MÉCANISMES RÉACTIONNELS
|
|
- Maurice Leroux
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MÉCANISMES RÉACTIONNELS On relie les données expérimentales établies dans le cadre de la cinétique formelle (niveau macroscopique : ordre, énergie d activation ) aux phénomènes intervenant au niveau moléculaire (niveau microscopique). La molécularité d une réaction est le nombre de molécules de réactifs participant à la réaction. On désire expliciter les mécanismes des réactions complexes (ou composées), c'est-à-dire les décomposer en réactions (actes ou étapes) élémentaires. Une réaction élémentaire est une réaction de faible molécularité (3 molécules en présence au maximum car les chocs polymoléculaires sont largement improbables) avec la rupture et la formation d un faible nombre de liaisons. Le mécanisme que l on propose doit permettre de retrouver le bilan de la réaction et l ensemble des résultats expérimentaux. I. ÉTUDE D UNE RÉACTION ÉLÉMENTAIRE I.1 Notion de profil réactionnel Soit la réaction X Y + B X + Y B. On suppose que les atomes sont assimilables à des points et on souhaite déterminer la position relative des atomes. On restreint le problème aux grandeurs d 1, d 2 et θ. L énergie potentielle est, a priori, une fonction de d 1, d 2 et θ. La représentation de l énergie potentielle en fonction des trois variables est une hypersurface d un espace à 4 dimensions. On restreint l étude en prenant θ = 180 de telle sorte qu à chaque instant X, Y et B soient alignés. a) Deux dimensions E p micro en J 1 er cas : On fixe d 2 =. On représente E p (appelée énergie potentielle microscopique exprimée en Joule) en fonction de d 1. On verra en TD de de p mécanique l équation de cette courbe. La force vaut F = avec x = d x 1. dx Si d < d, on a une force répulsive ( F > 0 ) alors que si d > d ( F > 0 ), on 1 1eq x 1 1eq x X d 2 Y θ d 1 B a une force attractive. Pour d = d, on a le meilleur compromis entre la répulsion noyau-noyau et 1 1eq l attraction noyau-nuage électronique voisin. Le minimum d énergie potentielle correspond à une position d équilibre stable. 2 ème cas : On fixe d 1 =. On représente E p micro en fonction de d 2. On retrouve d 1eq E p micro en J d 1 exactement la même interprétation. b) Surface d énergie potentielle Le chemin le plus commode pour passer de XY + B à X + YB est le chemin énergétiquement le plus favorable. Ce chemin passe par un col C. Le long de ce chemin, on peut représenter l énergie potentielle en fonction de toute variable permettant de repérer le déplacement le long de ce chemin. Cette variable s appelle coordonnée de réaction (CR). (On peut penser à l abscisse curviligne - exemple des bornes ilométriques sur l autoroute Paris Bordeaux). d 2eq d 2 En physique, on définit les énergies en Joule. On raisonne alors sur une molécule. Cette énergie potentielle est appelée énergie potentielle microscopique. Cinétique chimique (40-105) Page 1 sur 8 JN Beury
2 En chimie, on définit très souvent les grandeurs énergétiques pour une mole de molécules (voir cours de thermochimie pour une définition précise des grandeurs énergétiques). On a alors : E = E N avec N A le nombre d Avogadro. On peut ainsi relier les énergies à des grandeurs p p micro A mesurables à notre échelle macroscopique. E p c) Profil réactionnel On appelle le profil réactionnel d une réaction élémentaire, la courbe représentant l énergie potentielle (en J.mol -1 ) sur le chemin énergétiquement le plus favorable en fonction d une coordonnée de réaction. E p en J.mol -1 E pmax col E a E pi E pf X-Y+B vallée des réactifs