Le cancer du poumon est bien installé à la
|
|
- Jean-Pascal Bénard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Évolution épidémiologique du cancer broncho-pulmonaire en France Epidemiologic trends of lung cancer in France J. Trédaniel*, L. Staudacher**, C. Durand**, C. Beuzelin**, J.L. Jagot**, L. Teixeira***, S. Salmeron** * Service de pneumologie, hôpital Saint-Joseph, Paris ; université Paris- Descartes. ** Service de pneumologie, hôpital Saint-Joseph, Paris. *** Service d oncologie médicale, hôpital Saint-Antoine, Paris. Le cancer du poumon est bien installé à la première place des causes de mortalité par cancer en France (1), en Europe et, plus généralement, à la surface de la planète (2), du moins chez l homme, puisque chez la femme en 28, il ne représentait que le quatrième cancer le plus souvent découvert et la deuxième cause de mortalité après le cancer du sein (3). En dépit de cette apparente stabilité, les paramètres qui gouvernent sa présentation anatomoclinique tels que l âge, le sexe et la distribution des sous-types histologiques se sont récemment modifiés et expliquent les variations qu observent les cliniciens (4). C est avant tout l évolution des modalités du tabagisme et surtout celle de la composition des cigarettes qui explique les changements observés (5, 6). D autre part, les expositions professionnelles aux substances cancérigènes ainsi que les déterminants socio-économiques sont désormais reconnus et plus largement pris en compte. En dépit de l introduction de nouveaux médicaments et de nouvelles stratégies thérapeutiques, la survie globale des patients s est relativement peu améliorée au cours des dernières années. L objectif de cette revue est de faire le point sur ces différents éléments en centrant, autant que faire se peut, les données présentées sur la situation française. Données récentes d incidence et de mortalité par cancer du poumon en France Le dispositif de surveillance épidémiologique des cancers repose sur un partenariat établi entre le réseau français des registres du cancer (Francim), le service de biostatistique des hospices civils de Lyon (HCL), l Institut de veille sanitaire (InVS) et l Institut national du cancer (INCa), et s appuie sur les données des registres et les taux de mortalité. Le Francim, qui regroupe 9 registres spécialisés (dont aucun ne couvre le champ du cancer bronchique) et 14 registres généraux, fournit des données d inci dence ; il couvre environ 18 % de la population française. Ce dispositif complexe fournit également des projections pour l année en cours, issues d une modélisation statistique des données d incidence et de mortalité recueillies les années précédentes ( ; ainsi, pour l année 21, ont été prises en compte les données d incidence observées par les registres jusqu en 25 et les données de mortalité observées sur la France entière jusqu en 27 ( Cet exercice présente donc un certain niveau d incertitude, puisqu il oblige à émettre des hypothèses sur ce qui s est passé entre 25 et 21. En termes d incidence, ce sont 37 nouveaux cas de cancer du poumon qui étaient attendus en 21 (27 chez l homme et 1 chez la femme), représentant 1 % de l ensemble des nouveaux cas de cancer (13 % des nouveaux cancers chez l homme et 6 % chez la femme). Ces chiffres placent le cancer bronchique au quatrième rang des cancers incidents, après ceux de la prostate, du sein et du côlon-rectum. Parallèlement, ce sont 28 7 décès qui étaient attendus (21 chez l homme et 7 7 chez la femme), représentant 2 % de l ensemble des décès par cancer (soit 25 % des décès par cancer chez l homme et 12 % chez la femme) et confirmant le cancer du poumon comme première cause de mortalité par cancer en France. Alors qu il a été 37 La Lettre du Cancérologue Vol. XX - n 6 - juin 211
2 Résumé Le cancer du poumon est la première cause de mortalité par cancer en France : 37 nouveaux cas étaient attendus en 21 (27 chez l homme et 1 chez la femme), représentant 1 % de l ensemble des nouveaux cas de cancer ; 28 7 décès étaient attendus (21 chez l homme et 7 7 chez la femme), représentant 2 % de l ensemble des décès par cancer. Sa présentation (âge, sexe, type histologique) s est récemment modifiée, essentiellement en raison de changements dans les pratiques tabagiques ; les expositions aux cancérigènes en milieu professionnel sont aussi plus largement prises en compte. En dépit de l introduction de nouveaux médicaments et de nouvelles stratégies thérapeutiques, la survie globale des patients s est relativement peu améliorée au cours des dernières