Fiche méthodologique pour l étude des PLU. Bâtiments agricoles et urbanisme - application des distances de recul et réciprocité -
|
|
- Timothée Pruneau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Fiche méthodologique pour l étude des PLU Dans le cadre de l évolution de l action de l État en Isère, une démarche a été entreprise en vue d élaborer des positions partagées en matière d urbanisme. Elle se traduit par la réalisation de fiches méthodologiques par les services de l État dans le département. Ces fiches n ont pas de valeur réglementaire, mais, en revanche, elles définissent le point de vue des services de l État pour le département de l Isère sur des thématiques abordées dans les PLU. Elles constituent par ailleurs un support pour accompagner les communes et leurs prestataires lors de l étude des documents d urbanisme et faciliter le dialogue avec les services de l État au cours de la procédure. Bâtiments agricoles et urbanisme - application des distances de recul et réciprocité - Textes de référence Article L du code rural (principe dit de réciprocité) Article R du code de l urbanisme Préambule Des réglementations ont depuis longtemps prévu des distances d éloignement des bâtiments d élevage vis-à-vis des constructions de tiers (périmètre de protection sanitaire), mais cette règle était à l'origine appliquée aux seules exploitations agricoles. Avec la progression de l étalement urbain, le voisinage entre bâtiments agricoles et secteurs bâtis constitue une problématique à appréhender de façon précise par les acteurs de l aménagement. La loi d orientation agricole du 9 juillet 1999 introduit un principe de réciprocité en imposant aux constructions d habitations et immeubles habituellement occupés par des tiers un éloignement par rapport aux bâtiments agricoles afin de permettre aux exploitations d exercer normalement leur activité. Son champ d application a ensuite été étendu aux changements de destination des constructions. Cette disposition a été codifiée à l'article L du code rural. 1/9
2 Ces exigences d éloignement ont une incidence importante sur les choix d aménagement opérés lors de l élaboration ou révision des PLU, pour pérenniser et conforter les exploitations agricoles. Compte tenu du lien étroit entre le PLU et les autorisations d urbanisme, un travail pertinent sur l'identification des bâtiments agricoles concernés par les périmètres d'éloignement suppose de connaître préalablement les modalités de délivrance des permis de construire au regard de ce principe de réciprocité. Ainsi, après avoir cerné les aspects réglementaires liés à l implantation des constructions (règlement sanitaire départemental*, installations classées pour la protection de l environnement**, principe de réciprocité, etc.), sera examinée la manière de prendre en compte ces exigences d éloignement dans les choix d aménagement du PLU. * RSD ** ICPE Les différents types de bâtiments agricoles Sont concernés : - les bâtiments d élevage et leurs annexes 1 - les autres constructions à usage agricole : hangars pour le stockage des récoltes, du matériel, des engrais, des produits phytosanitaires, bâtiments pour le stockage et le conditionnement de fruits et légumes (chambres froides), séchoirs à tabac ou à noix, etc. Réglementations applicables aux bâtiments et installations agricoles Pour ce qui concerne les bâtiments d élevage (et leurs annexes), plusieurs types de réglementations sont susceptibles de s appliquer. La nature de l élevage et l effectif des animaux déterminent le champ d application de la réglementation sanitaire (RSD, ICPE) voir annexe 1. Règlement sanitaire départemental (RSD) 2 Ce règlement prévoit que les bâtiments abritant des animaux doivent respecter des distances d éloignement vis-à-vis des immeubles habités ou habituellement occupés par des tiers : m au moins pour les élevages porcins à lisier - 50 m au moins pour les autres élevages. Pour les annexes liées au bâtiment d élevage, la distance d éloignement par rapport aux constructions occupées par des tiers est de : - 50 m pour les dispositifs de stockage des déjections (fosses à lisier, etc.) - 35 m pour les silos. 1 Au sens de la réglementation des ICPE, les bâtiments d élevage comprennent : - les locaux d élevage, les locaux de quarantaine, les couloirs de circulation des animaux, les aires d exercice, de repos et d attente des élevages bovins, les quais d embarquement des élevages porcins, les enclos des élevages de porcs en plein air, ainsi que les enclos et les volières des élevages de volailles où la densité des animaux est supérieure à 0,75 animal-équivalent par mètre-carré - les annexes regroupent : les bâtiments de stockage de paille et de fourrage, les silos, les installations de stockage, de séchage et de fabrication des aliments destinés aux animaux, les ouvrages d évacuation, de stockage et de traitement des effluents, les aires d ensilage, la salle de traite. 2 Le règlement sanitaire départemental comprend un ensemble de dispositions directement applicables à différentes activités (dont l agriculture) avec pour objectifs principaux la protection des populations contre les nuisances et la protection des ressources en eau. Les maires sont chargés de son application. Des précisions techniques et réglementaires peuvent être apportées par la délégation départementale de l'agence régionale de santé de Rhône-Alpes (ARS). 2/9
