Recueillir et exploiter des informations concernant un résident

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1 Connaître les résidents Recueillir et exploiter des informations concernant un résident Référence Internet Saisissez la Référence Internet dans le moteur de recherche du site pour accéder à cette fiche Accueillir un résident nécessite de faire sa connaissance en découvrant sa biographie, ses intérêts et ses habitudes de vie. Pour animer cette démarche, il convient de suivre des usages précis concernant le recueil ainsi que l exploitation de ces informations en équipe. Une fois obtenu l accord de la personne, l animateur peut procéder à une rencontre. Cette fiche répond aux points suivants : le contenu de ce recueil et la méthodologie de l entretien à l aide d un modèle de guide d entretien ; la question de la discrétion professionnelle lors de la transmission des informations en équipe, selon les textes juridiques en vigueur ; l intérêt des informations personnelles pour élaborer un projet d accompagnement personnalisé. En pratique Étape 1 L adhésion du résident Lorsque l animateur est chargé de recueillir formellement des informations auprès du résident, il doit obtenir son accord pour les utiliser. Il s agit d être transparent sur les objectifs de cette démarche, qui a toujours pour finalité la valorisation de l identité de la personne. Ainsi, l animateur demande au résident s il accepte que les différents éléments évoqués soient retranscrits dans son dossier. Il peut expliquer que cela permettra aux autres membres de l équipe de le connaître afin de mieux respecter ses habitudes. Il existe des situations dans lesquelles le résident n est pas informé de la démarche : Le résident se livre spontanément au cours d une confidence : l animateur se doit alors de rester discret sur ces informations. S il juge qu il serait utile de les exploiter, il peut obtenir son accord après coup. Le résident n est pas en capacité de s exprimer sur la question, du fait de troubles du langage ou de la mémoire. L animateur peut solliciter sa famille, sauf s il apparaît que la personne ne le souhaite pas. Il arrive enfin que le résident manifeste sa méfiance ou un refus. L animateur doit respecter cette réticence et continuer de travailler en vue d établir un lien de confiance. Laisser du temps peut suffire à la personne ; dans le cas contraire, un autre professionnel sera peut-être à même d avoir un échange donnant lieu au recueil d informations. Il arrive que certaines personnes restent très fermées quant au fait de parler d elles-mêmes : les professionnels doivent accepter cette limite fixée par le résident. A noter A noter Dans le cas de personnes atteintes d une maladie d Alzheimer ou apparentée, il s avère utile de disposer d informations intimes sur la personne pour mieux l accompagner. Mais il est parfois difficile de L animation en maison de retraite - Éditions WEKA 33

2 distinguer si la personne est d accord pour que les professionnels fassent à appel ses proches pour disposer d éléments sur son passé et sa vie privée. Étape 2 Le contexte et la méthode de recueil Selon les établissements, l animateur n est pas le seul professionnel en mesure de collecter les informations sur la personne. Lors de son parcours d accueil, le résident rencontre différents interlocuteurs : Un premier recueil a eu lieu au moment de la préadmission. Il est fait par le médecin coordinateur et la direction pour la constitution du dossier administratif et médical. L animateur n a pas accès à ce dossier, mais son contenu peut être repris en réunion de synthèse, dans le cadre du secret partagé. Dans les premières semaines, un entretien peut être mené par un référent : un aide-soignant ou un agent hôtelier, ou encore un psychologue Le référent sera impliqué plus particulièrement dans le processus d accompagnement. L animateur est parfois chargé de cette mission. Il sollicite alors le résident pour un entretien individuel durant lequel il l interroge sur son parcours de vie. L animateur s intéresse par ailleurs à ses centres d intérêt pour mieux cibler les goûts de la personne et lui proposer par la suite des activités pertinentes. Il peut réfléchir à cette occasion, avec le résident, à sa participation au programme d animation. Cet entretien peut par exemple donner lieu à un article dans le journal du mois, en guise de présentation des nouveaux entrants. Définitions «L entretien est un échange de paroles avec une ou plusieurs personnes pour un but autre que le simple plaisir de la conversation» (Roland Doron et Françoise Parot (dir.), Dictionnaire de psychologie, PUF, 1998, p. 21). Dans l entretien directif, une liste de questions préétablies guide l échange. L entretien non directif vise à laisser parler la personne le plus librement possible, en encourageant simplement son expression. L entretien semi-directif est le plus fréquent pour obtenir des informations précises. La conversation est structurée, tout en laissant la possibilité à la personne de s exprimer librement. Étape 3 Le contenu du recueil Tout ce qui va permettre une meilleure connaissance de la personne sera recherché par l animateur : éléments biographiques : milieu socioculturel d origine, vie professionnelle, lieux de vie ; entourage social et familial : arbre généalogique, prénoms des personnes proches ou qui ont compté, deuils ; goûts et centres d intérêt antérieurs et actuels ; croyances et pratiques religieuses, volontés concernant le décès ; habitudes de vie : alimentaires, esthétiques, rythmes de la journée Le plus pratique est d avoir en tête une grille de questions - Réf. Internet : dtou307. Commentaire La liste des besoins établie par Abraham Harold Maslow («A Theory of Human Motivation», Psychological Review, 50, p , 1943) rappelle les différents domaines de fonctionnement d un individu à questionner. Cette pyramide est souvent prise en référence dans le secteur médico-social. 34 L animation en maison de retraite - Éditions WEKA

