Eco-quartier De l Octroi. Villefranche sur Mer
|
|
- Diane Mongeau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Eco-quartier De l Octroi Villefranche sur Mer H4 / AEU 16 avril 2013
2 Table des matières 1 Conclusions des analyses des connaissances sur l état des sols Bilan des connaissances sur l état des sols au droit du projet d éco quartier Situation de l éco quartier Projet d aménagement Données sur la pollution des sols Données bibliographiques Rapports sources existants Scénarii et estimation des couts de dépollution au droit de l ancien site GDF Rapport d expertise Commentaires et suite à donner Tableau de suivi Version Date Rédacteur Approbateur 01 Le 16/04/2013 Magali Sauneuf Cyrille Merle 2
3 1 Conclusions des analyses des connaissances sur l état des sols Sur la base des analyses réalisées par l expert et de ses recommandations, nous préconisons, en application de la Méthodologie Nationale de gestion des sols pollués et conformément à notre document établi le 5 novembre 2012, un Plan de Gestion avec Analyse des Risques Résiduels (ARR). L élaboration du Plan de Gestion comprend : Un bilan des connaissances et des enjeux, études complémentaires Un schéma conceptuel Mesures de gestion : liste des techniques Bilan couts/avantages Analyse des Risques Résiduels Un suivi et contrôle des travaux Conservation de la mémoire Le Plan de Gestion sera élaboré sur la base des connaissances du site et d un plan projet abouti. Le Plan de Gestion prendra également en compte les préconisations de l Expert : Scénario 1 retenu : libre jouissance du terrain quel que soit les usages. Supprimer les sources de pollution pour réduire le risque sanitaire tonnes de matériaux évacués en CET 1 pouvant être affinés. Dans l objectif de réaliser un Plan de Gestion complet des analyses complémentaires seront à prévoir, notamment au droit des bâtiments existants, après leur démolition. Un bureau d études spécialisé dans le domaine des sites et sols pollués et la réalisation de Plan de Gestion (avec ARR et/ou EQRS) est primordial. Le choix d un bureau d études local ou habitué au contexte local apparait judicieux concernant la gestion des déchets en Alpes Maritimes. Il est notamment important de prendre en compte : Les connaissances des sites de stockages des déchets dangereux et non dangereux. 3
4 Les coûts de transport et de dépollution. Compte tenu du planning prévu pour la réalisation projet, un démarrage dans les semaines qui suivent est souhaitable : Phase 1 : Démolition des bâtiments Phase 2 : Sondages et analyses complémentaires Phase 3 : Plan de Gestion avec ARR si nécessaire 4
5 2 Bilan des connaissances sur l état des sols au droit du projet d éco quartier 2.1 Situation de l éco quartier Le terrain du projet de l Eco-quartier de l Octroi se situe à proximité du centre ancien de Villefranchesur-Mer, le long de l avenue du Général de Gaulle. Le site est délimité : au nord par l avenue du Maréchal Foch et le square de l Octroi, à l est par le stade municipal Antoine Bonifaci et la Citadelle, au sud par le port de la Darse, à l ouest par de l habitat individuel. Le terrain du projet est traversé par l avenue du Général de Gaulle. 2.2 Projet d aménagement Le site d accueil du projet d éco quartier est divisé en deux parties, nommées secteur de «l Octroi» au nord (partie haute) et secteur de «Narvik» au sud (partie basse). 5
6 Localisation des deux secteurs de l éco quartier de l Octroi (Source : Rapport de présentation) 6
7 Le projet prévoit, pour la partie Nord, secteur de «l Octroi» : Des logements libres et sociaux Un parc urbain Une crèche et un gymnase Secteur de «l Octroi» (Source : Plans GEOTECH) 7
8 Le projet prévoit, pour la partie Sud, secteur de «Narvik» : Un complexe hôtelier Secteur de «Narvik» (Source : Plans GEOTECH) Les premières esquisses du projet prévoyaient une école maternelle sur le secteur de «Narvik», celle-ci n est pas au projet actuel. 8
9 2.3 Données sur la pollution des sols Données bibliographiques La partie basse ou projet «Narvik» est concernée par le Centre Technique Municipal, auparavant occupé par une usine à gaz. Cette usine est répertoriée dans la base de données BASOL (qui recense les sites et sols pollués (ou potentiellement pollués) appelant une action des pouvoirs publics, à titre préventif ou curatif) du BRGM. La base de données BASOL donne les informations suivantes : USINE à GAZ - G.D.F Avenue du Général De Gaulle : Ancienne usine à gaz implanté à VILLEFRANCHE SUR MER depuis 1870 sur une superficie de 4848 m² et dont les bâtiments ont été reconvertis en bureaux - services de GDF-(depuis 30 ans), a la cessation d'activité en A partir de cette date, une canalisation a été utilisée depuis l'usine à gaz de Nice jusqu'à Monaco. Ce site n'est au contact ni avec des eaux profondes, ni avec des eaux de surface. Ce site se trouve implanté dans la rade de VILLEFRANCHE SUR MER. G.D.F. a réalisé une opération de réhabilitation pour un aménagement en zone résidentielle. L ancien site GDF correspond actuellement au Centre Technique Municipal de Villefranche-sur-Mer. 9
