Zones Non Agricoles. Conditions climatiques. N 1 6 mars 2015
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- Jean-Pascal Chrétien
- il y a 7 ans
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1 N 1 6 mars 2015 Les acteurs de la filière réalisent des observations pour la réalisation des BSV. Toutefois, afin de compléter nos informations, n'hésitez pas à nous contacter pour nous signaler tout développement d'une maladie ou d'un ravageur. Si vous le souhaitez, vous pouvez rejoindre le réseau de surveillance du territoire. En effet, des observations de terrain et des données régulières sont nécessaires pour l'élaboration d'un BSV pertinent. Contact : FREDON Aquitaine, Nathalie Daste , n.daste@fredon-aquitaine.org Zones Non Agricoles Conditions climatiques ANIMATEUR FILIERE BOURDA Séverine FREDON Aquitaine Les températures de la saison, plutôt douces, ont permis le début du développement des bourgeons de divers feuillus (peupliers, chênes, platanes) et arbustes. La remontée des températures moyennes journalières et la disponibilité en eau des végétaux (pluies récentes) sont des conditions favorables à la reprise de l'activité végétative. La sortie de diapause de différents insectes et les éclosions larvaires ont également lieu (pyrale du buis, tigre du platane). Les larves vont très prochainement se remettre en activité et s'alimenter (voir paragraphe pyrale du buis, processionnaire du pin). s.bourda@fredon-aquitaine.org Directeur de publication : Dominique Graciet, Président de la Chambre régionale d'agriculture d'aquitaine Cité mondiale 6, Parvis des Chartrons Bordeaux cedex Tél Fax Supervision : DRAAF / Service Régional de l'alimentation Aquitaine 51, rue Kièser Bordeaux cedex Tél gouv.fr/ 1/9
2 Maladies Cylindrocladiose des buis Cylindrocladium buxicola Le champignon se conserve sous forme de spores résistantes aux conditions qui lui sont défavorables, en attendant le printemps, durant lequel elles lui seront meilleures (température optimale pour sa croissance de 25 C, et présence d'un film d'eau à la surface des feuilles et des rameaux). Symptômes : présence de tâches rouges concentriques sur les feuilles et de tirets noirs sur les rameaux. Les buis fortement atteints présentent des zones sévèrement défoliées. Analyse de risque : le radoucissement des températures et les pluies récentes vont permettre une reprise de l'activité du champignon. Surveillez l'apparition d'éventuels symptômes. Prévention : pas de taille trop sévère des buis au printemps, le stress subi altère leur capacité à résister aux premières chaleurs printanières et amoindrit leur aptitude naturelle à survivre à la maladie. La désinfection des outils de taille et de plantation ne doit pas être négligée, car ils peuvent être vecteurs de la maladie. Préférez l'arrosage au pied à l'arrosage du feuillage. Ramassez les déchets de taille autant que possible. 2/9
3 Symptômes de Cylindrocladium b. sur rameau (gauche) et sur feuilles (droite) (C. Rapaport) Oïdiums La maladie se conserve en hiver sous la forme de fructifications automnales (périthèces) dans les feuilles tombées au sol. Au printemps, les fructifications s'ouvrent et libèrent leurs spores, transportées par le vent jusqu'aux végétaux. Les spores germent et donnent naissance à un mycélium (de nombreuses espèces d oïdium ne donnent pas naissance à des périthèces à l'automne). Le champignon passe alors la mauvaise saison sous la forme de mycélium dormant entre les écailles des bourgeons. Au printemps, le mycélium reprend naturellement sa croissance en s'étendant sous la forme d'un feutrage blanc gris sale ou roux sur les pousses et les inflorescences issues des bourgeons contaminés. L'alimentation est réalisée par des suçoirs qui pénètrent à l'intérieur des cellules végétales pour y puiser diverses substances (eau, sucres, ). Les oïdiums sont favorisés par les périodes humides et douces qui se prolongent et les périodes où alternent brouillards matinaux (rosées) et journées ensoleillées avec température clémente (10 C< T C <20 C). La fumure azotée et l'arrosage, en permettant un regain de végétation, favorisent les attaques d'oïdium. Quelques cas d'oïdium perforant sur laurier-palme ont été observés en Dordogne. Analyse de risque : outre les dommages esthétiques, les dégâts causés par cette maladie correspondent à une perturbation de la photosynthèse (le mycélium empêche les feuilles de recevoir la lumière) et à un affaiblissement du végétal car le champignon détourne à son profit les substances produites par la plante. Mesures prophylactiques : éliminer les pousses atteintes. Oïdium sur fusain (C.Rapaport) Anthracnose du platane Apiognomonia veneta Une fiche sur la maladie est consultable sur ce lien : 3/9
