Bulletin Hebdomadaire de Morbidité et de Mortalité
|
|
- Josephine Melanie Brousseau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Bulletin Hebdomadaire de Morbidité et de Mortalité DRS Ouaddaï et Wadi Fira, DS de Bahaï, Est du Tchad Système d Alerte Précoce pour les Maladies à potentiel épidémique Semaine Epidémiologique N 20 : du 16 au 22 mai Points saillants de la 20 ème semaine - Le Syndrome Respiratoire Aigu reste la cause de morbidité la plus fréquente après les pathologies regroupées dans la catégorie "Autres", aussi bien dans les camps de réfugiés que chez la population locale. Il est suivi de la diarrhée aqueuse aiguë et du paludisme présumé, - Augmentation du nombre de cas de rougeole, principalement dans la ville d Abéché, - Réduction de moitié du nombre de cas de syndrome ictérique aigu, - Relative diminution du nombre de nouveaux cas de diarrhée aqueuse aiguë et de diarrhée sanglante aiguë. - Relative diminution des cas de suspicion de méningite. Sommaire 1. Complétude et Promptitude.2 2. Morbidité et mortalité Morbidité et mortalité en général Morbidité par District Sanitaire Mortalité par District Sanitaire Mortalité et morbidité dans les camps de réfugiés Morbidité Mortalité Ce document est édité par le Sous-Bureau de l OMS à Abéché, dans le cadre du Système d Alerte Précoce pour les maladies à potentiel épidémique mis en œuvre par les Délégations Régionales Sanitaire du Ouaddaï et du Wadi Fira en collaboration avec l OMS, le HCR et les différents partenaires (COOPI, IFRC/CRT, IMC, IRC, MSF). Son contenu et sa présentation seront régulièrement améliorés grâce à vos remarques et suggestions qui seront les bienvenues. La Rédaction remercie les responsables des formations sanitaires qui ont transmis nombreux et à temps leurs fiches de notification hebdomadaire. Pour plus d informations, contacter : OMS-Abéché : Dr Camilo KUAN, Chef du Sous-Bureau, wroabeche@yahoo.fr Dr Innocent NZEYIMANA, inzeyimana2003@yahoo.fr, nzeyimanai@who.int MSP : Dr Ali SOUMAINE, DRS Ouaddaï Dr Raoul NGARHOUNOUM, DRS Wadi Fira
2 1. Complétude et Promptitude Pendant la semaine courante, 50 formations sanitaires (9 camps de réfugiés sur 11 et 41 Centres de santé et Hôpitaux) des Délégations Régionales Sanitaires du Ouaddaï, du Wadi Fira et du BET, ont fait leurs notifications pour la 20 ème semaine épidémiologique de 2005, dans le cadre du Système d Alerte Précoce pour les maladies à potentiel épidémique. Le total des formations sanitaires devant faire les déclarations hebdomadaires est de 79, ce qui fait une complétude de 63% (Tableau 1). Goz Beida et Biltine sont les districts sanitaires qui ont les complétudes les plus faibles de moins de 60%. Les camps de Bredjing et de Farchana n ont pas fait parvenir leurs notifications hebdomadaires. La moyenne des retards à la notification a été de 5 (±5) jours. Tableau 1 : Complétude par District Sanitaire, Est du Tchad, du 16 au 22 mai DRS Total des Formations Sanitaires Formations Sanitaires déclarantes Complétude District Sanitaire CS/H Camps Total CS/H Camps Total % Abéché Ouaddaï Adré Amdam Goz Beida Biltine Wadi Fira Guéréda Iriba BET Bahaï Ensemble CS/H : Centre de Santé/Hôpital 100 DRS : Délégation Régionale Sanitaire Complétude (%) S1 S2 S3 S4 S5 S6 S7 S8 S9 S10 S11 S12 S13 S14 S15 S16 S17 S18 S19 S20 Semaines 2005 Figure 1 : Evolution de la complétude depuis le début de l année 2005, Est du Tchad. 2. Morbidité et mortalité Un 12 ème camp nommé Gaga a été ouvert à l Est du Tchad, mais les notifications hebdomadaires ne nous sont pas encore parvenues. Quelques réfugiés y sont hébergés à ce jour. La complétude a été régulièrement mise à jour au fur et mesure que les notifications tardives parvenaient. 2
