EPILEPTOGENESE. Rupture d équilibre à plusieurs niveaux :
|
|
- Jean-Louis Barbeau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 EPILEPSIE Rappels Etat de mal épileptique Médicaments anti-épileptiques Agents anesthésiques et épilepsie Traitement prophylactique en neurochirurgie Chirurgie de l épilepsie
2 EPILEPSIE Crise épileptique : Dysfonctionnement passager et réversible du système nerveux central provoquant cliniquement un épisode de durée brève, à début brusque pouvant altérer les mouvements, les sensations, les fonctions cognitives, les fonctions psychiques, la conscience ou plusieurs d'entre elles, présumé en rapport avec une décharge électrique soudaine, excessive d'une population de neurones corticaux. Gastaut 1973
3 EPILEPSIE Epilepsie : trouble de la fonction cérébrale caractérisé par l apparition périodique et imprédictible de crises épileptiques. Affection chronique d'étiologies diverses, caractérisée par la répétition des crises.( affection aigue) Crise épileptique : altération transitoire du comportement due à des décharges neuronales désordonnées, synchrones et rythmiques de populations de neurones.
4 EPILEPTOGENESE Rupture d équilibre à plusieurs niveaux : membranaire : dysfonctionnement des canaux ioniques voltagedépendants (à( l origine des mouvements ioniques trans- membranaires et des potentiels électriques) synaptique : déséquilibre entre systèmes inhibiteurs et excitateurs système GABA (inhibiteur) : état d hyperexcitabilité par désinhibition => agonistes GABA (barbituriques, BZD) = anticonvulsivants système glutaminergique (excitateur) : excès d excitabilité système de neuromodulation (ACh, monoamines, neuropeptides ) environnemental : péri-neuronal vasculaire (BHE), glial (astrocyte, microglie) et LCR => interactions glio-neuronales
5 EPILEPTOGENESE
6 EPILEPTOGENESE
7 EPILEPTOGENESE
8 EPILEPTOGENESE
9 EPILEPSIE Fréquence : 0,5 à 2 % de la population 20 à 30 % ont plus de 1 crise / mois cas en France 50 M de cas dans le monde
10 EPILEPSIE Ancienne classification : crises partielles : - simples - complexes - avec généralisation secondaire généralisées : - inhibitrices (absences type petit mal) - excitatrices (grand mal) pseudo-crises inclassables
11 EPILEPSIE Classification moderne : l aspect de la crise : - partielle - généralisée la notion d étiologie : - idiopathique - symptomatique - cryptogénique
12 EPILEPSIE Epilepsie idiopathique : syndromes épileptiques survenant chez des sujets normaux, sans lésions cérébrales, sans déficit neurologique ou intellectuel, sans antécédents significatifs en dehors d'antécédents familiaux. L'épilepsie s'explique par un seuil épileptogène anormalement bas, un caractère génétique parfois démontrable.
13 EPILEPSIE Epilepsie symptômatique : elle est la conséquence d'un désordre connu du système nerveux central dont l'existence peut expliquer la symptômatologie critique : une souffrance cérébrale qui a laissé des séquelles définitives, une sémiologie neurologique déficitaire, des anomalies de la T.D.M. ou de l'i.r.m. (corrélables topographiquement avec le caractère des crises). L'EEG, le SPECT et le PET sont des explorations à visée fonctionnelle qui ne permettent pas d'évoquer une preuve formelle.
14 EPILEPSIE Epilepsie cryptogénique : cadre d'attente, problème des épilepsies symptômatiques dont l'origine est cachée des techniques actuelles d'investigation et qui ne remplissent ni les critères de l'épilepsie idiopathique ou de l'épilepsie symptômatique.
15 EPILEPSIE Crises focales partielles Crises ou syndromes généralisés Formes non classables en crise partielle ou généralisée Syndromes spéciaux Idiopathique Epilepsie bénigne de l enfance Idiopathique Absences juvéniles Mixte Convulsions du n-né Convulsions fébriles Symptomatique Syndrome de Kojewnikow Symptomatique Encéphalopathie myoclonique précoce Non déterminée Troubles métaboliques Cryptogénique Cryptogénique Syndrome de Lennox- Gastaut Evénement toxique
16 EPILEPSIE Manifestations épileptiques : perte d une ou de plusieurs fonctions cérébrales manifestations générales : dépendent du site d origine dépendent des structures II aires activées positives : motrice ou sensorielle négatives : perte de la conscience ou du tonus musculaire
17 EPILEPSIE Epilepsies généralisées d emblée : Crises dont les caractères cliniques ne comportent aucun élément pouvant se rapporter à une structure anatomique et/ou fonctionnelle localisée dans un hémisphère : les anomalies EEG critiques et intercritiques (dans 60 % des cas) sont bilatérales synchrones et symétriques sur les deux hémisphères.