10 Vue actuelle de l ancien site GDF Rapports sources existants Des études sur le site ont été réalisées dans le cadre de la réalisation du projet précèdent : ERG, Ancienne Usine à Gaz de Villefranche-sur-Mer, Rapport de fin de Travaux, 12/09/2001 : document scanné probablement incomplet : 5 pages Francis Arnoux, Rapport d expertise n avril 2004 : document scanné 53 pages BURGEAP, Estimation des coûts de dépollution du site, 06/09/2008 : document scanné, 40 pages Scénarii et estimation des couts de dépollution au droit de l ancien site GDF Les informations collectées concernent l ancien site GDF, actuellement occupé par le Centre Technique Municipal qui accueillera le complexe Hôtelier nommé secteur de «Narvik». Lithologie des sols Les investigations réalisées par ERG et BURGEAP ont mis en évidence la lithologie suivante au droit du site : Des remblais à matrice sablo graveleuse sur une épaisseur comprise entre 0 et 4 mètres Un horizon argileux sur une épaisseur comprise entre 0 et 1,40 mètre Le substratum calcaire rencontré à une profondeur comprise entre quelques dizaines de mètres et moins de 2 mètres en moyenne. Polluants présents Les différentes campagnes d analyses ont révélé la présence des polluants suivants : Métaux : arsenic, cuivre, mercure, plomb, zinc Cyanures : entre 1 et 4 mg/kg 10
11 BTEX : concentrations conformes aux objectifs de réhabilitation (1 mg/kg) HAP : entre 50 et 1200 mg/kg HCT et analyse type TPH : 3 points présentent des teneurs supérieures à 500 mg/kg ; présence d hydrocarbures aliphatiques et aromatiques. Gaz du sol : hydrocarbures aromatiques, benzène, BTEX. Scénarii de dépollution Le bureau d étude BURGEAP a établi, en septembre 2008 : trois scénarii de dépollution les couts de dépollution associés Scénario Objectifs Mesures de gestion 1 Libre jouissance du terrain quel que soit le type d usage 2 Bâtiment à usage d habitation, sans vide sanitaire, avec jardins privatifs (scénario résidentiel sans sous-sols) 3 Etablissement hôtelier avec jardins et deux niveaux de parkings enterrés (scénarios résidentiels avec sous-sols) Gestion des risques sanitaires sur le site pour le projet envisagé Rendre compatibles les concentrations et les usages par : L enlèvement des sources de pollution La suppression des voies d exposition Conservation des travaux et restriction d usage Quel que soit le scénario Gestion des risques sanitaires en phase chantier Respect des consignes habituelles d hygiène et de sécurité du BTP en réduisant autant que possible le contact avec les sols et les polluants dispersés dans l air, ainsi que l inhalation de composés volatils Scénarii de dépollution et mesures de gestion associées (Source : Rapport BURGEAP) Solutions envisagées Scénario 1 : tous usages : il convient de supprimer les sources de pollution afin d éliminer les risques sanitaires. La suppression des voies d exposition par recouvrement de terres n est pas opportune 11
12 dans le cas de composés organiques volatils qui peuvent circuler à travers des dalles béton et pénétrer à l intérieur des bâtiments. Scénario 2 : résidentiel sans sous-sols et jardins privatifs : il convient de supprimer les sources de pollution présentes au droit des futures zones d habitation et d une manière générale les différents spots de pollution identifiés sur le site au cours des diagnostics et de recouvrir les zones excavées et le reste des terrains soit par des matériaux sains (type terre végétale)au droit des espaces verts, soit par de l enrobé au droit des zones de circulation et de parking aérien. Scénario 3 : résidentiel / hôtelier avec sous-sols et espaces verts : il convient de supprimer les spots de pollution identifiés sur le site au cours des diagnostics et de positionner le bâtiment au droit de la zone correspondant à la plus grande zone de pollution et la plus forte pollution, et recouvrir les zones excavées et le reste des terrains par des matériaux sains au droit des espaces verts, soit par de l enrobé au droit des zones de circulation et de parking aérien. Superficies des zones sources Localisation Polluants concernés Extension estimée (m²) Zone I (sud-ouest) HAP, HCT, Cyanures 250 Zone II (centre) HAP, HCT, Cyanures, Arsenic 200 Zone III a (centre sud) HAP, HCT, Cyanures, Plomb, Antimoine Zone III b (sud-est) HAP, HCT, Cyanures 400 Zone III c (nord) HAP, HCT, Cyanures, plomb 600 Superficies des zones sources de pollution sur l ancien site GDF (Source : Rapport BURGEAP) Localisation des zones sources de pollution au droit de l ancien site GDF Les zones sources de pollution identifiées s étendent sur 1950 m². 12
13 Localisation des zones sources de pollution au droit l ancien site GDF (Sources : GEOTECH, BURGEAP, EXPERTISE) 13
14 Estimation des couts de dépollution (BURGEAP) Scénario Objectifs Couts 1 Dépollution totale du site Excavation des terres sur l ensemble du site (4300 m²) jusqu au toit du substratum calcaire Méthodologie : excavation et ri par criblage et répartition par filière Superficie : 4300 m² Volume : 6600 m 3 66% en CET 3 26% en CET 2 2 Résidentiel sans vide sanitaire ou sous-sols, avec espaces verts de type jardins privatifs 3 Résidentiel, établissement hôtelier avec jardins et 2 niveaux de parkings Excavation des terres au niveau des spots de pollution identifiés Confinement du reste du terrain. Restrictions d usage Méthodologie : excavation et ri par criblage et répartition par filière Excavation des terres au niveau des spots de pollution identifiés Sur-profondeur au droit des parkings enterrés (2 niveaux) Confinement du reste du terrain. Restrictions d usage Méthodologie : excavation et ri par criblage et répartition par filière 8% en CET 1 Budget total : Superficie : 1950 m² Volume : 3075 m 3 50% en CET 3 39% en CET 2 11% en CET 1 Budget total : Superficie : 1950 m² Volume : 6675 m 3 77% en CET 3 18% en CET 2 5% en CET 1 Budget total : Estimation des coûts de dépollution de chaque scénario pour l ancien site GDF (Source : Rapport BURGEAP) Rapport d expertise Un rapport d expertise a été commandé par la Maitrise d ouvrage et conclue dans le rapport n en date du 24 avril