3 2.1. Morbidité et mortalité en général Pendant la semaine courante, un total nouveaux cas a été notifié par les camps, les centres de santé et les hôpitaux couverts par le Système d Alerte Précoce (dont âgés de moins de 5 ans et de plus de 5 ans) (Tableau 2). Parmi ces nouveaux cas, (c'est-à-dire 63% du total des malades) ont consulté dans les centres de santé des camps de réfugiés (Tableau 7). Un total de 35 décès (16 de moins de 5 ans et 19 de 5 ans et plus) a été notifié à l Est du Tchad pendant la semaine courante dont 26 par les formations sanitaires des camps de réfugiés (Tableaux 2&8). Tableau 2 : Nombre de cas et de décès par tranche d âge et par pathologie, Est du Tchad, du 16 au 22 mai Nouveaux Cas Décès MALADIE Moins de 5 ans 5 ans et plus Moins de 5 ans 5 ans et plus Suspicion de choléra Diarrhée aqueuse aiguë Diarrhée sanglante aiguë Suspicion de rougeole Suspicion de méningite Paludisme présumé Paralysie flasque aiguë Syndrome ictérique aigu Syndrome respiratoire aigu Tétanos néonatal Fièvre inconnue Fièvre hémorragique aiguë Autres Le syndrome respiratoire aigu (morbidité proportionnelle générale -MP- de 16%) reste la deuxième cause de morbidité après les pathologies regroupées dans la catégorie "Autres " (MP de 54%) (Tableau 2). Chez les enfants de moins de 5 ans, la MP du syndrome respiratoire aigu atteint même 23%, alors qu elle est de 11% chez les patients âgés de 5 ans et plus. La diarrhée aqueuse aiguë (MP de 12%) vient en troisième position, suivi du paludisme présumé (MP de 11%). Par rapport à la 19 ème semaine (Tableau 3 & 4), la semaine courante a connu : Une augmentation du nombre de nouveaux cas de suspicion de rougeole ; la quasi totalité des cas provenant essentiellement et toujours des districts sanitaires d Abéché et d Am Dam (Tableau 5). Ces deux districts n ont pas bénéficié de la campagne de vaccination antirougeoleuse de rattrapage qui a eu lieu au mois de mars et qui concernait les districts sanitaires abritant les camps de réfugiés. La couverture vaccinale de routine y est faible. Pour ce qui concerne spécialement le district sanitaire d Abéché, sur les 127 cas déclarés, 95% ont été notifiés par les 6 centres de santé urbains de la ville d Abéché (Islamique, Kamina II, AEB, Salamat, Taiba et Djatinié) ainsi que par le service de Pédiatrie de l hôpital régional. Signalons qu en cas de flambée de cas de rougeole, la riposte inclut l amélioration de la prise en charge des cas avec la supplémentation en vitamine A. Par ailleurs, une réponse vaccinale à l épidémie n est pas recommandée, étant donné qu elle survient trop tard pour influer sur l impact de l épidémie du fait de la nature hautement contagieuse de la rougeole 1. Une légère baisse du nombre des cas de suspicion de méningite. Les 21 cas notifiés se répartissent dans les districts sanitaires d Abéché, Guéréda et Adré. Il s agit en grande partie de N. meningitidis A (Pastorex ). La 1 WHO guidelines for epidemic preparedness and response to measles outbreaks. Geneva. World Health Organization WHO/CDS/CSR/ISR/99.1 3
4 létalité est de 19%. Sur les 4 décès, trois proviennent du District de Guéréda (Formations sanitaires du camp de Mile et de Kounloungo et Centre de santé de Wilkouré), l autre provient du centre de santé de Traoné à Adré. Pendant la semaine courante, MSF-France a organisé une campagne de vaccination contre la méningite avec le vaccin ACW dans les villages de Troané et ses environs. En tout personnes âgées de 2 à 30 ans ont été vaccinées. Une diminution du nombre de nouveaux cas de diarrhée aqueuse aiguë et de diarrhée sanglante aiguë. Une réduction de moitié du nombre de cas de syndrome ictérique aigu. Tableau 3 : Evolution du nombre de cas notifiés par semaine et par pathologie depuis le début de l année 2005, Est du Tchad. Semaine CHOL DIAQ DIASG ROUG MENI PALU PFA SIA SRA TNN FINC FIHM AUT S S S S S S S S S S S S S S S S S S S S Total Tableau 4 : Evolution du nombre de décès notifiés par semaine et par pathologie depuis le début de l année 2005, Est du Tchad. 4
5 Semaine CHOL DIAQ DIASG ROUG MENI PALU PFA SIA SRA TNN FINC FIHM AUT S S S S S S S S S S S S S S S S S S S S Total Morbidité par District Sanitaire Tableau 5 : Nombre de cas notifiés par District Sanitaire et par pathologie, Est du Tchad, du 16 au 22 mai District CHOL DIAQ DIASG ROUG MENI PALU PFA SIA SRA TNN FINC FIHM AUT ABECHE ADRE AMDAM BAHAI BILTINE GOZBEIDA GUEREDA IRIBA Mortalité par District Sanitaire 5
