GUIDE VISANT À AIDER LES DEMANDEURS À REMPLIR LE DOCUMENT UNIQUE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "GUIDE VISANT À AIDER LES DEMANDEURS À REMPLIR LE DOCUMENT UNIQUE"

Transcription

1 GUIDE VISANT À AIDER LES DEMANDEURS À REMPLIR LE DOCUMENT UNIQUE Veuillez porter une attention particulière aux «POINTS ESSENTIELS». Remarque: le présent guide a pour but d aider les demandeurs à préparer les demandes d enregistrement d indications géographiques protégées (IGP) et d appellations d origine protégées (AOP) conformément au règlement (UE) N 1151/2012 du Parlement et du Conseil relatif aux systèmes de qualité applicables aux produits agricoles et aux denrées alimentaires. Il n a toutefois aucune valeur juridique. Les dispositions du règlement et les autres règles de l UE sont seules contraignantes. GÉNÉRALITÉS Le document unique se suffit à lui-même. Il est déconseillé d inclure toute référence à des annexes, à la législation et à la réglementation nationales, à la législation de l UE, au cahier des charges ou à tout autre document. Ne soumettez pas de bibliographie extensive. Le document unique ne doit pas être très long (3 à 5 pages au maximum et ne devrait pas dépasser plus de 2500 mots, sauf dans des cas dûment justifiés), mais il doit être précis et concis. Évitez les descriptions subjectives et non précises telles que «délicieux», «parfait», «succulent», «beau», «favori des femmes au foyer», etc., et évitez les exagérations et superlatifs non scientifiques tels que «le meilleur», «le plus prisé», etc. Lorsque vous établissez le document unique, veuillez utiliser les modèles (disponibles dans toutes les langues de l UE) prévus sur le site web de la Commission. Ceux-ci sont au format requis pour la publication au Journal officiel de l UE si votre demande est retenue. Les modèles sont disponibles à l adresse suivante: Site pour les modèles: Pour le contenu, veuillez-vous inspirer des documents uniques déjà approuvés par la Commission et déjà publiés dans le JOUE (disponible en DOOR). Si des modifications sont souhaitées, des demandes de changement peuvent être introduites aussi par des groupements de producteurs différents de celui qui a introduit la demande originale. Cependant, ces producteurs doivent travailler avec le produit portant la dénomination concernée par la modification. 1. DENOMINATION(S) POINT ESSENTIEL: la dénomination doit servir à désigner le produit spécifique. Les dénominations fantaisistes ou fabriquées de toutes pièces ne sont pas acceptées. Il en est de même pour les dénominations qui décrivent un produit général et ne font pas directement référence au produit spécifique. Preuve d utilisation: il est impératif, avant de pouvoir introduire la demande, que la dénomination soit déjà utilisée dans la pratique commerciale ou le langage courant pour

2 désigner le produit spécifique. Il serait utile d insérer des éléments de description de l utilisation commerciale ou linguistique. Des mots qui ont une signification descriptive particulière tels qu «original», «traditionnel», «fermier», «naturel», etc. doivent normalement être évités, à moins qu ils ne fassent partie intrinsèque de la dénomination utilisée pour décrire le produit. Langue et alphabet: la dénomination doit être écrite dans la langue utilisée dans la région d origine qui peut être une langue nationale, une langue moins usitée, un dialecte ou une langue utilisée historiquement dans cette région pour décrire le produit; si la dénomination n est pas écrite en caractères latins, veuillez en fournir une transcription en alphabet latin. Veuillez noter qu une «transcription» n est ni une traduction ni une translittération: une transcription en caractères latins produit (plus ou moins) le même son que le mot lu dans son écriture originale. Si plusieurs dénominations sont utilisées pour le même produit (par exemple, si la dénomination existe à la fois dans les langues nationales et les langues régionales): le demandeur peut choisir soit de n en enregistrer qu une seule, soit de les enregistrer toutes; les dénominations doivent être séparées par une barre oblique («/») (ne pas utiliser «ou»): «Lorem-Ipsum» / «Lorus-Ipsus»; si les dénominations font en réalité référence à des produits différents, veuillez déposer une demande distincte pour chaque produit portant une dénomination différente. Chaque fois qu elle est citée comme telle, cette double dénomination doit être entièrement répétée. Le texte peut être rendu moins lourd en utilisant des termes tels que «le fromage» ou «la pomme» lorsque le sens est sans équivoque. Si une dénomination couvre plus d un produit distinct (par exemple, la forme brute et la forme préparée du produit), veuillez noter qu elle doit être utilisée pour désigner chaque forme du produit. Les deux produits doivent être décrits et toutes les conditions d enregistrement doivent être remplies pour les deux produits, par exemple un poisson cru et un poisson préparé. Si toutes les conditions sont remplies pour l enregistrement, une seule demande suffit. Soyez précis: la dénomination doit être uniforme (mêmes mots, mêmes caractères) dans tout le texte du document unique. Une justification doit être fournie lorsqu une appellation d origine protégée fait référence à un pays ou inclut le nom d un pays. Une description visant à démontrer comment les conditions posées à l article 42 du règlement (UE) n 1151/2012 sont remplies doit être fournie en cas de dénomination qui contient ou constitue le nom d une variété végétale ou d une race animale.

