Le traitement hormonal de la ménopause
|
|
- Julie Pellerin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Traitement hormonal de la ménopause et risque de cancer du sein en 2012 Menopausal hormone therapy and breast cancer Geneviève Plu-Bureau*, Brigitte Raccah-Tebeka** Le traitement hormonal de la ménopause (THM) s adresse actuellement aux femmes souffrant de syndrome climatérique intense et, dans certains cas, d ostéoporose sévère. Malgré des études récentes montrant une balance bénéfice/ risque peu favorable, il est encore largement utilisé en France chez les femmes très symptomatiques, car c est souvent le seul traitement efficace pour les aider. Le cancer du sein est l une des pathologies pour laquelle la balance bénéfice/risque semble défavorable. Dix ans après les premières publications de la Women s Health Initiative (WHI), quelle est la meilleure stratégie thérapeutique à adopter, à la fois en termes de molécules utilisées et en termes de durée de traitement, pour les femmes souffrant d un syndrome climatérique important? Différentes molécules disponibles Depuis la publication des résultats des grands essais randomisés (HERS, WHI) montrant une balance bénéfice/risque du THM peu favorable à long terme, de nombreuses questions se posent sur la possibilité d extrapolation de ces résultats à d autres populations et à d autres types de thérapeutiques hormonales (1-4). En effet, ces essais analysent les traitements couramment prescrits dans les pays anglo-saxons. Il s agit des estrogènes conjugués équins (ECE) administrés par voie orale, utilisés seuls ou associés à l acétate de médroxyprogestérone (MPA), progestatif non sélectif doté d une activité glucocorticoïde non négli- Tableau I. Différents traitements estrogéniques par voie extradigestive. Gel de 17-ß-estradiol : Estreva Œstrogel Œstrodose Délidose Produits Dosages Schémas thérapeutiques Dermestril ; Estraderm ; Estradiol G Gam ; Menorest ; Œsclim ; Thaïs ; Vivelledot Dermestril septem ; Femsept Thaïs sept 0,5 mg par pression 1,5 mg par réglette 0,75 mg par pression 0,5 mg par dosette ou 1mg par dosette 5 dosages délivrant suivant les patchs 25 ; 37,5 ; 50 ; 75 ; 100 μg par 24 heures 4 dosages délivrant 25 ; 50 ; 75 ; 100 μg par 24 heures Gel à appliquer sur une large surface (avant-bras abdomen, cuisses) : 0,5 mg à 1 mg par jour 25 jours par mois ou tous les jours Coller 1 patch à renouveler 2 fois par semaine 25 jours par mois ou toutes les semaines Coller 1 patch 1 fois par semaine 25 jours par mois ou toutes les semaines 1 dosage délivrant 50 μg par 24 heures Coller 1 patch 1 fois par semaine 25 jours Climara par mois ou toutes les semaines Estrapatch 3 dosages délivrant 40 ; 60 ; 80 μg par 24 heures Coller 1 patch 1 fois par semaine 25 jours par mois ou toutes les semaines * Unité de gynécologie endocrinienne et unité d hémostase, GH Cochin, Hôtel-Dieu, Paris. ** Service de gynécologie obstétrique, hôpital Robert-Debré, Paris. La Lettre du Sénologue n 57 - juillet-août-septembre Séno 57sept.indd 11 10/10/12 09:48
2 Mots-clés Cancer du sein Ménopause Traitement hormonal de la ménopause Estrogènes Progestatifs Points forts Le risque de cancer du sein lié au THM est faible, mais il doit être pris en compte dans la balance globale risque/bénéfice du THM. Il représente en effet l un des éléments essentiels dans la décision de mise en route du traitement hormonal chez les femmes souffrant d un syndrome climatérique invalidant. Des différences parfois importantes semblent apparaître en ce qui concerne : l utilisation d un estrogène seul ou associé à un progestatif ; les molécules utilisées ; la voie d administration de l estrogène ; la durée du traitement ; la fenêtre d intervention par rapport à l installation de la ménopause. Tableau II. Différents traitements estrogéniques par voie orale. 