Quelques définitions et notions génétiques pour commencer
|
|
- Ariane Gauvin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La CODOMINANCE le phénotype de l hétérozygote est intermédiaire entre les phénotypes des deux homozygotes, et on a 1 génotype = 1 phénotype Quelques définitions et notions génétiques pour commencer Le GÈNE, unité de fonction du matériel héréditaire, est l'information qui code pour un caractère, en général une protéine. La notion de gène existait longtemps avant la découverte de l'adn, c'est à dire longtemps avant qu'on en connaisse le support moléculaire et physique (Mendel, 1865 / Watson et Crick, 1953) Le LOCUS est l emplacement du gène sur le chromosome Les ALLÈLES sont les différentes séquences du même gène que l'on peut trouver à cet endroit, qui correspondent à différentes protéines déterminant un même caractère. Ils sont souvent créés par mutation ou ils correspondent à des formes différentes du même gène (notion de série pluriallélique) LeGÉNOTYPE d un individu à 1 locus donné est l'ensemble des allèles que possède cet individu à ce locus, soit 2 allèles pour les individus diploïdes, et 1 allèle pour les haploïdes un génotype homozygote possède des allèles semblables au locus considéré un génotype hétérozygote possède des allèles différents au locus considéré Le PHÉNOTYPE d un individu est l expression de son génotype dans un environnement donné ce qui produit le caractère observable chez cet individu LaDOMINANCE l effet phénotypique d un allèle (récessif) est masqué par un autre allèle (dominant), et le phénotype de l hétérozygote est alors celui de l homozygote dominant
2 Le support de l hérédité Support de l information génétique = ADN = Acide DésoxyriboNucléique L ADN est contenu dans les chromosomes sous la forme de long filaments très fins et très compactés Les chromosomes sont situés dans le noyau des cellules vivantes ADN humain = 3 x 10 9 nucléotides (A, T, C ou G) ADN des virus = qq milliers de nucléotides ADN du blé = 16 x 10 9 nucléotides ADN de la Pomme de Terre = 840 x 10 6 nucléotides ADN du riz = 450 x 10 6 nucléotides ADN d Arabidopsis thaliana = 125 x 10 6 nucléotides ADN de la levure de boulangerie (Saccharomyces cerevisiae) = 12 x 10 6 nucléotides ADN de l agent de la malaria (Plasmodium falciparum) = 12 x 10 6 nucléotides ADN d une entérobactérie (E. coli) = 4 x 10 6 nucléotides
3 Le support de l hérédité Le fonctionnement des gènes Transcription Traduction Son activité est particulièrement responsable du phénotype observé
4 Le support de l hérédité Le code génétique est UNIVERSEL
5 Les mutations: moteurs de l évolution Exemples de mutations: les mutations géniques
6 Les mutations: moteurs de l évolution Exemples de mutations: les mutations chromosomiques
7 Comment sont transmis les gènes à la descendance? Diploïde = 2n : 1 n du père et 1 n de la mère Voir la présentation de Herman Höfte pour le détail
8 Schéma du réseau d interactions responsable du phénotype observé
9 D autres notions génétiques Létalité : notion qui est rattachée à l existence d un type particulier d allèles qualifiés de «létaux» qui se manifestent par la mort de l individu porteur avant sa maturité (en période pré- ou post-natale) Si allèle dominant : mort rapide de l individu hétérozygote et disparition de l allèle létal de la population (pas d individus porteurs) Si allèle récessif : mort rapide des individus homozygotes mais maintien des individus hétérozygotes «porteurs» (peuvent présenter des altérations par rapport au «sauvage») Redondance : c est la capacité pour un gène ou le produit d un gène de compenser au moins partiellement la perte de l activité d un autre gène non allélique (voir exemple de jeudi matin à propos du métabolisme de l amidon) Pléiotropie : résultat de la mutation d un gène chez un individu qui conduit à l apparition de plusieurs modifications phénotypiques apparemment non liées entre elles. exemple de la biosynthèse de l amidon: pois lisses et ridés de Mendel!
