Les banques en régions Quel modèle de développement au service de la proximité et du multicanal?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les banques en régions Quel modèle de développement au service de la proximité et du multicanal?"

Transcription

1 L étude de référence sur : Quel modèle de développement au service de la proximité et du multicanal? La décentralisation a-t-elle vécu? La question peut se poser à la lumière des récents rapprochements entre banques régionales. Un vaste mouvement qui semble condamner un modèle certes garant de la proximité avec les clients mais qui est aujourd hui dépassé face aux nombreux défis à relever dans le secteur. Bien plus, ce qui pouvait apparaitre comme un avantage concurrentiel décisif, à savoir la capacité des banques en régions à jouer la carte d une identité forte au niveau local, reste dans les faits marginal. Dès lors les atouts de la décentralisation semblent limités et les caisses et banques régionales sont dans l obligation de se regrouper pour pallier leur handicap face aux réseaux centralisés, que ce soit pour la mise en place de la banque multicanal, le développement sur la Toile ou l implantation à l international. Autant de projets lourds qui nécessitent des investissements importants et qui sont souvent freinés par des systèmes de gouvernance complexes au sein des banques régionales. Pour autant les réseaux régionaux disposent tout de même d atouts à ne pas négliger. Parmi eux, leur très bonne implantation notamment au niveau rural, bien moins concurrentiel que le milieu urbain, qui leur offre «des réserves» de clients importantes à exploiter. D autant que si les réseaux travaillent depuis longtemps sur la clientèle des jeunes, tel n est pas le cas auprès des seniors. Ces derniers sont pourtant surreprésentés dans certaines régions comme le montre Precepta dans son analyse sur l attractivité des régions. Cibler les seniors et leur destiner certaines offres représentent de ce fait des opportunités à saisir. De même, les réseaux régionaux ont peu à peu réussi à contourner l écueil de l éparpillement des moyens. S ils continuent à jouer la carte de la proximité locale en matière de distribution (guichets, call centers, centre d affaires, centres patrimoniaux) ils s appuient en parallèle sur des usines de production nationales en matière d offre produits. Leur business model est de plus en plus celui de la concentration pour les fonctions supports ce qui leur permet de tirer avantage à la fois de la centralisation et de la décentralisation. Les banques régionales ont enfin des avantages à mettre en avant en termes de marque. Les banques centralisées sont pénalisées aujourd hui par l image ternie de la BFI, ce dont souffrent moins les réseaux en régions. Il leur reste toutefois à repenser leur stratégie de marques et de communication pour mieux valoriser la dimension locale des entités régionales tout en préservant une certaine cohérence au niveau national. Une urgence pour que le concept de proximité devienne une réalité pour le client au-delà de la simple posture. ont également des progrès à faire en termes d unification de leurs prix. Precepta a mené une analyse sur trois régions (Ile de France, PACA, Rhône Alpes) démontrant que les banques décentralisées ont non seulement des tarifs différenciés et, qui plus est, qu elles ne sont pas les mieux placées. PRECEPTA groupe Xerfi 13-15, rue de Calais Paris Tél : Télécopie :

2 sont aujourd hui à un tournant. Outre les défis décisifs liés à l harmonisation et à la mutualisation de leurs coûts, elles doivent rapidement repenser leur stratégie de distribution et de diversification pour ne pas céder du terrain face aux grands réseaux centralisés. D autant que les difficultés rencontrées en 2008 se sont illustrées par des résultats financiers mitigés comme le souligne l analyse de Precepta. 1. L enjeu d une distribution multicanal : la montée en puissance inéluctable des réseaux à distance oblige à repenser les agences. C est ainsi que le Crédit Agricole Val de France a par exemple inauguré une agence projets plus conviviale avec des petits salons. Internet devient également un enjeu prioritaire pour les banques de détail. Si la diversité des sites des réseaux décentralisés est une réalité, la souscription en ligne n est en revanche pas toujours possible. Les avantages concurrentiels sur internet doivent dès lors être mieux pris en compte dans un objectif d optimisation. Quant à la banque multicanale, elle reste à l état de projet dans de nombreuses régions, ce qui va rapidement poser des difficultés. En revanche, des efforts importants ont été faits du côté de la gestion patrimoniale et les organisations revues dans la plupart des réseaux pour en optimiser l efficacité. 2. L impératif d une diversification réussie : depuis longtemps déjà les banques se diversifient pour accroitre le PNB par client sur un marché arrivé à maturité. Après l assurance vie, l assurance dommage dans le cadre du développement de la bancassurance, ce sont aujourd hui vers des produits extrabancaires que les banques se dirigent : télésurveillance, service de téléphonie mobile, services à la personne Avec le risque «d empiler les marchés» sans un réel modèle de développement. Grâce à cette analyse complète et opérationnelle, PRECEPTA met à la disposition des dirigeants du secteur un véritable outil pour organiser et hiérarchiser l information, stimuler la réflexion et préparer les décisions. Nous sommes à votre disposition pour vous apporter des compléments d information concernant cette étude de référence dont vous trouverez ci-joint la présentation. Pour la recevoir, il vous suffit de nous retourner le bon de commande au verso de la plaquette après l avoir complété. Nathalie Morteau Directrice d études PRECEPTA