15 Les différentes investigations réalisées pour l expertise ont permis de distinguer trois zones d impact présentant les teneurs les plus élevées dabs les sols et les gaz du sol : Au niveau de l entrée du site, nommée zone I, avec des teneurs élevées en cyanures, hydrocarbures avec HAP et autres composés (pesticides, ) Dans la zone du projet d école provisoire, nommée zone III-c, caractérisée par la présence d hydrocarbures avec HAP, de cyanures, ponctuellement du mercure et composés divers. Zone concernée par les valeurs les plus élevées en benzène et dérivés. Au niveau du talus, nommé zone III-b, caractérisé par la présence de cyanures, hydrocarbures dont HAP. Trois scénarii de dépollution ont été étudiés par la société BURGEAP et analysés par l expert : Le scénario «1», retenu par l expert, procède à l enlèvement total de toutes les terres présentant des indices supérieurs aux taux admissibles définis dans l arrêté préfectoral du 7/09/2000. Une estimation de 2151 tonnes de matériaux est donnée pour une évacuation en CET 1. Les solutions in situ par criblage et de tri visuel ne sont pas retenues par l expert. Quantités de matériaux revues à évacuer Secteur Surface Profondeur Volume Tonnage Zone I 50 2, Zone II 250 0, ,5 Zone III a 70 2, Zone III b 300 1, Zone III c 300 1, Reste du terrain , Total ,5 Re-estimation des quantités de matériaux à évacuer pour l ancien site GDF (Source : Rapport EXPERTISE ARNOUX) Dans son rapport, l expert estime : À environ 2151 tonnes la quantité de matériaux qui devra être évacués en CET 1. 15
16 A un coût de 150 l évacuation d une tonne de matériaux pollués. À H.T. l opération d évacuation. L expert précise que les chiffres correspondant à une estimation qui sera à affiner lors des opérations de découverte des terres à évacuer. Commentaires complémentaires de l expertise Le rapport d expertise précise également que le site n est pas sanitairement exploitable sans certaines adaptations particulières des constructions envisagées ou sans redépolllution ponctuelle des zones litigieuses. L expert conseille, après établissement d un projet définitif, de faire réaliser une Evaluation Quantitative des Risques Sanitaires (EQRS) et de faire un bilan couts/avantages et une Analyse des Risques Résiduels. 3 Commentaires et suite à donner Suite à donner : Dans l objectif de suivre les recommandations de l expertise et de réaliser un projet d aménagement compatible avec l état des sols, il est nécessaire de réaliser un Plan de Gestion. Le Plan de Gestion permettra de maitriser les couts de dépollution, en effet, comme précisé par l expertise, les tonnages sont estimés, et l objectif est d affiner ces estimations tout en réduisant les risques sanitaires. Le Plan de Gestion, établi par un bureau d études spécialisé, prendra en compte et vérifiera ces données afin d établir son bilan coût/avantages. Le Plan de Gestion sera complété d une Analyse des Risques Résiduels. Objectif de l Analyse des Risques Résiduels : Le calcul de risque a pour objectif de mettre en évidence que les expositions résiduelles sont acceptables, et ainsi de valider le Plan de Gestion. De manière générale, la démarche se compose de 4 étapes : l identification des dangers ; l estimation des relations dose-réponse ; 16
17 l estimation des expositions ; la caractérisation des risques sanitaires. A noter, l Analyse des Risques Résiduels correspond à une Evaluation Quantitative des Risques Sanitaires (EQRS) qui prend en compte les mesures de gestion réalisées. Commentaires : Les coûts estimés : Nous attirons l attention de la Maîtrise d Ouvrage que le coût estimé de 150 pour une tonne de matériaux évacués correspond probablement à la taxe pour la mise en décharge, ce montant ne semble pas comprendre le transport. Le scénario retenu : A noter également que l expert préconise le scénario 1 de BURGEAP : supprimer les sources pour réduire les risques sanitaires en réduisant les surfaces et volumes évacués par rapport aux estimations de BURGEAP. BURGEAP préconisait également un terrassement complémentaire avec évacuation sur la totalité du site sur 1,50 m de profondeur avec surprofondeur au droit des zones sources identifiées, l expert préconise une évacuation seulement au droit des zones sources identifiées comme polluées. Les données inconnues ou méconnues : Sur le secteur de «Narvik» : Il convient également de préciser qu au droit des bâtiments, aucune information n est fournie concernant la pollution des sols. Des sondages et analyses seront à prévoir après démolition des bâtiments afin de vérifier l état des sols avant réalisation du Plan de Gestion. Sur le secteur de «l Octroi» : il est prévu la réalisation d une crèche. Il est souhaitable de vérifier l historique du site afin de déterminer la nécessité de réaliser un diagnostic initial de sol. Les centres d enfouissement des déchets : Il est important de rappeler que l ISDND (Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux) de la Glacière à Villeneuve Loubet est fermée depuis juillet