10 Exemple d épistasie récessive du métabolisme de l amidon: mutation au niveau de l ADPGlucose pyrophosphorylase qui synthétise le nucléotide sucre précurseur de la synthèse du polymère de réserve. D autres notions génétiques Epistasie : c est un phénomène d interaction génique qui s établit chaque fois que 2 gènes ou plus codent des enzymes qui catalysent différentes étapes de la même voie de biosynthèse Epistasie dominante P (précurseur) g X + g A + e X P 1 e A e B P 2 g A+ domine sur g A- et g B+ domine sur g B - g B + P 3 Epistasie récessive g + X g + g + A B gène enzyme (en) produit des gènes correspondants P (précurseur) e X P 1 e A P 2 e B P 3 (produit final) Génotypes g A+ - /g B+ - g A+ - /g B- g B - g A- g A- / g B+ - g A- g A- /g B- g B - Proportions classiques g A+ g A- /g B+ g B- x g A+ g A- /g B+ g B Epistasie dominante 12 (P 2 ) 3 (P 3 ) 1 (P 1 ) Epistasie récessive 9 (P 3 ) 3 (P 2 ) 4 (P 1 )
11 Notion de gènes orthologues et paralogues Séquences homologues: Orthologues et Paralogues sont 2 types de séquences homologues Divergence au cours de l évolution pour donner des gènes orthologues L Orthologie définit des gènes dans différentes espèces qui drivent d un ancêtre commun. Des gènes orthologues peuvent ou non avoir la même fonction La Paralogie définit des gènes homologues à l intérieur d une même espèce. Ces gènes ont divergés suite à un phénomène de duplication. 2 gènes paralogues «initiaux» issus d un événement de duplication ancestral
12 Génétique classique et Génétique inverse : quelle différence? Génétique classique : c est l observation et la description d un phénotype particulier engendré par une mutation qui va servir de base à l identification fonctionnelle d un gène et de son produit (le plus souvent une protéine) = Démarche à l aveugle mais ouverte Génétique inverse : c est l analyse de l impact sur le phénotype consécutive à la modification dirigée d un gène sélectionné (génotype) = Démarche sélective et prédéfinie
13 Génétique classique ou inverse? analyse comparative Génétique «classique» Le «plus» : 1. Facile à mettre en œuvre (faire de la mutagenèse) 2. Permet de découvrir des fonctions inconnues (approche «a priori») Le «moins»: 1. Requiert le criblage de milliers de clones mutants (pas toujours facile selon l organisme étudié) 2. Nécessite l existence d un crible phénotypique simple, rapide et efficace 3. Limitée par la redondance fonctionnelle ou l absence de phénotype facilement observable Génétique «inverse» Le «plus» : 1. Limite les problèmes de détection phénotypique liés particulièrement aux redondances fonctionnelles 2. On s intéresse tout de suite à la fonction souhaitée Le «moins»: 1. Requiert l existence de collections de mutants 2. Le génome de l organisme étudié doit être décodé 3. Ne permet pas de découvrir des fonctions inconnues dans le métabolisme étudié (approche «a posteriori») 4. Nécessite une connaissance préalable du métabolisme étudié
14 Comment mettre en œuvre la génétique inverse à grande échelle chez les plantes? L exemple d Arabidopsis thaliana On a détourné la fonction normale d une séquence particulière, l ADN-T, provenant de la bactérie phytopathogène Agrobacterium tumefaciens
15 Un exemple: la collection de mutants d insertion de l INRA de Versailles * Insertion aléatoire de l ADN-T modifié d A. tumefaciens * Séquençage des extrémités flanquant le site d insertion de l ADN-T (FST) * Mise à disposition des FSTs sur Internet Permet la recherche de mutants d intérêt in silico Environ FST disponibles dans la collection de Versailles A travers toutes les collections de mutants du Monde: mutants étiquetés dispo avec les FST correspondantes (environ gènes chez A. thaliana)
16 Transformation d A.thaliana par l ADN-T modifié d A. tumefaciens ¼ WT ½ Hétérozygotes ¼ Mutants Plante T0 (WS) Transformation (suspension Agrobacterium + Silwet) Sélection sur terreau + BASTA Seules les graines basta R sont en capacité de croître sur un tel milieu Graines T1 Certaines graines possèdent une copie de l ADN-T intégrée dans leur génome nucléaire Auto-pollinisation Plantes T1 Hémizygotes pour l ADN-T Graines T2 Ce sont ces graines qui sont maintenues dans les collections et dont certaines sont transmises aux chercheurs qui en font la demande
17 Sélection des lignées mutantes par une stratégie de double PCR Homozygote WT +/+ Hétérozygote +/- Homozygote mutant -/- ADN-T ADN-T ADN-T Pas de bande Pas de bande Couple «rouge» Couple «bleu» Couple «rouge» Couple «bleu» Couple «rouge» Couple «bleu» Copie «WT» Copie «ADN-T»
18 Pour résumer sur Arabidopsis thaliana Génome nucléaire totalement décodé et annoté (125 Mb organisés en 5 chromosomes; environ gènes) Vastes collections de mutants étiquetés par insertion d un dérivé de l ADN-T Large collection d ESTs ( au 01/03/2005) Croissance rapide, croisements facilement réalisables, infrastructures légères (pièces de culture confinées et/ou serres) Modèle végétal particulièrement adapté à l approche de génétique inverse
19 D autres modèles végétaux? Le riz : même type d approche que pour Arabidopsis thaliana. Génome totalement décodé, vastes collections de mutants d insertion engendrées par l utilisation d une forme modifiée de l ADN-T Le maïs : mutagenèse insertionnelle par le transposon «mu» modifié (RescueMu). Génome non séquencé. Production d une Gene-Machine (machine à gènes) pour permettre la sélection d individus mutants à partir d un gène d intérêt (existence de collections de graines mutantes La pomme de terre : stratégie des ARN antisens Intéressante mais a ses limites (problème lié à l extinction incomplète de l activité des gènes)
CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailLes débuts de la génétique
HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.
