Vaccins et maladies autoimmunes
|
|
- Rodolphe Laurin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Vaccins et maladies autoimmunes Thierry MARTIN Immunologie Clinique Médecine Interne Centre de référence National des Maladies Autoimmunes Rares CNRS UPR 3572
2 Vaccin et autoimmunité Les vaccinations peuvent elles provoquer des maladies autoimmunes? Peut on vacciner les patients atteints de MAI? (efficacité vaccinale et sécurité)
3 Vaccination et Effets Indésirables: post hoc propter hoc! Si à une date donnée, la population générale recevait un placebo au lieu du vaccin contre A(H1N1)V, on observerait Sur 10 6 individus, dans les 6 semaines suivant l injection 21 cas de Guillain Barré 86 cas de névrite optique 6 morts subites inexpliquées Sur 1 x 10 6 de femmes enceintes 397 avortements spontanés dans les 24h avortements spontanés dans les 6 semaines suivant l injection Steven T MARTIN Black, Lancet JMS ,
4 Vaccins et MAI La prévalence des MAI est d environ 5 % en Europe Occidentale et en Amérique du Nord. Leur incidence individuelle tend à augmenter significativement au cours des dernières années : diabète de type I et sclérose en plaques. Certaines MAI se développent préférentiellement dans des groupes d âge qui sont concernés par des programmes de vaccination. Par conséquent, dans le contexte de l augmentation des vaccinations, on peut s attendre àdes coïncidences. Les patients atteints de MAI ont un risque accru d infections (Cervera R et al, Medicine 2003 Wolfe et al, A&R 2002 Steen VD et al, ARD 2007) Les relations vaccination et auto immunité posent néanmoins une deuxième question très pratique, àsavoir: peut on vacciner les patients atteints d une maladie autoimmune? Cette question se pose en terme d efficacité de la vaccination, mais également de sécurité, c est à dire une vaccination peut elle aggraver une maladie auto immune préexistante?
5 Qu est ce que l autoimmunité? L auto immunité est le développement d une réaction immune dirigée contre les antigènes du soi. autoac et /ou des LyT autoréactifs. Cependant, cette réaction n est pas toujours pathologique et n est en fait même pas un événement rare. En effet, tous les sujets sains ont des lymphocytes T et B auto réactifs mais qui restent quiescents (i.e. inactifs) dans des conditions normales.
6 Quelles sont les causes des maladies autoimmunes? Facteurs génétiques: Ex le lupus: 10 à 15% des patients ont un autre membre de leur famille atteint. Concordance chez les jumeaux monozygotes: 40% Facteurs environnementaux: Tabac UV Médicaments Agents infectieux
7 Comment une infection peut elle induire une pathologie autoimmune? Antigène spécifique: «mimétisme moléculaire» ; il existe une similarité moléculaire entre des molécules microbiennes et des antigènes du soi. Ex: les syndromes de Guillain Barré qui apparaissant au décours d une infection, en particulier à Campylobacter jejuni, sont vraisemblablement la conséquence de la production d auto anticorps réagissant de manière croisée avec le LPS bactérien et différents gangliosides présents àdes concentrations élevées dans les nerfs périphériques Activation «collatérale non spécifique»: activation des récepteurs du système inné, démasquage d autoantigène, production de cytokines.
8 Activation «non spécifique» d un Ly B par TLR (récepteur Toll like) : TLR
9 Infection et autoimmunité: le cas des facteurs rhumatoides T Martin et al J Clin Invest 2005
10 Tous les sujets ont ils le même risque de développer une MAI?
11 Tous les sujets ont ils le même risque de développer une MAI? Non. Il existe une prédisposition génétique qui àl heure actuelle ne peut être étudiée en pratique en raison de sa complexité
12 Un vaccin peut il déclencher une MAI? Même si la littérature médicale fourmille d infirmations et d affirmations concernant cette question, une telle association n a pu être démontrée que dans de très rares cas. En , une forme de syndrome de Guillain Barré a été associée à une campagne de vaccination antigrippale aux U.S.A. (risque estimé : 1/100000). Par la suite, l augmentation du risque n a pu être retrouvée de manière significative au cours des autres campagnes. Des thrombopénies auto immunes ont été également décrites au décours des vaccins contre la rougeole rubéole oreillons. La fréquence est estimée à 2,6/100000, cependant il faut garder à l esprit que le risque de thrombopénie au décours d une rubéole naturelle est de 1/3000 et au décours d une rougeole de 1/6000. Les sujets ayant une histoire de PTI n ont pas de risque de récidive.