17-ß-estradiol : Estreva Estrofem Oromone Provames Estradiol valérate : Progynova Highlights» The risk of breast cancer associated with menopausal hormone therapy is low.» It represents one of the essential elements in the decision to use the hormonal treatment for women suffering from severe hot flushes.» Important differences seem to exist as regards to : use of estrogen alone or combined hormonal therapy ; molecules used ; route of administration ; the duration of the treatment ; the delay between menopause onset and treatment initiation. Keywords Breast cancer Menopause Menopausal hormone therapy Estrogens Progestogens Produits Dosages Schémas thérapeutiques Estrogènes conjugués équins : Prémarin 1,5 mg par comprimé 0,625 ou 1,25 mg par comprimé geable. Les traitements utilisés en France sont différents : les estrogènes sont le plus souvent utilisés par voie transdermique, et le progestatif combiné à l estrogénothérapie fait généralement appel à la progestérone naturelle. Estrogènes (tableaux I et II) En France, les estrogènes oraux disponibles sont le 17-β-estradiol, l estradiol valérate et les ECE. Le 17-β-estradiol, également utilisé par voie transdermique (gel ou patch) est l estrogène le plus fréquemment prescrit en France. À l opposé, les ECE sont plus largement utilisés aux États-Unis. Progestatifs (tableau III) 1 à 2 mg par jour (25 jours 1 à 2 mg par jour (25 jours 0,625 mg par jour (25 jours De nombreux progestatifs sont commercialisés en France. Ils sont obligatoires en combinaison avec les Tableau III. Différents traitements estrogéniques par voie extradigestive. estrogènes chez les femmes ménopausées non hystérectomisées pour minimiser le risque de pathologie endométriale. On les divise en plusieurs catégories : la progestérone naturelle et son dérivé (la rétroprogestérone), les dérivés de la progestérone (prégnanes et norprégnanes) et les dérivés de la 19-norstestostérone. Devant ce large arsenal thérapeutique et dans le contexte du risque carcinologique, il est important de définir le type, la voie d administration (orale ou extradigestive) des estrogènes et l impact de l adjonction d un progestatif en fonction du profil de chaque patiente. La connaissance de toutes ces molécules est importante pour interpréter les études publiées des divers pays, notamment européens, où les traitements diffèrent à la fois en termes de molécules estrogéniques utilisées et en termes de progestatifs. Ainsis les pays du nord de l Europe utilisent des progestatifs dérivés de la testostérone (acétate de noréthistérone) en association avec de l estradiol naturel. L étude EPIC a ainsi fourni le profil d utilisation des THM des différents pays européens (figure 1) [5]. L interprétation des études doit aussi tenir compte du profil des différents facteurs de risque de cancer du sein dans les différents pays. THM et risque de cancer du sein Les études à la fois épidémiologiques, d observation ou randomisées montrent des résultats concordants concernant le risque de cancer du sein lié au THM (2, 6-8). Plusieurs questions relatives à l impact de Classes thérapeutiques Molécules Nom commercial Doses employées par jour* Progestérone ou assimilée Prégnane Norprégnane Progestérone naturelle micronisée Rétroprogestérone Acétate de chlormadinone Médrogestérone Acétate de cyprotérone Acétate de médroxyprogestérone Acétate de nomégestrol Promégestone Utrogestan Estima ou générique Duphaston Lutéran ou générique Colprone Androcur Gestoral * Lutényl Surgestone 100 ou 200 mg 20 mg 2, 5 ou 10 mg 10 mg 50 mg 10 mg 3,75 ou 5 mg 0, 25, 0,5 ou 1 mg Norstéroïdes Lynestrénol Noresthistérone * Arrêt de commercialisation en France. ** Actuellement non disponible en France. Orgamétril Primolut-nor * 10 mg** 12 La Lettre du Sénologue n 57 - juillet-août-septembre 2012 Séno 57sept.indd 12 10/10/12 09:48
