Les prises en charge croisées du VIH et de la tuberculose au Cameroun et au Sénégal : processus historiques et contraintes

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1 Les prises en charge croisées du VIH et de la tuberculose au Cameroun et au Sénégal : processus historiques et contraintes sociales Laurent Vidal (1) & Christopher Kuaban (2) pour le projet ANRS (1) IRD UMR 912, Fondation Paul Ango Ela, Yaoundé, Cameroun (2) Faculté de Médecine, Université Yaoundé 1, Cameroun CISSIDA 08 Abidjan, 6-9 octobre 2008

2 Contexte et objectif Contexte international incitant fortement les programmes de lutte contre le VIH et la tuberculose à se rapprocher Cette recherche en sciences sociales (anthropologie, histoire, économie) analyse les prises en charge de la coinfection telles qu elles sont: imaginées et mises en œuvre au niveau institutionnel réalisées par les professionnels de santé vécues par les patients Dans deux pays aux contextes historiques, épidémiologiques et aux politiques de santé relativement différents

3 3 axes d analyse les institutions : les processus de construction des luttes contre la tuberculose et le VIH, et les conditions actuelles de mise en place de dispositifs conjoints au niveaux central et périphérique des administrations de la santé ; les professionnels : les parcours et pratiques des professionnels impliqués dans la prise en charge de la tuberculose et du VIH ; les malades : les reformulations du vécu des maladies et des mobilisations collectives des malades co-infectés.

4 Méthodologie analyses d archives, de mémoires, de thèses, de documents de programmes entretiens avec les décideurs de la santé, les professionnels et les patients participation aux réunions des responsables de programmes et aux séminaires de formation Monographies d associations (PVVIH ou sida) menant des activités sur la TB Dans chacun des pays, les enquêtes sont menées dans quatre provinces ou régions (dans chacune : un hôpital et une structure périphérique) Le tout dans une perspective comparative (Cameroun/Sénégal) et interdisciplinaire (anthropologie, histoire, économie) Projet débuté en juillet 2007 (fin en 2010) : donc les résultats sont provisoires

5 Résultats (1) «Institutions» Les luttes contre le VIH et la TB héritent des traitements passés de l indigence, de la prostitution et de la lèpre A l indépendance, la TB apparaît comme une maladie de la «modernité» dont la lutte bénéfice de la découverte des antibiotiques : ce sera la base de la construction d une industrie pharmaceutique les effets du développement de cette industrie sur l accès aux soins ne sont que tardivement pensés à l échelle internationale (politique de médicaments essentiels de l OMS puis montée des revendications en temps de sida) Ne pas oublier que les luttes contre la TB et contre le VIH répondent depuis le début à des problématiques différentes (prévention, pec ) et révèlent des implications internationales différentes

6 Résultats (2) «Institutions» Aujourd hui, la verticalité des programmes crée en périphérie un contournement du dispositif théorique prévu par le ministère de la santé (exemple : tuberculose au Cameroun) les programmes sida et tuberculose n ont ni les mêmes tutelles, ni les mêmes envergures financières : ce sont autant d obstacles à leur rapprochement Intégration plus avancée localement qu institutionnellement : certains vont jusqu à affirmer que la première est plus importante, voire indépendante, de la seconde

7 Résultats (3) «Institutions» Mais cela ne signifie pas une «mauvaise» prise en charge dans les structures, car programmes et structures de prise en charge ne fonctionnent pas selon les mêmes registres Au Cameroun : lutte contre la TB plus récente qu au Sénégal et moins de passerelles entre programmes, mais les structures de pec de la TB et du VIH sont intégrées dans ce pays, pas au Sénégal Au Cameroun, de 1996 à 2005, la contribution de l administration publique au budget de la santé a fortement augmenté (15,7% à 27,6%), de même que celle des ressources externes (de 2,3% à 5,8%) alors que la part des dépenses privées s est infléchie (82% à 66,7%)

8 Résultats (4) «Professionnels» Apparition de nouvelles fonctions (médiateurs) Modification du périmètre d autres fonctions : assistants sociaux et pharmaciens sont dans une valorisation de leur métier alors que les infirmiers se sentent dépossédés de gestes qu ils effectuaient ou de fonctions qu ils estiment devoir remplir Mises sous traitement faites soit par un médecin prescripteur (Sénégal) soit suite à un comité thérapeutique (Cameroun)

9 Résultats (5) «Professionnels» Plus grande attention à la gestion du risque de transmission de la TB que du VIH par les personnels de santé Se confirme une «spécialisation empirique» (formation continue, «sur le tas», échanges entre professionnels ) versus diplômante Les conseils VIH sont plus structurés et systématiques que ceux de la TB

10 Résultats (6) «patients» Des associations de PVVIH et sida mènent des actions sur la TB au Cameroun (c est embryonnaire au Sénégal) C est l occasion de rappeler que les associations de C est l occasion de rappeler que les associations de PVVIH diversifient leurs actions (expertise, contributions, professionnalisation) et ne se cantonnent plus seulement dans les «témoignages»

11 Conclusion Les acteurs des luttes contre la tuberculose et le sida (nationaux, internationaux, bilatéraux, société civile) manifestent une réelle attente pour ces questions de recherche, rarement traitées par les sciences sociales. Leurs réponses à ce défi sont un test de la capacité du système de santé et de la société à prendre en compte une association de pathologies curable (TB) et incurable (VIH) porteuses de craintes variées mais, dont la prise en charge de l une doit permettre d aider celle de l autre (observance, décentralisation, )

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