4 Rappel du cycle de l'anthracnose du platane Apiognomonia veneta se développe sur le limbe foliaire, causant de larges nécroses noirâtres le long des nervures principales. Ces nécroses peuvent s'étendre aux pétioles, provoquant fréquemment la chute prématurées des feuilles. Le champignon responsable de l'anthracnose hiverne non seulement dans les petites nécroses corticales mais aussi sur les feuilles tombées au sol. Au printemps, apparaissent des fructifications sexuées dans la litière et des fructifications asexuées sur les nécroses, qui libèrent quantité de spores qui sont disséminées par le vent. Le champignon germe sur les nouvelles feuilles si l'humidité est suffisante et la température relativement fraîche. Ensuite, il ne tarde pas à sporuler sur les feuilles nouvellement écloses qui sont particulièrement sensibles. Si le printemps est très humide, l'infection se propage, conduisant parfois à des chutes importantes de feuilles. Dès que les conditions climatiques redeviennent sèches, la maladie cesse d'évoluer et le platane reforme de nouvelles feuilles. Analyse de risque : l'humidité et surtout la température conditionnent grandement la gravité de la maladie ; c'est essentiellement au cours des printemps humides et froids que se développe l'anthracnose. Importance de la maladie par rapport aux températures moyennes journalières pendant les deux semaines suivant le début de l'émergence des feuilles (d'après Dan Neely et E.B.Himelick) : Température moyenne journalière Importance de la maladie <12 C grave 12 C<T moy<14 C moyenne 14 C<T moy<15 C faible T moy>15 C négligeable à nulle Si les températures journalières n'évoluent pas et que les pluies continuent à être abondantes, l'activité du champignon va redémarrer et engendrer des dégâts sur les arbres atteints. Mesures prophylactiques : tailler et éliminer les rameaux desséchés porteurs de chancres. Des tailles relativement légères et pratiquées régulièrement (tous les 3 ans) sur les rameaux chancrés inférieurs à quelques centimètres de diamètre, permettent de réduire substantiellement les infestations et de redonner une nouvelle jeunesse à des plantations très atteintes. Ramasser systématiquement les feuilles mortes. 4/9
5 Ravageurs Processionnaire du pin Thaumetopoea pityocampa Juin Développement processionnaire Juillet vol papillon et ponte Périodes à risques pour les peuplements forestiers Août Septembre Octobre Novembre Décembre Janvier chenille stade L1 à L2 Février Mars Avril Mai procession Diapause d'enfouisphase sement souterraine chenille stade L3 à L5 Juin Juillet Août vol papillon et ponte Les défoliations commencent dès l'emergence des chenilles et augmentent avec la croissance des chenilles Périodes à risques pour l'homme et les animaux Dès son stade L3 la chenille devient urticante piègeage à phéromone pour papillons risque le plus élevé processions enlèvement des nids dans les arbres - échenillage Luttes alternatives éco piège (capture sur tronc) confusion sexuelle Lutte chimique Lutte biologique Les poils restent urticants pendant 2 ans Traitement aérien et depuis le sol - insecticides à base de diflubenzuron Traitement aériens et depuis le sol insecticides à base de diflubenzuron Traitement aérien et depuis le sol - insecticides à base de Bacillus Thuringiensis Rappel du cycle biologique de la processionnaire du pin et lutte (E.Kersaudy, DRAAF Aquitaine- SRAL- PSF) Selon les secteurs, les chenilles sont : soit dans leur nid au sommet des arbres. Durant cette phase, elles s'alimentent des aiguilles au détriment de l'arbre-hôte. soit elles ont débuté la phase de processions. Certaines ont déjà été observées en fin d'année 2014 et en début de celle-ci (notamment dans les secteurs côtiers de Gironde, Landes et Pyrénées Atlantiques). Nid soyeux hivernal hébergeant les chenilles processionnaires (C. Rapaport) Analyse de risque : pour les conifères : les chenilles présentes dans les nids, se nourrissent d'aiguilles. Des dégâts foliaires importants sont localement observés. Ils seront prochainement compensés par une repousse et les arbres reprendront un aspect esthétique satisfaisant. pour le public et les animaux : les processions (descente le long du tronc pour aller rejoindre leur lieu d'enfouissement) ont déjà débuté et vont se généraliser avec l'augmentation prochaine des températures (T>18 C au soleil). Le risque d'exposition des chenilles au public sera alors direct. Ces dernières possèdent des soies très urticantes contenant la toxine responsable des réactions allergiques. Il faut particulièrement protéger le peau et les muqueuses (yeux, bouche) : ne jamais manipuler un nid de chenilles (même vide), et ne jamais toucher les chenilles elles-mêmes. Vers la fin du mois de mars, la majorité des chenilles sera enfouie dans le sol. 5/9