18 Les principaux sites de dépôt sur le département des Alpes-Maritimes sont (Source : Plan d Elimination des Déchets Ménagers et Assimilés des Alpes-Maritimes Conseil Général des Alpes- Maritimes) : Pour les déchets verts : 2 plateformes de compostage (VALSUD à Carros et à Peymeinade) Pour les papiers-cartons : 1 société de récupération (EMCO à Carros) Pour le bois : 2 sociétés de récupération (VALECOBOIS à Antibes et VEOLIA Propreté à Cagnes sur Mer) Pour les déchets dangereux : 1 centre de regroupement et de traitement à Grasse (OREDUI) Pour les déchets inertes et déchets de chantier : plusieurs entreprises de récupération ou d exploitation de décharges spécifiques (SITA SUD à La Gaude-St-Laurent, S.E.C. à Gourdon, S.E.C. à Villeneuve-Loubet, SPADA à Roquefort les Pins, AUDEMARD à La Turbie, Syndicat Professionnel des exploitants de ballastières du lit du Var à Gilette) Pour les encombrants : 1 centre de tri privé (SITA à Nice) Estimation des couts sur la base d une proposition technique et financière La société ANTEA a établi, le 19 octobre 2007, une proposition technique et financière pour l élaboration d un Plan de Gestion et d une EQRS (Evaluation Quantitative des Risques sanitaires), cette proposition permet d estimer le coût d un Plan de gestion et d une EQRS ou ARR à environ H.T. sans analyses complémentaires. Dans le détail les coûts d intervention proposés par ANTEA s élevaient à : Proposition technique Matériels de sondages Proposition financière ,00 H.T. Sondages et analyses Prélèvements et transports des échantillons : sols, gaz du sol et air ambiant Plan de Gestion + EQRS OPTION : piézomètre et analyses eaux souterraines ,00 H.T ,50 H.T. 18
For the benefit of business and people. 1 - Présentation du projet de la ZAC. 7 - Suivi environnemental et programme d intervention
Ancien site des Ferronneries du Midi Future ZAC Ponts Jumeaux Projet de dépollution 15 décembre 2004 For the benefit of business and people 1 - Présentation du projet de la ZAC 2 - Rappel de l historique
Plus en détailLa valorisation des terres excavées
La valorisation des terres excavées Matinée "Matières premières et matériaux du BTP " Céline Blanc c.blanc@brgm.fr BRGM / Direction Eau, Environnement et Ecotechnologies Lundi 2 décembre, 2013 Contexte
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailConsultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19
Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19 Eco-quartier des Bergères - Cahier des Charges de la consultation d acquéreurs ILOT
Plus en détailLOCAUX COMMUNS CREATION D'UNE PEPINIERE D'ENTREPRISES ESQUISSE N 2 RDC R+1 R+2 R+3 TOTAL Accueil 47 473 m2 Bureau administration 15 Local repro/archives 12 Petite salle de réunion 35 Salle de conférence
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailPROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3
ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation
Plus en détailAppel à projets. Implantation d un jardin partagé au sein du square Rosa Luxembourg. Angle Pajol/Riquet, Paris 18 e
Appel à projets Implantation d un jardin partagé au sein du square Rosa Luxembourg. Angle Pajol/Riquet, Paris 18 e 1 1. Contexte Situé à l est du 18 e arrondissement, à la frontière avec le 19 e, Aubervilliers
Plus en détailLes Smart Grids, filière stratégique pour les Alpes-Maritimes
Les Smart Grids, filière stratégique pour les Alpes-Maritimes FAIRE AVANCER TOUTES LES ENVIES D ENTREPRENDRE Les Smart Grids, filière d avenir de la transition énergétique Centrale de pilotage Intégration
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détailVille de Châtillon Direction des Services Techniques 40/42 boulevard Félix Faure 92230 CHATILLON
Ville de Châtillon Direction des Services Techniques 40/42 boulevard Félix Faure 92230 CHATILLON Contruction d une école élémentaire Angle des rues Gay Lussac et Jean Jaurès CHATILLON (92) - - DOSSIER
Plus en détail1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T
1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T 2. RECHERCHE DE SITES 2.1 Les objectifs 2.2 Les contraintes environnementales liés à l aménagement du territoire liées au transport liés aux documents d urbanisme 3.
Plus en détailCONNAISSANCE DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL ET URBAIN RAPPORT DE PRÉSENTATION
ARCHITECTURAL ET URBAIN ZPPAUP Montpellier Gambetta Clemenceau Figuerolles Rapport de présentation Juillet 2006 Page 73 Zone de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager SECTEUR GAMBETTA
Plus en détailLA NÉCESSITÉ D UNE VILLE PLUS VERTE LA DÉMARCHE COMMENT ÇA MARCHE?
GUIDE PÉDAGOGIQUE LA DÉMARCHE La Ville de Paris invite les Parisiens à recenser les lieux qui pourraient accueillir de la végétalisation au plus près de chez eux (délaissés, mobiliers urbains, murs ).
Plus en détailEPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80
Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES
Plus en détailCOMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL
COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du mercredi 10 Décembre 2014 Après avoir approuvé le compte rendu de la réunion du 12 novembre 2014, le conseil municipal a examiné les dossiers et pris
Plus en détailDélibération au Conseil Municipal du lundi 29 avril 2013
9 Délibération au Conseil Municipal du lundi 29 avril 2013 Désaffectation et déconstruction d'un bâtiment municipal -Théatre du maillon à Hautepierre. Avis de la Ville de Strasbourg sur le déclassement
Plus en détailCôte d Azur. 1 e r Réseau Partenaire
Côte d Azur 1 er SEMESTRE 2014 1 e r Réseau Partenaire Edito 1er Semestre 2014 Une légère reprise dans l immobilier d entreprise, Les experts sont unanimes : une légère reprise se dessine et les chefs
Plus en détailDirection de la Communication - Hôtel de Ville de Cholet - Photos : Shutterstock - Phovoir- janvier 2010. C est quoi la HQE et le BBC?
Direction de la Communication - Hôtel de Ville de Cholet - Photos : Shutterstock - Phovoir- janvier 2010 C est quoi la HQE et le BBC? VILLE DE CHOLET Eco construction 1- Relation du bâtiment avec son environnement
Plus en détailusine de serrurerie Rhône-Isère dite Ronis SA
Usine de serrurerie Rhône-Isère dite Ronis SA 16 au 28 rue des Tuileries Lyon 9e Dossier IA69000024 réalisé en 2000 Copyrights Copyrights Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel ;
Plus en détailpour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux
pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget
Plus en détailJean-Yves RICHARD ADEME
«Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement
Plus en détailRéunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau
Réunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau SURFRIDER FOUNDATION EUROPE Mettre en place des actions d'information pour la reconquête des milieux utilisés pour des activités nautiques Remerciements
Plus en détailPlomberie Couverture Chauffage Climatisation
Société créée depuis1979. D SEVRAIN SA Plomberie Couverture Chauffage Climatisation 11 13 Bd de Fontainebleau 91 550 PARAY VIEILLE POSTE Mise à jour septembre 2011 Présentation Confidentiel 19/06/2012
Plus en détailProjet d habitat urbain groupé, écologique et auto-promu, dans le Grand Nancy
Projet d habitat urbain groupé, écologique et auto-promu, dans le Grand Nancy Contact : Bernard Tauvel au 5 rue Fabert 54000 Nancy Tél : 06 76 39 39 50 et 03 83 27 67 73 Email : bernard.tauvel@laposte.net
Plus en détailles outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir
connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE
Plus en détailAMMONITIA Département Investissement Etude locative
AMMONITIA Département Investissement Etude locative PRESENTATION DE L ARRONDISSEMENT Démographie Paris 17 Paris Population en 2011 168 454 2 234 105 Variation population : taux annuel moyen entre 1999
Plus en détailCéline Blanc (BRGM) Avec la collaboration de P.Bodenez, A.Margueret (MEDDE, DGPR/B3S) L.Rouvreau, M.Scamps (BRGM)
Actualités sur la mise en place de la méthodologie de réutilisation hors site des terres excavées : Bilan de la mise en place au bout d un an, mise en place de nouveaux GT, rédaction de nouveaux guides,
Plus en détailHISTORIQUE et EXPLOITATION DETRIVAL I. ISDI et déchets d amiante lié à des matériaux inertes (amiante ciment) Commune de VIGNOC 35
HISTORIQUE et EXPLOITATION DETRIVAL I ISDI et déchets d amiante lié à des matériaux inertes (amiante ciment) Commune de VIGNOC 35 Vue aérienne du site de stockage amiante ciment Page 1-6 DETRIVAL I : ISDI
Plus en détaillevenok.com Identification du lot sur le document four ni par le demandeur
levenok.com Architectes D.P.L.G. RAPPORT DE MISSION DE REPERAGE des matériaux et produits contenant de l'amiante pour l'établissement du constat établi à l'occasion de la vente d'un immeuble bâti REFERENCES
Plus en détail- - - - - - - - - - - - - - - o o o o - - - - - - - - - P (mm) 140 120 100 80 60 40 20 0 Janvier Février Diagramme ombrothermique sur la vallée de la Bresle Mars Avril Mai Juin Hauteur moyenne des
Plus en détailTermes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires»
Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires» 1 Contexte et justification du groupe de travail 1.1 Présentation de la Plateforme Re-Sources est une Plateforme pour la
Plus en détailNe brûlons plus nos déchets verts à l air libre!