H r X+Y-B vallée des produits E E = E = énergie d activation p max pi a CR L énergie d activation est l énergie qu il faut fournir à une mole de réactifs supposés suivre le chemin le plus commode pour que la réaction ait lieu, c'est-à-dire fournir l énergie pour que la barrière de potentiel soit franchie. Cette énergie est fournie par voie thermique (agitation thermique on écrira au dessus de la flèche de la réaction chimique) ou par voie photochimique (on écrira hν au dessus de la flèche) E E = H = enthalpie standard de réaction (voir cours de thermochimie). pf pi r Si > 0, la réaction est endothermique, c'est-à-dire qu elle absorbe de la chaleur. r H Si < 0, la réaction est exothermique, c'est-à-dire qu elle libère de la chaleur. r H Cinétique chimique (40-105) Page 2 sur 8 JN Beury
3 I.2 Principe de micro-réversibilité Le chemin énergétiquement le plus commode pour passer de X+YB à XY + B est le même chemin que celui défini précédemment, d où le principe de micro-réversibilité : une réaction et sa réaction inverse empruntent le même chemin réactionnel. E p en J.mol -1 E a H r E a On en déduit que : E' a = E a r H Si E' a E a, on peut alors négliger la réaction inverse. I.3 État de transition (ou complexe activé) On appelle état de transition (ou complexe activé) la structure hypothétique intermédiaire entre réactif et produit lorsque l énergie du système est maximum sur le chemin énergétiquement le plus favorable. Le système est dit en état de transition. Il s agit d une représentation dynamique du système en évolution lors du passage du col C. On note la molécule : (X.Y.B) # CR II. ÉTUDE D UNE RÉACTION EN PLUSIEURS ÉTAPES II.1 Profil réactionnel On considère une réaction complexe A + B D + E Elle peut être décomposée en deux réactions élémentaires : A + B IR IR D + E L intermédiaire réactionnel (IR) correspond à un minimum relatif d énergie potentielle. Les intermédiaires réactionnels sont des espèces qui ne figurent pas parmi les réactifs ni les produits d une réaction mais présents dans le milieu réactionnel pendant la réaction. E p en J.mol -1 réactifs A+B E a1 ET1 IR ET2 E a2 produits D+E On a E a1 > E a2. On peut donc conclure que la réaction 1 est la plus lente : c est l étape cinétiquement limitante. CR Pourquoi ne représente-t-on pas le double flèche dans la deuxième ère 1 étape ème 2 étape étape? Graphiquement, on voit que E E. La réaction inverse (D + E IR) est donc très difficile. On n en a2 a2 tient pas compte. L état de transition (ET) correspond à un maximum relatif d énergie potentielle. Il est non isolable et non détectable. Il est présent à chaque réaction élémentaire. L intermédiaire réactionnel (IR) correspond à un minimum relatif d énergie potentielle. Il est peu stable, très réactif, isolable dans des conditions particulières. Il est souvent au moins détectable (par des techniques d analyse rapide par RMN ). On peut lui appliquer l AQES. Son existence nécessite au moins deux réactions élémentaires. II.2 Nature et formation des intermédiaires réactionnels a) Rupture homolytique On a une rupture homolytique si on a une rupture symétrique du double de liaisons. Elle est obtenue pour des molécules dont les atomes ont des électronégativités proches. Elle est favorisée par élévation de la température (thermolyse voie thermique) ou par action de la lumière (photolyse voie photochimique). Exemple : hν Cl Cl 2 Cl radicaux libres Cinétique chimique (40-105) Page 3 sur 8 JN Beury
