UE 4.8 S6 : qualité des soins, évaluation des pratiques

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1 UE 4.8 S6 : qualité des soins, évaluation des pratiques Compétence 7 : Analyser la qualité et améliorer sa pratique professionnelle. Objectifs - Acquérir des outils d analyse critique pour améliorer sa pratique professionnelle, - Evaluer une pratique professionnelle au regard des principes de qualité, de sécurité, et de satisfaction de la personne soignée, - Evaluer l application des règles de traçabilité et des règles liées aux circuits d entrée et de sortie des matériels et dispositifs médicaux (stérilisation, gestion des stocks, utilisation, circulation ), - Apprécier la fonctionnalité des matériels nécessaire aux soins et à l urgence. 1

2 UE 4.8 S6 : qualité des soins, évaluation des pratiques Pré-requis : UE 4.5.S2 et UE 4.5.S4 Soins infirmiers et gestion des risques Eléments de contenu - Les indicateurs et critères de qualité, - Les normes de bonnes pratiques, procédures, protocoles, recommandations, - L analyse de la qualité (démarche, méthodes, outils, résultats,) - La certification des établissements et qualité des soins (démarches, auto-évaluations, audits, ), - Les structures et développement de la qualité (agences, politiques, engagements, chartes ), - L évaluation des pratiques professionnelles, - La gestion des matériels de soins et des stocks en établissement de santé et à domicile. 2

3 UE 4.8 S6 : qualité des soins, évaluation des pratiques Modalités d évaluation : Travail écrit d analyse d une pratique professionnelle. Critères d évaluation : Pertinence dans la démarche d analyse critique d une situation de travail. ECTS : 3 Compensation : non 3

4 Un peu d histoire Qualité Évaluation Les critères, les indicateurs L audit clinique, Plan de cours : Évaluation Pratiques Professionnelles et soins infirmiers L exemple de la CCI Les Recommandations Bonnes Pratiques, les Recommandations Pratique Clinique Les protocoles de soins Prescription médicale : les RBP 4

5 Histoire de la qualité 1926 : Association française de normalisation (Afnor) 1947 : Norme ISO (International Organisation for Standardization) 1991 : loi de réforme hospitalière : établit l obligation du projet d établissement, définit la notion de contrat d objectif et de moyens et introduit la notion de qualité des soins 1996 : Obligation pour les établissements de rentrer dans une procédure d accréditation où la qualité de l établissement sera appréciée par un organisme externe. 5

6 Histoire de la qualité 1997 : Installation officielle de l Agence nationale d accréditation et de l évaluation de la santé : création de la Haute autorité de santé (HAS) remplit trois grandes fonctions : évaluation, recommandation et certification/accréditation. elle évalue d un point de vue médical et économique les produits, actes, prestations et technologies de santé, en vue de leur admission au remboursement. elle définit des recommandations de bonne pratique clinique elle certifie les établissements de santé. 6

7 Histoire de la qualité 2007 : ANESM, Agence nationale de l évaluation et de la qualité des services sociaux et médico-sociaux Missions semblables à la HAS : évaluation de la qualité, recommandations de bonnes pratiques. 7

8 8

9 Qu est ce que la qualité? : OMS : capacité de «garantir à chaque patient l assortiment d actes thérapeutiques lui assurant le meilleur résultat en termes de santé, conformément à l état actuel de la science, au meilleur coût pour le même résultat, au moindre risque iatrogénique, pour sa plus grande satisfaction en termes de résultats, contacts humains». 9

10 Qu est ce que la qualité? : HAS : «la qualité d un système de santé augmente lorsque les soins prodigués sont aussi efficaces, sûrs et accessibles que possible, dans des conditions aussi équitables et efficientes que possible». 10

11 la qualité ne se décrète pas, elle se mesure : Elle est,intimement liée à l évaluation, à toutes les évaluations : celle des outils, celle des traitements en eux-mêmes et de leur impact sur l espérance de vie. Mais la première des évaluations porte d abord sur les performances des individus et des structures. C est à ce titre que la HAS avait retenu : L EPP comme un élément majeur de la qualité des soins 11