Plus en détailGénoToul 2010, Hôtel de Région Midi Pyrénées, Toulouse, 10 décembre 2010
GénoToul 2010, Hôtel de Région Midi Pyrénées, Toulouse, 10 décembre 2010 Analyse de la diversité moléculaire des régions génomiques de 30 gènes du développement méristématique dans une core collection
Plus en détailUnivers Vivant Révision. Notions STE
Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,
Plus en détailLA TRANSMISSION DES CARACTÈRES
LA TRANSMISSION DES CARACTÈRES HÉRÉDITAIRES BIO-5065-2 GUIDE D APPRENTISSAGE BIOLOGIE Janvier 2005 Version révisée (avril 2005) 2 Ce document, produit par la Commission scolaire Marie-Victorin, reprend
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailI. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie
LES LEVURES UE «levures» -5 avril: généralités (MN Simon) -6 avril: analyse génétique (MN Simon) -6 avril: Cycle cellulaire I: la réplication (E. bailly) -7 avril: Cycle cellulaire II: la mitose (E. Bailly)
Plus en détailExercices de génétique classique partie II
Exercices de génétique classique partie II 1. L idiotie phénylpyruvique est une maladie héréditaire dont sont atteints plusieurs membres d une famille, dont voici l arbre généalogique : 3 4 5 6 7 8 9 10
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailMABioVis. Bio-informatique et la
MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID
Plus en détail1 les caractères des êtres humains.
Quelques rappels des classes précédentes ACTIVITÉ livre pages 8 et 9 : apprendre le bilan de la page 9 Les êtres vivants sont répartis en espèces. Chaque être vivant est formé de cellules. schéma d une
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailPlateforme. DArT (Diversity Array Technology) Pierre Mournet
Plateforme DArT (Diversity Array Technology) Pierre Mournet Lundi 8 avril 203 Pourquoi des DArT? Développement rapide et peu onéreux de marqueurs : Pas d information de séquence nécessaire. Pas de pré-requis
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailChapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype
Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente
Plus en détailPlateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations
Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailSéquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire
Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences
Plus en détailMaster de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant
Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant Parcours: Master 1 : Bioinformatique et biologie des Systèmes dans le Master
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailSéquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN
Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité
Plus en détailL universalité et la variabilité de l ADN
L universalité et la variabilité de l DN Unité 4 3 μm hromosomes observés en microscopie électronique à balayage. Les chromosomes, présents dans le noyau, sont constitués d acide désoxyribonucléique (DN).
