Rapport annuel de l Aide à la jeunesse Juin 2013

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1 Rapport annuel de l Aide à la jeunesse Juin 2013 Pourquoi un numéro «zéro» du rapport de l Aide à la jeunesse? Ce premier rapport porte le numéro zéro parce qu à l origine, il ne devait servir que comme publication d essai à usage interne de l administration avant publication plus aboutie en Bien qu il s agisse d une préparation au numéro un, prévu pour début 2014, ce rapport contient déjà une foule d informations et d analyses pertinentes. Ce rapport est d abord centré sur les jeunes, et leur famille, pris en charge par l aide à la jeunesse, mais il se veut également être un miroir des activités des services publics, des services agréés et des nombreux intervenants qui composent ce secteur. Des données et des analyses statistiques sur les activités du secteur ont certes déjà été produites, notamment par la Direction générale de l Aide à la jeunesse et l Observatoire de l enfance, de la jeunesse et de l aide à la jeunesse. Ce rapport tend cependant à être plus exhaustif que les publications passées. Il vise à rassembler, dans un même document, des données descriptives quantitatives, qualitatives et budgétaires qui portent sur tous les aspects du secteur de l aide à la jeunesse. Ce document est destiné aux acteurs de l aide à la jeunesse ainsi qu aux secteurs partenaires. Il vise également un public plus large qui s intéresse aux jeunes et aux familles pris en charge par l aide à la jeunesse. Il vise enfin les parlementaires et les responsables politiques. Quels sont les objectifs du rapport? Informer à propos des jeunes et des familles prises en charge par l aide à la jeunesse et rendre compte publiquement du travail effectué avec et pour ceux-ci ; Informer les professionnels de l aide à la jeunesse, mais aussi ceux des secteurs connexes ; Valoriser l activité, les réalisations et les acteurs de l aide à la jeunesse ; Rendre ce secteur plus visible et plus lisible ; Susciter un débat démocratique, susciter un questionnement sur le pilotage du secteur en se fondant sur des données objectives. Interroger le fonctionnement du dispositif. 1

2 Les chiffres-clés de l Aide à la jeunesse (= 4%) Le nombre de jeunes pris en charge au moins un jour dans l aide à la jeunesse en 2011 (Ne sont pas inclus dans ce chiffre les jeunes accompagnés par les 81 AMO - voir plus loin). Il s agit ici de compter tous les jeunes qui ont été pris en charge au moins un jour dans l aide à la jeunesse. Ce chiffre correspond à 4% de l ensemble des jeunes de moins de 18 ans en Fédération Wallonie- Bruxelles. Le nombre de jeunes pris en charge au moins un jour en Fédération Wallonie-Bruxelles a globalement augmenté de 3% entre 2010 et Ils étaient en effet en 2010 (seule année de comparaison possible). Par ailleurs, si l on prend un autre mode de calcul, chaque jour, en moyenne, l aide à la jeunesse prend en charge jeunes, soit 2,2 % des jeunes de la Fédération Wallonie-Bruxelles. 95% La proportion de jeunes pris en charge, en 2011, parce qu ils étaient en difficulté ou dans une situation de danger. Cela représente des jeunes pris en charge au moins un jour dans l aide à la jeunesse. Par ailleurs, 3612 jeunes ont été pris en charge parce qu ils ont commis un fait qualifié infraction. Cela correspond à 8,9% des jeunes pris en charge. Note : un jeune peut avoir été pris en charge à la fois pour une cause de difficulté ou de danger et à la fois pour un fait qualifié infraction. 0,2% Le pourcentage moyen de jeunes ayant commis un fait qualifié infraction pris en charge quotidiennement dans l aide à la jeunesse par rapport à la population de jeunes de moins de 18 ans Au 1 er janvier 2011, il y avait en effet jeunes en Fédération Wallonie-Bruxelles. Le nombre moyen de jeunes ayant commis un fait qualifié infraction quotidiennement dans l aide à la jeunesse, en 2011, est de % Le pourcentage de jeunes filles en difficulté ou en danger prises en charge dans l aide à la jeunesse en 2012 Sexe Jeunes filles en difficulté ou en danger Jeunes pris en charge suite à un FQI Fille 48% 18% Garçon 52% 82% Si on observe une quasi-parité entre les filles et les garçons chez les jeunes en difficulté ou en danger, il n en est pas de même pour les jeunes ayant commis un FQI. Il y a une très nette sur-représentation des garçons chez les jeunes pris en charge suite à des faits de délinquance. 2

3 10,9 ans L âge moyen des jeunes en difficulté ou en danger le 1 er janvier 2011 est de 10 ans et 9 mois. On constate que le nombre de jeunes en difficulté ou en danger augmente avec l âge. C est dans la tranche des ans que l on trouve le plus grand nombre de jeunes. Cette tranche d âge représente à elle seule un quart des jeunes pris en charge. Dans cette tranche d âge, on rencontre à la fois des jeunes qui entrent dans le secteur de l aide à la jeunesse à l adolescence et des jeunes pris en charge depuis leur plus jeune âge. L âge moyen des jeunes pris en charge suite à des FQI le 1 er janvier 2011 est quant à lui de 16 ans et 9 mois Le nombre de mesures de placement en IPPJ et centre fédéral fermé sur l année 2011 Les trois principaux types de faits reprochés sont les atteintes aux biens avec 51,4%, les vols avec violence ou menace avec 21% et les coups et blessures volontaires avec 14,5%. Des différences sont constatées en fonction du sexe. En effet, chez les garçons les vols avec violence ou menace sont plus fréquents (23,6%) que chez les filles (6,4%). Par contre, chez ces dernières ce sont les coups et blessures volontaires qui sont davantage constatés (24,8% pour 12,7% chez les garçons). 60% La proportion de jeunes en difficulté ou en danger qui ont été pris en charge dans leur milieu de vie en 2011 Sur les jeunes en difficulté ou en danger pris en charge chaque jour, jeunes, soit 60%, sont pris en charge dans leur milieu de vie jeunes, soit 40 %, sont pris en charge hors de leur milieu de vie (hébergement). Ces chiffres sont stables par rapport à Voici les différents types de prise en charge : HEBERGEMENT : Famille d'accueil % Service d'accueil et d'aide éducative (SAAE) % Internat scolaire % Service résidentiel pour jeunes relevant de l'awiph ou de PHARE(SRJ) 670 6% Service d'accueil spécialisé de la petite enfance relevant de l'one (SASPE) 381 3% Service organisant un projet pédagogique particulier (PPP) 378 3% Hôpitaux 255 2% AIDE DANS LE MILIEU DE VIE : Service d'aide et intervention éducative (SAIE) % Centre d'orientation éducative (COE) 991 8% 3

4 9874 Le nombre de jeunes pris en charge par l aide à la jeunesse en 2011 pour des raisons de maltraitance ou de négligence Nous disposons des informations relatives aux raisons de l intervention de l aide à la jeunesse pour jeunes en difficulté ou en danger, soit pour 75% des jeunes en difficulté ou en danger pris en charge au moins un jour en L arbre des motifs est divisé en plusieurs grandes catégories qui suivantes: Difficultés du jeune lui-même Difficultés liées aux problèmes personnels des parents Maltraitance Difficultés des parents à assumer leur rôle parental Problèmes relationnels entre adultes au sein de la famille Difficultés financières et matérielles décrivent les problématiques Sachant qu un même jeune peut être pris en charge pour plusieurs motifs, on constate que: Près d un jeune sur deux pris en charge par l aide à la jeunesse connaissait des difficultés ou des problèmes personnels (48%, soit jeunes). Pour plus de deux jeunes sur cinq pris en charge pour des difficultés personnelles, des problèmes de comportement sont évoqués (44%, soit jeunes) : refus d autorité dans la moitié des cas, intolérance à la frustration dans un quart des cas, violence physique dans un cas sur cinq; Pour plus de deux jeunes sur cinq pris en charge pour des difficultés personnelles, des problèmes de scolarité sont mis en évidence (42%, soit 5.788jeunes), le plus souvent de l absentéisme scolaire; Plus d un tiers des jeunes pris en charge pour des difficultés personnelles rencontrent des difficultés psychologiques(38%, soit 5.266jeunes). Une fois sur trois, il s agit d un mal-être à connotation dépressive; Un jeune sur 10 est pris en charge pour des fugues (1.335jeunes); 5%des jeunes sont pris en charge pour des problèmes d assuétudes (738jeunes). Trois fois sur cinq, il s agit d un problème de toxicomanie. Dans un quart des cas, il s agit d un problème d alcoolisme. Près d un jeune sur deux sont pris en charge en raison des difficultés personnelles rencontrées par leurs parents (46 %, jeunes). Dans près d un cas sur deux, les difficultés rencontrées par les parents sont de nature psychologique (46%, soit jeunes): mal-être à connotation dépressive (37%, soit 2.270jeunes), problème de nature psychiatrique dans un cas sur cinq (19%, 1.159jeunes); Dans un tiers des cas, il s agit d assuétudes. Dans 70 % des cas, le ou les parents ont un problème d alcoolisme (3.011 jeunes) et dans 29 % des cas, il s agit de toxicomanie (1.231jeunes). Un jeune sur trois est pris en charge pour des raisons de maltraitance (34 %, jeunes). Dans deux tiers cas, il s agit de négligence (6.584jeunes); Dans un quart des cas, il s agit de maltraitance physique ou de suspicion de maltraitance physique (2.419jeunes); 4

5 Dans 15%des cas, on parle de maltraitance psychologique ou de suspicion de maltraitance psychologique (1.497jeunes); Dans 13 % des cas, il s agit de maltraitance sexuelle ou de suspicionde maltraitance sexuelle (1.312jeunes). Un jeune sur trois est pris en charge en raison des difficultés de ses parents à assumer ses responsabilités parentales (34 %, jeunes) Dans près de trois quart des cas (72 %, jeunes), les parents sont dépassés (difficulté à faire preuve d autorité, à mettre des limites); Deux fois sur cinq (39%, jeunes), l attitude des parents est considérée comme inadéquate. Une fois sur deux, il s agit d incohérence éducative (investissement en dents de scie, attitudes éducatives changeantes et conflits éducatifs entre les parents). Un jeune sur trois est pris en charge pour des problèmes relationnels entre les adultes au sein de la famille (32 %, jeunes). Une fois sur deux, les jeunes sont mis en difficulté ou en danger suite à une séparation parentale conflictuelle (52%, 4.744jeunes); Trois fois sur dix, il s agit de conflit au sein de la famille (2.768jeunes); Trois fois sur dix, il s agit de violence intra-familiale (2.709 jeunes). Le plus souvent, il s agit de violence conjugale (70%, 1.908jeunes). Un jeune sur six est pris en charge en raison de problèmes matériels ou financiers (4.476jeunes). Dans la moitié des cas, il s agit de problèmes de logement (2.431jeunes). 81 Le nombre d AMO en Fédération Wallonie-Bruxelles, pour un budget total de La prévention générale occupe une grande place dans le secteur de l Aide à la jeunesse. Les AMO y occupent un rôle important. Les services d aide en milieu ouvert (AMO) ont pour missions d apporter aux enfants et aux jeunes une aide préventive, dans leur milieu de vie et dans leurs rapports avec l'environnement social et familial. Cette aide spécialisée peut prendre la forme d une aide individuelle à la demande du jeune ou d'actions communautaires. Les A.M.O. interviennent de manière non contraignante et donc en dehors de tout mandat. L aide individuelle aux enfants et aux jeunes peut prendre de nombreuses formes, de l écoute au travail en réseau en passant par le soutien à la famille et aux familiers du jeune. L'action communautaire de l AMO repose nécessairement sur un diagnostic social de sa zone d'action. Le diagnostic social est construit à partir de l analyse des demandes individuelles et collectives et du milieu de vie des jeunes. Certains services d'aide en milieu ouvert ont aussi comme spécificité un fonctionnement 24h sur 24, 7 jours sur 7. Ceux-ci visent à assurer la continuité, dans un but de prévention, par une présence, une permanence téléphonique et un lieu accessible prioritairement aux jeunes, mais aussi aux parents et adultes qui se trouvent confrontés le jour ou la nuit à une problématique, une difficulté, un questionnement liés à l'enfance ou à l'adolescence euros C est le budget global de l Aide à la jeunesse en Fédération Wallonie-Bruxelles qui est détaillé dans ce rapport zéro. 5

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