Le dépistage du cancer colorectal
|
|
- Paule Jobin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LE DÉPISTAGE DU CANCER COLORECTAL 1 Le dépistage du cancer colorectal La maladie Le test de dépistage L examen de confirmation diagnostique Les défis Les travaux en cours 2 La maladie poumon colorectal sein prostate col de l utérus tous les sites Nombre de cas (annuel) 7,600 7,100 6,100 4, ,200 Nombre de décès (annuel) 6,600 2,500 1, ,
2 La maladie incidence normalisée selon l âge (/100,000) CCR Hommes Femmes Québec Canada Statistiques canadiennes sur le cancer, La maladie mortalité normalisée selon l âge (/100,000) CCR Hommes Femmes Québec Canada Statistiques canadiennes sur le cancer La maladie Au Québec, la mortalité diminue plus rapidement que dans l ensemble du RDC si la tendance se maintient L excès d incidence se maintient chez les hommes (pas d explications) Évolution de l incidence et de la mortalité du cancer colorectal au Québec Une comparaison avec le Canada hors Québec et les pays industrialisés Institut national de santé publique du Québec Octobre
3 La maladie Diminution de l incidence et de la mortalité plus marquée au Québec et au Canada que dans les autres pays de niveau de vie comparable (années 1980, années 1990) Au départ: en tête de peloton pour l incidence, en milieu de peloton pour la mortalité Évolution de l incidence et de la mortalité du cancer colorectal au Québec Une comparaison avec le Canada hors Québec et les pays industrialisés Institut national de santé publique du Québec Octobre La maladie La séquence adénome-carcinome : transformation des cellules de la muqueuse du colon vers adénomes (tumeurs épithéliales bénignes) certains de ces adénomes, dits avancés, ont un potentiel de transformation maligne : plus de 1 cm, dysplasie de haut grade (histo), caractère villeux (histo) 12 % des adénomes avancés ont une taille inférieure à 1 cm 8 La maladie Prévalence adénomes colorectaux : 40 ans et plus : 30 % ans : 20 % Prévalence adénomes avancés (précurseurs CCR) : ans : 5 % ans : 7,5 % 9 3
4 La maladie Taux de conversion adénomes avancés vers cancer : 55 ans : 2,6 % par année 70 ans : 4,6 % par année Risque cumulatif sur dix ans : 55 ans : 25 % 70 ans : % 10 La maladie Survie relative 5 ans après un diagnostic de CCR : Cancer localisé : 90 % Avec envahissement régional : 70 % Avec métastases à distance : 10 % 11 La maladie : le bilan Le CCR : une maladie candidate au dépistage Incidence et mortalité plus élevées au Québec que sous plusieurs autres juridictions En théorie, le dépistage pourrait réduire l incidence de la maladie (séquence adénomecarcinome) Réduction de la mortalité 12 4
5 Le dépistage du cancer colorectal La maladie Le test de dépistage L examen de confirmation diagnostique Les défis Les travaux en cours 13 Le test de dépistage RSOS au gaïac (RSOSg) RSOS immunochimique (RSOSi) Sigmoïdoscopie Coloscopie Coloscopie virtuelle 14 Le test de dépistage : RSOSg RSOSg : efficacité évaluée en ECR 4 études de grande qualité Résultats pour
6 Le test de dépistage : RSOSg n Cycles Suivi (ans) % test positif Sens. CCR Spécificité RR Mortalité CCR RR mortalité totale RU (45-74) 153, ,2-2,7 57,2 96% 0,87 (0,99-1,02) 1,0 Dan (45-75) 61, ,8 3, % 0,84 (0,98-1,02) 1,0 Suède (60-64) 68, ,9 NR 0,84 (0,99-1,04) 1,02 16 Le test de dépistage : RSOSg Mortalité par CCR* Selon protocole : 0,84 (0,78-0,90) Participant vs non : 0,75 (0,66-0,84) Mortalité toutes causes Combine 4 ECR* 1,0 (0,99-1,01) Mortalité par causes autres que CCR Combine 4 ECR* 1,01 (1,0-1,03) Combine 3 ECR** 1,02 (1,00 1,04) *Cochrane 2007 **Moayyedi P, Am j Gastroenterology, 2006; 101: Le test de dépistage : RSOSg Pas d effets observés sur la mortalité toutes causes : Pour que le dépistage réduise la mortalité toutes causes, la maladie devrait expliquer une part importante de la mortalité toutes causes* Décès CCR/toutes causes: 2,500** / 57,200*** (4 %) Réduction de 15 % de la mortalité par CCR: réduction de 0,6 % de la mortalité toutes causes *Cochrane 2007 **Statistiques canadiennes sur le cancer 2010 ***Institut de la statistique du Québec
7 Le test de dépistage : RSOSg Pas d effets observés sur la mortalité toutes causes Un parallèle : aucun effet du dépistage du cancer du sein sur la mortalité toutes causes* Selon l IARC**, même en combinant les données de tous les ECR évaluant l efficacité du dépistage par cancer du sein, on n obtient pas une puissance suffisante pour apprécier l effet sur la mortalité toutes causes. *Cochrane 2011 **International Agency for Research on Cancer, OMS, Le test de dépistage : RSOSg La surmortalité par autres causes que CCR chez les invités au dépistage, Hypothèses : Hasard? Mauvaise classification des causes de décès: des décès par CCR sont codifiés parmi les décès d autres causes chez les invités? Complications de la coloscopie? Autre hypothèse? 20 Le test de dépistage : RSOSg Selon INSPQ* : La surmortalité par autres causes (que CCR) rapportée chez les invités au dépistage doit inspirer la prudence Il faut attendre l accroissement de la puissance statistique des méta-analyses avec données de suivi à plus long terme pour confirmer ou infirmer ces résultats Recommandation favorable au dépistage du CCR par RSOS, sous conditions *Pertinence et faisabilité d un programme de dépistage du cancer colorectal au Québec, INSPQ
8 Le test de dépistage RSOS au gaïac (RSOSg) RSOS immunochimique (RSOSi) Sigmoïdoscopie Coloscopie Coloscopie virtuelle 22 Le test de dépistage : RSOSi En 2008, INSPQ recommandait RSOSg Depuis, 2 ECR de grande qualité comparent RSOSg et RSOSi Hol L et al, Screening for colorectal cancer : a random comparison of guaiac and immunochemical FOBT at different cut-off levels, British journal of cancer (2009) 100, Van Rossum et al, Random comparison of guaiac and immunochemical FOBT for colorectal cancer in a screening population 23 Le test de dépistage : RSOSi Par rapport à RSOSg : Spécifique à l hémoglobine humaine Résultat quantitatif Facilite les mesures de contrôle de la qualité Permet l automatisation Facilite la concentration Facilite la participation Coût unitaire plus élevé 24 8
9 Le test de dépistage : RSOSi (Hol / B.Candas) Participation Taux de référence Taux détection adénomes avancés Taux détection CCR RSOSg 49,5 % 2,8 % 1,2 % 0,3 % RSOSi (200 ng/ml) 61,5 % 3,5 % 2,1 % 0,4 % 25 Le test de dépistage : appliqué au Québec RSOSg RSOSi (200ng/ml) Participants (2,400,000 personnes âgées de ans) Coloscopies (90% acceptent colo) Adénomes avancés CCR 1,175,000 (participation 50 %) 29,000 (Référence 2,8 %) 13,000 (1,2 % des participants) 3,000 (0,3 % des participants) 1,410,000 (participation 60 %) 44,000 (Référence 3,5 %) 26,500 (2,1 % des participants) 5,000 (0,4 % des participants) 26 RSOS au dépistage, le bilan Taux de participation attendu au dépistage % Taux attendu d acceptation coloscopie 90 % Réduction de la mortalité par CCR après 11 à 17 ans : 15 % Pas d effet statistiquement significatif sur la mortalité toute cause Prudence : surmortalité par autres causes chez les invités au dépistage 27 9
10 RSOS au dépistage, le bilan RSOSi p/r à RSOSg plus simple pour le participant, concentration, assurance qualité, seuil de positivité ajustable plus de coloscopies + d adénomes avancés : + de polypectomies: + de complications + de CCR diagnostiqués et traités + de surdiagnostics (cancer)? + de surtraitements (adénomes avancés)? 28 Le test de dépistage RSOS au gaïac (RSOSg) RSOS immunochimique (RSOSi) Sigmoïdoscopie Coloscopie Coloscopie virtuelle 29 Le test de dépistage : Sigmoïdoscopie Sigmoïdoscopie au dépistage : 2/3 des CCR et adénomes avancés sont situés au 1/3 distal du colon (atteignable par la sigmo) 30 % des lésions proximales présentent aussi un signe d alerte au 1/3 distal Examen plus simple, moins invasif que coloscopie 30 10