3 la voie d administration des estrogènes, à l effet du progestatif associé ou à la fenêtre d intervention ne sont pas encore clairement établies. Différence de risque estrogène seul et estrogène plus progestatif L étude WHI a confirmé les données observationnelles montrant un niveau de risque plus faible des traitements estrogéniques seuls (quelle que soit la molécule utilisée, ECE ou estradiol) par rapport aux traitements combinés estroprogestatifs (2-4). Ainsi, l essai WHI analysant femmes utilisant de façon aléatoire soit une association ECE + MPA soit un placebo rapporte un risque de cancer du sein de 1,26 (IC 95 : 1,00-1,59) pour les utilisatrices en cours de traitement au moment du diagnostic de cancer du sein. L essai complémentaire analysant femmes hystérectomisées utilisant de façon aléatoire soit un ECE seul à la dose de 0,625 mg soit un placebo ne rapporte aucune augmentation de risque après 7,1 ans en moyenne de suivi (RR : 0,77 ; IC 95 : 0,59-1,01). L interprétation de cette non-augmentation du niveau de risque doit être prudente. En effet, la plupart des études d observation montre une discrète augmentation du niveau de risque pour des durées de traitement plus importantes que celles utilisées dans ce bras de l essai WHI. Cette différence de risque entre estrogènes seuls et traitement combiné est cependant concordante avec la majorité des études épidémiologiques d observation. Ainsi, l étude EPIC rapporte une différence de risque constante entre ces 2 types de traitement quelle que soit la durée d utilisation des THM (figure 2) [5]. Impact de la voie d administration ,8 1,6 1,4 1,2 1 Danemark France Allemagne Italie Norvège Espagne Figure 1. Répartition des types de progestatifs utilisés en association avec l estrogénothérapie dans différents pays européens (d après 5). 0,8 Aucun essai randomisé n a évalué la voie transdermique, mais plusieurs études de cohorte ont analysé les différences potentielles entre la voie orale et la voie transdermique (tableau IV). La première étude ayant montré ce type de résultat est la Million Women Study (MWS), étude de cohorte portant sur 1 million de femmes britanniques recrutées à partir des centres de dépistage du cancer du sein (7). Cette étude ne montre aucune différence de risque entre la voie orale et la voie transdermique. Les mêmes résultats sont observés chez les femmes finlandaises (9). Cependant, ces 2 études comportent relativement peu de femmes utilisatrices d estrogènes par voie transdermique. Par ailleurs, l impact du progestatif associé a probablement une grande importance. Récemment, l étude italienne de Corrao et al. met en évidence une différence significative entre les 2 voies d administration (10). Par ailleurs, cette étude, qui croise plusieurs registres, ne tient pas compte des principaux facteurs d ajustement de cancer du sein. L étude de cohorte française E3N apporte des informations importantes en raison du nombre relativement élevé de femmes exposées aux thérapeutiques Progestérone Dérivés de la progestérone Dérivés de la testostérone Pays-Bas Estrogène seul Estrogène + progestatif Royaume-Uni < 1 an 1-3 ans 3-5 ans 5-10 ans > 10 ans Figure 2. Risque de cancer du sein en fonction de la durée du traitement et du type de traitement (estrogène seul ou traitement combiné) [d après 5]. La Lettre du Sénologue n 57 - juillet-août-septembre Séno 57sept.indd 13 10/10/12 09:48
4 Hormones avant et après cancer du sein Tableau IV. Impact du THM sur le risque de cancer du sein en fonction de la voie d administration des estrogènes : résultats de 3 études épidémiologiques. Études Type de traitement Nom commercial Risque relatif (IC 95 ) Doses employées par jour* Risque relatif (IC 95 ) Million Women Study Tous types 1,32 (1,21-1,45) 1,24 (1,11-1,39) Étude finlandaise Estrogènes seuls 1,49 (1,25-1,75) 1,44 (0,88-2,22) Étude italienne** Tous types 2,14 (1,43-3,21) 1,27 (1,07-1,51) E3N * Estrogènes seuls 1,32 (0,76-2,29) 1,28 (0,98-1,69) Estrogènes + (durée > 25 mois) dydrogestérone Estrogènes + médrogestone Estrogènes + acétate de chlormadinone Estrogènes + promégestone Estrogènes + acétate de nomégestrol 0,77 (0,36-1,62) 1,18 (0,95-1,48) 2,74 (1,42-5,29) 2,03 (1,39-2,97) 2,02 (1,00-4,06) 1,48 (1,05-2,09) 1,62 (0,94-2,82) 1,52 (1,19-1,96) 1,10 (0,55-2,21) 1,60 (1,28-2,01) * Aucune différence de risque entre les 2 voies d administration