3 2. ÉTAT MEMBRE OU PAYS TIERS Désignez le pays dans lequel le produit est obtenu. Si plusieurs pays sont concernés, autrement dit si l aire géographique est à cheval sur une frontière, citez tous les pays. 3. DESCRIPTION DU PRODUIT AGRICOLE OU DE LA DENREE ALIMENTAIRE 3.1. Type de produit Utilisez la classification des produits qui figure à l annexe XI du règlement (UE) n. 668/ Description du produit portant la dénomination visée au point 1 POINT ESSENTIEL: le produit doit être spécifique; il ne peut s agir d un produit n ayant pas des caractéristiques propres qui le distinguent des autres produits. Posez-vous les questions suivantes: en quoi ce produit est-il spécial? Comment se distingue-t-il d un autre produit relevant de la même catégorie? Nous n insistons pas sur les produits uniques, mais si rien ne permet de distinguer le produit concerné d une marchandise de base, il ne peut être accepté en tant qu AOP ou IGP. Veuillez commencer la description en indiquant le type détaillé de produit même si cela apparaît répétitif dans l original. Voici un exemple de bon début de description: «La «Lorem- Ipsum apple» est une pomme de la variété». Dans les publications au Journal officiel, la dénomination «Lorem-Ipsum apple» ne sera pas traduite. Ceci permet au lecteur de voir immédiatement dans sa langue en quoi consiste le produit: «La «Lorem-Ipsum apple» est une pomme». POINT ESSENTIEL: la description doit contenir des informations techniques et scientifiques pour décrire le produit spécifique. Veuillez inclure les données physiques, microbiologiques, chimiques et organoleptiques qui constituent les spécificités du produit. Les données physiques, microbiologiques, chimiques et organoleptiques qui sont déjà intrinsèques au type, variété, race auxquels le produit appartient ne doivent pas être mentionnées. Soyez précis et recourez au type d écriture qu un agronome ou un spécialiste en alimentation utiliserait pour décrire le produit. Recourez à des définitions et des normes communément utilisées pour ce produit. Utilisez des unités de mesure et des éléments de comparaison ou techniques communément utilisés. POINT ESSENTIEL: ce point doit concorder avec le point 5 en ce qui concerne les spécificités du produit. Pour les produits d origine animale provenant d animaux de pâturage, il est utile de mentionner la période minimale de mise à l herbage (mois ou période totale durant l année) Aliments pour animaux (uniquement pour les produits d origine animale) et matières premières (uniquement pour les produits transformés)

4 Dans le cas de produits non transformés, veuillez ne pas remplir ce point. Pour les AOP Tous les aliments pour animaux doivent provenir de l aire géographique (article 5(1)(c) du règlement (UE) n 1151/2012). Donc, apportez la confirmation que tous les aliments pour animaux sont originaires de l aire géographique. Toutefois, une dérogation est admise s il n est pas techniquement possible de produire tous les aliments pour les animaux dans l aire géographique (article 1 du règlement délégué de la Commission (UE) n 664/2014). À la lumière de cette disposition, des aliments pour animaux ne provenant pas de ladite aire peuvent être ajoutés, mais uniquement dans la mesure où les aliments produits dans l aire ne sont pas suffisants et à condition que le lien entre milieu géographique et produit ne sont pas altérés. En plus, les aliments ajoutés ne pourront jamais dépasser le 50 % (de matière sèche sur une base annuelle) du total de l alimentation animale. S'il y a lieu d établir la possibilité d ajouter au régime alimentaire des animaux des aliments ne provenant pas de l'aire géographique, fournir une description détaillée de ces exceptions et apporter des justifications en ligne avec l article 1 du règlement délégué de la Commission (UE) n 664/2014. Indiquez le pourcentage d aliments (de matière sèche sur une base annuelle) provenant hors de l aire géographique, expliquez pourquoi il n est pas techniquement possible d'avoir 100% des aliments provenant de l aire, démontrez que la qualité ou les caractéristiques du produit dues essentiellement au milieu géographique ne sont pas altérées. Toutes les matières premières doivent être obtenues dans l aire géographique (article 5(1)(c) du règlement (UE) n 1151/2012). Donc, apportez la confirmation que toutes les matières premières sont originaires de l aire géographique. Toutefois, dans certaines circonstances bien justifiées, pour des appellations reconnues dans le pays d origine avant le 1er mai 2004, les matières premières peuvent provenir d une aire géographique plus vaste ou différente (article 5(3) du règlement (UE) n 1151/2012). Veuillez consulter vos autorités nationales si vous pensez que l exception pourrait s appliquer. S il y a lieu d autoriser l utilisation de matières premières ne provenant pas de l'aire géographique, fournir une description détaillée de ces exceptions et apporter des justifications en ligne avec l article 5(3) du règlement (UE) n 1151/2012. Il est conseillé de mentionner les aliments pour animaux et les matières premières utilisées, ainsi que toutes les conditions applicables telles qu une qualité, la classe de la carcasse, la variété ou la race, la teneur en matières grasses, etc. Pour les IGP Décrivez et justifiez toutes les restrictions imposées à l approvisionnement en matières premières. De telles restrictions ont le potentiel d entraver le marché unique. Il est impératif de les justifier au regard du lien (par exemple à l aide de critères qualitatifs liés à la spécificité du produit). Une limitation à l offre nationale de matières premières est en principe