4 Chaque atome prend un électron du double liant. On représente donc des demi-flèches qui représentent le déplacement d un électron. On obtient un électron célibataire sur chaque atome de chlore. On dit que l on obtient des radicaux libres. Pour casser la liaison chimique, il faut fournir de l énergie. Par exemple, une onde électromagnétique de longueur d onde λ = 494 nm apporte une énergie 34 8 c 6, E = hν = hf = h = = 4,02 10 J 9 λ Pour une mole de réactifs, il faut une énergie 4, , = 242 J.mol b) Rupture hétérolytique Le doublet de liaison est récupéré par l atome le plus électronégatif. La flèche représente le déplacement d un double d électrons. La rupture est favorisée par un solvant polaire, dont le rôle est de solvater les ions formés. + Exemple : H Cl H + Cl On obtient des espèces chargées : un électrophile et un nucléophile. Un nucléophile est une entité chimique possédant soit un double non liant soit une charge négative. Un électrophile est une entité chimique possédant soit une lacune électronique soit une charge positive. II.3 Postulat de Hammond Postulat de Hammond : Si dans une réaction élémentaire, deux états sont consécutifs et d énergie voisine, leur structure moléculaire doit être peu différente. Conséquence du postulat : Tout ce qui stabilise l intermédiaire IR stabilise aussi l état de transition qui lui donne naissance. II.4 AEQS (Approximation de l état quasistationnaire) ou principe de Bodenstein 1 2 Rappels du cas particulier étudié dans le chapitre précédent : A B. B est une db [ ] C avec 2 1 espèce très réactive et en faible concentration. On a démontré que 0. On applique l AEQS aux espèces qui n interviennent pas dans l équation bilan de la réaction en particulier dir [ ] aux intermédiaires réactionnels : 0. Cette espèce doit être très réactive et en faible concentration. II.5 Loi de Van t Hoff Loi de Van t Hoff : Pour une réaction élémentaire, les ordres partiels relatifs aux réactifs sont égaux aux coefficients stœchiométriques intervenant dans le bilan de la réaction. L ordre partiel relatif aux produits est nul. L ordre global est égal à la molécularité (nombre de molécules qui y a participe) de la réaction élémentaire. Cinétique chimique (40-105) Page 4 sur 8 JN Beury
5 III. RÉACTIONS COMPLEXES PAR STADES (EN SÉQUENCE OUVEE) III.1 Définition C est une réaction constituée d une succession de réactions élémentaires se faisant toujours dans le même ordre tel qu un intermédiaire réactionnel créé au cours d une étape disparaît au cours d une autre étape sans jamais être régénéré. III.2 Exemple : réaction de substitution nucléophile monomoléculaire Equation bilan : RX + Z RZ + X X désigne un halogène. Exemple : CH3 CH3 CH3 C Br + OH CH3 C OH + Br CH3 CH3 Mécanisme : 1 ère étape : Formation du carbocation. Etape cinétiquement limitante. 1 RX R + + X 1 2 ème étape : attaque rapide du nucléophile sur le carbocation. R + + Z 2 RZ Méthode pour trouver la vitesse de réaction : a) Choix de l espèce servant à calculer la vitesse v de l équation bilan. Si elle n est pas imposée dans l énoncé, on choisit l espèce qui intervient de moins dans le mécanisme. RX : 2 fois, Z : 1 fois, RZ : 1 fois, X : 2 fois. On peut choisir Z ou RZ. drz [ ] v = b) On exprime [ ] drz [ ] à partir du mécanisme proposé : drz + = R Z 2 Rappels : les réactions élémentaires suivent la loi de Van t Hoff. c) On écrit l AEQS aux intermédiaires réactionnels (ici 1 seul IR) : + d R + + [ ] 0= 1[ RX] R X R Z 1 2, d où RX + 1 R = X Z On verra dans les cas plus compliqués qu il suffira d effectuer une combinaison linéaire pour simplifier et en déduire très facilement les concentrations des IR. Parfois, certaines réactions sont rapides. L énoncé ne donne pas la constante de vitesse mais la constante d équilibre. On pourra pour ces réactions utiliser K. drz [ ] [ RX 1 2 ] Z d) On en déduit v = = X Z Cette réaction n admet pas d ordre dans le cas général. À t = 0, [X ] 0 = 0. La vitesse initiale vaut alors : v [ RX] = L ordre global initial vaut 1. Tant que X Z 1 2, on a v = 1 [ RX]. La réaction est d ordre 1. Si X Z 1 2 n est plus vérifié, alors la réaction perd son ordre. Le profil réactionnel est représenté ci-contre. E p en J.mol -1 ET1 E a-1 E R + a1 réactifs RX+Z - < 0 r H ET2 E a2 produits RZ+X - CR ère 1 étape ème 2 étape Cinétique chimique (40-105) Page 5 sur 8 JN Beury
6 III.3 Exemple : décomposition thermique de N2O5 Equation bilan : 2 N 2 O 5 4 NO 2 + O 2 Mécanisme réactionnel (de Ogg) : 1 N 2 O 5 NO 2 + NO NO 2 + NO 3 NO + NO 2 + O 2 3 NO + N 2 O 5 3 NO 2 Méthode systématique pour trouver la vitesse de la réaction : a) Choix de l espèce. N 2 O 5 intervient 2 fois dans le mécanisme, NO 2 : 3 fois et O 2 : 1 fois. do [ 2 ] v = b) On exprime [ 2 ] do = do [ 2 ] [ NO ][ NO ] à partir du mécanisme proposé : c) AEQS aux deux IR : NO et NO 3 d[ NO] = 0= 2[ NO2][ NO3] 3[ NO][ N O 2 5] d[ NO3 ] = 0= [ N O 1 2 5] 1[ NO2][ NO3] 2[ NO2][ NO 3] Ici, on n a pas besoin d effectuer des combinaisons linéaires puisque le deuxième équation fournit [ NO 1 2 5] directement [NO 3 ] : [ NO ] = 3 1[ NO2] + 2[ NO 2] [ N O ] 1 2 d) On en déduit : v =. On pose =. On obtient : v = [ NO]. La réaction est d ordre global Cas particulier où. On a alors : =. On écrit 4 fois la loi d Arrhénius. E Aexp a = ; E 1 Bexp a = 1 ; E 2 Cexp a = 2 ; E a ( 1) = Dexp 1 Ea1 Ea2 Bexp Cexp Ea On doit donc avoir Aexp =. Cette relation doit être valable pour toute Ea( 1) D exp température T. Si une constante de vitesse s exprime par le produit ou le quotient d autres constantes de vitesse, on BC A = peut exprimer facilement le facteur de fréquence et l énergie d activation : D E = E + E E a a1 a2 a( 1) Cinétique chimique (40-105) Page 6 sur 8 JN Beury
7 IV. RÉACTIONS EN CHAÎNE (SÉQUENCE FERMÉE) IV.1 Définitions Réaction en chaîne : réaction composée de réactions élémentaires qui donne des intermédiaires réactionnels pouvant être consommés puis régénérés pour être à nouveau utilisés dans d autres réactions élémentaires. On distingue les réactions en chaîne directe (un IR consomme et un produit) des réactions en chaîne ramifiée (un IR consommé, plusieurs régénérés). Maillon de chaîne : l ensemble des réactions élémentaires qui partant d un IR le régénère. On demande souvent dans les exercices de nommer les différentes réactions élémentaires : Initiation (ou amorçage) : réaction qui créé les IR. Ils sont obtenus par voie thermique ou par voie photochimique. Propagation : Ensemble des étapes permettant aux IR de se régénérer en faisant intervenir la création de nouveaux IR. La somme des étapes de propagation doit reconstituer le bilan de réaction. Ces étapes sont en général rapides et d énergie d activation faibles. Terminaison (ou rupture) : réaction de disparition des IR. Inhibition : réaction mettant en jeu une consommation des produits de la réaction ce qui diminue donc leur vitesse d apparition. Ces réactions ne doivent pas être prises en compte lors de la reconstitution du bilan de la réaction. Transfert : réaction transformant l IR créé dans l initiation en IR porteur de chaîne. IV.2 Exemple : Synthèse thermique du bromure d hydrogène (réaction en chaîne directe) Equation bilan : H 2 + Br 2 2 HBr Mécanisme réactionnel : 1 Initiation : Br 2 2 Br (1) Propagation : Br 2 + H 2 HBr + H (2) H 3 + Br 2 HBr + Br (3) Terminaison : 2 Br 4 Br 2 (4) Inhibition : HBr + H 5 H 2 + Br (5) Méthode systématique pour trouver la vitesse de la réaction : a) Choix de l espèce. H 2 intervient 2 fois dans le mécanisme, Br 2 : 3 fois et HBr : 3 fois. dh [ 2 ] v = b) On exprime [ 2 ] dh dh [ 2 ] à partir du mécanisme proposé : [ ] [ ] = Br H HBr H (6) c) AEQS aux deux IR : Br et H d Br 2 = 0 = 21[ Br2] Br 2 [ H2] + H 3 [ Br2] 2 Br + 4 5[ HBr] H (7) d H = 0= Br 2 [ H2] H 3 [ Br2] 5[ HBr] H (8) Pour résoudre le problème, on effectue très souvent des combinaisons linéaires : penser à faire la somme de toutes les équations liées à l AEQS (7) + (8), éventuellement englober (6). Réécrire les nouvelles équations. Les calculs sont quasiment terminés. On ne rencontre pas de cas plus compliqués dans les problèmes de concours : pas d équation du deuxième degré 2 (7) + (8) : 21[ Br2] = 2 Br 4. On en déduit Br 1 : Br = [ Br2 ] 4 Cinétique chimique (40-105) Page 7 sur 8 JN Beury
8 [ 2 ] dh (6) + (8) : = H 3 [ Br2] Pour déterminer H, on peut utiliser l équation (8) : 2 Br [ H2] [ Br ] + [ HBr] H = D où H = 1 [ Br ][ H 2 2 2] 4 [ Br ] + [ HBr] [ Br ][ H 2 2 2] dh [ 2 ] 4 On obtient : v = = H 3 [ Br2] 3[ Br2] = Br + HBr Finalement, on a : v = [ H ][ Br ] [ Br ] + [ HBr] [ ] [ ] Par contre, elle admet une vitesse initiale : [HBr] 0 = 0 et v L ordre global initial vaut 3/2.. Cette réaction n admet pas d ordre. [ H ] [ Br ] = = 0 2 [ H2] [ Br2] 0 0 3[ Br2] 0 4 Longueur de chaîne = λ = λ v H [ Br ] [ ] = = v 2 Br vitesse de disparition d'un réactif dans l'étape de propagation vitesse d'apparition d'un IR dans l'étape d'initiation On fait souvent l approximation d une chaîne longue : λ 1. En effet, l étape d initiation est difficile alors que les étapes de propagation sont des étapes faciles puisque les IR sont des espèces très réactives. On l utilise souvent dans les exercices pour simplifier la vitesse de la réaction. Cinétique chimique (40-105) Page 8 sur 8 JN Beury
ANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailLES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2
Pr atem BEN ROMDANE LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPILES EN SÉRIE ALIPATIQUE S N 1 ET S N 2 3 - LE MÉCANISME S N 2 a - Constatations expérimentales Cinétique : l'étude des réactions de substitution nucléophile
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailAIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES
Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détail------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE
CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailPrésentation du programme. de physique-chimie. de Terminale S. applicable en septembre 2012
Présentation du programme de physique-chimie de Terminale S applicable en septembre 2012 Nicolas Coppens nicolas.coppens@iufm.unistra.fr Comme en Seconde et en Première, le programme mélange la physique
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL PHYSIQUE-CHIMIE
BAALAURÉAT GÉNÉRAL SESSIN 2015 PYSIQUE-IMIE Série S Durée de l épreuve : 3 heures 30 oefficient : 6 L usage de la calculatrice est autorisé e sujet ne nécessite pas de feuille de papier millimétré Le sujet
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailComment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I 2 + 2 SO 4
Afin d optimiser leurs procédés, les industries chimiques doivent contrôler le bon déroulement de la réaction de synthèse menant aux espèces voulues. Comment suivre l évolution d une transformation chimique?
