DU Alzheimer Nice Cimiez Vieillissement, du normal au pathologique
|
|
- Valentin Sergerie
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DU Alzheimer Nice Cimiez Vieillissement, du normal au pathologique Alain FRANCO, PUPH Gériatre et Gérontologue
2 Enjeux
3 Pourquoi faut-il s occuper des vieux? Parce qu ils sont de plus en plus nombreux: le papy boom
4 Futurs aidants naturels ou professionnels Les jeunes générations futurs aidants
5 Pourquoi faut-il s occuper des vieux? Parce qu ils sont de plus en plus nombreux: le papy boom Parce que certains en ont besoin: morbidité & fragilité & handicap
6 Vieillissement, une extrême diversité PERSONNES AGEES % Pathologique Habituel Réussi
7 Mode de vieillissement
8 Les Problèmes du Vieillissement 1) Malade, les 4 contrats 2) Maladie, polypathologie 3) Dépendance, séquence de Wood 4) Famille, 5 générations et des aidants 5) Société, entourage, maintien à domicile 6) Économie, Choix politiques 7) Maltraitance, Droits de l Homme 8) et certaines réponses
9 1 Malade
10 Pour le malade âgé tout change Le corps change, Les réseaux sociaux, Le changement de la tolérance (le cri à l aide), La présentation de la maladie
11 Personne âgée malade Le corps change. La presbytie nous amène à porter des lunettes. Notre taille diminue. etc...
12 Personne âgée malade Présentation de la maladie Chaque malade âgé est au centre d une interaction complexe de problèmes biologiques, sociaux et psychologiques, à expressions variables La tâche du médecin est de les démêler
13 Les 4 contrats selon Peter MILLARD (Advances in cell aging and gerontology, 1996, 1, ) 1. "Je suis malade, aidez-moi..." 2. "Si au moins j avais pu vous voir plus tôt." 3. "Vous pourriez être malade et je peux vous aider..." 4. " Il/Elle pose un problème - Faites quelquechose!..."
14 Les 4 contrats 1. Je suis malade, aidez-moi Classique douleur, dyspnée, oedème, toux, céphalées, hémorragies,... mais attention à la modification des symptômes avec l âge
15 Les 4 contrats 2. Si au moins j avais pu vous voir plus tôt Peur, ignorance, faute médicale,... le médecin est en position de défense
16 Les 4 contrats 3. Vous pourriez être malade et je peux vous aider Oeil, oreille, mastication, pied, en dehors de celà le dépistage se discute
17 Les 4 contrats 4. Il / Elle pose un problème - Faites quelquechose! Chutes, confusion, troubles du comportement, incontinence,... chercher la cause, traiter, prendre en charge
18 2 Maladie
19 Maladie Monopathologie Polypathologie Pathologie spécifiée
20 Maladie Monopathologie Comme chez l adulte Maladie aigue isolée ou qui décompense, pneumonie, infection, infarctus, AVC, embolie Maladie chronique, rarement seule, HTA, arthrose, parkinson, démence
21 Maladie Polypathologie Expression normale de la maladie chez l âgé, le très âgé 3 maladies par personne en communauté 6 maladies chez l hospitalisé il faut faire des choix thérapeutiques
22 Maladie Pathologie spécifiée Chutes Confusion et Démence Incontinence Escarres Spasticité Hospitalisme, nosocomie et «bloccage» des lits aigus (MILLARD 1996)
23 Maladie Pathologie spécifiée Fragilité L'âgé infecté Déséquilibres et syncopes Désordres hydroélectrolytiques Syndrômes d'altération mentale Baisse de l'état général Troubles du sommeil Incontinence Impuissance Troubles de la déglutition et dysphagie Constipation Diarrhée Lombalgies et fatigue Problèmes de podologie Immobilisation Chutes Fractures du fémur Escarres (HAZARD, 1994)
24 Le très âgé présente pathologies et incapacités, mais est-il malade? les rescapés de la pathologie sont rares la majorité est polypathologique (3 à 9 maladies) car l âge est un facteur de risque de multiples affections physiques et psychiques mais se sent-il malade? pose les questions de la qualité et du projet de vie, de son sens éthique et philosophique
25 J.-C. Henrard. La santé au grand âge, Actualité et dossier en santé publique, 1997, n 20, pp I-XI. "La présence de maladies et même d'incapacités n'est pas synonyme pour les personnes du grand âge de mauvaise santé. Le sentiment d'utilité sociale, les échanges avec l'entourage semblent essentiels pour conserver un sentiment de bonne santé (santé perçue) et une bonne qualité de vie et même en cas d'incapacités parfois sévères."
