Le Secteur Musées en DRAC Aquitaine : Diagnostic et fonctionnement
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- Lucile Monette
- il y a 8 ans
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1 1 Le Secteur Musées en DRAC Aquitaine : Diagnostic et fonctionnement I) LES MUSEES EN AQUITAINE L Aquitaine se situe au huitième rang des régions françaises par le nombre de ses musées bénéficiant de l appellation musées de France (54). Si l on peut se féliciter de cette apparente richesse patrimoniale, une observation plus détaillée de la réalité nuance cet enthousiasme : l Aquitaine est l une des régions comportant le plus grand nombre de musées fermés. Ce chiffre s élève à 14 établissements sur 54, soit un taux de fermeture de plus de 20%. Une part importante des ces établissements fermés se situe en Gironde, seul département de la région à ne pas comporter de conservation départementale. Beaucoup de ces musées n ont pas à leur tête un responsable scientifique : dans 40% des musées ne travaillent ni conservateur, ni attaché ou assistant qualifié. En effet, on compte seulement 13 conservateurs, 9 attachés de conservation, 3 assistants qualifiés dans les structures aquitaines. Ce qui signifie donc que plus de la moitié des musées de France de la région n ont pas de responsable scientifique tel que défini dans les décrets d application de la loi Musée. La situation est particulièrement critique lorsque le musée n est ni ouvert au public ni contrôlé par un personnel scientifique. Les départements de la Dordogne et de la Gironde se démarquent par le nombre important de ces musées fermés. Si l on étudie à présent les collections, force est de constater la richesse et la variété de celles-ci en Aquitaine. Mais ce constat doit être nuancé : plus de 18 musée n ont pas d inventaire réglementaire, mais le récolement, qui a été particulièrement réussi en Aquitaine grâce aux efforts de Florence Saragoza (les 2/3 des collections ont été récolés au 31 décembre 2014) oblige progressivement les collectivités à corriger cette lacune. Même la collection d un musée fermé, comme celle du musée Béarnais, bientôt appelé à rouvrir à Oloron, fera l objet en 2015 d un récolement systématique et de la création d un inventaire. 1.1 Les acquisitions Seule la ville de Bordeaux, malgré la crise, continue avec l aide de l Etat et de la région à mettre oeuvre une politique d acquisition assez dynamique. Mais la forte chute des crédits Etat du Fram, suivie à parité par la région, a conduit les autres collectivités à renoncer à peu près complètement à des achats onéreux (Dotation FRAM Etat 2012 : euros, dotation Fram 2014 : euros, dotation 2015, euros ). Si bien qu en 2014, les musées
2 2 bordelais furent à peu près les seuls à présenter des dossiers, non seulement lors des commissions d acquisition, mais aussi lors de la réunion du FRAM. De très nombreuses œuvres du designer Andrea Branzi furent par exemple acquises par le musée des Arts Décoratifs en Conservation et restauration La commission scientifique régionale de restauration ne s est réunie pour la première fois qu en Elle a montré la carence de l Aquitaine dans la reconnaissance des restaurateurs habilités à intervenir dans les collections musées. Par ailleurs, aucun FRAR n a été créé en Aquitaine. Autre insuffisance, les musées de la région connaissent une situation difficile en matière de conservation préventive, dont le manque de réserves est un symptôme criant (Libourne, Mont-de-Marsan, Dax, Guétary, Biscarosse). Pour nuancer ce constat, il faut remarquer que plusieurs musées ont, entre 2004 et 2014, mis en œuvre des chantiers des collection, suivis de désinsectisation par anoxie (Périgueux, Marquèze, Agen, Dax, Pau, Mont de Marsan, Bayonne ). Malgré tout, l aménagement de nouvelles réserves reste rare : seule la ville de Bayonne a entrepris la construction de ce type d équipement (projet cofinancé par l Etat). Les musées de la ville de Bordeaux souffrent en revanche très durement de ne pas disposer de réserves mutualisées. 1.3 Diffusion Si 68% des musées sont dotés d un service des publics, très peu sont pourvus d un inventaire informatisé des collections. 30% des musées ne sont pas informatisés (principalement en Dordogne et en Gironde). Micromusée demeure le principal logiciel utilisé. Seuls 20% des musées ont entrepris une numérisation de leurs collections (le musée basque, le musée d Aquitaine, ainsi que le musée des Beaux-Arts de Bordeaux participent régulièrement aux appels à projet de numérisation du ministère). Le taux de reversement de notices informatisées vers Joconde est très faible (environ 2%). Les musées sont donc très mal représentés à l échelle nationale. La faible diffusion numérique des collections et l obsolescence du portail Fram Aquitaine, à peu près inconnu des internautes, doit inviter les musées aquitains à trouver une solution partagée avec les professionnels du Limousin et du Poitou-Charente (portail Aliénor) pour assurer la valorisation numérique de leurs collections. Parmi les problèmes relatifs à la diffusion, on comprendra aussi les salles d exposition qui manquent cruellement dans les musées aquitains, qu ils soient petits ou grands (Bayonne, Pau, Agen, Périgueux, musée des Beaux-Arts et musées des Arts décoratifs de Bordeaux).