6 Tableau 6 : Nombre de décès notifiés par District Sanitaire et par pathologie, Est du Tchad, du 16 au 22 mai District CHOL DIAQ DIASG ROUG MENI PALU PFA SIA SRA TNN FINC FIHM AUT ABECHE ADRE AMDAM BAHAI BILTINE GOZBEIDA GUEREDA IRIBA Morbidité et mortalité dans les camps de réfugiés Morbidité Le syndrome respiratoire aigu constitue la principale cause de morbidité dans les 9 camps de réfugiés de l Est du Tchad ayant effectué la notification hebdomadaire (Tableau 7). Il est suivi de la diarrhée aqueuse aiguë et du paludisme présumé, comme dans l ensemble de la population de l Est du Tchad. Tableau 7 : Nombre de nouveaux cas par pathologie et par tranche d âge dans les 11 camps de réfugiés soudanais de l Est du Tchad du 16 au 22 mai Camps CHOL DIAQ DIASG ROUG MENI PALU PFA SIA SRA TNN FINC FIHM AUT Amnabak Bredjing Djabal Farchana Goz Amer Iridimi Kouloungo Mile Oure Cassoni Toloum Treguine Total
7 Mortalité Un total de 26 décès a été notifié dans 9 des 12 camps de réfugiés de l Est du Tchad (Tableau 8). Deux décès suite a la suspicion de méningite ont été notifiés par les camps de Mile (homme de 35 ans, en provenance des villages avoisinant le camp, mort avant l instauration du traitement et la ponction lombaire) et de Kounloungo (fille de 18 ans, décédée au cours du transfert vers l hôpital de Guereda, avant la ponction lombaire). Les camps de Goz Amer et de Oure Cassoni ont connu les mortalités les plus élevées, c'est-à-dire 8 décès pour chaque camp. Sur ces 26 décès, 16 (61%) sont dus aux pathologies classées dans la catégorie "Autres". Le camp de Oure Cassoni a détaillée les causes de ses 5 décès "Autres": la sénilité pour 3 adultes, la malnutrition et la fièvre inconnue pour 2 enfants de moins de 5 ans. Pour le camp de Djabal, 2 des 3 décès "Autres" sont décédés en dehors du centre de santé du camp : une mortalité néonatale et un syndrome œdémato-ascitique. Les deux décès de Mile sont des bébés morts au cours de l accouchement sur le camp. Tous les camps pourraient ainsi détailler les causes de décès "Autres" dans la case réservée aux commentaires sur la fiche de notification. De façon générale, la collecte des données de mortalité n est pas standardisée sur tous les camps. Certaines formations sanitaires des camp (pour la semaine courante : Bredjing, Farchana, Iridimi et Touloum) ne notifient même pas les décès, ce qui ne permet pas de calculer les indicateurs fiables et indispensables comme le taux de mortalité journalier. Pour résoudre ce problème, l OMS se propose d organiser le plus rapidement possible, en collaboration avec le Ministère Tchadien de la Santé et le HCR, un Atelier sur la Surveillance épidémiologique, dont l objectif principal sera entre autres de standardiser la collecte des données de mortalité dans les 12 camps de réfugiés de l Est du Tchad. Tableau 8 : Nombre de décès par pathologie et par tranche d âge dans les 11 camps de réfugiés soudanais de l Est du Tchad du 16 au 22 mai Camps CHOL DIAQ DIASG ROUG MENI PALU PFA SIA SRA TNN FINC FIHM AUT Amnabak Bredjing Djabal Farchana Goz Amer Iridimi Kouloungo Mile Oure Cassoni Toloum Treguine Total
URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS
1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION
Plus en détailAU BURKINA FASO GUIDE TECHNIQUE POUR LA SURVEILLANCE INTEGREE DE LA MALADIE ET LA RIPOSTE (SECTION 1 A 8 : ETAPES DE LA SURVEILLANCE)
MINISTERE DE LA SANTE BURKINA FASO ------------- Unité Progrès Justice SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE ------------- DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE LA MALADIE
Plus en détailECHO ACD UNICEF TCHAD
N 004 - Mars 2015 Points saillants : Évaluation de la Gestion Efficace des Vaccins au Tchad - Mai 2015 Tenue de la deuxième téléconférence de suivi de la mise en œuvre des activités PEV/ACD Renforcement
Plus en détailSITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE
SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE (Semaine n 38 du 17 au 23/09/2012) BURKINA FASO MINISTERE DE LA SANTE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailPROTOCOLE D'ÉVALUATION DES SYSTÈMES NATIONAUX DE SURVEILLANCE ET DE RIPOSTE CONCERNANT LES MALADIES TRANSMISSIBLES
WHO/CDS/CSR/ISR/2001.2 Distribution: Générale Original: Anglais PROTOCOLE D'ÉVALUATION DES SYSTÈMES NATIONAUX DE SURVEILLANCE ET DE RIPOSTE CONCERNANT LES MALADIES TRANSMISSIBLES DIRECTIVES POUR LES ÉQUIPES
