Prise en charge de la dyslipidémie du patient DT 2 en prévention primaire. Dr Baghous Service de Diabétologie ( Pr BOUDIBA) CHU Mustapha Alger

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Prise en charge de la dyslipidémie du patient DT 2 en prévention primaire. Dr Baghous Service de Diabétologie ( Pr BOUDIBA) CHU Mustapha Alger"

Transcription

1 Prise en charge de la dyslipidémie du patient DT 2 en prévention primaire Dr Baghous Service de Diabétologie ( Pr BOUDIBA) CHU Mustapha Alger

2 Introduction le diabète de type 2 est associé à une augmentation des MCV liée à une progression rapide de l athérosclérose Le contrôle glycémique intensif améliore très peu ce risque dans les études médicales (ACCORD /ADVANCE) Les anomalies lipidiques (quantitatives,qualitative et cinétiques ) qui sont fréquentes chez le diabétique participent grandement à cette morbimortalité Le traitement hypolipemiant permet une réduction des événements CV et de la mortalité des DT 2.

3 Anomalies des LP dans le diabète Hyperproduction de VLDL et d Apo par le foie VLDL volumineuses riches en TG Transfert accru des TG via CETP vers les LDL et HDL avec déplétion de ces derniers en CE RESULTATS : LDL petites et denses à potentiel atherogene Oxydation et glycation des LDL HDL dysfonctionnelle La glycation des HDL augmente son catabolisme et réduit sa capacité antiinflammatoire et anti oxydative au niveau de l endothélium vasculaire

4 DT2 : un profil lipidique souvent peu éloquent Les anomalies qualitatives qui n apparaissent pas dans le bilan lipidique de routine font toute la gravité du diabète de type 2 Données des 3713 patients nouvellement diagnostiqués pour un diabète dans l étude UKPDS

5 Ne pas passer devant passer devant une dyslipidémie familiale pouvant etre associée au DT2 À évoquer devant : LDLc > 190 mg/dl MCV prématurée ATDS Familiaux d hypercholestérolémie ou de MCV précoce Si presence d arc cornéen,de xanthélesmas ou de xanthomes tendineux

6 Dutch Lipid Clinic Network diagnostic criteria for FH (DLC N) Le diagnostic est : "certain si > 8 points; probable si 6 8 points; possible si 3-5 points. Un test génétique est préconisé dès lors que le score > 5

7 Changement du profil lipidique dans les des situations pouvant s associer au DT2 En plus du profil de la dyslipidémie métabolique : CT /LDLc normal ou légèrement élevé, TG, HDL,d autres situations associées au diabète peuvent aggraver ou modifier le profil initial Elévation du LDL-c Hypertriglycéridémie Diminution du HDL-c Hépatopathies cholestatiques Syndrome néphrotique Hypothyroïdie Grossesse Obésité IRC Médicaments œstrogènes, thiazidiques, bêtabloquants, corticostéroïdes Alcool Tabagisme Obésité

8 Etat des lieux de la PEC du risque CV et de la dyslipidémie en prévention primaire chez les diabétiques Sur un échantillon de 167 patients DT2 suivi en consultation de Diabétologie des Anassers Alger centre Caractéristique des patients N = 167 N % Age /- 9.8 Sexe 70 H + 97 F Durée d évolution 9.3 +/- 6.9 HTA % Micro-albuminurie % Atteinte coronaire % AOMI %

9 167 PATIENTS 32 PATIENTS en prévention secondaire 135 PATIENTS en prévention primaire 27 patients sous statine 84 % 47 patients sous STATINE 34 % 8 patients sous FIBRATES 6 % BILAN LIPIDIQUE 135 PATIENTS Cholestérol total CT 173 +/- 40 mg/dl LDLc 112 +/ mg/dl LDLc < 100 mg/dl 43 P 30 % HDLc /- 15 mg/dl TG / mg/dl

10 Les étapes de la PEC en prévention cardiovasculaire 1- Prédire Le risque d événements CV 2- Planifier Des objectifs thérapeutiques 3- Prescrire des traitements médicamenteux nécessaires pour réaliser ces objectifs

