L EMPLOI DU SECTEUR PRIVÉ DANS LES RÉGIONS EN 2013

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L EMPLOI DU SECTEUR PRIVÉ DANS LES RÉGIONS EN 2013"

Transcription

1 128 JUIN 2011 En 2013, l emploi du secteur concurrentiel se contracte de 0,6 % après la stabilité observée en Il atteint 17,8 millions de salariés. La masse salariale augmente de 1,2 %, un rythme en deçà de ceux connus en 2011 (+ 3,6 %) et 2012 (+ 2,1 %). Le salaire moyen par tête progresse de 1,8 %, contre 2,2 % l an dernier. La plupart des régions perdent des effectifs salariés en Seuls trois Dom, la Corse et Midi- Pyrénées enregistrent des créations nettes d emploi. L Ile-de- France et la Martinique ont un niveau d emploi stable par rapport à l an passé. Dans les autres régions, l emploi se contracte à des rythmes compris entre - % et - 2,1 %, les baisses les plus prononcées étant observées dans la moitié nord. L EMPLOI DU SECTEUR PRIVÉ DANS LES RÉGIONS EN 2013 En 2013, les entreprises du secteur concurrentiel emploient 17,8 millions de salariés en moyenne annuelle, soit 0,6 % de moins qu en 2012 ( postes), après une stabilité l an passé. En 2013, la plupart des régions perdent des effectifs. A l exception des Pays de la Loire et de l Ilede-France, les régions de la moitié nord enregistrent des baisses de 1 % ou plus. A contrario, les régions de la moitié sud, hormis le Limousin, connaissent des baisses plus mesurées, voire des créations nettes d emploi s agissant de la Corse (+ %) et Midi-Pyrénées (+ %). En 2013, l emploi est stable en Ile-de-France, comme en Martinique (carte 1, tableau 1). Les trois autres Dom enregistrent quant à eux des hausses d emploi comprises entre % et 3,1 %. Carte 1 : Evolution de l emploi entre 2012 et 2013 (en %) Nord-Pas-de-Calais Le salaire moyen par tête (SMPT) croît de 1,8 % en 2013, pour atteindre en moyenne (tableau 1). Cette progression est relativement homogène au sein du territoire. Les évolutions sont en effet comprises entre + 1,8 % et + 2,2 % pour les trois quarts des régions, les plus faibles hausses étant enregistrées en Guadeloupe et en Ile-de-France (+ 1,4 %) et la plus forte en Midi-Pyrénées (+ 2,4 %). Au total, la masse salariale progresse de 1,2 % en 2013 (après + 2,1 % en 2012) avec des disparités régionales proches de celles constatées sur l évolution de l emploi. Ainsi, la Franche-Comté connaît les plus fortes baisses d emploi et de masse salariale en 2012 (respectivement de - 2,1 % et - %). A contrario, la Corse, les Dom hors Martinique L action sociale, les activités informatiques et les arts et spectacles figurent parmi les secteurs moteurs de la plupart des régions. A l inverse, l intérim, l industrie et la construction tirent globalement les évolutions régionales à la baisse. Bretagne - Basse-Normandie Pays de la Loire - Haute-Normandie Centre - Picardie -2,0 Ile-de-France -0,0 Champagne-Ardenne -1,9 Bourgogne Lorraine -1,9 Franche-Comté -2,1 Alsace -1,1 Guyane 3,1 Cette publication inclut un éclairage présentant une classification des régions métropolitaines selon leur structure sectorielle d emploi et leurs évolutions d emploi récentes. Huit classes sont retenues à l issue de cette classification. Parmi elles, trois sont constituées d une seule région : l Ile-de-France, le Languedoc-Roussillon et la Corse. Les cinq autres classes regroupent entre 2 et 6 régions. France Poitou-Charentes Aqutaine - Limousin Auvergne - Rhône-Alpes Midi-Pyrénées Provence-Alpes-Côte d'azur Languedoc-Roussillon - - Corse Guadeloupe Martinique 0,0 Réunion Source : Acoss Urssaf ACOSS - Direction des Statistiques, des Etudes et de la Prévision