3 Quel modèle de développement au service de la proximité et du multicanal? La grille d analyse essentielle pour décrypter les facteurs de mutations auxquels les banques en régions doivent faire face L attractivité des régions La présence régionale des grands groupes et le jeu concurrentiel Les résultats financiers des banques en régions Les principaux défis à relever par les banques régionales La meilleure synthèse pour stimuler la réflexion et préparer les décisions ; 250 pages d analyses et d informations, en toute indépendance. Des entretiens en face à face avec des dirigeants et experts de la profession ont été menés. Ils ont été complétés par l accès systématique à toutes les bases de données accessibles au sein du groupe Xerfi. Ces travaux de recueil d informations, d entretiens en face à face et d analyse ont nécessité 6 mois d investigation. Les travaux d études ont été coordonnés par Nathalie Morteau, directrice d études de Precepta. PRECEPTA, STIMULATEUR DE STRATEGIES Les experts sectoriels de PRECEPTA ont pour vocation d apporter aux dirigeants d entreprises des analyses stimulantes pour élaborer leurs décisions. Les études sont réalisées avec la plus grande rigueur professionnelle, une indépendance d esprit totale, la volonté de clarifier et d aiguillonner la réflexion stratégique. PRECEPTA a accumulé plus de 20 ans d expérience dans l analyse des stratégies d entreprise et de leur environnement concurrentiel. Son intégration dans le groupe Xerfi en 2004 lui a permis de renforcer ses moyens d investigation et d accéder aux meilleures sources de données. Le groupe Xerfi, leader français des études sur les secteurs et les entreprises, apporte aux décideurs les analyses indispensables pour surveiller l évolution des marchés et de la concurrence, décrypter les stratégies et les performances des entreprises, en France comme à l international. Le site xerfi.com met ainsi en ligne le plus vaste catalogue d études sur les secteurs et les entreprises.

4 L étude de référence : Mars pages L étude la plus complète pour comprendre les banques en régions les enjeux et les perspectives ainsi que le contexte concurrentiel. Un document exceptionnel qui comprend trois niveaux d information : 1. une «synthèse exécutive» qui tire tous les enseignements de 6 mois d enquêtes, d analyses et d entretiens avec des dirigeants du secteur ; 2. une analyse et un décryptage des stratégies des opérateurs ; 3. une somme exceptionnelle d informations quantitatives sur les banques en régions. Quel modèle de développement au service de la proximité et du multicanal? 1. SYNTHESE EXECUTIVE Destiné aux décideurs, ce document est volontairement concis, et met en relief les principaux enseignements à tirer de l étude. Il a été conçu comme un document de travail pour stimuler la réflexion et préparer la prise de décision. 2. LE CONTEXTE DE MARCHÉ : Comprendre les défis et saisir les opportunités 2.1. Les fondamentaux La classification des établissements de crédit Les systèmes de gouvernance des réseaux centralisés Les guichets en régions 2.2. Les facteurs de mutation des banques en régions Faire face à la crise financière et économique - les banques de détail en régions face à la crise financière et économique - la crise financière et économique Faire face à la maturité du marché - les stratégies des banques de détail Affronter la baisse des prix S adapter aux évolutions des comportements des consommateurs Maîtriser les technologies : optimisation marketing et maîtrise des coûts - l émergence du néomarketing - l optimisation des coûts et de la productivité commerciale - l impact d Internet sur les coûts Relever les défis d une distribution multicanale - piloter le développement du e-banking - miser sur le web call back, optimiser les calls center - participer à l émergence du m-banking - mettre en place une stratégie multicanale adaptée 2.3. Les marchés en régions Les dépôts par régions : la taille des marchés Les crédits par régions : la taille des marchés 2.4. Les marchés des produits financiers Les déterminants de la demande - l épargne et l épargne financière des ménages - la consommation - les investissements des entreprises Synthèse : un environnement défavorable - les revenus dans la banque de détail - Le crédit à l habitat - Le crédit à la consommation - Les crédits aux entreprises Les perspectives à l horizon L ENVIRONNEMENT CONCURRENTIEL : Comparer les positionnements en régions 3.1. Les forces en présence Une forte concentration dans la banque de détail Le panorama des banques régionales - nombre de clients - PNB - Résultat net 3.2. La présence en régions La densité de la population Le PIB et PIB par habitant Les dépôts L attractivité des régions L évolution de la présence en régions des banques La présence en régions des différents opérateurs - Le Crédit Agricole - BPCE - Le Crédit Mutuel - BNP Paribas - La Société Générale - La Banque Postale 3.3. Les avantages concurrentiels La chaîne de valeur en banque de détail La migration de la valeur Les avantages concurrentiels Les business models - Le degré de décentralisation au sein des banques 3.4. Les rapports de force Le consumérisme La concurrence intra sectorielle - La concurrence dans la vente en ligne - La concurrence des opérateurs non bancaires 4. LES DÉFIS À RELEVER DANS LES BANQUES EN REGIONS 4.1. Des enjeux d harmonisation La mutualisation des coûts - les usines de production - les rapprochements La marque - une détérioration du capital marque - la démarche identitaire Les prix - Une comparaison de tarifs dans trois régions (Ile de France, PACA, Rhône Alpes) 4.2. Les défis de la distribution pour les réseaux décentralisés Les réseaux d agences La gestion patrimoniale Internet - la souscription en ligne - Internet et l image - les nouveaux entrants : le lancement de banques en ligne régionales - Internet et les avantages concurrentiels - le web communautaire La banque multicanale - le défi du cross canal 4.3. Les enjeux de la segmentation client en régions Focus sur les jeunes Focus sur les seniors 4.4. Les stratégies de diversification des banques régionales Les marchés ciblés 5. LES MONOGRAPHIES Les monographies présentent les chiffres clés (PNB, résultats ), l offre des acteurs, les axes stratégiques privilégiés Les banques décentralisées - Le Crédit Agricole - Le Crédit Mutuel - Les Caisses d Epargne - La Banque Populaire 5.2. Les banques centralisées - BNP Paribas - La Société Générale - La Banque Postale - HSBC