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailSituation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée
Situation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée, 2 Table des matières Table des matières...2 Note technique...3 Résumé...4 1. Guinée...6 2. Conakry... 13 3. Boffa... 21 4. Coyah... 23
Plus en détailSituation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée
Situation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée Semaine 1, 21 Table des matières Table des matières... 2 Note technique... 3 Résumé... 4 1. Guinée... 6 2. Conakry... 13 3. Boffa... 18
Plus en détailSituation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée
Situation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée Semaine 13, 215 Table des matières Table des matières...2 Note technique...3 Résumé...4 1. Guinée...6 2. Conakry... 13 3. Boffa... 21 4.
Plus en détailSituation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée
Situation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée Semaine 12, 215 Table des matières Table des matières...2 Note technique...3 Résumé...4 1. Guinée...6 2. Conakry... 13 3. Boffa... 21 4.
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailGuinée - Epidémie de la Maladie à virus Ebola Rapport de la Situation Epidémiologique Maladie a Virus Ebola en Guinée 07 Juin 2015
Rapport de la Situation Epidémiologique Maladie a Virus Ebola en Guinée 7 Juin 215 I. Points saillants Deux (2) nouveaux cas confirmés ont été notifié ce jour dans les préfectures de Forécariah et de Kindia
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailC est quoi le District Health Information Software 2?
Introduction Actions entreprises C est quoi le Health Information Software 2? Avantages Inconvénients Conclusion Le système d information sanitaire est l un des piliers du Système de Santé Il contribue
Plus en détailLa coopération internationale en matière de santé
La coopération internationale en matière de santé L évolution de la coopération internationale en matière de santé remonte à la moitié du XIXème siècle lorsque des épidémies de choléra ont touché l Europe
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailQUELLE EST LA SITUATION ACTUELLE
INTRODUCTION Etre à jour de ses vaccins et en gérer le suivi de manière permanente, voici une exigence vitale pour l hygiène des populations et une préoccupation majeure de santé publique en côte d Ivoire
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailSITUATION EPIDEMIOLOGIQUE DE LA 26 ème SEMAINE 2015 OBJET EXPOSE DE LA QUESTION OBSERVATIONS
Ministère de la Santé et de l Hygiène Publique -------- Secrétariat Général République du Mali ---------- Un Peuple Un But - Une Foi SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE DE LA 26 ème SEMAINE 2015 OBJET EXPOSE DE
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPréparation et Réponse aux Épidémies dans les Camps de Réfugiés. Principes Directeurs Destinés aux Fonctionnaires de la Santé Publique
Préparation et Réponse aux Épidémies dans les Camps de Réfugiés Principes Directeurs Destinés aux Fonctionnaires de la Santé Publique Octobre 2011 I Préparation et réponse aux épidémies dans les camps
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détailTOUS !"#$ ENSEMBLE REDUCTION DE LA MORTALITE DES ENFANTS DE MOINS DE 5 ANS #!"$& #!"$' RAPPORTS THEMATIQUES 2013
RAPPORTS THEMATIQUES 2013 - OMD 1 ELIMINER L EXTRÊME PAUVRETE ET LA FAIM RAPPORT NATIONAL TOUS ENSEMBLE Union des Comores! " # $ % & ' & () *!"#$%&'"$%()'*+," Le gouvernement de l Union des Comores et
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailde plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détailGOZ BEIDA, TCHAD OCTOBRE 2013
GOZ BEIDA, TCHAD OCTOBRE 2013 REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier : Le Coverage Monitoring Network pour le soutien technique dans la réalisation de cette enquête, L unité de support pour la sante(hsu)
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailSurveillance du VIH chez les nourrissons et les enfants de moins de 18 ans. sur la surveillance mondiale du VIH/sida et des IST
