Zones Non Agricoles. Conditions climatiques. N 1 6 mars 2015

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Zones Non Agricoles. Conditions climatiques. N 1 6 mars 2015"

Transcription

1 N 1 6 mars 2015 Les acteurs de la filière réalisent des observations pour la réalisation des BSV. Toutefois, afin de compléter nos informations, n'hésitez pas à nous contacter pour nous signaler tout développement d'une maladie ou d'un ravageur. Si vous le souhaitez, vous pouvez rejoindre le réseau de surveillance du territoire. En effet, des observations de terrain et des données régulières sont nécessaires pour l'élaboration d'un BSV pertinent. Contact : FREDON Aquitaine, Nathalie Daste , n.daste@fredon-aquitaine.org Zones Non Agricoles Conditions climatiques ANIMATEUR FILIERE BOURDA Séverine FREDON Aquitaine Les températures de la saison, plutôt douces, ont permis le début du développement des bourgeons de divers feuillus (peupliers, chênes, platanes) et arbustes. La remontée des températures moyennes journalières et la disponibilité en eau des végétaux (pluies récentes) sont des conditions favorables à la reprise de l'activité végétative. La sortie de diapause de différents insectes et les éclosions larvaires ont également lieu (pyrale du buis, tigre du platane). Les larves vont très prochainement se remettre en activité et s'alimenter (voir paragraphe pyrale du buis, processionnaire du pin). s.bourda@fredon-aquitaine.org Directeur de publication : Dominique Graciet, Président de la Chambre régionale d'agriculture d'aquitaine Cité mondiale 6, Parvis des Chartrons Bordeaux cedex Tél Fax Supervision : DRAAF / Service Régional de l'alimentation Aquitaine 51, rue Kièser Bordeaux cedex Tél gouv.fr/ 1/9

2 Maladies Cylindrocladiose des buis Cylindrocladium buxicola Le champignon se conserve sous forme de spores résistantes aux conditions qui lui sont défavorables, en attendant le printemps, durant lequel elles lui seront meilleures (température optimale pour sa croissance de 25 C, et présence d'un film d'eau à la surface des feuilles et des rameaux). Symptômes : présence de tâches rouges concentriques sur les feuilles et de tirets noirs sur les rameaux. Les buis fortement atteints présentent des zones sévèrement défoliées. Analyse de risque : le radoucissement des températures et les pluies récentes vont permettre une reprise de l'activité du champignon. Surveillez l'apparition d'éventuels symptômes. Prévention : pas de taille trop sévère des buis au printemps, le stress subi altère leur capacité à résister aux premières chaleurs printanières et amoindrit leur aptitude naturelle à survivre à la maladie. La désinfection des outils de taille et de plantation ne doit pas être négligée, car ils peuvent être vecteurs de la maladie. Préférez l'arrosage au pied à l'arrosage du feuillage. Ramassez les déchets de taille autant que possible. 2/9

3 Symptômes de Cylindrocladium b. sur rameau (gauche) et sur feuilles (droite) (C. Rapaport) Oïdiums La maladie se conserve en hiver sous la forme de fructifications automnales (périthèces) dans les feuilles tombées au sol. Au printemps, les fructifications s'ouvrent et libèrent leurs spores, transportées par le vent jusqu'aux végétaux. Les spores germent et donnent naissance à un mycélium (de nombreuses espèces d oïdium ne donnent pas naissance à des périthèces à l'automne). Le champignon passe alors la mauvaise saison sous la forme de mycélium dormant entre les écailles des bourgeons. Au printemps, le mycélium reprend naturellement sa croissance en s'étendant sous la forme d'un feutrage blanc gris sale ou roux sur les pousses et les inflorescences issues des bourgeons contaminés. L'alimentation est réalisée par des suçoirs qui pénètrent à l'intérieur des cellules végétales pour y puiser diverses substances (eau, sucres, ). Les oïdiums sont favorisés par les périodes humides et douces qui se prolongent et les périodes où alternent brouillards matinaux (rosées) et journées ensoleillées avec température clémente (10 C< T C <20 C). La fumure azotée et l'arrosage, en permettant un regain de végétation, favorisent les attaques d'oïdium. Quelques cas d'oïdium perforant sur laurier-palme ont été observés en Dordogne. Analyse de risque : outre les dommages esthétiques, les dégâts causés par cette maladie correspondent à une perturbation de la photosynthèse (le mycélium empêche les feuilles de recevoir la lumière) et à un affaiblissement du végétal car le champignon détourne à son profit les substances produites par la plante. Mesures prophylactiques : éliminer les pousses atteintes. Oïdium sur fusain (C.Rapaport) Anthracnose du platane Apiognomonia veneta Une fiche sur la maladie est consultable sur ce lien : 3/9