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailBig data et sciences du Vivant L'exemple du séquençage haut débit
Big data et sciences du Vivant L'exemple du séquençage haut débit C. Gaspin, C. Hoede, C. Klopp, D. Laborie, J. Mariette, C. Noirot, MS. Trotard bioinfo@genopole.toulouse.inra.fr INRA - MIAT - Plate-forme
Plus en détailGénomique Comparative et intégrative
Génomique Comparative et intégrative Introduction : Le big data : on peut traiter des données massives à présent, l'objectif à présent est d'éviter les transferts de données trop longs. On a tout à portée
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailGènes Diffusion - EPIC 2010
Gènes Diffusion - EPIC 2010 1. Contexte. 2. Notion de génétique animale. 3. Profil de l équipe plateforme. 4. Type et gestion des données biologiques. 5. Environnement Matériel et Logiciel. 6. Analyses
Plus en détailSéquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailDétection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de la théorie des flots
Université Toulouse 3 Paul Sabatier(UT3 Paul Sabatier) Informatique Spécialité Bioinformatique Eric AUDEMARD lundi 28 novembre 2011 Détection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de
Plus en détailLes outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques
Les outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques Sommaire Preparation des acides nucléiques Extraction / purification Les enzymes agissant sur les acides nucléiques Les enzymes
Plus en détailBases de données des mutations
Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app
Plus en détailDepuis des milliers de générations, le ver à soie est l objet d une sélection
Production de soie et caractéristiques des glandes séricigènes de 13 races de ver à soie (Bombyx mori) J. M. FAYARD Laboratoire de biométvie, Dépavtement de biologie générale et appliquée Université Claude
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL
BACCALAURÉAT GÉNÉRAL Session 2013 SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE Série S Durée de l épreuve : 3 heures 30 coefficient : 8 ENSEIGNEMENT DE SPÉCIALITÉ L usage de la calculatrice n est pas autorisé. Dès
Plus en détailStabilitéet variabilitédes génomes au cours de la reproduction sexuée
Stabilitéet variabilitédes génomes au cours de la reproduction sexuée 1 1 Reproduction sexuée et stabilitéde l espèce 2 2 L évolution du nombre de chromosones au cours de la reproduction sexuelle Le cycle
Plus en détailBases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre
Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence
Plus en détailVue d ensemble de la vie microbienne
Vue d ensemble de la vie microbienne C HAPITRE D EUX I Structure cellulaire et évolution 22 2.1 Les structures cellulaires et virales 22 2.2 L organisation de l ADN dans les cellules microbiennes 24 2.3
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailLa gestion de données dans le cadre d une application de recherche d alignement de séquence : BLAST.
La gestion de données dans le cadre d une application de recherche d alignement de séquence : BLAST. Gaël Le Mahec - p. 1/12 L algorithme BLAST. Basic Local Alignment Search Tool est un algorithme de recherche
Plus en détailLe Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant.
MEDAILLE D OR DU CNRS 2011 Le Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant. Extrait de l allocution prononcée le 19 juin 2007 par Jules Hoffmann,
Plus en détailEco-système calcul et données
Eco-système calcul et données M. Daydé Dr du Comité d'orientation pour le Calcul Intensif (COCIN) Délégué Scientifique INS2I en charge HPC / Grille / Cloud Calcul / données : un enjeu stratégique Calcul
Plus en détailRésumé de la thèse intitulée
Résumé de la thèse intitulée "L ÉVALUATION DES VARIÉTÉS LOCALES DE VIEILLE POMME CONCERNANT LA RÉSISTANCE AUX MALADIES. " Drd. MANAFU Dan Petrisor Mots-clés: variétés locales, des formes de résistance,
Plus en détailENSMIC ALIMENTATION HUMAINE Condensé de cours Annick Le Blanc 2007-2008 LA FERMENTATION PANAIRE
LA FERMENTATION PANAIRE 1 La levure La levure est un champignon microscopique unicellulaire de la famille des ascomycètes. La levure utilisée en boulangerie appartient au genre Saccharomyces, espèce cerevisiae.
Plus en détailIntroduction à la Génomique Fonctionnelle
Introduction à la Génomique Fonctionnelle Cours aux étudiants de BSc Biologie 3ème année Philippe Reymond, MER PLAN DU COURS - Séquençage des génomes - Fabrication de DNA microarrays - Autres méthodes
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailConcours «30 ans de l Espace des sciences»
Concours «30 ans de l Espace des sciences» Règlement de l opération L Espace des sciences, à l occasion de son 30 ème anniversaire, organise un concours à destination des scolaires de l Ille et Vilaine.
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailContrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles
Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le
Plus en détailCOURS D ANALYSE DES GENOMES
COURS D ANALYSE DES GENOMES ANNEE UNIVERSITAIRE 2013-2014 * * * * * * Codirecteurs du Cours : Bernard DUJON et Stéphane LE CROM Chef de Travaux : Lionel FRANGEUL * * * * * * LE COURS SE DEROULE DU 4 NOVEMBRE
Plus en détailUNIVERSITÉ DE LOMÉ DÉPARTEMENT DE BOTANIQUE
UNIVERSITÉ DE LOMÉ DÉPARTEMENT DE BOTANIQUE MASTER BIOLOGIE VÉGÉTALE APPLIQUÉE (BVA, FDS) TYPE : Recherche DOMAINE : Sciences et Technologies MENTION : Sciences de la Vie SPECIALITÉS : 1. AMÉNAGEMENT ET
Plus en détailAGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS
AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C
Plus en détailTEST GENOTYPIQUE DE RESISTANCE AUX INHIBITEURS DE L INTEGRASE
TEST GENOTYPIQUE DE RESISTANCE AUX INHIBITEURS DE L INTEGRASE RAPPORT D EVALUATION Avril 2010 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La Plaine CEDEX Tél.
