Causes d échecs de la coloscopie
|
|
- Daniel Gervais
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Causes d échecs de la coloscopie Cours DES 19/11/2010 E.BOUEYRE
2 Coloscopie Diagnostic et/ou traitement des lésions précancéreuses et cancéreuses: Fréquence du CCR : nouveaux cas/an et décès/an Pas de recommandation détaillée. Quelques recommandations spécifiques émises par la SFED (antibioprophylaxie, gestion des traitements antithrombotiques, désinfection, techniques d'hémostase). FMC 2010
3 Principales causes d échec 1/Mauvaise préparation++. 2/Difficulté de progression. 3/Mauvaise analyse de la muqueuse.
4 1 ère cause d échec=mauvaise préparation
5 Enquête de la SFED en 2008 Gastroentérologues interrogés sur leur pratique sur 2 jours. Préparation de mauvaise qualité =20 à 30% des cas. 5% des coloscopies incomplètes Dans 42 % des cas :mauvaise qualité de la préparation en cause. SFED 2008
6 Etude PACOME Préparation à la coloscopie /observatoire des motifs d échec Enquête prospective 102 échec de coloscopie (préparation insuffisante) vs et 102 coloscopie réussie. échecs: -3/4 liés à la persistance de matières. 1/4:difficultés techniques surajoutées But =identifier les causes et les facteurs associés à l échec.
7 Analyse multivariée Prise incomplète=risque d échec de la coloscopie x3 Constipation =2 nd facteur significatif d échec. Vomissements = 25 % gpe échec vs 8%. Autres facteurs étudiés non significatifs : précédent échec type de préparation le régime sans résidus. Préparation en 2 temps =46 %gp réussite VS 35 %. Enquête nationale PACOME
8 Que faire pour améliorer la prise de la préparation?
9 Consultation préalable à la coloscopie+++ Pas de consultation préalable chez 6% des patients Importance de la consultation préalable Bénéfice/risque en fonction de l indication. Gestes thérapeutiques + risques. Importance de la préparation et ses modalités. Conséquences d une mauvaise préparation. Consultation de 10 à 20 minutes :éducation thérapeutique. Enquête nationale PACOME
10 Consultation spécialisée? Indications moins pertinentes quand posées par le généraliste. 87 % des indications posées par les GE étaient appropriées. Vs 65 % des indications posées par le généraliste. Gastrointest Endosc 1999
11 Différentes préparations 2
12 2 classes principales: PEG et phosphate de sodium. 16 études randomisées 13 études = efficacité comparable. Compliance et tolérance: meilleures avec le phosphate de sodium Méta-analyse la plus récente :3484 patients Echec moins fréquent de la prise de la préparation à base de phosphate de sodium vs PEG (OR = 0,16). Gastrointest Endosc Colorectal Dis 2006.
13 Nouvelles préparations Combinaison 10 g d acide ascorbique + 2L de PEG. diarrhée osmotique :compensée par au moins 1L,en supplément du PEG. Etude comparative :propreté équivalente à celle de la préparation par PEG. Phosphate de sodium en comprimés 32 cp: 20 cp la veille et 12 cp le matin, 4 à 5 h avant l examen avalés par série de 4 avec 250 ml d eau tous les 1/4H d (2L) Prise fractionnée :accroît tolérance et efficacité. ALIMENT PHARMACOL THER 2006 ; 24 :
14 Tolérance des préparations Laxatifs osmotiques (phosphate de Na): néphropathies aiguës(2 nd à l hyperphosphatémie)(< 1/1 000). IEC,ARA2,diurétiques,insuf. rénale ou cardiaque. Bonne hydratation (2 à 3 L)+délai de 12 H entre les 2 prises. PEG : Nausées et vomissements Prise fractionnée :accroît efficacité et tolérance Hyponatrémies(insuf. cardiaque ou diurétiques).
15 Cas particulier: Coloscopie en contexte hémorragique Intérêt majeur Site du saignement Caractère actif Stigmates de saignement récent Diagnostic étiologique et thérapeutique Mais difficulté en urgence Préparation. risque de complication.
16
17 Devant une hémorragie digestive basse Examen proctologique + FOGD Selon importance Si arrêt du saignement spontané: coloscopie=examen diagnostique clef. En semi-urgence après préparation complète par PEG Si hémorragie active: Performances nettement inférieures : utilisation de pompes. AngioTDM en urgence(hémorragie active si débit de 0,5ML/Min) +/- geste thérapeutique par embolisation supra-sélective.
