble des dépôts de sbstances acides secs (gazex, particlaires) o hmides (plies, broillards) qi contribent à l'acidification d milie natrel. Cette acidification est essentiellement de a dioxyde de sofre mais assi ax oxydes d azote et à l ammoniac. Emissions anthropiqes : Emissions des à l activité hmaine contrairement ax émissions natrelles. Epidémiologiqe (étde) : Etde qi fait n lien statistiqe entre ne maladie et n paramètre environnemental en analysant différents facters sr n échantillon statistiqe de poplation. Halo-carbres : Composés organiqes contenant n o plsiers atomes halogènes (chlore, flor, brome, iode, ). Modèles climatiqes : Programme informatiqe tilisant de nombreses données por déterminer les variations d climat à l échelle de la planète. Nécroses : Mort de cellles dans n organisme vivant. Niveax chroniqes : Nivea de polltion aqel le milie natrel est habitellement somis. Ce nivea, différent en fonction de l'environnement, ne rend pas compte des sitations de polltion aigë. Troposphère : Coche de l atmosphère la pls voisine d sol. Dans les zones tempérées, elle s étend de 0 à 12 km. Pls mince à l éqater (8 km), elle s épaissit a pôle (16 km). Stratosphère : Strate de l atmosphère épaisse d ne trentaine de kilomètres sitée jste a desss de la troposphère. C est à ce nivea qe l on retrove l ozone stratosphériqe qi nos protège des rayons nocifs d soleil. > P. 3 < 1 - Association por la srveillance et l étde de la polltion atmosphériqe en Alsace

3 Emissions dans l atmosphère Emissions dans l atmosphère > P. 4 < Premier maillon de la polltion atmosphériqe : les émissions dans l'air Premier maillon d cycle de la qalité de l air, les émissions de pollants à l atmosphère sont à la fois les tenants et les abotissants de la polltion atmosphériqe. Bien connaître les émissions, c est évaler ler impact sr les miliex et s assrer de l efficacité des mesres de rédction qi vont être mises en œvre. Ainsi identifier, étdier, comptabiliser les sorces est le premier pas por maîtriser la qalité de l'air. l De mltiples indicaters por illstrer les sorces de polltion variées Les émissions constitent des apports de pollants dans l atmosphère. Dex grandes catégories de sorces pevent être distingées : les sorces anthropiqes liées directement à l activité hmaine et les sorces natrelles où l homme n a pas o pe de responsabilité. La natre des composés émis et ler qantité varient fortement entre les secters émetters, permettant de définir des indicaters représentatifs par sorce de polltion. l Nos déplacements, sorce majere de polltion atmosphériqe Le transport rotier est le principal émetter d oxydes d azote. D atres pollants comme le monoxyde de carbone, les particles o le benzène sont également de bons tracers de la polltion atomobile. l Des disparités importantes entre installations de chaffage Les émissions liées a chaffage et à la prodction d ea chade sanitaire flctent avec le type d installation et de combstible mis en œvre. Certains combstibles, sorces de NOx, prodisent également des hydrocarbres aromatiqes polycycliqes cancérigènes. l Indstries : rejets de combstion mais également des procédés La combstion indstrielle génère d dioxyde de sofre et de l acide chlorhydriqe (sofre et chlore conten dans les charbons et fiols), les procédés étant sorces d émissions de nombrex composés comme les composés organiqes volatils (stockage hydrocarbres, imprimeries, traitement de srface, etc.), l acide florhydriqe (prodction de céramiqes, de tiles et de briqes), le protoxyde d azote (prodction d acide adipiqe) o certains métax lords (prodction de verres, etc.). l Le traitement des déchets, sorce de dioxines et frannes Les dioxines et frannes sont des pollants majoritairement émis par les UIOM 2. Ces sines spécialisées sont également émettrices de métax lords comme le mercre. Criex des pollants? Allez conslter notre site sr les origines de la polltion atmosphériqe. Rbriqe > L air l Une connaissance accre des rejets agricoles L ammoniac et le méthane sont les dex gaz majoritairement émis par les sorces agricoles. Les rejets d ammoniac sont liés à l tilisation d engrais azotés et a stockage des déjections alors qe les émissions de méthane concernent principalement l élevage. l Les pollants mlti-sorces Certains pollants ne sont pas spécifiqes d n secter d activité. En Alsace, c est le cas des COVNM 3 et d dioxyde de carbone. Les COVNM 3 sont émis assi bien par la sylvicltre qe par l indstrie et le transport rotier. Le dioxyde de carbone (gaz à effet de serre) est émis par totes les sorces consommatrices d énergies : indstrie, transports, résidentiel/tertiaire. 