Campagne budgétaire et tarifaire 2014
|
|
- Estelle St-Germain
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Campagne budgétaire et tarifaire 2014 Journée d information du 27 mai 2014
2 Sommaire Le contexte national et les orientations 2014 Le bilan régional : Comment se porte la région? Quelles perspectives pour 2014 et pour les années à venir?
3 ODMCO/ MIGAC + 2,64 % Le contexte national et les orientations 2014 Autres Établisse- -ments (Hors T2A) +1,29 % ODMCO + 2,68% (49 444M ) MIGAC + 2,36 % (6 139M )
4 La sur-exécution de l ONDAM hospitalier 2013 : l utilisation des réserves Champ MCO ex-dg (ATIH) Part tarifs : entre +76M et +113M avec un volume annuel à 2,8% Liste en sus: entre +237M et +240M Forfaits annuels : -5M ODMCO ex OQN ODMCO ex DG Sur exécution comprise entre +308M et +347M OQN Champ MCO ex-oqn (CNAMTS) Part tarifs : -127M Liste en sus : +4M Forfaits annuels : -9M Champ OQN (CNAMTS) OQN SSR : +23M OQN PSY : -1M Sous exécution de -132M Sur exécution* ONDAM ES comprise entre +198M et +237M Sur exécution de +22M Données disponibles à fin février : 12 mois sur secteur ex-dg et 11 mois sur ex-oqn et OQN *Uniquement sur enveloppes ouvertes et hors mises en réserve. Les mises en réserve 2013 permettent de couvrir intégralement cette sur-exécution
5 L Objectif National des Dépenses AM progresse de moins en moins rapidement : +2,4% en 2014 L ONDAM ES est porté à 75,5 Md soit une progression de + 2,3% (+2,6% en 2013) L ONDAM des établissements de santé suit le même tendanciel que l ONDAM Général. Celui-ci affiche une progression de + 2,4% (contre 2,7% en 2013) Evolution de l'ondam et de l'ondam établissements de santé 3,00% 2,80% 2,70% 2,70% 2,60% 2,40% 2,3% 2,00% 1,00% 0,00% ONDAM global ONDAM établissements de santé
6 Répartition de l ONDAM établissements de santé 2014 ODMCO/ MIGAC + 2,64 % ODMCO + 2,68% (49 444M ) MIGAC + 2,36 % (6 139M ) Autres Établisse- -ments (Hors T2A) +1,29 % DAF + 1,72% (15 541M ) OQN + 2,91 % (2 808M ) DAF USLD + 1,52 % (1 025M ) FMESPP -28,88 % (263,3M )
7 Le volet «tarification à l activité MCO» Ex DG et OQN Minoration des tarifs MCO (coefficient prudentiel) Taux : 0,35% sur les deux secteurs (idem en 2013) Ressources correspondantes : 118 M au global ODMCO Secteur ex-dg : permet de couvrir une évolution d activité de +3,15% Secteur ex-oqn : permet de couvrir une évolution d activité de +2,35% Le volet «tarification OQN psy et SSR» Secteur psy : étab. à but lucratif : - 0,38% Secteur SSR : étab. à but lucratif : - 0,41% et étab. à but non lucratif : +0,23% Les tarifs prennent en compte les avantages fiscaux liés au CICE
8 Les tarifs journaliers de prestation Préconisation inscrite dans la circulaire de campagne tarifaire : Respect des règles de calcul énoncées dans le décret N du 23/02/2009. Pour les TJP supérieurs de plus de 15% au niveau duquel il devrait être => enclenchement d une diminution progressive des TJP. Pour 2014, cette baisse est fixée à 5% du TJP au maximum En région : Cette diminution est demandée aux établissements dont la situation budgétaire 2013 est équilibrée ou qui ont une croissance des produits de l activité 2013 supérieur à celui fixé par l ONDAM 2013 (+2,6%) En cas de difficulté à absorber cette baisse immédiate : programmation de cette baisse selon un plan pluriannuel en vue de se mettre en conformité avec la réglementation
9 Le volet «dotations DAF, MIGAC et USLD» Délégations 1 ère circulaire Niveau national : 94,6% des dotations MIGAC, DAF, USLD délégués en 1 ère circulaire => M MIGAC : 5,4Mds USLD : 0,998Mds DAF : 15 Mds DAF MIGAC USLD
10 Le volet «dotations DAF, MIGAC et USLD» Délégations 1 ère circulaire Délégation 1ère circulaire tarifaire 2 Mds MIGAC : 0,478Mds USLD : 0,093Mds DAF : 1,435 Mds DAF MIGAC USLD MIGAC : 61% des crédits MIGAC délégués sont des MIG JPE 95% des mesures nouvelles MIGAC sont des JPE
11 Le volet «dotations DAF, MIGAC et USLD» Délégations 1 ère circulaire Premiers arrêtés de notification MIGAC : 0,425Mds USDL : 0,0922Mds DAF : 1,4 Mds DAF MIGAC USLD 95% des crédits régionaux ont été notifiés => 1,916Mds
12 Le volet «FIR avec la part hôpital» Un périmètre inchangé en vue de stabiliser le fonctionnement du FIR Un 7éme sous objectif ONDAM identifié pour la première fois dans le cadre de la LFSS Des ressources régionales en progression de 1,25% (après gel) DELEGATION RRA TOTAL CREDITS FIR (après gel) ,25% crédits assurance maladie (ONDAM) ,40% crédits offre de soins crédits prévention dont CDAG dont prévention hors CDAG dont démocratie sanitaire crédits Etat ,40% Crédit CNSA ,32%
13 Les orientations : diminuer la charge hospitalière, moderniser les structures et les organisations Développer les démarches préventives Accompagner la mise en place des parcours de santé Faciliter l accès aux soins et soutenir les organisations innovantes et la performance Soutenir l investissement Développer la démocratie sanitaire
14 ODMCO/ MIGAC + 2,64 % Le bilan régional : Comment se porte la région? Autres Établisse- -ments (Hors T2A) +1,29 % ODMCO + 2,68% (49 444M ) MIGAC + 2,36 % (6 139M )
15 RA en tête des progressions de recettes T2A
16 progression ( ) rembt capital ( ) Situation des établissements ex-dg T2A (MCO) en 2013 Evolution du résultat d exploitation de 2010 à 2013 L accroissement, au global, de la performance économique a couvert le surcoût de la modernisation malgré la baisse des aides L équilibre financier supposerait un taux de marge de prés de 8% RESULTATS CRP (secteur T2a Mco) RIA 2013 Equilibre Produits d'exploitation hors aides Marge brute non aidée (MBE) Taux marge brute non aidée (MBE) 3,3% 4,9% 4,9% 5,7% 7,7% Aides financières Op. financières Assimilées financières * Lamda T2a (exercices antérieurs) Op. exceptionnelles Capacité autofinancement CAF Op. calculées et op. d'ordre ** Résultat comptable * Loyers immobiliers de type BEH ou SCI (société civile immobilière) En milliers d'euros ** Dotations aux amortissements et fonds de provisions (pas de décaissements)
17 Situation des établissements ex-dg T2A (MCO) en 2013 Ce bon résultat a été soutenu par la croissance des produits : tendance pas forcément reproductible Les produits de l activité hospitalière croissent plus rapidement que les charges d exploitation Produits de l activité hospitalière Charges nettes d'exploitation 120,0 118,0 116,0 114,0 112,0 110,0 108,0 Total CHU Hop. SUP Mbe 6% (B) Hop. INF Mbe 6% (A) Hop INF Mbe 6% +3,71% / an 120,0 118,0 116,0 114,0 112,0 110,0 108,0 +2,75% / an 106,0 106,0 104,0 104,0 102,0 102,0 100,0 100,0 98, ,
18 Situation des établissements ex-dg T2A (MCO) en 2013 Evolution productivités : PM <0, PNM >0 Evolution autres charges = produits 120,0 118,0 116,0 114,0 112,0 110,0 108,0 106,0 104,0 102,0 Charges exploitation Charges PM Charges PNM Autres charges Structure % 24% 58% 100,
19 Des évolutions très différenciées (4 catégories) : - CHU - Etablissements MBE sup. à 6% - Etablissements MBE inf. à 6% (A) - Etablissements MBE inf. à 6% (B) RIA 2013 RESULTATS secteur T2a MCO Total CHU Hop. SUP (B) Hop. INF (A) Hop. INF Mbe 6% Mbe 6% Mbe 6% Marge brute non aidée (MBE) Taux marge brute non aidée (M BE) 3,3% 0,9% 7,1% 4,7% 3,3% Marge brute non aidée (MBE) Taux marge brute non aidée (M BE) 4,9% 3,9% 7,5% 4,5% 4,1% Marge brute non aidée (MBE) Taux marge brute non aidée (M BE) 4,9% 4,1% 8,0% 4,1% 3,3% Produits exploitation hors aides Répartition 100% 43% 26% 14% 17% Marge brute non aidée (MBE) Capacité autofinancement CAF Résultat comptable Taux marge brute non aidée (M BE) 5,7% 5,5% 9,6% 3,3% 2,2% Nombre d'établissements En milliers d'euros
20 Evolution limitée des dépenses : CHU et groupe A Progression forte des recettes : groupe B et autres étab. Une situation de désajustement dans chacune de ces catégories Produits de l activité hospitalière Charges nettes d'exploitation 120,0 118,0 116,0 114,0 112,0 110,0 108,0 106,0 Total CHU Hop. SUP Mbe 6% (B) Hop. INF Mbe 6% (A) Hop INF Mbe 6% +6,0% / an +3,71% / an +2,8% / an 120,0 118,0 116,0 114,0 112,0 110,0 108,0 106,0 Désajustement +5,0% / an +2,75% / an Désajustement 104,0 104,0 102,0 100,0 102,0 100,0 +1,0% / an 98, ,
21 Décomposition PM et PNM : - groupe A : PM <0 et PNM en diminution relative - groupe B : PM <0 - PM stable et PNM >0 pour les autres groupes Charges de personnel médical (PM) - productivité < 0 Charges de personnel non médical (PNM) 128,0 126,0 124,0 122,0 120,0 118,0 116,0 114,0 112,0 110,0 108,0 106,0 104,0 102,0 100,0 98,0 Total CHU Hop. SUP Mbe 6% (B) Hop. INF Mbe 6% (A) Hop INF Mbe 6% ,0 126,0 124,0 122,0 120,0 118,0 116,0 114,0 112,0 110,0 108,0 106,0 104,0 102,0 100,0 98,0 + productivité >
22 Groupe CHU: 43% des produits exploitation secteur (2.492M ) Taux MBE 2013 : 5,5% Surendettement et peu de marge de manœuvre Investissement soutenu par l apport des cessions (HCL) Trois CREF conclus ou encours de réactualisation avec des objectifs de marge réévalués à 7% ou 8% d ici 2016 Groupe >6% : 26% des produits exploitation secteur (1.472K ) Taux MBE 2013 : 9,6% Endettement limité et marges de manœuvre élevées Investissement important Réserves financières importantes
23 Groupe A < 6% : 17% des produits exploitation secteur (960M ) Taux MBE 2013 : 2,2% Endettement limité mais non couverture des engagements Investissement limité mais, malgré cela, un épuisement des ressources financières Emergence de situations de rupture de trésorerie Groupe B < 6% : 14% des produits exploitation secteur (814M ) Taux MBE 2013 : 3,3% Surendettement et non couverture à minima des engagements Investissement soutenu avec, en contrepartie, un épuisement des ressources financières Emergence de situations de rupture de trésorerie
24 Les actions menées par l ARS : Les aides financières Un total de 211 M affecté, pour 85%, à la couverture des investissements passés (55 M ) ou à venir (124 M ) AIDES FINANCIERES Investissement Surendettement plans nat. (suppl. tarifs) Systèmes d'information Opérations immobilières (aides capital) Exploitation - Trésorerie Avances de trésorerie (solde) Accompagnements exploitation Tensions financières - aide trésorerie Total
25 Les actions menées par l ARS : Les aides financières Investissement : les projets immobiliers (118,2 M ) INVESTISSEMENT Opérations immobilières 26 CH Valence et HDN CH Montélimar CH Tullins CH Bourgoin -Jallieu CH Roanne Mutualité du Rhône- Cl. du Tonkin Hospices Civils de Lyon Centre Léon Bérard CH Givors CH Tarare Accompagnement annuel op. étab PSY Accompagnement annuel op. étab SSR Equipement USLD 719 Reprise subvention Total * Délégations de crédits FIR
26 Les actions engagées en 2013 Sur l offre de soins Cancérologie : seuils d activité et autorisations SSR : la mise en œuvre d une procédure de révision du schéma Contrats de modernisation : une vision territoriale structurée autour des parcours de soins En termes d accompagnement Performance : biologie, chirurgie ambulatoire, gestion des lits et politiques d achats CREF : CHU (conclus), CLB et Hôpital Saint Joseph Saint Luc (en cours de validation), CH Roanne (AP) Soutien aux investissements Aides trésorerie
27 ODMCO/ MIGAC + 2,64 % Quelles perspectives pour 2014 et les années à venir? Autres Établisse- -ments (Hors T2A) +1,29 % ODMCO + 2,68% (49 444M ) MIGAC + 2,36 % (6 139M )
28 1.1 - Les orientations : Le parcours de soins urgents et soins non programmés Contexte : Evolution des modes de financement SAMU, médecine d urgence Problématiques de démographie médicale sur les urgentistes Orientations relatives à l amélioration des parcours : Réflexion régionale menée sur les centres de soins de premier recours avec petits plateauechniques et sur le déploiement des MCS Evaluation des structures à faible activité Accompagnement de la réorganisation des SAMU organisation des transports héliportés; rapport d activité, organisation des SAMU (Loire en particulier)
29 Modélisation de la MIG SAMU par la DGOS en 2014 Suite à la concertation à laquelle ont pris part les ARS et les syndicats de professionnels Ajustement de la méthodologie de redressement populationnel pour gérer les fortes disparités de taux de DR et DRM/habitan. Création d un forfait «Rôle institutionnel départemental du SAMU» de 50 k, qui s ajoute au financement de 700 k par poste de régulateur médical H24. Modulation du taux de frais de fonctionnement en fonction de la taille du SAMU de la façon suivante : 17.5% pour les plus gros SAMU, 12.5% pour les petits SAMU, 15% pour ceux de taille intermédiaire. Pour les ARM, le calcul des effectifs modélisés est basé sur les DR ( et non plus les DRM). Lissage des effets de seuil entre les niveaux d activité pour les effectifs modélisés d ARM et de médecins
30 Comparaison de la modélisation nationale et régionale de la MIG Il existe des différences importantes entre les 2 modèles alors que la philosophie est la même «établir une dotation sur la base de l activité». Le modèle Rhône-Alpes fait une répartition des crédits directement proportionnelle à l activité des SAMU (affaires puis dossiers de régulations) audelà de DR. Pour les premiers DR chaque SAMU a une dotation pour une équipe type qui est constituée de 1 PH et 2 PARM et de 10% de charges de structures ( coût 2012). Au-delà, c est le nombre de DR qui détermine la dotation (12,72 par DR). Il y a donc qu un seul seuil puis l évolution est linéaire. Le modèle national est beaucoup plus complexe et fin, il crée au moins 3 seuils de répartition des moyens humains en fonction de l activité des SAMU et ces seuils sont différents selon les niveaux d activité. Il tient compte de 4 paramètres : le nombre de dossiers de régulation médicale, la part des DRM régulées par les médecins régulateurs libéraux déjà financée par l assurance maladie et le nombre de ligne H24 de médecins régulateurs AMU et des ARM.
31 Conséquence de l application de la modélisation sur la MIG SAMU de Rhône-Alpes Selon la modélisation nationale à partir de la MIG 2012, la région Rhône- Alpes perd près de 9,37 % de sa dotation (-2 M ). Cette baisse sera lissée sur 3 ans. Si la modélisation nationale était appliquée dès cette année, il y aurait des écarts importants de dotation pour les SAMU ; 4 SAMU sont perdants sur 9 L ARS a fait le choix d appliquer la modélisation régionale pour répartir la MIG entre les SAMU avec une baisse de 3% par an pour l ensemble des SAMU de la région, jusqu à la fiabilisation des données issues des systèmes d informations des SAMU, puis application du modèle national plus juste. Réflexion en cours avec les représentants des SAMU pour fiabiliser les relevés d activité et application du modèle national en 2015
32 1.2 Les plateaux techniques (chirurgie et biologie publique) Contexte national : Développement de la chirurgie ambulatoire - objectif de 50% à horizon 2016 Constat des évolutions réalisées : Une offre de chirurgie ambulatoire très dispersée en ce qui concerne les EPS Certification de la biologie et enjeux en termes organisationnels et de performance Orientations : Créer des plateformes ambulatoires publiques performantes (coopérations des EPS entre eux) Réduire les capacité d accueil de la chirurgie HC Créer des plateformes de biologique publique (projet en cours de concertation)
33 : Evolution du Taux régional de chirurgie ambulatoire de 2009 à % 45% 40% 2009: 33,9% 35% 2010: 35,6 % 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% Taux chir ambu Rhône-Alpes ,90% 35,6% 37,5% 38,9% 41,6% CPOM ETAT-ARS RA Taux cible à atteindre 2013: 41,7% Taux cible à atteindre 2016: 47,8 %
34 Evolution du Taux de chirurgie ambulatoire de 2011 à 2013 par statut d établissements 50% 45% 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% CH 29,40% 31,00% 32,88% 35,50% CHU 20,10% 23,00% 25,05% 27,30% ESPIC 33,20% 35,30% 37,30% 40,10% Privés 43,00% 44,90% 45,87% 48,50%
35 Evolution du taux de chirurgie ambulatoire de 2010 à 2013
36 Evolution de la chirurgie ambulatoire de 2010 à 2013 par statut d établissements
37 Le soutien aux activités isolées nécessaires en termes de réponse aux besoins Définition : Activités assurées par des établissements MCO situés dans des zones à faible densité populationnelle et répondant à des critères d isolement géographique. Financement dérogatoire de ces activités Modalités de financement, critères caractéristiques des zones et critères d éligibilité des établissements sont à préciser dans le cadre d un décret en Conseil d Etat
38 Activités isolées : critères d éligibilité proposés Etape 1: zone isolée - dans un rayon de 45 min autour de l établissement, l activité MCKO est < à séjours + - la densité dans cette zone est < à 80 hab au km2 Etablissements situés dans des zones isolées Etape 2: identification des activité isolées - temps d accès entre deux ES exerçant une même activité + - atteinte d un niveau de part de marché pour l obstétrique Activités isolées géographiquement Etape 3: pertinence du financement L ES réalise un nombre de séjours ou passage inférieur à un seuil correspondant au point mort de l activité considérée comme isolée Eligibilité au financement dérogatoire
39 Les activités isolées : Modalités de financement envisagées Part fixe calibrée au niveau national : Les établissements isolés qui réalisent un niveau d activité inférieur au «point mort» (niveau d activité théorique équilibrant charges et recettes) bénéficient d un forfait annuel calculé à partir du niveau d activité «manquant» pour atteindre le point mort. Pour les SU isolés, ce forfait s ajoutera au FAU Part variable à l appréciation des ARS: Au financement national (forfait annuel) s ajoute l attribution d une dotation versée par l ARS calibrée en fonction des engagements du CPOM et du constat éventuel de surcoûts spécifiques de l établissement (FIR) de type interim. => Proposition d un financement par seuil en fonction du niveau d activité réalisé et du «point mort»
40 1.3 : Le SSR Evolution du modèle de financement Les objectifs : Un financement venant en appui de la réforme organisationnelle de 2008 Un levier de réponse aux objectifs définis dans les SROS PRS de 2 ème génération : Regrouper les plateaux techniques, développer l ambulatoire, conforter la situation des hôpitaux de proximité, Une répartition équitable et efficiente des enveloppes budgétaires Un mode de financement innovant adapté aux particularités des SSR Un mode de financement prenant en compte la qualité organisationnelle, les bonnes pratiques et l accès pertinent au SSR Un financement adapté aux prises en charge onéreuses et aux missions spécifiques Une prise en compte de la logique de parcours en particulier sur le volet personnes âgées, cancérologie lourde, EVC et AVC
41 1.3 : Le SSR Principales étapes des travaux de construction du modèle de financement Juin 2010 Lancement des travaux sur la réforme de financement SSR Refonte de tous les supports d information Le catalogue des actes de rééducationréadaptation (CsARR) La classification des actes (GME) L étude de coûts (ENC) La réalisation d enquêtes spécifiques 2013/2014 Test France entière des outils et travaux d amélioration Construction de l architecture du modèle cible de financement du SSR avec les fédérations Groupe de travail «modélisation des SSR» avec les ARS
42 1.3 : Le SSR Principales étapes des travaux de construction du modèle de financement Juin 2014 Note de cadrage de la DGOS et arbitrage du Cabinet Ministériel sur le projet de modèle de financement 2015 Poursuite des travaux techniques au vu des tests 2016 Démarrage progressif de la réforme
43 1.3 : Le SSR procédure de renouvellement des autorisations Le calendrier régional : 30 mai 2014 : Dates limites d évaluation des dossiers SSR (dépôts en DD des dossiers par les promoteurs, travail sur le modèle de dossier complet par le groupe technique SSR) Avant le 30 juillet 2014 : Décisions d injonction (arbitrage DEOS, rédaction des arrêtés, mise en ligne du modèle complet de renouvellement) De août à octobre 2014 : Dépôt des dossiers Décembre 2014 : Réunion stratégique de calage pour les rapporteurs Février 2015 : CSOS Avant fin juillet 2015 : Décisions de renouvellement Avant fin décembre 2015 : CPOM
44 2.1 - Les actions menées en termes d optimisation de la gestion Contexte national: Poursuivre le programme PHARE et dégager de nouveaux gains sur les achats Mutualiser les fonctions logistiques (restauration, blanchisserie), administratives, systèmes d informations Orientations régionales: Développer des plateformes logistiques territoriales : organiser un état des lieux et accompagner les initiatives des acteurs sur le terrain Expérimenter la mutualisation de certaines fonctions administratives dans le cadre des CHT : organiser un état des lieux et accompagner les initiatives locales Poursuivre le programme PHARE et accompagner les établissements y compris à un échelon territorial
45 2.1 - Les actions menées en termes d optimisation de la gestion Contexte : Forte évolution de la masse salariale et des ETP personnels médicaux Problématique d organisation médicale liée aux contraintes de démographie médicale Fidélisation des personnels médicaux et amélioration des conditions de travail Orientations : Objectiver des indicateurs de suivi à partir du croisement de différentes bases de données (comptes administratifs retraités, EPRD.) Agir sur la gestion : développer des équipes de territoire, expérimenter des modes de gestion RH médicale commune et territoriale
46 2.2 - Politique d investissement critères de validation des PGFP Contexte : Nécessité de maîtriser la dette à LT (charge annuelle à financer par les tarifs) Recherche d une capacité d épargne minimale et promotion des investissements performants Critère d évaluation des projets d investissement : Portabilité financière, performance et flexibilité Le projet doit s inscrire dans les priorités du schéma Politiques incitatives (concentration des plateaux techniques) SRIS : une démarche engagée et 23 opérations d ores et déjà promues (hors secteur ex OQN : recensement prévu)
47 2.2 - Nouvelle procédure d organisation autour de la campagne budgétaire Rappel et nouveautés de la réglementation en matière d investissements : Décret du 14 décembre 2011 : Autorisation préalable de recours à l emprunt 43 établissements concernés Décret du 23 décembre 2013 : Procédure d évaluation des investissements publics Projets supérieurs à 20 millions d => étude socio-économique Projets supérieurs à 100 millions d => contre expertise requise
48
49
50
51
52
53 Exemples de degrés d efficience attendus (Cibles DGOS / COPERMO) Unités de soins IPDMS en amélioration (cible ARS RA <= 0,9) Unités d'hospitalisation conçues ou restructurées en 25 à 32 lits Taux d'utilisation des lits en Hospitalisation Conventionnelle après projet : Chirurgie >75% Médecine >80% Obstétrique >70% Ambulatoire/HDJ > rotation de 1,6 séjours / place et par jour SSR : >90% Blocs TROS après projet > TROS avant projet et > 70% taux de débordement < 7% après projet Au minimum 1000 interventions par salle de bloc et par an après projet Entre et ICR par salle de bloc et par an Choix techniques Critères de gestion technique, de maintenance et de qualité des matériaux
54 Exemple de grille d analyse des surfaces (Intégré dans AELIPCE) Analyse par fonction clinique et support, sur la base des ratios ANAP 2009 Type d'activité UO M2 bas M2 haut Nb d'uo du CH Surface cible du CH - bas Surface cible du CH - haut Médecine Nb lits ,0 m2 0,0 m2 Chirurgie Nb lits ,0 m2 0,0 m2 Obstétrique Nb lits ,0 m2 0,0 m2 Pédiatrie Nb lits ,0 m2 0,0 m2 PSY Nb lits ,0 m2 0,0 m2 SSR Nb lits ,0 m2 0,0 m2 USLD EHPAD Nb lits ,0 m2 0,0 m2 Urgences - moins de passages Nb box ,0 m2 0,0 m2 Urgences - plus de passages Nb box ,0 m2 0,0 m2 SMUR Fixe ,0 m2 0,0 m2 UHCD Nb lits ,0 m2 0,0 m2 Surface réelle du CH Calcul des écarts totaux du patrimoine actuel / du projet Nb d'uo du CH Surface cible du CH - bas Surface cible du CH - haut Surface réelle du CH Ecart - borne haute % Ecart borne haute Ecart - moyenne % écart moyenne Re Ecarts 0,0 m2 0,0 m2 0,0 m2 0,0 m2 0,0% 0,0 m2 0,0%
55 2.2 - Nouvelle procédure d organisation autour de la campagne budgétaire Constitution de deux phases d instruction des PGFP : 1 ère phase d instruction : 59 PGFP seront instruits d ici cet été 2 ème phase d instruction : 35 PGFP seront instruits sur la période de septembre à minovembre Traitement des accompagnements demandés : Procédure sera effective et communiquée d ici l automne
56 2.3 - Politique d aides financières et appels à projet Appel à projet 2014 relatif aux projets innovants Appel à projet relatif à l accompagnement des opérations de réorganisations des activités SSR (A l étude) Appel à projet 2015 sur la mutualisation des fonctions logistiques et administratives
57 2.3 - Politique de régulation et d appui à la performance Poursuites des opérations engagées par l ARS Contrats de modernisation de l offre et des parcours de soins Programme d amélioration de la pertinence des soins Programmes performance dont gestion des lits
58 Merci de votre attention
et ATIH Diapositive n 1 Direction générale de l offre de soins - DGOS
et ATIH Diapositive n 1 Quel financement pour les SSR? Un modèle innovant Hélène de Faverges mission SSR - DGOS Dr Joëlle Dubois - ATIH FHF Rhône-Alpes Conférence SSR : vers une organisation coordonnée
Plus en détailET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012
DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts
Plus en détailCPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France
CPOM 2013-2018 Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France FICHE D AIDE AU DIAGNOSTIC ET A LA NEGOCIATION Annexe 2 Moyens Volet 3
Plus en détailAssurance Maladie. Le développement de la Chirurgie ambulatoire par la MSAP et les incitations tarifaires
Assurance Maladie Le développement de la Chirurgie ambulatoire par la MSAP et les incitations tarifaires 1. LA MSAP Principe Les textes Les gestes retenus Bilan MSAP 2011 2. LES MESURES TARIFAIRES INCITATIVES
Plus en détailProjet ROC Réunion de lancement des groupes de travail Présentation du projet aux établissements de santé
Programme SIMPHONIE Projet ROC Réunion de lancement des groupes de travail Présentation du projet aux établissements de santé Lundi 2 Février 2015 Version 0 Sommaire A. Contexte, objectif, enjeux B. Déclinaison
Plus en détailBaisse de l autofinancement et des investissements : un défi pour l action publique locale
Serge Bayard Président du conseil d administration La Banque Postale Collectivités Locales Jean-Pierre Balligand Président du Comité d orientation des finances locales La Banque Postale Thomas Rougier
Plus en détailLa Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. Le Ministre des finances et des comptes publics
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction Générale de l Offre de Soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins Bureau de l efficience
Plus en détailCommune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014
Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Eléments de cadrage de la situation financière de la Commune de Bourcefranc-le- Chapus Les soldes intermédiaires
Plus en détailProgramme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local?
Le 3 juillet 2014 Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Guy Gilbert * et Alain Guengant ** Les résultats qui suivent sont obtenus sous l hypothèse que les comportements
Plus en détailLes coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique
Les coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique 2012 Sommaire Introduction 3 Notes de lecture 4 1. L ENC : objectifs et modalités de l étude 6 1.1. Qu est-ce que l Etude
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL
ANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL Il donne une vision plus économique, il présente la manière dont les emplois sont financés par les ressources. Il permet de mieux comprendre le fonctionnement de
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ. Organisation
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction générale de l offre de soins _ Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins _ Bureau des coopérations et contractualisations
Plus en détailLes Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales
1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailLe budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du
Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget
Plus en détailEvaluation du financement et du pilotage de l'investissement hospitalier
Inspection générale des affaires sociales RM2013-032P Inspection générale des finances N 2012-M-072-02 Evaluation du financement et du pilotage de l'investissement hospitalier TOME I VOLUME I RAPPORT DEFINITIF
Plus en détailPrésentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015
Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014 Débat d Orientation Budgétaire 2015 Le budget 2015 sera le premier de ce nouveau mandat 2014-2020 Il est construit sur le Plan de mandat financier en
Plus en détailFAITS MARQUANTS DU 1 er TRIMESTRE 2008
SOMMAIRE Faits marquants du 1 er trimestre 2008 2 Analyse de la production Locindus au 31 mars 2008 3 Analyse des activités 4 Analyse des comptes de résultats 5 Finance et trésorerie 7 Comptes consolidés
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailRAPPORT D INFORMATION
N 686 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2010-2011 Enregistré à la Présidence du Sénat le 29 juin 2011 RAPPORT D INFORMATION FAIT au nom de la commission des finances (1) sur les missions d intérêt général et
Plus en détailIndicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé
Programme «Maladie» 47 Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Sous-indicateur n 13-1 : Évolution des effectifs (en équivalent temps plein) de
Plus en détail672ZA Auxiliaires d'assurances
STATISTIQUES PROFESSIONNELLES 23 672ZA Auxiliaires d'assurances EVOLUTION ANNEES 23 / 22 / 21 23 22 21 CHIFFRE D'AFFAIRES 88 62 Nombre d'entreprises 53 8 Ratios Ratios Ratios CHIFFRE D'AFFAIRES 1,, 1,
Plus en détailANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.
ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du
Plus en détailDélibérations DOB 2014 du 18 octobre 2013
Délibérations DOB 2014 du 18 octobre 2013 1 CONSEIL GENERAL DU JURA Réunion du : 4ème trimestre 2013 Type : DOB 2014 Service : DMI/FINANCES Rapporteur : Christophe PERNY Thème : FINANCES - GARANTIES D'EMPRUNT
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailMINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Direction générale de l offre de soins Sous-direction de la régulation Bureau R4 Dossier suivi par Denise Bauer Tél. : 01 40 56 52 78 Mel. : denise.bauer@sante.gouv.fr
Plus en détailLe Président Rennes, le 10 juin 2014
Le Président Rennes, le 10 juin 2014 Monsieur le Directeur du centre hospitalier de Tréguier tour Saint-Michel BP 81 22220 Tréguier Par lettre du 30 avril 2014, j'ai porté à votre connaissance le rapport
Plus en détailLes temps forts de l année 2000. Les grandes masses budgétaires 1995-2000. Les résultats de la politique financière. La dette régionale et le bilan
S O M M A I R E Les temps forts de l année 2000 Les grandes masses budgétaires 1995-2000 L équilibre financier 2000 et les dépenses par secteurs d intervention Les résultats de la politique financière
Plus en détailAudit financier rétro-prospectif de la Communauté d Agglomération du Pays d Aubagne et de l Etoile éléments clés. Septembre 2014
Audit financier rétro-prospectif de la Communauté d Agglomération du Pays d Aubagne et de l Etoile éléments clés Septembre 2014 Synthèse du diagnostic financier de l Agglo du Pays d Aubagne et de l Etoile
Plus en détailPAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES COMMUNAUTÉ DE COMMUNES
COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES contact : Sophie Blanc - responsable administrative 04 75 89 80 80 - fax : 04 75 89 80 98 - La Chastelanne 07260 Joyeuse administration@pays-beaumedrobiefr
Plus en détailAUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS
AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy
Plus en détailAudit financier & budgétaire de la Ville de Clamart
Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Ville de Clamart PARTENAIRES Finances Locales Avril 2015 Ville de Clamart 1 Présentation de PARTENAIRES Finances Locales PARTENAIRES Finances Locales
Plus en détailTrébeurden Synthèse financière
Jeudi 27 juin 2013 Trébeurden Synthèse financière Yvan Pellé Réunion publique Méthodologie (1) 2 Charges courantes ( personnel, fluides, entretien, contrats..) Excédent brut courant Produits courants (impôts,
Plus en détailPérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion
btsag.com 1/15 26/09/2011 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre pour des formateurs dans un cadre pédagogique
Plus en détailANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2005-2009) SICTOBA. Mai 2010
ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE () SICTOBA Mai 2010 Pascal HEYMES Stratorial Finances Agence de Montpellier 2, rue des Arbousiers 34070 MONTPELLIER Tél. : 04 99 61 47 05 - Fax : 04 99 61 47 09 www.stratorial-finances.fr
Plus en détailElaboration et Suivi des Budgets
Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire
Plus en détailConseil municipal du 19 décembre 2013
BUDGET PRIMITIF 2014 Conseil municipal du 19 décembre 2013 1 Un budget stable hors impact des rythmes scolaires Des dépenses de fonctionnement globales en croissance de 2,99 % par rapport au BP 2013. Mais
Plus en détailVille de Schiltigheim. Audit financier version définitive
Ville de Schiltigheim Audit financier version définitive 10 octobre 2014 Préliminaire Le présent document vise à présenter les conclusions de l audit financier réalisé entre les mois de juillet 2014 et
Plus en détailANALYSE FINANCIERE DES COMPTES ANNEXES D EAU ET D ASSAINISSEMENT DE LA CAB!
ANALYSE FINANCIERE DES COMPTES ANNEXES D EAU ET D ASSAINISSEMENT DE LA CAB! 16 septembre 2014 Caroline GRAOUER & Christian ESCALLIER Cabinet Michel Klopfer 6 bis, rue de Larminat 75015 Paris Tél. : 01
Plus en détailCdC du Pays bellêmois Conseil 25-02-15 Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL. Compte Administratif 2014
BUDGET GÉNÉRAL Compte Administratif 2014 SECTION DE FONCTIONNEMENT DEPENSES CA 2013 CA 2014 Alloué Réalisé Alloué Réalisé 011 Charges à caractère général 445 615 424 289,55 448 291 411 184,65 012 Charges
Plus en détailAvis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014
Paris, le 12 juin 2014 Avis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 Délibération n CONS. 13 12 juin 2014 Projet de loi de financement rectificative de la
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailGuide de prise en charge des frais de transport de patients
Juillet 2013 Guide de prise en charge des frais de transport de patients GUIDE DE PRISE EN CHARGE DES FRAIS DE TRANSPORT DE PATIENTS L assurance maladie procède à la prise en charge des frais de transport
Plus en détailStratégie de déploiement
Messageries Sécurisées de Santé (MSSanté) Mars 2014 Page 1 La présente note vise à éclairer la démarche de mise en place d un système de messageries sécurisées de santé en concertation avec l ensemble
Plus en détailAVIS. Sur la stratégie immobilière des Hospices civils de Lyon (HCL).
2013-18 Séance du 29 mai 2013 AVIS Sur la stratégie immobilière des Hospices civils de Lyon (HCL). Vu le décret n 2011-1388 du 28 octobre 2011 modifiant le décret n 2006-1267 du 16 octobre 2006 instituant
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailDIRECTION GENERALE DE LA COHESION SOCIALE
DIRECTION GENERALE DE LA COHESION SOCIALE RAPPORT RELATIF AUX AGREMENTS DES CONVENTIONS ET ACCORDS APPLICABLES AUX SALARIES DES ETABLISSEMENTS SOCIAUX ET MEDICO-SOCIAUX PRIVES A BUT NON LUCRATIF POUR 2010
Plus en détailDEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015
DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 BUDGET COMMUNE La tenue du débat d orientations budgétaires est obligatoire dans les régions, les départements, les communes de plus de 3 500 habitants, leurs établissements
Plus en détail2.4. Les médicaments de la «liste en sus»
2.4. Les médicaments de la «liste en sus» Dans le cadre de la tarification à l activité (T2A), le financement des médicaments administrés au cours d un séjour hospitalier est assuré selon plusieurs modalités.
Plus en détailProgramme de développement. Comité plénier du 10 janvier 2012
Programme de développement des soins palliatifs (2008-2012) Comité plénier du 10 janvier 2012 Axe 1: Poursuivre le développement de l offre hospitalière et favoriser l essor des dispositifs extrahospitaliers
Plus en détailLa régulation des transports sanitaires par les SAMU
La régulation des transports sanitaires par les SAMU DHOS SDO Bureau O1 1 L organisation des transports sanitaires urgents : une mission permanente Principe : Les transports sanitaires sont une mission
Plus en détailSécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes
Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux Au Centre hospitalier de Valenciennes 1 Le centre hospitalier de Valenciennes MCO Psychiatrie SSR Soins de longue durée Maison de retraite
Plus en détailDossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier.
Dossier Financier Ce dossier complète notre dossier économique en apportant un éclairage financier sur notre projet. Il s appuie sur l organisation que nous avons mise en place et sur l expérience de démarrage
Plus en détailYannick Le GUEN. Sous-directeur du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins
Yannick Le GUEN Sous-directeur du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins Dispositif d accompagnement et td de soutien ORGANISATION fin & MISSIONS ancier des projets de coopération Accompagnement
Plus en détailFiche synthétique du Compte Administratif 2013 de la commune d'amuré
Fiche synthétique du Compte Administratif 2013 de la commune d'amuré Le service Finances de la CAN a élaboré cette fiche à partir des documents transmis par les communes en juillet 2014 : - Compte Administratif
Plus en détailCOMMUNE DE SALINS-LES-BAINS
COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS Principaux enseignements de l audit financier réalisé en octobre 2014 26 JANVIER 2015 4 rue Galilée 75782 PARIS cedex 16 Tél. : 01 43 06 08 10 Web : www.cabinetmichelklopfer.fr
Plus en détailLE PACTE DE CONFIANCE POUR L'HOPITAL
LE PACTE DE CONFIANCE POUR L'HOPITAL SYNTHESE DES TRAVAUX RAPPORT Edouard Couty Claire Scotton Président Rapporteur général - Février 2013 - Remerciements et méthode A l issue des travaux lancés par la
Plus en détailAVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014
AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 Orientations Budgétaires 2015 ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES 2015 AVIS SUR LE RAPPORT GÉNÉRAL DU PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL Président : Patrick TASSIN Séance
Plus en détailDirection générale de l offre de soins Guide de contractualisation des dotations finançant les missions d intérêt général.
Direction générale de l offre de soins Guide de contractualisation des dotations finançant les missions d intérêt général Version 0 2 Guide de contractualisation des dotations finançant les missions d
Plus en détailMadame Laureen WELSCHBILLIG Chef de projet Système d Information de Santé ARS IDF
Madame Laureen WELSCHBILLIG Chef de projet Système d Information de Santé ARS IDF Système d information MAIA et stratégie régionale Journée MAIA Paris 11 mai 2015 Hôtel de Ville de Paris Systèmes d Information
Plus en détailINTITULE DU POSTE (1) EXPERT MEDICAL évolution des modèles de financement des établissements de santé (MCO et SSR)
Ministère des affaires sociales et de la santé Ministère de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative Ministère des solidarités et de la cohésion sociale Ministère de la ville Ministère
Plus en détailà Mesdames et Messieurs les Agents Comptables Médecins Conseils Régionaux Chef de service Pour information
CIRCULAIRE CIR-2/2012 Document consultable dans Médi@m Date : 03/01/2012 Domaine(s) : gestion des prestations en nature à Mesdames et Messieurs les Directeurs CPAM CARSAT UGECAM CGSS CTI Agents Comptables
Plus en détailPARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale
Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant
Plus en détailCommuniqué de presse. Paris, le 15 février 2012
Communiqué de presse RESULTATS ANNUELS 2011 Solides résultats 2011 et accroissement du patrimoine Paris, le 15 février 2012 Résultats 2011 o Progression de +14% du cash-flow courant par action à 2,14 o
Plus en détailLes campagnes budgétaires dans le secteur médico-social
Les campagnes budgétaires dans le secteur médico-social 4 juin 2013 1 Déroulement des campagnes PA-PH dans un cadre préservé Progression de l ONDAM médico-social 2013 : Taux le plus élevé des sous objectifs
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailCONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012
CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :
Plus en détailDEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015
DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 Le Code Général des Collectivités Territoriales prévoit dans les communes de plus de 3 500 habitants, les départements, les régions et les EPCI la tenue d un débat
Plus en détailMINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Direction générale de l offre de soins Sous-direction de la régulation de l offre de soins Bureau du premier recours
Plus en détailOrganisation du Système de Santé en France
Organisation du Système de Santé en France Dr Marion ALBOUY-LLATY Staff de santé publique 5 janvier 2011 Organisation du Système de Soins en France Plan 1. Introduction et Définitions 2. La Demande de
Plus en détailPERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES
PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES La participation des communes au plan d économies initié par l Etat va modifier substantiellement les équilibres financiers des collectivités locales et notamment
Plus en détailTITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE
TITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE 2 Projet organisation administrative et technique > Sommaire Sommaire PREAMBULE POURQUOI? Les objectifs
Plus en détailLe nouveau tableau de bord de gestion
Formation Rencontre thématique CTC Conseil 2013 Le nouveau tableau de bord de gestion Contrôler Décider Communiquer CTC Conseil a été créé en 1992, à l initiative de Claude CHEZAUD, son Directeur Général,
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE
Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des
Plus en détailMercredi 10 juin 2015 20h30-22h30
CONSEIL DE QUARTIER DU GUICHET Mercredi 10 juin 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre
Plus en détailSITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS. Réunion Publique du 6 Aout 2015
SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS Réunion Publique du 6 Aout 2015 LE BUDGET PRIMITIF COMMUNAL 2015 BUDGET GLOBAL (13,53 M ) INVESTISSEMENT 2,87M FONCTIONNEMENT 10,66M Dépenses (2,87 M
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailSECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur,
MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR Direction du Trésor Direction de la Comptabilité publique Direction générale des collectivités
Plus en détailPERSPECTIVES DU DÉVELOPPEMENT DE LA CHIRURGIE AMBULATOIRE EN FRANCE
Inspection générale des finances Inspection générale des affaires sociales N 2014-M-034-02 N 2014-039R RAPPORT PERSPECTIVES DU DÉVELOPPEMENT DE LA CHIRURGIE AMBULATOIRE EN FRANCE Établi par THIERRY BERT
Plus en détailFORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION
FORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION Pour plus d informations, visitez www.marathonprobono.fr/campus-hec-2012 Préambule Ce contenu pédagogique est destiné aux responsables
Plus en détailIsabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr
Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Jean-Christophe BERGE Tél : 01 55 34 40 13 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : jcberge@fcl.fr Ville de Gisors 24 juin 2014 87 rue St-Lazare
Plus en détailIndicateur n 1.3 : Ecart entre le taux d intérêt des emprunts de la Sécurité sociale et le taux du marché
82 Partie II Objectifs / Résultats Objectif 1 Garantir la viabilité financière des régimes de Indicateur n 1.3 : Ecart entre le taux d intérêt des emprunts de la Sécurité sociale et le taux du marché 1er
Plus en détailprojet de loi de financement de la sécurité sociale
projet de loi de financement de la sécurité sociale 2015Dossier de Presse 29 septembre 2014 présenté par Marisol Touraine Ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes Laurence Rossignol
Plus en détailTerritoires et Finances
Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent
Plus en détailARMEN VAGUE 1 SEGMENT ASSURANCES 25 JUIN 2012
ARMEN VAGUE 1 SEGMENT ASSURANCES 25 JUIN 2012 L assurance, une perte de repères pour l acheteur hospitalier? Des contrats en petits caractères. Le Code des Assurances prévaut sur le Code des Marchés publics.
Plus en détail+ 34,7 % 1. Le budget. L Budget exécuté 2006 à 2009 de la CNSA et budget prévisionnel 2010. entre 2006 et 2009.
Chiffres clés 21 Créée en 24, la CNSA contribue au financement des politiques d aide à l autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées. Elle consacre en particulier une grande part de son
Plus en détailUN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE
UN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE 5 objectifs, 20 recommandations, 45 mesures pour atténuer l impact du choc démographique gériatrique sur le fonctionnement des hôpitaux dans les 15 ans à venir Rapport rédigé
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailModernisation SI & Télécom des Samu-Centres 15. Assemblée Générale SUdF
Modernisation SI & Télécom des Samu-Centres 15 Assemblée Générale SUdF 04 juin 2014 Agenda 1. Genèse du projet 2. Solution envisagée 3. Feuille de route 4. Point d étape Projet de modernisation des SI
Plus en détailPrésentation des indicateurs techniques du Budget Général
Présentation des indicateurs techniques du Budget Général Thomas Duquesne Février 2015 Pourquoi utiliser des indicateurs techniques? Notre compte administratif (bilan comptable annuel) est contrôlé par
Plus en détailRecueil de formules. Franck Nicolas
Recueil de formules Nous avons répertorié dans cette section, les différentes formules expliquées tout au long de cet ouvrage, afin de vous permettre de trouver rapidement l opération que vous souhaitez
Plus en détailLa télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national
La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe Un éclairage pour un déploiement national Journée Télémédecine ASIP Santé 3 mai 2012 Pascale MARTIN - ANAP Agence Nationale d Appui à la Performance
Plus en détailAinsi plusieurs dispositions ont été prises pour enrichir les informations disponibles sur les médicaments et dispositifs médicaux :
des produits et prestations en sus des tarifs d hospitalisation renforcent la nécessité d une information partagée sur l utilisation de ces produits au sein des établissements de santé. Ainsi plusieurs
Plus en détailROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET
ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET I CONTEXTE DE LA REFORME BUDGETAIRE II OBJECTIFS ET AXES DE LA REFORME BUDGETAIRE III CARACTERISTIQUES DE LA REFORME BUDGETAIRE IV FACTEURS CLES DE SUCCES 2 Modernisation
Plus en détail