années. Mots-clés Cancer bronchique Tabagisme Épidémiologie Pronostic longtemps proclamé que, pour le cancer du poumon, l incidence et la mortalité étaient identiques, il est notable de souligner le différentiel de 8 3 cas qui sépare désormais l incidence de la mortalité, ce qui traduit même grossièrement l amélioration de la prise en charge des malades (7). En 22, la prévalence à 5 ans (qui est un moyen d évaluer la population de malades susceptibles de consommer des soins) a été estimée à cas, représentant la cohorte des personnes toujours en vie en 22 et ayant eu un diagnostic de cancer bronchique porté entre 1998 et 22. Les projections pour 212 estiment à cette date une prévalence de 46 7 cas (37 3 hommes et 9 4 femmes) [8, 9]. Afin de permettre les comparaisons d une période de temps à une autre ou d une région à une autre, c est en taux standardisé ici, sur la structure d âge de la population mondiale pour 1 personnesannées qu il faut s exprimer (taux standardisé monde ou TSM) [1]. Par exemple, le taux brut d incidence chez l homme en 25 était calculé à 8,9 alors que le TSM était égal à 5,5. Cette discordance apparente est liée à l augmentation de la population, à la structure d âge actuellement vieillissante de la population française lorsqu on la compare à la population mondiale, ainsi qu à la diminution régulière des autres causes de mortalité comme, par exemple, la mortalité cardiovasculaire ou par maladies infectieuses ; si l on se réfère à la population européenne, plus proche de la population française, l écart observé entre le taux brut (par exemple, 8,9 pour l incidence chez l homme) et le taux standardisé Europe (qui est de 72,1) est moins net. Seuls les taux standardisés doivent être pris en compte, car ils reflètent ce qui serait observé dans une population fictive et de structure stable, permettant ainsi des comparaisons internationales et dans le temps, et c est le TSM qui est le plus volontiers usité. Le médecin a donc l impression, à juste titre, de se trouver confronté à un nombre croissant de patients (figure 1), alors même que l expression des données en taux standardisés se révèle tendre, en tout cas chez l homme, vers une diminution des paramètres épidémiologiques (figure 2). En 21, ce taux standardisé était, pour l incidence, de 51,9 chez l homme et de 17,8 chez la femme ; pour la mortalité, il était respectivement de 38,6 et de 12,1. En effet, comme cela s observe pour toutes les autres localisations tumorales, ces taux évoluent avec le temps, reflétant avec un décalage de 2 à 3 ans l évolution des pratiques tabagiques, marquée par une diminution du tabagisme masculin et une entrée plus récente des femmes dans le tabagisme. De ce fait, il est possible de dire que les cancers observés en 21 sont le reflet du tabagisme des années 198, mais aussi, a contrario, que le tabagisme des Incidence et mortalité Années Incidence homme Incidence femme Mortalité homme Mortalité femme Figure 1. Nombre de cas et de décès en France selon le sexe et l année. Incidence et mortalité Années Incidence homme Incidence femme Mortalité homme Mortalité femme Figure 2. Taux d incidence et de mortalité (standar disés sur la population mondiale pour 1 personnesannées) en France selon le sexe et l année. Summary Lung cancer is the leading cause of cancer death in France : 37, new cases of lung cancer were expected in 21 (27, among men and 1, among women), representing 1% of all new cancer cases; 28,7 deaths were expected, including 21, in men and 7,7 in women, representing 2% of all cancer deaths. Its presentation (age, sex, histological type) was recently amended, mainly due to changes in smoking practices; exposure to carcinogens in the workplace are also more widely considered. Despite the introduction of new drugs and new therapeutic strategies, overall survival of patients was relatively poorly improved in recent years. Keywords Lung neoplasm Tobacco smoking Epidemiology Prognostic La Lettre du Cancérologue Vol. XX - n 6 - juin
3 Évolution épidémiologique du cancer broncho-pulmonaire en France Incidence et mortalité (%) Hongrie années 21 fait le lit des cancers bronchiques qui seront diagnostiqués dans la décennie 23. Reflet de la différence entre les genres, alors que l incidence et la mortalité diminuent chez l homme, elles augmentent chez la femme, chez qui l incidence a triplé ces 2 dernières années. En effet, l augmentation d incidence observée chez l homme jusqu à la fin des années 199 s est stabilisée, voire inversée, entre 2 et 25, avec une décroissance moyenne annuelle de,5 % ; toutefois, l incidence projetée pour 21 a regagné son niveau de 2, à 51,9 pour 1 personnes-années en TSM. En revanche, chez la femme, l augmentation de l incidence est franche et continue, celle-ci passant de 3,6 en 198 à 12,6 en 25, avec une estimation à 17,8 pour 21 ; cela correspond, entre 2 et 25, à une augmentation annuelle de 5,8 % (11). Comme pour l incidence, la mortalité par cancer du poumon est en net recul chez l homme, avec un taux de décroissance moyenne annuelle de 1,7 % entre 2 et 25, alors qu elle continue à augmenter chez la femme : + 3,5 % entre 198 et 25 et, même, + 4,2 % entre 2 et 25. Il existe une franche disparité entre les régions, avec schématiquement un gradient Nord-Est/Sud-Ouest, qui est sans doute le reflet de situations socio-économiques et socioculturelles différentes. Ainsi, le taux d incidence le plus élevé chez l homme est observé dans le Nord-Pas-de-Calais (+ 4 % par rapport à la moyenne française) et le plus faible en Limousin et en France Union européenne États-Unis Suède Incidence Mortalité Figure 3. Taux d incidence et de mortalité standardisés à la population mondiale. Midi-Pyrénées ( 19 % par rapport à la moyenne française). Chez la femme, la situation, après une période où la maladie était concentrée dans les grandes villes, se rapproche de celle observée chez l homme ; les taux les plus élevés sont observés en Lorraine (+ 33 % par rapport à la moyenne française), en Îlede-France (+ 29 %) et en Corse (+ 27 %) ; les taux les plus faibles se retrouvent en Basse-Normandie ( 24 %), dans les Pays de la Loire ( 23 %) et dans le Nord-Pas-de-Calais ( 22 %). Alors qu une diminution de l incidence est observée dans la majorité des régions chez l homme entre 2 et 25, celle-ci a augmenté chez la femme dans toutes les régions entre 198 et 25, avec une accentuation encore plus marquée entre 2 et 25. De façon prévisible, ces disparités régionales pour l incidence se retrouvent à peu près à l identique lorsqu on analyse les taux de mortalité (11). Comparaison avec l Europe et le reste du monde Le cancer du poumon représente 11,7 % des nouveaux cas de cancer à l échelle européenne, et il est également, avec 252 cas estimés en 28 (soit 2,5 % des décès par cancer dans l Union européenne), à l origine du plus grand nombre de décès. Les taux d incidence et de mortalité observés en France chez l homme sont proches de la moyenne de l Union européenne et du taux estimé des États-Unis (figure 3). Chez la femme, la France se situe légèrement en dessous des autres pays de l Union européenne, aussi bien pour l incidence que pour la mortalité, et bien en dessous des États-Unis ou du Canada. Les tendances évolutives observées en France le sont également dans les pays au mode de vie similaire, comme les États-Unis, dont l exemple est particulièrement intéressant, puisque l épidémie tabagique y évolue avec un décalage d au moins 2 ans d avance par rapport à la France (12). Ainsi, chez l homme français, la mortalité décroît depuis 1995 au rythme de 1 % par an, alors que la décroissance se poursuit depuis 1991 aux États-Unis à la vitesse de 1,9 % par an. Au contraire, la mortalité s est stabilisée en plateau depuis 22 chez la femme américaine, alors qu elle continue à augmenter chez la femme française (13). En Europe, les taux de mortalité diminuent chez l homme, particulièrement en Europe de l Ouest et du Nord, tandis que, chez la femme, ils continuent à augmenter dans un grand nombre de pays mais se stabilisent dans d autres, notamment en Europe de l Est et du Nord (14). 372 La Lettre du Cancérologue Vol. XX - n 6 - juin 211
4 Âge et sexe : situation en 21 Dans tous les cas, il s agit encore d une maladie essentiellement masculine, que ce soit pour l incidence (73 %) ou la mortalité (73 %). En raison de l introduction récente du tabagisme dans les générations féminines les plus jeunes, le risque de survenue d un cancer du poumon augmente au fil des générations chez la femme, et est passé, par exemple, de,8 % pour la cohorte née en 193 à 2,5 % pour la cohorte née en 195. L âge moyen au diagnostic était estimé, en 25, à 65 ans chez l homme et à 64 ans chez la femme. Environ 5 % des nouveaux cas de cancer du poumon se déclarent avant 65 ans. L incidence est voisine dans les deux sexes jusqu à 5 ans. Au-delà, l incidence est plus élevée chez l homme que chez la femme, reflet, là encore, de l apparition plus tardive du tabagisme chez la femme. À partir de la tranche d âge ans, l incidence est environ quatre fois plus élevée chez l homme que chez la femme. Les taux de survie relative à 1 et 5 ans des patients dont le diagnostic a été porté entre 1989 et 1997 étaient respectivement de 43 % et 14 %. La survie relative à 5 ans chez la femme est légèrement supérieure (18 %) à ce qu elle est chez l homme (13 %). Plus de 4 % des décès par cancer du poumon surviennent avant l âge de 65 ans. Avant 5 ans, les taux de mortalité sont faibles et proches dans les deux sexes. Ils augmentent ensuite avec l âge, plus rapidement chez l homme que chez la femme, et, comme pour l incidence, le taux de mortalité masculin est quatre fois plus élevé que le taux féminin après 65 ans. Chez l homme, le risque de décéder avant 75 ans d un cancer du poumon est relativement stable, quelle que soit la cohorte de naissance ; au contraire, ce risque augmente au fil des générations chez la femme (,5 % pour la cohorte née en 192 mais 1,6 % pour celle née en 195). Sur la période 23-27, l âge médian au moment du décès était de 68 ans chez l homme et de 69 ans chez la femme (11). Tabagisme et autres causes de cancer bronchique En France, la consommation de tabac est le principal facteur de risque de cancer du poumon. La consommation de cigarettes a atteint un maximum de 9 par adulte et par jour chez les hommes en 198 et de 3,5 chez les femmes en La baisse a donc commencé chez les hommes 11 ans plus tôt que chez les femmes et a été beaucoup plus marquée. Ces diminutions peuvent être portées au crédit des politiques publiques de prévention du tabagisme, qui ont cheminé en trois étapes : loi Veil du 9 juillet 1976, loi Évin du 1 janvier 1991 et, plus récemment, premier Plan cancer 23-27, qui, sur 7 mesures, en consacrait neuf à la lutte contre le tabagisme, avec notamment l augmentation significative et régulière du prix de vente du tabac, l interdiction de la vente aux mineurs de moins de 16 ans et l application stricte de l interdiction de fumer dans les lieux collectifs. Ainsi, entre 22 et 28, une diminution de 31 % des ventes de tous types de produits du tabac a été observée. Parallèlement, le nombre de fumeurs réguliers a diminué de 12 % entre 2 et 25, passant de 29,5 à 26,1 %. Enfin, l usage quotidien du tabac concernait 41,1 % des adolescents de 17 ans en 2, mais seulement 28,9 % en 28, révélant une diminution de 27 % ; il en est de même pour les adolescents de 15 et 16 ans, avec une prévalence du tabagisme qui est passée de 31 % en 1999 à 17 % en 27, soit une diminution de 45 % (15). La mortalité par cancer bronchique est le reflet du tabagisme des 2 à 3 années précédentes. Entre 35 et 44 ans, elle est donc un excellent reflet de la responsabilité du tabagisme dans l épidémie, puisque l entrée dans le tabagisme se fait majoritairement entre 15 et 2 ans. Or, les différences observées dans cette tranche d âge sont très marquées selon le genre, puisque le risque de décès a diminué de moitié en 1 ans chez l homme, tandis qu il a été multiplié par quatre dans le même temps chez la femme, ce qui reflète parfaitement la diminution de la consommation de cigarettes entre 15 et 44 ans chez les hommes au cours des 1 dernières années et, au contraire, son augmentation chez la femme. Il est très probable que l épidémie va continuer chez les femmes au fur et à mesure que vieilliront les générations de femmes fumeuses. Malheureusement, les ventes de cigarettes étant restées à peu près stables depuis 24, on peut également craindre un ralentissement de la diminution de la mortalité notée chez les hommes (16). À côté du tabagisme, les causes professionnelles sont encore largement méconnues, puisque plus de 6 % des cancers d origine professionnelle ne sont pas reconnus comme tels (17). Ainsi, un rapport de l Institut de veille sanitaire datant de 1999 relevait que seuls 458 cancers avaient été reconnus comme étant d origine professionnelle au sens de la législation du travail, alors que le nombre des tumeurs liées à une exposition au travail était évalué comme allant de à C est, bien évidemment, l amiante qui est majoritairement incriminé dans la survenue de ce cancer, quel que soit par ailleurs le tabagisme La Lettre du Cancérologue Vol. XX - n 6 - juin
5 DOSSIER THÉMATIQUE Évolution épidémiologique du cancer broncho-pulmonaire en France du patient. Il a été estimé que 25 % des hommes retraités ont été exposés à l amiante au cours de leur vie professionnelle. Aussi tout patient nouvellement diagnostiqué devrait-il faire l objet d une évaluation de son cursus laboris à la recherche d une exposition à un cancérogène, cette dernière pouvant justifier ensuite une déclaration en maladie professionnelle (au titre du tableau 3bis, s il s agit d une expo sition à l amiante, pour les cancers bronchiques). À cet effet, un questionnaire, élaboré conjointement par la Société de pneumologie de langue française (SPLF) et la Société française de médecine du travail, a été élaboré et publié (18) ; il est également accessible sur le site de la SPLF ( rubrique Documents ). Prise en charge thérapeutique Les cancers pulmonaires sont la source de 11,8 % des chimiothérapies administrées en France en 29, soit un total de séances. Le bévacizumab, désormais largement utilisé dans le traitement des cancers du poumon, est, en France et dans le monde, à la première place (19,3 %) des dépenses en médicaments anticancéreux, toutes indications thérapeutiques confondues. Le pémétrexed représente à lui seul 8,1 % des dépenses en molécules anticancéreuses et continue sa croissance. L extension des indications de l erlotinib et l introduction du géfitinib, médicaments pris par voie orale et distribués dans les officines, contribuent à l augmentation des dépenses sur le marché de ville. Parallèlement, le nombre des recherches de mutation du récepteur de l EGF effectuées par les 28 plates-formes hospitalières de génétique moléculaire labellisées par l INCa est passé de en 28 à en 29, pour atteindre au premier semestre 21 (19). Des recommandations récentes guident le traitement des cancers bronchiques primitifs (2). Si l on en croit un sondage effectué en 22 par la Caisse nationale d assurance maladie, il est à souhaiter que ces recommandations soient effectivement suivies. En effet, l échantillon sondé incluait patients représentatifs, dont près des deux tiers étaient traités pour une maladie métastatique. Il s est avéré que près de la moitié des patients atteints d une tumeur de stade III ne recevait pas de radiothérapie ; plus de la moitié recevait un protocole non cohérent avec les Standards, Options et Recommandations validés à cette date ; seuls 3 % des malades étaient inclus dans un essai thérapeutique, et ce ne sont pas moins de 71 protocoles différents qui étaient appliqués dans le cadre d une première ligne de chimiothérapie pour un cancer métastatique! Conclusion Le cancer du poumon ne devrait pas exister ou devrait être rare, puisque le facteur de risque majeur qu est le tabagisme est connu de longue date. Il est indispensable qu une politique de prévention soutenue soit appliquée, sans faille, par les pouvoirs publics. Le cancer du poumon reste en effet classé par l INCa, avec les tumeurs du foie, du pancréas, de l œsophage et du système nerveux central, parmi les cancers de mauvais pronostic, pour lesquels la survie à 5 ans est inférieure ou égale à 2 %. Dans le cas spécifique du cancer du poumon, la survie à 5 ans est estimée à 14 % (11). Il importe toutefois de souligner que ces analyses sont basées sur le suivi de patients traités pour cancer avant 2 et n ayant donc bénéficié ni des stratégies thérapeutiques modernes, ni des médicaments les plus récents. Références bibliographiques 1. Launois G. Épidémiologie des cancers bronchopulmonaires en France. Facteurs sociologiques et professionnels. Rev Mal Respir Actual 21;2(3): Youlden DR, Cramb S, Baade PD. The international epidemiology of lung cancer: geographical distribution and secular trends. J Thorac Oncol 28;3: Jemal A, Bray F, Center MM, Ferlay J, Ward E, Forman D. Global cancer statistics. CA Cancer J Clin 211;61(2): Devesa SS, Bray F, Vizcaino AP, Parkin DM. International lung cancer trends by histologic type: male/female differences diminishing and adenocarcinoma rates rising. Int J Cancer 25;117(2): Hoffmann D, Djordjevic MV, Hoffmann I. The changing cigarette. Prev Med 1997;26(4): Hoffmann D, Hoffmann I. The changing cigarette, J Toxicol Environ Health 1997;5(4): Jemal A, Ward E, Thun M. Declining death rates reflect progress against cancer. PLoS One 21;5(3):e Colonna M, Bossard N, Mitton N et al. Some interpretation of regional estimates of the incidence of cancer in France over the period Rev Epidémiol Santé Publique 28;56(6): Colonna M, Danzon A, Delafosse P et al. Cancer prevalence in France: time trend, situation in 22 and extrapolation to 212. Eur J Cancer 28;44(1): Institut national du cancer. Dynamique d évolution des taux de mortalité des principaux cancers en France. Collection Rapports & synthèses 21: 68 p. 11. Institut national du cancer. La situation du cancer en France en 21. Collection Rapports & synthèses 21: 288 p. 12. Jemal A, Siegel R, Xu J, Ward E. Cancer statistics, 21. CA Cancer J Clin 21;6(5): Guérin S, Hill C. L épidémiologie des cancers en France en 21 : comparaison avec les États-Unis. Bull Cancer 21;97(1): Bray FI, Weiderpass E. Lung cancer mortality trends in 36 European countries: secular trends and birth cohort patterns by sex and region Int J Cancer 21; 126(6): Karsenty S, Hirsch A. Les évolutions de la consommation de tabac en France de 1999 à 28. Bull Epidemiol Hebdo 21;19-2: Hill C, Jougla E, Beck F. Le point sur l épidémie de cancer du poumon dû au tabagisme. Bull Epidemio Hebdo 21;192: Institut national du cancer. Détection des cancers d origine professionnelle: quelques clés pour agir. 26: 5 p. 18. Société de pneumologie de langue française (SPLF) et Société française de médecine du travail (SFMT). Questionnaire de repérage des expositions professionnelles chez les sujets atteints de cancer bronchique primitif. Info Respir 29;91: Institut national du cancer. Situation de la chimio thérapie des cancers en 21. Collection Rapports & synthèses 21: 4 p. 2. Institut national du cancer. Cancer du poumon non à petites cellules. Formes localisées non opérables, localement avancées et métastatiques. Collection Recommandations & référentiels 21: 113 p.
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailARTICLE IN PRESS. G. Cadelis a,, S. Kaddah a, B. Bhakkan b, M. Quellery b, J. Deloumeaux b ARTICLE ORIGINAL
Revue des Maladies Respiratoires (2013) xxx, xxx xxx Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com ARTICLE ORIGINAL Épidémiologie et incidence du cancer bronchique primitif dans une région à faible consommation
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailEstimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans
Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailLe cancer dans le canton de Fribourg
Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début
Plus en détailSurveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES
Surveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise
Plus en détailEstimation nationale de l incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et 2012
JUILLET 2013 Estimation nationale de l incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et 2012 Étude à partir des registres des cancers du réseau Francim Partie 1 Tumeurs solides Auteurs Florence
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailLe cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS»
F N O R S Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS de Bretagne, Franche-Comté, Languedoc-Roussillon, Limousin, Pays de la Loire, Rhône-Alpes Le cancer dans les régions de Mortalité
Plus en détailSITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME
I. Tabac-info-service.fr SITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME I. TABAC-INFO-SERVICE.FR http://www.tabac-info-service.fr/ Site du Ministère de la Santé et de l Inpes (Institut national de prévention et d
Plus en détailLa survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation
La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg
Plus en détailProgramme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib
Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailDr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013
Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus
Plus en détailTABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse
TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailLigue Algérienne pour la Défense des droits de l Homme الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق السنسان. Le calvaire sans fin des malades du cancer
Ligue Algérienne pour la Défense des droits de l Homme الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق السنسان http://droitdelhomme.over-blog.com laddhchlef@yahoo.fr laddhchlef@gmail.com http://facebook.com/laddhchlef
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailProgramme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO»
Programme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) 2005 2010 «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO» Ministère de la Santé et des Solidarités 1 Le programme
Plus en détailRecommandations pour le troisième Plan Cancer
RAPPORT À LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ ET À LA MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE Recommandations pour le troisième Plan Cancer PROFESSEUR JEAN-PAUL VERNANT JUILLET
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailEtude statistique des données fournies par la CCIJP
Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détail2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.
2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailÉtude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon
Delais-Cancer Sein Poumon:32 pages 6/06/12 12:39 Page 1 Mesure 19 SOINS ET VIE DES MALADES Étude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon DANS PLUSIEURS RÉGIONS DE FRANCE EN 2011
Plus en détailLes usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction
Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailOBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?
OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailObservatoire de la Démographie
- INSTITUT MONÉGASQUE DE LA STATISTIQUE ET DES ÉTUDES ÉCONOMIQUES Observatoire de la Démographie Données 2013 Publication 2014 - 2 - 1 INTRODUCTION...5 1.1 CONTEXTE DE REALISATION ET SPECIFICITES...5 1.2
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailLe patrimoine des ménages retraités : résultats actualisés. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 08 juillet 2015 à 9 h 30 «Le patrimoine des retraités et l épargne retraite» Document N 2 bis Document de travail, n engage pas le Conseil Le patrimoine
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailApplication DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT
ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale
Plus en détailEGALITÉ ENTRE LES FEMMES
ÉGALITÉ CHERCHEUSE FEMME ENSEIGNEMENT HOMME ÉTUDIANTE RECHERCHE EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES Chiffres clés de la parité dans l enseignement supérieur et la recherche ÉGALITÉ entre les FEMMES
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailPourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.
Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour
Plus en détailIndicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé
Programme «Maladie» 47 Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Sous-indicateur n 13-1 : Évolution des effectifs (en équivalent temps plein) de
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailTransports sanitaires
Observatoire régional de la santé des Pays de la Loire Juillet 2015 www.santepaysdelaloire.com La santé observée dans les Pays de la Loire Transports sanitaires L'essentiel En 2014, 5,6 millions de patients
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailLes bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003
La Lettre de la DRASS N 2006-03-L Avril 2006 Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 Au 31 décembre 2003, 40 000 rhônalpins sont affi liés à l assurance maladie par le dispositif
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailCancer et environnement
PATHOLOGIES Cancer et environnement Le cancer est une maladie caractérisée par une prolifération importante et anarchique de cellules anormales qui ont la capacité d envahir et de détruire les tissus sains
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailSynthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires
L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les
Plus en détailMonitorage sur le tabac en Suisse : notoriété, utilisation et acceptation
Hans Krebs Kommunikation und Publikumsforschung Monitorage sur le tabac en Suisse : notoriété, utilisation et acceptation Résultats de l enquête menée sur les organisations partenaires de l Office fédéral
Plus en détailRNV3P Recherche de pathologies émergentes
EPSP Ecole Doctorale Ingénierie Santé Cognition Environnement RNV3P Recherche de pathologies émergentes V Bonneterre, L Faisandier, DJ Bicout, R De Gaudemaris pour les membres du RNV3P Laboratoire Environnement
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative
Ministère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Sous-direction qualité et fonctionnement des établissements de santé
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailL amiante est une substance minérale naturelle1
2009 2013 Mesure 12 prévention Amiante et mésothéliome pleural malin COLLECTION Fiches repère État des connaissances en date du 19 janvier 2012 L amiante est une substance minérale naturelle1 fibreuse
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailVACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailMortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de juillet 2006 en France métropolitaine
Mortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de uillet en France métropolitaine FOUILLET A 1, REY G 1, JOUGLA E, HÉMON D 1 1 Inserm, U75, Villeuif, France. Inserm CépiDc, IFR9,
Plus en détailPhotographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012
Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012 Des tendances d évolution différenciées pour les femmes
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS
Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux
Plus en détail