11 Sigmoïdoscopie au dépistage : 4 ECR en cours résultats préliminaires pour 2 ECR RU après 11 ans (n 170,432) NORCCAP après 7 ans (n 55,736) 31 Le test de dépistage : Sigmoïdoscopie (RU) 55 à 64 ans Sans atcd de CCR, adénome, MII Sans sigmo ou colo dans les trois dernières années Espérance de vie 5 ans ou plus 354,000 invités acceptent (55%), allocation aléatoire: 113,178 témoins 57,099 sigmo 40,674 acceptent le dépistage par sigmo (71 %) Taux de participation: 40 % (71 % de 55 %) Atkin et al, BMJ 359, april 13, 2002, Le test de dépistage : Sigmoïdoscopie Lors de la sigmo : Tous les polypes de moins de 1 cm sont enlevés et analysés en patho Référence en colo : polype de 1 cm ou plus 20 polypes hyperplasiques ou plus, proximal au rectum Trois adénomes ou plus À l histologie, composant villeux, dysplasie sévère ou maligne 33 11
12 Le test de dépistage : Sigmoïdoscopie Pour 40,674 sigmo 72,3 % sont libérés (29,406) 23,6 % ont un prélèvement (9607) 5 % sont référés en colo (2112) 2051 acceptent la colo (97 %) Taux de détection CCR : 3/1000 Taux de détection tout adénome ou CCR : 12 % 34 Le test de dépistage : Sigmoïdoscopie Après 11 ans de suivi Invités vs non invités RR incidence : 0,77 (0,70 0,84) RR mortalité CCR : 0,69 (0,59 0,82) RR mortalité toutes causes : 0,97 (0,94 1,00) RR mortalité autre que CCR : 0,98 (0,95 1,01) Participant vs non participant (ajusté pour auto sélection) RR incidence : 0,67 (0,60 0,76) RR mortalité CCR : 0,57 (0,45 0,72) RR mortalité toutes causes : 0,95 (0,91 1,00) RR mortalité autre que CCR : 0,97 (0,93 1,02) *Atkin et al, The Lancet, on line april Le test de dépistage : Sigmoïdoscopie Événements défavorables Décès 30 jours Perforations Admission pour hémorragies Sigmoïdoscopie n = 40,674 n = 6 (1,5 / 10,000) n = 1 (0,3 / 10,000) n = 12 (3 / 10,000) Coloscopie n = 2051 n = 1 (5 / 10,000) n = 4 (19 / 10,000) n = 9 (44 / 10,000) 36 12
13 Le test de dépistage : Sigmoïdoscopie 6 décès dans les 30 jours post sigmo : 3 infarctus (jours 6, 12, 26 post examen) 1 cardiomyopathie (jour 2) 1 AVC (jour 7) 1 cancer poumon (jour 28) 1 décès dans les 30 jours post colo : infarctus, (jour 21) 37 Le test de dépistage : Sigmoïdoscopie Résultats NORCCAP Incidence : RR = 1 après 7 ans Mortalité CCR : 0,73 (0,47 1,13) après 6 ans Hoff et all, BMJ,2009;338:b Sigmoïdoscopie au dépistage, le bilan Avantages : réduction mortalité CCR réduction incidence CCR pas d évidences de surdiagnostics (CCR) Compense pour surtraitements (adénomes) p/r à RSOS? Inconvénients : perforations, hémorragies décès (attribuables à l examen?) 39 13
14 Le test de dépistage RSOS au gaïac (RSOSg) RSOS immunochimique (RSOSi) Sigmoïdoscopie Coloscopie Coloscopie virtuelle 40 Le test de dépistage : la coloscopie Un bon test de dépistage doit être : simple accessible acceptable peu coûteux sécuritaire Est-ce le cas pour la coloscopie? 41 Le test de dépistage : la coloscopie Pas d essais aléatoire évaluant l effet de ce test avec la mortalité par CCR comme issues (ni l incidence) Biais de devancement et biais de durée non contrôlés Équilibre avantages/inconvénients non étudié auprès de vastes populations asymptomatiques Les risques de la coloscopie pourraient dépasser les bénéfices chez les personnes avec des adénomes non avancés (Atkin et al, BMJ 359, april 13, 2002, ) 42 14