4 Rappel du cycle de l'anthracnose du platane Apiognomonia veneta se développe sur le limbe foliaire, causant de larges nécroses noirâtres le long des nervures principales. Ces nécroses peuvent s'étendre aux pétioles, provoquant fréquemment la chute prématurées des feuilles. Le champignon responsable de l'anthracnose hiverne non seulement dans les petites nécroses corticales mais aussi sur les feuilles tombées au sol. Au printemps, apparaissent des fructifications sexuées dans la litière et des fructifications asexuées sur les nécroses, qui libèrent quantité de spores qui sont disséminées par le vent. Le champignon germe sur les nouvelles feuilles si l'humidité est suffisante et la température relativement fraîche. Ensuite, il ne tarde pas à sporuler sur les feuilles nouvellement écloses qui sont particulièrement sensibles. Si le printemps est très humide, l'infection se propage, conduisant parfois à des chutes importantes de feuilles. Dès que les conditions climatiques redeviennent sèches, la maladie cesse d'évoluer et le platane reforme de nouvelles feuilles. Analyse de risque : l'humidité et surtout la température conditionnent grandement la gravité de la maladie ; c'est essentiellement au cours des printemps humides et froids que se développe l'anthracnose. Importance de la maladie par rapport aux températures moyennes journalières pendant les deux semaines suivant le début de l'émergence des feuilles (d'après Dan Neely et E.B.Himelick) : Température moyenne journalière Importance de la maladie <12 C grave 12 C<T moy<14 C moyenne 14 C<T moy<15 C faible T moy>15 C négligeable à nulle Si les températures journalières n'évoluent pas et que les pluies continuent à être abondantes, l'activité du champignon va redémarrer et engendrer des dégâts sur les arbres atteints. Mesures prophylactiques : tailler et éliminer les rameaux desséchés porteurs de chancres. Des tailles relativement légères et pratiquées régulièrement (tous les 3 ans) sur les rameaux chancrés inférieurs à quelques centimètres de diamètre, permettent de réduire substantiellement les infestations et de redonner une nouvelle jeunesse à des plantations très atteintes. Ramasser systématiquement les feuilles mortes. 4/9

5 Ravageurs Processionnaire du pin Thaumetopoea pityocampa Juin Développement processionnaire Juillet vol papillon et ponte Périodes à risques pour les peuplements forestiers Août Septembre Octobre Novembre Décembre Janvier chenille stade L1 à L2 Février Mars Avril Mai procession Diapause d'enfouisphase sement souterraine chenille stade L3 à L5 Juin Juillet Août vol papillon et ponte Les défoliations commencent dès l'emergence des chenilles et augmentent avec la croissance des chenilles Périodes à risques pour l'homme et les animaux Dès son stade L3 la chenille devient urticante piègeage à phéromone pour papillons risque le plus élevé processions enlèvement des nids dans les arbres - échenillage Luttes alternatives éco piège (capture sur tronc) confusion sexuelle Lutte chimique Lutte biologique Les poils restent urticants pendant 2 ans Traitement aérien et depuis le sol - insecticides à base de diflubenzuron Traitement aériens et depuis le sol insecticides à base de diflubenzuron Traitement aérien et depuis le sol - insecticides à base de Bacillus Thuringiensis Rappel du cycle biologique de la processionnaire du pin et lutte (E.Kersaudy, DRAAF Aquitaine- SRAL- PSF) Selon les secteurs, les chenilles sont : soit dans leur nid au sommet des arbres. Durant cette phase, elles s'alimentent des aiguilles au détriment de l'arbre-hôte. soit elles ont débuté la phase de processions. Certaines ont déjà été observées en fin d'année 2014 et en début de celle-ci (notamment dans les secteurs côtiers de Gironde, Landes et Pyrénées Atlantiques). Nid soyeux hivernal hébergeant les chenilles processionnaires (C. Rapaport) Analyse de risque : pour les conifères : les chenilles présentes dans les nids, se nourrissent d'aiguilles. Des dégâts foliaires importants sont localement observés. Ils seront prochainement compensés par une repousse et les arbres reprendront un aspect esthétique satisfaisant. pour le public et les animaux : les processions (descente le long du tronc pour aller rejoindre leur lieu d'enfouissement) ont déjà débuté et vont se généraliser avec l'augmentation prochaine des températures (T>18 C au soleil). Le risque d'exposition des chenilles au public sera alors direct. Ces dernières possèdent des soies très urticantes contenant la toxine responsable des réactions allergiques. Il faut particulièrement protéger le peau et les muqueuses (yeux, bouche) : ne jamais manipuler un nid de chenilles (même vide), et ne jamais toucher les chenilles elles-mêmes. Vers la fin du mois de mars, la majorité des chenilles sera enfouie dans le sol. 5/9