12 La qualité des soins : variations selon l observateur selon les patients : Avant : vision de la qualité des soins plus orientée sur le vécu des soins : la communication avec les soignants, les délais d obtention d un rendez-vous, les conditions hôtelières d un séjour dans un établissement de soins, etc. selon la famille : C est être informée, écoutée, aidée en temps voulu, C est avoir confiance dans la procédure de prise en charge Maintenant : un patient plus informé = un patient plus exigeant. 12

13 La qualité des soins : variations selon l observateur La qualité des soins selon les professionnels de santé : l excellence technique, les compétences professionnelles, la relation avec le patient. des moyens opérationnels, structurels, matériels pour répondre de manière optimale aux besoins et aux attentes des patients 13

14 La qualité des soins : variations selon l observateur La qualité des soins selon les organismes payeurs : Pour les pouvoirs publics et l assurance maladie, l approche de la qualité des soins est privilégiée avec une recherche de l utilisation optimale des ressources : Apporter des soins essentiels au plus grand nombre plutôt que l excellence technique à une minorité. L offre de soins et son accessibilité est donc prioritaire. L efficience du système est recherchée et la maîtrise des coûts intègre la qualité des soins 14

15 Qu est ce qu évaluer : c est mesurer une production, un acte, une pratique et la comparer avec un idéal. 15

16 - C7- Les critères et les indicateurs de qualité Critère : Définition du dictionnaire : principe, propriété qui permet d évaluer, de choisir. Un critère d évaluation est un élément à partir duquel on construit une évaluation pour juger de la qualité de la production d un individu, d un groupe d individus. 16

17 Les critères et les indicateurs de qualité Indicateur : Qui indique Définition du dictionnaire : Qui en échange d avantages, renseigne la police! Instrument de mesure fournissant des indications. Unité de mesure, indice concret, observable qui qualifie ou quantifie la satisfaction d un critère. 17

18 Critères et indicateurs 18

19 Référentiel IDE : Compétence 9 Organiser et coordonner les interventions soignantes 19

20 Référentiel IDE : Compétence 9 Organiser et coordonner les interventions soignantes 20

21 Référentiel IDE : Compétence 9 Organiser et coordonner les interventions soignantes 21

22 HAS : Un critère d évaluation de la pratique professionnelle est l énoncé d un moyen ou d un élément permettant de satisfaire une référence, c est-à-dire une source d information validée. Cette validation peut être scientifique, réglementaire, éthique (déontologie) ou organisationnelle (procédures). Un critère est un élément mesurable, normatif, fiable, spécifique, jugé essentiel pour la qualité d un soin et qui sert à observer une situation réelle. Le critère doit être formulé en termes compréhensibles et comporter une réponse binaire (oui/non ou conforme/non conforme). 22

23 Le critère d évaluation de la pratique professionnelle permet : D évaluer les pratiques professionnelles réelles, de les comparer à une pratique attendue De mettre en œuvre des actions d amélioration visant à faire converger la pratique réelle vers la pratique de référence attendue. 23

24 L AUDIT CLINIQUE C est une méthode de diagnostic. Son but : Améliorer la qualité des soins délivrés aux personnes soignées. 24

25 L AUDIT CLINIQUE Sa principale caractéristique est de mesurer les écarts entre la pratique observée et la pratique prescrite (généralement exprimée dans les recommandations professionnelles). La réalisation d un AC s intègre dans une démarche d amélioration de la qualité ou peut en être le point de départ. 25

26 L AUDIT CLINIQUE Comme toutes les méthodes d évaluation des pratiques professionnelles, l AC revient à comparer une pratique clinique à une démarche optimale exprimée dans des recommandations et traduite dans un référentiel d évaluation. Le référentiel doit être finalisé à partir de données récentes, validées et tenir compte de la réglementation. 26

27 L AUDIT CLINIQUE Il réunit l ensemble des critères d évaluation. Ces critères sont des éléments concrets, observables permettant de porter un jugement valide sur la conformité de la pratique ou du thème étudié. 27