18 EPILEPSIE Epilepsies partielles : sémiologie corrélée à l origine topographique Lobe frontal Lobe temporal Lobe pariétal Lobe occipital
19 EPILEPSIE PARTIELLE décharge hypersynchrone d'une aire corticale déterminée manifestations cliniques différentes selon le point de départ de la crise crises motrices (Bravais-Jackson) : clonies musculaires dans le territoire correspondant à l'aire corticale crises sensorielles : sensations sans objet (sensitives, visuelles, auditives, olfactives, gustatives) crises végétatives : associées aux précédentes
20 ABSENCE ou «petit mal» enfant ++ perte de conscience avec conservation du tonus postural, sans chute, ni convulsions dure une dizaine de secondes
21 CRISE GENERALISEE ou «grand mal» 3 phases : phase tonique phase clonique phase résolutive
22 CRISE GENERALISEE ou «grand mal» Phase tonique : 10 à 20 sec. contracture intense de l'ensemble des muscles en hyperextension chute brutale yeux révulsés apnée : contracture des muscles respiratoires, cyanose tachycardie salivation abondante mydriase
23 CRISE GENERALISEE ou «grand mal» Phase clonique : 20 à 30 sec. après une inspiration bruyante et profonde succession d'épisodes de contraction et de relâchement musculaire => secousses violentes au niveau des membres grimaces au niveau de la face morsure de la langue
24 CRISE GENERALISEE ou «grand mal» Phase résolutive : relâchement musculaire intense intéressant les sphincters : perte d'urine reprise respiratoire : respiration bruyante, stertoreuse retour à une coloration normale ralentissement du rythme cardiaque disparition de la mydriase sueurs profuses la reprise de la conscience est plus tardive : coma post-critique traduisant l'épuisement neuronal possibilité de déficit post-critique
25 CRISE GENERALISEE ou «grand mal» Conséquences de la crise : au niveau cérébral : - augmentation de la CMRO 2 et de la production de CO 2 - augmentation du DSC - acidose métabolique perte d'autorégulation et vasodilatation corticale généralisée poussée d'htic sur le plan général : - activité musculaire intense => augmentation de la VO 2 - apnée par contracture des muscles respiratoires => hypoxie systémique puis cérébrale
26 EPILEPSIES ATYPIQUES crises toniques pures crises cloniques pures pertes de connaissance isolée confusions crises morphéiques mais dans tous les cas : - aspect paroxystique - amnésie et asthénie post-critiques
27 DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS syncopes d origine cardiaque syncopes vagales AIT névroses
28 DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE 2 situations : comitialité connue => interrogatoire +++ : ATCD - fréquence des crises - prises médicamenteuses - alcool - sommeil comitialité non connue => hospitalisation +++
29 DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE Principales étiologies : - causes neurologiques : AVC ischémique ou hémorragique traumatisme crânien tumeur cérébrale pathologie infectieuse post-anoxique - éthylisme chronique - intoxication médicamenteuse - cause métabolique - hyperthermie - éclampsie chez la femme enceinte - pas de cause retrouvée
30 CONDUITE A TENIR Assurer les fonctions vitales - protection du sujet - liberté des VA subluxation de la mâchoire - éviter inhalation : mise en PLS - ventilation correcte : O 2 nasal, ventilation assistée - voie veineuse périphérique (bilan : glycémie ++) - éviter l hypothermie (le plus souvent hyperthermie) - surveillance cardiorespiratoire
31 CONDUITE A TENIR Stopper la crise benzodiazépines ++ : sédatives, anti-convulsivantes, amnésiantes, myorelaxantes, anxiolytiques - clonazépam : 1 mg IVL ou IM - diazépam : 10 mg IM - 5 mg IVL - chez l'enfant : 0,5 mg/kg IR surveillance rapprochée ++ Hospitalisation : selon les cas
32 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE «c'est une crise convulsive qui dure longtemps (plus de 30 minutes) ou se répète à intervalles suffisamment rapprochés pour créer une condition épileptique fixe et durable (le sujet restant inconscient entre les crises)» Maytal, Hauser 1989
33 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE 25 à cas par an en France. Mortalité : - Adulte : 2 à 5 % Urgence neurologique qui met en jeu le pronostic vital et qui peut être à l origine de séquelles neurologiques graves - coma - hémiplégie - Trouble de la parole
34 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE Clinique : État de mal convulsif généralisé: Manifestations sans convulsion mais avec trouble de la conscience Manifestations sans trouble de la conscience
35 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE Clinique : état de mal partiel variétés sensitivo-motrices : crises somatomotrices, localisées, sans perte de connaissance, ni troubles neurovégétatifs : reste rarement localisé état de mal généralisé secondaire état de mal temporal
36 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE Clinique : état de mal généralisé d'emblée ou secondaire Pérénnisation des troubles généraux et cérébraux rencontrés lors de la crise simple Il peut être : - Tonique - Tonico-clonique - Myoclonique - Type petit-mal