3 Ces distances s appliquent également aux zones de loisirs et aux établissements recevant du public (sauf camping à la ferme) ; à noter que des distances d éloignement distinctes sont prévues pour d autres cas (proximité de cours d eau, puits, forages, sources, lieux de baignade, etc.) - voir annexe 2. Le cas échéant, des règles particulières peuvent être envisagées pour l extension de bâtiments d élevage existants (article du RSD) ; par ailleurs des dérogations peuvent être prévues par arrêté préfectoral sur avis motivé du maire, du directeur départemental des territoires, du directeur départemental de la protection des populations et du directeur de l'agence régionale de santé Rhône-Alpes (article du RSD). Pour les élevages de type familial 3, il n y a pas de distance définie vis-à-vis des tiers ; au sens du RSD, ils ne doivent toutefois pas occasionner une gêne permanente du fait de leur emplacement et de leur entretien ; par ailleurs ils doivent respecter des règles de protection par rapport aux eaux (cours d eau, forages, etc.) et zones de baignade. Réglementation des installations classées pour la protection de l environnement (ICPE) 4 Les bâtiments d élevage relevant des ICPE sont soumis soit au régime de la déclaration, soit de l autorisation. Pour ces installations (bâtiments d élevage et annexes), la distance d éloignement par rapport aux habitations et aux locaux habituellement occupés par des tiers, ainsi que des zones destinées à l habitation telles que définies dans le document d urbanisme, est en règle générale de 100 m. (Pour les permis de construire, les distances sont mesurées de l extrémité des bâtiments d élevage et de leurs annexes, au droit des locaux d habitation et immeubles habituellement occupés par des tiers.) Ces distances s appliquent aussi vis-à-vis des équipements sportifs (stades) et des terrains de camping (sauf camping à la ferme) ; par ailleurs comme pour le RSD, la proximité de cours d eau, puits, forages, sources, eaux de baignade, etc. impose des distances d éloignement (voir annexe 2). A noter que dans le cas d extensions d exploitations existantes, cette distance ne s applique qu aux nouveaux bâtiments. Par ailleurs, les mises en conformité des installations autorisées 5 ne sont pas concernées par cette réglementation. Enfin dans des cas limités, des dispositions dérogatoires existent pour tenir compte de situations particulières ; elles doivent faire l objet d un arrêté préfectoral, après réalisation d une étude d impact. 3 Au sens du RSD, il s agit d élevages dont la production est destinée à la consommation familiale (lapins, volailles, porcs) ou à l agrément de la famille (chiens, oiseaux, chevaux ) ; il convient de contacter l'ars sur la notion d élevage de type familial compte tenu de la diversité des situations rencontrées. 4 S applique aux installations susceptibles de présenter des dangers ou des inconvénients pour la commodité du voisinage, la santé, la sécurité ou la sécurité publique, la protection de la nature et de l environnement ; elles sont régies par le code de l environnement et sont définies par une nomenclature qui les classe sous le régime de la déclaration ou de l autorisation en fonction des dangers ou inconvénients qu elles représentent. Pour ce qui concerne les bâtiments d élevage, c est la direction départementale de la protection des populations qui a la compétence sur cette réglementation. 5 Ces mises en conformité incluent en particulier les mises aux normes des bâtiments d élevage prévues dans le cadre du programme de maîtrise des pollutions d origine agricole (PMPOA) qui vise à lutter contre la pollution des eaux par les élevages ;ce programme est mis en œuvre par les Ministères de l agriculture et de l environnement, en application de la directive européenne «nitrates» ; les travaux de mise aux normes des bâtiments consistent en la réalisation d ouvrages de stockage des effluents, de dispositifs de récupération des eaux et d étanchéité, etc. 3/9
4 Article R du code de l urbanisme Cet article précise que : «Le projet peut être refusé ou n être accepté que sous réserve de l observation de prescriptions spéciales s il est de nature à porter atteinte à la salubrité ou à la sécurité publique du fait de sa situation, de ses caractéristiques, de son importance ou de son implantation à proximité d autres installations». Cet article, d'ordre public, s'applique indépendamment du document d'urbanisme. Les projets de construction de bâtiments agricoles, à vocation d élevage ou non (hangars pour le stockage de paille, de matériel agricole, de produits phytosanitaires, d engrais, bâtiments pour le stockage et le conditionnement des fruits, séchoirs, etc.) peuvent être concernés par cette disposition. L implantation d un bâtiment doit ainsi être étudiée au regard des risques potentiels sur la salubrité et la sécurité des personnes (par exemple : risques d incendie d un hangar abritant de la paille). Principe de réciprocité Texte Article L du code rural (voir annexe 3) Principe et objectifs Les bâtiments agricoles sont soumis à des règles d éloignement par rapport aux habitations et locaux habituellement occupés par des tiers. Afin de préserver l activité agricole, le principe de réciprocité impose ces mêmes règles de distance pour toute nouvelle construction ou changement de destination à usage non agricole, vis-à-vis des bâtiments agricoles en place. Le dispositif instauré par la loi d'orientation agricole du 9 juillet 1999 a connu une évolution à travers plusieurs lois successives 6 ; en particulier, la loi d'orientation agricole du 5 janvier 2006 a étendu l'application de ce principe aux changements de destination des constructions pour un usage non agricole. Par ailleurs, l utilisation économe des espaces agricoles et naturels, réaffirmée avec la loi Grenelle portant engagement national pour l'environnement et avec la loi de modernisation agricole, renforce la nécessité d'une protection durable du foncier agricole. Modalités d application pratiques dans la délivrance des permis de construire Lors de l examen d un permis de construire (projet de construction nouvelle ou changement de destination), il convient de connaître : - la réglementation applicable au bâtiment agricole en place (RSD, réglementation ICPE ou le cas échéant prescriptions au titre de l article R du code de l urbanisme) ; les élevages de type familial ne sont pas concernés 6 Loi solidarité et renouvellement urbains (SRU) du 13 décembre 2000, loi sur le développement des territoires ruraux du 23 février 2005, loi d orientation agricole du 5 janvier 2006, loi portant engagement national pour l'environnement du 12 juillet 2010, loi de modernisation de l'agriculture et de la pêche du 27 juillet /9
5 - la nature du projet de construction et l usage qui en sera fait : seules les constructions ou changements de destination à usage non agricole sont soumises à la règle de réciprocité ; par ailleurs les extensions des constructions existantes ne sont pas soumises à cette règle. Le principe de réciprocité est appliqué au projet selon les règles de distances de recul vues cidessus, soit : - 50 m au moins d un bâtiment d élevage soumis au RSD (100 m s il s agit d un élevage porcin) m au moins d un bâtiment d élevage et de ses annexes soumis à la réglementation des installations classées. La réciprocité au titre de l article R du code de l urbanisme est à traiter au cas par cas ; si un bâtiment agricole a fait l objet d un recul vis-à-vis des habitations de tiers au titre de cet article, la logique de la réciprocité conduit à exiger par la suite le même recul pour les nouvelles constructions à proximité de ce bâtiment. Enfin dans certains cas particuliers (article L alinéas 2 et 4 du code rural) «[ ] des règles d'éloignement différentes peuvent être fixées pour tenir compte de l'existence des constructions agricoles antérieurement implantées [ ]». «[ ] une distance d éloignement inférieure peut être autorisée par l autorité qui délivre le permis de construire, après avis de la chambre d agriculture, pour tenir compte des spécificités locales [ ]» Conséquences pour l élaboration/révision des documents d urbanisme Compte tenu des règles exposées ci-dessus - et leur traduction dans la délivrance des permis de construire - un examen minutieux doit être porté lors de l étude du PLU sur les bâtiments agricoles et la délimitation des zones à bâtir. Il est tout d abord rappelé, selon les termes de l article L du code de l urbanisme que : "Le rapport de présentation explique les choix retenus pour établir le projet d'aménagement et de développement durables, les orientations d'aménagement et de programmation et le règlement. Il s'appuie sur un diagnostic établi au regard des prévisions économiques et démographiques et des besoins répertoriés en matière de développement économique, de surfaces agricoles, de développement forestier, d'aménagement de l'espace, d'environnement, d'équilibre social de l'habitat, de transports, de commerce, d'équipements et de services." A travers cette approche globale sur l'agriculture et les besoins de surfaces agricoles, pour une bonne prise en compte du principe de réciprocité, il convient donc de : - repérer les bâtiments d élevage et les autres bâtiments pouvant apporter le cas échéant des nuisances; ils pourront utilement figurer dans une carte du rapport de présentation et être éventuellement repérés par un symbole ponctuel sur le plan du règlement, à l'exclusion de toute représentation du périmètre d'éloignement - appréhender le devenir de ces bâtiments et de l activité des exploitations. Le diagnostic portera sur chacune d elle : maintien, arrêt, développement ou évolution de l activité, projets de nouveaux bâtiments, progression du cheptel, etc. L analyse portera également sur l état d enclavement des sièges dans le tissu urbain et sur les problèmes d'approvisionnement, de collecte et de circulation des engins agricoles. 5/9
6 A partir de l inventaire et du diagnostic sur les bâtiments agricoles, l objectif du PLU est de garantir, à travers les choix d aménagement et le zonage, la pérennité des exploitations agricoles. Dans la réflexion du PLU il s agira ainsi de : Pour les bâtiments d élevage situés dans l espace agricole : - définir au titre de la bonne gestion des espaces agricoles, des limites de zones urbanisables tenant compte de l implantation des bâtiments d élevage; ces limites devront être suffisamment éloignées de ces installations pour ne pas nuire aux projets de développement des exploitations agricoles (en général au moins 100 m) ; les distances d éloignement tiendront compte non seulement des bâtiments d élevage et de leurs annexes mais aussi de leurs évolutions potentielles (par exemple : passage au régime des installations classées d un bâtiment relevant auparavant du RSD). Pour les bâtiments agricoles insérés dans le tissu urbain (enclavement): - réserver en zone agricole des secteurs d implantation potentiels permettant les installations nouvelles et la délocalisation des bâtiments enclavés - prévoir dans le règlement de la zone (U ou AU) la possibilité de faire évoluer les bâtiments agricoles existants (aménagement dans le volume et extension) sous condition que cette évolution soit compatible avec le voisinage des habitations et les réglementations précitées 7 ; par ailleurs, les bâtiments agricoles situés en limite des bourgs et hameaux seront rattachés dans la mesure du possible à la zone agricole. Faire cohabiter au mieux les activités et bâtiments agricoles avec les espaces habités ou à urbaniser est un enjeu majeur à appréhender dans les réflexions du PLU. 7 Le cas échéant, dans les parties actuellement urbanisées de la commune, le règlement du PLU peut fixer des distances d éloignement inférieures par rapport aux bâtiments agricoles pour tenir compte de situations particulières (article L du code rural, 2 ème alinéa) ; cette possibilité est toutefois limitée et doit être expressément justifiée. 6/9
7 Environnement et bâtiments d'élevage : règles générales Tableau de synthèse indicatif issu du RSD et de la nomenclature des installations classées de décembre 2011 Pour toutes précisions sur les réglementations applicables, contacter les services compétents (ARS/DDPP) et/ou consulter le site Types d'animaux Effectifs <50 Vaches laitières ou mixtes à 200 Vaches allaitantes >200 <100 >100 <50 Veaux de boucherie et/ou bovins à l'engrais 400 Centre de transit bovins >400 < 50 >50 <50 Porcs (effectif calculé en équivalent animaux) 450 Moutons Equins Chèvres >450 >1 <10 Chiens 10 à 50 >50 <50 Lapins (animaux sevrés) < à >20000 <50 Volailles, gibiers à plumes (effectif calculé en équivalent-animaux) à >30000 <100 Animaux carnassiers à fourrure 100 à 2000 Pisciculture >2000 > 20t/an Parcs de présentation d'animaux non domestiques Verminières Couvoirs > œufs Règlement sanitaire départemental (RSD) (50 m) recommandé : 50 m recommandé : 50 m recommandé : 50 m Installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE) (100 m) autorisation déclaration enregistrement avec contrôles si effectifs>101 avec contrôles si effectifs>201 avec contrôles si effectifs >20001 réglementation applicable NB : - Pour la procédure de déclaration, les contrôles périodiques sont réalisés par un organisme accrédité - La procédure d'enregistrement (ordonnance du 11/06/2009) est un régime intermédiaire entre la déclaration et l'autorisation 7/9
8 Distances d implantation : règles générales Schéma de synthèse indicatif issu du RSD et de la nomenclature des installations classées de décembre 2011 Pour toutes précisions sur les réglementations en vigueur, contacter les services compétents (ARS/DDPP) Immeuble habité ou habituellement occupé par des tiers Zone de loisirs Etablissement recevant du public sauf camping à la ferme 50 m 200 m Cours d eau puits, forage, source m Bâtiment d élevage relevant du Règlement sanitaire départemental (RSD) Cours d eau, puits, forage, source m 100 m Bâtiment d élevage et annexes * relevant de la réglementation des Installations classées pour la protection de l environnement (ICPE autorisation, enregistrement et déclaration) * bâtiments stockage paille silos ouvrages stockage effluents Habitation des tiers Local habituellement occupé par des tiers Zone destinée à l habitation définie par le document d urbanisme Stade Terrain de camping sauf camping à la ferme 200 m Lieu de baignade Lieu de baignade Pisciculture Pour les annexes suivantes liées au bâtiment : - stockage des déjections : mêmes règles que pour le bâtiment d élevage sauf par rapport à un lieu de baignade (100m) - silo : recul de 35m d un cours d eau, puits, forage habitations mais pas de distance prévue par rapport à un lieu de baignade 500 m Pisciculture Ces distances sont applicables aux nouvelles constructions et peuvent être adaptées sous certaines conditions particulières Direction départementale de la protection des populations Service protection de l'environnement Tel : Direction départementale des territoires Tel : Adresses utiles pour en savoir plus : 22, avenue Doyen Louis Weil Grenoble cedex 1 17, boulevard Joseph Vallier BP Grenoble cedex 09 Délégation départementale Agence régionale de santé Tel : Chambre d agriculture de l Isère Tel : , 19, rue Commandant l Herminier Grenoble cedex 1 Maison des agriculteurs 40, avenue Marcelin Berthelot BP Grenoble cedex 2 8/9
9 Article L du code rural - réciprocité - Article 105 de la loi n du 09 juillet 1999 d orientation agricole modifié par l article 204 de la loi n du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains modifié par l article 79 de la loi n du 23 février 2005 relative au développement des territoires ruraux modifié par l article 19 de la loi n du 05 janvier 2006 d orientation agricole modifié par l'article 240 de la loi n du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l'environnement Article L du code rural : «Lorsque des dispositions législatives ou réglementaires soumettent à des conditions de distance l implantation ou l extension de bâtiments agricoles vis-à-vis des habitations et immeubles habituellement occupés par des tiers, la même exigence d éloignement doit être imposée à ces derniers à toute nouvelle construction et à tout changement de destination précités à usage non agricole nécessitant un permis de construire, à l exception des extensions de constructions existantes. Dans les parties actuellement urbanisées des communes, des règles d éloignement différentes de celles qui résultent du premier alinéa peuvent être fixées pour tenir compte de l existence de constructions agricoles antérieurement implantées. Ces règles sont fixées par le plan local d urbanisme ou, dans les communes non dotées d un plan local d urbanisme, par délibération du conseil municipal, prise après avis de la chambre d agriculture et enquête publique réalisée conformément au chapitre III du titre II du livre Ier du code de l'environnement. Dans les secteurs où des règles spécifiques ont été fixées en application de l alinéa précédent, l extension limitée et les travaux rendus nécessaires par des mises aux normes des exploitations agricoles existantes sont autorisés, nonobstant la proximité de bâtiments d habitations. Par dérogation aux dispositions du premier alinéa, une distance d éloignement inférieure peut être autorisée par l autorité qui délivre le permis de construire, après avis de la chambre d agriculture, pour tenir compte des spécificités locales. Une telle dérogation n est pas possible dans les secteurs où des règles spécifiques ont été fixées en application du deuxième alinéa. Il peut être dérogé aux règles du premier alinéa, sous réserve de l accord des parties concernées, par la création d une servitude grevant les immeubles concernés par la dérogation, dès lors qu ils font l objet d un changement de destination ou de l extension d un bâtiment agricole existant dans les cas prévus par l alinéa précédent.» Le contenu de cet article est communément appelé «principe de réciprocité». 9/9
Installations Agricoles. Guide technique pour l instruction des autorisations d urbanisme
Chapitre 1 Installations Agricoles Guide technique pour l instruction des autorisations d urbanisme BRETAGNE Septembre 2014 Installations agricoles Document - Guide réalisé technique avec la participation
Plus en détailLa présence de conditions intégrales (CI) et/ou de conditions sectorielles (CS) est mentionnée en regard des rubriques concernées.
Dans une exploitation agricole, peuvent se rencontrer : Chapitre 1 : des activités d élevage Chapitre 2 : des activités agricoles autres que l élevage Chapitre 3 : des activités autres qu agricoles Chaque
Plus en détailDISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N
DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du
Plus en détailDétail des cultures de l'exploitation en 2007
République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture
Plus en détailLES CONSTRUCTIONS EN ZONE AGRICOLE
Direction départementale des territoires PRÉFET DES HAUTES-ALPES Service d'appui territorial Application du droit des sols LES CONSTRUCTIONS EN ZONE AGRICOLE D'une manière générale, les zones naturelles
Plus en détailjanvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE
janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE Préambule Pourquoi ce guide? Avant propos Dans le département du Rhône, l étalement urbain grandissant et les grands projets
Plus en détailFiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin
Nom - Prénom (ou Nom de la société) : Adresse permanente : Téléphone : Email : Date de naissance: Statut juridique : s exploitation individuelle s GAEC s EARL s Autre (à préciser) Nom et Prénom du Chef
Plus en détailDEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A)
Mise à jour 01 décembre 2011 DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A) Cette demande d aide une fois complétée constitue, avec les justificatifs joints par vos soins,
Plus en détailREGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL DE MAINE ET LOIRE TITRE VIII PRESCRIPTIONS APPLICABLES AUX ACTIVITES D'ELEVAGE ET AUTRES ACTIVITES AGRICOLES
REGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL DE MAINE ET LOIRE TITRE VIII PRESCRIPTIONS APPLICABLES AUX ACTIVITES D'ELEVAGE ET AUTRES ACTIVITES AGRICOLES Arrêté préfectoral du 20 novembre 1985 153.1. Champ d application
Plus en détailREGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL TITRE VIII. Prescriptions applicables aux activités d élevage et autres activités agricoles
REGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL TITRE VIII Prescriptions applicables aux activités d élevage et autres activités agricoles (Les dispositions ci-dessous ne s appliquent qu aux installations non soumises
Plus en détailLutte contre l étalement urbain
Lutte contre l étalement urbain L étalement urbain et la consommation d espace résultent de plusieurs causes cumulatives. Ces phénomènes s expliquent notamment par l insuffisance et l inadaptation de l
Plus en détailMINISTERE DE LA REGION WALLONNE
MINISTERE DE LA REGION WALLONNE Direction générale des Ressources naturelles et de l Environnement Direction générale de l Aménagement du Territoire, du Logement et du Patrimoine Décret du 11 mars 1999
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détailProtocole sur les principes de constructibilité en zone agricole
Protocole sur les principes de constructibilité en zone agricole PREFECTURE DE L EURE Avant propos pour la préservation du potentiel agricole eurois L agriculture est une composante majeure de l activité
Plus en détailPRÉFECTURE DE LA VENDÉE DIRECTION DÉPARTEMENTALE DES AFFAIRES SANITAIRES ET SOCIALES RÈGLEMENT SANITAIRE DÉPARTEMENTAL EXTRAIT TITRE VIII
PRÉFECTURE DE LA VENDÉE DIRECTION DÉPARTEMENTALE DES AFFAIRES SANITAIRES ET SOCIALES RÈGLEMENT SANITAIRE DÉPARTEMENTAL EXTRAIT TITRE VIII "PRESCRIPTIONS APPLICABLES AUX ACTIVITES D ELEVAGE ET AUTRES ACTIVITES
Plus en détailL eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011
L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailFiche méthodologique pour l élaboration des PLU. Protection des captages d'alimentation en eau destinée à la consommation humaine
Fiche méthodologique pour l élaboration des PLU Dans le cadre de l évolution de l action de l État en Isère, une démarche a été entreprise en vue d élaborer des positions partagées en matière d urbanisme.
Plus en détailSamedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique
Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique REGLEMENT GENERAL Le Clos du Verger organise cette année les Champêtreries a Jasseron le 23 Mai 2015. Au programme : Marché des animaux
Plus en détailMerci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)
15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES L élevage, comme l agriculture dans son ensemble, a connu d importantes mutations depuis le début du XXème siècle. De structures familiales, ce secteur est passé
Plus en détailPLAN DE PRÉVENTION DES RISQUES TECHNOLOGIQUES. Établissement OM GROUP. Communes de SAINT-CHERON et de SERMAISE
PRÉFECTURE DE L'ESSONNE DIRECTION DÉPARTEMENTALE DES TERRITOIRES DE L'ESSONNE DIRECTION RÉGIONALE ET INTERDÉPARTEMENTALE DE L'ENVIRONNEMENT ET DE L'ÉNERGIE D'ÎLE-DE-FRANCE Unité territoriale de l'essonne
Plus en détailLa mise en œuvre du principe de participation du public défini à l article 7 de la charte de l environnement
La mise en œuvre du principe de participation du public défini à l article 7 de la charte de l environnement Journée de formation commissaires enquêteurs du 14 novembre 2013 Crédit photo : Arnaud Bouissou/MEDDE
Plus en détailLa réforme du permis de construire et des autorisations d urbanisme
La réforme du permis de construire et des autorisations d urbanisme 1 PREAMBULE Quelques dates pour situer la réforme du permis de construire 2 Le permis de construire en quelques dates 1852 : décret relatif
Plus en détailCONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détail6 NOVEMBRE 2003. - Arrêté du Gouvernement wallon relatif à l'octroi d'aides à l'agriculture Biologique
6 NOVEMBRE 2003. - Arrêté du Gouvernement wallon relatif à l'octroi d'aides à l'agriculture Biologique Le Gouvernement wallon, Vu la loi du 28 mars 1975 relative au commerce des produits de l'agriculture,
Plus en détailLettre d actualité de l urbanisme
n 3 Février 2010 Lettre d actualité de l urbanisme de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer du Calvados 1- ACTUALITÉ DES DÉCISIONS DU CONSEIL D'ÉTAT Décision du conseil d'etat (CE) n
Plus en détailBrou-sur-Chantereine Elaboration du PLU Compte-rendu de la réunion publique de présentation du diagnostic 20 janvier 2011 1
1. Avant-propos de Monsieur Bréhaux (adjoint au maire en charge de l urbanisme) : L importance du P.L.U. en tant qu outil législatif permettant une maîtrise de l urbanisme de la commune est rappelée aux
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailZone d Aménagement Concerté et Lotissement
ZAC et Lotissement - Version 1 - Juin 2012 Zone d Aménagement Concerté et Lotissement Définition générale : Il existe deux procédures différentes permettant de réaliser une opération d aménagement : la
Plus en détailAVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006
AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.1565 Liège, le 23 octobre 2006 Objet : Demande de permis unique relative à la régularisation d une porcherie d engraissement de 3.500 porcs et d une étable de 30 bovins à Kettenis
Plus en détailDRAVEIL élabore son PLU
DRAVEIL élabore son PLU Réunion publique de quartier DANTON -LA VILLA DOMAINE DE VILLIERS Plan Local d Urbanisme VILLE DE DRAVEIL 10 JUIN 2010 La ville dans son contexte Situation géographique 19kmausuddeParis
Plus en détailRéforme relative au permis de construire et aux autorisations d urbanisme
Avril 2006 Note d information juridique Agence d Urbanisme du Territoire de Belfort Centre d Affaires des 4 As BP 107-90002 Belfort Cedex Tél : 03 84 46 51 51 - Fax : 03 84 46 51 50 Courriel : autb@autb.asso.fr
Plus en détailCONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016
Département Administration Paris, le 3 mars 2014 et Gestion Communales VP/AH/Note 11 Affaire suivie par Véronique PICARD CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 La continuité - maintien du montant
Plus en détailOrganisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe
Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne
Plus en détailEPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80
Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES
Plus en détail& Que choisir. favoriser le bien-être
Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider
Plus en détailMajoration de la taxe foncière sur les propriétés non bâties des terrains constructibles Art. 1396 du Code Général des Impôts
LES OUTILS D'INCITATION FISCALE Majoration de la taxe foncière sur les propriétés non bâties des terrains constructibles Art. 1396 du Code Général des Impôts La valeur locative cadastrale servant à l'établissement
Plus en détailDe vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités
De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom
Plus en détailPROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGRO-ALIMENTAIRE ET DE LA FORET (articles L361 1 à 21 et D361 1 à R361 37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES DE RECOLTE SUR LES POMMES A COUTEAU ET LES POMMES
Plus en détailL avenir de notre ville, parlons-en. publique. Projet de. hôtel de ville. Enquête
L avenir de notre ville, parlons-en Projet de > Enquête publique 5 MARS > 5 AVRIL 2012 hôtel de ville QU EST-CE QUE LE PLU? 2 3 AMÉNAGEMENT ET DÉVELOPPEMENT DURABLE LES OBJECTIFS DU PADD (Projet d aménagement
Plus en détailFICHE PRATIQUE 05 TRAVAUX EN ESPACES PROTÉGÉS LES AUTORISATIONS DE TRAVAUX EN ESPACES PROTÉGÉS QUESTIONS / RÉPONSES
LES AUTORISATIONS DE TRAVAUX EN ESPACES PROTÉGÉS QUESTIONS / RÉPONSES FICHE PRATIQUE 05 TRAVAUX EN ESPACES PROTÉGÉS COMMENT PRÉPARER LES DEMANDES? QUELLES SONT LES RÈGLES A RESPECTER? MINISTÈRE DE LA CULTURE
Plus en détailREGLEMENT RELATIF AUX AIDES AUX INVESTISSEMENTS DU PROJET GLOBAL «PROJET GLOBAL INVESTISSEMENT»
REGLEMENT RELATIF AUX AIDES AUX INVESTISSEMENTS DU PROJET GLOBAL «PROJET GLOBAL INVESTISSEMENT» Version : 31 mars 2014 VU : - Règlement (CE) n 1698/2005 du Conseil du 20 sept embre 2005 concernant le soutien
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailTAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes
TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation
Plus en détailCOMMUNE DE SASSENAGE
COMMUNE DE SASSENAGE PLAN LOCAL D URBANISME 3. RÈGLEMENT ------------------------- ------------------------- Direction de l aménagement urbain. Modification n 2 SOMMAIRE TITRE I DISPOSITIONS GENERALES
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détailTableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées
Codes l'environnement Décret 95-22 du 9 janvier relatif à la limitation du bruit des aménagements et transports terrestres mai relatif au bruit des 97-110 du 12 relative à la prise en compte du bruit dans
Plus en détailAVANT- PROJET DE DECRET
AVANT- PROJET DE DECRET abrogeant les articles 1er à 128 et 129 quater à 184 du Code wallon de l aménagement du territoire, de l urbanisme, du patrimoine et de l énergie et formant le Code du développement
Plus en détail>> L ECRITURE DU REGLEMENT : ZONAGE
1 >> L ECRITURE DU REGLEMENT : ZONAGE ZONE A Jean-François Inserguet, maître de conférences à l'université de Rennes II Fiche 4 LES CONSTRUCTIONS ET INSTALLATIONS ADMISES EN ZONES A En dehors des secteurs
Plus en détailNOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C
REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,
Plus en détailLA LOI «ENL» L URBANISME
LA LOI «ENL» ET L URBANISME Dans le prolongement des travaux de la commission Pelletier, la loi n 2006-872 du 13 juillet 2006 portant engagement national pour le logement dite «ENL» se veut dans le champ
Plus en détailLa lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012
La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'essonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée
Plus en détailREGIME JURIDIQUE DE MANIFESTATIONS SPORTIVES SUR LA VOIE PUBLIQUE
REGIME JURIDIQUE DE S SPORTIVES SUR LA VOIE PUBLIQUE S SPORTIVES QUI NE SONT SOUMISES NI A AUTORISATION, NI A DECLARATION : Il résulte des dispositions de l'article R 331-6 du code du sport que ne rentrent
Plus en détailObjet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution
Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détail1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T
1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T 2. RECHERCHE DE SITES 2.1 Les objectifs 2.2 Les contraintes environnementales liés à l aménagement du territoire liées au transport liés aux documents d urbanisme 3.
Plus en détailPRÉFET DE LA HAUTE-CORSE LE PRÉFET DE LA HAUTE-CORSE, Vu le code de l environnement, et notamment ses articles L. 515-12 et R. 515-24 à R.
DIRECTION RÉGIONALE DE L'ENVIRONNEMENT, DE L'AMENAGEMENT ET DU LOGEMENT PRÉFET DE LA HAUTE-CORSE Arrêté instituant les servitudes d'utilité publique dans le périmètre des deux cents mètres autour de l'installation
Plus en détailL agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013
L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture
Plus en détailLa circulation agricole
La circulation agricole Immatriculation Signalisation Conduite de tracteur Formation des conducteurs de poids lourds Règles de transport des animaux vivants Chambre d Agriculture de l Allier Service Juridique
Plus en détailCOMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL
COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du mercredi 10 Décembre 2014 Après avoir approuvé le compte rendu de la réunion du 12 novembre 2014, le conseil municipal a examiné les dossiers et pris
Plus en détailL injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel
L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF
Plus en détailVision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire
Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...
Plus en détailSTOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie
PREFECTURE REGION NORD PAS DE CALAIS Direction Régionale de l Environnement Nord - Pas de Calais Service Eau, Milieux Aquatiques et Risques Naturels Cellule Réglementation et Gestion Territoriale de l'eau
Plus en détailFnasat-Gens du voyage
Fnasat-Gens du voyage Fédération nationale des associations solidaires d action avec les Tsiganes et Gens du voyage Paris, le 11 mai 2015 59, rue de l Ourcq 75019 Paris Tél. 01 40 35 00 04 Fax 01 40 35
Plus en détailUne démarche engagée dans le cadre du Réseau Rural bas-normand
Longtemps dédiés au monde agricole, les espaces ruraux ont connu ces dernières années des transformations, dues notamment, à l arrivée de nouveaux habitants, néo-ruraux pour la plupart. L espace rural
Plus en détailMémorandum juridique mai 2006
Mémorandum juridique mai 2006 v 0605101044 Le contentieux du permis de construire Bâtiments agricoles et ruines Urbanisme et construction Habitations légères de loisirs Camping et stationnement de caravanes
Plus en détailRÈGLEM ENT DU S.P.A.N.C. SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEM ENT NON COLLECTIF COMMUNAUTÉ DE COMMUNES JURA SUD
RÈGLEM ENT DU S.P.A.N.C. SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEM ENT NON COLLECTIF COMMUNAUTÉ DE COMMUNES JURA SUD 87 Avenue de Saint Claude - 39260 Moirans-en-Montagne - Tél. : 03.84.42.61.20 Fax : 03.84.42.38.03
Plus en détailMAIRIE de SAINT-PIERRE d'autils 59 rue du Puits 27950 SAINT PIERRE D AUTILS
DÉPARTEMENT DE L'EURE - ARRONDISSEMENT D ÉVREUX - CANTON DE VERNON-NORD Tel : 02 32 52 22 17 Fax : 02 32 52 94 97 Email : mairie.saint-pierre.autils wanadoo.fr MAIRIE de SAINT-PIERRE d'autils 59 rue du
Plus en détailSYNTHÈSE DES ARTICLES ALUR/HABITATS LÉGERS: Article 59 :
SYNTHÈSE DES ARTICLES ALUR/HABITATS LÉGERS: Article 59 : Le PLU ou la carte communale doit tenir compte des besoins présents et futurs de l'ensemble des modes d'habitat. Analyses : Points forts : Disparition
Plus en détailARRETE PREFECTORAL. portant enregistrement de l'entrepôt de stockage de matériels électriques de la société GEMFI à Châteaubourg
PREFECTURE Direction de la Coordination Interministérielle et de l'action Départementale Bureau des installations classées ARRETE PREFECTORAL portant enregistrement de l'entrepôt de stockage de matériels
Plus en détailCommission de suivi de site STORENGY
Commission de suivi de site STORENGY Réunion du 8 octobre 2014 Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du Logement Rhône-Alpes www.developpement-durable.gouv.fr Plan 1- Rappel des objectifs
Plus en détailREGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF. Obligations des propriétaires. Dispositions générales
REGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Les cases grisées de commentaires sont à supprimer avant toute diffusion Le règlement du service, délibéré et voté par l'assemblée délibérante dans
Plus en détailET EQUIPEMENTS ASSOCIES DES EXPLOITATIONS AGRICOLES» DEMANDE DE SUBVENTION 2015
Préfet de la région Bretagne Soutien aux investissements d'amélioration de la performance globale et de la durabilité de l'exploitation agricole Type d'opération 411 du Programme de Développement Rural
Plus en détailTITRE I DISPOSITIONS GÉNÉRALES. Le présent Règlement s'applique sur la totalité du territoire communal de SAINT-JEAN-DE-BEAUREGARD.
1 TITRE I DISPOSITIONS GÉNÉRALES Ce Règlement est établi conformément aux dispositions du Code de l'urbanisme (C.U) et notamment de ses articles R. 123-4 et R. 123-9. ARTICLE 1 - Champ d'application territorial
Plus en détailMardi 19 mai 2015 20h30-22h30
CONSEIL DE QUARTIER DU CENTRE Mardi 19 mai 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre réglementaire
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du logement et de l égalité des territoires
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du logement et de l égalité des territoires Instruction du Gouvernement du 28 Mai 2014 relative au développement de la construction de logement par dérogation aux règles
Plus en détailRECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM)
RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) Edition 2008 2013 CDAJE 38 Commission départementale de l accueil des jeunes enfants CDAJE 38 1 Par dérogation à l article
Plus en détailGESTION DU COURRIER CAHIER DES CHARGES
GESTION DU COURRIER CAHIER DES CHARGES FEVRIER 2012 SOMMAIRE Avant-propos 3 Attendu de la mission 4 Contenu de la mission lot n 1 et lot n 2 4 Contenu de la mission lot n 3 et lot n 4 5 Eléments à produire
Plus en détailVersion définitive approuvée après enquête publique
Secteurs 3 et 4 de Marne-la-Vallée et communes environnantes Phase 3 Version définitive approuvée après enquête publique ROLAND RIBI & ASSOCIES Ingénieurs-conseils et urbanistes s.à.r.l. 15, avenue de
Plus en détailRécépissé de depôt d une demande de transfert d un permis délivré en cours de validité
Récépissé de depôt d une demande de transfert d un permis délivré en cours de validité Madame, Monsieur, Vous avez déposé une demande de transfert d un permis délivré en cours de validité. Le délai d instruction
Plus en détailLa mise en oeuvre de la réforme du droit des sols. Laurent LEBON DDE 59 SUCT/ADS 1
La mise en oeuvre de la réforme du droit des sols Laurent LEBON DDE 59 SUCT/ADS 1 Les textes de référence : ordonnance n 2005-1527 du 8 décembre 2005 relative au permis de construire et aux autorisations
Plus en détailIDENTIFICATION DU DEMANDEUR Rq : pour les agriculteurs : laisser la possibilité de coller l étiquette d identification pré-remplie basée sur le S1
n 13 681*02 MINISTÈRE DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE, DE LA PÊCHE, DE LA RURALITÉ ET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION
Plus en détailCHAPITRE NCa POS APPROUVE LE 27/09/01 ET MODIFIE LE 29/09/05
POS APPROUVE LE 27/09/01 ET MODIFIE LE 29/09/05 CHAPITRE NCa ZONE DE RICHESSES NATURELLES, OU LA POSSIBILITE D'EXPLOITER DES CARRIERES DOIT ETRE PRESERVEE. SECTION 1 - NATURE DE L'OCCUPATION DU SOL ARTICLE
Plus en détailDéclaration d intention d aliéner ou demande d acquisition d un bien soumis à l un des droits de préemption prévus par le code de l urbanisme
Ministère chargé de l urbanisme Déclaration d intention d aliéner un bien (1) Demande d acquisition d'un bien (1) Déclaration d intention d aliéner ou demande d acquisition d un bien soumis à l un des
Plus en détailIndice de Confiance agricole Crelan 2015
Indice de Confiance agricole Crelan 2015 Résultats marquants La confiance des agriculteurs est à la baisse en Belgique et surtout dans le secteur laitier L appréciation du résultat financier recule en
Plus en détailPrescriptions urbanistiques pour l implantation d une petite éolienne
Version du sept. 00 Prescriptions urbanistiques pour l implantation d une petite éolienne VENT La présence d'une éolienne doit être compatible avec les autres affectations de l'espace environnant. C'est
Plus en détailREGLEMENT GENERAL DE LA MAISON DES ASSOCIATIONS
REGLEMENT GENERAL DE LA MAISON DES ASSOCIATIONS 1. Objet de la maison des associations. La maison des associations est un lieu de développement et de soutien de la vie associative. Elle doit permettre
Plus en détailMESURES D ACCOMPAGNEMENT
LIVRET VI MESURES D ACCOMPAGNEMENT DE LA MISE EN ŒUVRE DU SCOT ET SUIVI DE L ANALYSE DE LA SITUATION 127 Sommaire I DES MESURES D ACCOMPAGNEMENT DE LA MISE EN ŒUVRE DU SCOT page 126 HABITAT EQUIPEMENTS
Plus en détailMercredi 10 juin 2015 20h30-22h30
CONSEIL DE QUARTIER DU GUICHET Mercredi 10 juin 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre
Plus en détailEn zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe
Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne
Plus en détailCharte d exploitation et de demande d accès aux Géoservices. Plateforme Territoriale GUYANE SIG
Charte d exploitation et de demande d accès aux Géoservices Plateforme Territoriale GUYANE SIG 25/02/2014 SOMMAIRE 1. LEXIQUE... 3 2. DEFINITION... 3 3. DOMAINE D APPLICATION... 3 A. Objet... 3 B. Bénéficiaires...
Plus en détailPREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE
PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE DIRECTION REGIONALE DE L ALIMENTATION DE L AGRICULTURE & DE LA FORET Service Régional de la Forêt & du Bois Arrêté du 13 août 2009 conditions de financement par des aides
Plus en détailMINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)
MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE
Plus en détailPermisd environnement. au sein des exploitationsagricoles wallonnes
Permisd environnement au sein des exploitationsagricoles wallonnes ñ Mot du Ministre Protéger et simplifier En juillet 2004, dès mon entrée en fonction, je me suis attaché à une réforme des permis d environnement.
Plus en détailLa nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène»
La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» Direction Départementale des Services Vétérinaires de Meurthe-et-Moselle Plan 1. Objectifs de la réforme 2. Quels
Plus en détailRÉFORME DES AUTORISATIONS D URBANISME
INFORMATIONS JURIDIQUES J 14 Mutuelle des architectes français assurances OCTOBRE 2007 ANNULE ET REMPLACE LA FICHE J 14 DE FÉVRIER 1998 RÉFORME DES AUTORISATIONS D URBANISME La réforme des autorisations
Plus en détailStationnement de caravanes ou résidences mobiles. Guide à l attention des élus. Direction Départementale des Territoires
Stationnement de caravanes Stationnement ou résidences mobiles de caravanes ou résidences mobiles Guide à l attention des élus Direction Départementale des Territoires Édition mai 2013 Préambule Ce guide
Plus en détail