Table Ronde n 1. Les 10 ans du Comité de Bassin de la Martinique. Marc-Michel DEAU Conseil Général de la Martinique. vendredi 19 Janvier 2007

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1 Les 10 ans du Comité de Bassin de la Martinique vendredi 19 Janvier 2007 Table Ronde n 1 Marc-Michel DEAU Conseil Général de la Martinique Réalisation : Thierry GRUDA - Atelier ThiGRiS

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3 stations d épuration 80% 80% de micro-stations (< 500 EH) de la population utilise un système d assainissement autonome de la population effectivement raccordée au réseau collectif stations d épuration sous maîtrise d ouvrage publique (30% du parc total)

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5 hab hab 32% 4,1% 0,5% hab hab hab 4,3% 59,2% (en EH) (Capacité nominale)

6 66 stations de + de 15 ans (50 % de la capacité) < > Nombre de stations stations < ou = EH stations > EH Équivalents-Habitant de la capacité totale de la capacité totale du traitement par des stations utilisant le procédé des boues activées Boues activées Décanteur Digesteur Biofiltres Disques biologiques Équivalents-Habitant Lagunage aéré Lit bactérien

7 Les bactéries se développent dans des bassins alimentés en eaux usées et en oxygène. Bassin d aération Les bactéries sont en contact permanent avec les matières polluantes dont elles se nourrissent, et avec l oxygène nécessaire à leur assimilation.

8 Un décanteur-digesteur assure, dans deux compartiments séparés, 2 fonctions : la décantation des matières en suspension, la digestion anaérobie de la fraction organique des boues décantées. Sainte-Marie - Pérou

9 Les eaux usées transitent dans une cuve contenant un matériau filtrant immergé, support du développement d'un film biologique. Le film biologique permet donc l'assimilation de la pollution et la filtration de la boue produite d'où le terme "biofiltre".

10 Les micro-organismes se développent sur la surface des disques, formant un biofilm épurateur. La rotation des disques semi-immergés assure l'oxygénation de la biomasse fixée. Disques biologiques

11 Carbet - Bourg Les bactéries aérobies se développent en utilisant la matière organique comme source de nutriment, ce qui conduit à la formation d'une boue activée dispersée. L apport d oxygène, fourni par la photosynthèse des algues vertes de surface, peut être complété par des aérateurs pour stimuler l activité biologique.

12 Prêcheur - Charmeuse On fait percoler l'effluent préalablement décanté à travers une couche de matériaux poreux (scories, pouzzolanes, mâchefers, plastiques) qui sert de support à la biomasse épuratoire.

13 Nombre de stations Équivalents-Habitant des eaux épurées rejetées en rivière

14 Filtre à bande Lit de séchage Centrifugeuse Boues de station d épuration

15 Campagne d audit menée par le Conseil Général stations auditées EH 86% de la capacité de traitement Améliorer la connaissance des systèmes d assainissement Suivre l évolution des performances épuratoires Optimiser la gestion des aides financières Mode d exploitation des stations : en affermage État des installations correct : Taux de conformité de l autosurveillance : Taux de dépollution global satisfaisant : Taux de conformité des rejets : Parc globalement en surcharge hydraulique : Taux moyen de charge organique : Capacité résiduelle d accueil estimée : EH Siccité des boues mises en décharge :

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17 concerne de la population d installations non conformes (systèmes défaillants ou incomplets) Dispositifs non entretenus Filières pas toujours adaptées au contexte local à compter du 31/12/2005 (DCE du 21/05/ Loi sur l eau de 1992 et textes d application) Obligation de contrôle des dispositifs d assainissement autonomes Mise en place du Service Public d Assainissement Non Collectif (SPANC) pour les collectivités et EPCI possèdant la compétence ANC

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19 Distilleries = EH sur 100 jours de campagne 4 tonnes de DCO/jour/distillerie 3 types de traitement Lagunage/Stockage aéré Méthanisation (dégradation anaérobie) Floculation/Décantation/Filtration Distillerie Industrie produisant moins de 550 EH en Matière Organique investis Aides financières exceptionnelles dans le cadre des fonds européens : entre 50 et 65 % des investissements

20 Suivi des stations d é épuration publiques Mené par le CG depuis 1992 Schémas départementaux d é élimination des matières de vidange et des boues de stations d é épuration Validés en 2002 et en 2004 Zonages d assainissement 100% réalisés par les communes Schémas directeurs d assainissement Réalisation en cours par les EPCI Schéma Directeur d Assainissement de la Martinique Initié en 2006 par le Conseil Général en partenariat avec ODE-DIREN

21 Optimisation de la collecte et du traitement Investissements réalisés : 45 M Investissements projetés (estimation) : 200 M PO , Dotation Eau et Assainissement : 17 M prévus Résorption des micro-stations Inventaires partiels réalisés dans le cadre des zonages d assainissement Mise en place du SATESE En projet, compétence dévolue à l ODE (Loi sur l eau du 30/12/06) Autosurveillance Mise en conformité réglementaire progressive des installations Amélioration quantitative du suivi

22 Objectifs de réduction des flux de substances polluantes Définition des zones sensibles Élaboration du schéma départemental d élimination des boues de stations d épuration Caractérisation des masses d eau (DCE 2000) Redéfinition des zones sensibles (DCE 2008) Révision du SDAGE Validé en 2004, annexé au PDEDMA en % des boues en valorisation agricole, 68% en incinération Réalisation de guides de formation sur les réseaux collectifs

23 Mise en place du SATANC En projet, compétence dévolue à l ODE (Loi sur l eau du 30/12/2006) Maîtrise de l assainissement autonome Élaboration des documents d assainissement (Zonage, Schémas, ) Mise en place progressive des SPANC Élaboration du schéma départemental d élimination des matières de vidange Réalisation de guides de formation sur l assainissement autonome Validé en 2002, annexé au PDEDMA en 2005 (traitement en tête de 7 stations d épuration, aménagement spécifique du prétraitement)

24 Mettre en œuvre les dispositifs minimum (réglementation ICPE) Mise aux normes des 9 distilleries Inventaire des activités industrielles Maîtrise des rejets (agro-alimentaire, extraction de matériaux) Développer les connaissances (industries chimiques, automobile et portuaire) Études sur le raccordement d industries au réseau collectif

25 Les 10 ans du Comité de Bassin de la Martinique vendredi 19 Janvier 2007 Table Ronde n 1 Marc-Michel DEAU Conseil Général de la Martinique Réalisation : Thierry GRUDA - Atelier ThiGRiS

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