Groupe de travail ONUSIDA/OMS sur la surveillance mondiale du VIH/sida et des IST Surveillance du VIH chez les nourrissons et les enfants de moins de 18 ans Catalogage à la source: Bibliothèque de l OMS:
Plus en détailPLAN de CONTINGENCE CHOLERA
PLAN de CONTINGENCE CHOLERA ACF Mission Juin 2014 1 RESUME Le choléra est une maladie bactérienne bien connu depuis le 19 ième siècle. Son fort pouvoir contaminant par l eau, les selles et les contacts
Plus en détailDr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014
Dr Marie-Pierre CRESTA Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien Juin 2014 Que savoir en tant que citoyen? Les LBE La greffe, ça marche Que savoir en tant que professionnel? Pénurie, contexte épidémiologique
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailSurveillance épidémiologique en Lorraine
CIRE LORRAINE- ALSACE Surveillance épidémiologique en Lorraine Point de situation au 2 juillet 2, n 2-16, 16, 26 Sommaire Surveillance par pathologie : - allergies... 2 - asthme...3 - pathologies liées
Plus en détailPOINT DE VUE DU BURKINA FASO EN TELESANTE ET TELE-EPIDEMIOLOGIE
POINT DE VUE DU BURKINA FASO EN TELESANTE ET TELE-EPIDEMIOLOGIE EPIDEMIOLOGIE 49 ème Session STS COPUOS, Vienne Février 2012 Dr DIALLO Ousséini, SOME A Désiré, COULIBALY Filatiéni, SANOU ALI Bibata 1 DÉFINITIONS
Plus en détailTests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne
1 1 Tests rapides d orientation diagnostique Expérience du CASO de Cayenne Dr Christian Hubert Médecins du Monde - Mission France Guyane CASO de Cayenne Réunion COREVIH Guadeloupe 26/11/2010 MDM : Soigner
Plus en détailBureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Février 2012 CONTEXTE. Evénements clés:
Bureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Février 2012 Ce bulletin d information humanitaire, produit par le bureau régional OCHA pour l Afrique de l Ouest
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailPlan stratégique pour l éradication de la poliomyélite et la phase finale 2013-2018
Plan stratégique pour l éradication de la poliomyélite et la phase finale 2013-2018 Organisation mondiale de la Santé 2013 Tous droits réservés. Les publications de l Organisation mondiale de la Santé
Plus en détailCAMP DE RÉFUGIÉS SOUDANAIS DE BREDJING, TCHAD OCTOBRE, 2013 BEATRIZ PÉREZ BERNABÉ
CAMP DE RÉFUGIÉS SOUDANAIS DE BREDJING, TCHAD OCTOBRE, 2013 BEATRIZ PÉREZ BERNABÉ REMERCIEMENTS Haut-Commissariat aux Réfugiés (HCR), International Refugee Committee (IRC) et le Coverage Monitoring Network
Plus en détailOSIRIS GRIPPE A H1N1
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE État-major opérationnel OSIRIS OSIRIS INFORMATION ÉTAT-MAJOR OPÉRATIONNEL POLICE Genève, le 13 mai 2009 Rapport mensuel Avis de précaution Message urgent GRIPPE A H1N1 Recommandations
Plus en détailAnnexe I. Notification de réactions indésirables graves par l établissement :
Annexe I. Notification de réactions indésirables graves par l établissement : Partie A. Notification rapide d une suspicion de cas de réaction indésirable grave chez un donneur (vivant) (complication liée
Plus en détailEVALUATION D OPERATION
Measuring results, sharing lessons EVALUATION D OPERATION TCHAD, Interventions prolongées de secours et de redressement (IPSR), 200289, Assistance alimentaire ciblée en faveur des réfugiés et des personnes
Plus en détailACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030
ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 Mettre fin à l épidémie de sida ces mots renferment de tels espoirs et de telles promesses. Grâce à des engagements mondiaux et à des objectifs précis,
Plus en détailJournées de formation DMP
Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé
Plus en détailLa télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain. Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL)
La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Angers FHF 13 septembre 2012 Ce qui a changé dans l exercice
Plus en détailEUROPAID/119860/C/SV/multi. Identification et formulation du projet d'appui à la politique de santé à financer sur les ressources du PIN 10 ème FED