n est significative quel que soit le progestatif associé. ** p = 0,009 entre les 2 voies d administration. estrogéniques transdermiques (8). Aucune différence de risque n est observée par ces auteurs entre la voie orale et la voie transdermique. Cependant, l impact des progestatifs paraît fondamental. Aucune augmentation de risque n est montrée avec les traitements associant 17-ß-estradiol et progestérone micronisée (pour des durées courtes) tandis que toutes les molécules synthétiques progestatives sont associées à une augmentation significative du risque de cancer du sein. Il est bien sûr indispensable de confirmer ces résultats à l aide d études de niveaux de preuve plus élevés. Impact de la fenêtre d intervention et durée du traitement L utilisation d un THM tardivement par rapport à la date de la ménopause paraît fondamentale pour minimiser le risque de cancer du sein. Deux études ont apporté des informations précieuses dans ce domaine. Il s agit de l essai WHI et de l étude E3N. Prentice et al. ont publié en 2009 les résultats concernant les 2 types de traitement de l essai WHI en fonction du délai après la ménopause (11). En prenant un délai de 5 ans, les auteurs ne montrent pas de différence de risque pour le THM utilisant un estrogène seul. Au contraire, pour le traitement associant ECE + MPA il existe une différence de risque (que les femmes aient utilisé ou non un THM avant l inclusion dans l étude) en fonction du délai après la ménopause. Ainsi, pour les femmes ayant utilisé un THM avant l inclusion dans l étude et pour un délai inférieur à 5 ans depuis la ménopause, le risque de cancer du sein est de 2,06 (1,30-3,27) RR de cancer du sein 2,1 1,9 1,7 1,5 1,3 1,1 0,9 0,7 0,5 Fenêtre d intervention et THM estrogène + progestérone < > 10 Durée du THM Délai de ménopause < 3 ans > 3 ans RR de cancer du sein 2,5 2,3 2,1 1,9 1,7 1,5 1,3 1,1 0,9 0,7 0,5 p tendance = 0,002 (durée de traitement associant estrogène et progestérone) Fenêtre d intervention et THM estrogène + progestatifs < > 10 Durée du traitement Figure 3. Impact de la fenêtre d intervention en fonction des différents traitements de la ménopause (d après 9). Délai de ménopause < 3 ans > 3 ans 14 La Lettre du Sénologue n 57 - juillet-août-septembre 2012 Séno 57sept.indd 14 10/10/12 09:48
5 alors qu il est de 1,30 (0,57-1,99) pour les femmes l ayant utilisé dans un délai supérieur à 5 ans après la ménopause. La différence entre les 2 risques est significative (p = 0,03). La figure 3 résume les résultats de l étude E3N rapportant des résultats similaires pour un délai de 3 ans après la ménopause (12). Ces résultats soulignent l importance du type de progestatif associé et la durée d utilisation du THM qui est significative même pour une combinaison associant estradiol et progestérone naturelle (pour des durées supérieures à 5 ans). Ces résultats sont importants et sont à rapprocher très probablement des données soulignant le rôle de la densité mammaire vis-à-vis du risque de cancer du sein. Le fait d utiliser un traitement une fois la ménopause bien installée ayant permis une modification de la glande mammaire semble minimiser le risque de cancer du sein comme rapporté notamment par l équipe de Russo. Cette notion intervient de façon probablement fondamentale dans le processus de carcinogenèse mammaire. Interprétation et conclusion Les données présentées sont biologiquement plausibles, et compatibles notamment avec les résultats des études biologiques ou animales. Le traitement hormonal de la ménopause favoriserait la survenue du cancer du sein par un effet de promotion plutôt que d induction. Il est important de préciser qu il s agit le plus souvent de cancers hormonodépendants et de meilleur pronostic en termes de récidives, métastases et survie globale. L évaluation du risque de cancer du sein doit cependant tenir compte de la balance globale bénéfice/risque de ce traitement. Même si l impact de cette augmentation du niveau de risque en termes de risque attribuable