Plus en détailEXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES DU TABLEUR EN STG
Exploitations pédagogiques du tableur en STG Académie de Créteil 2006 1 EXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES DU TABLEUR EN STG Commission inter-irem lycées techniques contact : dutarte@club-internet.fr La maquette
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailTD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE
TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailA. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire
Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailBACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1
TP A.1 Page 1/5 BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1 Ce document comprend : - une fiche descriptive du sujet destinée à l examinateur : Page 2/5 - une
Plus en détailPhysique : Thermodynamique
Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une
Plus en détailSuivi d une réaction lente par chromatographie
TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailCHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques
CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On
Plus en détailEXERCİCE N 1 : «Synthèse de l éthanamide» (7 pts)
Terminale S Lycée Massignon DEVİR MMUN N 4 Durée : 2h Les calculatrices sont autorisées. Il sera tenu compte de la qualité de la rédaction et de la cohérence des chiffres significatifs. EXERİE N 1 : «Synthèse
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailProgrammation linéaire
1 Programmation linéaire 1. Le problème, un exemple. 2. Le cas b = 0 3. Théorème de dualité 4. L algorithme du simplexe 5. Problèmes équivalents 6. Complexité de l Algorithme 2 Position du problème Soit
Plus en détailPremier principe : bilans d énergie
MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailVitesse d une réaction chimique
Chimie chapitre itesse d une réaction chimique A. Avancement d un mobile et vitesse de déplacement Soit un mobile supposé ponctuel P se déplaçant le long d un axe x [Doc. ] : sa position instantanée est
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailFonctions homographiques
Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailCHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE
CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE I Chaine énergétique a- Les différentes formes d énergie L énergie se mesure en Joules, elle peut prendre différentes formes : chimique,
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailL ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ
L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détail10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)
0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome
PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -
Plus en détailCHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR. A - Propriétés et détermination du choix optimal
III CHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR A - Propriétés et détermination du choix optimal La demande du consommateur sur la droite de budget Résolution graphique Règle (d or) pour déterminer la demande quand
Plus en détail1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..
1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailOptimisation des fonctions de plusieurs variables
Optimisation des fonctions de plusieurs variables Hervé Hocquard Université de Bordeaux, France 8 avril 2013 Extrema locaux et globaux Définition On étudie le comportement d une fonction de plusieurs variables
Plus en détailFiche de révisions sur les acides et les bases
Fiche de révisions sur les s et les s A Définitions : : espèce chimique capable de libérer un (ou plusieurs proton (s. : espèce chimique capable de capter un (ou plusieurs proton (s. Attention! Dans une
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailLes correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.
Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques
Plus en détailavec des nombres entiers
Calculer avec des nombres entiers Effectuez les calculs suivants.. + 9 + 9. Calculez. 9 9 Calculez le quotient et le rest. : : : : 0 :. : : 9 : : 9 0 : 0. 9 9 0 9. Calculez. 9 0 9. : : 0 : 9 : :. : : 0
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Maths MP Exercices Fonctions de plusieurs variables Les indications ne sont ici que pour être consultées après le T (pour les exercices non traités). Avant et pendant le T, tenez bon et n allez pas les
Plus en détailTS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée
TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détailSCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures. L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. CHIMIE
Banque «Agro-Véto» Technologie et Biologie AT - 0310 SCIECES PYSIQUES Durée : 3 heures L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. Si, au cours de l épreuve, un candidat repère ce qui lui
Plus en détailFiche professeur. L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN
Fiche professeur L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN Thème : Observer, ondes et matières Analyse spectrale Type de ressource : Documents de formation en spectroscopies IR et RMN, pistes d activités
Plus en détailRaisonnement par récurrence Suites numériques
Chapitre 1 Raisonnement par récurrence Suites numériques Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Raisonnement par récurrence. Limite finie ou infinie d une suite.
Plus en détailChapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle
Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailStage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale"
Stage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale" Session 2014-2015 Documents produits pendant le stage, les 06 et 07 novembre 2014 à FLERS Adapté par Christian AYMA et Vanessa YEQUEL d après
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailExercices sur le thème II : Les savons
Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailA chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.
CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance
Plus en détail