3 3 1.4 L'élargissement des publics L opération La Classe, l œuvre, à l occasion de la Nuit des Musées, est très suivie en Aquitaine. Chaque année une quarantaine de musées travaillent avec les services de l Education nationale pour élaborer des projets qui puissent sensibiliser le jeune public à l art et au patrimoine. L opération Les Portes du Temps rencontre aussi le même succès. Vesunna, le musée national du Château de Pau, le musée d Aquitaine, le CAPC, le musée d Arthous (Landes) contribuent régulièrement à former au patrimoine des jeunes en forte difficulté sociale. On notera enfin que 14 musées aquitains ont reçu le label Tourisme et handicap. Il s agit le plus souvent de petites structures isolées qui ont fait le nécessaire pour que le public des personnes âgées, quel que soit leur handicap, puisse être accueilli dans des conditions décentes. Les grands musées de la région n ont pas fait cet effort. 1.5 Le rayonnement des musées aquitains Faute d investissement suffisant des collectivités dans leur musée et d une communication adaptée, la plupart des musées d Aquitaine semblent plongés dans un certain sommeil. En dehors du CAPC et du musée d Aquitaine, et des musées nationaux des Eyzies et du Château de Pau, aucun musée aquitain ne parvient à rayonner à l échelle régionale et encore moins au niveau national. On a donc plutôt affaire à un chapelet de petits musée à rayonnement local, et qui travaillent très rarement entre eux. Le CAPC et le château de Pau sont les seuls musées dont la fréquentation annuelle dépasse les visiteurs. Dans ce classement figure audessous le musée d Aquitaine et le musée des Arts décoratifs de Bordeaux, entre et visiteurs annuels. Puis viennent entre 22 et visiteurs annuels le muséum d histoire naturelle de Bordeaux, le musée Vesunna de Périgueux, et l Ecomusée de la Grande Lande de Marquèze. Ensuite apparaissent entre 8000 et visiteurs, le musée d'art et d'archéologie de Périgueux, le musée Despiau Wlérick de Mont-de-Marsan, le musée Borda de Dax, le musée des Beaux-Arts d Agen, le musée des Beaux-Arts de Pau, le Musée Basque de Bayonne. Enfin, derniers dans ce cortège, les musées dont la fréquentation est inférieure à 8000 visiteurs : Guétary, Cambo, Arudy, Arthous, Samadet, Meyzin, Marmande, Nérac, Sauveterre-la-Lémance, Villeneuve-sur-Lot, Nérac, Sarlat, Bergerac Brantôme, Villefranchede-Lonchat, Domme, Mussidan, Nontron, Blasimon, Bourg-sur-Gironde, Libourne, Villandraut, Biscarosse, Sanguinet, Saint-Sever.
4 4 Au total, les musées de France d Aquitaine présentent des caractéristiques très différentes de celles des musées du Poitou-Charentes ou du Limousin. Leur faible dynamisme, le manque de structures adaptées pour atteindre un bon fonctionnement reflètent le manque d intérêt des élus aquitains pour leur musée. II) Les missions et le fonctionnement du Secteur Musées 2-1 le contrôle scientifique et technique : Il représente une part importante du travail du Conseiller pour les musées, reliée à l'application de la loi sur les Musées de France du 4 janvier 2002/ livre IV du code du patrimoine et assise par le référentiel des missions des Conseillers Musées (Direction des Musées de France 2006) : appellations Musées de France, commissions inter-régionales pour les acquisitions et les restaurations (6 par an), contrôle de la qualification des personnels, contrôle de la gestion des collections (inventaire, récolement, conservation, documentation, recherche), contrôle des services des publics et des réseaux entre musées de France, contrôle des normes en matière de climat, lumière, sécurité, sûreté. A cela s ajoute en Aquitaine un travail considérable pour accompagner les collectivités dans leur démarche de ré-ouvrir un des 13 musées fermés : substitution par le Conseiller Musées à un responsable scientifique qui le plus souvent est absent, travail de définition et de construction d un projet scientifique et technique, conception d une nouvelle muséographie qui puisse être réalisée par les services techniques de la commune, négociation pour trouver une solution au problème de personnel lié à l ouverture. A travers l exercice du contrôle scientifique et technique, le Conseiller Musées participe de l aménagement culturel du territoire et de la lutte contre les zones blanches. La DRAC Aquitaine conçoit et pilote par exemple la transformation en cours du musée de Saint-Sever, musée fermé, préalable nécessaire à une meilleure mise en tourisme d une ville landaise économiquement sinistrée. 2-2 le rôle de conseil scientifique, d expertise et de mise en réseau : Sur le montage de projets, la mise en place de partenariats, le développement de réseaux, la mutualisation de moyens. Ce point est très important dans une région de grande superficie avec des zones rurales et des communes qui sont très en demande de l'accompagnement/expertise/ingénierie des services de l'etat dans leur domaine de spécialité ;
5 5 les collectivités territoriales ne sont pas dotées de ressources aussi spécifiques et apprécient ces accompagnements. La DRAC soutient également certains musées de France, comme celui de Montfort-en- Chalosse, dont la collectivité souhaiterait la fermeture. Un appui scientifique, financier et administratif de l Etat évite la disparition de ce type de musée fragile sur des territoires ruraux en difficulté socio-économique. On notera enfin que dans le cas particulier de l Aquitaine, une grande partie du travail d expertise consiste à mettre en réseaux des musées qui fonctionnent sur le mode de l isolat. Des musées traitant des mêmes thématiques sont invités à travailler ensemble. L ouverture de l Aquitaine à d autres régions plus avancées sur le plan muséographique pourrait avoir des effets positifs si elle permettait de faire travailler en réseau les musées aquitains et de décloisonner leur horizon. 2-3 l'apport en ingénierie technique : Sur l'élaboration de projets d'établissements, assistance à la mise en place des phases études et travaux (études de programmation, de maîtrise d'oeuvre, phases travaux) : accompagnement technique (conseils et analyses). Le Conseiller Musées accompagne le projet d aménagement de nouvelles réserves à Bayonne. Ces réserves mutualisées accueilleront les collections du musée Bonnat, du musée Basque et du muséum d histoire naturelle. De façon générale, à peu près tous les musées aquitains rencontrent des problèmes de réserves, soient qu elles s avèrent insuffisantes par leur superficie, soit que les conditions satisfaisantes de conservation préventives n y soient pas remplies. Un important travail de remise aux normes des réserves est actuellement conduit avec l aide du C2RMF, mais cette politique s inscrit dans la longue durée. Un problème similaire se pose avec les salles d exposition : souvent aménagées dans les salles d exposition permanente, elles posent un problème de conservation avec l afflux du public. L expertise du Conseiller Musées doit s appliquer à réduire les risques pour les collections. Sur les normes techniques liées aux ERP et à la conservation des collections (sécurité, sûreté, climat CTA, lumière, traitement des collections). La moitié des musées aquitains ne respectent pas les normes ERP. Sur les nouveautés techniques adaptées (nouveaux traitements sur les collections, nouveaux procédés d'éclairage, nouveautés en matière de valorisation numérique...).
6 6 2-4 l'emploi et la formation : Le développement de projets et de la médiation aux publics incitent à la création d'emplois scientifiques et culturels, à la participation des musées aux dispositifs d'aide à l'emploi et au développement de la formation toutes catégories confondues. Des rapports privilégiés ont été établis entre la DRAC et les mastère régie d œuvre de l Université de Bordeaux, et le Mastère Patrimoine de l Université de Pau et des Pays de l Adour. Le Conseiller Musées apporte un soutien financier aux collectivités qui acceptent de créer un poste de travail ouvert à un jeune diplômé. En 2005, 5 postes ont ainsi vu le jour, le plus souvent pour assurer des missions de récolement. 2-5 l'accessibilité : La mise aux normes d'accessibilité des 54 musées de France constituer désormais un chantier prioritaire pour respecter la nouvelle loi sur l'accessibilité. En ce domaine tout reste à faire (seuls 12% des 54 musées d Aquitaine ont obtenu le label Tourisme et handicap ). 2-6 le numérique outil de médiation : Travail de recensement des nouveautés en matière de numérique et de mise en place d'une politique de développement cohérente pour les musées en lien avec le réseau informatique et en partenariat avec les collectivités territoriales et structures enseignantes, de recherche ou spécifiques-ccsti. Montage de projets innovants sur le plan patrimonial en lien avec les autres secteurs patrimoniaux. La DRAC apporte une aide assimilable à une assistance à maîtrise d ouvrage pour établir les cahiers des charges de la numérisation des archives du CAPC-musée d art moderne de la ville de Bordeaux, et du nouveau site internet du musée des arts décoratifs. Etant donnée la faible valorisation numérique des musées de la région, la DRAC Aquitaine incite, à travers des réunions de présentation, les musées de France à intégrer le portail numérique Aliénor, conçu par les musées du Poitou-Charentes. 2-7 les métiers d'art : Partenariat avec les Compagnons du Tour de France, dont le musée bordelais est en cours de labellisation musées de France. La DRAC va co-financer le développement de ses
7 7 activités en direction des scolaires, notamment lors des grandes manifestations nationales et européennes comme La Nuit des musées ou La classe, l œuvre. 2-8 le nombre d'interlocuteurs et de dossiers : Pour les relations avec les collectivités territoriales : cibles sur les villes ayant des musées labellisés et des musées non labellisés mais qui font un travail remarquable. Nombre d'interlocuteurs : en moyenne par ville une dizaine entre les élus référents, les administratifs et les services techniques. Soit plus de 300 interlocuteurs sur l Aquitaine, sans compter ceux des conseils généraux et du conseil régional. Pour les professionnels : le MCC/DGPAT/SMF une trentaine ; les responsables et équipes des musées : 54 responsables et une dizaine par équipes (pour les missions techniques notamment), soit les membres des commissions scientifiques et les experts dans le domaine des collections soit une petite centaine+ les correspondants en ingénierie technique en centrale soit une cinquantaine ; total 690. Les dossiers : ceux des commissions scientifiques 15 par commission avec trois commissions de restauration et d acquisition par an=90 Les dossiers techniques : une moyenne de 6 à 10 par musées par an Les dossiers spécifiques : musées fermés, mise en réseau : 6 ou 7 par an. Les dossiers administratifs : une cinquantaine par an 2-9 Géolocalisation et quantification du travail (tournées, nombre de kilomètres) : En Aquitaine, tournées dans les 5 départements, sur une moyenne de 10 par mois en regroupant deux à trois dans une journée, quand cela est possible pour réduire les coûts de déplacements. Une moyenne de kms/an Valorisation de la spécificité du service : On notera que du fait de leur longue séparation, les relations entre le Secteur Musées, la Conservation régionale des Monuments historiques et le Service régional de l'archéologie ont été au cours des années antérieures à peu près nulles. Le changement d organigramme qui crée un grand pôle patrimoine englobant tous les domaines de la conservation, laisse espérer que l on puisse travailler de manière transversales sur les objets mobiliers qui intéressent aussi bien les archéologues, les conservateurs des monuments historiques, et le Conseiller Musées.
8 8 La globalisation des problèmes liés au patrimoine exige plus que jamais l exercice d une transversalité professionnelle adaptée à chaque sujet. III) Conclusion L activité du secteur musées de la DRAC Aquitaine est adaptée aux spécificités de cette région : le traitement de la question des musées fermés absorbe une grande partie du temps de travail du Conseiller Musées, tout comme la mise en réseaux d établissements qui spontanément vivraient en isolat. La résolution d énormes problèmes structurels (réserves inadéquates ou inexistantes, conservation préventive, absence des salles d exposition, absence de valorisation numérique des collections suffisante ) s avère aussi très chronophages. Dans ce contexte de fort retard des musées Aquitains par rapport aux musées du Limousin ou de Poitou-Charentes, l élargissement de l Aquitaine à ces deux régions peut constituer une chance et créer une nouvelle dynamique pour les musées aquitains.
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