26 Transition démographique > 10% des 65+ Europe %, World s number one Developed countries in % Maladies chroniques > maladies aigues
27 Maladies chroniques (âgé) Coeur Poumon BPCO, Asthme Diabète Obésité Dénutrition Cancer Dépression Alzheimer s & SA Alcool Polymédication Douleur chronique Schizophrénie Accompagnement Survivants d AVC Maladies digestives inflammatoires Insuffisance rénale Anémie Basse vision Presbyacousie Hypertension Arthrose..
28 Expression des besoins La maladie Diagnostic, Traitement Monopathologie Patients group or association or lobby Les conséquences de(s) la maladie(s) Douleur, soins palliatifs Polypathologie (vieillissement) Incapacité, handicap Disease management Case management
29 3 Dépendance des autres pour la réalisation des actes de la vie quotidienne
30 Fonction et handicap
31 Croître et vieillir Fonction Seuil de décompensation Vie
32 Croître et vieillir Fonction Croissance Vieillissement Seuil de décompensation Vie
33 Croître et vieillir Fonction Croissance 1 2 Vieillissement Seuil de décompensation Vie
34 Vieillir c est fonctionner moins Fonction Vieillissement Seuil de décompensation Vie
35 Vieillir c est avoir moins de réserves pour fonctionner Fonction Vieillissement Réserves Seuil de décompensation Vie
36 Vieillir c est avoir moins de réserves pour fonctionner Fonction 1 2 Vieillissement Réserves Seuil de décompensation Vie
37 Vieillir c est fonctionner moins Fonction Vieillissement Réserves Seuil de fragilité Seuil de décompensation Vie
38 Accidents et maladies en plus Fonction Vieillissement Seuil de décompensation Vie Accident- Maladie- Environnement
39 Vieillissement Situation de handicap Fonction Seuil de décompensation Vie Décompensation
40 Vieillissement Situation de handicap Fonction Seuil de décompensation Vie Décompensation
41 Compensation, besoin et droit Fonction Vieillissement Compensation Décompensation Seuil de décompensation Vie
42 Fonction Compensation Vieillissement Compensation Décompensation Seuil de décompensation Vie
43 Vieillissement Compensation Prévention Fonction Seuil de décompensation Vie Décompensation Primaire Secondaire Tertiaire
44 Moyens Fonction Décompensation Logement Mobilité Accessibilité Sécurité Médicament Technologie Nutrition Soin Emploi Formation Occupation Jeu Vieillissement Seuil de décompensation Compensation Vie
45 Moyens Fonction Décompensation Logement Mobilité Accessibilité Sécurité Médicament Technologie Nutrition Soin Emploi Formation Occupation Jeu Vieillissement Seuil de décompensation Compensation Un droit (loi 2005)!... Vie
46 Moyens Fonction Logement Mobilité Accessibilité Sécurité Médicament Technologie Nutrition Soin Emploi Formation Occupation Jeu Décompensation Logement Mobilité Accessibilité Sécurité Médicament Technologie Nutrition Soin Emploi Formation Occupation Jeu Vieillissement Seuil de décompensation Compensation Et prévention!... Vie
47 Vers une révolution fonctionnelle La CIM (10) pour la classification des maladies La CIF pour la classification du fonctionnement A la médecine, s ajoute dorénavant le fonctionnement en santé des personnes
48 La séquence de Philip Wood (ICIDH-WHO 1980) Maladie Déficience (organe/fonction) Incapacité (activité/ personne) Handicap/ Désavantage (vie sociale) Dépendance
49 La séquence de Philip Wood (ICIDH-WHO 1980) Maladie Déficience (organe/fonction) Incapacité (activité/ personne) Handicap/ Désavantage (vie sociale) Dépendance
50 La séquence de Philip Wood (ICIDH-WHO 1980) Maladie Déficience (organe/fonction) Incapacité (activité/ personne) Handicap/ Désavantage (vie sociale) Dépendance
51 Une évolution socio-politioque planétaire des idées sur le handicap Émergence du Independent Living Movement (Etats-Unis, 1960) Alternatives à l institutionnalisation et aux pratiques réadaptatives traditionnelles Critique du modèle sanitaire Les principes: Empowerment (potentialisation) des Personnes handicapées qui ne se considèrent pas comme malades Expertise de la personne handicapée Autogestion des Centres de ressources Diffusion du modèle et extension du mouvement I.L. dans le monde -> OMS