11 1- Prédire Le risque d événements CV Le risque cardiovasculaire chez le diabétique est il justifiable d une action en prévention primaire? patients Pas d ATCDs de MCV 7% de diabétiques événements vasculaires non fatal ou fatal 8,49 million personnes années de follow up issues de 102 études prospectives

12 Résultat 1 : comparé au sujet non diabétique,le diabétique est à risque plus élevé de morbimortalité CV Hazard ratios (HRs) for vascular outcomes in people with versus those without diabetes at baseline

13 Résultat 2 : le risque d événements coronariens est corrélé au degré d élévation de la GAJ Hazard ratios (HRs) for coronary heart disease by clinically defined categories of baseline fasting Blood glucose concentration Analyses were based on participants

14 03 niveaux de risque chez le diabétique en prévention primaire Risque très élevé Age > 40ans + FDR ou atteinte d un Organe cible Risque élevé Age < 40ans + FDR ou atteinte d un Organe cible Risque modéré Age < 40ans sans FDR + LDLc < 1 g/l Majorité des patients

15 2- Planifier Des objectifs thérapeutiques Cibles thérapeutiques : 1. LDLc : corrélation avec le risque CV 2. Non HDLc : son intérêt dans le diabète : Si TG > 400 mg/dl : non HDLc cible primaire car LDLc non calculable Si TG élevé et/ou HDLc bas : 2 ème cible après correction du LDLc

16 Algorithme de la prise en charge en prévention cardiovasculaire 2016 ESC/EAS Guidelines for the Management of Dyslipidaemias Treatment targets and goals for cardiovascular disease prevention

17 3-Prescrire des traitements médicamenteux nécessaires pour réaliser ces objectifs Les statines toujours en première ligne La méta- analyse «Cholesterol Treatment Trialists ou CTT démontre que chaque abaissement de 40 mg/dl du LDLc résulte en une réduction d environ 20% de l incidence des événements cardiovasculaires à 4-5 ans Relation linéaire entre la concentration de LDL-C et les événements coronariens.

18 L ETUDE CARDS Essai thérapeutique, contrôlé, randomisé En double aveugle : bras placebo / bras atorvastatine patients PO : évaluer l efficacité sur la prévention des événements cardiovasculaires majeurs chez des DT2 sans antécédents CV et sans élévation importante du LDL-cholestérol

19 L ETUDE HPS essai prospectif randomisé qui a inclus adultes âgés de 40 à 80 ans SIMVASTATINE 40 vs PLACEBO patients (29 %) étaient diabétiques, dont sans atteinte coronaire. La durée moyenne de suivi a été de 5 ans La réduction des événements coronaires majeurs est de 25 % (p 0,0001) en prévention primaire

20 Thérapeutiques permettant d atteindre les cibles thérapeutiques PRAVA 20 FLUVA % ATORVA 10 SIMVA 20-35% ROSUVA 10 ATORVA 20-45% ROSUVA 20 ATORVA 40 ATORVA 80 Chaque doublement de la dose entraine une supplémentaire du LDLc de - 6% - 50%

21 Statine et métabolisme glucidique 1 ère situation : chez le sujet diabétique : L effet des statines sur le contrôle glycémique semble très faible et peu important cliniquement. 2 ème situation : chez le sujet prédiabetique : Diverses méta-analyses confirment une majoration de 9 % du risque de diabète. Ceci se traduit donc par une augmentation d un cas de diabète par 255 sujets sur quatre ans. Décision partagée entre soignant-soigné après une information claire Enjeu : faire un diabète ou faire un événement CV

22 MAYO-CLINIC aide à la décision médicale par le calcul du risque d événements CV en ligne : statindecisionaid.mayoclinic.org

23 L ézétimibe à combiner pour atteindre les cibles Ezétimibe: un inhibiteur de l absorption intestinale du cholestérol. Ezétimibe + Statine : additionnelle du LDLc de 20 à 25%. une nouvelle combinaison fixe a été commercialisée, l Atozet o Dans l étude IMPROVE-IT (18144 patients à très haut risque CV) o Ezétimibe + Statine : baisse supplémentaire de 16 mg (20%) du LDLc et une réduction des évènements CV de 7,8% en analyse «on-treatment» ROSUVA 20 ATORVA 40 ATORVA 80-50% + EZETIMIBE -25% Association acide nicotinique + statine pas d amélioration du risque cardiovasculaire dans l étude HPS2-THRIVE