3 Besoins physiologiques : manger, boire, dormir, respirer. Besoins de sécurité : du corps, de l emploi, de la santé, de la propriété. Besoins d appartenance et affectifs : amour, amitié, intimité, famille. Estime : confiance, respect des autres et par les autres, estime personnelle. Accomplissement personnel : morale, créativité, résolution des problèmes. en gérontologie. Le Manuel officiel de la formation, Elsevier Masson, 2011, p. 2-7). La discrétion professionnelle est alors de rigueur, en lien avec la question du secret professionnel. Ce devoir moral consiste en un devoir de retenue dans la parole. Chaque professionnel doit faire preuve de discrétion pour tous les faits, informations, confidences ou documents dont il a connaissance dans le cadre de l exercice de ses fonctions. Étape 4 La transmission et la conservation des données En vue de la conservation écrite des informations, on peut faire correspondre celle-ci aux rubriques déjà utilisées dans le dossier de la personne. Cet ajustement facilitera la saisie. Soumis à la loi n o du janvier 1978 relative à l informatique, aux fichiers et aux libertés, les logiciels de gestion informatique des dossiers sont de plus en plus fréquents dans les EHPAD. Ils contiennent pour la plupart des rubriques «Parcours de vie» et «Habitudes», accessibles à tous les professionnels. Ces informations personnelles ont pour vocation d être partagées en équipe. Ces transmissions ont lieu lors de réunions pluridisciplinaires. Elles permettent aux membres d une équipe de se transmettre mutuellement les éléments utiles à l élaboration et à l évaluation du projet d accompagnement. Le partage d informations n est permis que s il est : «nécessaire, lorsque le partage est utile à l accompagnement, à la protection et au prendre soin des personnes ; pertinent, lorsqu il y a partage d informations sans aucun jugement de valeur ; non excessif, lorsque le partage respecte la vie privée et l intimité de la personne» (Jean-Pierre Aquino, Benoît Lavallart et Judith Mollard, Assistant de soins Référence juridique Article du Code pénal «La révélation d une information à caractère secret par une personne qui en est dépositaire soit par état ou par profession, soit en raison d une fonction ou d une mission temporaire, est punie d un an d emprisonnement et de e d amende.» Le secret professionnel vise à protéger la personne bénéficiaire contre la divulgation d éléments concernant sa vie affective ou sexuelle, sa vie familiale, ses convictions religieuses ou philosophiques, sa correspondance, etc. Tous les travailleurs peuvent être concernés par le secret professionnel de par leur profession, de par leur appartenance institutionnelle, de par leur fonction ou de par leur mission. La circulaire «santé-justice» du 21 juin 199 a par ailleurs défini un mode d emploi du secret partagé : «ne transmettre que les éléments nécessaires, s assurer que l usager concerné est d accord pour cette transmission ou qu il en a été informé. De même, il doit être informé des éventuelles conséquences de cette transmission d informations le concernant. Les informations doivent être nécessaires à ceux à qui elles sont transmises et ces derniers doivent être soumis au secret professionnel». Les informations recueillies sont un moyen de connaître davantage le résident et de lui permettre de rester acteur dans la recherche d une qualité de vie. La démarche repose sur l écoute attentive du L animation en maison de retraite - Éditions WEKA 35

4 résident. Ces données sont la base pour l élaboration d un projet de vie qui définit, en fonction des attentes du résident, des objectifs pour personnaliser au mieux l accompagnement. L animation tient une grande place dans ce projet de vie, car elle met en lumière ce que le résident manifeste du désir de vivre en participant à des activités. (cf. La place de l animation dans les projets de vie - Réf. Internet : ). Notre conseil Comprendre l enjeu de cette démarche va permettre à l animateur d être transparent avec le résident pour lui expliquer, avec des mots à sa portée, l importance pour l équipe de le connaître. Il faut créer une vraie occasion de rencontre : il ne s agit pas d un interrogatoire. Le mieux est de disposer de temps (trois quart d heure environ), en une ou plusieurs fois, pour établir un échange authentique. Évitez les erreurs Ne soyez pas intrusif! Il s agit de respecter la limite de la personne à dévoiler des éléments de sa vie. Il ne faut pas non plus chercher à être exhaustif : il y a des thèmes que la personne peut refuser d évoquer. Veillez à ne pas rompre la confidentialité, volontairement ou par maladresse. Le manque de discrétion peut blesser le résident, qui peut souhaiter qu on ne connaisse pas certains aspects de sa vie. N oubliez pas de tenir compte des réactions émotionnelles de la personne pour éviter de l amener à soulever des problématiques douloureuses plus qu elle ne le souhaite. Foire aux questions Qui doit faire le recueil? Il n y a pas de consensus à ce sujet : le recueil peut être fait à différentes occasions (préadmission, premier entretien avec le psychologue ou avec les membres de l équipe référents ). Le tout est de ne pas être redondant ni insistant auprès de la personne à le faire évoquer sa vie. L animateur est souvent bien positionné pour faire ce recueil, qui lui donne en retour beaucoup d informations sur les motivations et les intérêts de la personne. Doit-on prendre des notes devant la personne? Certains résidents peuvent se sentir valorisés de savoir que la transmission de leur histoire est tracée par l animateur. D autres préfèreront que cela se fasse au cours d un échange d apparence moins formelle. Si des notes sont prises, il faut toujours demander l autorisation. Que faire quand la personne est en difficulté pour se remémorer son parcours? Les personnes qui ont des troubles de la mémoire peuvent se trouver en difficulté pour préciser la chronologie de leur histoire. Mieux vaut ne pas insister et plutôt poser des questions sur le passé ancien. Il est judicieux de proposer de faire appel aux enfants pour aider à se rappeler leur histoire et constituer l arbre généalogique. Peut-on aborder la question des volontés concernant le décès? Un des points concernant les informations du résident porte sur les croyances et notamment les souhaits pour le décès. Cette question a parfois été abordée lors de la préadmission. Même s il convient de rester prudent et plein de tact, ce sujet peut être important à soulever, selon l appréciation de l animateur. Pour aller + loin Références juridiques Code pénal, article Loi n o du janvier 1978 relative à l informatique, aux fichiers et aux libertés Loi n o du 2 janvier 2002 rénovant l action sociale et médico-sociale Circulaire «santé-justice» du 21 juin L animation en maison de retraite - Éditions WEKA