52 Classification internationale du Fonctionnement, du Handicap et de la Santé (CIF, OMS, 2001) Problèmes de santé (troubles/maladies) Fonctions & structures corporelles (Déficiences) Activités (Limitations) (Incapacité) Participation (Restrictions) (Handicap) Facteurs environnementaux Facteurs personnels
53 Classification internationale du Fonctionnement, du Handicap et de la Santé (CIF, OMS, 2001) Problèmes de santé (troubles/maladies) Fonctions & structures corporelles (Déficiences) Activités (Limitations) Participation (Restrictions) Facteurs environnementaux Facteurs personnels
54 Activité Une activité signifie l exécution d une tâche ou d une action par une personne. Les limitations d activité désignent les difficultés qu une personne peut rencontrer pour mener une activité.
55 Participation La participation signifie le fait de prendre part à une situation de vie réelle. Les restrictions de participation désignent les problèmes qu une personne peut rencontrer pour participer à une situation réelle.
56 Facteurs environnementaux Les facteurs environnementaux constituent l environnement physique, social et attitudinal dans lequel les gens vivent et mènent leur vie. Les éléments de l environnement peuvent faciliter ou entraver la réalisation d activités ou la participation sociale.
57 Situation de handicap La dépendance s'exprime à travers : Une déficience fonctionnelle d organe Une limitation d activité de la personne (incapacité) Une restriction de la participation à la vie sociale (désavantage, ou handicap) Le poids des mots: Chez l'âgé on utilise peu le mot handicap, hormis le surhandicap sensoriel Chez le jeune on utilise peu le mot dépendance Pourquoi?
58 La fonction dans l Alzheimer et les syndromes apparentés
59 Démence La démence est un terme générique qui décrit une altération chronique ou progressive de la fonction cérébrale corticale ou souscorticale conduisant à un déclin cognitif complexe. Ces altérations cognitives sont en général associées à des troubles de l'humeur, du comportement, et de la personnalité. Ritchie, Lancet 2002
60 Définitions Être dément (DSM IV) c'est présenter une altération importante des fonctions cognitives entraînant une perte d'autonomie dans les activités de la vie quotidienne
61 Clinique de l'alzheimer Handicap cognitif Syndrome amnésique Troubles praxiques Troubles du langage Troubles des fonctions exécutives Troubles visuo-spatiaux Handicap psychique Modifications de la personnalité Troubles du comportement Handicap sensoriel: olfaction, vision Handicap physique: mobilité, incontinence Complications: nutritionnelles, etc
62 Évolution de la maladie d Alzheimer Gauthier, 1996
63 Situations de handicap complexes dans la démence Fonction Vieillissement Compensation Seuil de décompensation Décompensation Décompensation Décompensation Décompensation Décompensation Vie
64 Situation globale de handicap Perte progressive des capacités fonctionnelles de la vie quotidienne AIVQ (IADL) AVQ (ADL)
65 Capacités fonctionnelles de la vie quotidienne Activités s de la vie quotidienne (AVQ, ADL de Katz) lit-fauteuil se laver se nourrir aller aux WC s'habiller Activités instrumentales de la vie quotidienne (AIVQ, IADL de Lawton) cuisiner faire ses courses faire le ménage gérer les comptes téléphoner prise médicaments voyager
66 Evaluer le fonctionnement de la personne
67 Malade âgé Assessement Dépendance Fragilité
68 4 Famille
69 La Famille de l âgé Son conjoint Ses enfants Ses petits-enfants 5 générations (300+ familles en France) L aidant naturel, ou personne Solidarité obligatoire, amour, finances et maltraitance
70 5 Société
71 Vieillissement Les réseaux sociaux 1. Voisins 2. Famille 3. Services La dépendance s exprime progressivement: 1. Tondre la pelouse 2. Faire les courses 3. Faire la cuisine 4. Assurer ses soins.../ Incontinence urinaire puis fécale
72 Vieillissement Le changement de la tolérance de l'entourage (le cri à l aide) Tôt ou tard, selon la tolérance du malade et de son entourage La dépendance n est pas uniquement liée à l âge Tout changement dans la dépendance implique une opinion médicale avisée