37 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE Diagnostic facile si état de mal typique difficile dans les autres formes : - coma ou déficit inexpliqué ++ - syndrome confusionnel - sémiologie d'allure psychiatrique intérêt de l'enquête étiologique (30 à 45 % des E.M.E. surviennent chez des épileptiques connus) et de l'eeg au moindre doute
38 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE Complications neurologiques altérations neuronales d origine hypoxique et métabolique - constitution d un oedème cérébral (ischémique) d abord localisé, puis généralisé - conséquences : hémiplégie, troubles phasiques, coma
39 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE Complications respiratoires hypoventilation alvéolaire (hypoxémie, hypercapnie) encombrement bronchique chute de la langue en arrière inhalation
40 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE Complications cardiovasculaires : initialement : tachycardie, hypertension artérielle secondairement : hypotension artérielle, troubles du rythme
41 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE Complications métaboliques : hyperthermie acidose respiratoire acidose métabolique production d'acide lactique hyperkaliémie par rhabdomyolyse insuffisance rénale
42 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE Objectif : contrôle des crises avant 30 minutes Les activités épileptiques provoquent des lésions histologiques : - Libération de neuromédiateurs excitateurs ( glutamate, aspartate ) - Déséquilibre de la balance énergétique et O2 - Aggravation des lésions primaires 30 % des patients décédent ou ont des séquelles à 6 mois : - Complication de l état de mal - Effets secondaires des traitements - Progression de la maladie sous-jacente - Élévation massive des cathécholamines plasmatiques ( complications thermiques, cardiovasculaires, métaboliques, hypoxie, hyperthermie, hyperkaliémie, acidose, hypercapnie. )
43 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE Conduite à tenir : Assurer les fonctions vitales - subluxation de la mâchoire - éviter l'inhalation : mise en position latérale de sécurité - aspiration si nécessaire - oxygénothérapie : O 2 nasal, ventilation assistée - abord veineux + dextro - intubation : souvent
44 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE Traitement de première intention : benzodiazépines +++ efficaces: 50 à 80 % clonazepam (A à 1 mg), diazepam (A à 10 mg) : jusqu'à 3 ampoules Si échec : fosphénytoïne (Prodilantin ) (flacon de 500 mg équivalent phénytoïne) - dose de charge : 15 mg/kg en 60 min - dose d'entretien : 5 à 8 mg/kg/j en 60 min (en une fois) - possible en IM - effets secondaires : hypotension, troubles du rythme lévétiracétam (Keppra ) (flacon de 500 mg) - dose de départ : 500 mg x 2/j - dose maximale : 1500 mg x 2/j (par paliers de 500 mg) - effets secondaires : somnolence
45 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE Traitement de deuxième intention Phénobarbital ou thiopental : contrôle des VAS, ventilation - 5 mg / Kg puis, 5 mg / Kg / h - Alternative: propofol +++ Enfant : Diazépam ( 0,5 mg / Kg IV ou IR à renouveler ) Si échec : - Pyridoxine 100 mg IV - Fosphénytoine - Phénobarbital ou thiopental
46 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE Traitement étiologique ++ Mesures générales - corriger : * acidose * hypoxie * hypoglycémie * dysnatrémie
47 MEDICAMENTS ANTI-EPILEPTIQUES 3 grandes catégories : - drogues potentialisant l action du GABA : effet sédatif - barbituriques - benzodiazépines - valproate de sodium, gabapentine - drogues diminuant la neurotransmission du glutamate : lamotrigine - drogues mixtes : topiramate
48 MEDICAMENTS ANTI-EPILEPTIQUES Recepteur GABA-A :fait partie du système neuronal GABAergique (inhibiteur) récepteur = canal ionique (Cl-) activé par un ligand (GABA)
49 MEDICAMENTS ANTI-EPILEPTIQUES autres catégories : Bloqueurs des canaux sodiques : carbamazépine, phénytoine, oxcarbazépine
50 MEDICAMENTS ANTI-EPILEPTIQUES autres catégories : Bloqueurs des canaux calciques : ethosuximide (Zarontin)
51 EFFETS SECONDAIRES DES ANTI-EPILEPTIQUES Carbamazepine * Oxcarbazepine * Carbamazepine Tegretol Trileptal Tr cholinergique (tr visuel, sécheresse de bouche, rétention urinaire), réaction allergique pfs graves, anorexie, anémie aplastique, leucopénie, thrombopénie, hépatotoxicité, tr cognitif, diplopie, vertiges, hyponatrémie INDUCTEUR ENZYMATIQUE Clonazépam Clorazépate Rivotril Tranxene Dépression, léthargie Dépression, léthargie Ethosuximide Felbamate * Gabapentine Lamotrigine Zarontin Taloxa Neurotin Lamictal Anorexie, anémie aplastique, tr cognitif, vertige, oedeme, rash, gain de poids. Crises tonico-cloniques généralisées. Anorexie, anémie aplastique, tr cognitif, leucopénie, rash, toxicité hépatique, tr G-I. INDUCTEUR ENZYMATIQUE Somnolence, vertige, ataxie, fatigue, céphalées, tr visuels, nausée, rash. Rash, anorexie, tr cognitif, vertiges, léthargie, nausée.
52 EFFETS SECONDAIRES DES ANTI-EPILEPTIQUES Lévétiracétam Phénobarbital * Primidone * Phénytoïne sodique Phénytoïne * Fosphénytoïne * Tiagabine Topiramate * Valproate sodique Acide valproïque Vigabatrine Keppra Gardenal Diphantoine Diphantoineacid Epanutin Prodilantin Gabitril Topamax Dépakine Convulex Sabril Somnolence, fatigue, vertiges, céphalées, irritabilité, troubles G_I, rash et diplopie. Sédation, ataxie, diplopie, tr caractériels (surtout chez les enfants), tr cognitifs. Anémie mégaloblastique. INDUCTEUR ENZYMATIQUE Tr vestibulaires et cérébelleux avec ataxie, nystagmus et dysarthrie. Hyperplasie des gencives et hypertrichose. Anémie mégaloblastique (déficit en acide folique). S lupus like, rash. INDUCTEUR ENZYMATIQUE Vertiges, somnolence, tremblements, tr de la concentration, diarrhée, labilité émotionnelle, ecchymoses, tr visuels. Tr cognitifs, somnolence, fatigue, tremblements, ataxie, vertiges, céphalées, perte de poids, lithiase rénale, glaucome. [sérique de HCO 3 - ] acidose métabolique (3 à 11%, < 16ans) INDUCTEUR ENZYMATIQUE Tr G-I, perte de cheveux, tremblements, gain de poids, tr hépatique graves (jeune, S épileptiques graves, polythérapie, au cours des premières semaines), tr hémostase avec thrombopénie, pancréatite, tr vigilance. Somnolence, nervosité, vertige, tr visuels, céphalées. Psychoses, gain pondéral.!usage limité: lésion irréversible de la rétine: rétrécissement concentrique du champs visuel.
53 AGENTS ANESTHESIQUES ET EPILEPSIE Agents anesthésiques par inhalation : Effet dose dépendant : accélération à faible dose avec désynchronisation puis ralentissement Enflurane : pro et anti-épileptique. Déconseillé chez le patient épileptique Isoflurane : anti-convulsivant malgré certaines études Desflurane : aucun effet pro-épileptique n à été démontré Sévoflurane : anti et pro-épileptique ( concentration > 2 CAM ) Protoxyde d azote : potentiel épileptique faible Attention : tous les risques pro-épileptiques sont majorés par l hypocapnie
54 AGENTS ANESTHESIQUES ET EPILEPSIE Agents anesthésiques intraveineux hypnotiques : Barbituriques : anti-épileptiques puissants Midazolam : anti-épileptique de référence ( aggravation si Syndrome de Lennox-Gastaut ) Propofol : effet excitateur à faible dose, anti-épileptique à forte dose ( étudié dans le traitement de l état de mal ) Attention : mouvements anormaux épilepsie Kétamine : potentiel épileptogène : déconseillé Etomidate : épileptogène à faible dose, anti-convulsivant à forte dose ( myoclonies d origine spinale )
55 AGENTS ANESTHESIQUES ET EPILEPSIE Agents anesthésiques intraveineux morphiniques : Pro-épileptogènes dans la plupart des études : - Démontré chez le patient épileptiques - Augmentation du débit et du métabolisme cérébral - Alfentanil = déconseillé
56 AGENTS ANESTHESIQUES ET EPILEPSIE Agents anesthésiques locaux : Pro-convulsivants à forte dose Anti-convulsivants à faibles doses - Lidocaine : traitement de l état de mal dans les années 70 Convulsions vues avec la ropivacaine Marge thérapeutique faible
57 AGENTS ANESTHESIQUES ET EPILEPSIE Agents curarisants : Atracurium épileptogène à forte dose ( dose > thérapeutique ) - Laudanosine = métabolite épileptogène
58 AGENTS ANESTHESIQUES ET EPILEPSIE Conclusion : Grande marge de sécurité des agents utilisés Benzodiazépines le risque pro-épileptogéne Facteurs pro-convulsivants : - Hypo et hyperthermie - Hypoglycémie - Troubles électrolytiques - hypocapnie
59 AGENTS ANESTHESIQUES ET EPILEPSIE Agents antiépileptiques Agents épileptogènes Agents neutres Données insuffisantes Thiopental Etomidate Propofol Sévoflurane Midazolam Kétamine Curares Desflurane isoflurane Fentanyl Alfentanyl Protoxyde d azote Sufentanil Rémifentanil A. Locaux
60 TRAITEMENT PROPHYLACTIQUE EN NEUROCHIRURGIE Indications controversées Dépend du type de lésion et de sa localisation Lésions à haut risque de comitialité : Tumeurs malignes supratentorielles, abcès, méningiomes Lésions du lobe frontal ou pariétal Lésions corticales Traumatisme cranien ouvert avec atteinte de la dure-mère Œdème cérébral Manipulations corticales peropératoires Age > 65 ans
61 TRAITEMENT PROPHYLACTIQUE EN NEUROCHIRURGIE Epilepsie précoce ( 7 jrs post-op ) : 10 à 30 % Epilepsie tardive ( > 7 jrs post-op ) - Maximum dans le 1er mois - Le plus souvent avant 2 ans - Parfois à 10 ans Lésions à haut risque de comitialité : - Tumeurs malignes supratentorielles, abcès, méningiomes - Lésions du lobe frontal ou pariétal - Lésions corticales - Traumatisme cranien ouvert avec atteinte de la dure-mère - Œdème cérébral - Manipulations corticales peropératoires - Age > 65 ans
62 TRAITEMENT PROPHYLACTIQUE EN NEUROCHIRURGIE 3 attitudes : Traitement prophylactique chez tout les patients Traitement prophylactique chez les patients à risque Aucun traitement prophylactique Traitement : durée de 6 mois à 2 ans 1ere intention : carbamazépine, valproate de sodium, gabapentine Si échec, association avec : Topiramate Tiagabine Vigabatrin Phénobarbital phénytoine
63 TRAITEMENT PROPHYLACTIQUE EN NEUROCHIRURGIE Post-traumatisme : Crises chez 0,5 à 5 % des patients Crises précoces : 3,6 à 4,1 % des cas Crises tardives : 57 % des cas à 1 an, 86 % à 2 ans Traitement dés la 1ere crise? Aucun intérêt démontré Pour certains, traitement précoce jusqu à la fin de l hospitalisation
64 TRAITEMENT PROPHYLACTIQUE EN NEUROCHIRURGIE Accidents vasculaires cérébraux : Crises chez 2,3 à 5,4 % des patients à la phase aigue - 48 % dans les 48 H 28 % si hématome intra-cérébral Facteur de gravité Epilepsie tardive : 7,4 % à 5 ans et 8,9 % à 10 ans Traitement prophylactique non indiqué
65 TRAITEMENT PROPHYLACTIQUE EN NEUROCHIRURGIE Malformations vasculaires - anevrysmes : Peu épileptogènes - Crises post-opératoires dans 4,4 % des cas Aucun traitement préconisé
66 TRAITEMENT PROPHYLACTIQUE EN NEUROCHIRURGIE Malformations vasculaires - malformation artério-veineuses : Symptome unique de la MAV dans 17 à 40 % des cas - 70 % ne feront plus de crise après éxerèse - 20 % feront moins de crise - 10 % seront aggravés 1 à 2 % de risque de crise par an avec effet cumulatif Traitement prophylactique discuté
67 TRAITEMENT PROPHYLACTIQUE EN NEUROCHIRURGIE Malformations vasculaires - cavernome : Crises chez 40 à 70 % des patients Pharmacorésistance fréquente Traitement prophylactique indiqué Intérêt de la chirurgie
68 TRAITEMENT PROPHYLACTIQUE EN NEUROCHIRURGIE Tumeurs cérébrales : 10 à 15 % des épilepsies de l adulte Les plus épileptogènes : - Évolution lente - Cortex frontal, rolandique, temporal Epilepsie présente dans : - 70 à 80 % des tumeurs de bas grade - 20 à 60 % des méningiomes - 36 % des tumeurs de haut grade - 20 % des métastases Crises post-opératoires : 16 à 34 % des cas Pas de traitement prophylactique tardif si pas de crise en préopératoire
69 TRAITEMENT PROPHYLACTIQUE EN NEUROCHIRURGIE Conclusion : Traitements des crises et de l état de mal = bien codifiés Prophylaxie per, péri et post-opératoire et post traumatisme cranien = - Aucun consensus - Habitudes personnelles et de service
70 CHIRURGIE DE L EPILEPSIE Début au XIX ème siècle Explosion dans les années 80 de la morbidité et mortalité ( chirurgie fonctionnelle ) Quête de la zone épileptogène facilitée : - Vidéo-EEG - IRM - PET-scan
71 CHIRURGIE DE L EPILEPSIE 200 patients / an en France Épilepsie curable : 2000 patients enfrance Contrainte budgétaire Lourdeur du bilan préchirurgical Zone épileptogène non définissable avec les techniques actuelles Lésions inopérables ( régions cérébrales fonctionnelles )
72 CHIRURGIE DE L EPILEPSIE Candidats : Epilepsie focale ( ± généralisation secondaire ) Epilepsie grave ( fréquence élevée des crises ou sévérité ) Epilepsie pharmaco-résistante Retentissement social, familial, professionnel.. Contre indications : Epilepsie généralisée ou multifocale Antécédents psychiatriques Résultats : 70 % de guérison dans l epilepsie temporale 50 % de guérison dans l épilepsie extra-temporale
73 CHIRURGIE DE L EPILEPSIE Chirurgies curatives : Suppression des crises par exérèse de la zone épileptogène - ( dysplasie, tumeur, lésion cicatricielle, sclérose hippocampique ) Zones à distance d une région très fonctionnelle Chirurgies palliatives : Diminution de la fréquence des crises Suppression de certains symptômes (lésion épileptogène étendue ) - Ex : chutes, généralisation Interventions diagnostiques
74 CHIRURGIE DE L EPILEPSIE Interventions diagnostiques : localisation de la zone épileptogène IRM fonctionnelle Vidéo EEG au scalp Explorations invasives : Stéréostaxique électroencéphalographie ( SEEG ) - Électrodes intracérébrales ( AG, angiographie, neuronavigation ) Test de WADA - Injection intra-carotidienne d un barbiturique d action rapide et brève - Anesthésie successive des 2 hémisphères - Recherche : fonction du language et encodage mnésique
75 CHIRURGIE DE L EPILEPSIE Chirurgies curatives : Cortectomies : - Résection du cortex épileptogène Lésionectomie : - Résection d une tumeur de bas grade, d une dysplasie.. Amygdalo-hippocampectomie : - Résection limitée aux structures temporales internes - Noyua amygdalien, gyrus hippocampique
76 CHIRURGIE DE L EPILEPSIE Chirurgies palliatives : callosotomie : - Section des 2/3 antérieurs du corps calleux ( déconnexion des hémisphères ) - Limite la bilatéralisation des crises Transsection sous-piales : - Incisions parallèles du cortex sur sa hauteur - Déconnexion adjacente : suppression de la synchronisation - Respect des afférences et des éfferences
77 CHIRURGIE DE L EPILEPSIE Anesthésie : Terrain psychologique particulier : - Dépendance, marginalisation pour certains patients (crainte de la crise ) Bilan préopératoire : - Classique, bilan hépatique, ECG, coagulation Prémédication : - Arrêt ou poursuite des MAE en fonction de la chirurgie - Methylprednisolone 48 h en préop ( contreversé ) Postopératoire : - MAE repris rapidement, couverture 10 jrs par clonazépam - Réveil rapide ( 2,5 % de complications hémorragiques ) - Crises postop échec de la chirurgie ( 20 % après chirurgie temporale )
78 CHIRURGIE DE L EPILEPSIE Anesthésie : Choix des anesthésiques : - Confère «agents anesthésiques et épilepsie» Attention aux interactions : - Erythromycine et cimétidine : inhibiteur enzymatique Certains MAE action des curares et des morphiniques : - Phénytoine, carbamazépine, phénobarbital - Cause? Inducteurs hépatiques? Action sur les neurotransmetteurs?
79 MERCI POUR VOTRE ATTENTION
7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailCONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE
CONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE Les crises convulsives sont les symptômes les plus fréquents en pratique neurologique pédiatrique. Ce terme a la même signification que «crise épileptique»
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailCe qu il faut savoir sur l épilepsie.
Ce qu il faut savoir sur l épilepsie. Sommaire Que faut-il savoir sur l épilepsie? 4 Qu est-ce que l épilepsie? 7 Qu est-ce qui cause l épilepsie? 8 Facteurs génétiques 9 Autres maladies 10 Blessures à
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailIntoxication par les barbituriques
Intoxication par les barbituriques GH. Jalal, S. Achour, N. Rhalem, R. Soulaymani 1. Cas clinique : L unité d information toxicologique du Centre Anti Poison du Maroc a été contactée par une clinique privée
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailLes céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie
Les céphalées aux urgences G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Céphalées et urgences Pathologie très fréquente dans la population générale ; 5 ième motif de consultation aux urgences (Minen
Plus en détailLe cavernome cérébral
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le cavernome cérébral.
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailmal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire
LES CÉPHALÉES 4 e Forum Département de médecine familiale et de médecine d urgence St-Georges de Beauce le 29 mai 2009 Les céphalées: objectifs Appliquer un algorithme diagnostique des céphalées Reconnaître
Plus en détailUn nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques. SCOR inform - Avril 2014
Un nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques SCOR inform - Avril 2014 Un nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques Auteur Dominique Lannes Médecin-Conseil SCOR
Plus en détailIntoxications au Monoxyde de Carbone (CO)
Intoxications au Monoxyde de Carbone (CO) K. Elhajjaoui, N. Rhalem, I. Semlali, R. Soulaymani Bencheikh 1. Introduction : L intoxication au monoxyde de carbone (CO) occupe la première place dans les pays
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLES CEPHALEES I- INTRODUCTION
Cours Magistraux Pr. S. AIDI LES CEPHALEES I- INTRODUCTION La céphalée désigne classiquement une douleur ressentie au niveau du crâne. Les céphalées sont extrêmement fréquentes et relèvent de causes multiples.
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailLe problème de la première ou nouvelle. céphalée. Il faudra avant tout :
Les céphalées Le problème de la première ou nouvelle Il faudra avant tout : céphalée Rechercher des signes d alarme Rechercher avant tout le caractère secondaire de la céphalée Signes d alarme Début après
Plus en détailROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005)
ROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005) PLAN : - Lieux d exercice. - Rappel des notions essentielles à connaître en NeuroAnesthésie. - Rôle IADE. - Cas particulier de l enfant. LIEUX D EXERCICE.
Plus en détailExemple de prise en charge psychomotrice d un trouble de la posture et de l équilibre chez une enfant atteinte de déficience mentale et d épilepsie
UNIVERSITE PAUL SABATIER FACULTE DE MEDECINE TOULOUSE RANGUEIL Institut de formation de psychomotricité Exemple de prise en charge psychomotrice d un trouble de la posture et de l équilibre chez une enfant
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailLes mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailD-52589-2012. Gardez votre objectif en vue DRÄGER SMARTPILOT VIEW
D-52589-2012 Gardez votre objectif en vue DRÄGER SMARTPILOT VIEW 02 DRÄGER SMARTPILOT VIEW Passer des données aux décisions Comme une image peut en dire bien plus que mille mots, une nouvelle technologie
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailClassification internationale des céphalées, 2 édition (d après l Internationial Headache Society,
Dr A.Donnet (1), (2) La céphalée est motif de consultation important. Sa prévalence est estimée à 90% dans les pays occidentaux (1) La plupart sont des céphalées primaires mais 1 à 4% sont des céphalées
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailPlace et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil
TEXTE COURT DU RAPPORT D ÉVALUATION TECHNOLOGIQUE Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil Mai 2012 Service évaluation des
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailDiagnostiquer et traiter une céphalée récurrente de l'enfant
Diagnostiquer et traiter une céphalée récurrente de l'enfant Elisabeth Fournier-Charrière CETD, CHU Bicêtre avec la participation de l'équipe du centre de la migraine de l enfant de Trousseau 2015 Tom,
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailI.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES -ANTINFLAMMATOIRES BIPROFENID -TRIPTANS
TRAITEMENT DE LA MIGRAINE I.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES PARACETAMOL PEU OU PAS EFFICACE ASSOCIATIONS ASPIRINE-METOCLOPRAMIDE (CEPHALGAN MIGPRIV ) -ANTINFLAMMATOIRES -TRIPTANS BIPROFENID 1
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailItem 262. Migraine et algie de la face. Objectifs pédagogiques
Item 262. Migraine et algie de la face I. CLASSIFICATION DES CEPHALEES II. MIGRAINE III. ALGIES VASCULAIRES DE LA FACE IV. NEVRALGIES V. CEPHALEES ASSOCIEES A UNE DOULEUR DE LA FACE (DENTAIRE, SINUSIENNE,
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailLES ANTIMIGRAINEUX. Médicaments de la crise et médicaments de fond
LES ANTIMIGRAINEUX Migraine : maladie qui peut être handicapante selon fréquence, durée, intensité des crises, signes d accompagnement (digestifs), retentissement sur la vie quotidienne, professionnelle,
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailDéfinition trouble psychosomatique. TROUBLES PSYCHOSOMATIQUES Item 289. Définition trouble psychosomatique. Définition trouble psychosomatique
Définition trouble psychosomatique TROUBLES PSYCHOSOMATIQUES Item 289 La médecine psychosomatique est l étude des perturbations psychiques d ordre affectif et des troubles viscéraux qui en constituent
Plus en détail25/09/2014 CR : BRASSIER Julia. LEVERRIER Floriane L2 Médecine d'urgence (AFGSU) P. MICHELET 8 pages. Détresse vitale Arrêt cardiaque Alerte
25/09/2014 CR : BRASSIER Julia. LEVERRIER Floriane L2 Médecine d'urgence (AFGSU) P. MICHELET 8 pages Détresse vitale Arrêt cardiaque Alerte Plan A. Introduction B. Donner l'alerte I. L'alerte en milieu
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailItem 97 (ex item 262) : Migraine, névralgie du trijumeau et algies de la face Collège Français d'orl et de Chirurgie Cervico-faciale
Item 97 (ex item 262) : Migraine, névralgie du trijumeau et algies de la face Collège Français d'orl et de Chirurgie Cervico-faciale 2014 1 Table des matières 1. Présentation générale, position du problème...3
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailDécrire le handicap créé par une épilepsie
Décrire le handicap créé par une épilepsie Ce document est écrit à partir des sources de la littérature (livres, revues médicales, etc.) cités en référence et des parcours de vie d une cinquantaine de
Plus en détailLes formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.
1 FM4 PAGE 1/4 Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.747 si : L âge de l emprunteur est < 50 ans & le capital assuré*
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailItem 262 : Migraine et algie de la face
Item 262 : Migraine et algie de la face Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières * Introduction... 1 1 Classification des céphalées (International Headache Society,
Plus en détailAspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat
Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailJEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER
JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER ALS (séance du 11 mai 2003) 48 Jeu video : un nouveau compagnon (Colette KELLER-DIDIER)
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailCAPACITE DE GERIATRIE
TRAITEMENT DE LA DOULEUR CHEZ LE SUJET AGE CAPACITE DE GERIATRIE 11.03.2009 Dr Françoise ESCOUROLLE-PELTIER Unité de Soins Palliatifs - Équipe Mobile Hôpital BRETONNEAU CONSEQUENCES DE LA PRISE EN CHARGE
Plus en détailLES DOULEURS ORO- FACIALES
LES DOULEURS ORO- FACIALES Diagnostic différentiel CNO SA 16-17 Septembre 2011 Mathieu PITZ Douleurs Bruits articulaires Limitation des mouvements mandibulaires Abrasions dentaires MOTIFS DE CONSULTATION
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament.
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailInfo. Ligue contre l Epilepsie. Epilepsie. Qu est-ce que c est une crise épileptique ou une épilepsie?
Ligue contre l Epilepsie Ligue Suisse contre l Epilepsie Schweizerische Liga gegen Epilepsie Lega Svizzera contro l Epilessia Swiss League Against Epilepsy Info Epilepsie Qu est-ce que c est une crise
Plus en détailExemple 1: Entorse cheville. ÉVALUATION INITIALE: entorse cheville
DPPS 4.0 RAPPORT EXEMPLES Les rapports que vous trouvez ci-joints ont étés élaborés en utilisant certains protocoles d exemple que vous trouvez dans le dossier C:\Delos\User\Trials\Dossier Général. On
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailINTERET DE LA SEQUENCE 3D ASL (ARTERIAL SPIN LABELING) CHEZ L ENFANT PRESENTANT UN DEFICIT NEUROLOGIQUE AIGU
Société de Médecine de Franche-Comté INTERET DE LA SEQUENCE 3D ASL (ARTERIAL SPIN LABELING) CHEZ L ENFANT PRESENTANT UN DEFICIT NEUROLOGIQUE AIGU SOCIETE DE MEDECINE DE FRANCHE-COMTE SEANCE D IMAGERIE
Plus en détail