5 difficilement justifiable. Des restrictions de l offre en matières premières à l aire géographique peuvent se justifier. Déclarez les matières premières utilisées, ainsi que toutes les conditions qualitatives applicables telles qu une qualité, la classe de la carcasse, la variété ou la race, la teneur en matières grasses, etc Étapes spécifiques de la production qui doivent avoir lieu dans l aire géographique délimitée Pour les AOP Toutes les étapes de production doivent avoir lieu dans l aire géographique (article 5(1)(c) du règlement (UE) n 1151/2012). Donc, apportez la confirmation que toutes les étapes de production ont lieu dans l aire géographique. La seule exception possible concerne l origine des matières premières (voir point 3.3). Dans certaines circonstances bien justifiées, pour des appellations reconnues dans le pays d origine avant le 1er mai 2004, elles peuvent provenir d une aire géographique plus vaste ou différente (article 5(3) du règlement (UE) n 1151/2012). Dans ce cas, des étapes de production auraient légalement lieu en dehors de l aire géographique délimitée. La description et la justification pour une telle dérogation devant déjà figurer au point 3.3, il y a lieu ici d insérer une simple référence à ce point. Pour les IGP Au moins une des étapes de production a lieu dans l aire géographique délimitée (article 5(2)(c) du règlement (UE) n 1151/2012). Citez, sans les décrire dans les détails, toutes les étapes, de l approvisionnement en matières premières jusqu au produit final, qui doivent avoir lieu dans l aire géographique. Dans le cas de la viande, par exemple, l abattage et la découpe font partie du processus de production. En revanche, le tranchage, le râpage et le conditionnement ne font pas partie de ce processus et doivent être décrits sous le point 3.6. Pour des restrictions et dérogations, veuillez fournir une description et justification. Si les restrictions concernent des cas déjà couverts sous le point 3.3 insérez une simple référence à ce point Règles spécifiques applicables au tranchage, râpage, conditionnement, etc., du produit auquel la dénomination fait référence Cette partie est facultative. Indiquez toutes les règles et restrictions applicables à ces activités, c est-à-dire les étapes qui ont lieu après la réalisation du produit fini, et justifiez-les. POINT ESSENTIEL: toute restriction géographique doit être étayée par une solide justification spécifique au produit. L interdiction de conditionnement en dehors de l aire doit rester exceptionnelle, car il s agit d une restriction des libertés garanties par le marché unique. Indiquez clairement si la

6 restriction empêche un acheteur (par exemple, un supermarché d un autre État membre) de reconditionner le produit ou de le trancher, etc., et justifiez de telles limitations. 3.6 Règles spécifiques applicables à l étiquetage du produit auquel la dénomination fait référence Ce point est facultatif. Vous pouvez déclarer ici toute exigence particulière en matière d étiquetage telle que l apposition d un logo spécifique sur l étiquette du produit. Un logo peut être reproduit en blanc et noir dans le document unique. Ceci peut être utile pour les inspecteurs des autres États membres qui veillent au maintien de vos droits. Si la reproduction d un logo sur l étiquette est demandée, le logo doit être accessible à tous les producteurs. Il est inutile de répéter les dispositions en matière d étiquetage imposées par la réglementation nationale ou la législation de l UE: ces dispositions s appliquent indépendamment de l enregistrement en tant qu AOP ou qu IGP et en cas de modification, il se peut que les producteurs AOP/IGP doivent introduire une procédure de modification. Il est inutile d inclure l étiquetage facultatif. 4. DESCRIPTION SUCCINCTE DE LA DELIMITATION DE L AIRE GEOGRAPHIQUE Soyez précis. Dans le cahier des charges, décrivez l aire géographique en faisant référence le plus possible aux limites physiques (par exemple, rivières, routes) ou aux limites administratives. Un agriculteur ou un inspecteur doit savoir clairement si un champ individuel se trouve à l intérieur ou en dehors de l aire géographique. Évitez les termes généraux. Dans le document unique, soyez concis: si l aire couvre 50 comtés d une province qui en comporte 55, ne citez pas les 50 comtés, mais indiquez: «La province de Lorem-Ipsum, à l exclusion des comtés de Dolor, Sit, Amet, Magna et Adipisicing.» POINT ESSENTIEL: l aire géographique doit être délimitée en ce qui concerne le lien entre le lieu et le produit. ndiquez si l aire se limite à des zones particulières (par exemple, des étangs de pêche) ou des types de sol à l intérieur de l aire. Il est préférable que l aire soit continue et homogène, y compris dans les caractéristiques particulières de l environnement, ce qui est déterminant pour prouver le lien. Il est conseillé d ajouter une carte de l aire géographique. 5. LIEN AVEC L AIRE GEOGRAPHIQUE POINT ESSENTIEL: le lien avec l aire géographique est la partie essentielle du document unique. Il y a lieu de démontrer de quelle manière les caractéristiques du produit sont dues à l aire géographique et quels sont les éléments naturels, humains et autres qui confèrent au produit sa spécificité. Ce point doit décrire les spécificités du produit, les spécificités de l aire géographique qui génèrent ou influencent les spécificités du produit, et comment ces spécificités de l aire

7 géographique arrivent à générer et influencer les spécificités du produit. Ceci est le «lien» entre milieu géographique et qualité du produit. La description doit également souligner la mesure dans laquelle les méthodes de production du produit sont supérieures à d autres et contribuent à son caractère spécifique et distinctif. Demande d IGP: indiquez clairement si le lien de causalité est fondé sur une qualité spécifique, sur une réputation ou sur d autres caractéristiques attribuables à son origine géographique. Spécificités du produit La description des spécificités du produit doit être cohérente avec le point 3.2; évitez les répétitions dans la mesure du possible. Déterminez et décrivez ce qui rend le produit spécial par rapport à des produits similaires. Ne déclarez que les caractéristiques particulières du produit qui sont dues (ou attribuables) aux spécificités de l aire géographique. POINT ESSENTIEL: ne reprenez pas les caractéristiques du produit qui n ont aucun rapport avec l aire géographique ou le savoir-faire ou (dans le cas de la réputation) qui n ont aucune influence sur la réputation du produit. Donnez des éléments concrets et précis qui justifient ce savoir-faire. Citez des exemples concrets de l utilisation effective du nom, dans le passé et dans le présent, en mentionnant en particulier des éléments tirés de la commercialisation effective du produit Spécificités de l aire géographique POINT ESSENTIEL: déterminez et décrivez les caractéristiques de l aire géographique délimitée qui contribuent au lien. Il peut s agir des caractéristiques pédoclimatiques, de la topographie, du climat, du sol, des précipitations, de l exposition, de l altitude, etc.n incluez pas les caractéristiques de l aire géographique qui n ont aucune influence sur la spécificité du produit. Évitez toute terminologie générale, par exemple «paysage magnifique». Vous pouvez également décrire le savoir-faire des producteurs locaux. Il doit s agir d une compétence spéciale et particulière: la production normale ne suffit pas. Comment les spécificités de l aire géographique influencent les spécificités du produit (Lien) POINT ESSENTIEL: montrez de quelle manière les facteurs présents dans l aire géographique permettent d obtenir les caractéristiques du produit. Veuillez fournir un raisonnement objectif qui démontre toute corrélation entre les spécificités de l aire géographique et les spécificités du produit. Dans le cas des demandes d IGP fondées sur la réputation, indiquez ici les raisons pour lesquelles le produit spécifique est associé à l aire géographique.

8 Veuillez indiquer la spécificité du produit qui est réputé et donnez des informations et des éléments précis qui justifient cette réputation. Les coupures de presse peuvent parfaitement convenir pour illustrer le lien. Montrez que la réputation du produit est liée à la dénomination et attribuable à l aire géographique. Vous pouvez prouver la réputation en utilisant des éléments tels que des prix, des mentions dans des ouvrages ou la presse spécialisés, des mentions spéciales dans des publications de cuisine, etc. Référence à la publication du cahier des charges (Article 8, paragraphe 2, du règlement (UE) n 1151/2012) Enfin, veuillez annexer le cahier des charges du produit. Les autorités nationales le publieront sur internet et intégreront le lien ici, à la suite du document unique.

PROTECTION DE PRODUITS EN IG

PROTECTION DE PRODUITS EN IG PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr

Plus en détail

OAPI - Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle

OAPI - Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle OAPI - Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle BP 887 - YAOUNDE Cameroun Projet d Appui à la Mise en Place des Indications Géographiques dans les Etats Membres de l OAPI ----------------------------------------

Plus en détail

«Cette femme réduit le grain en farine grâce à une pierre à moudre (metate) et un broyeur cylindrique (mano)». 1 LA PROBLEMATIQUE

«Cette femme réduit le grain en farine grâce à une pierre à moudre (metate) et un broyeur cylindrique (mano)». 1 LA PROBLEMATIQUE Proposition de réglementation spécifique de la production et de la commercialisation de produits agricoles et alimentaires traditionnels en Amérique latine ( ) - Propositions «Metate» - Marlen LEON GUZMAN

Plus en détail

Règlement du concours dans le cadre de l opération «Fête-moi Signes» de 2014

Règlement du concours dans le cadre de l opération «Fête-moi Signes» de 2014 Règlement du concours dans le cadre de l opération «Fête-moi Signes» de 2014 I. Le concours dans les enseignes de la distribution 1- Objectif global du concours L objectif du concours est de mettre en

Plus en détail

Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH

Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Note d information à l usage des professionnels En complément de cette note, des informations relatives au contenu des GBPH sont

Plus en détail

Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES

Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440 Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d ouvrage

Plus en détail

AVIS 1 / 6. Afssa Saisine n 2008-SA-0319 Saisine liée n 2005-SA-0081. Maisons-Alfort, le 18 août 2009. Rappel de la saisine

AVIS 1 / 6. Afssa Saisine n 2008-SA-0319 Saisine liée n 2005-SA-0081. Maisons-Alfort, le 18 août 2009. Rappel de la saisine Maisons-Alfort, le 18 août 2009 AVIS LA DIRECTRICE GÉNÉRALE ADJOINTE de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à une demande d'avis relatif au guide de bonnes pratiques d'hygiène

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail

Règlement du concours dans le cadre de l édition 2012 du «mois de l origine et de la qualité»

Règlement du concours dans le cadre de l édition 2012 du «mois de l origine et de la qualité» Règlement du concours dans le cadre de l édition 2012 du «mois de l origine et de la qualité» I. Le concours dans les enseignes de la distribution 1- Objectif global du concours L objectif du concours

Plus en détail

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement

Plus en détail

Conditions pour devenir un auditeur CanadaGAP

Conditions pour devenir un auditeur CanadaGAP Conditions pour devenir un auditeur CanadaGAP Pour être admissibles aux postes d auditeurs du programme CanadaGAP, tous les nouveaux candidats ayant reçu la formation après le 1 er avril 2015 doivent remplir

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe

Plus en détail

La protection des savoirs traditionnels: rôle des Indications géographiques

La protection des savoirs traditionnels: rôle des Indications géographiques Congrès AFTER Dakar 11-12 novembre 2014 La protection des savoirs traditionnels: rôle des Indications géographiques Didier CHABROL UMR Innovation - CIRAD Montpellier - France 1 Modernisation des produits

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

Le logo «Fait maison»

Le logo «Fait maison» Le logo «Fait maison» Voici le logo «Fait maison» qui sera utilisé dans les restaurants, chez les traiteurs, sur les marchés, à partir du 15 juillet 2014. Il indique les plats «faits maison», c est-à-dire

Plus en détail

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15

Plus en détail

Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie

Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce

Plus en détail

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure : OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques

Plus en détail

Dossier d'étude technique

Dossier d'étude technique Centre national de la recherche scientifique Direction des systèmes d'information REFERENTIEL QUALITE Guide méthodologique Dossier d'étude technique Référence : CNRS/DSI/conduite-projet/developpement/technique/guide-etude-technique

Plus en détail

NORMES DE PRÉSENTATION DES MANUSCRITS

NORMES DE PRÉSENTATION DES MANUSCRITS Les Presses de l Université du Québec NORMES DE PRÉSENTATION DES MANUSCRITS Le manuscrit, en version complète et définitive, doit être présenté de la manière la plus simple et uniforme possible, afin de

Plus en détail

COMMUNIQUE DU DEPARTEMENT DU COMMERCE EXTERIEUR *** AVIS AUX IMPORTATEURS N 04/13

COMMUNIQUE DU DEPARTEMENT DU COMMERCE EXTERIEUR *** AVIS AUX IMPORTATEURS N 04/13 Royaume du Maroc Ministère de l Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies Département du Commerce Extérieur Direction de la Politique des Echanges Commerciaux COMMUNIQUE DU DEPARTEMENT DU COMMERCE

Plus en détail

MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE NOTICE

MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE NOTICE cerfa N 50078#07 MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE PROCEDURE D'AGREMENT, AU TITRE DU CREDIT D'IMPOT-RECHERCHE, DES ORGANISMES EXECUTANT POUR DES TIERS DES OPERATIONS DE RECHERCHE ET DE DEVELOPPEMENT NOTICE

Plus en détail

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité

Plus en détail

PRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE

PRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE COMMUNE DE BRETTEVILLE SUR ODON PROCÉDURE ADAPTÉE PRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIÈRES C.C.T.P X:\CANTINE\CONSULTATION

Plus en détail

DÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social

DÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social DÉMARCHE HACCP EN RESTAURATION Guide pour l analyse des dangers Restauration commerciale Restauration collective à caractère social Ce livre a obtenu un prix dans la catégorie ouvrages professionnels -

Plus en détail

MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE

MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE cerfa N 50078#10 MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE PROCEDURE D'AGREMENT, AU TITRE DU CREDIT D'IMPOT-RECHERCHE, DES ORGANISMES EXECUTANT POUR DES TIERS DES OPERATIONS DE RECHERCHE ET DE DEVELOPPEMENT NOTICE

Plus en détail

Système de management H.A.C.C.P.

Système de management H.A.C.C.P. NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février

Plus en détail

Rabat, le 30 décembre 2005 CIRCULAIRE 4976/222

Rabat, le 30 décembre 2005 CIRCULAIRE 4976/222 Rabat, le 30 décembre 2005 CIRCULAIRE 4976/222 OBJET : - Entrée en vigueur de l'accord de Libre Echange conclu entre le Royaume du Maroc et la République de Turquie. REFER : - Correspondance n 18094/003008

Plus en détail

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la

Plus en détail

Ingénieur en prévention des risques

Ingénieur en prévention des risques Ingénieur en prévention des risques G1X22 Prévention hygiène et sécurité / Restauration - IR L ingénieur de recherche en prévention des risques assiste et conseille la direction de l établissement pour

Plus en détail

29.6.2013 Journal officiel de l Union européenne L 181/15

29.6.2013 Journal officiel de l Union européenne L 181/15 29.6.2013 Journal officiel de l Union européenne L 181/15 RÈGLEMENT (UE) N o 608/2013 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 12 juin 2013 concernant le contrôle, par les autorités douanières, du respect

Plus en détail

ARRANGEMENT ET PROTOCOLE DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES

ARRANGEMENT ET PROTOCOLE DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES MM2.inf (F) ARRANGEMENT ET PROTOCOLE DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES NOTES EXPLICATIVES CONCERNANT LE FORMULAIRE OFFICIEL DE DEMANDE MM2 DEMANDE D ENREGISTREMENT INTERNATIONAL

Plus en détail

Objet : Commentaires relatifs à l exposé-sondage IES 6, Évaluation de la compétence professionnelle (Assessment of Professional Competence)

Objet : Commentaires relatifs à l exposé-sondage IES 6, Évaluation de la compétence professionnelle (Assessment of Professional Competence) Le 27 juillet 2011 Affiché sur le site Web : http://www.ifac.org/ Monsieur David McPeak Directeur technique Conseil des normes internationales de la formation comptable International Accounting Education

Plus en détail

Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets. Informations pour remplir le formulaire de demande

Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets. Informations pour remplir le formulaire de demande Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets Informations pour remplir le formulaire de demande Administration de l environnement Division des déchets 1, Avenue du Rock n Roll L-4361 Esch/Alzette

Plus en détail

d évaluation Objectifs Processus d élaboration

d évaluation Objectifs Processus d élaboration Présentation du Programme pancanadien d évaluation Le Programme pancanadien d évaluation (PPCE) représente le plus récent engagement du Conseil des ministres de l Éducation du Canada (CMEC) pour renseigner

Plus en détail

BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE

BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE C 352/4 FR Journal officiel de l'union européenne 7.10.2014 III (Actes préparatoires) BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE AVIS DE LA BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE du 25 juillet 2014 sur une proposition de directive

Plus en détail

réglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé

réglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé réglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé Partie générale : bio, reconnaissable et contrôlé. L objectif de la partie générale de la brochure est de clarifier ce qu est exactement

Plus en détail

Appendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs

Appendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs Appendice 2 (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs NOTE Dans les propositions de Texte identique, XXX désigne un qualificatif de norme

Plus en détail

4. Résultats et discussion

4. Résultats et discussion 17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les

Plus en détail

Préparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile

Préparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile Centre Communal d Action Sociale de CARNOULES Département du Var Préparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MARCHE PUBLIC DE PRESTATION

Plus en détail

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005. Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES ETIQUETTES MP06-EU (FORMAT ODETTE)

CAHIER DES CHARGES ETIQUETTES MP06-EU (FORMAT ODETTE) Mars 2006 MAT/SF CAHIER DES CHARGES ETIQUETTES MP06-EU (FORMAT ODETTE) CAHIER DES CHARGES : ETIQUETTE MP06-EU (format ODETTE) Sommaire 1. Objet... 2 2. Domaine d'application... 2 3. Type de supports d'étiquettes

Plus en détail

Circulaire du 7 juillet 2009

Circulaire du 7 juillet 2009 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l économie, de l industrie et de l emploi NOR : ECEC0907743C Circulaire du 7 juillet 2009 concernant les conditions d application de l arrêté du 31 décembre 2008 relatif

Plus en détail

817.025.21 Ordonnance du DFI sur l exécution de la législation sur les denrées alimentaires

817.025.21 Ordonnance du DFI sur l exécution de la législation sur les denrées alimentaires Ordonnance du DFI sur l exécution de la législation sur les denrées alimentaires du 23 novembre 2005 (Etat le 1 er janvier 2014) Le Département fédéral de l intérieur (DFI), vu les art. 59, al. 2, 66 et

Plus en détail

COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX

COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX Marché public pour la restauration scolaire (du 01/09/2015 au dernier jour précédent la rentrée scolaire 2016, renouvelable une fois) Date et heure limite de réception des offres

Plus en détail

ANNEXE 13 10-1-1 ANNEXE 13 : Documents d adhésion pour les entreprises/validé par AGE du 03.01.2012 183

ANNEXE 13 10-1-1 ANNEXE 13 : Documents d adhésion pour les entreprises/validé par AGE du 03.01.2012 183 ANNEXE 13 1011 183 ANNEXE 13 DOCUMENTS D ADHÉSION POUR LES ENTREPRISES FORMULAIRE DE DEMANDE D ADHÉSION AU SYSTÈME PEFC (Entreprise hors exploitation forestière) Lettre à établir sur papier à entête du

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PERSPECTIVES

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PERSPECTIVES SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS EN TUNISIE, ETATS DES LIEUX ET PERSPECTIVES Mr. Mohamed Chokri REJEB DG CTAA Le 25 septembre 2010 Yasmine Hammamet Plan Sécurité des aliments dans la politique nationale

Plus en détail

MARQUE DE FABRIQUE, DE COMMERCE OU DE SERVICE DEMANDE D'ENREGISTREMENT

MARQUE DE FABRIQUE, DE COMMERCE OU DE SERVICE DEMANDE D'ENREGISTREMENT M N 50572 01 MARQUE DE FABRIQUE, DE COMMERCE OU DE SERVICE DEMANDE D'ENREGISTREMENT QUE DOIT CONTENIR UN DÉPOT? Votre dossier de dépôt comprend : 1 - la demande d enregistrement en cinq exemplaires (formulaire

Plus en détail

RØsumØ 2007. Direction

RØsumØ 2007. Direction REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'économie et de la santé Service de la consommation et des affaires vétérinaires Direction RØsumØ 2007 En 2007, les campagnes intercantonales organisøes avec

Plus en détail

Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM

Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Septembre 2012 Table des matières : 1. Facts and figures :...2 1.1. Lien entre retards de paiement et faillites :... 2 1.2. Délais de paiement...

Plus en détail

Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL

Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL PARLEMENT EUROPÉEN 2009-2014 Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur 3.3.2010 DOCUMENT DE TRAVAIL sur la proposition de directive relative aux droits des consommateurs - COM(2008)614/3-2008/0196(COD)

Plus en détail

Organisme luxembourgeois de normalisation (OLN)

Organisme luxembourgeois de normalisation (OLN) Présentation des différents services de l Institut luxembourgeois de la normalisation, de l accréditation, de la sécurité et qualité des produits et services ILNAS Conférence de presse 22 septembre 2008

Plus en détail

pour la soumission de demandes d approbation d adaptations tarifaires en assurance-maladie complémentaire

pour la soumission de demandes d approbation d adaptations tarifaires en assurance-maladie complémentaire GUIDE PRATIQUE pour la soumission de demandes d approbation d adaptations tarifaires en assurance-maladie complémentaire Edition du 18 juin 2015 But Le présent guide pratique est un simple instrument de

Plus en détail

Demande de Soumission - Transformateur

Demande de Soumission - Transformateur Demande de Soumission - Transformateur Nom de l entreprise : Prénom : Nom : Titre : Adresse : Ville : Code postal : Région : Téléphone : Télécopieur : Courriel : Site Web : Domaine d activités : *** possibilité

Plus en détail

Le calcul du barème d impôt à Genève

Le calcul du barème d impôt à Genève Le calcul du barème d impôt à Genève Plan : 1. Historique Passage d un système en escalier à une formule mathématique 2. Principe de l imposition Progressivité, impôt marginal / moyen ; barème couple/marié

Plus en détail

AQ053 b. Formation continue

AQ053 b. Formation continue Formation continue La formation continue au CTCPA Au CTCPA, la formation continue se présente sous deux formes : la formation inter entreprises : formation «catalogue» avec 100 stages programmées sur l

Plus en détail

Comment exporter vers l Union européenne?

Comment exporter vers l Union européenne? Comment exporter vers l Union européenne? Export Helpdesk de l UE Commission européenne, DG Trade Qu est-ce que l Export Helpdesk? Un site web qui vous explique comment exporter vers l UE www.exporthelp.europa.eu

Plus en détail

Le bien-être animal en action : programme canadien d assurance qualité à la ferme

Le bien-être animal en action : programme canadien d assurance qualité à la ferme Colloque sur la production porcine «Comment faire autrement?» Le mardi 7 novembre 2006, Hôtel Universel Best Western, Drummondville Le bien-être animal en action : programme canadien d assurance qualité

Plus en détail

Recommandation sur les communications à caractère publicitaire des contrats d assurance vie

Recommandation sur les communications à caractère publicitaire des contrats d assurance vie Recommandation sur les communications à caractère publicitaire des contrats d assurance vie 2015-R-01 du 12 février 2015 1. Contexte Les communications constituent la toute première étape de la relation

Plus en détail

SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES. Numéro 2 (révisé)

SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES. Numéro 2 (révisé) DIFFUSION GÉNÉRALE OCDE/GD(95)66 SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES Numéro 2 (révisé) ORIENTATIONS A L INTENTION DES AUTORITES DE

Plus en détail

Conditions Générales pour l achat de biens et services

Conditions Générales pour l achat de biens et services Conditions Générales pour l achat de biens et services 1 Champ d application 1.1 Les conditions générales règlent la conclusion, le contenu et l exécution des accords d achat de biens et services. 1.2

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

ÉCOLE SECONDAIRE PÈRE-RENÉ-DE-GALINÉE

ÉCOLE SECONDAIRE PÈRE-RENÉ-DE-GALINÉE ÉCOLE SECONDAIRE PÈRE-RENÉ-DE-GALINÉE FRANÇAIS 12 e année Date: mars-juin 2015 Course Code: FRA 4U Enseignante: Mme L. Campagna et Mme Ducatel NOM DE L ÉLÈVE : Projet : Projet autonome Durée de l unité

Plus en détail

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut

Plus en détail

Table des matières. Intro SQF BRC. Conclusion. - Introduction et historique du référentiel - Différence version 6 et 7

Table des matières. Intro SQF BRC. Conclusion. - Introduction et historique du référentiel - Différence version 6 et 7 Table des matières Intro SQF - Introduction et historique du référentiel - Différence version 6 et 7 BRC - Introduction et historique du référentiel - Différence version 5 et 6 Conclusion 2 Innovaltech

Plus en détail

Hygiène alimentaire. Introduction

Hygiène alimentaire. Introduction Direction des études Mission Santé-sécurité au travail dans les fonctions publiques (MSSTFP) Hygiène alimentaire Introduction Le temps de travail ne permet pas souvent aux salariés de déjeuner chez eux

Plus en détail

Conférence sur les meilleures pratiques dans l administration publique, Lisbonne, 10 au 12 Mai 2000

Conférence sur les meilleures pratiques dans l administration publique, Lisbonne, 10 au 12 Mai 2000 Conférence sur les meilleures pratiques dans l administration publique, Lisbonne, 10 au 12 Mai 2000 EUROPAplus, l intranet de la Commission Européenne Du partage de l information à la gestion des connaissances

Plus en détail

Food. Notes de Doctrine IFS, Version 2

Food. Notes de Doctrine IFS, Version 2 Food Notes de Doctrine IFS, Version 2 Mars 2013 PrÉAMBULE Les notes de doctrine sont constituées de toutes les clarifications à caractère normatif apportées par l IFS depuis la publication de l IFS Food

Plus en détail

Voici les objectifs de la séance d'aujourd'hui :

Voici les objectifs de la séance d'aujourd'hui : Bienvenue au module de formation en ligne sur l export de données dans le cadre de la gestion externe de cas dans le LaMPSS. Le module vous donnera un aperçu de la fonction «export de données» introduite

Plus en détail

Marketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu

Marketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu Calcul du prix & Indicateurs Pour la gestion économique de l'entreprise, il est essentiel que les prix des biens et services soient soigneusement calculés en tenant compte de tous les facteurs internes

Plus en détail

Références technico-économiques Palmipèdes gras. Année 2011

Références technico-économiques Palmipèdes gras. Année 2011 Références technico-économiques Palmipèdes gras Année 2011 FILIERE LONGUE : ELEVAGE 1-Les points clés de «l'atelier type» élevage d'aujourd'hui DESCRIPTIF 36 000 Volume animal /an 6 000 6 Nb de bandes

Plus en détail

Code de bonne conduite relatif à la publicité et à l information sur les assurances-vie individuelles

Code de bonne conduite relatif à la publicité et à l information sur les assurances-vie individuelles VS10052 09.03.2012 Code de bonne conduite relatif à la publicité et à l information sur les assurances-vie individuelles Précisions pour l'application du code de bonne conduite L'objet de la présente note

Plus en détail

Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction de la sécurité sociale

Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction de la sécurité sociale Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction de la sécurité sociale Sous-direction de l accès aux soins, des prestations familiales et des accidents du travail Bureau couverture maladie universelle

Plus en détail

TPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut?

TPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut? DRC- 10-107725 - 03911 A mars 2010 TPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce

Plus en détail

Document d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale

Document d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures

Plus en détail

OIE 12, rue de Prony 75017 Paris France Tel.: 33 (0)1 44 15 18 88 Fax: 33 (0)1 42 67 09 87 www.oie.int oie@oie.int

OIE 12, rue de Prony 75017 Paris France Tel.: 33 (0)1 44 15 18 88 Fax: 33 (0)1 42 67 09 87 www.oie.int oie@oie.int Original : anglais Juillet 2006 RAPPORT DE LA RÉUNION DU BUREAU DE LA COMMISSION SCIENTIFIQUE POUR LES MALADIES ANIMALES Paris, 3-4 juillet 2006 Une réunion du Bureau de la Commission scientifique de l

Plus en détail

appliquée aux emballages alimentaires

appliquée aux emballages alimentaires La méthode HACCP La méthode HACCP appliquée aux emballages alimentaires 1- La réglementation des matériaux au contact des aliments Quels contaminants issus des emballages dans les aliments? Des contaminants

Plus en détail

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période

Plus en détail

DIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL

DIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL L 66/16 DIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 22 février 1999 relative au rapprochement des législations des États membres sur les denrées et ingrédients alimentaires traités par ionisation

Plus en détail

Document unique d évaluation des risques professionnels

Document unique d évaluation des risques professionnels Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires

Plus en détail

L application du règlement sur la reconnaissance mutuelle aux procédures d autorisation préalable

L application du règlement sur la reconnaissance mutuelle aux procédures d autorisation préalable COMMISSION EUROPÉENNE Direction générale des entreprises et de l industrie Document d orientation 1 Bruxelles, le 1 er février 2010 - L application du règlement sur la reconnaissance mutuelle aux procédures

Plus en détail

Le codage informatique

Le codage informatique Outils de Bureautique Le codage informatique (exemple : du binaire au traitement de texte) PLAN 3) Le codage binaire 4) Représentation physique des bits 5) Le bit est un peu court... 6) Codage de texte

Plus en détail

Modèle communautaire d'autorisation de fabrication. Notes explicatives

Modèle communautaire d'autorisation de fabrication. Notes explicatives Modèle communautaire d'autorisation de fabrication Notes explicatives 1. Objet Le document reproduit ci-après définit un modèle et le contenu des autorisations de fabrication accordées par les autorités

Plus en détail

TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut?

TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce document est traduit et librement adapté

Plus en détail

Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu

Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu Final Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu La réunion du Groupe consultatif de la viande bovine a eu lieu le mercredi 8 septembre 2010 à Bruxelles sous

Plus en détail

LETTRE CIRCULAIRE n 2015 0000045

LETTRE CIRCULAIRE n 2015 0000045 LETTRE CIRCULAIRE n 2015 0000045 GRANDE DIFFUSION Réf Classement 1;010;04 Montreuil, le 12/08/2015 12/08/2015 DIRECTION DE LA REGLEMENTATION DU RECOUVREMENT ET DU SERVICE SOUS DIRECTION REGLEMENTATION

Plus en détail

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire

Plus en détail

concession obligatoire pour installer l eau ou le gaz

concession obligatoire pour installer l eau ou le gaz concession obligatoire pour installer l eau ou le gaz Installer l eau ou le gaz dans la région lausannoise nécessite de passer par une entreprise au bénéfice d une concession. A Lausanne et dans les communes

Plus en détail

Norme internationale d information financière 4 Contrats d assurance

Norme internationale d information financière 4 Contrats d assurance Norme internationale d information financière 4 Contrats d assurance Objectif 1 L objectif de la présente norme est de spécifier l information financière pour les contrats d assurance devant être établie

Plus en détail

Food Safety System Certification 22000. fssc 22000

Food Safety System Certification 22000. fssc 22000 Food Safety System Certification 22000 fssc 22000 CERTIFICATION DES SYSTÈMES DE SÉCURITÉ ALIMENTAIRE 22000 Le protocole de certification des systèmes de sécurité alimentaire 22000 (FSSC 22000) est un protocole

Plus en détail

ANNEXE II QUESTIONNAIRE ET LISTE DE VERIFICATION

ANNEXE II QUESTIONNAIRE ET LISTE DE VERIFICATION ANNEXE II QUESTIONNAIRE ET LISTE DE VERIFICATION 1 QUESTIONNAIRE POUR L'IDENTIFICATION DU SOUMISSIONNAIRE 1.1. Nom du soumissionnaire 1.2. Forme juridique du soumissionnaire 1.3. Date d'enregistrement

Plus en détail

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1 Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada

Plus en détail

Vérifier avant de lancer l'impression que le nombre et les libellés retenus pour l'impression sont bien ceux qui sont demandés.

Vérifier avant de lancer l'impression que le nombre et les libellés retenus pour l'impression sont bien ceux qui sont demandés. SOC Certification des semences et plants Imprimer des étiquettes SOC pour des variétés en cours d'étude (en France ou autre pays de l'ue) INSTRUCTION CCERT-IT-00-028 Indice : 4.2 Application 22/07/2013

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES Introduction (Applicable aux audits d états financiers pour les périodes ouvertes à compter du 15 décembre 2009) SOMMAIRE Paragraphe

Plus en détail

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS 1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître

Plus en détail

Liste des diplômes français généralement comparables au niveau du Diplôme d études collégiales en formation technique

Liste des diplômes français généralement comparables au niveau du Diplôme d études collégiales en formation technique Liste des diplômes français généralement s au niveau du Diplôme en formation technique Ministère de l Immigration et des Communautés culturelles Service d évaluation comparative des études effectuées hors

Plus en détail

2. LE REGIME DE SECURITE SOCIALE

2. LE REGIME DE SECURITE SOCIALE FIN DE L ASSURANCE MALADIE PRIVEE POUR LES FRONTALIERS : Quelques explications Ce document, édité par le Groupement transfrontalier européen, a pour but de réunir toutes les informations que nous possédons

Plus en détail

Annexe 2. A la Résolution d Ensemble sur la Facilitation des Transports Routiers (R.E.4)

Annexe 2. A la Résolution d Ensemble sur la Facilitation des Transports Routiers (R.E.4) Annexe 2 A la Résolution d Ensemble sur la Facilitation des Transports Routiers (R.E.4) Adoptée à la 94 ème Session du Groupe de Travail des Transports Routier (S.C.1) de la Commission Economique pour

Plus en détail