73 Les problèmes sociaux de l âgé Isolement ou solitude Logement Finances Activité sociale Exister en tant que citoyen à part entière Intrication permanente entre la maladie, la dépendance et l isolement
74 Le maintien à domicile Il faut le favoriser, mais il a un coût Pas d'acharnement social au MAD (JF Midey 1997)
75 Le continuum du soin préserver le mode de vie indépendant assistance au domicile assistance au soin institutionnalisation
76 Certaines réponses aux défis de l âge
77 Vers de nouveaux paradigmes de santé Vieillir en bonne santé Au-delà d Hippocrate, le fonctionnement Vivre et vieillir chez soi La santé n exige plus une dépense mais un investissement Les aînés ont aussi leur part des droits humains
78 La révolution fonctionnelle... «La fonction prime l organe» La fonction prime la maladie Le projet fonctionnel va de l intégration sociale à la fin de vie Le projet fonctionnel prime le projet thérapeutique
79 La bientraitance Une spirale vertueuse Une volonté collective La recherche de la qualité Groupes de paroles et coordination multiprofessionnelle Évaluation des pratiques professionnelles MOBIQUAL, action du ministère de la santé et de la SFGG 2007
80 Le progrès... de la formation médicale et soignante de la connaissance biologique de la pharmacie du soin de la prise en charge sociale de la technologie de l'éthique et du sens de l'économie corollaire de la tolérance sociétale
Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailMaltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA
Maltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA et HABEO) 1 RAPPEL Vieillesse ne signifie pas : - DEPENDANCE
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailAméliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014
Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014 RAPPORT AU MINISTRE CHARGÉ DE LA SÉCURITÉ SOCIALE ET AU PARLEMENT SUR L ÉVOLUTION DES
Plus en détailIMMED Monitoring vidéo porté
IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées
Plus en détailL approche éthique en gérontechnologie
Colloque européen L art de vieillir chez soi Guéret 29 septembre Technologies et vieillissement: Jusqu où ne pas aller trop loin? L approche éthique en gérontechnologie Gérard Cornet; Alain Franco, Vincent
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailPROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE
1 PROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE Le Centre Hospitalier de SOMAIN a achevé sa restructuration en 1999 avec la fermeture de plusieurs services actifs (maternité,
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailDes dépenses comparables en institution et à domicile.
solidarité DOSSIERS santé et Dépenses de soins de ville des personnes âgées dépendantes Des dépenses comparables en institution et à domicile. N 42 Août 2013 La France compte 1 320 000 personnes âgées
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie de Parkinson
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie de Parkinson Vivre avec une maladie de Parkinson Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous
Plus en détailPrévention du déclin fonctionnel en EHPAD : rôle du massokinésithérapeute. Dr K.Sudres février 2015
Prévention du déclin fonctionnel en EHPAD : rôle du massokinésithérapeute Dr K.Sudres février 2015 Les résident d EHPAD sont majoritairement dépendants : aide complète pour l habillage (52.9%) et pour
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailDOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT
Jacques Butel - Nadiat Donnat - Jeanne Forestier - Céliane Héliot - Anne Claire Rae Forum prévention des chutes 2010 DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT 1 Recueil données Formulaire de signalement
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailAgenda. Prevalence estimates in France PAQUID 23/11/14. Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014. Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER
23/11/14 Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014 Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER Agenda La Banque Nationale Alzheimer Exemples d application Quelles potentialités pour la BNA? (à quelles conditions?)