6 Procession des chenilles (gauche : C. Rapaport ; droite : photo INRA) Il existe différents moyens de lutte alternative visant à contrôler les populations de chenilles et de minimiser leur capacité de nuisance. Le tableau ci-après présente ces méthodes. Types de lutte Méthodes Descriptif Période Mécanique Prélèvement pour destruction - Éliminer les pontes - Retirer les nids - Élagage - Avant éclosion - En hiver - Avant pic de fréquentation du site concerné Piégeage des papillons Pièges à phéromones sexuelles Avant le début du vol et durant toute sa durée En été Microbiologique Bacillus thuringiensis var. Kurstaki (BtK) Spécialités commerciales disposanty d'une autorisation de Mise en Marché (AMM) En présence de chenilles stades L1 à L4 Biologique Pose de nichoirs à mésanges Piégeage des chenilles Pièges avec cerclage de tronc (Ecopiège ) 1 arbre avec nids Sylvicole Gestion des espèces végétales en présence Plantation de feuillus pour «biodiversifier» et protéger les bordures A laisser en place (nettoyage Début d'automne (pose la annuel à l'automne) 1ère année) Pose avant le début de la procession Tigre du platane Corythuca ciliata Rappel du cycle du Tigre du platane 6/9
7 Les tigres adultes sont actuellement dans leur stade hivernant, sous les écorces détachables des platanes. Le dénombrement des individus permet d'estimer le niveau de population par prélèvement de plaques d'écorces, à raison de 1 dm2 par arbre et comptage des tigres présents à la fois sur le fragment d'écorce détaché et sur la zone découverte du tronc. La comparaison du comptage avec la valeur seuil définie permet d'estimer le risque pour les platanes. Un comptage des adultes cachés sous les plaques de rhytidomes sera effectué durant le mois de mars, afin d'évaluer les populations de tigres hivernantes (comptage sur 5 arbres : pour chaque arbre prélever 10 cm 2 de rhytidomes et compter le nombre de tigres présents à la fois sur le tronc et sur le morceau d écorce retiré). La valeur seuil de nuisibilité est fixée à 70 tigres/dm2. En deçà de ce seuil, le risque d infestation est faible. Une diminution de la présence des tigres par rapport à l'année passée, est déjà observée dans le Lot-et-Garonne (moins présents au niveau des écorces). Bio-contrôle : un programme de lutte biologique au moyen d'un nématode (Steneirnema sp.) et d'un chrysope (Chrysoperla lucasina) permet de maintenir le ravageur à un niveau acceptable. Tigres adultes (taille : 3-4 mm) logés sous l'écorce de platane, Parc Bordelais (S.Bourda) Pyrale du buis Cydalima perspectalis Rappel du cycle de la Pyrale du buis 7/9
8 Actuellement, les pyrales sont encore dans leur logette hivernale, sous forme de chenilles (stade hivernant). Ces chenilles reprennent leur activité alimentaire en mars. Elles se trouvent au cœur des buis. Elles attaquent alors les feuilles et les rameaux, ce qui cause des zones de défoliation sur les buis atteints. Chenilles hivernantes de Pyrale du buis (S.Bourda) Observation des symptômes à partir de mars : déjections au pied des buis (petits amas vert foncé), décapage des feuilles (plus ou moins sévère) ; dépend de la voracité des chenilles. Prophylaxie : si l'infestation est détectée de façon précoce, les rameaux et les feuilles attaqués peuvent être coupés et broyés finement ou incinérés en conteneur fermé (le compostage tel quel est à proscrire). Dans le cas d'une forte infestation, l'arrachage des sujets en intégralité permet de limiter la propagation du ravageur. Bio-contrôle : les papillons (forme adulte) émergeront vers le mois de juin. Ils pourront faire l'objet d'un piégeage à l'aide de phéromones spécifiques, qui attireront les sujets mâles. Ce piégeage ne permettra pas de diminuer les populations de pyrales mais de surveiller leur dynamique pour pouvoir ensuite mettre en place et adapter les programmes de contrôle du ravageur. Analyse de risque : la période de reprise de l'activité des chenilles est proche, ce qui engendrera des dégâts esthétiques sur les buis. Surveiller l'apparition des premiers symptômes afin de détecter le plus tôt possible les attaques et ainsi de mettre en place des actions visant à limiter la propagation du ravageur. Opérations d'entretien des arbres et arbustes A l'occasion des interventions sur vos arbres, une observation attentive permet de diagnostiquer leur état sanitaire. La recherche puis la détection de parties malades/atteintes sont alors suivies de la suppression de celles-ci afin de réduire le risque sanitaire pour la prochaine période de végétation. Vis-à-vis des insectes xylophages : repérer les écoulements de sève, les trous de pénétration ou les dépôts de sciure. Si les parties atteintes sont trop nombreuses ou si les souches elles-mêmes sont infestées, leur destruction permet d'éviter tout risque de chute. S'adresser dans ce cas aux professionnels du diagnostic des propriétés mécaniques des arbres dans le cas de forte attaque de capricorne du chêne. Ces professionnels vous assureront de la mise en sécurité du site. Vis-à-vis des cochenilles : le brossage des écorces permet d'éliminer les encroûtements (formes hivernantes). Évitez de planter des essences sensibles aux cochenilles dans des zones très sèches. Vis-à-vis des acariens : au moyen d'une loupe compte-fil, l'estimation des populations autour des bourgeons avant le débourrement permet de définir le risque d'attaque à venir. L'absence de formes hivernantes élimine le risque. Champignons lignivores : certains sont visibles grâce à leur fructification (carpophore) sous la forme d'un chapeau collé au tronc (comme l'amadouvier ou Fomès Heterobasidion annosum, qui provoque la mort de certains arbres, surtout sur sapins et pins). Un arbre atteint peut être condamné à plus ou moins long terme. Le risque de chute des branches voire de l'arbre est engagé. Il convient d'agir préventivement en abattant l'arbre atteint avant que le vent ne provoque sa chute. Les chancres : il s'agit d'ulcération des tissus sous l'effet de champignons ou de bactéries. Évitez de planter en station humide des végétaux non adaptés pour éliminer le risque de développer des maladies chancreuses. Effectuez la taille des végétaux en période sèche afin d'éviter toute dissémination des spores. Les chancres peuvent être assainis mécaniquement au moyen d'un grattoir en retirant largement toute la partie malade. Ensuite, un mastic cicatrisant d'origine naturelle peut être appliqué après désinfection de la plaie. 8/9
9 Rappel des bonnes pratiques : la désinfection des outils de taille permet d'éviter la propagation des maladies d'un végétal à l'autre, notamment par exemple pour le chancre coloré du platane. Commencez par tailler les végétaux sains. Retirez du site la litière de feuilles/débris végétaux malades ou porteurs de formes hivernantes des ravageurs ou des formes de conservation des champignons. Éliminez ensuite ces déchets verts contaminés (brûlage dans un incinérateur de jardin). Évitez de les composter, sauf si la température peut être maîtrisée (sous bâche épaisse T C>60 ). Pensez à préserver des habitats pour la faune auxiliaire et à proscrire toute intervention chimique polyvalente au jardin. Ce qu il faut retenir Maladies Cylindrocladiose du buis : avec la remontée des températures et la présence d'eau, la reprise d'activité du champignon est possible sur les sites infestés en Pas de tailles trop sévères. Anthracnose du platane : fort risque de reprise de l'activité du champignon si les températures n'évoluent pas (T C<12 C) et que l'humidité persiste. Ravageurs Processionnaire du pin : risque élevé d'urtications en présence de nids dans les sites fréquentés. La procession est proche pour la grande majorité des effectifs de chenilles. Tigre du platane : estimez les populations hivernantes sur les troncs et comparer à la valeur seuil. Bio-contrôle envisagé en situation de risque élevé vis-à-vis de l'exposition du public. Pyrale du buis : surveillez les buis et la reprise de l'activité des chenilles logées dans le feuillage. Les structures partenaires dans la réalisation des observations nécessaires à l'élaboration du Bulletin de santé du végétal d'aquitaine Zones non agricoles sont les collectivités d'aquitaine, des particuliers qui font ponctuellement des signalements, le Pôle santé des forêts (SRAL), les entreprises PM Paysages, 5D24, Patrick Loubon Paysagiste, Entomoremedium et le laboratoire départemental d'analyse du Conseil général de la Gironde (LDA). Ce bulletin est produit à partir d'observations ponctuelles. S'il donne une tendance de la situation sanitaire régionale, celle-ci ne peut-être transposée telle quelle à la parcelle. La Chambre régionale d'agriculture d'aquitaine dégage donc toute responsabilité quant aux décisions prises par les agriculteurs pour la protection de leurs cultures et les invite à prendre ces décisions sur la base des observations qu'ils auront réalisées sur leurs parcelles et/ou en s'appuyant sur les préconisations issues de bulletins techniques (la traçabilité des observations est nécessaire). " Action pilotée par le Ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de l'eau et des milieux aquatiques, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto ". 9/9
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