EUROPAID/119860/C/SV/multi Identification et formulation du projet d'appui à la politique de santé à financer sur les ressources du PIN 10 ème FED LOT N 8 DEMANDE N 2009/201619/1 TERMES DE REFERENCE SPECIFIQUES
Plus en détailDéc. 2 E (2010) 12 40'N 631 090 BA/ DC 3 AVA 021 55'E 1050x25 BGR (x) (*) 270
AIP TCHAD 14 AD 2-7-01 ASECNA RÉPERTOIRE DES AÉRODROMES ET PISTES / LIST OF AERODROMES AND RWY 05 MARS 2015 ABECHE VOIR 14 AD 2-7 ABOU - DEIA 11 28'N 480 011 BA DC 3 12 : AVA 019 17'E 1400x42 Balisage
Plus en détailBILAN D ACTIVITES PLAN D ACTION 2014. Hôpital Psychiatrique Saint Vincent de Paul de Yamoussoukro
BILAN D ACTIVITES DU PLAN D ACTION 2014 Hôpital Psychiatrique Saint Vincent de Paul de Yamoussoukro 1 AVANT PROPOS Avec un taux de croissance de 6% de nouveaux cas reçu cette année, l Hôpital Psychiatrique
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailSanté Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad
Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad Notre projet en 2009 Prendre soin des orphelins, des nouveaux-nés, des femmes ayant des problèmes d allaitement, des prématurés et des enfants malnutris
Plus en détailFinancement de la santé et recouvrement des coûts en République Démocratique du Congo : le lourd fardeau des ménages.
Financement de la santé et recouvrement des coûts en République Démocratique du Congo : le lourd fardeau des ménages. J. Manzambi Kuwekita, MPH, PhD Professeur à la Section de Santé Communautaire, Institut
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailRougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche
Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Comment protéger vos enfants? La seule protection efficace : la vaccination R.O.R COQUELUCHE ANNUAIRE Livret élaboré en partenariat avec : Conseil Général du Loir-et-Cher
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailBureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Mars 2012 CONTEXTE. Evènements clés:
Bureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Mars 2012 Ce bulletin d information humanitaire, produit par le bureau régional OCHA pour l Afrique de l Ouest
Plus en détailVue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA)
Vue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA) 1 Module 1. Objectifs d apprentissage Discuter de la malnutrition aiguë et des mesures à prendre en réponse Identifier
Plus en détail3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux
3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central
Plus en détailPREAMBULE. Cet atelier s est articulé sur quatre points essentiels à savoir :
PREAMBULE Le Réseau de Métrologie Sanitaire (RMS) est un partenaire mondial qui s efforce d améliorer la qualité de l information sanitaire à l échelon national et international. Au mois de juin 2006,
Plus en détailCaroline John, Sophie Kamel, Vincent Dombre, Joao Da Costa Rodrigues, Yann Coattrenec
Caroline John, Sophie Kamel, Vincent Dombre, Joao Da Costa Rodrigues, Yann Coattrenec Plan de l exposé 1. Introduction 2. Déséquilibre offre demande 3. Donneur 4. Receveur 5. Liste d attente 6. Aspect
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailContrat de creation de site web et de maintenance
Contrat de creation de site web et de maintenance Entre : La société.. (nom et forme juridique, ex : MYCOMPANY, Sarl) au capital de euros dont le siège social est à. enregistrée au Registre du Commerce
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailImportance de la Vaccination
VACCINER! Importance de la Vaccination VACCINER! «La vaccination complète de l enfant avant son premier anniversaire constitue son premier passeport pour la vie. Il est de notre devoir de nous assurer
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailCentre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailFirst do no harm Hippocrates (470 360 BC)
PHARMACOVIGILANCE DR A.TEBAA - Pr R. SOULAYMANI BENCHEIKH CENTRE ANTI POISON ET DE PHARMACOVIGILANCE M.COOPER-SHANTHI-PAL QUALITY ASSURANCE ET SECURITY MEDECINE Dakar 5-9 Mars 2006 First do no harm Hippocrates
Plus en détailJe m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale
Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et