est relativement faible, sa place dans la décision d utiliser un THM est l une des plus importantes pour les femmes. Des questions restent à déterminer, notamment celles portant sur l impact du progestatif associé. À court terme, le cancer du sein ne semble pas être la pathologie la plus délétère dans la balance bénéfice/risque, en regard notamment du risque vasculaire. Références bibliographiques 1. Hulley S, Grady D, Bush T et al. Randomized trial of estrogen plus progestin for secondary prevention of coronary heart disease in postmenopausal women. JAMA 1998; 280: Writing group for the Women s Health initiative investigatros. Risks and benefits of estrogen plus progestin in healthy postmenopausal women. Principal results from the Women s Health Initiative randomized controlled trial. JAMA 2002;288: Anderson GL, Limacher M, Assaf AR et al. on Women's Health Initiative Steering Committee. Effects of conjugated equine estrogen in postmenopausal women with hysterectomy: the Women's Health Initiative randomized controlled trial. JAMA 2004;291(14): Chlebolwski RT, Hendrix SI, Langer RD et al. Influence of estrogen plus progestin on breast cancer and mammography in healthy postmenopausal women. JAMA 2003; 289: Bakken K, Fournier A, Lund E et al. Menopausal hormone therapy and breast cancer risk: impact of different treatments. The European prospective investigation into cancer and nutrition (EPIC). Int J Cancer 2011;128(8): Collaborative group on hormonal factors in breast cancer. Breast cancer and hormone replacement therapy: collaborative reanalysis of data from 51 epidemiological studies of women with breast cancer and women without breast cancer. Lancet 1997;350: Beral V for the Million Women Study collaborators. Breast cancer and hormone replacement therapy in the Million Women Study. Lancet 2003;362: Fournier A, Franco-Berrino E, Clavel-Chapelon F. Unequal risks for breast cancer associated with different hormone replacement therapies: results from the E3N cohort study. Breast Cancer Res Treat 2008;107: Lyytinen H, Pukkala E, Ylikorkala O. Breast cancer risk in postmenopausal women using estrogen-only therapy. Obstet Gynecol 2006;108: Corrao G, Zambon A, Conti V et al. Menopause hormone replacement therapy and cancer risk: an italian record linkage investigation. Ann Oncol 2008;19: Prentice RL, Manson JE, Langer RD et al. Benefits and risks of postmenopausal hormone therapy when it is initiated soon after menopause. Am J Epidemiol 2009;170(1): Fournier A, Mesrine S, Boutron-Ruault MC, Clavel- Chapelon F. Estrogen-progestagen menopausal hormone therapy and breast cancer: does delay from menopause onset to treatment initiation influence risks? J Clin Oncol 2009;27(31): La Lettre du Sénologue n 57 - juillet-août-septembre Séno 57sept.indd 15 10/10/12 09:48
T. Chevallier*, J.-P. Daurès*, M.-C. Micheletti**, J.-Y. Reginster*** et le groupe MISSION****
J Gynecol Obstet Biol Reprod 2005 ; 34 (cahier 1) : 658-665. Travail original Méthodologie de l enquête MISSION (Ménopause, risque de cancer du SeIn, morbidité et prévalence) T. Chevallier*, J.-P. Daurès*,
Plus en détailRapport Traitement hormonal substitutif de la ménopause
Rapport Traitement hormonal substitutif de la ménopause Caractéristiques de l utilisation en France Effets sur la survenue de cancers du sein et d évènements cardiovasculaires en France Propositions d
Plus en détailTRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida.
TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida. Malgré une prescription qui date maintenant de quelques dizaines d années, le traitement hormonal substitutif de la ménopause
Plus en détailContraception chez la femme à risque vasculaire
2 Contraception chez la femme à risque vasculaire Ajustement et surveillance sont indispensables. Geneviève Plu-Bureau Unité de gynécologie endocrinienne et laboratoire d hémostase, hôpital Cochin Port-Royal,
Plus en détailS. Hercberg, Key-words: Antioxidants, Vitamins, Minerals, Randomized trial, Supplementation.
2006. Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés Ann Pharm Fr 2006, 64 : 397-401 Stress oxydant L étude SU.VI.MAX, un essai contrôlé randomisé, en double aveugle, testant l effet de la supplémentation en
Plus en détailMigraines, céphalées et statut hormonal
Migraines, céphalées et statut hormonal Vincent Cahagne, service de neurologie et équipe mobile d accompagnement et de soins palliatifs, Chu Rennes Migraine et puberté Le début de la migraine Le début
Plus en détailCHAPITRE III : LA MENOPAUSE
CHAPITRE III : LA MENOPAUSE I- Définition II- Données démographiques III- Hormonologie de la péri et de la post-ménopause A- La péri-ménopause B- La ménopause C-La post-ménopause IV- La ménopause : savoir
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailRevue du Rhumatisme 76 (2009) 222 226. Mise au point. Accepté le 19 septembre 2008 Disponible sur Internet le 14 février 2009
Revue du Rhumatisme 76 (2009) 222 226 Mise au point Impact de la contraception estroprogestative et progestative sur la densité minérale osseuse Impact of combined and progestogen-only contraceptives on
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailUne version du présent guide destinée aux patientes figure à l annexe 1.
Guide de pratique clinique pour la prise en charge et le traitement du cancer du sein : 14. Le rôle de l hormonothérapie de remplacement pour les femmes chez lesquelles on a déjà diagnostiqué un cancer
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailEvaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée
Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée M-A Gomez, M Nasser-Eddin, M Defontaine, B Giraudeau, F Jacquot, F Patat INTRODUCTION L ostéoporose
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailContraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux
L A C O N T R A C E P T I O N E N É V O L U T I O N Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux par Chantal Marquis «J ai 48 ans, j ai des chaleurs, je dors peu et j ai des saignements
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailPrise en charge de la ménopause
N 311, septembre 2014 (remplace n 222, janvier 2009) Prise en charge de la ménopause La présente directive clinique a été rédigée par le groupe de travail sur la ménopause et l ostéoporose, analysée par
Plus en détailObjectifs pédagogiques Lecture critique d article
Objectifs pédagogiques Lecture critique d article groupe V Evaluer les applications cliniques Evaluer les applications cliniques 21 ) Discuter la ou les décisions médicales auxquelles peuvent conduire
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailExtrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique
COLLÈGE NATIONAL DES GYNÉCOLOGUES ET OBSTÉTRICIENS FRANÇAIS Président : Professeur M. Bruhat Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique Tome XIX publié le 1 er.12.1995 DIX-NEUVIÈMES JOURNÉES
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailLes compléments alimentaires
Les compléments alimentaires Vigilance et Respect des bonnes pratiques Les cahiers du collectif Eps N 2 Olivier COSTE Médecin conseiller Direction régionale Jeunesse, Sports et Cohésion Sociale «C Définition
Plus en détailFaut-il encore traiter les cancers prostatiques?
Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailIMPORTANT : VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT
IMPORTANT : VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR PROMETRIUM Progestérone en capsules Le présent dépliant constitue la troisième et dernière partie de la «monographie
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailUtilisation péri-opératoire des filtres caves
Utilisation péri-opératoire des filtres caves Philippe Girard Département Thoracique. Institut Mutualiste Montsouris, 42 boulevard Jourdan, 75014 Paris, France. Email : philippe.girard@imm.fr Introduction
Plus en détailLa maladie d Alzheimer mise à jour en 2009
La maladie d Alzheimer mise à jour en 2009 Fadi Massoud Un défi colossal se pose à l échelle mondiale. Dans les années à venir, plus du tiers des personnes de plus de 85 ans sera touché par la démence
Plus en détail*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters
Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que
Plus en détailSyndromes coronaires aigus
CONGRES American College of Cardiology J.P. COLLET Service de Cardiologie, Hôpital Pitié-Salpêtrière, PARIS. Syndromes coronaires aigus L American College of Cardiology a encore montré le grand dynamisme
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 31 janvier 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 31 janvier 2007 NEUPRO 2 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose, B/30 : 377 209-7 Sachet-dose, B/90 : 570 143-4 NEUPRO 4 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose,
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailIntroduction : Essais de phase I
Schéma de recherche de dose dans les essais de phase I : comparaison par simulations dans un cadre temporel A Doussau 1,2, MC Le Deley 3, B Asselain 1, G Vassal 3, X Paoletti 1 1 - Institut Curie, 2 -
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailHormonothérapie par tamoxifène seul chez la femme non ménopausée en situation adjuvante
Hormonothérapie par tamoxifène seul chez la femme non ménopausée en situation adjuvante Ta m oxifen as adjuvant treatment of premenopausal breast cancer women Mots clés : Traitement adjuvant, Non-ménopausée,
Plus en détailMEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL :
REPUBLIQUE FRANÇAISE Juin 2009 MEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL : Recommandation de l EMEA de retrait de ces médicaments à la suite de l évaluation européenne et avis
Plus en détail103 Boulevard Stalingrad 69100 LYON / VILLEURBANNE
Comité D ORGANISATION Dr. Gabriel André - Pr. Léon Boubli Dr. Evelyne Drapier-Faure - Pr. Anne Gompel Pr. Claude Hocké - Dr. Brigitte Letombe Pr. Patrice Lopès - Pr. Geneviève Plu-Bureau Dr. Florence Trémollieres
Plus en détailTraitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008
Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008 Traiter un symptôme Position du problème Ampleur de la plainte Histoire naturelle Mode de prise en charge actuelle Règles hygiéniques Rééducation
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailPlace de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France.