15 Le test de dépistage : la coloscopie Aucun programme de dépistage au monde n offre la coloscopie au dépistage L Association canadienne de gastroentérologie ne recommande pas la coloscopie comme test de dépistage dans le cadre d un programme 43 Le test de dépistage : la coloscopie Nombreux groupes d experts et associations de lutte au cancer recommandent la coloscopie en dépistage L examen de dépistage préféré pour de nombreux médecins Sérieux défi pour tout programme proposant RSOS au dépistage 44 Le test de dépistage RSOS au gaïac (RSOSg) RSOS immunochimique (RSOSi) Sigmoïdoscopie Coloscopie Coloscopie virtuelle 45 15
16 Le test de dépistage : coloscopie virtuelle Les données sont insuffisantes pour apprécier les bénéfices et les risques de la colo virtuelle comme test de dépistage USPSTF, Ann intern 2008; 149: Le test de dépistage : coloscopie virtuelle Note informative, Place de la coloscopie virtuelle dans un programme organisé de dépistage du cancer colorectal, AETMIS, 21 octobre 2008 Leddin et al, Canadian Association of Gastroenterology position statement on screening individuals at average risk for developping colorectal cancer: 2010 Can J Gastroenterol vol 24 no 12 dec Le test de dépistage : le bilan RSOSg : + le plus d évidences - contrôle de la qualité difficile, mauvaise réputation RSOSi : + qualités - volume colo, pas de baisse de l incidence démontrée : surdiagnostic? surtraitement? Sigmoïdoscopie : + Baisse (marquée) mortalité et incidence - complications: équilibre avantages/ inconvénients? 48 16
17 Le dépistage du cancer colorectal La maladie Le test de dépistage L examen de confirmation diagnostique Les défis Les travaux en cours 49 L examen de confirmation diagnostique La coloscopie. Maximiser la détection des lésions : Intubation caecale Temps de retrait* Expertise de l opérateur *Barclay et al, NEJM 2006; 355: L examen de confirmation diagnostique La coloscopie n est pas parfaite : ne détecte pas : 6 % des adénomes de plus de 1 cm 24 % des adénomes de toute taille Rex DK, Gastroenterology 1997, 112: 24-28, citée dans le rapport de l INSPQ 5 ans après une colo négative: le risque de CCR = 55 % celui de la population générale Singh, H JAMA 2006; 295: , citée dans le rapport de l INSPQ 51 17
18 L examen de confirmation diagnostique complications (/ 1000) Perforations ECR (5000 colo, estimé grossier) 0,3 10,5 EU (116,000 colo) 0,3 Allemagne sans polypectomie (82,000 colo) 0,05 Allemagne avec polypectomie 0,6 Hémorragies 0,7 5,2 NR 0,01 2,6 Décès 0-0,04 0,0 0,01 0,07 Pertinence et faisabilité d un programme de dépistage du CCR au Québec, INSPQ Le dépistage du cancer colorectal La maladie Le test de dépistage L examen de confirmation diagnostique Les défis Les travaux en cours 53 Les principaux défis 1. Soutien à une décision éclairée 2. Accès aux médecins de première ligne 3. Accès à l examen de confirmation diagnostique 4. Équilibre avantages/inconvénients 54 18
19 Les principaux défis 1. Soutien à une décision éclairée : l effet du dépistage sur la mortalité par CCR les risques de résultats faux positifs, faux négatifs et de cancers d intervalle les avantages et complications de la coloscopie le surtraitement les incertitudes quant aux effets sur la réduction de l incidence et sur la mortalité toutes causes Rendre compréhensible ces informations 55 Les principaux défis 1. Soutien à une décision éclairée: Les outils d aide à la décision comprendre l information confronter le rapport avantages/inconvénients à ses propres valeurs prendre une décision Comprendre l information : International Patient Decision Aids Standards* *BMJ 14 aug Les principaux défis 1. Soutien à une décision éclairée : comparer les issues des options participer et ne pas participer nombres naturels plutôt que rapports de risque rendre transparente la qualité des évidences même dénominateur pour risques et bénéfices même période de temps plus petit dénominateur possible BMJ 14 aug
20 Les principaux défis 1. Soutien à une décision éclairée : Decision aids for people facing health traitment or screening decision, The Cochrane Collaboration, 2009 Revue systématique des essais aléatoires évaluant l efficacité des outils d aide à la décision pour les personnes confrontées à des décisions difficiles en matière de traitement ou de dépistage 58 Les principaux défis 2. Accès aux médecins de première ligne : offre du dépistage: appartient au programme RSOS + : via clientèle orpheline? Option? Loi 90 permet à l infirmière d initier des mesures diagnostiques à des fins de dépistage (application de la LSP) Ordonnances collectives? 59 Les principaux défis 3. Accès à la confirmation diagnostique 156,000 coloscopies en 2007, augmentation de 10,000 par année (INSPQ 2008) Capacité à répondre aux besoins générés par le dépistage : peu documentée hétérogénéité des systèmes de prise de RV pas de mécanismes institutionnels pour établir les priorités des demandes Rapports anecdotiques Selon l ACG, délai médian 10 semaines, 25 % attendent plus de 21 semaines (Qc) 60 20
21 Les principaux défis 3. Accès à la confirmation diagnostique : Le dépistage génère sur deux ans 29,000 coloscopies supplémentaires avec RSOSg* 44,000 coloscopies supplémentaires avec RSOSi* * diapos Les principaux défis 3. Accès à la confirmation diagnostique Libérer des «plages horaires coloscopie» productivité le processus le coloscopiste évaluation pré coloscopie/post coloscopie coloscopies évitables? algorithmes de surveillance coloscopies de dépistage chez les personnes sans facteurs de risque 62 Les principaux défis 4. Équilibre avantages/inconvénients très sensible à la qualité de la coloscopie maximiser la détection des lésions minimiser les complications importance des mécanismes d assurance qualité relatifs à la coloscopie univers de la pratique médicale et de la régulation par les pairs 63 21
22 Les principaux défis 4. Équilibre avantages/inconvénients adopter des normes de pratique soutenir le développement professionnel continu informer le professionnel de son rendementimportance du volume d examens s assurer que des actions sont prises en cas d écarts: le professionnel l établissement (CMDP) instance centrale en assurance qualité reconnue par les pairs 64 Les principaux défis 4. Équilibre avantages/inconvénients Décès 30 jours post colo et cancers d intervalle les révéler les étudier 65 Le dépistage du cancer colorectal La maladie Le test de dépistage L examen de confirmation diagnostique Les défis Les travaux en cours (si le temps le permet ) 66 22
23 Le dépistage du cancer colorectal Merci de votre attention 67 Présentation du Dr Antoine Loutfi, DQC, mars 2011 (extraits) conditions à atteindre avant le déploiement d un programme de dépistage : accès garantis aux examens de coloscopie respectant des normes de pratique clinique et d organisation de services pour toutes les clientèles requérant cet examen; démonstration de la faisabilité du dépistage dans le cadre de projets à petite échelle et permettant de développer les services et outils requis au dépistage (projets pilotes) 68 Présentation du Dr Antoine Loutfi, DQC, mars 2011 (extraits) Phase 1: 18 mois assurer l accès à la coloscopie en respect des normes cliniques et organisationnelles recommandées aux gens qui: présentent des signes et symptômes de cancer colorectal; ont un haut risque de cancer colorectal; ont besoin de suivi pour un cancer colorectal diagnostiqué sont référées par leur médecin à la suite d un test de dépistage positif. Phase 2: 12 mois. après que les exigences de la phase 1 sont rencontrées, tester le dépistage chez les personnes à risque moyen âgées de 50 à 74 ans 69 23
24 Présentation du Dr Antoine Loutfi, DQC, mars 2011 (extraits) évaluation en vue de l approbation pour le passage en phase 2 (contribution de l INSPQ): normes d accès et de qualité atteintes mécanismes d assurance qualité fonctionnels rapport d évaluation concluant 70 Présentation du Dr Antoine Loutfi, DQC, mars 2011 (extraits) Phase 2: le dépistage Population visée: personnes à risque moyen de 50 à 74 ans Invitation à effectuer un test de recherche de sang occulte dans les selles (RSOSi) aux 2 ans, dont le seuil de positivité est de 175 ng/ml coloscopie en confirmation diagnostique 71 Présentation du Dr Antoine Loutfi, DQC, mars 2011 (extraits) Trois groupes de travail ont définis les normes d organisation des services, les normes de pratique clinique et les paramètres des projets de démonstration
25 Présentation du Dr Antoine Loutfi, DQC, mars 2011 (extraits) Un cadre de référence préliminaire rend explicites : les buts et objectifs poursuivis; la clientèle visée; les examens de dépistage et de confirmation diagnostique; les opérations du programme; les normes de pratique clinique et d organisation des services à rencontrer; les mécanismes d assurance qualité du programme. 73 Présentation du Dr Antoine Loutfi, DQC, mars 2011 (extraits) Autres travaux en cours : programme de formation et de maintien des compétences en coloscopie registre des personnes à risque accru de cancer colorectal besoins informationnels et infrastructure informatique évaluation des coûts capacité endoscopique 74 Présentation du Dr Antoine Loutfi, DQC, mars 2011 (extraits) Autres travaux en cours Programme de dépistage Précision sur les opérations du Programme (système d invitation, rappel, suivi, etc.) Communications (consentement, documents relatifs au programme, outil d aide à la décision, site Internet ) Rôle et contribution du médecin de famille Travaux en lien avec le RSOS (fournisseur et laboratoire central) 75 25
Dépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailLa présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit :
Règle de soins médicaux Technique de la coloscopie en duo INDICATION (situation visée) La présente règle de soins médicaux vise à préciser les conditions d encadrement de la coloscopie (avec endoscope)
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailTest immunochimique de recherche de sang occulte dans les selles
Test immunochimique de recherche de sang occulte dans les selles Détermination d un seuil de positivité pour démarrer les projets de démonstration du PQDCCR Juillet 2012 Une production de l Institut national
Plus en détailRAPPORT D ORIENTATION. Dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009
RAPPORT D ORIENTATION Dépistage du cancer de la prostate Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009 Juin 2010 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailInfo Sein BULLETIN. Bulletin numéro 8 Avril 2014. Contenu. Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013
BULLETIN Région de la Capitale-Nationale Bulletin numéro 8 Avril 2014 Contenu Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013 Éditorial 1 Comité de suivi régional : un travail d équipe! 3 Coordination et organisation
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailL analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves
L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailattitudes envers le dépistage
attitudes envers le dépistage DU CANCER COLORECTAL Le point de vue de la population québécoise novembre 2008 Institut national de santé publique du Québec Direction des systèmes de soins et politiques
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailProgramme de dépistage du cancer colorectal : quelles recommandations pour quelle efficacité? Tour d'horizon de pays occidentaux.
UCL - RESO Unité d Education pour la Santé Ecole de santé Publique Centre «Recherche en systèmes de santé» Programme de dépistage du cancer colorectal : quelles recommandations pour quelle efficacité?
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailRevue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches
Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches LES REVUES SYSTÉMATIQUES Projet financé par l Agence de la santé publique du Canada Affilié à l Université McMaster Donna
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailUn poste à votre mesure!
Titre du poste : INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) Direction : Direction des soins infirmiers Statut : Temps complet - 35 heures/semaine Quart : Jour LIBELLÉ DU TITRE D EMPLOI Personne
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailTaux de participation au Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS)
Taux de participation au Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) Introduction Le Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) offre, à tous les deux ans, une mammographie
Plus en détailINFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE
INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous
Plus en détailGuide à l intention des patients sur les thérapies à base de cellules souches
Guide à l intention des patients sur les thérapies à base de cellules souches Appendice I des Lignes directrices pour l application en clinique des cellules souches Traduction fournie par le Réseau de
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailFaut-il encore traiter les cancers prostatiques?
Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailGUIDE MÉTHODOLOGIQUE
L UNITÉ D ÉVALUATION DES TECHNOLOGIES ET DES MODES D INTERVENTION EN SANTÉ Centre hospitalier universitaire de Québec Recherche et analyse documentaires visant la réalisation d un rapport d évaluation
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailLa survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation
La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg
Plus en détailGUIDE DE L ASSURÉ. Optez pour l assurance. qui peut regrouper maladies graves et assurance vie
GUIDE DE L ASSURÉ Optez pour l assurance qui peut regrouper maladies graves et assurance vie Ne laissez rien au hasard AU CANADA ON ESTIME QUE À chaque heure : 16,65 personnes apprendront qu elles sont
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailUTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS
UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS À L ACTE DE LA RAMQ POUR IDENTIFIER LES CAS DE CANCER NON DÉCLARÉS AU FICHIER DES TUMEURS DU QUÉBEC ÉTUDE DE FAISABILITÉ VOLET : CANCER DE LA PROSTATE DIRECTION PLANIFICATION,
Plus en détailLa télésanté clinique au Québec: un regard éthique par la CEST
La télésanté clinique au Québec: un regard éthique par la CEST Dominic Cliche Conseiller en éthique Commission de l éthique en science et en technologie 18 mars 2015 Midi conférence de l Institut d éthique
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailMéthodes de recherche de sang occulte dans les selles
CURRICULUM Forum Med Suisse 2006;6:291 298 291 Méthodes de recherche de sang occulte dans les selles Urs Marbet Médecine interne / Gastroentérologie, Hôpital Cantonal d Uri, Altdorf Quintessence Aujourd
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailLe cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS»
F N O R S Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS de Bretagne, Franche-Comté, Languedoc-Roussillon, Limousin, Pays de la Loire, Rhône-Alpes Le cancer dans les régions de Mortalité
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailLe dépistage. du cancer de la prostate - mise à jour 2013. Lignes directrices. du Collège des médecins du Québec
Le dépistage du cancer de la prostate - mise à jour 2013 Lignes directrices du Collège des médecins du Québec juin 2013 Table des matières Pertinence de la mise à jour 4 Méthodologie 5 Synthèse de l analyse
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailPROGRAMME (Susceptible de modifications)
Page 1 sur 8 PROGRAMME (Susceptible de modifications) Partie 1 : Méthodes des revues systématiques Mercredi 29 mai 2013 Introduction, présentation du cours et des participants Rappel des principes et des
Plus en détailECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE
ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs
Plus en détailAnalyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes
Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes Biostatistique Pr. Nicolas MEYER Laboratoire de Biostatistique et Informatique Médicale Fac. de Médecine de Strasbourg Mars 2011 Plan 1 Introduction
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailDépistage par mammographie : feuille d information
feuille d information Dépistage par mammographie : feuille d information Le dépistage par mammographie consiste à faire passer à intervalles réguliers, dès l âge de 50 ans, des radiographies des seins
Plus en détailGestion éthique des banques de recherche
Gestion éthique des banques de recherche Jean-Marie Therrien, Ph.D. Président du Comité d éthique de la recherche, CHU Sainte-Justine 30 octobre 2012 Plan Justification éthique et scientifique Principes
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention
REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention Les transformations sociales, la territorialisation et la complexité croissante des dispositifs liés aux
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailRéseau sur. Médicaments. l Innocuité et l Efficacité des. Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM
Réseau sur l Innocuité et l Efficacité des Médicaments Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM Instituts de recherche en santé du Canada Canadian Institutes of Health Research Version
Plus en détailSéminaire du Pôle Santé
1 Séminaire du Pôle Santé Les télésoins à domicile au Québec représentent-ils une solution économiquement viable? Guy Paré, Ph.D., MSRC Titulaire de la Chaire de recherche du Canada en technologies de
Plus en détailProcédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles. 2.1.003 Version
Numéro de PNF: Remplace: Objet: Procédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles 2.1.003 Version Demande d informations additionnelles Date d entrée en vigueur Catégorie
Plus en détailL approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé
Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailNouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes
Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de
Plus en détailDépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin
Dépistage du cancer de la prostate : vers un outil d aide à la décision pour le citoyen et le médecin Rapport de mission N 1 9 février 2005 Daniel Oberlé, Arnauld Villers, Dominique Decherf, Jean Christophe
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailLe contexte de la profession en santé dentaire publique...5
Table des matières Introduction...1 Module 1 Le contexte de la profession en santé dentaire publique...5 Chapitre 1..Historique de la profession d hygiéniste dentaire en santé dentaire publique au Québec...7
Plus en détailProgramme de certification sans gluten
Allergen Control Group Inc. L Allergen Control Group Inc. (ACG) est représenté par une équipe d experts de l industrie alimentaire, qui connaissent et comprennent comment gérer les risques lors de la fabrication,
Plus en détailLes ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique
Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailLa microsimulation à Statistique Canada
La microsimulation à Statistique Canada Chantal Hicks Chantal.hicks@statcan.gc.ca Présentation à «La démographie de demain : innovations, intersections et collaborations» Colloque de l Association des
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailApproche centrée e sur le patient
Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur
Plus en détailComment optimiser l utilisation des ressources Cloud et de virtualisation, aujourd hui et demain?
DOSSIER SOLUTION Solution CA Virtual Placement and Balancing Comment optimiser l utilisation des ressources Cloud et de virtualisation, aujourd hui et demain? agility made possible La solution automatisée
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailGUIDE DE SOUMISSION D UN PROJET DE RECHERCHE
Direction générale adjointe Planification, qualité et mission universitaire Coordination de l enseignement et de la recherche 1250, rue Sanguinet, Montréal, QC H2X 3E7 Tél. : (514) 527-9565 / Téléc. :
Plus en détailProgramme DPC des infirmiers
Catalogue de formations de la FNFCEPPCS pour l année 2015 Programme DPC des infirmiers Le catalogue peut évoluer en cours d année ; nous vous en tiendrons informés. 1 L INFIRMIER DE CENTRE DE SANTÉ FACE
Plus en détailPARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR
PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailDépistage du cancer du sein: Doit-on réévaluer son efficacité?
Dépistage du cancer du sein: Doit-on réévaluer son efficacité? Jean-Luc Bulliard, Fabio Levi Unité d épidémiologie du cancer, Institut de médecine sociale et préventive, Centre Hospitalier Universitaire
Plus en détailÉTAT DES LIEUX. Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique
ÉTAT DES LIEUX Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique Avril 2013 Les recommandations et leur synthèse sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains
ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,
Plus en détailGarantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale
LIVRE BLANC Garantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale Mai 2010 Garantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale CA Service
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailRAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE
Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché Unité Evaluation et Contrôle du Marché - DIV RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailà moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq
e élevé Risque faible Risq à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq L e s I n d i c e s F u n d a t a é Risque Les Indices de faible risque
Plus en détailStatistiques canadiennes sur le cancer 2014 Sujet particulier : les cancers de la peau
Statistiques canadiennes sur le cancer 2014 Sujet particulier : les cancers de la peau Produit par : Société canadienne du cancer, Statistique Canada, Agence de la santé publique du Canada, Registres provinciaux
Plus en détailVotre Réseau est-il prêt?
Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détail