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailComplémentaire Santé. MCDef MELODY SANTE. Préservez votre capital santé
1 Complémentaire Santé MCDef MELODY SANTE Préservez votre capital santé 2 MCDEF MELODY SANTE À partir de 46,93 / mois* pour un assuré de 60 ans en formule ECO * département 79 Au fil du temps, les besoins
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailProgramme DPC des infirmiers
Catalogue de formations de la FNFCEPPCS pour l année 2015 Programme DPC des infirmiers Le catalogue peut évoluer en cours d année ; nous vous en tiendrons informés. 1 L INFIRMIER DE CENTRE DE SANTÉ FACE
Plus en détailContenu. Introduction. Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs. Retrait de certains indicateurs. Répondants au sondage
Contenu Introduction Répondants au sondage Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs Pour chacun des quadrants Pour les dimensions des quadrants Retrait de certains indicateurs Indicateurs
Plus en détailConseils. pour les enfants, les adolescents et les adultes atteints de TDAH
Conseils pour les enfants, les adolescents et les adultes atteints de TDAH Conseils pour aider votre enfant atteint de TDAH Même si le traitement par VYVANSE peut permettre de gérer les symptômes du TDAH,
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailAUXILIAIRE DE VIE SOCIALE DEAVS CORRIGÉES ANNALES. session 2014. 3 e édition. Monique Forn Marie Rolland
AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CORRIGÉES ANNALES DEAVS session 2014 3 e édition Monique Forn Marie Rolland AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CORRIGÉES ANNALES DEAVS session 2014 3 e édition Monique Forn Assistante
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailPrésentation: Aline Mendes
Présentation: Aline Mendes Définition et aspects épidémiologiques; Parcours d un aidant et survenue du fardeau; Modalités d intervention; Institutionnalisation; L aidant professionnel; Réseau à Genève.
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailLa santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services
1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailDiabète de type 1 et haute montagne. Revue de la littérature
Diabète de type 1 et haute montagne Revue de la littérature Contre-indications absolues Diabète mal équilibré : hypoglycémies sévères mal ressenties, acido-cétose. Présence de complications du diabète
Plus en détailTrouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée
Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction
Plus en détailAssurance soins de longue durée
Assurance soins de longue durée Protection Temporelle Guide de l assuré GUIDE DE L ASSURÉ 1 Et si vous ne pouviez plus prendre soin de vous-même? Les progrès de la médecine et les meilleures conditions
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Une nouvelle activité vient de voir le jour. «Le BTP Gériatrique»
DOSSIER DE PRESSE Une nouvelle activité vient de voir le jour «Le BTP Gériatrique» Adapt 06 est une société de travaux tout corps d état, spécialisée dans l adaptation des logements pour les personnes
Plus en détailCharte nutritionnelle
Charte nutritionnelle NOTRE MISSION : CONSTRUIRE ET PRESERVER LE CAPITAL SANTE L équilibre alimentaire est un enjeu majeur de santé publique. De ce contexte, Nutrisens s engage à maintenir et à renforcer
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 28 janvier 2009 Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat Le groupe Malakoff Médéric et la Caisse
Plus en détailCADRE REGLEMENTAIRE. - en un lieu distant de plus de 150kms. - pour se soumettre au contrôle médicalm
LES TRANSPORTS CADRE REGLEMENTAIRE Sont remboursés, au titre des prestations légales les transports - liés à l hospitalisation - en rapport avec une affection de longue durée - en ambulance - liés à un
Plus en détailGUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE
GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire
Plus en détailLE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS
T R A N S P O R T S LE RÉGIME FRAIS DE SANTÉ DES SALARIÉS DU SECTEUR DES TRANSPORTS ROUTIERS R O U T I E R S Votre interlocuteur : Nicolas SAINT-ETIENNE Conseiller Mutualiste Entreprises Tél : 03 84 45
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détailCARCEPT ÉVOLUTION SANTÉ PRÉSERVEZ VOTRE CAPITAL SANTÉ MUTUELLE CARCEPT PREV COMPLÉMENTAIRE SANTÉ