En savoir QUIZZ + Plan de Protection de l Atmosphère des Bouches-du-Rhône 1 2 3 4 J ai le droit de brûler mes déchets de tonte de pelouse en petite quantité dans ma cour non exposée à la route. Mes déchets
Plus en détailAu-delà du commerce lui-même, l'urbanisme
Grand Angle Au-delà du commerce lui-même, l'urbanisme commercial touche aussi fortement les consommateurs, qu ils soient résidents ou de passage, et plus largement toute l économie de notre territoire,
Plus en détailCONSEIL MUNICIPAL. Séance du 30 septembre 2013. Ordre du Jour
M A I R I E DE D I J O N PALAIS DES ETATS DE BOURGOGNE CONSEIL MUNICIPAL Séance du 30 septembre 2013 Ordre du Jour 1 - Conseil du 24 juin 2013 - Procès-verbal - Approbation I- ECOLOGIE URBAINE A- URBANISME
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détail19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS
19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS Rapport de présentation / Diagnostic Dossier de PLU approuvé 255 19.1 LES ORDURES MENAGERES ET EMBALLAGES MENAGERS RECYCLABLES La prestation de collecte des
Plus en détailGuide des transports
Plan de mobilité douce Tous Entrepreneurs d Avenir Etre responsable dans notre mobilité à et vers Sophia Antipolis Guide des transports 26 mars 2015 1 Edito En participant à la journée «Tous Entrepreneurs
Plus en détailRegard sur le béton. Maison «Mannaz» à Wasseiges
Regard sur le béton Maison «Mannaz» à Wasseiges La maison «Mannaz» s implante dans la campagne de la Hesbaye, ouverte sur son paysage et ancrée dans son patrimoine bâti. L architecte Yves Delincé traduit
Plus en détailObjet : procès-verbal de synthèse des observations recueillies (art. R.123-18 du code de l environnement)
M. le Président de la SAS GROUPE SCLAVO Directeur de la SAS SOFOVAR 85 avenue Louis Lépine ZI du Capitou 83600 FREJUS Affaire suivie par Mme Zora MAHIEDINNNE Tourrettes-sur-Loup, le 26 mars 2015 Objet
Plus en détailAVEC LE PRÊT RÉNOVATION PARTIES COMMUNES, PRÉSERVEZ VOTRE PATRIMOINE EN FINANÇANT VOS TRAVAUX IMPORTANTS DE RÉNOVATION OU D EMBELLISSEMENT
COPROPRIETES AVEC LE PRÊT RÉNOVATION PARTIES COMMUNES, PRÉSERVEZ VOTRE PATRIMOINE EN FINANÇANT VOS TRAVAUX IMPORTANTS DE RÉNOVATION OU D EMBELLISSEMENT LES ATOUTS DU PRÊT RÉNOVATION PARTIES COMMUNES n
Plus en détailRépublique Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l énergie et des Mines Direction des systèmes d information, des analyses économiques et de la documentation Résultat du Secteur de l Energie
Plus en détailCONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 13 SEPTEMBRE 2005 A 18h30 NOTE DE SYNTHESE
CONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 13 SEPTEMBRE 2005 A 18h30 NOTE DE SYNTHESE En préalable, Mr Mély donne lecture des actes et contrats signés lors des derniers mois A remarquer un nombre de transactions toujours
Plus en détailMercredi 10 juin 2015 20h30-22h30
CONSEIL DE QUARTIER DU GUICHET Mercredi 10 juin 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre
Plus en détailRÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE
RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous
Plus en détailentrepreneurs d avenirs
DÉPOLLUTION entrepreneurs d avenirs SERPOL Directeur Général Olivier Déchelette Directeur département sites et sols pollués Alain Dumestre Directeur département déchets Eric Van Troys Forte d expertises
Plus en détailLes services d efficacité énergétique et environnementale
Les services d efficacité énergétique et environnementale Sommaire Notre organisation Page 4 Notre offre Page 6 Nos métiers Améliorer la performance énergétique et environnementale des bâtiments Page 8
Plus en détailServices de Mundo-B pour les associations sans personnel permanent
Services de Mundo-B pour les associations sans personnel permanent Votre association a certainement, depuis le début du projet en 2006, participé ou été informée de création de la Maison du Développement
Plus en détailDétermination des enjeux exposés
RAPPORTS CETE de LYON Centre d'études Techniques de LYON Département Laboratoire de Clermont-Ferrand Affaire 19526 Détermination des enjeux exposés au risque inondation de l'oeil à Cosne d'allier novembre
Plus en détailVILLE DE CRUSEILLES (Haute-Savoie)
VILLE DE CRUSEILLES (Haute-Savoie) CONSEIL MUNICIPAL DU 03 SEPTEMBRE 2015 NOTE DE SYNTHESE PERSONNEL 1- Personnel du service Animation : Augmentation du temps de travail 2- Suppression et création d un
Plus en détailentreprise-de-terrassement-jc-faraut-aspremont
Entreprise de Terrassement JC Faraut / Aspremont (06790). Travaux de terrassements et d'enrochements. Travaux publics. Travaux agricoles. Forages. VRD. Démolition. Sourcier. Transport mécanique d'engins
Plus en détailLES FEUX D HABITATION À PARIS
BRIGADE DE SAPEURS-POMPIERS DE PARIS LES FEUX D HABITATION À PARIS I GÉNÉRALITÉS En France, les feux tuent environ 800 personnes chaque année, soit 1 décédé pour 77 500 habitants. Sur le secteur de la
Plus en détailListe des maladies professionnelles de l OIT. (révisée en 2010)
Liste des maladies professionnelles de l OIT (révisée en 2010) CONFÉRENCE INTERNATIONALE DU TRAVAIL Recommandation 194 Recommandation concernant la liste des maladies professionnelles et l enregistrement
Plus en détailQuetigny-longchamps-auxonne-quetigny-0709 86,7 kilomètres; 1 heure, 43 minutes
Quetigny-longchamps-auxonne-quetigny-0709 86,7 kilomètres; 1 heure, 43 minutes 0 5 10 15 Page 1 09:00 0,0 1 Départ de 1 Rue de l'église, 21800 Quetigny sur Rue de l'église (ouest) pendant 50 m 09:00 0,1
Plus en détailGrand LYON, Rôle d une collectivité dans le développement d une Smart CITY Energie. 29 novembre 2013
Grand LYON, Rôle d une collectivité dans le développement d une Smart CITY Energie 29 novembre 2013 Pour le Grand LYON, une ville Intelligente c est. Une ville dans laquelle les nouvelles technologies
Plus en détailLe Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT
Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?
Plus en détailQU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS?
Mise à jour Septembre 2011 Un assistant maternel est agréé par le Conseil général. Il peut moyennant rémunération, accueillir habituellement et de façon non permanente des mineurs : - à son domicile (art.
Plus en détailCOMMUNAUTE URBAINE de CHERBOURG CONSEIL de COMMUNAUTE
COMMUNAUTE URBAINE de CHERBOURG CONSEIL de COMMUNAUTE Séance du 23 mai 2007 Délibération n 2007/081 ORU - ZAC des BASSINS. TRAVAUX PRIMAIRES de DEVIATION de la VOIE FERREE. CONVENTION pour la REALISATION
Plus en détailCapteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments
.Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)
Plus en détailTROISIÈME RENCONTRE DU COMITÉ DE VIGILANCE 2013 PROCÈS-VERBAL LE 3 OCTOBRE 2013
TROISIÈME RENCONTRE DU COMITÉ DE VIGILANCE 2013 PROCÈS-VERBAL LE 3 OCTOBRE 2013 Participants Marc Corriveau, conseiller municipal, représentant de la municipalité de Saint-Thomas Gilles Côté, Conseil régional
Plus en détailFICHE DE DONNEE SECURITE
Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit
Plus en détail- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires
Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences
Plus en détailLe changement de fournisseur ne nécessite pas d intervention technique sur le réseau, ni de modification de votre installation de gaz.
FAQ - Professionnels Thématiques Votre projet Equipements Le marché de l'énergie La société Votre projet Le gaz peut-il être coupé si je change de fournisseur? Non! Le gestionnaire de réseau assure la
Plus en détailRésumé du projet de loi n 43 visant à modifier la Loi sur les mines
Actualité juridique Résumé du projet de loi n 43 visant à modifier la Loi sur les mines Juin 2013 Mines et ressources naturelles Le 29 mai dernier, madame Martine Ouellet, ministre québécoise des Ressources
Plus en détail4, rue Jean Allemane 95100 Argenteuil
4, rue Jean Allemane 95100 Argenteuil DOSSIER DE COMMERCIALISATION Vivre et investir ensemble Coloc & Vie RCS Nanterre 807 853 841 52, rue de Bezons 92400 Courbevoie À propos de Coloc & Vie Officiellement
Plus en détailP R É F E C T U R E D E L A S E I N E - M A R I T I M E DIRECTION DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE
P R É F E C T U R E D E L A S E I N E - M A R I T I M E DIRECTION DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE Affaire suivie par : Mme Gisèle ATOUBA 02 32 76 53 91 mél : 02 32 76 54 60 gisele.atouba@seine-maritime.pref.gouv.fr
Plus en détailLa récupération et utilisation de l eau de pluie en France : Panorama et retours d expérience
La récupération et utilisation de l eau de pluie en France : Panorama et retours d expérience Bernard de Gouvello CEREVE-ENPC/CSTB Séminaire Fac Eco Bruxelles 1 er Octobre 2009 1 Structuration de la présentation
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailRapport de l état relatif à la présence de termites
Rapport de l état relatif à la présence de termites Numéro de dossier : Norme méthodologique employée : Date du repérage : Heure d arrivée : Durée du repérage : 130523-0133 AFNOR NF P 03-201 mars 2012
Plus en détailL HORIZON. À LOUER Surfaces modulables de 215 m 2 à 3 024 m 2 IMMEUBLE DE BUREAUX 12 RUE LE CORBUSIER. EUROPARC Le parc d activités Créteil sud
L HORIZON IMMEUBLE DE BUREAUX 12 RUE LE CORBUSIER À LOUER Surfaces modulables de 215 m 2 à 3 024 m 2 EUROPARC Le parc d activités Créteil sud 2 EUROPARC Balard Une situation exceptionnelle n Aux portes
Plus en détailDIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique
DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER Cursus complet théorique et pratique Durée : 6 semaines, soit 30 jours de formation : 210 heures Nature de la formation : théorique et pratique Horaires : de 09h00-12h00 / 13h00-17h00
Plus en détailLE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE
LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation
Plus en détailPROCES VERBAL DE CONSTAT DESCRIPTIF
PROCES VERBAL DE CONSTAT DESCRIPTIF L an DEUX MILLE QUINZE, et le DIX SEPT AVRIL A la requête de : Madame Valérie MAIK veuve RELIGA, Née le 28 novembre 1927 à OPALNICA, 105 Route de Cassel 59940 NEUF BERQUIN
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détailOpération d Intérêt National Etablissement Public d Aménagement. Point d étape projet urbain Bordeaux Saint-Jean Belcier du 12 février 2015
Opération d Intérêt National Etablissement Public d Aménagement Point d étape projet urbain Bordeaux Saint-Jean Belcier du 12 février 2015 Février 2015 PLAN GUIDE VERSION 2015 Le plan guide LE DOMAINE
Plus en détailTravaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc
Activité Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc PNR Monts d Ardèche 1-Dynamique du marché Caractéristiques du secteur d activité et perspectives (au niveau national)
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
1 er juin 2011 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 152 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT
Plus en détailOrganiser, plannifier
Dossier HABITAT - Organiser, plannifier Organiser, plannifier 010-011 Les métiers et l organisation Situation de départ : Les travaux de la maison vont commencer, qui doit intervenir en premier, comment
Plus en détailDélibération. 1. Contexte
Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 9 octobre 2013 portant proposition relative aux charges de service public liées à l achat de biométhane et à la contribution unitaire
Plus en détailEXCLUSIVITE 17 rue Levert - 75020 PARIS Appartement / Loft 4/5 pièces 157 m2 au sol (144 m2 Loi Carrez) Description
Description Jourdain (Ligne 11 - Mairie des Lilas / Chatelet), au calme, dans une copropriété de 3 lots, autour d une grande cour / jardin partiellement pavée, un peu à la façon d un petit hameau : aux
Plus en détailsociété anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris
1 A U D I K A société anonyme au capital de 252.000 siège social : 24 avenue de Friedland 75008 Paris SIREN : 310 612 387, R.C.S. Paris Rapport du président du conseil d administration sur le fonctionnement
Plus en détailProgramme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment)
FORMATION TECHNICIEN EN DIAGNOSTICS IMMOBILIERS Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) Tél : 06 01 744 2 33 http:/ /www.
Plus en détailCRÉDIT DE CONSTRUCTION POUR LA RÉALISATION D UN GROUPE SCOLAIRE SUR LE SECTEUR L LA CONCORDE ET POUR LE DÉPLACEMENT D UNE PARTIE DU PARKING FMCV
DA 005-15.06 CRÉDIT DE CONSTRUCTION POUR LA RÉALISATION D UN GROUPE SCOLAIRE SUR LE SECTEUR L LA CONCORDE ET POUR LE DÉPLACEMENT D UNE PARTIE DU PARKING FMCV Mesdames et Messieurs les Conseillers municipaux,
Plus en détailEXEMPLES D AMENAGEMENTS PAYSAGERS REALISES PAR ECT
EXEMPLES D AMENAGEMENTS PAYSAGERS REALISES PAR ECT Ligne de chemin de fer Merlon paysager Merlon antibruit paysager le long du TGV (1/2) Moussy-Le-Neuf (77230) Ligne de chemin de fer Merlon paysager intégré
Plus en détail4 914 m 2 div. Direction Grands Comptes - 01 56 885 885. jerome.vincent-genod@keops.fr. 9 387 m 2 div.
4 ème trimestre 2007 Les 54 offres présentées dans cette édition constituent une sélection d opportunités d implantation sur votre secteur, ainsi qu un premier regard sur le marché de l immobilier d entreprise.
Plus en détailwww.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances?
www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? 1 Contexte L effet de serre un phénomène naturel Contexte Le changement climatique en chiffres 2 Contexte Contexte Le climat en 2100
Plus en détailPROJETS MAÎTRISÉS, VALEUR OPTIMISÉE.
PROJETS MAÎTRISÉS, VALEUR OPTIMISÉE. ESTIMER, ACCROÎTRE, GARANTIR & ENTRETENIR LA VALEUR DE VOTRE PATRIMOINE IMMOBILIER. Partenaire à taille humaine, implanté au niveau local et national, Elan met à votre
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détailL essentiel de la réforme des autorisations d urbanisme
L essentiel de la réforme des autorisations d urbanisme Entrée en vigueur le 1 er octobre 2007 Toute demande d autorisation déposée le 1 er octobre sera soumise au nouveau dispositif. Tout dépôt de déclaration
Plus en détailGrand Hameau. Une entrée de ville à la campagne
Grand Hameau Une entrée de ville à la campagne Une entrée de ville à la campagne Afin de donner une nouvelle impulsion à son développement, la Ville du Havre a choisi de mettre en valeur les derniers espaces
Plus en détailPrésentation Dossier technique Contacts
ummum Présentation Dossier technique Contacts Pourquoi Grenoble? Le potentiel de consommation est supérieur à la moyenne nationale. Grenoble est une ville historiquement riche en divertissement culturel
Plus en détailEVALUATION DES RISQUES A PARTIR DES VISITES DES LIEUX DE TRAVAIL
EVALUATION DES RISQUES DES PEINTRES A PARTIR DES VISITES DES LIEUX DE TRAVAIL R. FASSI Médecin du travail APST BTP 06 Versailles 25, 26, 27 mai 2011 ACTION EN PARTENARIAT APST BTP 06 DIRECCTE PACA Unité
Plus en détailMardi 19 mai 2015 20h30-22h30
CONSEIL DE QUARTIER DU CENTRE Mardi 19 mai 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre réglementaire
Plus en détailEnjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise
Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Journées d échanges franco-suisses sur la gestion des sites et sols pollués 14 15 juin 2012 Hans-Jürg Reinhart Carine
Plus en détailAtelier énergies. Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique
CONGRÈS DES ECO-TECHNOLOGIES POUR LE FUTUR 2012 Atelier énergies Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique 14 juin 2012 Lille
Plus en détailBayonne. Visite des chantiers de la rive droite
Bayonne Visite des chantiers de la rive droite samedi 11 février 2012 5 1 2 3 6 4 1. Saint-Bernard - Chemin de Laharie - Nouveaux programmes immobiliers - Immeuble portuaire/bureaux/artisanat 2. CANOPIA
Plus en détailN O R D - P A S D E C A L A I S
NORD-PAS DE CALAIS NORD-PAS DE CALAIS Ensemble pour une éco-rénovation responsable de notre habitat Avant-propos Dans une région où le poids du parc de logements anciens publics et privés prédomine, l
Plus en détail