18 . Conséquences d une préparation insuffisante
19 1/Influence sur le nombre de coloscopies totales Etude :78 gastroentérologues/ 3 niveaux de préparation (excellent, résidus liquides, résidus solides) / 2 scénarios : pas de polype ou deux polypes. Question posée: échéance de la prochaine coloscopie? Si absence de polypes: Echéance rapprochée si préparation de mauvaise qualité De la répétition immédiate à un délai de 10 ans. Si découverte de polypes: Délai de contrôle + large si côlon propre. Si résidus solides: répétition immédiate chez 22 % des gastroentérologues, dans l année chez 53 % Am J Gastroenterol 2007 ; 102 :
20 2/Nombre d adénomes détectés patients 11 centres Si préparation parfaite: détection de 46 % de polypes supplémentaires. Proportion de coloscopies avec au moins un adénome vu et avec un adénome avancé: diminution significative de 29,4 % à 23,9 % et de 6,4 % à 4,3 %, respectivement. Gastrointest Endosc 2005 ; 61 :
21 3/Difficulté et temps de réalisation de la coloscopie Le pourcentage de coloscopies incomplètes augmentait de 20 % en cas de préparations insuffisantes 70,1 % coloscopie complète si mauvaise préparation vs 90,4 % en cas de préparation de bonne qualité Gastrointest Endosc 2005 ; 61 : Etude de Froehlich et al.
22 4/Impact sur la répétition des coloscopies et leur cout Sur 200 coloscopies préparées: 10% à répéter à 3 ans (adénome avancé), et 20 % à 5 ans (adénome) 260 coloscopies sur 7 ans dans le centre privé préparation insuffisante =13,5 %. 45,3 % à répéter dans les 7 ans, dont 12,4 % l année suivante. Dans le centre public préparation insuffisante = 26,5 % 51,4 % des coloscopies devaient être répétés. Augmentation du coût du dépistage de 11,8% dans les structures privées et de 21,5%dans les structures publiques. Am J Gastroenterol 2002
23 Principales conséquences d une propreté insuffisante du côlon.
24 Transcription des informations sur le compte rendu Lieu, date, patient hospitalisé ou ambulatoire. Nom du médecin avec numéro ADELI. Modalités de désinfection. Identité du patient. Technique Matériel employé :marque, numéro de série; Modalités de préparation utilisée; Qualité de la préparation; Tolérance de l examen Prémédication et type d anesthésie. Indication précise.
25 Résultats Segments explorés Existence d une anomalie: Description: siège, aspect(lésion élémentaire),dimensions Gestes à visée diagnostique biopsies: nombre, matériel: type de pince à biopsie ou de cathéter Gestes éventuel à visée thérapeutique: Type de geste (dilatation, hémostase, polypectomie) et matériel utilisé Conclusion Lésions observées. Gestes effectués. Hypothèses diagnostiques et suites à prévoir.
26 2 ème cause d échec: mauvaise technique de progression
27 Technique habituelle de progression Ne pas appliquer de poussée trop forte Stopper la poussée si blanchiment de la muqueuse Progresser en visualisant la lumière, réaliser soi-même la progression du tube. Aspiration de l'air =moyen de progression si proche d'une angulation non franchissable en poussée Artifices ponctuels :mobilisation du patient, compression de boucles par un aide.
28 Facteurs d échec Critères significatifs prédictifs d'échec: Sexe féminin Age avancé Diverticulose chez la femme Constipation chez l'homme Hystérectomie BMI bas < 25 Gastrointest Endosc 2001; 54:
29 3 ème cause d échec =mauvaise analyse de la muqueuse
30 Examen de la muqueuse Objectif final ++ Examen de la muqueuse lors de la descente ++ Limites de la coloscopie =méconnaissance de lésions 1 cancer méconnu toutes les 250 à 1250 coloscopies =5 à 20 % des cancers. 6 % pour les adénomes > 1 cm 15 et 24 % pour l'ensemble des adénomes Rapport direct avec le temps passé à la descente. Gastroenterology 1996,Am J Gastroenterol 2002,J Natl Cancer Inst 1990,Gastroenterology 1997
31 Facteur d échec : Type de lésions recherchées Essentiellement des lésions polypoïdes Lésions non polypoïdes également fréquentes++ Potentiel malin Taux de dégénerescence de 20% sur des adénomes plans > 20 mm.
32 Au japon: sur cancers superficiels sur 13 ans adénomes polypoïdes dans 57 % des cas adénomes plans dans 40 % des cas sans tissu adénomateux dans 3 % des cas. En Europe: proportion de lésions dégénérées non polypoïdes comparable (63 % / 36 % / 1 %). Kudo Rembacken BJ, Lancet 2000
33 Facteur d échec: Technique d examen Méthode d'exploration : Temps accordé à la redescente Utilisation d'insufflation et de déflation successive Recherche systématique derrière les plis Alterner descente et remontée Examen soigneux de la muqueuse(coloration, mobilité, anomalies de relief)
34 Conclusion 1/Importance de la préparation+++ Choix du produit : PEG vs phosphate de sodium = efficacité comparable (16 études) Meilleure compliance, tolérance : phosphate de sodium Populations spécifiques (âgés, maladies inflammatoires..) :PEG Préparation en deux temps préférée Nouvelles modalités de préparations :limiter les quantités ingérées. Information orale et écrite 2/ Formation aux techniques de progression 3/Analyse précise de la muqueuse
35 Discussion Remèdes pour éviter les causes d échec
36 1/Remèdes pour éviter l échec de la préparation?
37 Bien choisir la préparation Décision médicale, selon: Âge et faculté à boire plusieurs litres Eventuels problèmes rénaux ou cardiaques. Antiémétiques :pas de réduction du risque de vomissements. Si échec d une préparation antérieure bien conduite : complément par 2 à 3 litres de PEG, ou lavements, ou laxatifs stimulants. Préparation en 2 temps : meilleure qualité et tolérance (3 L de PEG la veille et 1 L, 3 ou 4 H avant).
38 Préférer la prise fractionnée du PEG Etude randomisée 141 patients Qualité de la préparation par PEG: meilleure en cas de préparation répartie entre la veille et le matin de l examen vs préparation prise la veille Tolérance identique entre les deux groupes. Gastrointest Endosc 2005 ; 62 :
39 Améliorer l information donnée lors de la consultation pré coloscopie Adaptée au degré d autonomie et de compréhension du patient. Tenir compte du degré d éloignement (préparation en milieu hospitalier?). Explications sur l indication de l examen, ses risques et le déroulement de la sédation. Illustrées par un descriptif imprimable disponible sur le site de la SFED + document illustré. Visualisation de quelques images d endoscopie montrant la différence entre un côlon propre et la présence de matières. Régime sans résidu :selon endoscopiste(éviter les fruits à pépins ) Enquête nationale PACOME
40 Après lecture du livret la chance d avoir une bonne préparation est multipliée par 1,9. (95%CI =1,1-3,4)
41 Régime sans résidus? Efficacité dans la littérature floue. Retrouvé dans 79% des prescriptions, prescrit pendant 3 jours dans 94% des cas. Aucune étude n'a montré un avantage objectif à l'addition d'un régime sans résidu A réserver aux patients à risque d'échec de préparation
42 Vérification de la qualité de la préparation par l'infirmière Recommandée. Si persistance de selles ou de liquide sombre: traitement complémentaire(lavement), examen différé de 24 heures avec la prise d'un complément de purge per os.
43 2/Comment améliorer la technique de progression?
44 Innovations techniques(1): Adaptation de la flexibilité et rigidité de l endoscope Coloscopes pédiatriques : souplesse. Inconvénient=difficulté de franchir l'angle droit. Coloscope avec rigidité variable Etude multicentrique européenne randomisée:1 200 patients + performant pour le temps de réalisation (9 mn vs 10 mn) et pour moins utiliser la compression abdominale. Taux d'échec et douleur induite :inf. dans le gp coloscope à rigidité variable (non significatif.) A réserver à des patients ayant eu un échec avec un endoscope habituel Gastrointest Endosc 2001 Am J Gastroenterol 2002
45 Innovations techniques(2): Suivi externe par le scope guide Coloscope avec des marqueurs électromagnétiques :imager la position de l'endoscope sur un écran. Etudes réalisées : progression sans boucle chez seulement 9 % des patients. Pour les endoscopistes expérimentés : pas d'amélioration significative pour le temps de montée ou pour la douleur induite Outil idéal pour la formation Gastrointest Endosc 2002 Endoscopy 2003.
46 3/Comment améliorer la qualité de visualisation de la muqueuse?
47 Solutions techniques (1) : la chromo-endoscopie avec indigo carmin But =augmenter le dépistage des petites lésions chez les patients à risque Intérêt : Populations à très haut risque (RCH) Syndrome de Lynch Patients à haut risque (ATCD personnels ou familiaux de cancers coliques). 2 études chez les patients avec RCH Kiesslich en 2003:Dépistage de + de néoplasie intraépithéliale (10 vs 32). Rutter en 2004: supériorité par rapport à des biopsies multiples étagées non orientées. Etude randomisée de la SFED: dble colo vs colo+ CE. Sur 360 patients:différence significative pour détecter les polypes hyperplasiques ou des petits adénomes < 5 mm( côlon droit). non significative pour le nombre total d'adénomes. Kiesslich Gastroenterology 2003, Rutter MD Gut 2004, Brooker Gastrointest Endosc 2002, Hurlstone Gut 2004
48 Solutions techniques (2) : l endoscopie avec grossissement Etudes japonaises :performances très élevées pour la différence polype adénomateux/polype hyperplasique: Se =98 % et spé= 97 %. Rares études européennes : Bonnes performances pour différencier polype hyperplasique/ polype adénomateux (sen=82 à 98 %, spé=82 à 92 %) ne suffit pas à conseiller l'absence de biopsies ou de résection des polypes indications à préciser Kanamori Gastrointest Endosc 2002 Hurlstone Gut 2004 Eisen Gastrointest Endosc 2002
Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailINFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE
INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous
Plus en détailLettre circulaire aux Gastro-Entérologues
Pôle Santé Prévention Régulation R.P.S. CL/EF Troyes, le 4 décembre 2008. Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues PRISE EN CHARGE DE L EXPLORATION INTESTINALE PAR VIDEOCAPSULE INGEREE Docteur, La décision
Plus en détailL ABC POUR SE PRÉPARER À UNE COLOSCOPIE
L ABC POUR SE PRÉPARER À UNE COLOSCOPIE SOMMAIRE 1 La coloscopie, c est quoi?.......................... 4 2 Les objectifs de l examen........................... 5 3 Se préparer à l examen en toute securité...............
Plus en détailLa présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit :
Règle de soins médicaux Technique de la coloscopie en duo INDICATION (situation visée) La présente règle de soins médicaux vise à préciser les conditions d encadrement de la coloscopie (avec endoscope)
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailVotre guide pour la coloscopie. Informations générales
Votre guide pour la coloscopie Informations générales Ordonnance Nom : Prénom : Adresse : Rx Colyte 4 litres Dulcolax 2 comprimés per os, HS Maxéran 10 mg, 1 comprimé per os, 1 heure avant de débuter
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLA COLONOSCOPIE. La colonoscopie, c'est quoi? matin après-midi. Vous serez attendu(e) directement à l'hôpital de jour au 1 er étage le jour même à. h.
LA COLONOSCOPIE Colonoscopie prévue le... matin après-midi Vous serez attendu(e) directement à l'hôpital de jour au 1 er étage le jour même à. h. Vous serez attendu(e) dans l unité de gastro-entérologie
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailJanvier 2003 PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES RECOMMANDATIONS DE LA
Janvier 2003 RECOMMANDATIONS DE LA PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES L. BEAUGERIE (Paris) Avec la collaboration de : G. GAY (Nancy), B. NAPOLEON (Lyon), T. PONCHON (Lyon), J. BOYER
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailRecommandations de la Société française d Endoscopie Digestive pour l organisation et le fonctionnement d un plateau technique en endoscopie digestive
Acta Endosc. DOI 10.1007/s10190-013-0334-4 RECOMMANDATIONS DE LA SFED / SFED RECOMMENDATIONS Recommandations de la Société française d Endoscopie Digestive pour l organisation et le fonctionnement d un
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailLes Nouveaux AntiCoagulants Oraux
Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux (NACO) Emmanuel HAZARD/Jean-loup HERMIL Chronologie Héparine non fractionnée 1950 HBPM 1980 NACO >2008 AVK 1960 Fondaparinux 2002 2 Les indications des NACOs En médecine
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailEn considérant que l effet anticoagulant du dabigatran débute dans les 2 heures suivant la prise du médicament :
Informations sur le dabigatran (Pradaxa md ) Préambule : Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du dabigatran (Pradaxa md ). L
Plus en détailTableau des garanties Contrats collectifs
Assurances santé conformes à la Convention du travail maritime, 2006 Tableau des garanties Contrats collectifs Conformité à la Convention du travail maritime (MLC) 2006 La conformité avec la Convention
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailEntérocolpodéfécographie associée à l'étude du temps de transit colique: procédure diagnostique pour exécution en même temps.