5 Bibliographie Claudine Badey-Rodriguez, Les Personnes âgées en institution. Vie ou survie, Seli Arslan, 1997 Thierry Darnaud, L Entrée en maison de retraite. Une lecture systémique du temps de l accueil, ESF éditeur, coll. «Art de la psychothérapie», 2012 Sites Internet : Sur le site de la Fondation nationale de gérontologie, vous pouvez télécharger la Charte des droits et libertés de la personne âgée en situation de handicap ou de dépendance (rubrique «Droits et libertés»), rédigée par la commission des droits et libertés des personnes âgées dépendantes et publiée en : Site du Groupement des animateurs en gérontologie (GAG). Vous pouvez y trouver la charte de l animation en gérontologie, publiée en janvier 2010 et présentant notamment l obligation de discrétion professionnelle dans l article 8. Les plus Internet Saisissez la Référence Internet dans le moteur de recherche du site pour accéder aux mises à jour de cette fiche ainsi que la Réf. Internet des rubriques suivantes : Outils téléchargeables dtou307 Guide d entretien pour le recueil de l histoire de vie, des intérêts et des habitudes d un résident Fiches associées La place de l animation dans la construction avec le résident de son projet de vie personnalisé Références aux textes officiels rattachés à cette fiche Code pénal Loi n o du janvier 1978 Loi n o du 2 janvier 2002 L animation en maison de retraite - Éditions WEKA 37

6 Retrouvez cet outil téléchargeable en saisissant dans le moteur de recherche la Réf. Internet : dtou307 Outil : Guide d entretien pour le recueil d informations auprès du résident Guide d entretien pour le recueil d informations auprès du résident Guide semi-directif Recueil des données Biographie Origine socioculturelle Place dans la fratrie Études suivies Carrière professionnelle Vie conjugale, familiale Lieux de vie, déménagements Vécu de la retraite Événements marquants Épisodes de vie marquants Deuils Motifs de l entrée en maison de retraite Environnement social, familial Personnes ressources (représentant, personne de confiance ) Visiteurs, famille proche Prénoms de personnes connues Habitudes quotidiennes Goûts vestimentaires Esthétique (coiffeur, pédicure, soins esthétique) Maquillage, bijoux Préférences alimentaires Rythme pour le sommeil et la nuit Habitudes en chambre 38 L animation en maison de retraite - Éditions WEKA

7 Retrouvez cet outil téléchargeable en saisissant dans le moteur de recherche la Réf. Internet : dtou307 Intérêts et loisirs Occupations habituelles Loisirs, hobbies antérieurs et actuels Sociabilité Communication, médias Gestion du courrier Usage du téléphone Radio, télévision, presse Poste informatique en chambre Citoyenneté Droit de vote Participation à la vie de la maison (conseil de vie sociale) Croyances Engagement religieux Volonté concernant le décès L animation en maison de retraite - Éditions WEKA 39

8 Au sommaire de votre abonnement L animation en maison de retraite Le service documentaire est coordonné par Prune Basille, professionnelle de l animation pour personnes âgées ou handicapées. Ses connaissances des différents handicaps et techniques de loisirs lui permettent d animer et de gérer des projets dans différents types d accueils. Elle encadre une équipe d auteurs, psychologues cliniciens et gérontologues, psychomotriciens, éducateurs spécialisés, ergothérapeutes, infirmiers ou directeurs de maisons de retraite. Expérimentés à mettre en place des animations pour les personnes âgées, ils ont acquis un savoir-faire et une expertise qu ils transmettent tout au long de ces fiches action. L'ACCUEIL EN INSTITUTION Démographie et vieillissement État des lieux et projections démographiques du vieillissement Les conséquences d une entrée de plus en plus tardive en maison de retraite Les différents établissements Le logement-foyer, un hébergement pour les personnes âgées autonomes Un hébergement pour les personnes très dépendantes : l unité de soins de longue durée (USLD) Un guichet unique pour les personnes atteintes de maladie de type Alzheimer : (MAIA) Les différents modes de prise en charge Les différents dispositifs et types de structure d accueil pour personnes âgées La prise en charge adaptée spécifique à l EHPAD : le pôle d activités et de soins adaptés (PASA) Une structure d accueil pour les personnes âgées atteintes de troubles cognitifs sévères : l unité d hébergement renforcée (UHR) Un dispositif d aide aux aidants : la plateforme d accueil et de répit Un dispositif de répit pour les aidants : l hébergement temporaire en maison de retraite Un dispositif de répit pour les aidants : l accueil de jour pour personnes âgées atteintes ou non de démences Alzheimer ou apparentées Les établissements pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) Le lien familial et le ressenti des familles LES DROITS DES PERSONNES AGEES ET LA BIENTRAITANCE Les droits des personnes âgées L entrée et la vie en institution Les droits des résidents et la place des familles La bientraitance Qu entend-on par maltraitance? La loi et l engagement politique pour la protection des personnes vulnérables La politique de prévention de la maltraitance et de promotion de la bientraitance L Agence nationale de l évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux (ANESM) La détection des situations de maltraitance en maison de retraite et le signalement L image de soi Animer en Humanitude Le concept et l approche Snœzelen L approche Snoezelen en pratique LE METIER D'ANIMATEUR EN MAISON DE RETRAITE Formation et statut des animateurs La formation et les diplômes de l animation en maison de retraite Le statut et le recrutement des animateurs dans la fonction publique La position et la rémunération des animateurs en maison de retraite privée Recruter un animateur Rôle et missions des animateurs Les rôles et les missions de l animateur au quotidien dans un établissement pour personnes âgées public Les rôles et missions de l animateur dans une maison de retraite privée Extrait 2012 page 22 L animation en maison de retraite

9 COMPRENDRE LA PERSONNE AGEE POUR L'ACCOMPAGNER DANS SES ACTIVITES Le vieillissement normal Le processus physiologique, psychologique et social du vieillissement L évolution des perceptions sensorielles liée au vieillissement Les ateliers sensoriels L incontinence La dénutrition La déshydratation des personnes âgées Les difficultés de déplacement et les chutes Les escarres Le «bien vieillir» par la prévention Le vieillissement pathologique La maladie de Parkinson La démence de type Alzheimer : définition, diagnostic et évolution La démence de type Alzheimer : prise en charge et communication Définition et symptômes de la démence fronto-temporale La prise en charge de la démence frontotemporale La démence vasculaire La démence mixte La démence à corps de Lewy La démence parkinsonienne La dépression chez le sujet âgé : définition, diagnostic et traitements La dépression chez le sujet âgé : prévention et communication Les troubles bipolaires chez le sujet âgé La schizophrénie chez le sujet âgé La maladie de Huntington La paralysie supranucléaire progressive METTRE EN PLACE L'ANIMATION Le projet d'animation Des animations pour divertir et stimuler les personnes âgées Le projet de vie individualisé La place de l animation dans la construction avec le résident de son projet de vie personnalisé La démarche d animation dans le projet d établissement Revenir aux fondements du projet d animation pour concevoir et déployer un programme d activités équilibré et adapté aux résidents Les étapes du projet d animation Les acteurs internes de l animation Les acteurs externes de l animation Les différentes techniques d implication des équipes dans l animation en maison de retraite Définir les moyens matériels de l animation : méthodologie et coordination Définir les moyens matériels nécessaires aux activités L évaluation de l animation : méthodologie Les animations spécifiques Animation et démences de type Alzheimer et assimilées L atelier équilibre Rompre l isolement par les nouvelles technologies L atelier mémoire L atelier réminiscence Les activités intergénérationnelles La mise en place d un partenariat pour des activités intergénérationnelles La médiation animale, une ouverture à la communication avec les seniors L animal comme ancrage affectif pour les personnes âgées désorientées Organiser une fête avec les résidents : la fête de Noël La relaxation LA BOITE A OUTILS DE L'ANIMATEUR Connaître les résidents Recueillir l histoire de vie, les intérêts et les habitudes d un résident pour personnaliser l accompagnement Quelles sont les actions à mener dans l évaluation de l animation? Le budget, le matériel, les intervenants Acheter le matériel Embaucher des artistes ou des techniciens via le guichet unique pour le spectacle vivant (GUSO) Élaborer un budget d animation Collaborer avec un artiste plasticien pour la réalisation d ateliers de pratique artistique Collaborer avec un musicien intervenant pour l organisation d un atelier artistique Concevoir un projet culturel en lien avec une maison de retraite Mettre en place l information L animation en maison de retraite Extrait 2012 page 23

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