Plus en détailSéquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique
Séquence 4 La nature du vivant Sommaire 1. L unité structurale et chimique du vivant 2. L ADN, support de l information génétique 3. Synthèse de la séquence 4. Exercices Devoir autocorrectif n 2 Séquence
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailESSAIS AU CHAMP PLURIANNUELS DE MAIS GENETIQUEMENT MODIFIE EXPRIMANT UNE LIPASE GASTRIQUE POUR DES APPLICATIONS MEDICALES
DEMANDE D AUTORISATION AUPRES DU MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ALIMENTATION, DE LA PECHE ET DES AFFAIRES RURALES ESSAIS AU CHAMP PLURIANNUELS DE MAIS GENETIQUEMENT MODIFIE EXPRIMANT UNE LIPASE GASTRIQUE
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailTESTS D HYPOTHÈSE FONDÉS SUR LE χ². http://fr.wikipedia.org/wiki/eugénisme
TESTS D HYPOTHÈSE FONDÉS SUR LE χ² http://fr.wikipedia.org/wiki/eugénisme Logo du Second International Congress of Eugenics 1921. «Comme un arbre, l eugénisme tire ses constituants de nombreuses sources
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailFeuille couverture de tâche du cadre du CLAO
Feuille couverture de tâche du cadre du CLAO Titre de la tâche : Trouver de l information nutritionnelle en ligne Nom de la personne apprenante : Date de début : Date de fin : Réussite : Oui Non Voie :
Plus en détailIsolement et Diversité Génétique des Dugongs de Nouvelle Calédonie
Isolement et Diversité Génétique des Dugongs de Nouvelle Calédonie Rapport final Marc OREMUS, Claire GARRIGUE & Christophe CLEGUER Opération Cétacés B.P. 12 827, 98802 Nouméa, Nouvelle-Calédonie Tél. /
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailBIG DATA une évolution, une révolution, une promesse pour le diagnostic
Journées One Health d Ile-de-France BIG DATA une évolution, une révolution, une promesse pour le diagnostic 27 novembre 2014 de 13h30 à 17h30 Amphithéâtre 3 du Campus Centre UPEC Le séminaire sera suivi
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailINFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE
Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailPlanches pour le Diagnostic microscopique du paludisme
République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Programme National de Lutte Contre le Paludisme Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme Ces planches visent à améliorer le diagnostic
Plus en détailTHÈSE. Tiphaine Oudot
Thèse de doctorat préparée au laboratoire des maladies dermatologiques du Centre National de Génotypage dans le cadre de l'école Doctorale SITE EVRY de l'université d'evry-val d'essonne THÈSE pour l'obtention
Plus en détailDépistage drépanocytose. Édition 2009
Dépistage drépanocytose Édition 2009 ÊTre hétérozygote et alors Madame, Monsieur, Comme tous les nouveau-nés, votre bébé a eu un prélèvement de sang au talon. Ce prélèvement a été réalisé dans le cadre
Plus en détailLa notion de croissance (végétale) en sixième et en première S.
La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. Activité proposée : La notion de croissance est abordée en classe de 6 ème et elle est traitée en première S. Montrez sur cet exemple qu
Plus en détailVI- Expression du génome
VI- Expression du génome VI-1.- EXPRESSION DU GÉNOME- PRINCIPES GÉNÉRAUX DOGME CENTRAL Les gènes et l information génétique sont conservés sous forme d acides nucléiques La perpétuation à l identique de
Plus en détailS.P.S.N. Lac du Der 2008
S.P.S.N. Lac du Der 2008 Qu'est-ce qu'un histogramme? C'est un graphique qui montre la répartition des pixels de l'image en fonction de leur luminosité. Chaque type d'image (normale, surexposée, sous exposée,
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Mucoviscidose (gène CFTR) Hémochromatose (gène HFE) Thrombophilies (gènes F2 et F5) Caractéristiques génétiques à des fins médicales
Plus en détailprésentée DEVANT L UNIVERSITÉ DE RENNES 1 pour obtenir le grade de : DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ DE RENNES 1 PAR Emilie GUÉRIN TITRE DE LA THÈSE :
N Ordre de la Thèse 3282 THÈSE présentée DEVANT L UNIVERSITÉ DE RENNES 1 pour obtenir le grade de : DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ DE RENNES 1 Mention : BIOLOGIE PAR Emilie GUÉRIN Équipe d accueil : École Doctorale
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailUNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES
ORIGINAL: anglais DATE: 18 septembre 2014 UNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES Genève F LOGICIELS ÉCHANGEABLES Document adopté par le Conseil à sa quarante-huitième session
Plus en détailPlace de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH Lionel PIROTH CHU Dijon, Université de Bourgogne Tours juin 2012 Un problème? VIH-VHB Piroth L et al, J Hepatol,
Plus en détailBig Data et la santé
Big Data, c'est quoi? Big Data et la santé Collecte, stockage et exploitation de masses de données Capter de façon automatique et anonyme une très grande quantité d'informations, les traiter avec des algorithmes
Plus en détailPARTIE I Compte pour 75 %
PARTIE I Compte pour 75 % Instructions : Noircissez la lettre correspondant à la bonne réponse sur la feuille de réponse fournie. 1. Dans le diagramme, quelles structures font partie du système nerveux
Plus en détailAnnexe 1. Glossaire... 19 Annexe 2. Éléments de gestion de la PFQ de produit GM dans le grain... 22
Projet de politique nationale sur la gestion de la présence de faibles quantités de cultures génétiquement modifiées dans les importations et son cadre de mise en œuvre connexe Septembre 2012 Table des
Plus en détail4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE
4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes
Plus en détailSpécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB)
Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB) Responsable : Jean-François Cavin (Pr. Microbiologie Biotechnologie) Tel 03 80 77 40 72, Fax 03 80 77 23 84 jf.cavin@agrosupdijon.fr
Plus en détailPremière partie. Introduction Générale
Première partie Introduction Générale IX L amélioration des espèces cultivées a pour but de produire des variétés présentant des caractéristiques nouvelles pour des caractères d intérêt agronomique (création
Plus en détailVariables Aléatoires. Chapitre 2
Chapitre 2 Variables Aléatoires Après avoir réalisé une expérience, on ne s intéresse bien souvent à une certaine fonction du résultat et non au résultat en lui-même. Lorsqu on regarde une portion d ADN,
Plus en détailUniversity of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et. Kanagawa Academy of Science and Technology
COMMUNIQUÉ DE PRESSE le 25 mars 2014 Une étude conjointe menée par University of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et Kanagawa Academy of Science and Technology suggère que le sirop
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailActualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures. Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht
Actualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht Alimentation et démographie mondiale Augmentation annuelle de 80 millions Croissance surtout dans
Plus en détailPhotons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique
Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de
Plus en détaillire les Étiquettes et trouver les sucres cachés
lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne
Plus en détailAnalyse technique de l'action Apple
Compte-Rendu Salon de l'analyse technique à l'espace Pierre Cardin à Paris le 24/03/2012. Présentation de cette analyse réalisée par Stéphane Ceaux-Dutheil. Quand on parle de finance de marché il est nécessaire
Plus en détailLES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS
CHAPITRE 1.1.7. LES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS INTRODUCTION Les méthodes de biologie moléculaire ont de plus en plus d applications dans
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailFeuille d exercices 2 : Espaces probabilisés
Feuille d exercices 2 : Espaces probabilisés Cours de Licence 2 Année 07/08 1 Espaces de probabilité Exercice 1.1 (Une inégalité). Montrer que P (A B) min(p (A), P (B)) Exercice 1.2 (Alphabet). On a un
Plus en détailDIOGENE. Un logiciel de Génétique & Amélioration des Plantes
DIOGENE Un logiciel de Génétique & Amélioration des Plantes Utilisateurs Etudiants (DEA, thèse) Chercheurs confirmés (INRA, CIRAD, Universités Laval et Lyon 1) Gestionnaires de programmes d Amélioration,
Plus en détailSemestre 2 Spécialité «Analyse in silico des complexes macromolécules biologiques-médicaments»
Master In silico Drug Design Semestre 2 Spécialité «Analyse in silico des complexes macromolécules biologiques-médicaments» 30NU01IS INITIATION A LA PROGRAMMATION (6 ECTS) Responsables : D. MESTIVIER,
Plus en détail