Entérocolpodéfécographie associée à l'étude du temps de transit colique: procédure diagnostique pour exécution en même temps. Marco Estienne, Piero Glorialanza, Veronica Giasotto, Fabrizio Gandolfo, Marianella
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailProgramme de dépistage du cancer colorectal : quelles recommandations pour quelle efficacité? Tour d'horizon de pays occidentaux.
UCL - RESO Unité d Education pour la Santé Ecole de santé Publique Centre «Recherche en systèmes de santé» Programme de dépistage du cancer colorectal : quelles recommandations pour quelle efficacité?
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailINDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT
INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailNEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE
NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détailUn avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système
Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailJEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER
JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER ALS (séance du 11 mai 2003) 48 Jeu video : un nouveau compagnon (Colette KELLER-DIDIER)
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailPLAN ENTRAINEMENT TRAIL LONG (>60 KM) FORTE DÉNIVÉLATION (>2 KM D+)
PLAN ENTRAINEMENT TRAIL LONG (>60 KM) FORTE DÉNIVÉLATION (>2 KM D+) 6 semaines de préparation générale + 5 semaines de préparation spécifique 4 séances par semaine Préambule: Toutes les données que vous
Plus en détailChirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?
HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie
Plus en détailLa Responsabilité Civile De L anesthésiste
La Responsabilité Civile De L anesthésiste Point de vue du médecin conseil de l assurance Saint-Luc, 9 juin 2004 Fondements de la Art 1382 code civil Une faute Un dommage responsabilité Un lien de causalité
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailIncontinence urinaire : trop souvent taboue
Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détail«J ai mal au ventre» :
«J ai mal au ventre» : La douleur abdominale chronique Georges Ghattas, MD Présenté à la Journée d éducation médicale continue de l Université de Montréal, le 10 octobre 2003. Il n existe pas d algorithme
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailLA PERTE DE CONSCIENCE
CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détailPLEINS FEUX SUR LE RC EXAMENS SYSTEMATIQUES ET PREVENTION
PLEINS FEUX SUR LE RC SFMG - 2009 EXAMENS SYSTEMATIQUE ET PREVENTION est le résultat de consultation le plus fréquemment relevé par les médecins généralistes de l OMG. Voir là. Pour mieux vous familiariser
Plus en détailPropositions de l Assurance Maladie sur les charges et produits POUR L ANNÉE 2013
Propositions de l Assurance Maladie sur les charges et produits POUR L ANNÉE 2013 19 JUILLET 2012 Chaque année, l Assurance Maladie présente au Gouvernement et au Parlement ses propositions relatives à
Plus en détailQUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.
QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailTHEME SANTE Problème : Quel diagnostic médical pour Madame X?
THEME SANTE Problème : Quel diagnostic médical pour Madame X? Situation de départ qui va guider toute la progression et donner du sens (ou de l intérêt?!!) aux notions envisagées sur le thème de la santé
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE "VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ"
ICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE "VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ" ICI VOUS ÊTES ICI VOUS ÊTES VOUS ÊTES UNIQUE UNIQUE < L espérance de vie augmente régulièrement. Cela est
Plus en détailDiatélic DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile
DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile Jacques CHANLIAU, François CHARPILLET, Pierre-Yves DURAND, Robert HERVY, Jean-Pierre THOMESSE, Luis VEGA Résumé. DP
Plus en détailDeux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban
Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Améliorations attendues et problèmes M.M. Samama, M-H. Horellou, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F.
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détail