2 - Usine d Incinération d Ordres Ménagères 3 - Composés organiqes volatils non méthaniqes Emissions annelles en oxydes d azote (NOx) sr l Alsace - Année 2000 L ASPA comptable des émissions L ASPA réalise annellement n inventaire des émissions sr l Alsace. Cet inventaire concerne l ensemble des sorces de polltion, ne qarantaine de pollants, et répond à 6 objectifs principax : Caractériser la polltion atmosphériqe en tot point d territoire ; le résea de stations de mesres ne covrant pas l ensemble d territoire, l inventaire permet de donner ne estimation de la qalité de l air sr les zones non covertes. Sectoriser les rejets en identifiant les principax secters émetters ; l inventaire cible la responsabilité des secters émetters et des combstibles tilisés por tel o tel pollant. Fornir des données d'entrée por modéliser la qalité de l air en Alsace ; l inventaire des émissions est ne donnée primaire qi alimente les modèles de prévision por la qalité de l air, Fornir des variables explicatives d émissions por la mise en œvre d'otils d élaboration de cartes de polltion ; les émissions sont tilisées por répartir de manière cohérente les concentrations estimées dans l air, Aider à l'optimisation d résea de mesres ; l inventaire permet d apprécier l opportnité de garder n capter de mesres fixes ax endroits où les émissions sont devenes faibles (cas d dioxyde de sofre). Lors de l évalation préliminaire de la qalité de l air (cas des métax lords), il participe à l identification des premiers sites de mesres. Evaler l'impact des politiqes d'aménagement d territoire (infrastrctre rotière par exemple) ; l inventaire permet de visaliser de manière objective l efficacité d ne politiqe de développement rbain o de la constrction d n contornement rotier par exemple. L inventaire des émissions, n préalable indispensable à l établissement d n plan de protection atmosphériqe Interview de Jean Le Priol, Division Protection de l Environnement à la DRIRE Alsace. La préparation d Plan de Protection Atmosphériqe de Strasborg s appie sr l inventaire des émissions élaboré par l ASPA por chacne des commnes de la zone. La connaissance des rejets par sorce est en effet ne étape essentielle à la définition de mesres de rédction. Elle permet également d évaler l impact de ces mesres (permanentes et ponctelles) sr la qalité de l air à l horizon 2010 et de déterminer le cas échéant de novelles pistes d amélioration de la qalité de l air. REPORT AIR : Jean Le Priol, qels objectifs dans n PPA? JLP - «Le PPA a por objectif de maintenir o de ramener les niveax de polltion de l'agglomération de Strasborg sos les valers limites définies par la réglementation (sept pollants sont concernés : SO 2, NO 2, particles, Pb, CO, benzène et ozone) ; en d'atres termes, en définissant, si nécessaire, des objectifs de rédction ciblés et des mesres préventives o correctives permanentes o temporaires, le plan doit permettre de conserver o reconqérir ne qalité de l'air acceptable por tos.» REPORT AIR : Comment définir les moyens mis en oevre por améliorer la qalité de l'air? JLP - «Mettre en oevre n PPA nécessite de connaître les principales sorces de polltion sr la zone concernée. La connaissance des émissions (cadastre des émissions, déclarations annelles des exploitants examinées par la DRIRE,...) est n préalable indispensable à tote politiqe ambitiese et efficace de rédction des rejets pollants.» REPORT AIR : Des exemples? JLP - «Le benzène a ne origine rotière por près de 90% des émissions sr l'agglomération ; en revanche, le dioxyde de sofre est à près de 85% émis par le secter indstriel, dont près de 70% iss d'n sel émetter principal. Les sorces d'émission de composés organiqes volatils sont qant à elles pls dispersées, provenant srtot des secters indstriels et transports à parts égales et dans ne moindre proportion d résidentiel-tertiaire. Une large part des émissions est constitée de petites sorces mltiples diffses, difficiles à identifier et à traiter.» Simlation des concentrations de dioxyde d azote sr Strasborg et sa périphérie à l horizon > P. 5 <