CARCEPT ÉVOLUTION SANTÉ PRÉSERVEZ VOTRE CAPITAL SANTÉ MUTUELLE CARCEPT PREV COMPLÉMENTAIRE SANTÉ * Département 79 2 À partir de 46,93 / mois* pour un assuré de 60 ans en formule ECO Au fil du temps, les
Plus en détailTélésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel
Télésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel Colloque Tic Santé,11 février 2010 Dr France Laffisse, Orange Healthcare Plan Télésurveillance
Plus en détailRÉGIMES COLLECTIFS DESJARDINS
RÉGIMES COLLECTIFS DESJARDINS Aide-mémoire pour le nouvel employé Le site Internet des Régimes collectifs Desjardins permet aux employés d effectuer eux-mêmes leur adhésion au régime d assurance collective,
Plus en détailRéunion de travail: Table Ronde 10h45-12h15
Réunion de travail: Table Ronde 10h45-12h15 10h45-10h50: Introduction de Madame La Ministre, Michèle Delaunay 10h50-11h05: Présentation générale du Gérontopôle (Pr B Vellas) 11h05-11h10: Présentation du
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailServices complémentaires en Outaouais
Services complémentaires en Outaouais La réalisa4on et le succès d un main4en à domicile d une personne âgée en perte d autonomie est un travail d équipe. Les acteurs de ce=e équipe sont d abord la personne
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailPolitique des services d aide à la vie autonome pour les personnes âgées à risque élevé, 2011
à risque élevé, 2011 Programme révisé de logements avec services de soutien pour les personnes âgées frêles ou ayant une déficience cognitive Janvier 2011 Ministry of Health and Long Term Care Ministère
Plus en détailTIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire
TIC pour la santé et l'autonomie : évaluation des services rendus et modèles économiques, une approche nécessairement pluridisciplinaire Telecom Bretagne, Institut Telecom M@rsouin, CREM Myriam.legoff@telecom-bretagne.eu
Plus en détailAvoir (une maladie) ou être (malade)
Avoir (une maladie) ou être (malade) MG Albano, Ph Barrier, JF d Ivernois Note : cette présentation est tirée de notre article publié dans la revue ETP/TPEEduc Ther Patient/Ther Patient Educ 2011; 3(2):
Plus en détailMÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC
MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC Québec, le 21 février 2000 2. PRÉAMBULE La Fédération des médecins
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailPROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON
PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailRepérage de la perte d autonomie
Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour
Plus en détailLe service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux
Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Plan Vulnérabilité et fragilité de la personne âgée Filière de
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailFORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER
FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER Date d'effet : Échéance Annuelle : Périodicité : Annuelle Semestrielle Durée : 1. LE PROPOSANT (sera le preneur
Plus en détailQue peut apporter la psychomotricité aux personnes âgées dépendantes?
Université Paul Sabatier Faculté de médecine Toulouse-Rangueil Institut de formation en psychomotricité Que peut apporter la psychomotricité aux personnes âgées dépendantes? Illustration avec deux études
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE
DOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE Protection ACCIDENT Protection HOSPI Capital ÉQUIPEMENT HANDICAP / DÉPENDANCE Contact presse : Stéphanie ARREGROS Responsable Communication Tél. : 01 64
Plus en détailDiaporama de présentation. Présentation de l outil
Diaporama de présentation Présentation de l outil Le programme MobiQual Le programme MobiQual est une action nationale élaborée par la SFGG et soutenue par la Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailCentre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailCONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin
CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailPLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES
PLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES 1 Introduction Dans le cadre des travaux de préparation de la Loi d orientation et de programmation pour
Plus en détail