2 2 et Midi-Pyrénées présentent des hausses comprises entre + 2,0 % et + 5,3 %. Des évolutions sectorielles contrastées selon les régions En 2013, l évolution des effectifs du secteur privé est marquée par la forte baisse de l emploi dans le secteur de l intérim : - 5,6 % (soit postes en moins), après une baisse de 7,0 % en 2012 (Acoss Stat n 193). Exceptées la Guadeloupe et la Martinique, qui sont encore créatrices d emploi dans ce secteur, les autres régions connaissent des évolutions négatives, comprises entre - 11,8 % (Franche-Comté) et - 0,9 % (Réunion), les baisses les plus prononcées étant observées dans les régions industrielles du nord-est (cartes 2). L industrie continue de perdre des effectifs en 2013 (- 1,3 % après - % en 2012, soit postes). Le contexte se dégrade dans la plupart des régions, avec des évolutions comprises entre - 3,5 % (Lorraine) et - % (Martinique). En revanche, les Dom hors Martinique, la Corse, et Midi-Pyrénées observent une Tableau 1 : Evolution de la masse salariale, de l emploi et du SMPT par région RÉGIONS Masse salariale Effectifs moyens SMPT moyen Montant 2013 progression de l emploi industriel comprise entre + % et + 3,8 %. La région Provence-Alpes-Côte d'azur se stabilise (+ 0,0 %) en L emploi dans le secteur de la construction se contracte de 1,9 %, après une baisse de 0,9 % en La plupart des régions sont concernées, avec des évolutions comprises entre - 5,5 % (Réunion) et - % (Rhône- Alpes). La Guyane, la Guadeloupe et l Ile-de-France sont créatrices d emploi en 2013 dans ce secteur (respectivement de + 4,2 %, + 3,0 % et + 1,2 %). L emploi dans le tertiaire hors intérim se stabilise et atteint 12,6 millions de salariés en La plupart des régions du nord, le Limousin et Poitou-Charentes enregistrent des baisses d emploi comprises entre - 0,9 % (Picardie) et - % (Nord-Pas-de-Calais et Alsace). A l inverse, les régions du sud, l Ile-de- France, les Pays de la Loire et les Dom sont relativement bien orientés dans ce secteur, avec des hausses d emploi comprises entre + % à + 3,1 %. Evol. 2013/2012 Niveau 2013 Evolution 2013/ 2012 Niveau 2013 Trois Dom, la Corse et Midi-Pyrénées dynamiques, la Martinique et l Ile de- France stables en 2013 En 2013, seules la Guyane, la Guadeloupe, la Corse, Midi-Pyrénées et la Réunion gagnent des effectifs salariés. Leur emploi progresse à des rythmes compris entre + % et + 3,1 %. En Martinique et en Ilede-France, les effectifs salariés sont stables par rapport à l an passé. L emploi est le plus dynamique en Guyane : il y progresse de 3,1 % en C est également dans cette région que la construction (+ 4,2 %), l action sociale (+ 4,3 %) et le commerce (+ 1,6 %) observent les plus fortes créations d emplois. La plupart des autres secteurs sont également bien orientés, notamment l hôtellerierestauration (+ 5,9 %), les activités juridiques, de conseil et d ingénierie (+ 4,0 %), les activités financières (+ 3,0 %) ainsi que les activités de santé (+ 1,7 %). Seuls les secteurs du transport-entreposage (- %), de l intérim (- %), des télécommunications (- 4,1 %) et quelques activités industrielles sont en recul cette année. Evol. 2013/2012 Industrie Structure de l emploi par secteurs (en 2013) BTP Tertiaire hors intérim en Md en % en % en milliers en % en niveau en % en en % en % en % en % en % Alsace 14,8 2,9 0,9 536,1 3, , ,9 23,8 8,1 64,3 3,7 Aquitaine 21,1 4,1 1,8 809,4 4, ,9 16,8 9,2 7 3,3 Auvergne 8,1 1,6 1,6 316,2 1, ,1 25,7 9,2 62,3 2,8 Basse-Normandie 8,7 1,7 35 2, ,9 23,1 9,6 63,6 3,7 Bourgogne 10,2 2,0 40 2, ,8 23,2 8,4 64,5 3,9 Bretagne 19,7 3,8 779,4 4, ,8 2 9,3 66,0 4,0 Centre 16,4 3,2 0,8 627,1 3, ,8 23,9 9,2 62,3 4,5 Champagne-Ardenne 7,9 1,5 311,7 1, , ,8 24,9 8,7 62,6 3,7 Corse 1,8 2,8 75, ,0 8,3 15,3 76,0 Franche-Comté 7,1 1,4-279,5 1, , ,8 3 7,7 57,1 4,2 Guadeloupe 2,0 2,2 72, ,4 13,6 8,5 75,2 2,7 Guyane 0,9 0,2 5,3 29,6 0, , ,2 15,2 12,9 66,9 5,0 Haute-Normandie 12,9 2,5 0,6 465,7 2, ,1 24,9 9,1 61,6 4,4 Ile-de-France 168,8 32,5 1, ,2 25, , ,4 1 6,2 81,4 2,2 Languedoc-Roussillon 13,8 2,7 0,9 566,3 3, ,6 11,5 9,4 76,6 2,5 Limousin 3,9 0,8 0,6 159,4 0, ,7 21,5 9,1 66,2 3,1 Lorraine 13,7 2,6-531,1 3, , ,9 22,8 8,5 65,0 3,6 Martinique 2,0 1,5 72,3 0 0, ,5 17,0 7,5 72,5 3,0 Midi-Pyrénées 2 4,0 2,7 753,6 4, ,4 19,1 8,6 69,0 3,3 Nord-Pas-de-Calais 26,6 5, ,2 5, ,7 20,0 8,1 68,4 3,4 Pays de la Loire 26,0 5,0 1,5 997,1 5, ,8 24,0 9,4 62,5 4,1 Picardie 10,6 2,0-411,9 2, , ,9 25,3 8,3 62,1 4,3 Poitou-Charentes 1 1,9 1,3 406,6 2, ,9 21,4 9,4 65,5 3,7 Provence-Alpes-Côte d'azur 35,0 6,8 1, ,0 7, ,9 11,9 8,4 77,0 2,8 Rhône-Alpes 52,5 1 1, ,8 21,8 8,5 66,1 3,7 Réunion 3,6 2,0 138,6 0, ,9 13,9 1 73,8 2,2 France 519,7 100,0 1, ,6 0, ,8 17,9 8,2 70,8 3,2 dont Métropole 51 98,4 1, ,8 0, ,8 17,9 8,2 70,8 3,2 Intérim Source : Acoss -Urssaf

3 3 Cartes 2 : Evolution de l emploi entre 2012 et 2013 par secteurs d activité en % (en niveau) Industrie -2,4 (-5 000) Construction -3,5 (-3 000) (-2 000) -1,3 ( ) -2,8 (-2 300) - (-1 600) (- 500) (- 800) -1,7 (-2 000) (-2 200) -2,7 (-2 900) -3,1-1,1 (-2 500) (-5 000) -2,0 (-1 900) -3,5 (-4 300) -2,6 (-2 300) - (- 400) (- 600) -1,1 (-4 500) -2,0 (-2 600) 3,8 ( 200) 2,0 ( 200) - 1,5 ( 300) -2,4 (-1 800) -1,9 ( ) -3,8 (-1 300) -2,2 (-2 100) -2,2 (- 900) -1,9-3,5-3,2 (-1 900) -4,1-4,0 1,2 (-1 100) (3 200) -3,7 (-1 300) -3,0 (-1 400) -3,2 (- 700) -3,7-2,2 (- 600) (- 600) - (-1 100) (- 500) 4,2 ( 200) 3,0 ( 200) -1,3 (- 100) -5,5 (- 800) (1 000) - (- 700) 0,0 0,8 ( 100) -3,0 (-2 000) -3,8 (-2 100) -2,9 (-3 200) -0,9 (- 100) Intérim Tertiaire hors intérim -9,5 (-3 600) - (-1 000) -5,7 (-1 900) -5,6 ( ) -4,3 (- 600) -6,0 (-2 600) -3,0 (- 500) (- 400) -7,9 (-1 700) -2,7 (- 800) -9,1 (-1 800) -4,5 (-4 700) -7,0 (- 900) -5,8 (-1 000) -8,2 (-1 700) -11,8 (-1 600) -4,8-6,9 (- 300) (- 600) -4,2 (-2 900) -10,9 (-2 400) - 5,8 ( 100) 3,1 ( 100) -0,9 - (-2 400) 0,0 (4 400) - (-1 000) (3 300) - (- 800) (2 000) (-1 600) - (-1 700) -0,9 (-2 200) (-1 600) (5 500) (-2 700) (-1 300) (- 600) ( 300) (4 700) - (- 200) 3,1 ( 600) ( 100) ( 700) -4,3 (-1 100) -9,4-3,9 (-1 400) -6,9 0,8 (4 000) ( 300) ( 500) 1,1 ( 600) Commerce Santé Action sociale -1,8 0,6 0,6-1,3 - -1,3-1,6 1,6-1,1-1,6 0,8 1,7 3,8 0,8 1,7 3, ,2 1,2 2,6 0,2 1,2 2,6 - -0,9-1,3 0,9 1,3 0,9 Source : Acoss Urssaf