6 Procession des chenilles (gauche : C. Rapaport ; droite : photo INRA) Il existe différents moyens de lutte alternative visant à contrôler les populations de chenilles et de minimiser leur capacité de nuisance. Le tableau ci-après présente ces méthodes. Types de lutte Méthodes Descriptif Période Mécanique Prélèvement pour destruction - Éliminer les pontes - Retirer les nids - Élagage - Avant éclosion - En hiver - Avant pic de fréquentation du site concerné Piégeage des papillons Pièges à phéromones sexuelles Avant le début du vol et durant toute sa durée En été Microbiologique Bacillus thuringiensis var. Kurstaki (BtK) Spécialités commerciales disposanty d'une autorisation de Mise en Marché (AMM) En présence de chenilles stades L1 à L4 Biologique Pose de nichoirs à mésanges Piégeage des chenilles Pièges avec cerclage de tronc (Ecopiège ) 1 arbre avec nids Sylvicole Gestion des espèces végétales en présence Plantation de feuillus pour «biodiversifier» et protéger les bordures A laisser en place (nettoyage Début d'automne (pose la annuel à l'automne) 1ère année) Pose avant le début de la procession Tigre du platane Corythuca ciliata Rappel du cycle du Tigre du platane 6/9

7 Les tigres adultes sont actuellement dans leur stade hivernant, sous les écorces détachables des platanes. Le dénombrement des individus permet d'estimer le niveau de population par prélèvement de plaques d'écorces, à raison de 1 dm2 par arbre et comptage des tigres présents à la fois sur le fragment d'écorce détaché et sur la zone découverte du tronc. La comparaison du comptage avec la valeur seuil définie permet d'estimer le risque pour les platanes. Un comptage des adultes cachés sous les plaques de rhytidomes sera effectué durant le mois de mars, afin d'évaluer les populations de tigres hivernantes (comptage sur 5 arbres : pour chaque arbre prélever 10 cm 2 de rhytidomes et compter le nombre de tigres présents à la fois sur le tronc et sur le morceau d écorce retiré). La valeur seuil de nuisibilité est fixée à 70 tigres/dm2. En deçà de ce seuil, le risque d infestation est faible. Une diminution de la présence des tigres par rapport à l'année passée, est déjà observée dans le Lot-et-Garonne (moins présents au niveau des écorces). Bio-contrôle : un programme de lutte biologique au moyen d'un nématode (Steneirnema sp.) et d'un chrysope (Chrysoperla lucasina) permet de maintenir le ravageur à un niveau acceptable. Tigres adultes (taille : 3-4 mm) logés sous l'écorce de platane, Parc Bordelais (S.Bourda) Pyrale du buis Cydalima perspectalis Rappel du cycle de la Pyrale du buis 7/9