5 Tableaux et matrices : la source d information la plus complète sur les banques en régions 1. Le contexte de marché T1 Les établissements affiliés T2 : une présence déterminée par la densité de population T3 Les banques centrales ont fortement assoupli leur politique monétaire T4 Les valeurs boursières des établissements financiers se sont effondrées T5 Les banques sont face à une crise de grande ampleur T6 L'évolution des prix en 2008 T7 Les mutations du consommateur sont accélérées par la crise T8 mais les réponses des acteurs sont insuffisantes sur «la dimension sociale» T9 Les technologies ont favorisé l émergence du néomarketing de produits et services financiers T10 et bien sûr, une optimisation des coûts et de la productivité commerciale T11 Les souscriptions Internet de produits financiers des utilisateurs réguliers T12 La technologie NFC au service du m-banking T13 Les 3 grands enjeux du multicanal T14 Passer d un modèle en «silo» à un modèle intégré T15 Les stratégies des acteurs click and mortar pour adresser les deux marchés T16 Le taux d épargne globale des ménages progresse ( ) T17 Le pouvoir d achat des ménages ( ) T18 La consommation des ménages ( ) T19 Les revenus dans la banque de détail ( ) T20 Les revenus détaillés dans la banque de détail ( ) T21 Les dépôts des banques en régions T22 Les taux de détention des actifs patrimoniaux : ensemble des ménages en 2004 T23 Les taux de détention des actifs patrimoniaux par tranches de patrimoine en 2004 T24 Les crédits des banques en régions T25 T26 2. L environnement concurrentiel Les PNB globaux des acteurs français Le poids de la banque de détail en France T27 Les données des banques (2008) T28 Les données des plus grandes banques régionales (2008) T29 Les données des Caisses du Crédit Agricole (2008) T30 Les données du Crédit Mutuel (2008) T31 Les données des banques régionales du CIC (2008) T32 Les données des Caisses d Epargne (2008) T33 Les données des Banques Populaires (2008) T34 Les guichets en régions sont corrélés à la densité de la population (2008) T35 Le PIB est globalement pris en compte par les banques (2008) T36 Le PIB par habitant est par contre moins pris en compte par les banques T37 Les dépôts ne sont pas non plus pris en compte T38 Les zones régionales les plus attractives T39 Les variations du nombre de guichets T40 Les guichets du Crédit Agricole T41 Les guichets du Crédit Mutuel T42 Les guichets de la Société Générale T43 Les guichets de La Banque Postale T44 La chaîne de valeur dans la banque de particuliers T45 Les principaux relais de croissance des revenus des banques de détail T46 Les principaux avantages concurrentiels de la banque T47 de détail T48 Le degré de décentralisation au sein des banques T49 Les rapports de force concurrentiels dans la banque de détail T50 La montée en puissance du consumérisme et des banques en ligne T51 La concurrence dans la vente en ligne T52 L étendue de la gamme des produits T53 L élargissement des gammes : l exemple des courtiers en bourse (en ligne) T54 La concurrence des opérateurs non bancaires T55 T56 T57 T58 3. Les défis à relever Les usines de production Les filiales des principales banques françaises Les rapprochements Les grands enjeux des rapprochements T59 La démarche identitaire T60 Les étapes de mise en œuvre d une démarche identitaire T61 La stratégie d image doit être orchestrée à partir du système d identité T62 Les comparaisons de tarifs d organismes décentralisés dans trois régions T63 Les prix en région Ile de France (2008) T64 Les prix en région PACA (2008) T65 Les prix en région Rhône Alpes (2008) T66 L'évolution du rôle des agences T67 L agence au sein des stratégies multicanal T68 Les réseaux d agences des principaux groupes bancaires T69 L évolution du nombre de guichets permanents (2008) T70 La problématique de la montée en puissance des filières patrimoniales des banques de détail T71 La souscription en ligne T72 Internet et l image T73 Trois exemples de lancement de banques en ligne régionales T74 Les cinq avantages concurrentiels sur Internet T75 Le web communautaire T76 Un changement de paradigme dans les stratégies de communication T77 et d image des marques T78 Mesurer les opportunités du Web 2.0. T79 Les défis du cross canal T80 Le champ du multicanal doit remplir trois conditions T81 Les jeunes et les banques : la segmentation par âge T82 La segmentation et l étendue de l offre bancaire T83 Les seniors sont sur-représentés dans les régions du centre T84 Les assurances dommages T85 Le poids des réseaux bancaires en assurance dommages en 2007 T86 Les performances des acteurs en assurance non-vie (dommages et prévoyance) en 2008 T87 Les produits extrabancaires 4. Les monographies - Le Crédit Agricole - Le Crédit Mutuel - Les Caisses d Epargne - La Banque Populaire - BNP Paribas - La Société Générale - La Banque Postale - HSBC Informations complémentaires Contact : Contact : Frank Benedic fbenedic@precepta.fr