28 L AUDIT CLINIQUE La réalisation d un audit clinique induira souvent des changements dans la pratique des professionnels de santé, qui devront se décliner dans un plan d amélioration. Le plan d amélioration est décidé et mis en oeuvre par les professionnels de santé concernés puis, évalué. 28

29 l AC s inscrit dans le modèle proposé par W. Edwards DEMING dans les années

30 PLANIFIER : c est l étape de définition de la démarche d évaluation, puis d identification des professionnels et des structures impliquées et enfin de programmation des étapes. FAIRE : c est l étape de la mesure de la pratique (au cours de laquelle les données sont recueillies). ANALYSER : c est l étape de comparaison entre la pratique constatée et la pratique attendue. L analyse des résultats est centrée sur l identification des points forts et l analyse des écarts par rapport au référentiel ; 30

31 Améliorer : c est l étape essentielle, au cours de laquelle les professionnels s efforcent d améliorer leur organisation du travail et leur pratique de manière à réduire les écarts observés à l étape précédente. Un nouveau cycle fera suite au précédent pour poursuivre l amélioration du processus 31

32 L AUDIT CLINIQUE : base méthodologique de l'epp L audit clinique comporte 6 étapes : 1) Choix du thème et objectifs 2) Choix des critères 3) Choix de la méthode de mesure. 4) Recueil des données. 5) Analyse des résultats. 6) Plan d'actions d'amélioration et réévaluation. 32

33 En regard du thème choisi, il faut définir un ou plusieurs objectifs opérationnels, clairs, précis, qui traduisent le résultat attendu. La réalisation de l'objectif fixé impose la mise en place d'actions concrètes Le résultat obtenu en fin d'étape doit être en conformité avec l'objectif fixé. La sélection des critères à mesurer dans la réalité doit se référer aux éléments représentatifs de la qualité. 33

34 LE CHOIX DE LA MÉTHODE DE MESURE : Entretiens avec les patients Revue du dossier des patients Auto évaluation des soignants Observation directe 34

35 L'analyse des écarts observés identifie les différentes causes qui peuvent être de nature : PROFESSIONNELLE (ex : manque de connaissances) INSTITUTIONNELLE (ex : manque de méthode et/ou matériels inadéquats) ORGANISATIONNELLE (ex : manque de coordination dans la prise en charge du patient) PERSONNELLE (ex : manque de conviction et de motivation). 35

36 Le plan d amélioration identifie : Les mesures correctives dont la priorité est définie en fonction de la gravité des écarts et de la nature des actions à mettre en oeuvre ; Le calendrier prévisionnel ; Le responsable de chaque action. Une réévaluation, habituellement un an après la première étude, permet de mesurer l'impact des actions correctives. si la sécurité du patient est en cause, des actions d'amélioration s'imposent de façon urgente et la réévaluation a lieu rapidement. 36

37 EPP et soins infirmiers : Définition de l Évaluation des Pratiques Professionnelles : Démarche d analyse d une pratique professionnelle ou d une activité en référence à des recommandations professionnelles, selon un protocole explicite comportant la mise en oeuvre et le suivi d actions d amélioration ( H.A.S. 2005) Un exemple d EPP dans un établissement de santé : LA CCI 37

38 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES CHOIX DU THÈME : Le choix de ce thème a fait l objet d une démarche concertée entre la direction et les professionnels de santé. En effet, il s agit d améliorer les deux composantes de la production de soins que sont l efficacité de la réponse apportée aux besoins des patients et l efficience économique pour la collectivité. 38

39 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES OBJECTIFS : Les objectifs décrivent les résultats attendus du processus d évaluation en ciblant des points privilégiés : élaborer un ensemble de protocoles pour optimiser et harmoniser les pratiques professionnelles afin d augmenter leur efficacité et leur efficience ; adhérer à un langage consensuel sur la base de critères issus des recommandations et de la littérature ; sensibiliser et favoriser l adhésion des professionnels de santé à une démarche d évaluation en s appropriant l outil méthodologique; 39

