RÉSUMÉ ABSTRACT INTRODUCTION. Yves K. KOUADIO* 1, Sylvain BIGOT 2 ET SÉKA Achy 1

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1 ETUDE STATISTIQUE DE LA RELATION ENTRE LA TEMPÉRATURE DE SURFACE DE L OCÉAN ATLANTIQUE TROPICAL ET LES PRINCIPALES ANOMALIES PLUVIOMÉTRIQUES EN CÔTE D IVOIRE Yves K. KOUADIO* 1, Sylvain BIGOT 2 ET SÉKA Achy 1 Laboratoire de Physique de l Atmosphère et de Mécanique des Fluides,Université de Cocody 22 BP 582 Abidjan 22, Côte d Ivoire, k2yves@caramail.com Laboratoire de Géographie des Milieux Anthropisés (CNRS UMR 8141), Université des Sciences et Technologies de Lille Avenue Paul Langevin, Villeneuve d Ascq cedex, France RÉSUMÉ Cette étude se focalise sur la relation statistique entre l Atlantique tropical et la pluviométrie de la Côte d Ivoire. L Analyse en Composantes Principales des anomalies pluviométriques de 22 stations de la Côte d Ivoire a permis de mettre en évidence différents modes de variabilité climatique. Les corrélations entre les TSO et les composantes principales montrent que la CP1 s identifi e à la situation pluviométrique de JFM, la CP2 à JAS et la CP3 à AMJ. Une étude de cas d anomalies pluviométriques particulières de 1966 et 1997, basée sur la CP2 et la CP3, est ensuite entreprise. De telles relations entre l océan et la pluviométrie peuvent infl uencer la production agricole en Côte d Ivoire. ABSTRACT This study focused on tropical Atlantic and rainfall relationship. Principal Components Analysis performed on rainfall anomalies of 22 stations of Côte d Ivoire reveals differents modes of climate variability. The correlations between SST and the Principal Components show that PC1 is identified to JFM rainfall pattern, the PC2 to JAS and PC3 to AMJ. A case study of particular rainfall anomalies of 1966 and 1987, based on PC2 and PC3 is undertaken. Such ocean and rainfall relationships can influence agricultural production in Côte d Ivoire. Key words : SEA SURFACE TEMPERATURE, RAINFALL, CÔTE D IVOIRE, CLIMATE, GEOSTATISTICS. Mots-clés : TEMPÉRATURES DE SURFACE DE L OCÉAN, PRÉCIPITA- TIONS, CÔTE D IVOIRE, CLIMAT, GÉOSTATISTIQUES. INTRODUCTION La Côte d Ivoire est un pays d Afrique de l Ouest situé en bordure du Golfe de Guinée (4-11 N / 2,5-9 W) qui subit l influence des masses d air océanique humide (flux de mousson) provenant de l océan Atlantique tropical et des masses d air sec continental (flux d Harmattan) provenant de la zone saharienne. Les évolutions saisonnières et interannuelles de la pluviométrie influencent considérablement les dynamiques écologiques, les rendements agricoles et l économie nationale. Les anomalies sèches de 1983 et 1994 ont par exemple eu un impact socioéconomique significatif, avec l augmentation des feux de végétation, la perte de certaines cultures de rente et la baisse des rendements des cultures vivrières. L étude de la répartition géographique des précipitations et leur prévision statistique sont donc des enjeux importants. Plusieurs études ont notamment suggéré l existence d une relation entre la Température de Surface de l Océan (TSO) de l Atlantique tropical et la pluviométrie en Afrique de l Ouest 1,2,3 Moron, 1992 ; Fontaine et Janicot, 1996 ; Philippon, 2002). Selon les travaux de Mahé et Citeau (1993) 4, les années de pluies déficitaires au Sahel sont très souvent observées durant un réchauffement anormal des TSO de l Atlantique tropical pendant le trimestre juillet-septembre. Lough (1986) 5 obtient également des coeffi cients de corrélation négatifs significatifs entre un indice pluviométrique sahélien et les variations thermiques interannuelles de l Atlantique tropical entre avril et septembre : un réchauffement (refroidissement) dans l Atlantique tropical sud-est 3

2 est observé durant les années de pluies défi citaires (excédentaires) au Sahel. Pendant que la zone sahélienne fait l objet de nombreuses recherches, peu d études sont réalisées sur l espace guinéen forestier 6 (Opoku-Ankomah et Cordery, 1994), et en particulier sur la Côte d Ivoire 7,8,9,10,11 (Cautenet et Rosset, 1988 ; Gallardo, 1993 ; Kouadio, 2002 ; Kouadio et al., 2003 ; Bigot et al., 2004). Grâce à la modélisation numérique et à certaines données issues de l observation, Cautenet (1988) 12 a pourtant précisé qu il existe une relation significative entre la brise de mer et les précipitations sur le littoral guinéen, les facteurs géographiques régionaux étant déterminants (particularité morphologique, longueur de rugosité, vent synoptique). La présente étude poursuit donc deux objectifs essentiels : (i) l étude de la répartition géographique de la pluviométrie en Côte d Ivoire et (ii) la prédictibilité de la pluviométrie par la recherche de relations statistiques avec les paramètres météoocéaniques que sont la température de surface et la pseudo-tension du vent en Atlantique tropical. 2. AVANT-PROPOS MÉTHODOLOGIQUES Afin de mener l étude de la variabilité pluviométrique interannuelle de la Côte d Ivoire, les données retenues couvrent la période et proviennent de 22 stations météorologiques réparties sur l ensemble du territoire national. Le réseau étudié couvre notamment les trois principales zones hydroclimatiques (Figure 1a) : le Nord de la Côte d Ivoire avec un régime saisonnier de type unimodal (maximum en août), le centre du territoire ivoirien qui possède un régime bimodal (maxima en juin et septembre) et la zone littorale, en bordure du Golfe de Guinée, qui enregistre deux pics pluviométriques, en juin et un second moins prononcé en octobre (Figure 1b). Afi n de préciser les variations pluviométriques saisonnières, les pourcentages trimestriels (r) sont calculés pour l ensemble des stations et pour chacun des trimestres de l année, selon la formule : T = 100 T r 1 (1) où T 1 représente les différents totaux trimestriels successifs (JFM, AMJ, JAS et OND) et T le total annuel. A partir des ces différents résultats, une Analyse en Composantes Principales (ACP) permet ensuite de déterminer les caractéristiques dominantes de la variabilité pluviométrique spatio-temporelle. L analyse factorielle est d abord réalisée sur les valeurs mensuelles standardisées des 22 séries temporelles (N = 408). Les coefficients mensuels des différentes composantes principales issues de l ACP sont moyennés afin d obtenir des chroniques au pas de temps annuel. Le même type d analyse factorielle est calculé dans un second temps sur les chroniques trimestrielles. Yves K. KOUADIO, Sylvain BIGO ET Séka ACHY : Etude statistique de la relation entre la température... 4

3 Hauteur moyenne (mm) Littoral Centre Nord b Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Figure 1 : (a) Le réseau des 22 stations pluviométriques étudiées (une typologie climatique est déduites d après les trois premiers modes factoriels issus d une Analyse en Composantes Principales de type Varimax) ; (b) Les régimes pluviométriques annuels associés à ces trois composantes factorielles. Certaines caractéristiques thermo-dynamiques de l océan Atlantique, à la source des principaux mécanismes pluviogènes régionaux, sont également étudiées. Ainsi, la Température de Surface de l Océan (TSO) détermine l intensité des échanges océano-atmosphériques dans les basses couches. En favorisant une plus ou moins grande libération de chaleur latente et de chaleur sensible, la TSO est une des principales variables climatiques à la base des différents couplages océano-atmosphériques (Quilfen, 1987) 13. Par ailleurs, la position latitudinale moyenne de la Zone de Convergence Intertropicale (ZCIT) à la longitude 29 W, est obtenue pour une valeur nulle de la pseudo-tension méridienne du vent à la surface de l océan (Figure 2). 5

4 Figure 2 : Champs moyens de la température océanique de surface (isolignes, en C) et de la pseudo-tension du vent de surface (vecteurs, en m 2 /s 2 ) pour le domaine atlantique tropical (les valeurs sont calculées sur la période ). Les données de Températures de Surface de l océan (TSO) et de pseudo-tension du vent à la surface de l océan (PVS) utilisées dans cette étude sont fournies par le centre de recherche de l Institut de Recherche pour le Développement (IRD) basé à Brest. Ces séries couvrent la même période d étude que les chroniques pluviométriques ( ) et proviennent en grande partie de mesures météorologiques à la surface de l océan effectuées en routine par des navires marchands (Servain et Lukas, 1990) 14. Ces données sont complétées par des mesures de quelques bouées fixes ou dérivantes. L archivage en temps réel de l ensemble de ces données est réalisé par le National Meteorological Center de Washington (Etats-Unis) ou en temps différé par le National Climatic Data Center d Ashville (Etats- Unis). La sélection d une zone Atlantique tropicale comprise respectivement entre 60 W-15 E et 20 S- 30 N est réalisée par le Mesoscale Air-Sea Interaction Group de l Université de Floride. 3. L ÉTUDE FACTORIELLE DES VARIATIONS PLUVIOMÉTRIQUES SAISONNIÈRES La figure 3 présente la cartographie du rapport r pour les quatre saisons. La pluviométrie est en hausse sur le littoral en AMJ et au Nord en JAS. En fonction de cette évolution latitudinale saisonnière du maximum pluviométrique, l espace climatique du centre du pays peut alors être considéré comme une zone de transition (ASECNA, 1979) 15. Les valeurs pluviométriques minimales sont observées en JFM et OND. Yves K. KOUADIO, Sylvain BIGO ET Séka ACHY : Etude statistique de la relation entre la température... 6

5 Figure 3 : Cartographie de la proportion pluviométrique trimestrielle en Côte d Ivoire pour les quatre trimestres de l année (l intervalle des isolignes est de 3%). Cette répartition saisonnière des précipitations est liée d une part à l influence de la mousson d origine océanique entre avril et août et, d autre part, à l harmattan, particulièrement entre janvier et mars. L évolution simultanée du cycle annuel des TSO de l Atlantique sud et de la pluviométrie des trois zones climatiques montre que la hausse des précipitations au Nord et la baisse au Sud coïncident avec un refroidissement océanique en JAS (Kouadio, 2002) [9]. De même, la hausse de la pluviométrie sur le littoral en AMJ est observée quand le refroidissement océanique commence à s établir durant ce trimestre, période qui correspond à la transition océanique entre la grande saison chaude et la grande saison froide dans le Golfe de Guinée. 7

6 Le scree-test déduit de l Analyse en Composantes Principales (ACP) calculée sur les anomalies pluviométriques mensuelles de la période permet de déduire les principaux modes spatiotemporels significatifs d un point de vue statistique et qui résument une part de la variance totale (O lenic et Livezey, 1988) 16. Dans ce cas d étude, les quatre premières composantes expriment 50,5% de la variance totale expliquée (Figure 4) Figure 4 : Cartographie des quatre premières composantes issues d une Analyse en Composantes Principales calculée sur les anomalies mensuelles de la pluviométrie en Côte d Ivoire (les valeurs négatives sont indiquées en pointillés ; le pourcentage de variance totale expliquée est indiqué en haut à droite). Yves K. KOUADIO, Sylvain BIGO ET Séka ACHY : Etude statistique de la relation entre la température... 8

7 La première composante (CP 1 ) représente 28% de la variance totale exprimée et indique un effet d ensemble, avec des valeurs positives pour l ensemble des coeffi cients de corrélation. La chronique interannuelle associée à cette composante indique que la pluviométrie est globalement excédentaire sur les périodes et , et défi citaire entre 1981 et 1983 (Figure 5). Pour les ACP réalisées séparément sur les quatre trimestres, la plus forte variance est obtenue en JAS (36,2%) et AMJ (33,7%), les valeurs étant plus faibles en JFM et OND, avec respectivement 25,3 et 21,5% (Figure 6). La seconde composante (CP 2 ), avec 10% de la variance totale exprimée, montre un gradient nordsud, avec de fortes valeurs négatives au nord et dans le centre du pays, et de fortes valeurs positives au sud (Figure 4). Cette structure spatiale est proche de celle observée pour la proportion pluviométrique du trimestre JAS (Figure 3). Les variations de la chronique factorielle associée signalent une période d excédent entre 1982 et 1994, ainsi que deux périodes de déficit pluviométrique, entre 1964 et 1967 d une part, et entre 1969 et 1973 d autre part (Figure 5). Durant les années 1968 et 1987, la zone littorale a enregistré des pluies anormalement élevées durant le trimestre JAS tandis que le défi cit s accentuait au nord (Kouadio et al., 2003) 10. Pour les ACP réalisées sur les quatre trimestres (Figure 7), AMJ et JAS présentent un gradient nord-sud, avec une opposition entre des valeurs positives au nord et au centre du pays, et de fortes valeurs négatives au sud. La troisième composante (CP 3 ) représente 7,6% de la variance exprimée. C est un cas particulier de champ d anomalies pluviométriques qui révèle une opposition entre le centre de la Côte d Ivoire d un côté, et les espaces septentrional et littoral de l autre (Figure 3). Les amplitudes interannuelles suggèrent une période globalement excédentaire de 1964 à 1980, marquée par quelques périodes de déficit en 1966, 1969, et 1980 (Figure 5). La période est globalement déficitaire, même si deux périodes enregistrent des anomalies positives ( et ). La quatrième composante (CP 4 ), avec 4,9% de la variance exprimée, révèle un gradient est-ouest (Figure 3) et une alternance de périodes excédentaires et déficitaires (Figure 5). Les trimestres AMJ et JAS présentent aussi un gradient est-ouest lorsque les analyses factorielles sont successivement réalisées sur les valeurs trimestrielles (non montrée). Figure 5 : Amplitudes des Quatre premiers vecteurs propres déduits de l ACP des anomalies standardisées mensuelles de la pluviométrie en Côte d Ivoire. La courbe en gras est la moyenne mobile sur 12 mois. 9

8 Figure 5 (suite) : Amplitudes des Quatre premiers vecteurs propres déduits de l ACP des anomalies standardisées mensuelles de la pluviométrie en Côte d Ivoire. La courbe en gras est la moyenne mobile sur 12 mois. Yves K. KOUADIO, Sylvain BIGO ET Séka ACHY : Etude statistique de la relation entre la température... 10

9 Figure 6 : Idem que pour la fi gure 4 mais seulement pour la première composante factorielle d une ACP calculée pour chacun des quatre trimestres de l année. 11

10 Figure 7 : Idem que pour la fi gure 6, mais pour la seconde composante factorielle. 4. LA MISE EN ÉVIDENCE DE COUPLAGES OCÉANO-ATMOSPHÉRIQUES Une étude statistique de la relation entre les paramètres météo-océaniques (TSO et PVS) de l Atlantique tropical et les quatre modes dominants de la pluviométrie en Côte d Ivoire est ensuite entreprise au moyen de corrélations linéaires pour quantifi er d éventuelles relations géostatistiques. L interprétation des vecteurs déduits de la corrélation entre la pluviométrie et les deux composantes de la PVS est basée sur certaines conventions, notamment le fait que la PVS zonale est positive vers l Ouest tandis que la PVS méridienne est positive vers le Nord. Yves K. KOUADIO, Sylvain BIGO ET Séka ACHY : Etude statistique de la relation entre la température... 12

11 Il n existe aucune corrélation significative entre les TSO atlantiques et la CP 1 pour l ensemble du bassin tropical (Figure 8a). De même, les résultats dans le Sud du bassin et autour de l équateur indiquent un fl ux d humidité dirigé vers le Brésil. Cette situation n est visible qu en JFM. Durant cette période, la ZCIT occupe sa position latitudinale moyenne la plus australe. La Côte d Ivoire est alors soumise à l influence de l Harmattan et le fl ux océanique n infl uence plus véritablement la pluviométrie régionale. Servain et Séva (1987) 17 notent plutôt une intensifi cation des alizés du sud-est en février-mars-avril, entraînant un fl ux d humidité vers le Nordeste brésilien et donc consécutivement, une hausse de la pluviométrie. Les corrélations entre les TSO et la CP 2 indiquent une structure positive dans le Golfe de Guinée, surtout vers l équateur (Figure 8b). De même, la corrélation entre la CP 2 et les deux composantes de PVS dans le Golfe de Guinée montre des vecteurs dirigés vers l Afrique de l Ouest. Les résultats indiquent qu un réchauffement anormal dans le bassin atlantique sud, couplé à une extension méridienne du flux de mousson vers le Nord, entraînent une hausse de la pluviométrie au Sud de la Côte d Ivoire et une baisse au Nord. De même, le fl ux d humidité situé vers 10 N n est pas dirigé vers l Afrique en JAS, d où le défi cit observé à l échelle de la Côte d Ivoire. Une situation inverse peut se produire, avec un refroidissement anormal dans le bassin sud, couplé à une intensifi cation des alizés vers 10 N dans une bande correspondant à la ZCIT et indiquant une forte convergence du fl ux d humidité vers l Afrique de l Ouest (Newell et Kidson, 1984) 18. Ces relations statistiques significatives entre TSO et pluviométrie entre juillet et septembre ont également été observées par d autres auteurs pour les précipitations sahéliennes (Lamb, 1978 ; Lough, 1986 ; Fontaine et Bigot, 1993 ; Ward, 1998 ; Fontaine et al., 1999) 19,5,20,21,22. Les corrélations sont négatives et signifi catives au large de la côte angolaise entre les TSO et la CP 3 (Figure 8c). Elles révèlent qu un refroidissement anormal survenant dans l Atlantique sud d une part, et une décélération du vent de surface dans le Golfe de Guinée et au large de la côte angolaise d autre part, sont liés à une hausse de la pluviométrie sur le littoral ivoirien et au nord du pays. En revanche, un défi cit est enregistré au centre du pays. Gallardo (1993) 8 montre également que la hausse de la pluviométrie sur le littoral ivoirien, surtout en juin, est associée à une décélération du vent au large de l Angola. Ces situations indiquent que la CP 3 correspond aux fl uctuations pluviométriques sur le littoral en AMJ. Généralement «bloquée» entre l équateur et 5 N de mars à mai, la ZCIT atteint le littoral du Golfe de Guinée entre mai et juin (Colin et al., 1993) 23. Cette légère remontée saisonnière vers le Nord entraîne un refroidissement de la surface océanique dans le bassin sud de l Atlantique tropical. Cependant, ce refroidissement n est pas comparable à celui du trimestre de juillet à septembre car le seuil thermique de 26 C n est pas atteint, seuil en dessous duquel la convection profonde n existe plus (Arfi et al., 1993) 24. Ainsi, des zones d instabilité se forment dans les lignes de fl ux d humidité qui sont dues à la poussée de la mousson (Dhonneur, 1971) 25 et à la hausse de la pression à la côte de mai à juin. La décélération du vent de surface marquant une convergence du fl ux d humidité d origine océanique vers le continent (Gallardo, 1975, 1993) 28,8, une hausse de la pluviométrie intervient durant cette période. Les corrélations entre les TSO, la PVS et la CP 4 (non montrées) ne sont pas signifi catives dans l ensemble du bassin tropical. Elles ne permettent donc pas de conclure à une infl uence océanique sur ce mode factoriel synthétisant certaines anomalies pluviométriques continentales. 13

12 Figure 8 : Champs des corrélations annuelles entre les TSO et les composantes factorielles (contours) et entre la PVS et la pluviométrie (vecteurs) ; seuls les vecteurs signifi catifs à 95% sont représentés ; les surfaces grisées correspondent aux corrélations signifi catives à 95%. Yves K. KOUADIO, Sylvain BIGO ET Séka ACHY : Etude statistique de la relation entre la température... 14

13 5. L ANALYSE D ANOMALIES PLUVIOMÉTRIQUES PARTICULIÈRES Cette étude se focalise sur la deuxième et la troisième composante factorielle, car elles traduisent respectivement les variations climatiques du trimestre JAS pour les régions Sud et, tandis que les variations du trimestre AMJ caractérisent surtout la zone littorale. Les mois de juin 1966 et de septembre 1987, avec des valeurs extrêmes sur la période historique, sont choisis comme exemple représentatifs. Pendant l année 1987, un réchauffement anormal est observé dans le Golfe de Guinée, surtout le long de la côte ivoirienne (anomalies thermiques supérieures à 1,5 C). Ce réchauffement débute en juillet et persiste jusqu en septembre (Figure 9b). Le flux d humidité n atteint pas le Nord de la Côte d Ivoire et la ZCIT se situe au Sud de sa position moyenne (Figure 10). Janicot (1992) [27] montre que la hausse de la pluviométrie au Sahel est due à un apport d humidité vers 10 N durant le trimestre juilletseptembre. Un réchauffement anormal de l océan et un vent fort occasionnent le transport de la chaleur et de la vapeur d eau dans l atmosphère. Le flux de chaleur dans l atmosphère entraîne une instabilité des basses couches de l atmosphère. Ceci induit une forte convection et une advection du flux de mousson, entraînant une hausse de la pluviométrie sur le littoral et une baisse au Nord en septembre Les conditions météo-océaniques entraînant une hausse de la pluviométrie au Sud et une baisse au Nord pour l année 1987, sont un cas particulier de la relation entre l océan et la CP 2 discutée dans la section 3. En effet, la période de juillet à septembre est généralement celle de la petite saison sèche au sud, tandis que le nord reçoit le maximum de précipitation (Figure 1b). De même, l upwelling est bien établi dans le Golfe de Guinée durant ce trimestre et la ZCIT occupe sa position la plus septentrionale. La fraîcheur à l interface océan-atmosphère, durant cette période, provoque la stabilisation des basses couches de la mousson. Ce refroidissement s oppose aux mouvements convectifs dans la basse troposphère et crée donc un effet d inhibition de la pluviométrie au Sud. Le flux de mousson est transporté à l intérieur des terres, entraînant une hausse de la pluviométrie au nord. Un retard dans l évolution latitudinale saisonnière de la ZCIT (comme en 1987), couplé à une brusque variation des paramètres météoocéaniques occasionnent des changements dans la pluviométrie en Côte d Ivoire. Une telle situation entraîne une réduction du fl ux d humidité à 950 hpa au-dessus de la zone ouest-africaine, autour de 10 N (Newell et Kidson, 1984) 18, incluant le Nord de la Côte d Ivoire. Selon Janicot et Fontaine (1997) [28], la baisse de la pluviométrie de la première saison des pluies, entre mai et juin, est associée à un réchauffement de l Atlantique sud. L exemple de 1966 est, en ce sens, très représentatif. Les champs d anomalies de la TSO et du PVS en juin 1966 possèdent en fait des caractéristiques inverses de celles observées précédemment pour l année 1987 (Figure 9a). Un réchauffement anormal du Golfe de Guinée et des côtes angolaises en juin, associé à une intensification du vent sur la côte angolaise et à une décélération à la côte ivoirienne, favorise une diminution du fl ux d humidité sur le littoral ivoirien. La remontée de la ZCIT est précoce de février à mai, avec une position anormalement septentrionale (Figure 10). Ceci a pour conséquence un refroidissement des TSO à l équateur de mars à avril, et sur la côte d avril à juin. Parallèlement, cette situation entraîne une forte diminution de la pluviométrie de l espace littoral ainsi qu au Nord du pays. A l inverse, les précipitations sont anormalement élevées en avril (179 mm contre 143 mm en moyenne), en mai (171 mm contre 163 mm) et en juin (279 mm contre 188 mm). Cet exemple est donc l opposé de la relation observée entre la CP 3 et les paramètres météoocéaniques et présentée en section 3. De telles relations océano-atmosphériques observées pendant ces deux trimestres peuvent fortement infl uencer la production agricole. 15

14 Figure 9 : Champs d anomalies de la TSO (en C) et de la PVS (a) en juin 1966 et (b) septembre Yves K. KOUADIO, Sylvain BIGO ET Séka ACHY : Etude statistique de la relation entre la température... 16

15 N Latitude de la ZCIT ( ) Position moyenne S -2 Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Figure 10 : Migration saisonnière latitudinale de la ZCIT à la longitude 29 W. CONCLUSION Cette étude analyse les champs d anomalies pluviométriques mensuelles standardisées de la Côte d Ivoire sur la période Les résultats obtenus à partir d une analyse factorielle révèlent qu il existe différents modes de variabilité à l échelle de l ensemble du pays, soit un comportement global, enregistré sur l ensemble du territoire, ou bien des modes plus régionaux (avec des gradients nord-sud marquant des oppositions entre les régions septentrionale, centrale et littoral d autre part, mais aussi des gradients est-ouest). L étude complémentaire des champs thermiques de surface de l océan Atlantique et du vent des très basses couches de l atmosphère confirme l influence de ces paramètres sur certaines variations saisonnières et interannuelles des précipitations ivoiriennes. Ainsi, des corrélations linéaires significatives enregistrées dans l Atlantique semblent indiquer qu une hausse de la pluviométrie au Sud de la Côte d Ivoire (avec une baisse au Nord) s accompagne d un réchauffement et d une intensification du vent dans l Atlantique, au Sud de 10 N. D autres structures spatio-temporelles pourraient expliquer, via des forçages océanoatmosphériques de méso-échelle, différentes variations pluviométriques saisonnières enregistrées à l échelle trimestrielle. C est particulièrement le cas lors d évènements climatiques extrêmes. La récession pluviométrique observée en juin 1966 est par exemple liée à un réchauffement anormal du Golfe de Guinée et à une intensification du vent sur la côte angolaise. Cet impact de l océan sur les précipitations en Côte d Ivoire suggère qu une surveillance de l Atlantique tropical peut permettre une meilleure prévision de la pluviométrie, en particulier dans un but agronomique. Une telle approche faciliterait par exemple l actualisation de certains calendriers agricoles et donc, la hausse de rendements hautement spéculatifs, en particuliers ceux du café et du cacao. En effet, Diobo (2004) 29 note par exemple un changement dans le calendrier agricole au sud de la Côte d Ivoire et une baisse considérable du besoin hydrique de certaines cultures depuis Ceci est une conséquence de la modifi cation du gradient pluviométrique (Brou et al., 1998) 30 entraînant une régression de la production agricole. Ceci forme un volet de l axe des recherches menées actuellement dans le cadre du programme international de recherche sur l Analyse Multidisciplinaire de la Mousson Africaine (AMMA). 17

16 Remerciements : Les auteurs tiennent à exprimer leur gratitude au Dr. Jacques Servain (IRD-Brest, France) qui a mis à leur disposition, ses fi chiers de Température de Surface de la Mer et de pseudotension du vent dans l océan Atlantique tropical. Cette étude a été réalisée avec l appui fi nancier du Fonds d Incitation à la Recherche Météorologique Appliquée (FIRMA). RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES 1- Moron V. : Indices de TSO et pluviométrie sahélienne, Publications de l Association Internationale de Climatologie, 5 (1992), Fontaine B. et Janicot S. : Sea surface temperature fields associated with West African rainfall anomaly types. Journal of Climate, 9 (1996), Philippon N. : Une nouvelle approche pour la prévision statistique des précipitations saisonnières en Afrique de l Ouest et de l Est: méthodes, diagnostics ( ) et applications ( ), Thèse de doctorat, 241 pages, CRC - Université de Bourgogne, DIJON, FRANCE, décembre 2002 (2002) 4- Mahé G. et Citeau J. : Relation Océan-Atmosphère- Continent dans l espace africain de la mousson atlantique. Schéma général et cas particulier de Veille Climatique Satellitaire, n 44 (1993), Lough J.M.: Tropical Atlantic sea surface temperature and rainfall variations in Subsaharan Africa. Mon. Wea. Rev., 114 (1986), Opoku-Ankomah Y. et Cordery I.: Atlantic Sea Surface Temperatures and rainfall variability in Ghana. J. Climate, 4 (1994), Cautenet S. et Rosset R.: Numerical simulation of sea breezes with vertical wind shear during dry season at Cape of Three Points, West Africa. Mon. Wea. Rev., 117 (1989), Gallardo Y., 1993 : Les conditions océaniques du maximum des pluies littorales ivoiriennes en juin. ORSTOM Editions, Environnement & Ressources Aquatiques en Côte d Ivoire, Tome 1 Le Milieu Marin (1993), Kouadio K.Y. : Infl uence des paramètres météo-océaniques de l atlantique tropical sur la pluviométrie en Côte d Ivoire. Thèse de doctorat, Université de Cocody, Abidjan, 176 p. (2002). 10- Kouadio K.Y., Ochou D.A. et Servain J.: Tropical Atlantic and rainfall variability in Côte d Ivoire. Geophysical Research Letters, 30 (2003), 5, 15,1-15, Bigot S., Brou Y. T., Oszwald Y. et Diedhiou A. : Facteurs d explication de la variabilité pluviométrique en Côte d Ivoire et relations avec certaines modifi cations environnementales. Sécheresse, vol. 16, 1 (2005), Cautenet S. : Interaction d une circulation mésoéchelle de brise de mer avec un cisaillement de vent synoptique. Application au Golfe de guinée. Thèse de Doctorat, Université Blaise-Pascal, Clermont-Ferrand, 204 p. (1988). 13- Quilfen Y. : Variabilité de l atmosphère atlantique tropical et interaction avec l océan. Thèse de doctorat, Université de Bretagne Occidentale, Brest, 150 pages (1987). 14- Servain J. et Lukas S. : Climate atlas of tropical Atlantic wind stress and sea surface temperature Service de la Documentation et des Publications (SDP), Ifremer, Centre de Brest (France), 133 p. (1990). 15- ASECNA : Le climat de la Côte d Ivoire. Service de la météorologie, Côte d Ivoire, 86 p. (1979). 16- O lenic E.A. et Livezey R.E.: Practical considerations in the use of rotated principal components analysis (RPCA) in diagnostic studies of upper-air fi elds. Mon. Wea. Rev, 116 (1988), Servain J. et Séva M.: On relationship between tropical Atlantic sea surface temperature, wind stress and regional precipitation indices: Ocean-Air Interaction, 1 (1987), Newell R. E. et Kidson J.W.: African mean wind changes between sahelian wet and dry periods. J. Climate, 4 (1984), Lamb P.J.: Large scale tropical atlantic surface circulation patterns associated with subsaharan weather anomalies. Tellus, 30 (1978), Fontaine B. et Bigot S.: West African rainfall deficits and Sea Surface Temperatures. Int. Journal of Climatology, 13 (1993), Ward N.: Diagnosis and short lead time prediction of summer rainfall in tropical North Africa at interannual and multidecadal timescales. J. Climate, 12 (1998), Fontaine B., Janicot S. et Roucou P.: Coupled oceanatmosphere surface variability and its climate impacts in the tropical Atlantic region. Clim. Dyn., 15 (1999), Colin, C., Y. Gallardo, R. Chuchla et S. Cissoko: Environnement climatique et océanographique sur le plateau continental de Côte d Ivoire. ORSTOM Editions, Environnement et ressources aquatiques en Côte d Ivoire, Tome 1- Le milieu marin, (1993), Yves K. KOUADIO, Sylvain BIGO ET Séka ACHY : Etude statistique de la relation entre la température... 18

17 24- Arfi R.O, Penzennec S., Cissoko S. et Mensah M. : Evolution spatio-temporelle d un indice caractérisant l indice de la résurgence ivoiro-ghanéenne. ORSTOM Editions, Environnement et ressources aquatiques en Côte d Ivoire, Tome 1 - Le milieu marin (1993), Dhonneur G., 1971 : Variations du champ de pression et prévision du temps dans les régions intertropicales de l Afrique occidentale et centrale. ASECNA, 21, Dir. Expl. Mét. ASECNA, Dakar, 164 p. (1971). 26-Gallardo Y. : Relations hydrométéorologiques sur les côtes du Golfe de Guinée. Infl uence de l orientation de la côte. Doc. Scient. Centre Rech. Océanogr., vol. VI, N 1, juin 1975, Janicot S.: Spatiotemporal variability of west African rainfall. Part II: Associated Surface and Airmass characteristics. Journal of climate, 5 (1992), Janicot S. et Fontaine B.: Evolution saisonnière des corrélations entre précipitations en Afrique guinéenne et températures des surface de la mer ( ). C.R. Acad. Sci. Paris, t 324, série IIIa, (1997), Diobo K.S. : Récession pluviométrique et mutations socioéconomiques et agricoles dans le Sud-Ouest et Centre- Ouest de la Côte d Ivoire de 1950 à Mémoire de maîtrise, Université de Cocody, 69 p. (2004). 30- Brou Y.T., Servat E. et Paturel J.E. : Activités humaines et variabilité climatique : cas du sud forestier ivoirien. Water Resources Variability in Africa during the XXth Century (Proceedings of the Abidjan 98). IAHS Publ., N 25 (1998),

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