13 Quid de vaccin HBV et SEP? La possibilité d une association entre la vaccination contre le virus de l hépatite B et le développement d une sclérose en plaques a été soulevée pour la première fois en France au cours d une campagne de vaccination de masse entre 1995 et Ceci a conduit en France àun arrêt temporaire de la vaccination en Par la suite, de nombreuses études et données épidémiologiques n ont pas confirmé ce risque. En particulier, deux grandes études publiées récemment dans le «New England Journal of Medecine»ont montré que la vaccination contre le virus de l hépatite B: n augmente pas le risque de poussée chez les patients atteints de sclérose en plaques ; n est pas associée à une augmentation du risque significatif de développer cette maladie.
14
15 Surveillance postmarketing de la vaccination antigrippale A (H1N1) en Chine (New Engl J Med 2011) Sept 2009 àmars ,6 x 10 6 doses administrées effets secondaires vérifiés (73,1/10 6 doses) 1083 sérieuses: réactions immuno allergiques Tous les cas d anaphylaxies sont survenus le jour même de la vaccination ( en moyenne 10 min [2 90]) 11 cas de Guillain Barré (0,1/10 6 ) = inférieur au taux basal en Chine.
16 Vaccination anti HPV (Cervarix, Gardasil) Etude réalisée par l Afssaps et La Cnamts (cadre PGR) 6 millions de jeunes filles Pas d augmentation du risque de maladie autoimmune après 2 ans de suivi
17
18 Sécurité vaccinale chez patients atteints de MAI Vaccination antigrippale, la mieux étudiée: Pas d influence sur l évolution du lupus, de la polyarthrite rhumatoïde ou de la SEP Risque rénal: Toute vaccination peut induire la formation de complexes immuns circulants qui peuvent se déposer au niveau des glomérules Si anomalie de la clairance de ces complexes et atteinte glomérulaire active (lupus): risque d aggravation de la néphropathie glomérulaire
19 conclusions Complications vaccinales sont très rares en particulier avec vaccins non vivants Le risque de développer une MAI est très faible sinon nul et en tout cas inférieur àcelui au décours de la maladie infectieuse. Respecter les contre indications Mesurer le rapport bénéfice/risque
20 EULAR recommendations for vaccination in adult patients with autoimmune inflammatory rheumatic diseases 2011 Ann Rheum Dis
21 Les indications des vaccins dans la population générale s appliquent en général aux patients atteints de MAI à l exception des vaccins vivants. L efficacité des vaccins en termes de production d anticorps protecteurs a été démontrée par de nombreuses études en particulier pour les vaccins contre la grippe et le pneumocoque Néanmoins aucune étude contrôlée randomisée n a évalué leur efficacité avec des end points cliniques La probabilité qu un vaccin puisse induire une poussée de MAI voire en induire une de novo est vraisemblablement très faible voire nulle et un tel lien de cause àeffet n a jamais été démontré. La plupart des études ont évalué l efficacité vaccinale mais ne sont pas suffisamment puissantes pour évaluer spécifiquement ce risque.
22 Evaluation des recommandations Niveau de preuve Force de recommandation Vote Delphi
23 Evidence categories and strength of recommendations Category Ia Ib II III IV Evidence Meta analysis of randomized controlled trials Randomized controlled trial Prospective controlled intervention study without randomization Decsriptive/analytic study (including case control, cross sectional, case series) Expert committee reports or opinion or clinical experience of respected authorities or both Strength A B C D Based on Category I evidence Category II evidence or extrapolated recommendations from category I evidence Category III evidence or extrapolated recommendations from category I or II evidence Category IV evidence or extrapolated recommendations from category II or III evidence
24 (1) Vérification du statut vaccinal ( ; force de recommandation D; vote 9,5) Tetanos, diphtérie, polio, coqueluche, pneumocoque, rougeole, oreillon, rubéole, méningocoque, grippe, papillomavirus, hépatites A/B, Haemophilus influenzae B (HiB) Rechercher effets secondaires et éventuelles poussées après vaccination
25 Les vaccins doivent être administrés dans la mesure du possible lorsque la maladie est en phase quiescente ( ; D; vote: 8,88) Aucune étude n a comparé l efficacité et les effets secondaires chez des patients avec MAI quiescente ou active La plupart des études de vaccinations ont inclus des patients en phase quiescente Les études qui ont inclus des patients actifs n ont pas détecté d effets II, de poussée ou d efficacité réduite Mais nombres de patients trop faibles pour conclure Risque théorique Louie JS, Ann Intern Med 1978 Ristow SC, Ann Intern Med 1978 Zycinska K, J Physiol Pharmacol 2007
26 Les vaccins vivants doivent être évités dans la mesure du possible chez les patients immunodéprimés (IV; D; 9,25) Le niveau d immunosuppression exposant au risque d infection vaccinale n est pas connu Vaccin ROR sans risque chez enfants 2 ans après greffe de moelle/ vaccin varicelle OK chez enfants VIH avec CD4> 200/mm3. Eviter dans la mesure du possible chez patients sous immunosuppresseur ROR, vaccins VZV (varicelle et Zona) peuvent être des exceptions chez patients MAI modérément immunodéprimés (corticothérapie < 14 j ou < 20 mg/j, MTX < 0,4 mg/kg/sem, Imurel< 3 mg/kg/j) ; àévaluer au cas par cas (ACIP, EULAR 2011).Cf $9.
27 Les vaccins peuvent être administrés en même temps que les immunosuppresseurs classiques et anti TNFα mais avant les thérapies entrainant une déplétion des LyB (anti CD20) ( II; B; 9,13) Risque de réduction d efficacité: le plus souvent sans conséquence clinique Etudié au cours de la PR, du LED, de la SSc et des vascularites ANCA Vaccinations: grippe, tetanos, pneumocoque, HBV, et Haemophilus influenzae b. Sauf pour rituximab!!!: administrer vaccin 4 semaines avant anti CD20 ou au moins 6 mois après dernière cure (et au moins 4 sem avant la suivante). Gelink et al ARD 2007 Oren et al ARD 2009 Bingham et al A&R 2010
28 La vaccination anti grippale (saisonnière et pandémique) est fortement recommandée (II III; B C; 9,0) Patients MAI ont un surrisque de mortalité par infection pulmonaire La vaccination réduit le risque d hospitalisation et de décès de grippe/pneumonie chez patients âgés atteints de connectivite et de vascularite Efficace au cours de PR, LED, vascularite ANCA, SSc même si traitement par DMARD ou anti TNF Effets secondaires = population générale; mais pas d étude suffisamment puissante Pas d étude avec virus H1N1 au cours de MAI Méta analyse: pas d augmentation du risque de MAI avec vaccin + MF 59 (Pellegrini et al Vaccine 2009)
29 La vaccination anti pneumococcique est fortement recommandée (Ib III; B C; 8,19) Patients MAI ont un surrisque de mortalité par infection pulmonaire Pneumocoque est un des principaux pathogènes impliqués Vaccination entraine une réponse adéquate ou légèrement réduite chez patients PR, LED, rhumatisme pso., SA, et SSc qu ils soient ou non sous immunosuppresseur y compris MTX + anti TNF Vaccination semble sans risque. Protocole: Prevenar + Pneumo23 (> 8 sem)
30 Les recommandations concernant la vaccination anti tétanique sont les mêmes que pour la population générale (II; B D; 9,19) Réponse bien étudiée au cours du LED et de la PR à population normale Vrai également pour patient traité par RTX après S24 (Bingham et al, A&R 2010) En cas de blessure potentiellement contaminante chez un patient sous rituximab (dernière cure < 24 sem), administrer des Ig spécifiques.
31 La vaccination contre herpes zoster (zostavax ) peut être envisagée Vaccin vivant atténué Les patients atteints de PR, LED, vascularites ANCA+, DM/PM ont un risque plus élevé de zona Ce risque augmente encore avec les traitements immunosuppresseurs en particulier avec cyclophosphamide, azathioprine et leflunomide mais peut être pas avec le MTX (Salliot et al ARD 2008) La vaccination réduit le risque de zona et de douleurs post zosteriennes chez les sujets de plus de 60 ans. Pas évalué au cours des MAI. Administrer si immunosuppression modérée: corticothérapie < 20 mg/j, MTX < 0,4 mg/kg/sem, Imurel< 3 mg/kg/j) ; à évaluer au cas par cas (avis d expert, non évalué ACIP, EULAR 2011) Il est recommandé de ne l administrer que chez les patients seropositifs pour VZV afin d éviter une primo infection varicellienne (expert opinion)
32 La vaccination anti papillomavirus peut être envisagée dans un groupe particulier (III; C D; 8,4) Tam et al A&R 2004 Nath et al A&R 2007
33 Chez les patients hypo/aspléniques les vaccinations anti grippale, pneumococcique, Haemophilus influenzae, méningococcique c sont fortement recommandées (IV; D; 9,5)
34 Les vaccinations contre les hépatites A et B ne sont recommandées que chez les patients àrisque (II III; B D; 9,13) L incidence des hépatites A et B n a pas été étudiées au cours des MAI Des réactivations HBV ont été rapportées chez patients MAI sous immunosuppresseurs (dont anti TNF): mécanisme? Vaccination effectuée en l absence d Ac protecteurs
35 Les recommandations pour les voyages sont les mêmes que dans la population générale avec la réserve des vaccins vivants (pas de niveau de preuve; D; 9,25) Pas de donnée sur le risque de contracter des infections liées aux voyages pour les patients MAI Vaccin polio oral, typhoïde oral, fièvre jaune: recommandations pour vaccins vivants atténuées Vaccination anticipée?
36 Le BCG n est pas recommandé (III; C D; 9,38) L incidence de la TB est augmentée chez patients en particulier sous corticoïdes ou immunosuppresseurs La plupart des cas de TB chez les patients atteints de MAI sont des réactivations de TB latente L efficacité du BCG chez l adulte n est pas clairement démontrée Risque de BCG ite si immunosuppression
37 Consultation: conseils pour l administration de vaccins aux patients atteints de maladies autoimmunes ou de déficits immunitaires Population adulte Policlinique de médecine au NHC Bât B RDC RV: Pas d administration de vaccin
38
Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis
Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailVACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailL assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013
1 L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices Édition 2013 L assurance maternité Sommaire Les prestations maternité 3 Cas particuliers 8 Le congé paternité 11
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailTRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE
TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE RÉVOLUTION DES PRINCIPES DE TRAITEMENT Mise à disposition de nouvelles molécules Traitements de fond classiques ( Méthotrexate, Salazopyrine ) : plus efficaces
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailVaccins et chimiothérapies chez l adulte
Vaccins et chimiothérapies chez l adulte 1 1 Coordination Pr Odile LAUNAY (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris), Dr Pierre LOULERGUE (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris) Membres du groupe de travail
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailRisque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques
Risque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques Dr Jérôme CONNAULT Service de Médecine Interne et Vasculaire CHU Nantes Société Algérienne de Médecine Interne
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailSYNDICAT NATIONAL DE L ENSEIGNEMENT PRIVE
SYNEP Le «+ santé» Le «+ santé» est une mutuelle santé réservée aux adhérents de la CFECGC, à des conditions préférentielles négociées par la CFECGC en décembre 2007. Le «+ santé», mis à disposition des
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détail1289($8;75$,7(0(176 '(69$6&8/$5,7(6
1289($8;75$,7(0(176 '(69$6&8/$5,7(6 M De Bandt. La découverte de la présence des ANCA, au cours de certaines formes de vascularites systémiques a il y a une quinzaine d année, a provoqué de nombreux travaux
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailInterprétation et signification d un test IGRA en pratique quotidienne
La lutte antituberculeuse en 2013 Institut Pasteur Paris 19 Mars 2013 Interprétation et signification d un test IGRA en pratique quotidienne Dr Emmanuel Bergot Service de Pneumologie, CHU Côte de Nacre
Plus en détailTests au Gamma Interferon et Tuberculose
Tests au Gamma Interferon et Tuberculose Jean Pierre Zellweger Propriétés des tests Gamma Interferon (IGRAs= Interferon Gamma Release Assays) Dépistent la présence de lymphocytes T sensibilisés àdeux antigènes
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009
PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailRougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche
Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Comment protéger vos enfants? La seule protection efficace : la vaccination R.O.R COQUELUCHE ANNUAIRE Livret élaboré en partenariat avec : Conseil Général du Loir-et-Cher
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailGROSSESSE et lupus/sapl
GROSSESSE et lupus/sapl Nathalie Costedoat-Chalumeau Centre de référence maladies autoimmunes et systémiques rares Service Médecine Interne Hôpital Cochin Paris Rappels et définitions Critères cliniques
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailPROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014
PROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014 Mois Année Chapitre Section Sujets : changements - nouveautés Pages à changer Avril 2014 Table des matières Correction
Plus en détailÉquivalence et Non-infériorité
Équivalence et Non-infériorité Éléments d Introduction Lionel RIOU FRANÇA INSERM U669 Mars 2009 Essais cliniques de supériorité Exemple d Introduction Données tirées de Brinkhaus B et al. Arch Intern Med.
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 24 MARS 2009
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Des immunosuppresseurs
Plus en détailLes rhumatismes inflammatoires. Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante
Les rhumatismes inflammatoires Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante Arthrite Rhumatoïde (RA) Voorstelling van de ziekte Arthrite Rhumatoïde Inflammation chronique des
Plus en détailCas clinique. M. H, né le 27.11.1971 BSH. 50 UPA (1 ½ paquet/j depuis 33 ans) Remerciements: Dre P Roux Lombard et Dr Janssens
M. H, né le 27.11.1971 Cas clinique DParrat D.Parrat CDC superviseur M.Varcher HUG SMPR Mai 2014 Remerciements: Dre P Roux Lombard et Dr Janssens BSH BSH 50 UPA (1 ½ paquet/j depuis 33 ans) BSH 50 UPA
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailPARTAGER NOTRE PASSION. Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins
PARTAGER NOTRE PASSION Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins PARTAGER NOTRE PASSION LIVRET DE PRÉSENTATION DE LA VACCINATION ET DE NOS VACCINS Ces hommes qui ont fait l histoire de
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailTout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans. Mikalou se fait vacciner
Tout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans Mikalou se fait vacciner Récit Mikalou n a peur de rien Dans le jardin, Mikalou s assoit sur la balançoire. Il n est pas une poule mouillée, et pourtant, il
Plus en détailTUBERCULOSE Nouveautés 2009
TUBERCULOSE Nouveautés 2009 Dr Grégoire Gex Rencontres Genevoises de Pneumologie Avril 2010 Introduction 6044 articles dans PubMed avec Tuberculose dans titre en 2009 Stratégie de recherche : Sélections
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2012 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 293 Vaccinations pour les personnels de santé INTRODUCTION La vaccination des personnels de santé a
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailVaccinations et milieu professionnel
La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détail