4 Qalité de l air Qalité de l air MÉTÉOROLOGIE ET POLLUTION ATMOSPHÉRIQUE Qand la météorologie s en mêle Si la polltion atmosphériqe a été longtemps considérée comme n problème local, l avenir des pollants primaires d origine natrelle o anthropiqe pet prendre ne dimension régionale voire planétaire selon q ils soient somis à des processs physiqes (diltion, accmlation o transport), chimiqes (interaction entre molécles) o photochimiqes (formation de pollants secondaires sos l action d rayonnement solaire). l Les processs physiqes de l atmosphère Les facters météorologiqes inflencent directement la diffsion des pollants dans l atmosphère. Ce rôle pet-être positif o négatif sr la polltion selon l état de trblence de l air et la configration géométriqe des espaces considérés. Qelqes facters : le vent détermine les zones affectées (par sa direction) et le degré de diltion (sa vitesse) la températre détermine le degré de stabilité de l atmosphère et joe n rôle dans la dispersion verticale la pression atmosphériqe lorsq elle est élevée caractérise ne grande stabilité atmosphériqe l ensoleillement favorise les phénomènes locax de convection thermiqe et les réactions photochimiqes de formation d ozone en période estivale la plviométrie a n rôle de lessivage de l atmosphère par entraînement des pollants a sol. DÔME DE POLLUTION Ces facters interviennent essentiellement dans la coche de mélange (limitée à ne hater de 1 à 2 km). Le milie rbain modifie cette basse coche donnant lie à des phénomènes d îlot de chaler rbain favorable à l accmlation des pollants sos n dôme (b). INVERSION DE LA TEMPÉRATURE (voir image ci-desss) Dans l atmosphère, la températre décroît avec l altitde. Occasionnellement, ne inversion des températres condit à la formation d ne coche de l atmosphère extrêmement stable (brassage vertical pratiqement nl), défavorable à tote dispersion. Dans le fossé rhénan (a), l occrrence d n tel phénomène est favorisée par l effet de cvette assi bien en période estivale q en période hivernale. En hiver, ce phénoméne se tradit par d broillard en plaine et d > P. 6 < soleil en montagne. l Les processs chimiqes et photochimiqes : Les pollants primaires évolant dans l atmosphère en fonction des paramètres météorologiqes pevent se transformer en d atres espèces chimiqes. L exemple le pls conn est l ozone (O 3 ), pollant secondaire présent en période estivale. L ozone est n composé natrel de l atmosphère qi se forme par recombinaison d ne molécle d oxygène (O 2 ) et d n atome d oxygène (O). Sa formation et son accmlation sont la résltante de l action d rayonnement solaire sr des pollants "précrsers" (oxydes d azote et composés organiqes volatils). Sa tener est le bilan de l éqilibre entre les réactions de prodction et les réactions de destrction (réaction avec le monoxyde d azote principalement). Le déplacement de cet éqilibre (notamment en présence de fortes teners en COV qi consomment le monoxyde d azote) se tradit par ne agmentation rapide de sa concentration. TRANSPORT DES POLLUANTS Le transport des pollants, ne fois émis dans l atmosphère, dépend de l état de trblence de l air qi pet avoir : - ne origine thermiqe en lien avec les movements de convection governés par la différence de températre entre le sol et l atmosphère, et déterminant la variation dirne de la hater de la coche de mélange, - et/o mécaniqe avec le passage d vent sr les reliefs entraînant des phénomènes d accmlation de la polltion sos le vent d n obstacle. Oxydation des COV et formation d ozone MESURE, MODÉLISATION ET INFORMATION Bien mesrer... por miex informer et prévoir. Por assrer sa mission de srveillance de la qalité de l air, l'aspa dispose d'n résea de stations de mesres en contin et met en œvre si nécessaire des moyens de mesres fixes temporaires. En complément des mesres, la modélisation aide entre atres à fiabiliser les prévisions et ainsi limiter l impact des phénomènes de polltion par des actions d'anticipation. Zones de sivi de la qalité de l air par le résea de stations de mesres en Alsace Modélisation La modélisation consiste à simler des sitations de polltion atmosphériqe passées, présentes o ftres à partir de nombrex paramètres comme la météorologie, les émissions pollantes L ASPA possède plsiers modèles complémentaires ayant chacn ler spécificité et ler champ d application. Ces modèles permettent assi bien de transcrire la polltion d origine rotière à l échelle d ne re qe de prévoir à cort terme les niveax de pollants d lendemain sr l ensemble de la région. Ils sont également des otils d aide à la décision dans des projets d aménagement d territoire comme la création de novelles infrastrctres (GCOS 4, projet tram ) et permettent d évaler à pls long terme l impact des réglementations à venir sr la qalité de l air. 4 - Grand contornement Oest de Strasborg l Qand la mesre ne sffit pls la modélisation prend le relais Mesres fixes et temporaires l Un dispositif de srveillance 24h/24 avec des appareils spécifiqes. LE RÉSEAU DE MESURE FIXE L'information de la poplation est faite à partir des données d'ne trentaine de sites de mesres permanents répartis sr tote la région, éqipés d analysers atomatiqes physico-chimiqes. La mesre des paramètres météorologiqes, indispensable à la compréhension des phénomènes de polltion, complète ce dispositif. L'ASPA mesre assi la radioactivité atmosphériqe. L ensemble de ces données de qalité de l air sont centralisées atomatiqement à Strasborg et diffsées en direct sr Internet. LES MESURES TEMPORAIRES Sr demande des collectivités locales et des services de l'etat o por des programmes de recherche, il est sovent nécessaire d'affiner les connaissances sr la qalité de l'air por ne zone géographiqe déterminée. Des mesres temporaires o "campagnes de mesres" viennent alors compléter les données d résea fixe. Por cela l'aspa dispose de différents moyens de mesre : les laboratoires mobiles, dont l'éqipement est éqivalent à celi d'ne station d résea fixe, fornissent des données en temps réel, les prélèvements actifs o passifs, por lesqels ne analyse différée en laboratoire est nécessaire, permettent d'appréhender la variation spatiale de la polltion atmosphériqe. Information " L information de la poplation est n droit qi répond à n enje sanitaire de la qalité de l air et est essentielle por la mobilisation de la poplation comme acter de la gestion de la qalité de l air " Plan Régional de la Qalité de l Air C est porqoi l ASPA informe des dépassements de seils lors des épisodes aigs de polltion - par le biais de commniqés d alerte acheminés par télécopie, mail o SMS ; ces commniqés sont accompagnés de recommandations sanitaires et comportementales. Qotidiennement n blletin de la qalité de l air commenté est diffsé à destination des médias locax (presse, radio ). Ce blletin concerne 8 sites en Alsace avec des indices de qalité de l air (IQA) et les tendances por le lendemain. L ensemble de ces informations est repris sr le site Internet : 3 échelles de modélisation de la qalité de l air en Alsace > P. 7 <

5 Impacts de la polltion Impacts de la polltion > P. 8 < De l homme à la planète, les dommages Les effets de la polltion atmosphériqe font l objet de nombreses étdes en lien avec n pblic de pls en pls concerné par les problèmes environnementax. La natre et l importance de ces effets sont variées et dépendent des cibles (atmosphère, fane, végétation, matériax ) l Les effets sr la santé Concernant l impact sanitaire, les qestions posées sont mltiples : qels pollants, à qelle dose, sr qi et por qelle drée d exposition? Qels pollants? Le type de manifestation et les concentrations axqelles n effet sanitaire est perceptible dépend de la natre d pollant. Le dioxyde de sofre est n gaz irritant provoqant des gênes respiratoires tandis qe certains composés organiqes volatils pevent avoir des effets cancérigènes. A qelle dose? La dose de pollant reçe par l organisme dépend de la concentration d pollant, de la drée d exposition et de l activité physiqe ; la pratiqe intense d sport entraîne ne ventilation pls importante 5 et par conséqent l inhalation d ne pls grande qantité de pollants. Sr qi? Certaines personnes sont pls sensibles qe d atres et ressentent des effets même à faible dose comme les jenes enfants, les personnes âgées, les personnes atteintes de pathologies des voies respiratoires (rhinites, bronchites chroniqes, asthme, insffisance respiratoire) o cardio-vasclaires. Qelle drée d exposition? A de fortes concentrations, certains effets aigs sont visibles. Les pls corants, prodits par le dioxyde de sofre, les oxydes d azote, les particles, l ozone et les composés organiqes volatils, se manifestent par des irritations d nez, des yex o de la gorge provoqant ne gêne respiratoire, des bronchites o, des déclenchements de crises d asthme. Ces impacts sanitaires sont même linformation en cas de pic de polltion Où vos informer por les risqes sanitaires en cas d épisode de polltion atmosphériqe? AIR SANTE , n médecin vos répondra 24h/24h. Por les informations concernant la qalité de l air QUELQUES CONSIGNES SANITAIRES : En cas de dépassement d seil d information, les personnes sensibles devront éviter tot effort physiqe et sportif intense. En cas de dépassement d seil d alerte, tos devront sivre cette consigne. 5 - Un individ respire environ litres d air chaqe jor 6 - POP o Pollants organiqes persistants regropent de nombreses familles de molécles en particlier les dioxines et frannes, les Hydrocarbres Aromatiqes Polycycliqes (HAP), les polychlorobiphényls (PCB), certains pesticides, perceptibles avec des teners en pollants inférieres ax normes de qalité de l air. Por des drées d exposition pls longes, à des doses pls faibles mais répétées, si l intensité des effets chroniqes est encore disctée, de nombreses étdes épidémiologiqes concordent sr l existence d n facter de risqe dû à la polltion rbaine respirée a qotidien, qi se manifesterait par ne agmentation d risqe de mortalité cardio-vasclaire, ne dimintion de la fonction respiratoire, ne perte d espérance d années de vie, ne agmentation d risqe de cancer. l Chaîne alimentaire et les POP 6 Les Pollants Organiqes Persistants sont des molécles toxiqes, pe biodégradables. De par ler propriété liposolble, ils ont la possibilité de s accmler dans les tisss vivants. Ainsi, lorsq ils sont rejetés à l atmosphère, ils se déposent sr les prés et cltres et pevent se retrover dans les eax par lessivage. Ingérés par les différents maillons de la chaîne alimentaire, ils se concentrent et s accmlent. De par ler persistance, les POP sont sopçonnés d effets à long terme (dégradation d système immnitaire, effets sr la reprodction, propriétés cancérigènes ). l Les effets sr les matériax Les effets de la polltion sr les matériax de constrction (pierres, béton et métax) sont variés. La polltion acide directe (HCl, SO 2, NOx) o indirecte, (formation de gypse avec les particles et l acide slfriqe) a ne action corrosive renforcée par les facters climatiqes (plies). L ozone, pollant secondaire, attaqe les matériax polymères comme les peintres State de Charlemagne de la collégiale de Colmar à n siècle d intervalle casés par la polltion. Les effets de la polltion sr les végétax Des "plies acides" et d dépérissement forestier des années 80 à l'impact de l'ozone sr le rendement des cltres, les connaissances ont beacop évolé. Etat des liex avec Jean-Pierre GARREC - Directer d laboratoire Polltion Atmosphériqe, INRA-Nancy. REPORT AIR : Q'en est-il d dépérissement forestier? JPG - «Ce qe l on a appelé à la fin des années 80 le "dépérissement forestier", était n phénomène complexe qi comprenait des effets ds tant à des pollants atmosphériqes : dépôts acides et ozone, q'ax sécheresses antérieres (1976, 1983). Ces sécheresses étaient le facter principal, d'où l aspect défeillé des arbres dépérissants, et le relatif rétablissement de la forêt à partir des années 90. Actellement, a nivea des forêts françaises, c est srtot l impact de l ozone qi est le pls préoccpant. Des symptômes visibles de l ozone sont maintenant bien détectables sr les feilles des végétax les pls sensibles (en particlier a nivea des arbres : frêne, hêtre, cornoiller, etc.). Ceci est d atant pls préoccpant q avec les agmentations préves des niveax d ozone et de la températre, ces miliex vont vraisemblablement sbir dans n proche avenir des pertrbations écologiqes significatives.» Polltion planétaire l Le réchaffement climatiqe Le climat de la terre a tojors varié en lien avec des phénomènes natrels (soleil, érption volcaniqe, axe de rotation de la terre ) ; mais depis 150 ans, ces modifications se sont accélérées avec ne agmentation des températres moyennes (+0,65 C depis 1860) et ne élévation d nivea des océans. La case de ce réchaffement est liée à l agmentation de gaz dans l atmosphère provoqant n dérèglement de l Effet de Serre 7. Ces gaz, responsables de cet effet de serre additionnel, sont isss des activités hmaines (combstion fossile, élevage ). Por demain, si les modèles climatiqes prévoient ne agmentation globale des températres de 1 à 6 C d ici 2100, l ampler des conséqences (économiqes, sanitaires et agricoles ) est encore mal évalée. REPORT AIR : Pet-on évaler l'impact des pollants et en particlier de l'ozone sr les rendements des cltres? JPG - «En Erope de l Oest, l ozone est maintenant considéré comme le pls important pollant de l air, responsable de pls de 90 % des pertes de rendement liées à la polltion atmosphériqe. Ces pertes sont de l ordre de 5 à 10 % por l'agricltre comme por les forêts. D même ordre de grander qe les variations d rendement liées ax flctations des conditions météorologiqes annelles, elles sont difficiles à mettre en évidence car masqées par l effet "fertilisant" de l agmentation d CO 2 dans l atmosphère. Les pics de polltion par l ozone sont beacop pls nocifs qe les niveax chroniqes car les plantes n ont pas le temps d activer lers systèmes de défense (antioxydants). Il existe parmi les végétax tote ne gamme de sensibilité à l ozone, et des recherches sont déjà en cors por sélectionner des individs résistants (i.e. tabac ax USA).» Pendant longtemps, la polltion atmosphériqe a été circonscrite à ne échelle locale (rbaine, indstrielle) voire régionale ; l atmosphère planétaire n est totefois pas épargnée par les émissions anthropiqes : la dimintion de la coche d ozone et le réchaffement climatiqe pevent être attribés ax activités hmaines. l Le tro d ozone L ozone est n composé rare dans l atmosphère et 90% est concentré dans "la coche d ozone" entre 10 et 50 km dans la stratosphère. Le reste se trove a nivea d sol. Si l ozone de la basse atmosphère pet avoir n effet nocif sr la santé, l ozone stratosphériqe est bénéfiqe en absorbant le rayonnement ltraviolet d soleil. A printemps, a-desss des pôles, la coche d ozone s appavrie jsq à 60% : c est le tro d ozone. La prodction par l homme d halo-carbres libérant des atomes de chlore et de brome est responsable de sa destrction. 7 - Phénomène natrel permettant de retenir ne partie d rayonnement solaire et qi assre ne températre planétaire moyenne de 15 C contre 18 C s il n existait pas > P. 9 <

6 Actions Actions > P. 10 < De l action pbliqe à l action citoyenne Devant l émergence des grandes problématiqes internationales environnementales (acidification, réchaffement climatiqe, ), l Homme a mis en place tot n arsenal de mesres. La législation en viger est n moter qi agit à tos les échelons de la polltion. Totefois, la qête de l amélioration de la qalité de l air ne passe pas qe par la réglementation et n est pas d ressort des sels indstriels... Action pbliqe Totes les échelles de décision ont investi la problématiqe de la polltion de l air. L action pbliqe se tradit par des réglementations et des otils de planification mais assi par des politiqes volontaristes d aménagements et d infrastrctres. l La mobilisation internationale sr des enjex planétaires Une prise de conscience mondiale sr la fragilité de notre atmosphère, liée a tro d ozone et a réchaffement de la planète, a aboti à la signatre de conventions internationales et de lers protocoles associés. La convention de Vienne (1985) concernant les sbstances appavrissant la coche d ozone et le protocole de Montréal (1987) ont été les premiers engagements internationax por des enjex planétaires. D atres phénomènes de polltion atmosphériqe sont également concernés par des accords de ce type, tels l acidification et la photochimie. Le pls somis à débats reste le protocole de Kyoto (1997) visant à réglementer les émissions de gaz à effet de serre. l L Erope et la France face à lers objectifs L Union eropéenne a depis longtemps pris la mesre de l ampler de la tâche. Notamment, différentes directives eropéennes visent à faire diminer les rejets de pollants des Etats Membres. L Union est également l instigatrice de nombrex programmes environnementax, tels " Clean Air For Erope " (CAFE) qi élaborent des stratégies d amélioration de la qalité de l air (polltions photochimiqe et particlaire principalement). La France, comme les atres états membres, se doit de transposer ces directives en droit national. C est dans ce contexte q est née la Loi sr l Air de Por respecter ses engagements internationax de rédction des émissions, elle se doit également de mettre en oevre différents plans d actions. Ainsi, le Plan Air National et le Plan Climat 2004 (impliqant les AASQA 8 ) visant à rédire les émissions de GES 9 sont atant d otils qi dynamisent les politiqes de rédction des émissions. l Des enjex planétaires ax actions locales En écho ax réglementations internationales et nationales, de nombrex otils, notamment réglementaires, sont instarés à l échelle locale. Ainsi, le PRQA 10 est le premier plan régional fixant des orientations por améliorer la qalité de l air. Pls contraignant, le PPA 11 est n otil d action développé dans les zones présentant des dépassements de normes de qalité de l air. Celi de Strasborg est en cors d élaboration et y associe l ASPA, sos la coordination de la DRIRE Alsace. Dans la même lignée, totes les agglomérations de pls de habitants doivent réaliser n PDU 12 qi définit entre atres des orientations por développer les transports alternatifs à la voitre. Dès lors qe les transports restent actellement le principal levier d action por rédire la polltion rbaine, les agglomérations alsaciennes ont entrepris de développer des moyens por désengorger les centres rbains, en développant des infrastrctres cohérentes. L agglomération de Mlhose a ainsi emboîté le pas à la CUS 13 en mettant en chantier ne ligne de tram. Les villes mènent assi actellement des politiqes volontaristes dans la promotion d vélo en ville. A noter qe lors des pics de polltion aigë, des mesres d rgence proposent des actions immédiates et temporaires por rédire la vitesse des véhicles et privilégier l tilisation des transports en commn. 8 - Associations Agréées de Srveillance de la qalité de l Air / 9 - Gaz à Effet de Serre / 10 - Plan Régional de la Qalité de l Air / 11 - Plan de Protection de l Atmosphère / 12 - Plan de Déplacement Urbain / 13 - Commnaté Urbaine de Strasborg Eqipement d'épration par oxydation régénérative de l'alsacienne d'alminim à Sélestat por traiter les rejets de COV avec n besoin d'énergie primaire minimale. Action citoyenne De façon générale, les mesres incitatives et les opérations de sensibilisation des déciders gagnent à accompagner les mesres réglementaires. D atant pls qe les actions à mettre en place, notamment en milie rbain, nécessitent ne modification des comportements qi ne pet se faire sans adhésion de la poplation. Exemple d installation de chaffe ea solaire dans n immeble collectif l La mobilisation citoyenne : Un enje majer de reconqête de la qalité de l air. En France, les ménages sont à l origine de la moitié des consommations d énergie et des émissions de gaz carboniqe, por se déplacer, chaffer ler logement et prodire ler ea chade sanitaire. Si des progrès importants ont été réalisés par les fabricants de chadière, de véhicles ( ) l attention se porte ajord hi, et de pls en pls, sr le citoyen, dont on attend n changement pérenne de son comportement et de ses gestes de consommation. Changer sa manière de se déplacer, éviter les gaspillages, miex réfléchir l éqipement de sa maison : atant d aspects de la vie qotidienne dans lesqels il incombe à tot n chacn de s investir por rédire la polltion de l air POUR EN SAVOIR PLUS : Un moyen de transport rbain "propre" : la voitre électriqe l Sensibilisation et incitation des citoyens La sensibilisation d pblic à l éco-citoyenneté se prépare dès le jene âge et passe par des spports instittionnels mltiples. C est dans ce cadre qe l ASPA inscrit son action d information en acceillant réglièrement dans ses locax des gropes scolaires, en se déplaçant, por des opérations pbliqes, avec ses camions laboratoires, en faisant connaître ses spports d information et en s associant à l APPA 14 qi oevre également dans ce sens. A-delà de l incitation pbliqe a changement des comportements individels, les aides financières directes et indirectes ciblent ajord hi le consommater comme acter de la rédction de la polltion de l air. Ainsi, propriétaires o locataires de logements nefs o anciens sont encoragés financièrement à mener à bien des travax o acheter des éqipements et matériax, dès lors qe ces projets permettent ne meillere maîtrise de l énergie. Ainsi, dans le cadre de la prime CESI (chaffe-ea solaire individel), le cml des aides pbliqes directes généralement disponibles (ADEME, collectivités territoriales) pet atteindre, voire dépasser, 1400 eros par opération, soit 30 à 40 % d coût total d CESI. l L administration citoyenne L exemplarité des collectivités pbliqes Les administrations inscrivent de pls en pls ler gestion dans le cadre de démarches globales de développement drable. A-delà des mesres concrètes destinées à faciliter l tilisation d vélo en ville (développement des pistes cyclables ) la démonstration se fait assi par l exemple, tel celi donné par les brigades cyclistes de certaines polices mnicipales o la gestion des parcs véhicles des administrations par promotion des énergies propres (GPL/électriqes...). En 2003, pls de 20 acters pblics et associatifs alsaciens ont signé ne Charte d Engagement por la qalité de l Air. En adhérant à cette charte, ils s engagent à effecter 9 actions concrétes en faver de la qalité de l air. C est à n constat d imprégnation de tos les champs - pblics, individels, économiqes et politiqes - q il convient donc ajord hi de rattacher la problématiqe de rédction de la polltion de l air Association por la prévention de la polltion atmosphériqe > P. 11 <

7 Prodits phytosanitaires Pesticides o pls largement prodits phytosanitaires, ler impact sr l environnement et notamment sr la santé est mis en évidence dans de nombreses étdes. Le résea de toxico-vigilance de la MSA (Mtalité Sociale Agricole) a montré qe les voies respiratoires étaient l n des modes de pénétration dans l organisme les pls importants. Le point sr ne polltion difficile à cerner et à mesrer. LE BILAN DE LA POLLUTION ATMOSPHERIQUE EN ALSACE [ site En marge d blletin mensel disponible sr Internet, REPORT AIR se propose de faire dex grands bilans semestriels por rendre compte des polltions saisonnières différentes par les pollants considérés et par les conditions météorologiqes : n en hiver, l atre en été. sommaire de l article page 2 > N 2 > Mai 2004 > Prodits phytosanitaires Qelqes éclairages sr ne polltion méconne Les mesres de la qalité de l air D hier à ajord hi Le bilan semestriel de la qalité de l air Un hiver dox por la polltion Demandez les divers spports d information édités par l ASPA Contact : aspa@atmo-alsace.net L indice de la qalité de l air Une note de 1 à 10 por chaqe jor de l année Le laboratoire interrégional de chimie Un pôle de compétence interrégional En bref Temps forts Partenariats P. 2/3 P. 4 P. 5 P. 6 P. 7 P.7 P.8 P.8 [ Internet DIRECTEUR DE LA PUBLICATION : Alain Target RÉDACTEUR EN CHEF : Cyril Pallares MEMBRES DU COMITÉ DE RÉDACTION : Agnès Bertrand, Sébastien Cibick, Gy Class, Gilbert Fiegel, Christine Haberer, Eric Herber, Joseph Kleinpeter, Christel Kohler, Yannick Sander, Charles Schillinger MAQUETTE ET FABRICATION : Bernadette Bayle Commnication IMPRIMEUR : Gyss Imprimer Obernai CRÉDIT PHOTOS : ALME Mlhose, Alsacienne d Alminim de Sélestat, ADEME Olivier Perrenod, ASPA, Bayle Commnication N ISSN en cors ASPA Strasborg - Espace Eropéen de l Entreprise 5 re de Madrid Schiltigheim Tel : / Fax ASPA Mlhose - Antenne techniqe Maison d Technopôle 40, re Marc Segin BP Mlhose cedex :

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