6 Principaux opérateurs analysés ou cités dans l étude (*) BNP Paribas BRED Banque Populaire BP du Massif Central BP d'alsace BP Occitane BP Côte d'azur BP du Sud BP Lorraine Champagne BP Bourgogne Franche-Comté BP Val de France BP du Nord BP Provençale et Corse BP Loire et Lyonnais BP Rives de Paris BP des Alpes BP de l'ouest BP du Sud Ouest BP Atlantique BP Centre Atlantique CA Île de France CA Centre Est CA Brie Picardie CA Languedoc CA Centre CA Nord de France CA Côte d'azur CA Atlantique Vendée CA Sud Rhône-Alpes CA Anjou et Maine CA Normandie CA Alpes Provence CA Nord Midi-Pyrénées CA Normandie Seine CA des Savoie CA de Champagne-Bourgogne CA Centre Loire CA Aquitaine CA Pyrénées Gascogne CA Charente-Maritime Deux Sèvres CA Loire Haut- Loire CA Alsace Vosges CA Lorraine CA Charente Périgord CA Toulouse CA Finistère CA Val de France CA Ille-et-Vilaine CA Morbihan CA Côte d'armor CA Corse CA Nord Est CA Touraine Poitou CA Franche-Comté CM Centre Est Europe (CM4) Groupe Arkéa CE Ile de France CE Provence Alpes Corse CE Nord France Europe CE Loire Centre CE Midi Pyrénées CE Languedoc Roussillon CE Picardie CE Auvergne Limousin CE Loire Drôme Ardèche CE Bourgogne Franche-Comté CE Aquitaine Poitou-Charentes CE Côte d'azur CE Lorraine Champagne- Ardenne CE Alsace CE Rhône Alpes CE Normandie CE Bretagne Pays de Loire CM Nord Europe CM Loire Atlantique et Centre Ouest CM Maine-Anjou, Basse- Normandie CM Océan CM Sud Europe Méditerranée CM du Centre CM Midi Atlantique CM d Anjou CM Normandie CIC EST CIC Lyonnaise de banque CIC BSD-CIN CIC Banque CIO- BRO CIC Holding et région parisienne CIC Société Bordelaise La Banque Postale Société Générale Crédit du Nord Banque Courtois Banque Kolb Banque Laydernier Banque Nuger Banque Rhône Alpes Banque Tarneaud (*) Liste non exhaustive BON DE COMMANDE à retourner ou à télécopier : E-Réf : 0ABF13/PTAC Etude commandée : PRECEPTA groupe Xerfi 13-15, rue de Calais Paris Télécopie : Téléphone : Quel modèle de développement au service de la proximité et du multicanal? Choisissez le mode de réception de l étude commandée (cocher la bonne case) : Mode de réception de l étude commandée : 1 version papier (envoi par la poste) EUR HT 2 743,00 EUR TTC (TVA 5,5%) 1 version papier (envoi par la poste) + version électronique (fichier pdf) EUR HT 3 827,20 EUR TTC (TVA 19,6%) je souhaite diffuser l étude au sein de mon entreprise : 1 version papier + 1 version électronique (pdf) avec un droit de rediffusion du fichier pdf à 5 personnes EUR HT 6 219,20 EUR TTC (TVA 19,6%) Mode de règlement choisi : chèque joint à l ordre de Xerfi SAS dès réception de l étude et de la facture Nom : Prénom : Fonction : Société : Adresse : Code Postal : Ville : Adresse (en lettres capitales) : Téléphone : Télécopie : Date, signature et cachet : Facture avec la livraison En cas de litige, il est fait attribution exclusive au Tribunal de Commerce de Paris XERFI SAS au capital de euros rue de Calais Paris - RCS Paris B APE 5811Z TVA intracommunautaire : FR Tarifs valables jusqu au 30 juin Facture avec la livraison. En cas de litige, il est fait attribution exclusive au Tribunal de Commerce de Paris.

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE

TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00 ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA

Plus en détail

rapport de l observatoire des TArifs bancaires

rapport de l observatoire des TArifs bancaires 2013 rapport de l observatoire des TArifs bancaires 2013 rapport de l observatoire des tarifs bancaires Préambule La loi de régulation bancaire et financière du 22 octobre 2010 a confié au Comité consultatif

Plus en détail

ISF et intermédiation : Collecte 2009

ISF et intermédiation : Collecte 2009 ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour

Plus en détail

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 30 janvier 2009 Des packages plus chers que les services à la carte dans plus de 50 % des banques, des prix globalement à la baisse

Plus en détail

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 - La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux

Plus en détail

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer

Plus en détail

rapport de l observatoire des tarifs bancaires

rapport de l observatoire des tarifs bancaires 2013 rapport de l observatoire des tarifs bancaires PRÉAMBULE La loi de régulation bancaire et financière du 22 octobre 2010 a confié au Comité consultatif du secteur financier une mission de suivi de

Plus en détail

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent

Plus en détail

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue

Plus en détail

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales

Plus en détail

RAPPORT DE L OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES

RAPPORT DE L OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES 2014 RAPPORT DE L OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES «Aucune représentation ou reproduction, même partielle, autre que celles prévues à l article L122-5 2 e et 3 e a) du Code de la propriété intellectuelle

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE DE LA CLCV

TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE DE LA CLCV TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE DE LA CLCV L année 2005 sera-t-elle l année des grands changements dans les relations banques - clients? Les établissements bancaires veulent en convaincre les

Plus en détail

Observatoire de l Eolien

Observatoire de l Eolien Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,

Plus en détail

Les enjeux du quotidien

Les enjeux du quotidien Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel

Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle

Plus en détail

17/10/06 à la main dans le Masque. Groupe Banque Populaire. Résultats 2007. Conférence de presse 6 mars 2008

17/10/06 à la main dans le Masque. Groupe Banque Populaire. Résultats 2007. Conférence de presse 6 mars 2008 17/10/06 à la main dans le Masque Groupe Banque Populaire Résultats 2007 Conférence de presse 6 mars 2008 Avertissement L évolution des périmètres résultant de la création de Natixis conduit à une présentation

Plus en détail

Conférence de presse 26 février 2009. Groupe Banque Populaire. Résultats 2008

Conférence de presse 26 février 2009. Groupe Banque Populaire. Résultats 2008 Conférence de presse 26 février 2009 Groupe Banque Populaire Résultats 2008 Avertissement Cette présentation peut inclure des prévisions basées sur des opinions et des hypothèses actuelles relatives à

Plus en détail

EXPÉRIENCE CLIENT. Baromètre des secteurs assurances et mutuelles

EXPÉRIENCE CLIENT. Baromètre des secteurs assurances et mutuelles EXPÉRIENCE CLIENT Saison 2 # Baromètre des secteurs assurances et mutuelles Etude réalisée par INIT Marketing pour Akio Software en mai 2014 sur un échantillon représentatif de la population française

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

Identification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14

Identification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7

Plus en détail

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013 CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale

Plus en détail

Réseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE

Réseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35

Plus en détail

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE

Présentation du Programme PHARE Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des

Plus en détail

Plus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires

Plus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires Plus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires I / Ile de France Gaphil II / Nord-Pas de Calais IIA / Picardie III/ Champagne Ardenne IV / Lorraine VI / Alsace Belfort VII

Plus en détail

Marché de l épargne-retraite en France : état des lieux, perspectives et enjeux

Marché de l épargne-retraite en France : état des lieux, perspectives et enjeux Marché de l épargne-retraite en France : état des lieux, perspectives et enjeux Décembre 2003 Etude disponible le 15 décembre 2003 Les objectifs Traiter les questions de fond -réglementation, fiscalité,

Plus en détail

ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020

ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020 Jean-Louis DELPÉRIÉ Directeur ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020 Antoine FOURNIER Directeur LES DEUX DERNIÈRES DÉCENNIES ONT VU L ÉMERGENCE EN FRANCE DES

Plus en détail

Banque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale

Banque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale Banque de détail Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale L évolution de l environnement et les enjeux dans la Banque de détail CENTRES D'APPELS Intensification du

Plus en détail

DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr

DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr COORDONNEES DE VOTRE SOCIETE DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr Dossier d'adhésion à compléter et à retourner à : SAS La Bourse des Déménagements - 23-25 rue

Plus en détail

REGION HAUTE-NORMANDIE

REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie

Plus en détail

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2 LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations

Plus en détail

Emplois. Votre épargne a le pouvoir de créer des emplois!

Emplois. Votre épargne a le pouvoir de créer des emplois! Gamme Insertion Emplois Votre épargne a le pouvoir de créer des emplois! Gamme Insertion Emplois, Des actifs monétaires aux marchés actions, la gamme des FCP Insertion Emplois de Mirova* vise à concilier

Plus en détail

Le Service Central du Traitement de la Dépense. Intervenant l mentions légales.

Le Service Central du Traitement de la Dépense. Intervenant l mentions légales. Le Service Central du Traitement de la Dépense Intervenant l mentions légales. Sommaire L e S e r v i c e C e n t r a l d e Tr a i t e m e n t d e l a D é p e n s e : c o n t e x t e e t o b j e c t i

Plus en détail

LA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/

LA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en

Plus en détail

Palmarès des banques françaises 2014 : tarifs et sécurité, «SEPA» le Pérou!

Palmarès des banques françaises 2014 : tarifs et sécurité, «SEPA» le Pérou! Palmarès des banques françaises 2014 : tarifs et sécurité, «SEPA» le Pérou! Direction des études Janvier 2014 1 Contenu I. 2013, une année faste en changements dans la banque de détail 2 1. Des progrès

Plus en détail

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle, Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs

Plus en détail

Réalisé par : http://menageremag.com

Réalisé par : http://menageremag.com Liste des établissements bancaires de droit français autorisés à exercer le service de tenue de compte et de conservation sur le territoire français (à l exclusion des établissements relevant de l article

Plus en détail

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits

Plus en détail

Edition février 2015. CEGEDIM CD, droits réservés : GDR_201502

Edition février 2015. CEGEDIM CD, droits réservés : GDR_201502 1 Edition février 215 Chaque mois, CEGEDIM CD propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous

Plus en détail

BANQUES SUR INTERNET 2012 LE DIGITAL AU CŒUR DES NOUVELLES STRATÉGIES CLIENT

BANQUES SUR INTERNET 2012 LE DIGITAL AU CŒUR DES NOUVELLES STRATÉGIES CLIENT CONFÉRENCE LE 13 MARS À PARIS BANQUES SUR INTERNET 2012 LE DIGITAL AU CŒUR DES NOUVELLES STRATÉGIES CLIENT 4 formations associées ( - Paris) Avec le concours de Partenaires médias Applications et sites

Plus en détail

Quelle image avez-vous de la Belgique?

Quelle image avez-vous de la Belgique? Quelle image avez-vous de la Belgique? Saviez vous que?. Sont d origine belge. Le saxophone. La marque de montres Ice watch. La chaine de fast food Quick. l ile de Porquerolles au large de Toulon appartenait

Plus en détail

FICHE CANDIDATURE. Ain de mieux vous connaître, nous vous remercions de compléter soigneusement toutes les rubriques de ce document.

FICHE CANDIDATURE. Ain de mieux vous connaître, nous vous remercions de compléter soigneusement toutes les rubriques de ce document. FICHE CANDIDATURE Ain mieux vous connaître, nous vous remercions compléter soigneusement toutes les rubriques ce document. Ce document dûment complété n engage en rien Planet Sushi ou le candidat. L intégralité

Plus en détail

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES

Plus en détail

I. Les entreprises concernées et l opération

I. Les entreprises concernées et l opération RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 10-DCC-172 du 29 novembre 2010 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Crédit Foncier et Communal d Alsace et de Lorraine Banque par la société Crédit Mutuel

Plus en détail

F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000

F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 PARIS, le 11 Avril 2000 PROCES VERBAL REUNION AFFAIRES GENERALES DU 24 MARS 2000 Présents : MM. SIMON, MERIC, VILLEROT, MARLIOT, Mmes

Plus en détail

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :

Plus en détail

Informatisation des données transfusionnelles

Informatisation des données transfusionnelles Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser

Plus en détail

Le P2D2. Réunion INSIS 24 mars 2014. Direction des comptes et de l information financière (DCIF) Bernard Adans Sandrine Loridan-Torchy Alain Dedenis

Le P2D2. Réunion INSIS 24 mars 2014. Direction des comptes et de l information financière (DCIF) Bernard Adans Sandrine Loridan-Torchy Alain Dedenis P. 1 Le P2D2 Réunion INSIS 24 mars 2014 Direction des comptes et de l information financière (DCIF) Bernard Adans Sandrine Loridan-Torchy Alain Dedenis Sommaire P. 2 1 - Contexte et enjeux du P2D2 2 -

Plus en détail

Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance

Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance

Plus en détail

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans

Plus en détail

Midi Capital. nouvelle gamme. produits éligibles à la réduction ISF

Midi Capital. nouvelle gamme. produits éligibles à la réduction ISF Midi Capital nouvelle gamme 2011 produits éligibles à la réduction ISF Midi Capital lance sa gamme de produits éligibles à la réduction ISF 2011 Pour la campagne ISF 2011, Midi Capital, Société de Gestion

Plus en détail

INSTRUCTION. N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J

INSTRUCTION. N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J INSTRUCTION N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J VERSEMENT AU PROFIT DE L'ÉTAT DES SOMMES DÉPOSÉES SUR DES PRODUITS D'ÉPARGNE RÉGLEMENTÉE ATTEINTES PAR LA PRESCRIPTION TRENTENAIRE ANALYSE

Plus en détail

Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer

Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d

Plus en détail

Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial

Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Dossier de presse Contact Chaire : Joël Gayet Mobile : 00 33 6 09 51 15 70 Jgayet.chaire anmt@sciencespo aix.fr Contact Sciences Po Aix : Noëlline Souris

Plus en détail

La mobilité. Au service des Outre-mer

La mobilité. Au service des Outre-mer La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première

Plus en détail

Mutualité Fonction Publique 62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13

Mutualité Fonction Publique 62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13 62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13 DIRECTION DE LA SANTE Département Relations avec les Professionnels de Santé Dossier suivi par : Monique LEFRANCOIS Réf. : 19/2005/ML/MPD Paris, le 22 décembre

Plus en détail

REGLEMENT CHALLENGE LEGRAND VDI Février 2014

REGLEMENT CHALLENGE LEGRAND VDI Février 2014 REGLEMENT CHALLENGE LEGRAND VDI Février 2014 Article 1. ORGANISATEUR La société LEGRAND SNC, au capital social de 6 200 000, immatriculée au RCS de LIMOGES, sous le numéro 389 290 586, dont le siège social

Plus en détail

Assurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014

Assurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014 Assurances de biens et de responsabilité Etude Mars 2014 Tempêtes, grêle et neige : Résultats de l année 2012 Ce document est la propriété exclusive de la FFSA et du GEMA et est protégé par le droit d'auteur.

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2009"

La santé des étudiants en 2009 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie

Plus en détail

Présentation des résultats 2006. 15 mars 2007

Présentation des résultats 2006. 15 mars 2007 Présentation des résultats 2006 15 mars 2007 Préambule Le intègre dans son périmètre la création de Natixis intervenue le 17 novembre. Les données financières présentées sont issues des comptes pro forma

Plus en détail

Externe : changement de régime de sécurité sociale et autres dispositions

Externe : changement de régime de sécurité sociale et autres dispositions Externe : changement de régime de sécurité sociale et autres dispositions 18/08/2013 Rodolphe LEDIEU 0 Sommaire Introduction 1. Du DFSGM au DFASM : du Régime de Sécurité Sociale Etudiante au Régime Général

Plus en détail

L autopartage en France à l horizon 2015 Potentiel de croissance, forces en présence et modèles de développement

L autopartage en France à l horizon 2015 Potentiel de croissance, forces en présence et modèles de développement L autopartage en France à l horizon 2015 Potentiel de croissance, forces en présence et modèles de développement L engouement autour du projet Autolib et l ampleur pris par le phénomène à l étranger ont

Plus en détail

q u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998

q u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998 Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Depuis plusieurs années, l IRDES étudie le marché de la couverture complémentaire et a élaboré, en 1998,

Plus en détail

L Agence MD vous présente

L Agence MD vous présente L Agence MD vous présente 4 Millions d emails BtoB disponibles Focus sur les professions libérales Mise à jour de septembre 2014 1 La Meg@baseB2B 4 Millions d emails de décideurs disponibles L Agence MD

Plus en détail

SOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur "Logement" métropole... 4

SOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur Logement métropole... 4 SOMMAIRE I - Synthèse de l'activité 2014... 2 II - Secteur "Logement" métropole... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS + EXISTANTS... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS... 9 ACTIVITE LOGEMENTS EXISTANTS... 13 ACTIVITE

Plus en détail

gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers

gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers L i m m o b i l i e r v o u s o u v r e t o u t e s s e s p o r t e s gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers Bienvenue à l UNIS De plus en

Plus en détail

Mobilité bancaire : des mythes à la réalité 2 milliards d euros de pouvoir d achat économisables. UFC-Que Choisir, 9 décembre 2014

Mobilité bancaire : des mythes à la réalité 2 milliards d euros de pouvoir d achat économisables. UFC-Que Choisir, 9 décembre 2014 Mobilité bancaire : des mythes à la réalité 2 milliards d euros de pouvoir d achat économisables UFC-Que Choisir, 9 décembre 2014 1 La mobilité bancaire au croisement de plusieurs actualités Une actualité

Plus en détail

Extrait gratuit du guide Formulaire Social BTP commenté

Extrait gratuit du guide Formulaire Social BTP commenté Extrait gratuit du guide Formulaire Social BTP commenté Chap. 03/1 : Élaborer les règles de discipline dans l entreprise N o 03/1-060 Note de service sur la rémunération des temps de trajet Vous gérez

Plus en détail

Vous voulez une expérience qui compte? Rejoignez-nous en alternance.

Vous voulez une expérience qui compte? Rejoignez-nous en alternance. Vous voulez une expérience qui compte? Rejoignez-nous en alternance. «A La Poste, j ai pu à la fois apprendre un métier et suivre une formation adaptée et rémunérée, au sein d un grand groupe.» HUGO -

Plus en détail

Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014

Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014 Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Rappel Méthodologique Modes de réception TV À partir de 2014 : Niveau national et régional Enquête

Plus en détail

Dossier de Premier Contact. Recherche Financement Business Booster

Dossier de Premier Contact. Recherche Financement Business Booster Dossier de Premier Contact Recherche Financement Business Booster Document non-contractuel Avril 2012 1 Pourquoi rechercher du financement? 2 En auto-financement depuis 2008 Entreprendre librement, l auto-financement

Plus en détail

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,

Plus en détail

Protocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013

Protocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013 Protocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013 Harmonie Mutuelle, mutuelle soumise aux dispositions du livre

Plus en détail

LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT

LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT RÉSEAU NATIONAL D'AGENCES IMMOBILIÈRES INDÉPENDANTES ACHAT VENTE GESTION LOCATION PROMOTION FINANCEMENT LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE N É O, L ' A G E N T I M M O B I L I E R D E F A M I L

Plus en détail

TARIF PROFESSIONNEL H.T.

TARIF PROFESSIONNEL H.T. u l o v É e n è c S Spécialiste de la vente et de la confection du tissu scénique classé au feu Velours Ecrans Cyclos Tulles Voiles Vélums Toiles Occultants Tapis Moquettes Patiences Accessoires TARIF

Plus en détail

SEANCE X. «La banque en ligne : des produits et services innovants au service des clients» Benoit GRISONI [Directeur de Boursorama Banque France]

SEANCE X. «La banque en ligne : des produits et services innovants au service des clients» Benoit GRISONI [Directeur de Boursorama Banque France] SEANCE X «La banque en ligne : des produits et services innovants au service des clients» Benoit GRISONI [Directeur de Boursorama Banque France] Lundi 6 Juin 2011 1 Le Groupe Boursorama est présent dans

Plus en détail

[ Adie Contact : un lien avec le créateur sur la durée. [ L informatique se met à la portée des créateurs. [ Une action au coût limité

[ Adie Contact : un lien avec le créateur sur la durée. [ L informatique se met à la portée des créateurs. [ Une action au coût limité Le pôle accompagnement : L offre d accompagnement de l Adie est accessible aux créateurs pendant toute la durée de remboursement de leur prêt et à pour but de les aider à pérenniser et à développer leur

Plus en détail

3 e. 4 e. Notre métier, vous protéger, vous et vos projets. Caci (Crédit Agricole Creditor Insurance),

3 e. 4 e. Notre métier, vous protéger, vous et vos projets. Caci (Crédit Agricole Creditor Insurance), Caci Notre métier, vous protéger, vous et vos projets Caci (Crédit Agricole Creditor Insurance), la filiale du groupe Crédit Agricole Assurances spécialisée en assurance des emprunteurs (ADE), est un acteur

Plus en détail

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président

Plus en détail

Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale»

Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale» Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale» Article 1 : Organisateur du concours L association France Energie Eolienne, située au 12 rue Vivienne, 75002 Paris, SIRET n 432 446

Plus en détail

Chaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé

Chaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé Chaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous accompagner dans la compréhension

Plus en détail

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47

Plus en détail

SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON

SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON ACO S S STA T SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON N - JANVIER 5 Le 1er juillet 3, une réduction unique des cotisations patronales de Sécurité sociale

Plus en détail

FRAIS BANCAIRES : 7 PROPOSITIONS A BERCY POUR EN FINIR AVEC LES EXCES TARIFAIRES

FRAIS BANCAIRES : 7 PROPOSITIONS A BERCY POUR EN FINIR AVEC LES EXCES TARIFAIRES FRAIS BANCAIRES : 7 PROPOSITIONS A BERCY POUR EN FINIR AVEC LES EXCES TARIFAIRES Enjeux : les frais bancaires, un marché de plus de 15 milliards d euros La banque de détail a représenté en 2009, 65% du

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

Dossiers modélisés de demande de financement TPE/PME/ETI

Dossiers modélisés de demande de financement TPE/PME/ETI Dossiers modélisés de demande de financement TPE/PME/ETI Guide d utilisation Télécharger les dossiers modélisés www.financement-tpe-pme.com Octobre 2013 Sommaire Financement en ligne : mode d emploi...

Plus en détail