40 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES OBJECTIFS : améliorer la qualité des soins aux malades porteurs de CCI et leur degré d information pour élever leur niveau de satisfaction ; protéger la responsabilité des soignants en assurant la sécurité des soins ; participer à la réduction de l incidence des infections nosocomiales ; développer les compétences du service de soins infirmiers dans le domaine de l évaluation ; utiliser un document élaboré de manière consensuelle pour travailler en réseau avec le secteur libéral. 40

41 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES Pourquoi le thème de la CCI : Le bilan de l existant réalisé au niveau des différentes équipes de soins montre les raisons qui font de ce sujet un thème prioritaire : l augmentation du nombre de patients porteurs de CCI ; la durée d utilisation d une CCI de 1 mois à 3 ans ; l hétérogénéité des procédures et des pratiques de soins ; le risque infectieux et thrombotique comme complications liées à la pose de la CCI et aux manipulations du cathéter ; la méconnaissance de la technique et des matériels par le personnel soignant par manque d information ; la défaillance dans la continuité de la prise en charge hospitalière et libérale ; l existence de recommandations professionnelles et 03/02/2015 réglementaires. IFSI/CHC/4.8 S6/OG 41

42 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES CHOIX DES CRITÈRES : Étape assez longue, impose la lecture de la littérature, des recommandations et de la réglementation. But : élaborer le référentiel de pratiques. Les professionnels participant à ce projet doivent, à ce stade, soit : - utiliser le référentiel mis à leur disposition par la HAS - actualiser le protocole existant dans leur établissement, ou l élaborer s il est inexistant. Un temps d appropriation du protocole est nécessaire avant de démarrer l évaluation ; celui-ci doit être compris dans le calendrier du projet. 42

43 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES Quelques exemples de critères : la vérification de l identité du patient, l'information du patient, le lavage antiseptique des mains avant les manipulations au niveau du site, la préparation cutanée du site de ponction, les précautions d asepsie lors des manipulations, l enregistrement des interventions dans le dossier de soins ; l indication d une CCI, la réalisation d une radiographie pulmonaire, la connexion entre la chambre et le cathéter, l utilisation de seringues de 10 ml. 43

44 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES Pour cette étude, les critères à évaluer sont de trois ordres : CRITÈRES DE RESSOURCES : matériel, personnel formé ; CRITÈRES DE PROCESSUS : procédures de soins ; CRITÈRES DE RÉSULTATS : taux de conformité. 44

45 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES CHOIX DE LA MÉTHODE DE MESURE : Dans le cadre de l étude sur la CCI, la méthode prend la forme : d observations ou d autoévaluations avec les médecins et les infirmiers ; d enquête avec les patients (questionnaire, entretiens) ; d examen des dossiers des patients ou des fiches de suivi de soins et de liaison. 45

46 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES Exemples de modalités de recueil des données : L auto-évaluation du médecin et/ou de l infirmière est la méthode la plus performante en terme de faisabilité mais elle impose un remplissage de la grille de recueil de données, immédiatement après l'acte ou le plus près possible de celui-ci, afin de conserver l objectivité du recueil. L observation directe par un pair est plus objective mais consommatrice de temps, et peut modifier le comportement du professionnel observé. L observateur doit être formé à l évaluation et à l utilisation des grilles de recueil de données. D autre part, malgré une collecte d informations instantanée, le manque de disponibilité peut entraîner un manque d informations. 46

47 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES ANALYSE DES RÉSULTATS Traitement des données : informatisé Présentation des résultats : Elle se fait sous forme de pourcentages ou de graphiques (tableaux, histogrammes ) Identification et analyse des écarts Différentes causes d écarts : 1) causes professionnelles : Hétérogénéité des pratiques professionnelles : les connaissances théoriques sont acquises par la plupart des infirmiers, par contre, il existe un manque de formation pratique 2) causes organisationnelles : temps d appropriation des protocoles insuffisant dans certains services, difficultés à transmettre dans le dossier du patient des données importantes pour le suivi et la coordination des soins 47

48 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES 3) des causes personnelles : information du patient et remise de documentation insuffisamment faites par les professionnels. 4) des causes institutionnelles : moyens matériels insuffisants, inadéquats ou mal employés, absence d une politique de formalisation et d évaluation des pratiques. 48

49 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES PLAN D ACTIONS D AMÉLIORATION ET RÉÉVALUATION : Plan d amélioration Chronologiquement, les responsables du groupe de travail doivent : valoriser les résultats des professionnels et leur faire valider les causes des écarts ; discuter et rechercher les mesures correctives : les solutions doivent être hiérarchisées en fonction de leur importance ; présenter les résultats globaux aux différents partenaires et aux instances médico administratives lister les objectifs d amélioration et établir un plan d amélioration avec calendrier ; différencier les actions communes à l ensemble des équipes des actions spécifiques à chacune d elles. 49

50 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES Actions d amélioration : À titre d exemple, voici quelques actions réalisées Actions de communication, d information et de formation des professionnels : séances d information de la démarche destinées aux professionnels concernés, aux IFSI et aux IFCS par les équipes ayant participé à l'étude (AP-HP Marseille), diffusion d une plaquette contenant les protocoles de soins, un mémento, les critères d évaluation (CHU Bordeaux), diffusion du référentiel de pratiques à d autres établissements de santé et au secteur libéral, 50

51 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES mise en place de formations pratiques à partir de l évaluation des besoins en formation à partir d une étude portant sur les connaissances et les pratiques, amélioration des protocoles préexistants rectifiant les incohérences ou la non-conformité, création de protocoles de soins dans les services utilisateurs de CCI n en possédant pas, amélioration de la diffusion et du remplissage du carnet de surveillance remis au patient. 51

52 ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DE L UTILISATION ET DE LA SURVEILLANCE DES CHAMBRES À CATHÉTER IMPLANTABLES Réévaluation : La mise en oeuvre d un dispositif de suivi est nécessaire et permet de vérifier l impact des mesures correctives. Il est impératif de tenir compte, au cours de cette deuxième évaluation, des critères estimés «hautement souhaitables» ou identifiés comme déficitaires la première fois. La réévaluation s effectue en général au bout d un an, voire plus tôt, si la situation l exige,dans le cadre d une remise en cause de la sécurité du patient. 52

53 Les Recommandations de Bonne Pratique (RBP) Le service des bonnes pratiques professionnelles a pour mission de produire des recommandations et des outils favorisant leur utilisation par les professionnels de santé. Les recommandations de bonne pratique sont définies comme : «des propositions développées selon une méthode explicite pour aider le praticien et le patient à rechercher les soins les plus appropriés dans des circonstances cliniques données». L objectif est : d informer les professionnels de santé et les patients et usagers du système de santé sur l état de l art et les données acquises de la science afin d améliorer la prise en charge et la qualité des soins. Le service des bonnes pratiques professionnelles produit également des documents méthodologiques décrivant notamment les méthodes d élaboration des recommandations. 53

54 Exemple : Prévention des infections liées aux cathéters veineux périphériques L'OBJECTIF DE CES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES EST DE PRÉVENIR LES INFECTIONS LIÉES AUX CATHÉTERS VEINEUX PÉRIPHÉRIQUES. LES RECOMMANDATIONS ABORDENT LES POINTS SUIVANTS : CHOIX DU CATHÉTER POSE DU CATHÉTER UTILISATION DU CATHÉTER ENTRETIEN DU CATHÉTER SURVEILLANCE FORMATION, ÉVALUATION 54

55 Exemple : Prévention des infections liées aux cathéters veineux périphériques Dans le document «Recommandations pour la prévention des infections liées aux cathéters veineux périphériques», pour chaque question traitée, les recommandations proposées sont formulées à l aide de niveaux de recommandations : Niveaux de recommandations A = Il est fortement recommandé de faire B = Il est recommandé de faire C = Il est possible de faire ou de ne pas faire D = Il est recommandé de ne pas faire E = Il est fortement recommandé de ne pas faire TD durant l UE 55