4 4 En Guadeloupe, l emploi progresse de %. La santé humaine (+ 3,8 %) et les activités immobilières (+ 7,0 %) y sont les plus dynamiques, et l évolution régionale profite également de la bonne tenue de l emploi dans l intérim (+ 5,8 %), la métallurgie (+ 4,4 %), les industries agroalimentaires (+ 4,1 %), la construction (+ 3,0 %) et l action sociale (+ 2,0 %). Certains secteurs perdent toutefois des postes, notamment les autres activités de services (- 3,9 %), les activités financières et d assurance (- 2,0 %) ainsi que l hébergement-restauration (- 1,3 %). L emploi est stable dans le transport-entreposage. La croissance de l emploi atteint % en Corse, largement soutenue par l hébergement-restauration (+ 3,8 %) qui représente près d un emploi sur sept dans la région. Les arts et spectacles (+ 4,8 %), l action sociale (+ 2,5 %), les autres activités de service (+ 2,4 %) participent également au dynamisme régional. L industrie et la santé y sont créatrices d emploi, à un rythme plus modéré (respectivement + 0,8 % et + %). La construction se contracte (- 0,9 %), et le secteur intérimaire subit des pertes plus prononcées (- 6,9 %). En Midi-Pyrénées, les effectifs salariés augmentent de %. Cette région est celle où l industrie crée le plus d emploi : créations nettes en 2013 (+ %), principalement portées par le secteur de la fabrication de matériels de transport (+ 5,1 %), dans une moindre mesure par l industrie chimique (+ 2,8 %) et les fabrications de machines et équipement (+ 1,6 %) et d équipement électriques (+ 1,5 %). Dans le tertiaire, les arts et spectacles (+ 5,2 %), les activités informatiques (+ 4,6 %) et les activités juridiques, de conseil et d ingénierie (+ 2,6 %) sont les plus dynamiques. La région pâtit toutefois des baisses dans l intérim (- 4,3 %), la construction (- 3,0 %) et le commerce (- 0,9 %). La Réunion est légèrement créatrice d emploi (+ %), notamment grâce aux secteurs relativement indépendants du cycle conjoncturel, comme l éducation (+ 3,5 %), l action sociale (+ 2,8 %) et la santé (+ 2,6 %). Elle profite également des créations de postes dans les activités financières et d assurance (+ 2,3 %) et les activités juridiques, de conseil et d ingénierie (+ 1,8 %). Elle figure parmi les régions pour lesquelles les activités immobilières (+ 2,2 %) et les télécommunications (+ %) progressent le plus. Néanmoins, elle subit des pertes importantes dans d autres secteurs, notamment les arts et spectacles (- 6,2 %) et la construction (- 5,5 %). En Martinique, l emploi est stable. L hébergement-restauration (- 1,8 %), la construction (- 1,3 %), le commerce (- 1,5 %) et l industrie (- %) sont en repli, et totalisent une perte de 400 postes. Celle-ci est compensée par la bonne tenue de l emploi dans les arts et spectacles (+ 5,7 %), l éducation (+ 4,3 %), les autres activités de service (+ 3,2 %), l intérim (+ 3,1 %) et les activités juridiques, de conseil et d ingénierie (+ 3,0 %). C est en Martinique que le transport-entreposage est le plus dynamique (+ 1,5 %). L emploi est également stable en Ile de- France. L intérim observe la plus forte baisse : le nombre d emplois intérimaires se contracte de 4,5 %. Dans l industrie (- 1,1 %), la plupart des branches se contractent. Toutefois, la production d électricité (+ 2,5 %) et les industries agroalimentaires (+ 1,5 %) sont bien orientées. L Ile-de-France est l une des seules régions où la construction est créatrice d emploi (+ 1,2 %). Le tertiaire (+ %) subit des pertes marquées dans les télécommunications (- 3,5 %), les autres activités de service (- 1,7 %) et les activités immobilières (- 1,5 %), mais profite du dynamisme de l emploi dans les arts et spectacles (+ 1,4 %), les activités de santé (+ %), l hébergement-restauration (+ 0,8 %) ainsi que les activités juridiques, de conseil et d ingénierie (+ 0,6 %). La plupart des régions de la moitié sud et les Pays de la Loire enregistrent des pertes d emplois modérées La plupart des régions de la moitié sud, ainsi que les Pays de la Loire perdent des emplois à un rythme modéré, compris entre - % et - %. Certaines d entre elles enregistraient des hausses d emploi en En Aquitaine, l emploi baisse de % après + % en Le tertiaire hors intérim enregistre une hausse de %, grâce aux créations d emploi dans les activités informatiques (+ 3,6 %), l édition et audiovisuel (+ 2,6 %), l action sociale (+ 2,6 %) et les activités juridiques (+ 1,4 %). A l inverse, la région perd 1,9 % de ses emplois dans la construction et 1,4 % de ses emplois intérimaires, qui totalisent une baisse de près de salariés. Dans l industrie, l emploi se dégrade de 0,6 %, les secteurs les moins bien orientés sont l industrie extractive (- 4,7 %), le bois et papier (- 3,3 %) et l industrie agroalimentaires (- 1,5 %). En Rhône-Alpes, l emploi diminue de 0,2 % après une hausse de % en Les baisses dans la construction (- %), l industrie (- 1,1 %) et l intérim (- 4,2 %) totalisent une perte nette de postes. Toutefois, certaines branches industrielles sont créatrices d emplois, comme la production d énergie (+ 2,5 %), la production d eau (+ 1,5 %) et l industrie chimique (+ 1,4 %). Le tertiaire hors intérim progresse de % (soit un gain net de salariés). Les secteurs les plus dynamiques sont les activités informatiques (+ 2,9 %), les arts et spectacles (+ 2,2 %), l action sociale (+ 1,7 %), la restauration (+ 1,6 %) et les activités juridiques (+ 1,4 %). Les régions Pays de la Loire et Provence-Alpes Côte d Azur perdent toutes deux % de leurs effectifs salariés après voir enregistré des hausses en 2012 (respectivement + % et + %). Ces deux régions subissent notamment des pertes dans le secteur intérimaire : l emploi y recule de respectivement 6,0 % et 3,9 %. La construction est également destructrice d emplois (- 2,2 % et - 2,9 %). L emploi industriel se contracte de % dans les Pays de la Loire, notamment dans les industries du bois et papier (- 4,2 %), du meuble (- 2,0 %) et des plastiques (- 1,5 %). L emploi industriel se stabilise en PACA (+ 0,0 %) : la fabrication de matériels de transport augmente de 6,7 %, soit créations nettes d emploi, qui compensent les pertes d emplois observées dans la plupart des autres branches industrielles. A l inverse, l emploi du tertiaire hors intérim augmente respectivement de + % et + % dans ces deux régions. Les Pays de la Loire sont la région où le secteur de la recherche et développement enregistre la plus forte hausse (+ 9,6 %). Les activités informatiques sont dynamiques dans les deux régions (respectivement + 4,6 % et + 5,3 %). En Auvergne, l emploi recule de % en Les baisses dans l industrie (- %), la construction (- 2,2 %) et l intérim (- 6,9 %) totalisent une perte nette de postes. Toutefois, certaines branches industrielles sont créatrices d emplois, comme la production et distribution d énergie (+ 3,3 %) et d eau (+ 3,3 %). Le tertiaire (hors intérim) progresse légèrement de %. Les secteurs les plus dynamiques sont les arts et spectacles (+ 4,4 %), les activités informatiques (+ 4,4 %) et l action sociale (+ 2,6 %). En revanche, l emploi se

5 5 contracte dans les activités immobilières (- 3,3 %), les télécommunications (- 3,2 %), les activités financières et d'assurance (- 1,4 %) et le commerce (- %). Dans la région Poitou-Charentes, l emploi diminue de 0,6 % (soit emplois nets) après une baisse de % en La plupart des branches industrielles sont en repli (- 0,6 %). La construction et l intérim y sont également mal orientés : leur emploi se tasse respectivement de 2,2 % et 3,0 %. Dans le tertiaire hors intérim (- %), l emploi est notamment tiré à la baisse par les activités immobilières (- 6,3 %), l hébergement et restauration (- 0,8 %) et le commerce (- %). A contrario, certains secteurs observent des hausses, comme les activités informatiques (+ 7,0 %), qui enregistrent la plus forte augmentation parmi les régions métropolitaines, ainsi que l action sociale (+ 0,9 %). L emploi baisse de % dans le Languedoc-Roussillon (soit postes nets). L industrie, la construction et l intérim se dégradent, respectivement de %, 3,8 % et 9,4 %. La plupart des secteurs industriels sont en repli. Toutefois, l emploi progresse dans la fabrication de machines et équipements (+ 3,5 %), l industrie chimique (+ 1,5 %) et l industrie du meuble (+ 1,4 %). L emploi du tertiaire observe quand à lui une légère hausse de %, en raison du dynamisme de certains secteurs : les activités informatiques (+ 2,7 %), l action sociale (+ 1,9 %), la recherche et développement (+ 1,5 %), l éducation (+ 1,4 %) et la santé (+ 0,9 %). Les régions de la moitié nord (hors Pays de la Loire et Ile-de-France) et le Limousin sont celles où l emploi diminue le plus Dans la plupart des régions de la moitié nord et dans le Limousin, l emploi continue de décroître en 2013 à des rythmes compris entre - % et - 2,1 %. Dans les régions Bretagne et Centre, l emploi se contracte de % en 2013 (soit respectivement et effectifs en moins). Dans ces régions, les activités informatiques (+ 2,4 % et + 1,7 %), l action sociale (+ 1,6 % et + 1,2 %) et les activités de la santé (+ % et + 0,8 %) sont les secteurs les plus créateurs d emplois. Néanmoins, la plupart des secteurs sont en repli. L emploi régional est notamment tiré à la baisse par l intérim (- 5,7 % et - 2,7 %), la construction (- 2,4 % et - 3,2 %), le commerce (- 0,8 % et - 1,1 %) et l hébergement-restauration (- 1,9 % et - 2,0 %). L emploi en Alsace diminue de 1,1 %, soit postes en moins. L emploi industriel s y contracte de 2,0 %. Cette région figure parmi celles dont l emploi diminue le plus concernant l intérim (- 10,9 % après - 8,1 % en 2012), la fabrication de matériels de transport (- 5,3 %) et la métallurgie (- 4,3 %). Les effectifs du tertiaire hors intérim baissent légèrement (- %), soutenus notamment par la bonne tenue des secteurs arts, spectacles et activités récréatives (+ 2,5 %), santé (+ 1,6 %) et action sociale (+ 1,5 %). En revanche, l hébergement, le transport-entreposage et le commerce sont en recul (respectivement de - 1,7 %, - 0,8 % et - %). Dans le Limousin et le Nord-Pas-de- Calais, l emploi recule de 1,2 % (soit des pertes nettes respectives de et salariés). Dans le Limousin, la plupart des secteurs enregistrent des baisses, notamment dans les secteurs de l intérim (- 4,8 %), la construction (- 3,7 %), l hébergement et restauration (- 2,8 %) et le commerce (- %). Dans le Nord-Pas-de-Calais, l intérim (- 9,5 %) et la construction (- 3,5 %) cumulent une perte nette de postes. Dans l industrie (- 2,4 %), la plupart des activités sont en recul. Dans le tertiaire, l emploi est en léger repli (- %, après + % en 2012). Les activités informatiques (+ 3,1 %), l action sociale (+ 1,9 %), les arts spectacles et activités récréatives (+ 1,6 %) et les transports (+ 1,2 %) sont bien orientés et compensent en partie les pertes d emplois observées dans le commerce (- 1,8 %, soit destructions nettes). En Bourgogne, l emploi diminue de 1,4 %. Quatre secteurs observent de fortes baisses : l industrie pharmaceutique (- 12,7 %), l intérim (- 5,8 %), la construction (- 3,7 %) ainsi que l industrie des plastiques (- 2,6 %). Il s agit de la seule région où l emploi du secteur de l action sociale est en recul (- 0,6 %). Toutefois, dans l industrie, deux secteurs se démarquent par une bonne tenue des effectifs salariés : la production et distribution d'eau (+ 2,0 %) et d énergie (+ 1,4 %). L emploi en Basse-Normandie et en Haute-Normandie diminue de 1,5 %, après des baisses respectives de % et 0,9 % en Dans ces deux régions, l emploi baisse sensiblement dans l intérim (respectivement - 4,3 % et - 7,9 %), la construction (- 3,8 % et - 3,5 %) et l industrie (- 2,8 % et - 1,7 %). La Basse-Normandie figure parmi les régions où l industrie agro-alimentaire (- 4,7 %) perd le plus d emploi et l industrie pharmaceutique progresse les plus (+ 9,8 %). Les deux régions observent des créations d emplois dans les secteurs de la production et distribution d'eau (+ 1,7 % et + 4,1 %), des activités juridiques (+ 2,5 % et + %) et de l action sociale (+ 0,8 % et + 1,9 %). Dans les régions Champagne-Ardenne et Lorraine, l emploi baisse de 1,9 % en L intérim est en repli de respectivement 8,2 % et 7,0 %. Ces régions pâtissent sensiblement de la dégradation de l emploi industriel (- 3,5 % et - 3,1 %), notamment dans la fabrication de matériels de transport (- 5,0 % et - 11,1 %), le bois et papier (- 6,1 % et - 5,3 %), l habillement (- 6,3 % et - 4,4 %) et la métallurgie (- 4,5 % et - 3,2 %). L emploi du tertiaire hors intérim se contracte de 0,8 % dans ces régions, tiré à la baisse par les activités juridiques (- 1,7 % et - 2,1 %), les transports et entreposage (- 0,8 % et - 2,0 %), la santé (- 1,4 % et - 1,5 %) et le commerce (- 1,3 % et - 1,4 %). En revanche, l emploi progresse dans les secteurs de l éducation (+ % et + 4,8 %), des arts et spectacles (+ % et + 3,0 %) et de l action sociale (+ 1,9 % et + 0,2 %). La Picardie enregistre une forte diminution de l emploi en 2013 (- 2,0 %, après - 1,3 % en 2012), subissant des baisses marquées dans l intérim (- 9,1 %), la construction (- 4,1 %) et l industrie (- 2,7 %). Les activités industrielles les plus marquées par la diminution des effectifs salariés sont l industrie du meuble (- 6,1 %), la métallurgie (- 4,8 %), les industries agro-alimentaires (- 3,0 %) et l industrie des plastiques (- 2,6 %). A l inverse, la production d énergie observe une hausse de 7,5 % en La Picardie fait partie des régions où le tertiaire hors intérim perd le plus de salariés (- 0,9 %). Cette baisse concerne notamment les activités juridiques (- 3,7 %), les activités financières et d'assurance (- 2,2 %), le commerce (- 1,3 %) et les transports et entreposage (- %). L action sociale est en hausse comme la plupart des autres régions (+ 1,3 %). Enfin, la région Franche-Comté est celle où l emploi diminue le plus fortement (- 2,1 %, soit une perte nette de postes). Les effectifs salariés baissent notamment dans l intérim (- 11,8 %), la fabrication d'équipements électriques (- 10,2 %), la fabrication de matériels de

6 6 transport (- 4,1 %), les transports et entreposage (- 3,1 %) et la métallurgie (- 2,5 %). L emploi dans le secteur de la construction recule de 3,2 %. Dans le tertiaire hors intérim, l emploi diminue de 0,8 %. Comme dans la plupart des autres régions, les secteurs les plus dynamiques sont la production d énergie (+ 3,6 %), les arts et spectacles (+ 1,7 %) et l action sociale (+ 1,1 %). Carte 4 : Évolution de l emploi dans les zones d emploi entre 2012 et 2013 Les évolutions par zone d emploi Dans les régions Nord Pas-de-Calais, Bretagne et Midi-Pyrénées, la principale zone d emploi (en termes d effectifs) est également la mieux orientée dans la région : l emploi se contracte faiblement dans la zone de Lille (- 0,2 %), est stable dans celle de Rennes et croît de 1,2 % dans celle de Toulouse. De manière générale, dans chaque région, la zone la plus importante en nombre de salariés figure parmi les zones les moins destructrices d emploi (voire créatrices). Par exemple, la zone de Bordeaux (+ 0,6 %), troisième en termes d évolution en Aquitaine, participe à l évolution régionale à hauteur de point. Il en est de même pour les zones de Clermont- Ferrand, Nantes et Lyon, dont l emploi progresse de % et contribue à hauteur de point dans l évolution de l emploi de leur région. Dans les régions Limousin, Nord Pas-de- Calais, Picardie, Champagne-Ardenne, Lorraine et Franche-Comté, l ensemble des zones d emploi perdent des effectifs salariés, à des rythmes compris entre - % et - 5,3 %. Dans leurs régions respectives, les zones d emploi de Rennes (0,0 %) en Bretagne, supérieur à 0% -1% à 0% -2% à -1% inférieur à -2% Bernay (0,0 %) en Haute-Normandie, Niort (0,0 %) dans le Poitou-Charentes, Vire (+ 0,8 %) en Basse-Normandie et Saint-Louis (+ 0,9 %) en Alsace sont les seules zones où l emploi ne se contracte pas. Source : Acoss Urssaf Elodie Sevin Yi Zhang Département des études statistiques et de l animation du réseau (DESAR) Arnaud Boulliung Urssaf de Strasbourg Éclairage 1 : Une classification des régions métropolitaines selon leur structure sectorielle et l évolution de l emploi Les régions présentent des structures sectorielles et des évolutions d emploi du secteur privé qui peuvent être assez différentes. On relève ainsi une hétérogénéité dans la part relative de l industrie et du tertiaire dans l emploi allant respectivement de 10 % à 31 % et de 57 % à 81 % (tableau 1). Les évolutions d emploi varient également selon les régions. Celles du tertiaire hors intérim s étendent de - 0,8 % à + 1,1 % sur un an et de - 1,4 % à + 8,7 % sur 5 ans. Cet éclairage présente une classification des régions métropolitaines caractérisées par leur structure sectorielle d emploi et leurs évolutions d emploi récentes (cf. méthode). L analyse des données fait ressortir quatre axes factoriels qui résument 90 % de l information. Le premier axe factoriel résume 56 % de l information. Il oppose les régions qui ont des évolutions d emploi élevées, une part d emploi dans le secteur tertiaire hors intérim élevée et une faible part d emploi dans le secteur de l industrie, aux régions moins bien orientées et avec une forte part d emploi industriel. Le deuxième et le troisième axes résument respectivement 15 % et 11% de l information. Ils opposent principalement les régions selon le poids de la construction dans l emploi total et le dynamisme de ce secteur. Le quatrième axe résume 7 % de l information. Il oppose les régions selon les évolutions d emploi dans l intérim et dans le tertiaire. Huit classes sont retenues à l issue de la classification (tableau). Parmi elles, trois sont constituées d une seule région : l Ile-de-France, le Languedoc-Roussillon et la Corse. La première classe regroupe des régions caractérisées par une forte part d emploi dans l industrie et l intérim et une faible part dans le secteur tertiaire. Les régions de cette classe enregistrent dans tous les grands secteurs d activité les évolutions d emploi sur un an comme sur cinq ans les plus faibles. Cette classe regroupe les régions Bourgogne, Champagne-Ardenne, Franche-Comté, Haute-Normandie, Lorraine et Picardie.

7 7 La deuxième classe concerne des régions elles aussi plutôt industrielles mais où la construction est un peu plus représentée qu en moyenne et le secteur tertiaire est un peu plus présent que dans la première classe. Les évolutions d emploi sont proches des évolutions moyennes dans tous les secteurs sauf le tertiaire qui est moins dynamique. Les régions de cette classe sont la Basse Normandie, la Bretagne, le Centre, le Limousin et la région Poitou-Charentes. Les régions des troisième et quatrième classes présentent une structure sectorielle assez proche de la deuxième classe. Elles se caractérisent par des évolutions d emploi un peu plus élevées que la moyenne dans le tertiaire hors intérim pour la troisième classe et par des évolutions nettement plus dynamiques dans tous les secteurs pour la quatrième classe. La troisième classe regroupe les régions Alsace, Auvergne et Nord-Pas-de- Calais. La quatrième classe concerne les régions Pays de la Loire et Rhône-Alpes. La cinquième classe se caractérise par une forte part d emploi dans le secteur tertiaire et une faible part dans l industrie. Les évolutions d emploi sont plus élevées que la moyenne en particulier dans l industrie, le tertiaire et l intérim. Sont présentes dans cette classe les régions Aquitaine, Midi- Pyrénées et Provence-Alpes-Côte-D azur. La région Languedoc-Roussillon se démarque de la cinquième classe par un secteur industriel relativement moins important en termes d effectifs salariés et des évolutions d emploi plus faibles. Les caractéristiques sectorielles de cette classe se retrouvent de manière plus accentuée pour la région Ile-de-France. Les évolutions dans la construction y sont mieux orientées que dans les classes précédentes et les évolutions d emploi des autres secteurs sont proches de la moyenne. La dernière classe, constituée par la Corse, se caractérise par une forte part d emploi dans le secteur de la construction et une faible part dans l intérim, et une évolution des effectifs salariés particulièrement dynamique dans l ensemble des secteurs. Tableau : Moyennes régionales des variables retenues dans l analyse (en %) Variable Ensemble Classe 1 Structure sectorielle moyenne des régions Classe 2 Classe 3 Classe 4 Classe 5 Lang- Rouss Ile de France Corse Industrie 21,3 25,3 22,1 23,2 22,9 15,9 11,5 1 8,3 BTP 8,7 8,4 9,3 8,5 8,9 8,7 9,4 6,2 15,3 Tertiaire hors intérim 66,4 62,2 64,7 65,0 64,3 72,2 76,6 81,4 76,0 Intérim 3,6 4,0 3,8 3,3 3,9 3,1 2,5 2,2 Evolution de l emploi en moyenne annuelle sur un an Total - - 1,8-1,1-0, , ,0 Industrie - 1,5-2,6-1,4-1,7-0, ,1 0,8 BTP - 2,7-3,6-3,0-2,3-1,4-2,6-3,8-1,2-0,9 Tertiaire hors intérim - 0, ,0 1,1 Intérim - 6,2-8,3-4,1-9,1-5,1-3,2-9,4-4,5 1,1 Evolution de l emploi en moyenne annuelle sur 5 ans Total - 3,5-6,7-4,2-3,6-0,9 0, ,6 8,5 Industrie - 9,9-14,3-10, ,4-3,3-5,9-8,4 1 BTP - 8,7-11, ,7-3,1-7,8-13,2 2,0 5,5 Tertiaire hors intérim - 0,8 0,0 1,1 4,1 3,6 2,7 0,9 8,7 Intérim - 22,0-26,3-18,3-25,0-21,3-16,0-26,7-21,1 113,9 Source : Acoss Urssaf Note de lecture : La moyenne des parts de l emploi industriel des régions de la première classe est de 25,3%. La moyenne des évolutions de l emploi sur un an dans ces régions est quant à elle de - 1,8 %. Sur 5 ans, elle est de -6,7 %. Carte : Les huit classes identifiées à partir des variables de structure et d évolution de l emploi Source : Acoss Urssaf Méthode L analyse en composantes principales (ACP) est une méthode statistique multivariée permettant de synthétiser les variables retenues en un nombre d axes plus réduit que le nombre initial de variables. Cela permet de comparer les régions selon ces axes et d étudier à l aide du coefficient de corrélation linéaire les liens entre ces variables. Les variables utilisées sont les évolutions d emploi des 4 grands secteurs d activité en moyenne annuelle sur un an et sur 5 ans, ainsi que le poids de l emploi de chacun de ces secteurs pour toutes les régions hors Dom et Corse. La classification ascendante hiérarchique (CAH) permet de constituer des classes de régions en regroupant celles qui sont les plus homogènes du point de vue des variables retenues (utilisation du critère de Ward).

8 Graphique : Représentation des régions dans le premier plan factoriel deuxième axe factoriel classe 2 Centre Basse-Normandie classe 1 Haute-Normandie Limousin Picardie Champagne-Ardenne Bourgogne Franche-Comté Lorraine Alsace Nord-Pas-de-Calais classe 3 classe 4 classe 5 Midi-Pyrénées Poitou-Charentes Pays de la Loire Bretagne Aquitaine Auvergne Rhône-Alpes Provence-Alpes-Côte d'azur Languedoc-Roussillon -4-5 Ile-de-France premier axe factoriel Source : Acoss Urssaf Note de lecture : En moyenne, l ensemble des régions se situe aux coordonnées (0,0) du plan factoriel. La région Ile-de-France se situe aux coordonnées +4,73 sur le premier axe et -4,93 sur le deuxième axe. Compte tenu de l interprétation des axes (cf. supra), ces coordonnées indiquent une part plutôt élevée de l emploi tertiaire hors intérim, une part faible de l emploi industriel et des évolutions de l emploi plus favorables (axe 1), ainsi qu une part de la construction moins importante en termes d effectifs salariés (axe 2). Note : Compte tenu de ses caractéristiques particulières, la Corse est exclue de l analyse factorielle. Encadré : Sources et méthodologie Les employeurs du régime général déclarent leurs cotisations sociales aux Urssaf à l aide du Bordereau Récapitulatif des Cotisations (BRC) sur lesquels ils portent les différentes assiettes salariales (plafonnée, déplafonnée, CSG) donnant lieu à cotisations ou à allégements ainsi que leurs effectifs. Le champ couvre l ensemble des cotisants exerçant leur activité en France (Métropole et Dom) dans un secteur concurrentiel qui comprend tous les secteurs d activité économique sauf les administrations publiques (codes 841 et 842 de la NACE), l éducation non marchande (établissements d enseignement relevant de l Etat ou des collectivités locales), la santé non marchande et l emploi par les ménages de salariés à domicile. L assiette salariale totale ou l assiette déplafonnée désigne l ensemble des rémunérations sur lesquelles reposent le calcul des cotisations des assurances sociales, des accidents du travail et des allocations familiales, c est à dire le salaire de base auquel s ajoutent des compléments légaux, conventionnels ou attribués à l initiative de l employeur, sous forme de commissions, de primes, de rémunération des heures supplémentaires, de gratifications et d avantages en nature. Elle se distingue de l assiette «Contribution Sociale Généralisée» (CSG) sur les revenus d activité, qui comprend également les sommes allouées au titre de l intéressement et de la participation, et de l assiette CSG sur les revenus de remplacement, qui intègre certaines indemnités n entrant pas dans l assiette déplafonnée, notamment les indemnités de chômage partiel. L effectif salarié figurant sur les BRC est un effectif en fin de trimestre ; chaque salarié compte pour un, indépendamment de sa durée de travail. Les données mobilisées ne permettent pas de corriger de la multi-activité, ce qui rapproche l effectif présenté d un effectif de postes de travail. Cet effectif donne lieu à de nombreuses vérifications par les Urssaf et l Acoss. L effectif moyen trimestriel est égal à la demi-somme des effectifs de fin de trimestre. L effectif moyen annuel est la moyenne des effectifs moyens trimestriels. Le salaire moyen par tête (SMPT) est calculé en rapportant la masse salariale annuelle à l effectif annuel moyen puis divisé par douze pour obtenir une grandeur mensuelle. Une zone d emploi est un espace géographique à l intérieur duquel la plupart des actifs résident et travaillent, et dans lesquels les établissements peuvent trouver l essentiel de la main d œuvre nécessaire pour occuper les emplois offerts. Effectué conjointement par l'insee et les services statistiques du Ministère du Travail (Dares), avec l appui de la Datar et les administrations concernées, le découpage en zones d'emploi constitue une partition du territoire adaptée aux études locales sur l'emploi et son environnement. Le contour des 332 zones d'emploi a été actualisé en juillet 2011 afin d intégrer les flux domicile travail mis en évidence par le recensement de zones d emploi sont à cheval sur au moins deux départements ; 11 le sont sur deux régions. Pour approfondir - «L emploi du secteur privé diminue en 2013 mais se stabilise en fin d année», Acoss Stat n 195, juillet «L emploi du secteur privé dans les régions en 2012», Acoss Stat n 175, juillet Les publications de l Acoss et celles des Urssaf sont disponibles, dès le jour de leur parution, sur le site acoss.fr rubrique Observatoire économique. Des données plus détaillées y sont également à disposition. ISSN Acoss 36, rue de Valmy Montreuil Cedex Tél. : Directeur de la publication : Jean-Louis Rey Rédacteur en chef : Alain Gubian Responsable éditorial : Cyrille Hagneré Réalisation : Direction des Statistiques, des Études et de la Prévision La collection Acoss Stat est consultable en ligne sur dans la rubrique Publications Pour toute demande : contact@acoss.fr Impression Hélio service

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de

Plus en détail

Construction de logements

Construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des

Plus en détail

Panorama. de l économie sociale et solidaire

Panorama. de l économie sociale et solidaire Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le

Plus en détail

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013 CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale

Plus en détail

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse

Plus en détail

Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers

Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers 1 er semestre 2013 Réalisé par 1 Édito L Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers succède à l Observatoire de l équipement des foyers pour

Plus en détail

SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON

SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON ACO S S STA T SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON N - JANVIER 5 Le 1er juillet 3, une réduction unique des cotisations patronales de Sécurité sociale

Plus en détail

ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France

ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur La santé au travail dans les régions de France Collection

Plus en détail

la création d entreprise en nord-pas de calais

la création d entreprise en nord-pas de calais Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux

Plus en détail

Recettes de fonctionnement et capacité d'épargne

Recettes de fonctionnement et capacité d'épargne 1 - Recettes réelles de fonctionnement/population Recettes réelles de fonctionnement : total des recettes de la colonne mouvements réels de la balance générale en section de fonctionnement. Evaluation

Plus en détail

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,

Plus en détail

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

Etude de Besoin de Main-d Oeuvre dans la Plasturgie

Etude de Besoin de Main-d Oeuvre dans la Plasturgie Etude de Besoin de Main-d Oeuvre dans la Plasturgie Année 2013 SOMMAIRE Représentation géographique des projets de recrutement par métier en 2012 Pilotes d'installations lourdes des industries de transformation...

Plus en détail

Un dispositif d appui aux très petites entreprises

Un dispositif d appui aux très petites entreprises Spectacle vivant Un dispositif d appui aux très petites entreprises DA TPE-SV Votre entreprise a besoin de se développer? Elle emploie moins de cinq salariés? Vous pouvez bénéficier d un accompagnement

Plus en détail

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l

Plus en détail

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France

Plus en détail

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries

Plus en détail

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 Février 2015 - N 15.004 L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 En résumé : En 2013, l emploi intermittent du spectacle concerne 254 000 salariés, 111 000 employeurs relevant du

Plus en détail

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013)

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013) Observatoire des Métiers et de l Artisanat Région Centre Juin 214 Artiscope Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 213 (2ème Semestre 213 - Année 213) La révision

Plus en détail

La mobilité. Au service des Outre-mer

La mobilité. Au service des Outre-mer La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première

Plus en détail

La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise

La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise 50 salariés et plus / groupes de distribution (GDSA) dans la Branche des Services de l Automobile GPEC La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise Anticiper les enjeux

Plus en détail

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :

Plus en détail

L épargne de tous au service de l intérêt général

L épargne de tous au service de l intérêt général L épargne de tous au service de l intérêt général 1 Pour la réussite de tous les projets Sommaire Un modèle unique et vertueux 4 Prêts au logement social et à la politique de la ville 7 Prêts au secteur

Plus en détail

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale Le baromètre Dauphine-Crédit Foncier de l immobilier résidentiel Tendance globale N. 3 Juin 2011 Kevin Beaubrun-Diant, co-responsable de la chaire «Ville et Immobilier», Université Paris-Dauphine. Cette

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

Observatoire de l Eolien

Observatoire de l Eolien Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels

Plus en détail

Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014

Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014 Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Rappel Méthodologique Modes de réception TV À partir de 2014 : Niveau national et régional Enquête

Plus en détail

REGION HAUTE-NORMANDIE

REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

I) Evolution de la demande d emploi mensuelle

I) Evolution de la demande d emploi mensuelle Document rédigé le 27/04/2015 LES ESSENTIELS DE L EMPLOI - Chiffres de mars 2015 Plan : I) Evolution de la demande d emploi mensuelle (pages 1 et 2) - Catégorie A - Catégorie ABC - Entrées et sorties/offres

Plus en détail

Grenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE

Grenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE Grenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE N 51243#03 Décret n 2010-1618 du 23 décembre 2010 modifiant le décret n 2007-1873 du 26 décembre 2007 instituant une aide à l acquisition des véhicules propres

Plus en détail

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00 ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA

Plus en détail

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,

Plus en détail

Edition février 2015. CEGEDIM CD, droits réservés : GDR_201502

Edition février 2015. CEGEDIM CD, droits réservés : GDR_201502 1 Edition février 215 Chaque mois, CEGEDIM CD propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous

Plus en détail

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle, Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs

Plus en détail

au 1er novembre 2013

au 1er novembre 2013 au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue

Plus en détail

56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org

56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org 56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org I II L emploi intérimaire s est contracté de 2,7% en 2003 L évolution de l emploi intérimaire est soumise aux fluctuations

Plus en détail

Chaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé

Chaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé Chaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous accompagner dans la compréhension

Plus en détail

TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE

TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE DOSSIER DE PRESSE SNCF CONTACTS PRESSE Clément Nourrit - 01 53 25 76 56 - clement.nourrit@sncf.fr Gaëlle Rual - 01 53 25 74 83 - gaelle.rual@sncf.fr TER 2020 : VERS

Plus en détail

N 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI

N 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI N 13 S É N A T SESSION ORDINAIRE DE 2014-2015 30 octobre 2014 PROJET DE LOI relatif à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral. (procédure

Plus en détail

AQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~

AQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~ SUIVI DE LA DEMANDE TOURISTIQUE AQUITAINE ANNEE 2010 Note dee conjoncture TNS SOFRES-CRTA Suivi de la Demande touristique 2010 CRTAA DIRECCTE Aquitaine TNS T SOFRES 1 ~ SOMMAIRE AVERTISSEMENT METHODOLOGIQUE...

Plus en détail

LES AUTO-ENTREPRENEURS EN 2013 : LEUR NOMBRE CONTINUE DE PROGRESSER MAIS LEUR CHIFFRE D AFFAIRES MOYEN DIMINUE

LES AUTO-ENTREPRENEURS EN 2013 : LEUR NOMBRE CONTINUE DE PROGRESSER MAIS LEUR CHIFFRE D AFFAIRES MOYEN DIMINUE Fin, on dénombre 911 000 autoentrepreneurs (AE). Ils représentent 51 % de l ensemble des travailleurs indépendants (hors secteur agricole) immatriculés depuis la création du dispositif le 1 er janvier

Plus en détail

L EMPLOI D AIDE A DOMICILE ENJEUX ECONOMIQUES. Cécile BAZIN. Henitsoa RAHARIMANANA Alexis GUYONVARCH - Jacques MALET. et la CCMSA

L EMPLOI D AIDE A DOMICILE ENJEUX ECONOMIQUES. Cécile BAZIN. Henitsoa RAHARIMANANA Alexis GUYONVARCH - Jacques MALET. et la CCMSA L EMPLOI D AIDE A DOMICILE ENJEUX ECONOMIQUES 3 ème édition - Décembre 2011 Cécile BAZIN Henitsoa RAHARIMANANA Alexis GUYONVARCH - Jacques MALET Etude réalisée en coopération avec l ACOSS-URSSAF et la

Plus en détail

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Dares Analyses FÉVRIER 2014 N 016 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L EMPLOI DANS LES TRÈS PETITES ENTREPRISES EN DÉCEMBRE 2012 Les entreprises

Plus en détail

Les enjeux du quotidien

Les enjeux du quotidien Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO

Plus en détail

Le financement et les effectifs de l apprentissage

Le financement et les effectifs de l apprentissage CNEFOP Le financement et les effectifs de l apprentissage Données 2012 Janvier 2015 CNEFOP 2 Introduction Le rapport sur le financement et les effectifs de l apprentissage (données 2012) s inscrit dans

Plus en détail

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 - La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou

Plus en détail

Fonds de Dotation L observatoire Deloitte. N 20 31 décembre 2011

Fonds de Dotation L observatoire Deloitte. N 20 31 décembre 2011 Fonds de Dotation L observatoire Deloitte N 20 31 décembre 2011 Éditorial L année vient de s achever avec 863 fonds de dotation enregistrés au 31 décembre 2011. C est une année record car pas moins de

Plus en détail

Livret. du professeur OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS. Le programme Le site Internet La visite Le concours photo

Livret. du professeur OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS. Le programme Le site Internet La visite Le concours photo Livret du professeur Le programme Le site Internet La visite Le concours photo OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS Découverte professionnelle 2010-2011 Découverte professionnelle 2010-2011

Plus en détail

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent

Plus en détail

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats

Plus en détail

La régie de la radio en ligne. Offre commerciale 2013

La régie de la radio en ligne. Offre commerciale 2013 La régie de la radio en ligne Offre commerciale 2013 Audience des radios EN LIGNE en France Chaque jour, en moyenne 1.9OO.OOO d internautes ont visité au moins l un des sites de Radio 2.0 la semaine, contre

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique

Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique AFITL - 3 mai 2006 L objectif poursuivi Offrir aux membres de l AFITL (ou à quiconque se promène sur son site Internet) un recensement

Plus en détail

La VAE à travers les régions. (information conseil et validation) Année 2012. études. Etude logo Proposition 4 bis

La VAE à travers les régions. (information conseil et validation) Année 2012. études. Etude logo Proposition 4 bis La VAE à travers les régions (information conseil et validation) Année 2012 études Etude logo Proposition 4 bis Décembre 2014 Sommaire NOTICE DE LECTURE p. 3 INFORMATION CONSEIL EN VAE Points relais conseil

Plus en détail

l EmPloi CAdrE : une répartition très inégale sur le territoire

l EmPloi CAdrE : une répartition très inégale sur le territoire l EmPloi CAdrE : une répartition très inégale sur le territoire Les études de L emploi cadre n 2015-32 mars 2015 Cadres du privé et zones d emploi : une forte concentration. Les places fortes de l emploi

Plus en détail

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer

Plus en détail

BIENVENUE AU PETIT DEJEUNER DES TRANSPORTS du Vendredi 27 Novembre 2009 SUR PANORAMA DE L OFFRE DE FORMATION *****

BIENVENUE AU PETIT DEJEUNER DES TRANSPORTS du Vendredi 27 Novembre 2009 SUR PANORAMA DE L OFFRE DE FORMATION ***** BIENVENUE AU PETIT DEJEUNER DES TRANSPORTS du Vendredi 27 Novembre 2009 SUR PANORAMA DE L OFFRE DE FORMATION ***** SOMMAIRE 1.Offre de Formation Education Nationale 2.Offre de Formation par Apprentissage

Plus en détail

Synthèse. Dynamique de l emploi. J0Z-Ouvriers non qualifiés de la manutention

Synthèse. Dynamique de l emploi. J0Z-Ouvriers non qualifiés de la manutention J0Z-Ouvriers non qualifiés de la manutention Synthèse Les ouvriers non qualifiés de la manutention assurent le chargement, le déchargement, le tri, l emballage et l expédition de marchandises. Ils sont

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011

Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction

Plus en détail

Carte d identité du secteur de la mutualité

Carte d identité du secteur de la mutualité Carte d identité du secteur de la mutualité Données mises à jour- DADS 2010 Mickaële Molinari-Perrier, Céreq Octobre 2012 1 SOMMAIRE RAPPEL DE LA COMMANDE ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

La Lettre de l IMSEPP

La Lettre de l IMSEPP La Lettre de l IMSEPP N 46 27 janvier 2015 Marché du travail 2014 en Martinique : Bilan d une année de demandes d emploi Page 1 16 Synthèse : Au mois de décembre 2014, la baisse tendancielle du nombre

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France

Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Résultats annuels 2014 des dispositifs permanents d enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur les aires d autoroutes

Plus en détail

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits

Plus en détail

de l artisanat Tableau économique ÉTUDES et Recherches Cahier III : Les entreprises artisanales dans l économie des territoires

de l artisanat Tableau économique ÉTUDES et Recherches Cahier III : Les entreprises artisanales dans l économie des territoires ÉTUDES et Recherches de l Institut Supérieur des Métiers Tableau économique de l artisanat MAI 2014 Cahier III : Les entreprises artisanales dans l économie des territoires Tableau économique de l artisanat

Plus en détail

LA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/

LA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 30 janvier 2009 Des packages plus chers que les services à la carte dans plus de 50 % des banques, des prix globalement à la baisse

Plus en détail

Les dons de sang en France Disparités territoriales et profil des donneurs en 2010

Les dons de sang en France Disparités territoriales et profil des donneurs en 2010 Les dons de sang en France Disparités territoriales et profil des donneurs en 2010 Rapport final Août 2013 Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé 62 boulevard Garibaldi 75015 Paris

Plus en détail

Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale»

Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale» Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale» Article 1 : Organisateur du concours L association France Energie Eolienne, située au 12 rue Vivienne, 75002 Paris, SIRET n 432 446

Plus en détail

Liste des diplômes des métiers de la formation 2000/2001 par région et organisme

Liste des diplômes des métiers de la formation 2000/2001 par région et organisme Liste des diplômes des métiers de la formation 2000/2001 par région et organisme Alsace Université Mulhouse Licence anglais option anglais appliqué à la formation des adultes DESS responsable en formation

Plus en détail

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération

Plus en détail

q u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998

q u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998 Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Depuis plusieurs années, l IRDES étudie le marché de la couverture complémentaire et a élaboré, en 1998,

Plus en détail

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son

Plus en détail

ÉVOLUTION DES EFFECTIFS SALARIES

ÉVOLUTION DES EFFECTIFS SALARIES Mise à jour 2014 ÉVOLUTION DES EFFECTIFS SALARIES L ACCOS a recensé 30 463 établissements employant 343 976 salariés en Seine-et-Marne fin 2013, soit sur un an, une légère hausse de + 0.12 % du nombre

Plus en détail

Le commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire

Le commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire Le commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire Gwennaël Solard Insee - Division Commerce Chargé d études 18 boulevard Adolphe Pinard 75675 Paris Cedex 14 tél : 01 41 17

Plus en détail

Dossier de Presse. Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr. FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville

Dossier de Presse. Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr. FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Dossier de Presse Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Historique Jean-Paul Debeuret, diplômé d'expertise comptable,

Plus en détail

Dossier de Presse Contact : Raphael Alibert 06 82 93 35 09 ralibert@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville

Dossier de Presse Contact : Raphael Alibert 06 82 93 35 09 ralibert@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Dossier de Presse Contact : Raphael Alibert Tél. : 06 82 93 35 09 E-mail : ralibert@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Historique Jean-Paul Debeuret, diplômé d'expertise

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

Etudes. Pérennité des entreprises Insertion des créateurs & Impact de l action de l Adie sur l insertion des créateurs et sur leur satisfaction

Etudes. Pérennité des entreprises Insertion des créateurs & Impact de l action de l Adie sur l insertion des créateurs et sur leur satisfaction Etudes Pérennité des entreprises Insertion des créateurs & Impact de l action de l Adie sur l insertion des créateurs et sur leur satisfaction Deux études Étude n 1!: Pérennité des entreprises Insertion

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE

Présentation du Programme PHARE Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée

Plus en détail

ISF et intermédiation : Collecte 2009

ISF et intermédiation : Collecte 2009 ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour

Plus en détail

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com

Plus en détail

Atlas fiscal de la France : Édition 2010

Atlas fiscal de la France : Édition 2010 LES CAHIERS DE LA DGFiP Avril 2013 Focus fiscalité Atlas fiscal de la France : Édition 2010 L Atlas fiscal de la France est une nouvelle publication de la DGFiP destinée à proposer une approche du territoire

Plus en détail

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014 Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression

Plus en détail

Dares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012

Dares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012 Dares Analyses juin 2013 N 037 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Emploi, chômage, population active : bilan de l année Avec la contraction de l

Plus en détail