24 Place de la nouvelle classe : les anticorps monoclonaux anti-pcsk9 PCSK9 est protéine qui joue un rôle dans l expression des LDL-R Son inhibition entraine une expression plus importante des LDL-R avec LDLc de % Produits : Alirocumab / Evolocumab / Bococizumab Injections S/C 1-2 /mois Bon profil de tolérance et de sécurité Indications : ohypercholestérolémies familiales (hétéro et homo zygotes ) opatients à risque très élevé avec LDLc encore trop élevé ointolérance aux statines

25 PEC de l hyper TG dans le DT2 Place des fibrates dans la prévention du risque cardiovasculaire dans le DT2 Etude Field + analyse post-hoc Etude ACCORD-LIPID / Etude ACCORD-EYE Etude FIELD fenofibrate intervention and event lowring in diabetes 9795 DT2 bien contrôlé (A1c moy 6.9 %) 78 % en PP Le traitement par fenofibrate 200 a entrainé une réduction non significative de 11% du PO (IDM non fatal et décès coronarien ) L'analyse en post-hoc des 78% de diabétiques en prévention primaire montre que ce sont eux qui bénéficient majoritairement de la réduction des évènements cardiovasculaires qui atteint dans ce sous groupe 19%.

26 Etude ACCORD-LIPID : Effects of Combination Lipid Therapy in Type 2 Diabetes Mellitus patients des de la cohorte totale d ACCORD, avec un taux de cholestérol LDL proche de 100 mg/dl à l inclusion Bras statine + fenofibrate 160 / Bras statine + placebo The combination of fenofibrate and simvastatin did not reduce the rate of fatal cardiovascular events, nonfatal myocardial infarction, or nonfatal stroke, as compared with simvastatin alone These results do not support the routine use of combination therapy with fenofibrate and simvastatin to reduce cardiovascular risk in the majority of high-risk patients with type 2 diabetes

27

28 Notion de risque résiduel et de dyslipidémie athérogene Risque résiduel? : -Excès de risque persistant sous statine -Serait liée à la «dyslipidémie atherogene»: hyper TG + HDLc -D autres mécanismes en cause Stress oxydatifs Inflammation bas grade Hyperglycémie (AGE-RAGE) Etude ACCORD-LIPID Proportion de patients DT2 avec un événement CV grave selon la présence ou non d une dyslipidémie athérogène

29 FIBRATES : résultats positifs sur le versant des complications micro vasculaires Rétinopathie diabétique Etude ACCORD-EYE : PO : la progression significative d une RD ou le développement d une RD nécessitant le recours à la photocoagulation ou à la vitrectomie Progression de la rétinopathie ACCORD-LIPID n = ,60 (0,42-0,87) P = 0,006 Perte modérée de vision 1,04 (0,83-1,32) P = 0,73

30 FIBRATES : moins de risque d amputations mineures Etude FIELD : le traitement par FIBRATES était associé à un moindre risque d amputations mineures sans atteinte des gros vaisseaux. Effect of fenofibrate on amputation events in people with type 2 diabetes mellitus (FIELD study): a prespecified analysis of a randomised controlled trial. Lancet 2009 May;373(9677):1780-8

31 Place des fibrates dans la prévention du risque cardiovasculaire dans le diabète de type 2 Etude Field Etude ACCORD-LIPID Etude ACCORD-EYE Complications macro vasculaires bénéfice discuté Bénéfice chez le DT2 avec TG+ HDLc (risque résiduel? ) (étude sous groupe + analyse post hoc) Nécessité d étude cliniques + Complications micro-vasculaires Bénéfice dans la RD préexistante Bénéfice dans le risque d amputation mineure avec atteinte des petits vaisseaux