56 Exemple : Prévention des infections liées aux cathéters veineux périphériques Niveaux de preuve : 1 = Au moins un essai randomisé de bonne qualité 2 = Au moins un essai non randomisé ou une étude cas/témoins ou une étude multicentrique 3 = Opinion d expert, résultats d une expérience clinique, étude descriptive ou résultats d un consensus de professionnels 56

57 Essai randomisé 57

58 Étude de cas-témoins : 58

59 Fin 59

60 Les recommandations de bonnes pratiques ( RBP) et les recommandations pour la pratique clinique ( RPC) Quels liens? : RAPPEL sur les RBP : Elles ont pour objectif de mettre, à la disposition des différents acteurs du système de santé (professionnels, patients et usagers, décideurs), une synthèse rigoureuse de l état de l art et des données de la science destinée : à aider la prise de décision dans le choix des soins ; à harmoniser les pratiques ; à réduire les traitements et actes inutiles ou à risque. Le but des RBP est d améliorer la prise en charge des patients, et donc des soins qui leur sont apportés. 60

61 Une démarche rigoureuse et explicite doit être appliquée pour élaborer des recommandations de bonne pratique valides et crédibles. Les méthodes d élaboration de recommandations de bonne pratique décrites par la HAS sont : la méthode «Recommandations pour la pratique clinique» (RPC) ; la méthode «Recommandations par consensus formalisé» (RCF) L objectif de la méthode RPC est de rédiger un petit nombre de recommandations : concises ; gradées, en accord avec les niveaux de preuve identifiés, ou, en l absence de preuves scientifiques, résultant d un accord d experts ; non ambiguës ; répondant aux questions posées. 61

62 Les protocoles de soins La fiche technique Prescription médicale : les RBP Les transmissions écrites : normes de qualité 62

63 LE PROTOCOLE DE SOINS Qu est ce qu un protocole : Il recouvre l ensemble des usages et des formalités qui doivent être respectés dans certaines circonstances. Dans le domaine de la santé : le protocole est un descriptif de techniques à appliquer et/ou de consignes à observer dans certaines situations de soins ou lors de la réalisation d un soin ( Guide du service infirmier Ministère de la santé Mai 2002) 63

64 Le protocole est un guide d application de procédures de soins, centré sur une cible, présenté sous forme synthétique, élaboré selon une méthodologie précise. Un guide n est pas applicable seul. Il requiert la présence d autres éléments ( échelles, fiches etc.) et s adresse à une cible précise ( population spécifique) 64

65 Le protocole de soins infirmiers : Il fait l objet d une recherche pour montrer son efficacité, sa logique, sa cohérence Il est rédigé par une équipe soignante ( IDE) D autres professionnels peuvent y participer En fonction du thème, la participation d instances est recommandée ( CLUD, CLIN etc) 65

66 Le protocole est validé par la hiérarchie infirmière et médicale Il fait référence à un consensus de bonnes pratiques Il doit être écrit, daté, signé, répertorié, accessible Il doit être réajusté en fonction de l évolution des sciences et techniques 66

67 Le protocole comporte également : Un titre Une définition du soin, de l acte Des objectifs La population concernée Le matériel requis 67

68 Le protocole de soins infirmiers : Les protocoles relevant du rôle propre concernent également l aide-soignant en collaboration avec l IDE Soins d hygiène, alimentation, mesures de paramètres, prévention escarres etc. Les protocoles de soins infirmiers concernant les soins sur prescription : Voie veineuse périphérique, sondage urinaire etc. 68

69 Intérêt des protocoles : Améliorer les pratiques professionnelles Utilisation d un langage commun Répondre rapidement à une situation de soins Contribuer à la formation des ESI et des nouveaux personnels Développer et valoriser les compétences IDE Agir dans un cadre légal Faire évoluer la recherche en soins infirmier Promouvoir la profession Évaluer la qualité des soins 69

70 Guide du service infirmier Ministère de la santé Mai 2002, les protocoles de soins infirmiers L infirmière se réfère à des protocoles de soins infirmiers actualisés, validés par des experts et approuvés par la Direction du Service de Soins Infirmiers de l établissement. 70

71 Il existe dans l établissement des protocoles de soins infirmiers élaborés à partir de l identification des situations ou techniques de soins infirmiers. Il existe un guide méthodologique pour la rédaction des protocoles permettant de respecter les étapes de construction, de validation, d'implantation, d évaluation et d actualisation Les protocoles sont validés par des professionnels compétents dans les domaines concernés. Ils sont approuvés par la Direction du Service de Soins Infirmiers qui s assure de leur diffusion de leur implantation, de leur utilisation et de leur actualisation. 71

72 L infirmière participe à l élaboration de protocoles de soins infirmiers pour les situations et techniques de soins infirmiers. L infirmière connaît et utilise les protocoles de soins infirmiers en vigueur dans son domaine d exercice professionnel L infirmière fait connaître à ses collègues, aux nouveaux professionnels, aux stagiaires les recommandations contenues dans les protocoles de soins infirmiers L infirmière évalue l efficacité des protocoles de soins infirmiers. Elle participe à leur actualisation selon un rythme prédéterminé ou une nécessité particulière. Caractéristiques de résultats La qualité des soins donnés est évaluable par leur conformité aux protocoles établis. 72

73 Le protocole d urgence : Descriptif d actes urgents à accomplir lorsque le pronostic vital est mis en jeu. La compétence de l IDE est : De déceler le problème de santé D apprécier l urgence De se référer au protocole d urgence correspondant au problème du patient D appliquer le protocole 73

74 Le plan de soins guide : Plan préétabli pour les patients atteints de la même pathologies et dont les problèmes de santé prévalents sont répertoriés. Le PSG est déterminé à partir d un diagnostic infirmier. Les objectifs et les interventions IDE sont précisés sur le PSG 74

75 Les protocoles administratifs : Sont des conduites à tenir qui s appliquent lors d un évènement qui concerne l administration de l établissement Exemple : fugues, vols, agression 75

76 Le protocole de soins infirmier n est pas : Une fiche technique La fiche technique est la description méthodique et chronologique des opérations successives à effectuer pour la réalisation d une tâche, d un acte de soins. La fiche technique doit être validée, remise à jour périodiquement, et lors de chaque évolution scientifique, technique, législative 76

77 PROTOCOLE FICHE TECHNIQUE Un guide S appui sur une méthodologie précise (cf document ESI) description méthodique et chronologique centré sur une cible Ne concerne pas toujours une population précise descriptif de techniques à appliquer Mais présenté sous forme synthétique description méthodique et chronologique des opérations successives Peut comporter des fiches techniques Peut être inclus dans un protocole 77

78 Exemple de méthode d élaboration d une fiche technique : Définir une tâche Définir le but Énumérer le matériel Énumérer les étapes Les ordonner en séquence Vérifier que le processus est conforme, clair réalisable Faire valider 78

79 De la prescription à l administration. Règles de bonnes pratiques La prescription, rédigée par un professionnel habilité, doit être conforme. Prescripteur : nom et signature identifiable Patient : Nom, prénom, date de naissance, sexe, âge, poids et/ou surface corporelle; identifiant Service : identification du service 79

80 De la prescription à l administration. Règles de bonnes pratiques CONTENU DE LA PRESCRIPTION : Date, heure, DCI et/ou nom commercial, dosage, posologie, forme galénique, fréquence d administration, voie d administration, durée du traitement. VÉRIFICATION de la concordance du médicament avec la prescription : nom du médicament ( commercial/générique) condition de stockage, intégrité du produit et de son conditionnement, dosage, forme galénique, voie d administration, date de péremption 80

81 De la prescription à l administration. Règles de bonnes pratiques PRÉPARATION de l administration, sans retranscription, à partir de la prescription : Pour les médicaments injectables: Calcul de dose, reconstitution, dilution dans le respect des règles d hygiène et de sécurité et des protocoles en vigueur La préparation est faite au plus près du moment d administration, dans un lieu calme pour éviter d être interrompue 81

82 De la prescription à l administration. Règles de bonnes pratiques La présentation du médicament permet son identification jusqu à l administration Étiquetage avec identité du patient, débit d administration, date et heure de mise en route et de fin de perfusion IDENTITÉ du patient : en lui faisant décliner son nom, son prénom, sa date de naissance 82

83 De la prescription à l administration. Règles de bonnes pratiques Règles des 5 B Bon produit au Bon malade au Bon moment au Bon dosage selon la Bonne voie d administration Questionner le patient sur d éventuelles allergies Vérifier l adéquation de la prescription avec l état clinique du patient au moment de l administration Voie injectable : point de ponction, perméabilité de la voie veineuse, régles les dispositifs de perfusion conformément à la prescription ( vitesse, débit ) 83

84 De la prescription à l administration. Règles de bonnes pratiques Informer le patient en s assurant de sa compréhension de l information sur : - le traitement prescrit, les bénéfices et les effets indésirables éventuels - les éléments de surveillance de son traitement Respecter les règles d hygiène et de sécurité pour le patient, pour soi même. 84

85 De la prescription à l administration. Règles de bonnes pratiques TRAÇABILITÉ : dans le dossier de soins, sur le même support que la prescription, au moment de sa réalisation Date et heure, nom, prénom de l IDE et sa signature Numéro de lot si besoin La non administration d un traitement fait l objet d un écrit ( motif, refus de soins) L information donnée au patient est consignée dans son dossier 85

86 De la prescription à l administration. Règles de bonnes pratiques Surveillance Efficacité du traitement : signes cliniques et biologiques Tolérance : dépistage des effets indésirables. Si effet indésirable majeur : Arrêter le TTT Contacter le médecin Assurer la prise en charge nécessaire 86

87 Les transmissions écrites Aspect légal : Nom prénom fonction Date heure de la transmission Aspect usuel : Cibles Actions Résultats 87

88 Les transmissions écrites Guide du service des soins infirmiers Norme 3 Le dossier de soins infirmiers Dès l'arrivée de la personne soignée, l'infirmière ouvre un dossier de soins infirmiers qu'elle renseignera tout au long du séjour. Utilisation dans de nombreux hôpitaux de l outil informatique avec le dossier de soins informatisé 88

89 Les transmissions écrites L infirmière dispose(papier ou informatique) pour chaque personne soignée d un dossier de soins infirmiers, partie intégrante du dossier du patient L infirmière dispose d un guide d utilisation du dossier de soins infirmiers Le service de soins est organisé de façon à garantir la protection de l'accès aux informations contenues dans le dossier infirmier. 89

90 Les transmissions écrites L infirmière, après chaque intervention : note, date et signe les résultats des soins infirmiers prodigués à la personne soignée note, date et signe ses observations sur l évolution de l état de la personne soignée et toutes informations recueillies pouvant être utiles pour sa prise en charge globale. 90

91 Les transmissions écrites L infirmière, tout au long du séjour de la personne soignée : renseigne le dossier de soins infirmiers, elle veille à l exactitude et au respect de la confidentialité des informations notées par ellemême, par les aides-soignants les auxiliaires de puériculture, les aides médico-psychologiques et les stagiaires. 91

92 Les transmissions écrites Exige que toutes les prescriptions médicales soient notées, datées et signées par les médecins prescripteurs dans le dossier de soins infirmiers. Elle s assure également que toutes informations et observations écrites soient datées et signées assume ses responsabilités liées aux règles de gestion et de confidentialité du dossier du patient participe à l évaluation du dossier du patient et concourt à son amélioration 92

93 Les transmissions écrites L infirmière, lors de la sortie de la personne soignée, établit par écrit une synthèse de la prise en charge infirmière(rédige la Macrocible de sortie)du patient et selon les structures renseigne la fiche de liason infirmière Caractéristiques de résultats Les notes infirmières sont concises, précises et objectives La traçabilité des actions infirmières est fiable Le contenu du dossier de soins infirmiers est conforme au guide d utilisation. 93

94 A bientôt!! 94

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