8 Actuellement, les pyrales sont encore dans leur logette hivernale, sous forme de chenilles (stade hivernant). Ces chenilles reprennent leur activité alimentaire en mars. Elles se trouvent au cœur des buis. Elles attaquent alors les feuilles et les rameaux, ce qui cause des zones de défoliation sur les buis atteints. Chenilles hivernantes de Pyrale du buis (S.Bourda) Observation des symptômes à partir de mars : déjections au pied des buis (petits amas vert foncé), décapage des feuilles (plus ou moins sévère) ; dépend de la voracité des chenilles. Prophylaxie : si l'infestation est détectée de façon précoce, les rameaux et les feuilles attaqués peuvent être coupés et broyés finement ou incinérés en conteneur fermé (le compostage tel quel est à proscrire). Dans le cas d'une forte infestation, l'arrachage des sujets en intégralité permet de limiter la propagation du ravageur. Bio-contrôle : les papillons (forme adulte) émergeront vers le mois de juin. Ils pourront faire l'objet d'un piégeage à l'aide de phéromones spécifiques, qui attireront les sujets mâles. Ce piégeage ne permettra pas de diminuer les populations de pyrales mais de surveiller leur dynamique pour pouvoir ensuite mettre en place et adapter les programmes de contrôle du ravageur. Analyse de risque : la période de reprise de l'activité des chenilles est proche, ce qui engendrera des dégâts esthétiques sur les buis. Surveiller l'apparition des premiers symptômes afin de détecter le plus tôt possible les attaques et ainsi de mettre en place des actions visant à limiter la propagation du ravageur. Opérations d'entretien des arbres et arbustes A l'occasion des interventions sur vos arbres, une observation attentive permet de diagnostiquer leur état sanitaire. La recherche puis la détection de parties malades/atteintes sont alors suivies de la suppression de celles-ci afin de réduire le risque sanitaire pour la prochaine période de végétation. Vis-à-vis des insectes xylophages : repérer les écoulements de sève, les trous de pénétration ou les dépôts de sciure. Si les parties atteintes sont trop nombreuses ou si les souches elles-mêmes sont infestées, leur destruction permet d'éviter tout risque de chute. S'adresser dans ce cas aux professionnels du diagnostic des propriétés mécaniques des arbres dans le cas de forte attaque de capricorne du chêne. Ces professionnels vous assureront de la mise en sécurité du site. Vis-à-vis des cochenilles : le brossage des écorces permet d'éliminer les encroûtements (formes hivernantes). Évitez de planter des essences sensibles aux cochenilles dans des zones très sèches. Vis-à-vis des acariens : au moyen d'une loupe compte-fil, l'estimation des populations autour des bourgeons avant le débourrement permet de définir le risque d'attaque à venir. L'absence de formes hivernantes élimine le risque. Champignons lignivores : certains sont visibles grâce à leur fructification (carpophore) sous la forme d'un chapeau collé au tronc (comme l'amadouvier ou Fomès Heterobasidion annosum, qui provoque la mort de certains arbres, surtout sur sapins et pins). Un arbre atteint peut être condamné à plus ou moins long terme. Le risque de chute des branches voire de l'arbre est engagé. Il convient d'agir préventivement en abattant l'arbre atteint avant que le vent ne provoque sa chute. Les chancres : il s'agit d'ulcération des tissus sous l'effet de champignons ou de bactéries. Évitez de planter en station humide des végétaux non adaptés pour éliminer le risque de développer des maladies chancreuses. Effectuez la taille des végétaux en période sèche afin d'éviter toute dissémination des spores. Les chancres peuvent être assainis mécaniquement au moyen d'un grattoir en retirant largement toute la partie malade. Ensuite, un mastic cicatrisant d'origine naturelle peut être appliqué après désinfection de la plaie. 8/9

9 Rappel des bonnes pratiques : la désinfection des outils de taille permet d'éviter la propagation des maladies d'un végétal à l'autre, notamment par exemple pour le chancre coloré du platane. Commencez par tailler les végétaux sains. Retirez du site la litière de feuilles/débris végétaux malades ou porteurs de formes hivernantes des ravageurs ou des formes de conservation des champignons. Éliminez ensuite ces déchets verts contaminés (brûlage dans un incinérateur de jardin). Évitez de les composter, sauf si la température peut être maîtrisée (sous bâche épaisse T C>60 ). Pensez à préserver des habitats pour la faune auxiliaire et à proscrire toute intervention chimique polyvalente au jardin. Ce qu il faut retenir Maladies Cylindrocladiose du buis : avec la remontée des températures et la présence d'eau, la reprise d'activité du champignon est possible sur les sites infestés en Pas de tailles trop sévères. Anthracnose du platane : fort risque de reprise de l'activité du champignon si les températures n'évoluent pas (T C<12 C) et que l'humidité persiste. Ravageurs Processionnaire du pin : risque élevé d'urtications en présence de nids dans les sites fréquentés. La procession est proche pour la grande majorité des effectifs de chenilles. Tigre du platane : estimez les populations hivernantes sur les troncs et comparer à la valeur seuil. Bio-contrôle envisagé en situation de risque élevé vis-à-vis de l'exposition du public. Pyrale du buis : surveillez les buis et la reprise de l'activité des chenilles logées dans le feuillage. Les structures partenaires dans la réalisation des observations nécessaires à l'élaboration du Bulletin de santé du végétal d'aquitaine Zones non agricoles sont les collectivités d'aquitaine, des particuliers qui font ponctuellement des signalements, le Pôle santé des forêts (SRAL), les entreprises PM Paysages, 5D24, Patrick Loubon Paysagiste, Entomoremedium et le laboratoire départemental d'analyse du Conseil général de la Gironde (LDA). Ce bulletin est produit à partir d'observations ponctuelles. S'il donne une tendance de la situation sanitaire régionale, celle-ci ne peut-être transposée telle quelle à la parcelle. La Chambre régionale d'agriculture d'aquitaine dégage donc toute responsabilité quant aux décisions prises par les agriculteurs pour la protection de leurs cultures et les invite à prendre ces décisions sur la base des observations qu'ils auront réalisées sur leurs parcelles et/ou en s'appuyant sur les préconisations issues de bulletins techniques (la traçabilité des observations est nécessaire). " Action pilotée par le Ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de l'eau et des milieux aquatiques, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto ". 9/9