dossier thématique Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées The role of surgery in the era of targeted therapy P. Bigot*, J.C. Bernhard** Points forts» En association avec l immunothérapie,
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailEvaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI
Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI La pression artérielle normale n existe plus. L hypertension artérielle n existe plus. On soigne un risque cardiovasculaire. Plus celui-ci est élevé
Plus en détailGrossesse après cancer du sein
Pregnancy after breast cancer Mots clés : Grossesse, Cancer du sein, Femmes jeunes, Facteurs pronostiques, Survie Keywords : Pregnancy, Breast carcinoma, Young women, Prognostic factors, Survival F. Abel-Decollogne
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailGROUPES D ALIMENTS ET MALADIES CHRONIQUES : QUELLES RELATIONS?
DÉSÉQUILIBre ALIMeNTAIre I PAR ANTHONY FARDET1 ET YVES BOIRIE2 contact@edp-nutrition.fr OLGA LYUBKINA FOTOLIA.COM S il est difficile d établir un effet protecteur ou délétère sur la santé des groupes d
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailVACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailTraitement de consolidation dans les cancers de l ovaire
Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailsoins va changer et quelle est la place des TIC?
Pourquoi l organisation des soins va changer et quelle est la place des TIC? Docteur Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Luxembourg 15 avril 2010 UN RAPPORT «La place
Plus en détailEvaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse
Plus en détailPROGRAF MC Toutes indications
PROGRAF MC Toutes indications AVRIL 2015 Marque de commerce : Prograf Dénomination commune : Tacrolimus Fabricant : Astellas Forme : Capsule Teneurs : 0,5 mg, 1 mg et 5 mg Exemption de l application de
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailLa survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation
La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailConseil et Etudes de Marché du pareil au même? Audrey Chemin audrey.chemin@pfizer.com European Market Analytics Manager Oncology
Conseil et Etudes de Marché du pareil au même? Audrey Chemin audrey.chemin@pfizer.com European Market Analytics Manager Oncology Mon Curriculum Sept 09 - auj Sept 08 Aug 09 Sept 06 Aug 08 Sept 06 Feb 06
Plus en détailQu avez-vous appris pendant cet exposé?
Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux
Plus en détailL OSTÉOPOROSE INVOLUTIVE DE LA FEMME : STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE Un point de vue actualisé du Belgian Bone Club*
L OSTÉOPOROSE INVOLUTIVE DE LA FEMME : STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE Un point de vue actualisé du Belgian Bone Club* J.M. Kaufman (1), J.J. Body (2), S. Boonen (3), J.P. Devogelaer (4), F. Raeman (5), S. Rozenberg
Plus en détailVue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies
Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,
Plus en détailProgramme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib
Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailSupplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique
Supplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique 1- Introduction 2- Les différentes études 3- Les bases de données 4- Comment chercher un article 5- Lecture critique d article Rédaction : Antoine
Plus en détailGestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux
Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Anne GODIER Service d Anesthésie-Réanimation Hopital Cochin Paris Table ronde anticoagulants 15 novembre 2013 Conflits
Plus en détail