Plus en détailCompte-rendu de l atelier savoirs communs Lundi 21 octobre 2013 - CEFOD
Compte-rendu de l atelier savoirs communs Lundi 21 octobre 2013 - CEFOD Rappel : Cet atelier s inscrit dans le cadre plus large de la seconde édition de la campagne de sensibilisation et de promotion de
Plus en détailL exercice pluriprofessionnel des soins primaires en Maison et Pôle de Santé
L exercice pluriprofessionnel des soins primaires en Maison et Pôle de Santé Dr Jean Jacques ANTOINE FEMALOR 14 Juin 2012 METZ 57 1 Déclara'on d intérêts J ai actuellement ou j ai eu au cours des trois
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailNote introductive à la table ronde sur l accès aux soins de santé
Note introductive à la table ronde sur l accès aux soins de santé Vincent De Brouwere, IRD/INAS Introduction Le Conseil de l ONDH a mis en place trois groupes de travail (GT) avec l objectif de constituer
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailAnnexe VI au Protocole au Traité sur l Antarctique relatif à la protection de l environnement
MESURE 1 - ANNEXE Annexe VI au Protocole au Traité sur l Antarctique relatif à la protection de l environnement Responsabilité découlant de situations critiques pour l environnement Les Parties, Préambule
Plus en détailEtes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch
Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch 0844 448 448 La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch Eliminer la rougeole un objectif international
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 1 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 1 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, Forme pharmaceutique, Dosage, Présentation - ARANESP 10 µg, Darbépoétine
Plus en détailTarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB)
Tarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB) valable à partir du 1 er janvier 2014 1 Introduction... 2 2 Traitements ambulatoires... 3 2.1 Interventions chirurgicales... 3 2.2 Diagnostics
Plus en détailDésignation/mise en place des points focaux nationaux RSI
1 GUIDE DES POINTS FOCAUX NATIONAUX RSI Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI 1. Introduction Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI(2005)) définit un point focal national
Plus en détaille réseau des systèmes locaux de déclaration des erreurs
> Critical Incident Reporting & Reacting NETwork le réseau des systèmes locaux de déclaration des erreurs www.patientensicherheit.ch www.cirrnet.ch Objectifs est le réseau des systèmes locaux de déclaration
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailLÉGUEZ-LEUR UN AVENIR!
LÉGUEZ-LEUR UN AVENIR! 1 SOMMAIRE Page 3 Unhéritage àpartager Pages 4-5 Le legs: un geste pour la vie Pages 6-8 Tendez-leur la main en leur offrant un avenir! Pages 9-11 Vous vous posez des questions?
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailDES SUPERVISEURS DES SERVICES A BASE COMMUNAUTAIRE (AC/SBC) EN GESTION DES INFORMATIONS DE LA PLANIFICATION FAMILIALE ET DE LA SANTE MATERNELLE
MSHP MODULE D ORIENTATION DES SUPERVISEURS DES SERVICES A BASE COMMUNAUTAIRE (AC/SBC) EN GESTION DES INFORMATIONS DE LA PLANIFICATION FAMILIALE ET DE LA SANTE MATERNELLE Réalisé en mai 2012 avec l appui
Plus en détailMEMOIRE DE FIN D ETUDE
SOMMAIRE DEDICACE REMERCIEMENTS Année académique 2008 2009 DIPLOME INTERUNIVERSITAIRE (DIU) 3 ème Cycle «Organisation et Management des Systèmes Publics de Prévention Vaccinale dans les Pays en Développement»
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailMinistère de la Santé et de la Qualité de la Vie. Colloque sur le prélèvement de tissus et d organes Humains
Ministère de la Santé et de la Qualité de la Vie Colloque sur le prélèvement de tissus et d organes Humains Venue: Salle de Conférence Hôtel Gold Crest Quatre Bornes Jeudi 27 août à 14 heures 1 Miss How
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailSYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois
SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois La télémédecine au service des soins de 1 er recours et de l aménagement du territoire dominique.depinoy@acsantis.com Pourquoi
Plus en détail