Ce qu'il faut retenir

Ce qu'il faut retenir N 10 5 juin 2015 Ce qu'il faut retenir Balanin : des balanins sont présents en verger et d'après les dissections de femelles et de mâles, les accouplements devraient commencer dans les prochains jours.

Plus en détail

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014 BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du

Plus en détail

Grandes cultures n 15 du 10 mars 2015

Grandes cultures n 15 du 10 mars 2015 1 A retenir cette semaine - Très nette accélération des stades phénologiques. - 81% des cuvettes piègent des charançons de la tige du colza cette semaine. Le risque va s amplifier en fin de semaine avec

Plus en détail

Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis

Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Asian longhorned beetle (ALB) Longicorne asiatique Photo LNPV DRAAF - SRAL ALSACE Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail

Ce qu'il faut retenir

Ce qu'il faut retenir N 26 7 Août 2015 Ce qu'il faut retenir Prairie Quelques chenilles présentes. Soja ANIMATEURS FILIERE Céréales à paille DESIRE Sylvie / FDGDON 64 s.desire@pa.chambagri.fr Suppléance : ARVALIS a.carrera@arvalisinstitutduvegetal.fr

Plus en détail

Conditions climatiques

Conditions climatiques Bulletin N 6 du 12 juin 2015 INFORMATIONS Evolution moyenne des ravageurs et de leurs auxiliaires qui n ont jamais été aussi présents et limitent efficacement les populations comme en ce qui concerne les

Plus en détail

PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE

PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE DIRECTION REGIONALE DE L ALIMENTATION DE L AGRICULTURE & DE LA FORET Service Régional de la Forêt & du Bois Arrêté du 13 août 2009 conditions de financement par des aides

Plus en détail

BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté

BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté Bulletin N 11-24 juillet 2015 INSCRIPTIONS Si vous ne recevez pas le BSV Légumes chaque semaine, vous pouvez vous inscrire aux listes diffusion de votre choix

Plus en détail

Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 31 du 27/08/2013

Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 31 du 27/08/2013 Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 31 du 27/08/2013 A retenir Maïs Fin du vol de pyrale, les premières larves sont visibles dans les tiges, l Héliothis est toujours présent. Betteraves sucrières

Plus en détail

Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 30 du 20/08/2013

Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 30 du 20/08/2013 Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 30 du 20/08/2013 A retenir Maïs Fin du vol de pyrale, mais les premières larves sont visibles dans les tiges, peu d Héliothis cette semaine. Betteraves sucrières

Plus en détail

Permet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles

Permet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de

Plus en détail

Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND

Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS COMMISSION D'ÉTUDES DES ENNEMIS DES ARBRES, DES BOIS ABATTUS ET DES BOIS MIS EN ŒUVRE Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND On appelle «maladie du

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :

Plus en détail

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification

Plus en détail

ne définition de l arbre.

ne définition de l arbre. LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement

Plus en détail

Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013

Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance

Plus en détail

Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs

Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs Lesauxiliaires auxiliaires Les enarboriculture arboriculture en Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs Insectes pollinisateurs : respecter les

Plus en détail

Le compost. Un petit écosystème au jardin

Le compost. Un petit écosystème au jardin Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème

Plus en détail

Surveillance Biologique du Territoire

Surveillance Biologique du Territoire Surveillance Biologique du Territoire Gaillac Bilan de campagne 2014 3 novembre 2014 Title:BSV.eps Title:ecophyto.eps Creator:Adobe Illustrator(R) 15.1 Creator:Adobe Illustrator(R) 15.1 CreationDate:15/10/12

Plus en détail

Formulaire d'adhésion PEFC

Formulaire d'adhésion PEFC Formulaire d'adhésion PEFC Acte d'engagement du propriétaire dans la démarche de certification par portage proposée par la Coopérative Provence Forêt I Présentation La certification PEFC doit permettre

Plus en détail

BULLETIN DE SANTE DU VEGETAL

BULLETIN DE SANTE DU VEGETAL BULLETIN DE SANTE DU VEGETAL MIDI-PYRENEES Grandes Cultures - n 36 09 juillet 2015 Sésamie : Pic de vol de deuxième génération prévu du 18 au 25 juillet des secteurs les plus chauds aux plus froids de

Plus en détail

BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL PAYS DE LA LOIRE >>> MARAICHAGE

BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL PAYS DE LA LOIRE >>> MARAICHAGE BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL 2 AOÛT 2012 Retrouvez le Bulletin de santé du végétal sur le Web! www.draaf.pays-de-la-loire.agriculture.gouv.fr www.agrilianet.com - www.fredonpdl.fr Les maladies du feuillage

Plus en détail

Bulletin de santé du végétal

Bulletin de santé du végétal Tous fr uitiers Le réseau d épidémio-surveillance en arboriculture (pomme, poire, cerise, prune) pour la région Centre comprend actuellement 44 parcelles tous piégeages confondus. Le réseau «carpocapse

Plus en détail

Etat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve.

Etat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve. Etat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve. Cette année 2006-2007 les élèves de 6 ème Mauve bénéficient de la classe à PAC sur le

Plus en détail

Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte

Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Daniel Cormier, Ph. D. Institut de recherche et de développement d en agroenvironnement inc.. (IRDA), Québec, Canada Pourquoi

Plus en détail

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis

Plus en détail

Informations techniques sur la culture de l ananas

Informations techniques sur la culture de l ananas Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant

Plus en détail

Ver de la grappe: cochylis

Ver de la grappe: cochylis Fiche: 050 Ver de la grappe: cochylis (Eupoecilia ambiguella Hb.) Auteurs: P.-J. Charmillot, D. Pasquier, U. Remund et E. Boller Aire de répartition La cochylis de la vigne est une tordeuse dont l'aire

Plus en détail

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

2. Les auxiliaires de culture

2. Les auxiliaires de culture III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs

Plus en détail

Nourrir les oiseaux en hiver

Nourrir les oiseaux en hiver les oiseaux en hiv Nourrir les oiseaux en hiver Sommaire : Pourquoi les nourrir...page 1 Comment les nourrir...page1 Quels ravitaillement pour quel oiseaux?...page2 Recette «pain de graisse»...page 3 Les

Plus en détail

PREFECTURE DE LA LOZERE

PREFECTURE DE LA LOZERE SOUS-PREFECTURE DE FLORAC POLE DE DEFENSE DES FORETS CONTRE L INCENDIE PREFECTURE DE LA LOZERE Arrêté préfectoral n 2015071-0002 - du 12 mars 2015 relatif à la prévention des incendies de forêts dans les

Plus en détail

Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne

Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du

Plus en détail

La reconnaissez- vous?

La reconnaissez- vous? La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès

Plus en détail

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

Plus en détail

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi

Plus en détail

Débroussailler autour de sa maison : «une obligation»

Débroussailler autour de sa maison : «une obligation» Guide du débroussaillement règlementaire aux abords des constructions dans le département de Vaucluse Débroussailler autour de sa maison : «une obligation» 2 ème édition Le débroussaillement vous protège,

Plus en détail

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Rencontre du groupe RAP Maïs sucré, 3 avril 2013 Jean-Philippe Légaré, M. Sc., biologiste-entomologiste, Laboratoire de diagnostic en

Plus en détail

les cinq étapes pour calculer les jours d avance

les cinq étapes pour calculer les jours d avance À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule

Plus en détail

Bref rappel du contexte et des objectifs

Bref rappel du contexte et des objectifs NOTICE POUR LA MISE EN PLACE ET LA SAISIE DES DONNEES DU PROTOCOLE DE SUIVI DENDROMETRIQUE DES RESERVES FORESTIERES Bref rappel du contexte et des objectifs La survie de plus de 20% des espèces forestières

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN

Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN GIP Ecofor Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN P. Riou-Nivert (IDF) avec J.-C. Hervé (Engref/IFN), B. Piton (Engref), T. Belouard, J.-P. Renaud, C. Cluzeau, A. Colin

Plus en détail

FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE

FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE INTRODUCTION La nature est incroyablement diversifiée. Elle regroupe la Terre avec ses zones aquatiques telles que les

Plus en détail

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9

Plus en détail

Les potagers Neerstalle

Les potagers Neerstalle Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environnement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service

Plus en détail

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et

Plus en détail

Ventilation : Mesure et réglage des débits

Ventilation : Mesure et réglage des débits Ventilation : Mesure et réglage des débits Samuel Caillou Division Climat, Equipements et Performance Energétique CSTC - Pourquoi régler les débits? Pour avoir le bon débit au bon endroit Qualité d air

Plus en détail

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu

Plus en détail

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche

Plus en détail

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193

Plus en détail

Precor MD EC. CONCENTRÉ ÉMULSIFIABLE Empêche l'émergence des puces adultes à l intérieur des bâtiments

Precor MD EC. CONCENTRÉ ÉMULSIFIABLE Empêche l'émergence des puces adultes à l intérieur des bâtiments 2013-06-24 2012-4592 Carton October 2008 Precor MD EC CONCENTRÉ ÉMULSIFIABLE Empêche l'émergence des puces adultes à l intérieur des bâtiments COMMERCIAL AVERTISSEMENT: IRRITANT POUR LES YEUX ET LA PEAU

Plus en détail

Bien choisir sa variété de maïs ensilage

Bien choisir sa variété de maïs ensilage Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention

Plus en détail

Stratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre

Stratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre Stratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre Rapport de recherche No. 217-T Présenté au : Par : M. Bruno Bélanger, agr. M.Sc. Institut de recherche et de développement

Plus en détail

EN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés...

EN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... 2 Contenus... 3 niveaux, disciplines, compétences... 3 notions... 4 Vocabulaire... 4 découpage du film... 5 Suggestions

Plus en détail

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) 105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site

Plus en détail

Bijsluiter FR versie Collier Propoxur Halsband B. NOTICE 1/5

Bijsluiter FR versie Collier Propoxur Halsband B. NOTICE 1/5 B. NOTICE 1/5 NOTICE COLLIER PROPOXUR HALSBAND pour chiens de petite taille et chats COLLIER PROPOXUR HALSBAND pour chiens de grande et moyenne taille 1. NOM ET ADRESSE DU TITULAIRE DE L AUTORISATION DE

Plus en détail

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps

Plus en détail

Classe verte à Hollenfels

Classe verte à Hollenfels Classe verte à Hollenfels Du lundi 10 mai au mercredi 12 mai 2010 C.E.1 de Madame Lanneluc SOMMAIRE 1. Personnel d encadrement 2. Transport 3. Hébergement 4. Projet pédagogique 5. Budget 6. Annexes : -

Plus en détail

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille

Plus en détail

Rapport de stage. «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain»

Rapport de stage. «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain» GRAPE-CEEP Rapport de stage «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain» Vallette Jean-Vincent Master II Gestion des Ressources Naturelles

Plus en détail

AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014

AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 ETUDE DES METHODES DE LUTTES CONTRE LE VER BLANC DES CEREALES (GEOTROGUS DESERTICOLA BLANCH.) DANS

Plus en détail

Auxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels

Auxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Auxiliaires Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Mouches Blanches L un des ravageurs les plus communs dans de nombreuses cultures. Lors d une forte attaque, la mouche blanche peut s avérer

Plus en détail

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les

L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste

Plus en détail

FORMATION PATHOLOGIES BIOLOGIQUES DU BOIS DANS LA CONSTRUCTION. Connaître le bois et ses technologies. Identifier les agents de dégradation du bois

FORMATION PATHOLOGIES BIOLOGIQUES DU BOIS DANS LA CONSTRUCTION. Connaître le bois et ses technologies. Identifier les agents de dégradation du bois Alain LEMAIGRE Expert Bois Consultant Expertise construction bois Expertise préservation et attaques biologiques SEB Membre de la Société des Experts Bois (Wood Experts Society EU) FORMATION PATHOLOGIES

Plus en détail

Le rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs

Le rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs Le rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs A LES INSECTES UTILES : LES POLLINISATEURS Ce sont essentiellement les insectes de l ordre des Hyménoptères

Plus en détail

Problématiques et solutions de la saison 2010: insectes et acariens

Problématiques et solutions de la saison 2010: insectes et acariens Problématiques et solutions de la saison 2010: insectes et acariens Par : JONATHAN ROY, agronome Conseiller en agriculture biologique MAPAQ - Chaudière re-appalaches Journée e d information d «Serres modiques

Plus en détail

Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle

Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Par Jean-Paul Soucy, agr. Les acariens nuisibles en serre Tétranyque à deux points Tétranyque de Lewis Acariens des bulbes Mite du cyclamen/tarsonème du

Plus en détail

M. PATROUIX Robert M. TRYMBULAK Michael. M. RIGOLI Alain Les copropriétaires.

M. PATROUIX Robert M. TRYMBULAK Michael. M. RIGOLI Alain Les copropriétaires. Sigean le, mercredi 2 novembre 2012 Note Rédaction Jean Claude GOUZÈNE M. FIAMAZZO Bruno, Président du conseil syndical À Copie M. PATROUIX Robert M. TRYMBULAK Michael M. RIGOLI Alain Les copropriétaires.

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail

Influence du changement. agronomiques de la vigne

Influence du changement. agronomiques de la vigne Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

LCBC CABC O. HERMANN. Institut Royal Belge pour l'amérlioration de la Betterave (IRBAB/KBIVB) Tienen (Tirlemont), Belgique

LCBC CABC O. HERMANN. Institut Royal Belge pour l'amérlioration de la Betterave (IRBAB/KBIVB) Tienen (Tirlemont), Belgique LCBC CABC Reconnaître les maladies foliaires de la betterave au champ O. HERMANN Institut Royal Belge pour l'amérlioration de la Betterave (IRBAB/KBIVB) Tienen (Tirlemont), Belgique Publication réalisée

Plus en détail

ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE

ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE 1. Les investissements doivent contribuer à et être compatibles avec la réalisation progressive du droit à une alimentation suffisante et nutritive

Plus en détail

Description du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle.

Description du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. Description du système Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. La vitesse de la pompe varie de façon à ce que la température de l eau qui reparte vers le poêle soit toujours de 60 C. Le débit

Plus en détail

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.

Plus en détail

Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire

Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire 1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,

Plus en détail

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la

Plus en détail

ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84

ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS L exemple de l agence 13/84 Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 Présentation Rappel de l engagement ISO 14001 de l ONF Quelques généralités sur la gestion

Plus en détail

Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux

Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu

Plus en détail

PREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015

PREVENTION ASV. Partie réalisée par Aurélys ANTOINE. Le 09/05/2015 PREVENTION ASV Partie réalisée par Le 09/05/2015 Atelier n 2 : Parasites et intoxication Principaux parasites de l été: - Les puces : c est quoi? - Les tiques : c est quoi? - Les aoutats : c est quoi?

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

Activités Bureau des Guides

Activités Bureau des Guides Activités Bureau des Guides au départ du CENTRE DE DEPAYSEMENT ET DE PLEIN AIR DE MARBEHAN 1 Table des Matières Introduction I. Faune II. Habitats III. Wildcraft & Orientation IV. Coin des Artistes V.

Plus en détail

Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre

Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1b Wasmannia auropunctata Taille relative et diversité morphologique (Reine et ouvrière) Figure 2 Wasmannia auropunctata (mâle

Plus en détail

DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE

DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE 2 ÉDITO C R C - M C Daniel BEGUIN Jean-Marie HARAUX Jean-Pierre RENAUD Henri PLAUCHE GILLON 3 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 PARTIE 1 : DESCRIPTION DE L ESPÈCE

Plus en détail

- Tente de réception louée complète (structure, bâches de toit et cotés, piquets)

- Tente de réception louée complète (structure, bâches de toit et cotés, piquets) Location tente de réception 5x10 état neuf gris clair et blanc La tente de réception est conçue pour une utilisation lors des fêtes et autres événements est, en tant que tels, uniquement destiné à un montage

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie

Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE. Méligèthe du colza. Comment le reconnaître? Numéro de commande 1484, Édition pour la Suisse, 2014. Dernière actualisation 02.06.

FICHE TECHNIQUE. Méligèthe du colza. Comment le reconnaître? Numéro de commande 1484, Édition pour la Suisse, 2014. Dernière actualisation 02.06. FICHE TECHNIQUE Méligèthe du colza Introduction L huile de colza bio est recherchée, mais la culture de colza bio est très exigeante. En particulier, le méligèthe du colza peut provoquer de fortes pertes

Plus en détail

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la

Plus en détail

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT: Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les panneaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,

Plus en détail

Le printemps et l été du compost

Le printemps et l été du compost Le printemps et l été du compost Le printemps du compost 1 A la sortie de l hiver, le compost est souvent trop tassé et/ou trop humide. Il faut, avant les nouveaux apports, penser à bien l aérer en faisant

Plus en détail

Bancs publics. Problématiques traitées : FICHE

Bancs publics. Problématiques traitées : FICHE Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son

Plus en détail

HACCP et sécurité sanitaire des aliments

HACCP et sécurité sanitaire des aliments HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail