Indicateurs économiques du commerce local

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1 Indicateurs économiques du commerce local Rapport de la commune : Nom de la ville Présentation non contractuelle. Les auteurs se réservent le droit de modifier le contenu du rapport proposé en fonction d analyses ou de données nouvelles.

2 Sommaire Préambule Guide de lecture du rapport Indicateurs économiques du commerce local Risque de défaillance Synthèse des données financières Evolutions du chiffre d affaires Evolutions de la marge commerciale Evolutions de l EBE Glossaire Pour aller plus loin Présentation d Altares et d Obsand 2

3 Préambule Le commerce est aujourd hui l un des secteurs les plus importants et les plus dynamiques de l économie française. Représentant plus de 3 millions d actifs, soit près de 13% des emplois salariés et non salariés et plus de 20% des créations d entreprises, le commerce reste l un des seuls secteurs ayant connu une croissance ces dernières années 1. Pour nombre de communes du territoire national, le commerce reste le premier gisement d emplois dans le secteur privé. La diversité des activités et le grand nombre de points de vente rendent le commerce parfois difficile à appréhender pour les acteurs de l économie locale. Beaucoup d élus sont confrontés à la fermeture ou au changement d activité des commerçants de leur territoire, sans avoir eu les éléments d anticipation nécessaires. En cette période d incertitudes économiques et d interrogation sur le pouvoir d achat des ménages et leurs conséquences sur la consommation et l avenir du commerce, il est nécessaire pour les acteurs publics locaux de se doter des outils de mesure et de suivi des activités commerciales tant au niveau global du territoire que pour les différents secteurs marchands. Parallèlement, l évolution des législations sur l urbanisme commercial aboutit à une implication de plus en plus forte des élus dans les choix d implantation et, par conséquence, dans les équilibres locaux du commerce. Dans un souci de développement durable, il est donc nécessaire de comprendre les ressorts de l économie locale du commerce, notamment en termes d emploi. 1 : source Insee Guide de lecture Le présent rapport est constitué à partir de deux sources différentes de données : Le Score de défaillance modélisé par Altares sur 100% de la population des entreprises françaises, soit plus de 8 millions de siren. (plus de détails sur ce score, page 9), Ce score permet de mesurer l état de santé des entreprises, exprimé en probabilité d entrer en procédure collective à un horizon de 12 mois. Dans cette étude, cette probabilité est analysée pour : l ensemble des commerces d une commune donnée en comparatif à la moyenne nationale, les principaux secteurs marchands, ici encore en comparatif à la moyenne nationale. Les données financières disponibles au travers des bilans des entreprises du commerce. Sept critères ont été extraits des liasses fiscales comme le chiffre d affaires ou la marge opérationnelle. (plus de détails, page 10), A travers ces critères, il est possible de déterminer si les performances des entreprises locales sont liées : à des évolutions du trafic et de l attractivité commerciale de la commune, ce qui influe directement sur le chiffre d affaires, à des évolutions sectorielles correspondant à des modifications structurelles ou conjoncturelles des comportements d achat et de consommation des ménages, à la gestion des entreprises, à l anticipation par les commerçants des évolutions de leur environnement, qui peut notamment se mesurer par leurs politiques de gestion de la masse salariale, des stocks ou encore des marges. Afin de distinguer les effets de long terme et ceux de court terme, l analyse a été menée : sur les six dernières années disponibles ( ) pour exprimer les tendances lourdes, sur les trois dernières années ( ) pour révéler les évolutions actuelles. L univers commercial a été découpé en 7 secteurs marchands, regroupant les 56 codes NAF retenus par l Insee (voir la liste détaillée page 11). 3

4 Descriptif : Les scores sont répartis en 4 segments afin de mieux définir la répartition du risque sur l ensemble des commerces. L expérience montre que 83% des défaillances sont issues du segment "très élevé". Mode de lecture : En 2012, 18,9% des entreprises du commerce présentent des risques de défaillance, dont 5,8% très élevés. Pour la commune étudiée, des risques "très élevé" et "élevé" supérieurs à la moyenne nationale indiquent une moins bonne santé du commerce local. Répartition des scores (2012) 5,8% Très Elevé 4,1% 13,1% Elevé 16,4% Faible Très faible 12,5% Indéterminé 9,8% 33,0% 35,3% 35,6% 34,4% Ensemble Alimentaire Eq. Personne Beauté Scores "Très élevés" et "Elevés" par secteurs marchands (2012) Eq. Maison Bricolage Loisirs CHR Automobile Autres 8,5 8,7 9,2 9,0 10,9 10,6 10,6 10,3 11,2 10,5 11,5 11,1 10,5 11,4 11,4 12,7 Descriptif : La performance des divers secteurs marchands peut être différente en fonction du profil de la clientèle locale, mais aussi des évolutions globales des comportements des consommateurs. Mode de lecture : Des scores "très élevés" et "élevés" supérieurs à la moyenne nationale peuvent être la marque d un profil client de la zone de chalandise de la commune peu porteur pour le secteur concerné. Si dans la commune étudiée tous les secteurs marchands ont des scores supérieurs à la moyenne, c est le signe d un déficit d attractivité du commerce local. Descriptif : L analyse de la répartition des commerces présentant un niveau de risque élevé selon les secteurs marchands étudiés et la comparaison avec l offre commerciale locale permet de mettre à jour les secteurs les plus en difficultés. Mode de lecture : Dans la ville étudiée certaines activités connaissent un plus faible taux d entreprises en difficultés, par exemple l Equipement de la Personne. A l inverse, des secteurs telle l Hôtellerie-Restauration présentent un nombre important d entreprises en difficulté potentielle. Comparaison des secteurs à risque avec l'offre commerciale Alimentaire Eq. Personne Beauté Eq. Maison Bricolage Loisirs CHR Automobile Divers Total Risque élevé 15,9% 14,8% 22,8% 11,9% 6,9% 4,5% 1,5% 2,3% 7,3% 7,4% 6,7% 5,1% 39,0% 54,0% 4

5 Evolution forte et modérée sur ces 3 dernières années Indice de confiance : x,x / 1 45% 40% 35% C.A. 30% EBE 25% 20% 15% 10% 5% 0% Stocks Charges (hors masse salariale) Marge Commerciale Masse Salariale Descriptif : Plusieurs indicateurs sont nécessaires pour justifier des performances observées du commerce local. Ces indicateurs doivent bien sûr être rapportés à la nature de l offre, tant en termes de nombre de magasins par secteurs que de concentration de l offre, mais aussi de qualité de l offre (état des vitrines, accueil, etc.). Mode de lecture : Indice de confiance : (voir page 10) Chiffre d affaires (C.A.) : les évolutions de l activité sont liées à l attractivité intrinsèque du commerce sur le territoire étudié. Elles peuvent aussi être la conséquence des actions de communication et de promotion individuelles ou collectives ou d une baisse des prix de vente, Marge commerciale : les évolutions de la marge commerciale constituent un indicateur des efforts consentis par les commerçants sur les prix de vente. Plus le pourcentage de commerçants appliquant une hausse des marges est important, plus on peut considérer que la concurrence perçue est relativement faible et/ou que la demande reste soutenue. Les évolutions de cette marge doivent bien sûr être rapportées à celles du chiffre d affaires. Un pourcentage de croissance de la marge commerciale supérieur à celui du C.A. indique une faible prise en compte de l état du marché local par les commerçants, Stocks et Masse salariale : les évolutions des stocks et de la masse salariale peuvent être considérés comme des indicateurs des pratiques de gestion des commerçants. En toute rigueur, le nombre de commerçants présentant une augmentation du coût des stocks et/ou de la masse salariale devrait être inférieur à ceux connaissant une hausse du C.A., Masse Salariale et Autres charges : les évolutions de la masse salariale comme celles des autres charges peuvent être lues comme la capacité d anticipation des commerçants sur les évolutions à terme de leur activité. Un faible nombre de commerçants augmentant leur masse salariale et/ou leurs charges est donc la marque d une anticipation de baisse d activité, EBE (ou marge opérationnelle) : les évolutions de l Ebe, autrement appelée marge opérationnelle ou marge bénéficiaire, représentent l indicateur le plus précis de la rentabilité économique de l entreprise et de sa maîtrise des coûts. Elle mesure l activité économique réelle (hors gestion financière). 5

6 Descriptif : L analyse des évolutions du C.A. sur ces 3 dernières années permet de mesurer les modifications de l attractivité du commerce local Mode de lecture : Dans la commune étudiée, 33,1% des commerces présentent une progression de leur C.A. contre 37,7% qui connaissent une baisse d activité. La tendance est donc à une dégradation de l activité commerciale. La comparaison avec la moyenne nationale indique que cette tendance est inverse à la tendance générale confirmant un problème local. Tendance d'évolution du C.A. sur ces 3 dernières années Forte croissance Croissance modérée Stabilité Baisse modérée 20,80% 17,2% 16,30% 15,9% 12,40% 16,2% 32,30% 29,2% Forte baisse 18,20% 21,5% Historique des évolutions de C.A. Tendance courte (3 dernières années) Tendance longue (6 dernières années) 17,2% Forte croissance 18% 15,9% Croissance modérée 17% Stabilité 16,2% Baisse modérée 12% 21,5% Forte baisse 22% 29,2% 32% Descriptif : La comparaison de l évolution des chiffres d affaires sur 3 ans et sur 6 ans permet de comprendre si le phénomène observé est structurel ou conjoncturel Mode de lecture : 37,7% des commerces connaissent ces 3 dernières années une baisse de leur C.A., alors que sur les 6 dernières années ce chiffre n est que de 34%. La baisse d activité observée correspond donc une dégradation récente et même une inversion de tendance, puisque la tendance sur 6 ans est plutôt marquée par la stabilité voire une légère croissance. Ce résultat permet de conclure qu après une forte période de croissance le commerce local connaît aujourd hui des difficultés. Descriptif : L analyse selon les principaux secteurs marchands permet de comprendre si les évolutions de C.A. observées sont spécifiques à certains secteurs marchands ou concernent l ensemble du commerce. Mode de lecture : Dans le cas étudié, certaines activités présentent une croissance plus élevée que la moyenne nationale (ici l Equipement de la Maison et l Automobile). A l inverse d autres secteurs présentent des difficultés en comparaison à la tendance nationale (ici l Alimentaire, l Hôtellerie-Restauration, l Equipement de la personne ou encore le secteur de la Beauté). Les difficultés rencontrées par le commerce local apparaissent donc plutôt comme un phénomène général. Croissance forte et modérée du C.A. selon les secteurs marchands Alimentaire CHR Eq. Maison Bricolage Loisirs Eq. Personne Beauté Automobile Autres 21,2% 32,2% 13,0% 21,2% 28,0% 17,3% 52,3% 45,4% 31,7% 41,2% 43,1% 34,3% 6

7 Descriptif : L analyse d indicateurs intermédiaires permet de comprendre comment les commerçants comprennent les évolutions de leur environnement et de leur activité. Elle permet, entre autres, d approcher les efforts consentis sur les prix de vente. Mode de lecture : Sur le cas étudié, 34,3% des commerçants de la commune voient leurs marges commerciales baisser ces trois dernières années. On peut donc faire l hypothèse que face au ralentissement de l activité commerciale, une partie des commerçants a baissé ses prix. Comparée à la tendance nationale, la marge commerciale du commerce local a évolué négativement. Tendance d'évolution de la Marge Commerciale sur ces 3 dernières années Forte croissance Croissance modérée Stabilité Baisse modérée Forte baisse 7,1% 7,6% 15,4% 13,3% 23,6% 24,8% 29,0% 27,6% 24,9% 26,7% Forte croissance Croissance Stable Baisse Forte baisse Descriptif : Historique des évolutions de la Marge Commerciale Tendance courte (3 dernières années) Tendance longue (6 dernières années) 7,6% 5,7% 8,6% 13,3% 19,0% 27,6% 24,8% 27,6% 26,7% 39,0% L évolution de la marge commerciale peut bien sûr varier selon les différents secteurs marchands et leurs pratiques spécifiques. Une évolution partagée par l ensemble des activités indique une évolution générale du commerce local. Une évolution limitée à certains secteurs peut être considérée comme la marque des évolutions de celui-ci. Mode de lecture : Dans le cas présent, les évolutions locales restent relativement proches des tendances nationales. Toutefois, on note que les secteurs de l Alimentaire, de l Equipement de la Personne et de la Beauté, ont plutôt tendance à connaître une baisse de leurs marges commerciales, tendance qui doit être comparée à la baisse du C.A. observée ci-dessus. A l inverse, malgré les difficultés locales, les acteurs de l Hôtellerie- Restauration font progresser leur marge commerciale. Descriptif : La comparaison des évolutions sur 3 et 6 ans permettent de mettre à jour les évolutions des pratiques de gestion des commerçants locaux. Mode de lecture : Ici, la tendance longue (6 ans) indique que 58% des commerçants pratiquaient plutôt une croissance de leurs marges commerciales. La tendance à court terme (3 ans) montre que seuls 40,9% des commerçants locaux voient cette marge progresser. Dans le cas présent, on remarquera que le nombre de commerçants ayant une forte baisse de leur marge commerciale a triplé sur la période étudiée. Croissance forte et modérée de la Marge Commerciale selon les secteurs marchands Alimentaire CHR Eq. Maison Bricolage Loisirs Eq. Personne Beauté Automobile Autres 21,2% 21,2% 38,3% 32,2% 43,7% 44,5% 41,3% 42,1% 46,5% 43,6% 43,2% 37,3% 7

8 Descriptif : L'excédent brut d'exploitation (EBE) correspond à la marge bénéficiaire, autrement appelée marge opérationnelle. Il permet de mesurer la rentabilité de l exploitation quotidienne, mais aussi les capacités d investissement dans l amélioration de l outil de travail. Mode de lecture : Les tendances d évolution de l Ebe montrent au niveau national, une séparation franche du commerce selon deux logiques opposées. D une part, un nombre important de commerces connaissant une forte progression de leur marge bénéficiaire, et d autre part un nombre équivalent d entreprises connaissant une nette baisse de celle-ci. La ville étudiée suit les tendances nationales. Tendance d'évolution de l'ebe sur ces 3 dernières années Forte croissance Croissance modérée Stabilité Baisse modérée Forte baisse 3,5% 0,0% 8,2% 7,1% 5,6% 7,8% 40,7% 41,8% 42,0% 43,3% Forte croissance Historique des évolutions de l'ebe Croissance Stable Baisse Forte baisse Descriptif : Tendance courte (3 dernières années) Tendance longue (6 dernières années) 0,0% 7,1% 7,1% 5,0% 7,8% 7,1% 41,8% 45,4% 43,3% 35,5% La comparaison des évolutions de l EBE selon les différents secteurs marchands permet de séparer les phénomènes globaux des évolutions spécifiques à certains secteurs. Mode de lecture : Dans le cas présent, les évolutions de l EBE des commerces locaux montrent sur l ensemble des secteurs commerciaux étudiés une croissance plus faible que celles observées au niveau national. On peut donc conclure à des difficultés du commerce local partagées par l ensemble des secteurs. Descriptif : La comparaison de la marge opérationnelle sur période longue (6 ans) et sur période courte (3 ans), permet de mettre à jour les évolutions structurelles et conjoncturelles. Mode de lecture : Dans la ville étudiée, la séparation entre entreprises connaissant une forte croissance de leurs marges opérationnelles et celle connaissant une forte baisse apparaît comme un phénomène de long terme. Les évolutions récentes montrent un maintien de la tendance sur le court terme, avec une forte évolution du nombre de commerces présentant un Ebe en forte baisse. Croissance forte et modérée de l'ebe selon les secteurs marchands Alimentaire CHR Eq. Maison Bricolage Loisirs Eq. Personne Beauté Automobile Autres 22,1% 21,2% 33,8% 32,2% 47,3% 45,4% 43,1% 41,2% 45,6% 43,1% 42,3% 38,1% 8

9 Glossaire : Score de défaillance Altares Le score Altares est un outil d anticipation de la défaillance entrée en procédure collective (sauvegarde, redressement judiciaire et liquidation judiciaire) à 12 mois Périmètre : 100% des entreprises sirénées en France, hors entreprises cessées, non diffusibles, de droit étranger. Le score est calculé à partir de données de profil (secteur d activité, forme juridique, ), de paiement (Paydex, privilèges,..) et de données bilancielles. A chaque niveau de score correspond un taux de risque probabilité d entrer en procédure collective à un horizon de 12 mois. Le taux moyen de défaillance en France est de 0,75% Score 20 Classes de risque Taux de défaillance correspondant La France compte 8,5 millions d entreprises qui se répartissent ainsi : % population % risque Entreprises individuelles 45% 0,35% Sociétés commerciales 22% 2,50% Autres (associations, SCL, ) 33% 0,08% Total 100% 0,75% 1 * 100,00% 2 17,14% 3 12,38% 4 5 Risque très élevé 9,22% 7,32% 6 5,68% 7 4,09% 8 2,58% 9 1,70% 10 Risque élevé 1,16% 11 0,90% 12 0,72% 13 Risque faible 0,55% 14 0,43% 15 0,27% 16 0,11% 17 Risque très 0,07% 18 faible 0,02% 19 0,015% 20 0,008% * Entreprises en procédure collective. 4,88% 1,37% 0,57% 0,08% Le score Altares permet D ordonner les entreprises de la plus risquée à la moins risquée D indiquer le taux de défaillance à 12 mois c est-à-dire la probabilité d entrer en procédure collective 9

10 Glossaire : Données financières Les différents indicateurs financiers utilisés sont calculés pour chaque entreprise de commerce. Deux périodes de référence sont proposées : Une tendance longue, sur les six dernières années, afin d exprimer les évolutions structurelles des commerces, Une tendance plus courte, sur les trois dernières années, pour mesurer les effets plus conjoncturels. Pour chaque commerce, les tendances sont re-codifiées en 5 classes : Classe Libéllé < -15% Forte baisse -5 à -15% Baisse -5 à +5% Stabilité +5% à +15% Croissance > +15% Forte croissance Les entreprises appartenant à des groupes intégrés nationaux (par ex. certaines enseignes d hypermarchés) ou locaux (par ex. concessions automobiles) sont pondérées pour la commune étudiée, sur la base des performances des autres commerces de la commune appartenant au même secteur. Les bilans sont disponibles pour 51% des entreprises du commerce, les commerçants et artisans inscrits au RSI ou exerçant à titre individuel n étant pas soumis au dépôt obligatoire de leurs comptes. Au niveau des secteurs marchands, le moins représenté couvre néanmoins 37% des entreprises du secteur concerné. Afin d intégrer ces commerces dans l analyse, un modèle de redressement a été construit par Obsand sur la base de différents critères, tel le score de défaillance, connu pour l ensemble des entreprises. Le taux de connaissance des données bilancielles n est pas identique pour toutes les communes. Afin de tenir compte de ce phénomène, les résultats sont présentés pour chaque commune avec un indice de confiance, construit spécifiquement par Obsand. Celui-ci est calculé, entre autres, sur la base du nombre de commerce et de la répartition en secteurs marchands. Cet indice est compris entre 0 et 1, 1 correspondant à l indice de confiance maximum, c est-à-dire à une parfaite représentativité des résultats. 10

11 Glossaire : Liste des codes Naf étudiés Naf_Eco Libellés NAF Naf_Eco Libellés NAF ALIMENTAIRE LOISIRS 1013B Charcuterie 4752A Quincaillerie, peintures et verres (moins de 400 m2) 4722Z Boucherie et viandes 4752B Quincaillerie, peintures et verres (400 m2 et plus) 1071C Boulangerie et boulangerie-pâtisserie 4761Z Livres 4724Z Pain, pâtisserie et confiserie 4762Z Journaux et papeterie 1071D Pâtisserie 4741Z Ordinateurs, périphériques et logiciels 4711A Produits surgelés 4742Z Matériels de télécommunication 4711B Commerce d'alimentation générale 4765Z Jeux et jouets 4729Z Autres commerces de détail alimentaires 4763Z Enregistrements musicaux et vidéo 4721Z Fruits et légumes 4776Z Fleurs, plantes, animaux et aliments pour ces animaux 4723Z Poissons, crustacés et mollusques 4764Z Articles de sport 4725Z Boissons EQUIPEMENT DE LA MAISON 5621Z Services des traiteurs 4753Z Tapis, moquettes et revêtements de murs et de sols 4711C Supérettes 4759A Meubles 4711D Supermarchés 4759B Autres équipements du foyer 4719A Grands magasins 4754Z Appareils électroménagers 4711F Hypermarchés 4743Z Matériels audio et vidéo PHARMACIE HYGIENE BEAUTE 4751Z Textiles 4773Z Produits pharmaceutiques EQUIPEMENT DE LA PERSONNE 4774Z Articles médicaux et orthopédiques 4771Z Habillement 4775Z Parfumerie et de produits de beauté 4772A Chaussure 4778A Commerces de détail d'optique 4772B Maroquinerie et d'articles de voyage 9602A Coiffure 4777Z Horlogerie et de bijouterie 9602B Soins de beauté SERVICES CAFES HOTELS RESTAURANTS TABACS 9601B Blanchisserie-teinturerie de détail 8219Z Photocopie, préparation de documents 9609Z Autres services personnels n.c.a. 4779Z Biens d'occasion en magasin AUTOMOBILE 5610A Restauration traditionnelle 4511Z Commerce de voitures et de véhicules automobiles légers 5610C Restauration de type rapide 4532Z Commerce de détail d'équipements automobiles 5610B Cafétérias et autres libres-services 4540Z Commerce et réparation de motocycles 5629B 5630Z 4726Z Autres services de restauration n.c.a. Débits de boissons Produits à base de tabac 11

12 Pour aller plus loin Études complémentaires : Plusieurs types d études et d analyses peuvent venir compléter les résultats du présent document et enrichir la réflexion : Analyse détaillée de la commune (ajouts d autres indicateurs et analyse personnalisée des résultats), Analyse de l offre commerciale locale et des territoires, notamment dans le cadre de la mise en place des Diagnostics et des PADD des PLU et des Scot, Analyse des pôles commerciaux (découpage de chaque commune en pôles commerciaux homogènes et analyse financière de chacun des pôles) - une collaboration exclusive entre Altares, Asterop et Obsand, Evolution de l offre commerciale par communes (nombre et nature des cessations et des créations/reprises sur ces dix dernières années), Veille concurrentielle sur les pôles commerciaux ou les territoires, Etc. Le budget de ces études peut être obtenu sur devis auprès d Altares ou d Obsand. Formation : Altares et Obsand proposent une formation sur l analyse financière appliquée au commerce. Cette formation organisée sur une journée et animée par Thibault le Carpentier, associé d Obsand, permet d aborder les thèmes suivants : Principales évolutions du commerce en France, Apport des données financières à la compréhension des territoires et des dynamiques commerciales, Scénarios d évolution des différentes formes de commerce et risques pour les territoires, Intégration de l analyse financière aux documents d urbanisme commercial (PLU et SCoT), Utilisation des données financières dans la définition de l urbanisme commercial : Logiques d implantations commerciales, Gestion des évolutions de l offre, (pré-emption, plan de redynamisation commerciale, etc.), Emploi des données financières dans la définition des plans d actions commerciales (promotion et animation). 12

13 Présentation d Altares et d Obsand Créée en 2006 suite au rapprochement des sociétés BIL (Base d Information Légales) et de Dun & Bradstreet France, Altares est un acteur majeur du secteur de l information sur les entreprises. Depuis 25 ans, Altares met en œuvre une politique de qualité des données dont les principes fondateurs sont l exhaustivité, la fraicheur, la traçabilité et l historisation en France (plus de 20 millions d entreprises en base) comme à l international. Altares s est imposé comme l acteur de référence des solutions d informations sur les entreprises auprès des Administrations Publiques et des Collectivités Territoriales. Les solutions d aide à la décision d Altares répondent à différents types de besoins : Obsand, créée en 1993, a développé une expertise reconnue en termes de prospective appliquée au commerce et à la consommation, en France comme à l international, au travers de collaborations menées avec les plus grandes enseignes de distribution, les CCI, les EPCI ou des Industriels. Dans le cadre de ses missions pour, et avec, les collectivités territoriales et les chambres consulaires, Obsand travaille sur deux axes complémentaires : La mise en place d observatoires du commerce tant en termes d analyse de l Offre que de la Demande avec le plus souvent comme objectifs la rédaction de Schémas de Développement Commerciaux (SDC) et aujourd hui de Documents d Aménagement Commercial (DAC), Identification des tiers (contrôle et recouvrement), Recoupement de l information (lutte contre la fraude) Connaissance du tissu économique local (développement des territoires) Suivi de la solvabilité des entreprises (anticiper les défaillances d entreprises) Des données pertinentes pour des décisions opérationnelles. La mise en place d actions collectives fédérant l ensemble des acteurs privés et publics d un territoire (département, SCoT, EPCI ou ville) pour définir une vision et un schéma de développement de développement du commerce selon toutes ses formes et toutes ses tailles, L animation d unions commerciales ou de réseaux d unions commerciales notamment dans le cadre de plans de redynamisation du commerce local. 13

14 Vos interlocuteurs Tél : (0,15 TTC la min) Du lundi au jeudi de 8h30 à 17h30 Le vendredi de 8h30 à 17h00 Thibault le Carpentier Directeur Associé Tél : Port : obsand@orange.fr 14

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