32 Fibrates et recommandations Recommandations ESC /EAS 2016 pour le traitement de l hyper TG Le traitement médical est préconisé chez les patients à haut risque avec TG > 200 mg/dl Les statines sont considérées comme le traitement de choix pour réduire le risque CV chez les patients à haut risque avec hyper TG Chez les patients à haut risque avec TG >200 mg/dl,en plus du traitement par statine,une combinaison avec le fenofibrate est à considérer AUSTRALIE : nouvelle indication thérapeutique pour Ralentir la progression de la Rétinopathie Diabétique chez les patients DT2 ayant une RD préexistante

33 Conclusion Chez les patients diabétiques, en prévention primaire, la correction du profil lipidique est importante en raison du risque athérogene particulièrement important chez ces patients. le traitement de première ligne est la réduction du LDLc via la prescription d une statine, éventuellement associée à l ézétimibe pour les Fibrates,en 2 ème intention, 2 indications émergent : o Sujets à très haut risque avec hyper TG+ HDLc sous statine o profil évolutif des DT2 avec progression des complications microvasculaires ( RD et troubles trophiques liés à la neuropathie )

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question

Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Eugène Sobngwi, MD, PhD Service d Endocrinologie d Diabétologie Hôpital Saint-Louis, Paris 10 / INSERM U 671 Le diabète sucré en

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI

Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI La pression artérielle normale n existe plus. L hypertension artérielle n existe plus. On soigne un risque cardiovasculaire. Plus celui-ci est élevé

Plus en détail

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de

Plus en détail

TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND

TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement

Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr

Plus en détail

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Nouvelles lignes directrices sur les lipides mieux cibler pour mieux traiter

Nouvelles lignes directrices sur les lipides mieux cibler pour mieux traiter L athérosclérose coronarienne Nouvelles lignes directrices sur les lipides mieux cibler pour mieux traiter 1 Jean Grégoire et Ragui Ibrahim Vous êtes à votre cabinet le premier lundi de janvier, premier

Plus en détail

Pour la prévention des maladies cardiovasculaires dans le diabète, le taux d'hba1c cible recommandé est <7,0% (<53 mmol / mol).

Pour la prévention des maladies cardiovasculaires dans le diabète, le taux d'hba1c cible recommandé est <7,0% (<53 mmol / mol). Discussion par le Dr Boustani : les nouvelles recommandations européennes sur la prévention nous invitent à une révolution intellectuelle dans l identification des patients à risques. La majorité des cardiologues,

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

Ordonnance collective

Ordonnance collective Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER

ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie

Plus en détail

Activité physique et diabète de type 2

Activité physique et diabète de type 2 Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013

Plus en détail

Risque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques

Risque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques Risque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques Dr Jérôme CONNAULT Service de Médecine Interne et Vasculaire CHU Nantes Société Algérienne de Médecine Interne

Plus en détail

Un diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :

Un diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par : Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif

Plus en détail

PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU PATIENT DYSLIPIDÉMIQUE ARGUMENTAIRE

PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU PATIENT DYSLIPIDÉMIQUE ARGUMENTAIRE PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU PATIENT DYSLIPIDÉMIQUE ARGUMENTAIRE Ce document est une actualisation des Recommandations de Bonne Pratique "Prise en charge des dyslipidémies" publiées par l'afssaps en

Plus en détail

Le traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir?

Le traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir? Le traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir? Le diabète de type 2 est une maladie chronique et progressive dont l incidence va en augmentant. Il n existe pas de traitement

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

Le VIH et votre apparence physique

Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude

Plus en détail

TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida.

TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida. TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida. Malgré une prescription qui date maintenant de quelques dizaines d années, le traitement hormonal substitutif de la ménopause

Plus en détail

Système cardiovasculaire - CV CV111 CV110. aliskirène Rasilez

Système cardiovasculaire - CV CV111 CV110. aliskirène Rasilez aliskirène Rasilez CV111 Pour le traitement de l hypertension artérielle, en association avec au moins un agent antihypertenseur, si échec thérapeutique, intolérance ou contre-indication à un agent de

Plus en détail

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant

Plus en détail

Diabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques

Diabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an

PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an

Plus en détail

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT

Plus en détail

Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre

Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites

Plus en détail

CARDIOLOGIE. Conférences scientifiques

CARDIOLOGIE. Conférences scientifiques www.cardiologieconferences.ca NOVEMBRE 24 volume IX, numéro 9 CARDIOLOGIE Conférences scientifiques COMPTE RENDU DES CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES DE LA DIVISION DE CARDIOLOGIE, HÔPITAL ST. MICHAEL S, UNIVERSITÉ

Plus en détail

Primeurs en cardiologie I

Primeurs en cardiologie I Primeurs en cardiologie I Chicago Emmanuèle Garnier Le congrès de l American College of Cardiology (ACC), qui avait lieu du 29 mars au 1 er avril, a permis le dévoilement en primeur de nombreux résultats

Plus en détail

Diabète et hypoglycémies

Diabète et hypoglycémies Diabète et hypoglycémies Docteur Karim LACHGAR Chef de service de diabétologie endocrinologie Hôpital Simone Veil Eaubonne Montmorency Karim.lachgar@ch-simoneveil.fr 15 e journée des associations du Val

Plus en détail

Le VIH et votre cœur

Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,

Plus en détail

16/04/03 Confidentiel

16/04/03 Confidentiel MEMORANDUM DATE : 16/04/03 DE : RE : FRANÇOIS HOUYEZ NOTE SUR LE RISQUE DE MALADIE CARDIO-VASCULAIRE ET TRAITEMENT HAART NOTE: DES INFORMATIONS CONTENUES DANS CE RAPPORT PEUVENT ETRE CONFIDENTIELLES. ELLES

Plus en détail

LES FACTEURS DE RISQUE

LES FACTEURS DE RISQUE LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante

Plus en détail

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines

Plus en détail

Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV

Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité

Plus en détail

6 novembre 2014. Modifier son style de vie pour améliorer la dyslipidémie? et pour diminuer le risque cardiovasculaire

6 novembre 2014. Modifier son style de vie pour améliorer la dyslipidémie? et pour diminuer le risque cardiovasculaire 6 novembre 2014 Modifier son style de vie pour améliorer la dyslipidémie? et pour diminuer le risque cardiovasculaire Ulrich Keller, Prof. Dr. med. FMH Endocrinologie-Diabétologie Consultant, Clinique

Plus en détail

SANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!

SANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre

Plus en détail

Syndromes coronaires aigus

Syndromes coronaires aigus CONGRES American College of Cardiology J.P. COLLET Service de Cardiologie, Hôpital Pitié-Salpêtrière, PARIS. Syndromes coronaires aigus L American College of Cardiology a encore montré le grand dynamisme

Plus en détail

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7

Plus en détail

GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Diabète de type 2

GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Diabète de type 2 GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 2 Juillet 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication 2, avenue du Stade-de-France F 93218

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

FORMATION CONTINUE. L obésité abdominale NUMÉRO 19

FORMATION CONTINUE. L obésité abdominale NUMÉRO 19 FORMATION CONTINUE NUMÉRO 19 L obésité abdominale N???? - CAHIER 2???????? DÉCEMBRE 2006 PHOTO BSIP Dossier réalisé par le Dr Jean-Michel BORYS, diabétologue-endocrinologue, Armentières, et le Dr François

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs

GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Mars 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2 avenue

Plus en détail

La gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique?

La gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique? La gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique? Confrontations d Endocrinologie-Diabétologie Les Vaux de Cernay L Fouquet, S. Franc 25 Mars 2010 1 Observation n 2, Mme. S 42 ans,

Plus en détail

Les tests thyroïdiens

Les tests thyroïdiens Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur

Plus en détail

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

Plus en détail

SUIVI MÉDICAL DU DIABÈTE CHEZ LES ASSURÉS DE LA MGEN

SUIVI MÉDICAL DU DIABÈTE CHEZ LES ASSURÉS DE LA MGEN SUIVI MÉDICAL DU DIABÈTE CHEZ LES ASSURÉS DE LA MGEN K. Cosker, C. Sevilla-Dedieu, F. Gilbert, P. Lapie-Legouis, R. Cecchi-Tenerini Fondation d entreprise MGEN pour la santé publique 1 Contexte Les différents

Plus en détail

ALD 8 DIABÈTE DE TYPE 2

ALD 8 DIABÈTE DE TYPE 2 ALD 8 DIABÈTE DE TYPE 2 GUIDE MÉDECIN -1- SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 GUIDE MEDECIN ALD 8 - DIABETE DE TYPE 2... 4 I. BILAN INITIAL... 4 I.1. Objectifs...4 I.2. Professionnels impliqués...4 I.3. Rappel

Plus en détail

CANRISK. Questionnaire canadien sur le risque de diabète. Guide de l utilisateur à l intention des pharmaciens

CANRISK. Questionnaire canadien sur le risque de diabète. Guide de l utilisateur à l intention des pharmaciens CANRISK Questionnaire canadien sur le risque de diabète Guide de l utilisateur à l intention des pharmaciens CANRISK Questionnaire canadien sur le risque de diabète Guide de l utilisateur à l intention

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC)

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire

Plus en détail

Le diabète en pédiatrie

Le diabète en pédiatrie Le diabète en pédiatrie Dre Isabelle Bouchard Pédiatre Clinique de diabète pédiatrique du CHUL Janvier 2012 Objectifs 1) Connaître les différences physiopathologiques entre le diabète type 1 et type 2

Plus en détail

Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques

Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que

Plus en détail

UN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES

UN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES DIABÈTE UN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES La Fédération Française de Cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation et gestes qui sauvent grâce à la générosité de ses donateurs UN ENNEMI DU CŒUR

Plus en détail

Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète)

Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète) Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète) Chef du service de médecine du sport, CHU de Clermont-Ferrand Monsieur Julien AUCOUTURIER Maître de conférences STAPS 60 % des diabétiques de type 2 sont

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Le diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle. Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût

Le diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle. Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût Le diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût Le diabète est une véritable épidémie. Cette maladie chronique

Plus en détail

Recommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue

Recommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue RECOMMANDATIONS SFC/ALFEDIAM Recommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue Recommandations, argumentaire, références B. Charbonnel, B. Bouhanick, C. Le

Plus en détail

Chapitre 1. Risque cardiovasculaire de la Polyarthrite Rhumatoïde

Chapitre 1. Risque cardiovasculaire de la Polyarthrite Rhumatoïde Risque cardiovasculaire dans les rhumatismes inflammatoires chroniques Sylvain Mathieu, Anne Tournadre, Martin Soubrier Service de rhumatologie. Hôpital G Montpied. 63003 Clermont-Ferrand. Il est maintenant

Plus en détail

Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08

Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08 Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,

Plus en détail

Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)

Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération

Plus en détail

LA DIETETIQUE DU DIABETE

LA DIETETIQUE DU DIABETE LA DIETETIQUE DU DIABETE (Ed. ALPEN) 95 pages Docteur Eric MENAT PRENEZ-VOUS EN CHARGE ET EVITEZ LES ERREURS ALIMENTAIRES Pendant des siècles, les épidémies, fléaux de l humanité, étaient principalement

Plus en détail

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut

Plus en détail

Nouveautés dans Asthme & MPOC

Nouveautés dans Asthme & MPOC Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier

Plus en détail

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)

Plus en détail

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours 878 RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Recommandations pour la pratique clinique ARGUMENTAIRE Septembre 2011 1 Les recommandations

Plus en détail

Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition

Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,

Plus en détail

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans? Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et

Plus en détail

En savoir plus sur le diabète

En savoir plus sur le diabète En savoir plus sur le diabète 2 Qu est-ce que le diabète? Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang, on appelle cela l hyperglycémie. Le diabète est une maladie chronique qui survient

Plus en détail

DEFICIENCES METABOLIQUES ET ACTIVITES PHYSIQUES ADAPTEES. OBESITE DIABETE I et II (M. AMATO)

DEFICIENCES METABOLIQUES ET ACTIVITES PHYSIQUES ADAPTEES. OBESITE DIABETE I et II (M. AMATO) DEFICIENCES METABOLIQUES ET ACTIVITES PHYSIQUES ADAPTEES OBESITE DIABETE I et II (M. AMATO) 1 OBESITE 2 OBESITES DE GRADE III ou MORBIDE, espérance de vie limitée 3 ans (grade II) à 10 ans (grade III)*

Plus en détail

Le diabète de type 1 UNSPF. Ségolène Gurnot

Le diabète de type 1 UNSPF. Ségolène Gurnot Le diabète de type 1 UNSPF Ségolène Gurnot Juin 2013 Légende Entrée du glossaire Abréviation Référence Bibliographique Référence générale Table des matières Introduction 5 I - Introduction 7 A. Quelle

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

RISQUE CARDIOVASCULAIRE et INFECTION PAR LE VIH

RISQUE CARDIOVASCULAIRE et INFECTION PAR LE VIH RISQUE CARDIOVASCULAIRE et INFECTION PAR LE VIH Correspondances en Risque CardioVasculaire Cardiovascular risk in HIV-infected patients Franck BOCCARA, Stéphane EDERHY, Catherine MEULEMAN, Sandra JANOWER,

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

J aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire?

J aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire? Simon Equilibré grâce à sa pompe depuis 2004 J aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire? L hypoglycémie peut être l une des préoccupations majeures des diabétiques de type 1,

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode

Plus en détail

«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.»

«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.» «Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.» Boire peu pour boire longtemps. Marcel Aymé Le vin est dans notre pays synonyme de plaisir (gastronomique) ou de déchéance (alcoolique). Le débat

Plus en détail

CENTRE DU DIABETE CLINIQUE SAINT-JEAN. Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques

CENTRE DU DIABETE CLINIQUE SAINT-JEAN. Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques CLINIQUE SAINT-JEAN Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques 1 Madame, Mademoiselle, Monsieur, Bienvenue au Centre du Diabète de la. Nous sommes un centre de traitement multidisciplinaire

Plus en détail

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont

Plus en détail

Fiche de synthèse. Learn. Les points essentiels pour l accompagnement d un patient diabétique. Parcours : Prise en charge du diabète à l officine

Fiche de synthèse. Learn. Les points essentiels pour l accompagnement d un patient diabétique. Parcours : Prise en charge du diabète à l officine Les points essentiels pour l accompagnement d un patient diabétique Dans toutes les situations Privilégiez la phase de découverte Savoir comment le patient et/ou l accompagnant perçoivent le diabète. Permettre

Plus en détail

Le diabète de type 2 ou diabète non insulinodépendant

Le diabète de type 2 ou diabète non insulinodépendant Le diabète de type 2 ou diabète non insulinodépendant (DNID) (223b) Professeur Serge HALIMI Avril 2003 (Mise à jour Février 2005) Pré-requis : Physiologie de la régulation de la glycémie Actions de l insuline

Plus en détail

Montréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare

Montréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique

Plus en détail

ntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques

ntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions

Plus en détail

Guide de prise en charge du diabete de type 2 pour l afrique sub-saharienne. Fédération Internationale du Diabète Region Afrique

Guide de prise en charge du diabete de type 2 pour l afrique sub-saharienne. Fédération Internationale du Diabète Region Afrique Guide de prise en charge du diabete de type 2 pour l afrique sub-saharienne Fédération Internationale du Diabète Region Afrique i TABLE DES MATIERES REMERCIEMENTS... 1 1. AVANT-PROPOS... 2 2. PREFACE...

Plus en détail

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.

Plus en détail

Journées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS

Journées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS Surveillance des pace makers et des défibrillateurs Journées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS La stimulation cardiaque La stimulation cardiaque Historique

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

La mesure de la réserve coronaire

La mesure de la réserve coronaire Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis

Plus en détail

Le psoriasis est reconnu depuis

Le psoriasis est reconnu depuis et comorbidités cardiométaboliques Résumé : Les études récentes ont montré que le psoriasis est associé à un risque accru de comorbidités incluant le syndrome métabolique, l obésité, le diabète, l hypertension,

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

Revue de la littérature

Revue de la littérature Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction

Plus en détail

maladies des artères Changer leur évolution Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs

maladies des artères Changer leur évolution Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs maladies des artères Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs maladies des artères : comment, pourquoi? La principale maladie de nos artères, appelée athérosclérose,

Plus en détail

RAPPORT D ORIENTATION. Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées

RAPPORT D ORIENTATION. Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées RAPPORT D ORIENTATION Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées Avril 2011 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail