Boiterie chez l'enfant. II. Synovite aiguë transitoire = «Rhume de hanche» (1-6 ans)
|
|
- Gaspard Dumas
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 23/11/ h-16h BOUTON Natacha CR : NIARE Sanaba Appareil Locomoteur Dr S. PESENTI 8 pages Boiterie chez l'enfant Plan : A. Boiterie, trouble de la marche d'apparition récente I. Définition II. Synovite aiguë transitoire = «Rhume de hanche» (1-6 ans) III. Infections ostéo-articulaires ( 1-6 ans) IV. Ostéochondrite de hanche (6-10 ans) V. Epiphysiolyse B. Anomalies de la démarche I. Anomalies du morphotype dans le plan frontal II. Anomalies du morphotype dans le plan horizontal Pour ce cours il est important selon le prof de connaître la boiterie (c'est à dire le A) A. Boiterie, trouble de la marche d'apparition récente I. Définition Par définition, une boiterie est un trouble de la marche d'apparition récente c'est-à-dire inférieur à 7 jours. Elle est à différencier des troubles de la démarche. Il n'existe pas de parallélisme entre l'intensité de la douleur et la gravité de la lésion. Après 7 jours, une étiologie traumatique doit systématiquement être remise en cause. Toute douleur > 7 jours justifie une radiographie standard de la zone douloureuse. Toute douleur > 21 jours impose la mise en œuvre d'examens complémentaires: une scintigraphie en cas de siège imprécis, une IRM sur zone douloureuse en cas de douleur élective. Remarque: Un enfant qui a mal ne va pas mentir donc sa douleur est à prendre au sérieux. II. Synovite aiguë transitoire = «Rhume de hanche» (1-6 ans) Cette pathologie touche les enfants jeunes (1-6 ans) et correspond à un épanchement articulaire STERILE REACTIONNEL (virose+++). Ce n'est pas infectieux mais réactionnel!! CR : Suite à une virose la réaction inflammatoire peut être exagérée surtout au niveau de la synoviale de la hanche qui se met à produire beaucoup de liquide. 1/8
2 Tableau clinique: Boiterie +/- refus d'appui Contexte de virose dans les 10j (ORL+++) Limitation des amplitudes articulaires Apyrétique Examens paracliniques: Biologie: Normale Radiographie: Normale Échographie: Épanchement Traitement: Antalgiques, repos articulaire pendant environ 7 jours. Cette pathologie est bénigne. Le diagnostic différentiel est celui de l'infection ostéo-articulaire qui est plus grave. III. Infections ostéo-articulaires (1-6 ans) Chez l'enfant, les infections ostéo-articulaires sont d'abord l'arthrite infectieuse (+++) lorsque l'infection concerne l'articulation et l'ostéomyélite lorsqu'elle concerne l'os (rare chez l'adulte). L'os est en effet très vascularisé du fait de la croissance et sera donc un site de fixation préférentiel des bactéries. Lorsque l'infection touche l'articulation et l'os, on parle d'ostéo-arthrite. Elles surviennent le plus souvent chez l'enfant de 1 à 6 ans. Pathogène: Bactérien +++ (Staphylococcus Aureus, Kingella Kingae, ) Viral, parasitaire... (moins fréquent) Mode de contamination: Hématogène +++ (bactériémie) Inoculation directe du pathogène dans l'articulation, rare chez l'enfant Contiguité (porte d'entrée), rare chez l'enfant Tableau clinique: Boiterie, refus d'appui Fièvre Dans l'arthrite, l'articulation est chaude, douloureuse et augmente de volume, ce qui se traduit par un épanchement articulaire (au niveau du genou, on recherchera le choc rotulien à l'examen clinique). Dans l'ostéomyélite, l'infection atteint surtout la métaphyse et l'enfant se plaint d'une douleur pseudofracturaire liée à cette inflammation locale. Toute boiterie fébrile est une infection ostéo-articulaire jusqu'à preuve du contraire. Les infections ostéoarticulaires sont des urgences diagnostiques et thérapeutiques!!! Examens paracliniques: Biologique +++ : NFS pour contrôler une éventuelle hyperleucocytose, une CRP augmentée, une augmentation de la VS (vitesse de sédimentation), et une augmentation +/- du fibrinogène. 2/8
3 Radiologique +++ : en général, la radio sera normale lors de la prise en charge précoce, sauf en cas de spondylodiscite où l évolution plus longue permettra de voir à la radio une diminution de la hauteur discale. CR : Ce type d'évolution ne se rencontre aujourd'hui que dans les pays en développement. Echographie +++ : épanchement articulaire (arthrite), on recherche les complications d'abcès souspériostés (profonds au contact de l'os) en cas d'ostéomyélite. Scintigraphie : (si localisation secondaires ou en cas de doute diagnostique) hypermétabolisme à l'endroit de l'infection. IRM: recherche d'abcès (localisations multifocales). Les infections sont des urgences diagnostiques et thérapeutiques à cause du risque : vital : un foyer persistant infectieux est un risque de choc septique. CR : Classiquement on retrouve la séquence septicémie, sepsis et choc septique. fonctionnel par destruction du cartilage articulaire qui est mal vascularisé. Une lésion à ce niveau laissera un «trou» dans le cartilage. au niveau de la croissance : une lésion du cartilage de croissance entraîne une épiphysiodèse. Cette épiphysiodèse peut avoir comme conséquence un trouble d'axe ou de longueur. Traitement: URGENCE MEDICO-CHIRURGICALE La première étape est de chercher le pathogène en cause - afin de donner des traitements spécifiques - grâce à des prélèvements bactériologiques: hémocultures (systématiques), au niveau de la porte d entrée, ou en local (en cas d'arthrite, on fera des ponctions du liquide articulaire). La deuxième étape consiste en une immobilisation antalgique, et une antibiothérapie prolongée. La CRP doit diminuer. La troisième étape est celle du suivi à long terme: biologique (pour vérifier l'efficacité de l'antibiothérapie), radiologique (complications de l'infection, nécrose, arthrose peuvent sur venir jusqu'à 2 ans après). IV. Ostéochondrite de hanche (6-10 ans) Elle se retrouve chez l'enfant de 6-10 ans. CR : L'ostéochondrite peut se retrouver chez l'enfant dès 4 ans mais on retiendra plus facilement qu'elle survient après les rhumes des hanches et les infections ostéo-articulaires qui touchent les enfants jusque 6 ans. Il s'agit d'une nécrose ischémique d'ossification, de l'épiphyse fémorale supérieure (la tête fémorale) le plus souvent. Elle provoque une ostéochondrite qui évolue en 18 mois et passe par des stades successifs. Localisation : hanche ++++ genou Clinique : douleur progressive boiterie qui apparaît progressivement raideur articulaire 3/8
4 Au stade initial de l'ostéochondrite, la radio est normale +++ mais on remarque un trou scintigraphique avec exceptionnellement une image de fracture sous-chondrale (témoin de la souffrance du noyau épiphysaire) ou parfois une condensation de l'épiphyse. CR : Ce stade correspond à une interruption de la vascularisation du noyau épiphysaire (généralement du noyau proximal fémoral). La fracture sous-chondrale présente à la radiographie un aspect de double contour, on parle d'aspect en coup d'ongle. Puis il y a une fragmentation de l'épiphyse, suivie d'une reconstruction (ossification des fragments) et enfin un remodelage au bout de 18 à 24 mois du noyau une fois que la nécrose est guérie. Il n'existe pas de consensus sur le traitement, cette pathologie n'est pas très grave. V. Epiphysiolyse C'est une maladie du cartilage de croissance de la tête fémorale, qui correspond à un glissement de la tête fémorale en arrière et en dedans. Les facteurs favorisants sont : l'obésité +++ les causes secondaires telles que l'hypothyroïdie, l'hyperparathyroïdie entraînant un problème au niveau du métabolisme phosphocalcique, ou l'ostéodystrophie rénale (insuffisance rénale) qui touche le métabolisme de la vitamine D. Tableau clinique : On peut la rencontrer chez l'adolescent ou le pré-adolescent. Elles concerne de nombreux enfants en surpoids (importance de l'imc +++). Elle se manifeste par : une boiterie avec le pied en dehors (Rotation externe) une douleur de hanche (fréquence des douleurs projetées : genou +++). une modification des secteurs de mobilité du fait du glissement de la tête, avec : une augmentation de la rotation externe une diminution de la rotation interne un signe de Drehmann positif. La flexion de la hanche s'accompagne d'une rotation externe (lorsque l'on tente de plier la hanche, il y a impossibilité de finir le mouvement sans mettre le pied en rotation externe). CR : La RE du pied en fin de mouvement de flexion de la hanche permet de décaler la tête fémorale qui «butait» sur les reliefs osseux de l'os coxal et de finir le mouvement de flexion. A la radio, la ligne de Klein qui correspond à la tangente au bord supérieur du col fémoral doit en situation normale croiser l'épiphyse (tête du fémur). Dans l'épiphysiolyse, la ligne de Klein ne croise pas le noyau épiphysaire de la tête fémorale à cause du glissement, c'est un signe pathognomonique. 4/8
5 Il existe deux formes d'épiphysiolyse: une forme stable qui est chronique et qui s'installe progressivement instable qui correspond à une atteinte aiguë et un glissement soudain en bas du col du fémur. Cette forme se présente comme une fracture avec une impotence fonctionnelle complète, une douleur intense et un épanchement articulaire (hémarthrose). Traitement : Chirurgical avec une interdiction immédiate de l'appui +++ (obligation médico-légale) et une hospitalisation. Synthèse : 5/8
6 B. Anomalies de la démarche Il s'agit de déformations squelettiques d'évolution très lente, de troubles architecturaux I. Anomalies du morphotype dans le plan frontal genu valgum: rotules au zénith, contact intercondylien, écart intermalléolaire (déviation de l'axe vers l'extérieur). genu varum: rotules au zénith, contact intermalléolaire, écart intercondylien (déviation de l'axe vers l'intérieur, vers la ligne médiane). CR : Déviation de l'axe = axe de la jambe /!\ Faux genu valgum du patient en surpoids! Au cours de la croissance, outre le remodelage osseux existant à l'occasion de fractures, il y a une véritable maturation squelettique avec un changement des axes des membres inférieurs. CR : L'enfant tout petit présente d'abord un genu varum, puis il devient normoaxé, avant de présenter un genu valgum pour enfin finir normoaxé. En cas de déformation dans le plan frontal, il faut absolument rechercher sa bilatéralité et sa symétrie. Si elle est bilatérale et symétrique, il y a de grandes chances pour que l'anomalie ne soit pas pathologique. 6/8
7 On recherchera ensuite une possible cause d'un trouble d'axe : Traumatisme dans l'enfance tel qu'une fracture du plateau tibial entraînant une épiphysiodèse. Infection : une ostéomyélite lésant le cartilage de croissance par exemple. Rachitisme (troubles calciques) Maladie de Blount (maladie congénitale provoquant une épiphysiodèse du plateau interne tibial donc un pont osseux entraînant un genu varum). Il faut demander lors de la consultation si ce la provoque des chutes ou des douleurs. Il faudra ensuite évaluer les conséquences fonctionnelles du genu varum ou genu valgum afin d'établir un plan de traitement en conséquence. Donc le genu varum ou le genu valgum est, en règle générale, normal lorsqu'il est bilatéral et symétrique et qu'on ne retrouve pas d'étiologie ainsi qu'en l'absence de conséquences fonctionnelles. Prise en charge thérapeutique: trouble d'axe physiologique pour l'âge : on ne fait pas d'examen complémentaire, on ne met pas de traitement en place. Il faut donner des explications +++ (rassurer les parents) et surveiller l'enfant. troubles d'axe pathologique (avec cause traumatique, infectieuse...). On peut réaliser une épiphysiodèse en fin de croissance, et il faut traiter l étiologie. II. Anomalies du morphotype dans le plan horizontal Il s'agit d'anomalies de torsion des membres qui sont très fréquentes. Ce sont des enfants qui marchent avec les pieds en dedans ou les pieds en dehors. Ces anomalies sont exceptionnellement pathologiques. Elles sont, en général, liées à un problème de torsion: du col fémoral (antéversion physiologique de 15 à 20 à maturité) et/ou du tibia (petite torsion tibiale externe physiologique) La marche avec un pied en dedans est due à une antéversion exagérée du col fémoral. L'antéversion fémorale est maximale à la naissance (30-40 ) puis elle diminue progressivement avec la croissance pour arriver à une antéversion définitive vers ans. Pour mesurer la torsion fémorale, on utilise la méthode de Netter. L' enfant est allongé sur le ventre avec sa jambe à 90, l'opérateur pose une main sur le grand trochanter et mesure l'angle entre la verticale et la jambe inclinée au moment où le grand trochanter est le plus au contact de la peau. En général, chez l'enfant, cet angle sera de 45. 7/8
8 La torsion tibiale est nulle à la naissance. Il va donc y avoir une torsion tibiale externe progressive pour parvenir à la torsion tibiale adulte vers l'âge de 5-6 ans. La mesure de la torsion tibiale s'effectue en allongeant l'enfant sur le ventre, le genou à 90 et on repère l'angle entre l'axe du pied et l'axe de la cuisse. Aspects cliniques: Pieds en dedans +++ : Si les rotules et les pieds regardent en dedans, cela correspond à une antéversion exagérée des cols fémoraux. Si la rotule est de face et les pieds sont en dedans, cela correspond à une torsion tibiale externe insuffisante. Pieds en dehors: Si on a une rétroversion des cols fémoraux, on marche avec les pieds en dehors et les genoux en dehors. Si on a une torsion tibiale externe excessive, on marche avec les genoux de face et les pieds en dehors. Solution chirurgicale rare : ostéotomie de dérotation seulement si on est en présence d'un enfant qui chute fréquemment. CR : Cela consiste à «couper» l'os et à le faire pivoter pour le remettre en place dans un bon angle. Rappel : Surtout retenir le paragraphe concernant les boiteries. 8/8
Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical
Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailGenou non traumatique
Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailDiagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires
Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Emmanuelle Vignot Hôpital Edouard Herriot, Lyon Unité Inserm UMR1033 Lyon emmanuelle.vignot@chu-lyon.fr Arthrite septique (1) 1/ Monoarthrite :
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailINFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU
INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU Votre état nécessite la réalisation d'une ostéotomie au niveau du genou. Cette fiche est destinée à vous en expliquer les grands principes, le but et les bénéfices
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailAthénée Royal d Evere
Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement
Plus en détailREEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE
REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE Eric HALLARD, Kinésithérapeute La rupture du LCAE est de plus en plus fréquente
Plus en détailFiche pathologie n 1 : Tendinopathie
Fiche pathologie n 1 : Tendinopathie Fiches pathologies du danseur Inflammation d un tendon ou des structures avoisinantes résultant d une surcharge de travail ou d une contrainte anormale. 4 stades (du
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailMarche normale et marche pathologique
Marche normale et marche pathologique Pr. JM Viton, Dr. L. Bensoussan, Dr. V. de Bovis Milhe, Dr. H. Collado, Pr. A. Delarque Faculté de Médecine, Université de la Méditerranée, Fédération de Médecine
Plus en détailAu programme. Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond
Au programme Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond Club La Foulée 5 août 2004 Dre Mireille Belzile La lombo-sciatalgie Inflammation du périoste au site d insertion des muscles du mollet Erreur
Plus en détailTraumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara
Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détail1 ère Edition, septembre 2010. La Rhumatologie au Quotidien Dr RALANDISON D. Stéphane Page 1
Dr RALANDISON D. Stéphane 1 ère Edition, septembre 2010 La Rhumatologie au Quotidien Dr RALANDISON D. Stéphane Page 1 C l i q u e z s u r l e s l i e n s S o m m a i r e R é s u m é d e s c h a p i t r
Plus en détailw w w. m e d i c u s. c a
www.medicus.ca En appelant la colonne vertébrale «arbre de vie» ou «fleuve sacré qui irrigue tout le corps», les Anciens voyaient juste. De tout temps considéré comme fragile, cet axe du corps se révèle
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailPROTHÈSE TOTALE DE GENOU
Dr Alain CAZENAVE chirurgien orthopédiste traumatologie sportive 52 rue du Dr calot 62600 BERCK/mer FRANCE tel: 03 21 89 20 44 site web : www.orthopale.org PROTHÈSE TOTALE DE GENOU QUELQUES GÉNÉRALITÉS
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailBiomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied
Les Entretiens de Bichat Podologie 2013 Biomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied C. Cazeau* * Clinique Geoffroy saint-hilaire, 59 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris,
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailProtocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires
1 Protocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires Dans la grande majorité des cas, les syndromes fémoro-patellaires (SFP) guérissent avec un traitement médical bien conduit. Pour être efficace,
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailLa main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab
La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailLES COURBURES DE LA COLONNE VERTEBRALE
LES COURBURES DE LA COLONNE VERTEBRALE La colonne vertébrale présente des courbures normales (physiologiques) : lordoses et cyphoses qu'il convient de différencier de courbures pathologiques (cyphose accentuée,
Plus en détailGénéralités sur fractures, luxation et entorses
Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailLa technique en 7 étapes. Déroulement du mouvement. ASTA Association Suisse de Tir à l Arc. Conseil des entraîneurs
Déroulement du mouvement 1. Position Position des pieds Jambes Hanches Buste Tête 2. Bras d arc Main d arc Point de pression Coude Bras de l arc Epaule 3. Bras de corde Prise de corde Position des doigts
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailInstitut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010
C. Gable - DUHAM 2010 Les orthèses provisoires en pathologie traumatique LES FRACTURES DIGITALES LA MAIN COMPLEXE LES ENTORSES DIGITALES Institut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010 Colette Gable,
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailLa hernie discale Votre dos au jour le jour...
La hernie discale Votre dos au jour le jour... Votre dos est fragile. Ce document va vous aider à le préserver au jour le jour. Si vous venez de vous faire opérer, certaines activités vous sont déconseillées
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailIFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES
IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité
Plus en détailIntroduction et préparation aux stages cliniques Traumatologie et orthopédie infantile À l usage du 2 et 3 cycle Faculté de Médecine ULG
Professeur Oreste Battisti, orthopédie infantile, ULG - 1 - Introduction et préparation aux stages cliniques Traumatologie et orthopédie infantile À l usage du 2 et 3 cycle Faculté de Médecine ULG Dr Oreste
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailPrenez soin de votre dos. Informations et astuces contre les douleurs lombaires
Prenez soin de votre dos Informations et astuces contre les douleurs lombaires Prenez soin de votre dos 1 2 3 4 Des causes diverses, souvent liées au travail Plaintes et lésions Prévention: mieux vaut
Plus en détailPrise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale
Prise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale Ould Ouali.A, Amari.A, Lyazidi.O, Benbetka.L, Lakrouf.F, Rachedi.M MPR-HMUS-Staoueli 3eme congrès de la
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailConsolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY
Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY La problématique Tissu osseux : forte aptitude à se réparer MAIS Situations cliniques particulières
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détailI. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture
148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une
Plus en détailProblèmes locomoteurs
VOLUME 2 Aspects cliniques Chapitre 10 Problèmes locomoteurs Problèmes locomoteurs 343 Problèmes locomoteurs J.P. Praet, T. Mets Les problèmes locomoteurs sont fréquents et le deviennent de plus en plus
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailE-MAG Active BILATÉRAL JUSQU'À 100 KG OU UNILATÉRAL JUSQU'À 85 KG. Information produit
E-MAG Active BILATÉRAL JUSQU'À 100 KG OU UNILATÉRAL JUSQU'À 85 KG Information produit 2 Ottobock E-MAG Active E-MAG Active L'E-MAG Active est une innovation technologique ouvrant de toutes nouvelles perspectives
Plus en détailQuand penser à une pathologie inflammatoire osseuse ou articulaire
Quand penser à une pathologie inflammatoire osseuse ou articulaire en orthopédie pédiatrique p? Mathie LORROT, Chantal JOB-DESLANDRE Hôpital Robert Debré, Faculté de Médecine Paris 7 Cours DESC chirurgie
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailLa reprise de la vie active
Prothèse de hanche Les conseils de votre chirurgien La reprise de la vie active Vous êtes aujourd hui porteur d une prothèse de hanche ; elle va vous permettre de reprendre vos activités sans gène ni douleur.
Plus en détailProgramme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation
Programme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation 1 1 Contexte - Public ciblé 1/3 des accidents du travail sont dus à des manutentions. Coût annuel : 1,5 milliards d euros. Les lombalgies représentent
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailSOMMAIRE LE COU P.4 L EPAULE / LE BRAS / LE POIGNET / LA MAIN P.6 LE TRONC P.12 LE GENOU P.16 LA CHEVILLE P.20 LE PIED P.22
SOMMAIRE LE COU P.4 - Collier cervical souple, semi rigide ou rigide L EPAULE / LE BRAS / LE POIGNET / LA MAIN P.6 - La clavicule, l immobilisation d épaule - Coudière, soutien du bras - Immobilisation
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailQuelques pathologies traitées en physiothérapie :
Quelques pathologies traitées en physiothérapie : Veuillez prendre note que cette liste est à titre indicatif et ne comprend pas toutes les pathologies existantes. Les définitions sont tirées du Larousse
Plus en détailLes anomalies des pieds des bébés
Les anomalies des pieds des bébés Pierre Mary Consultation d orthopédie pédiatrique Service d orthopédie et de chirurgie réparatrice de l enfant Hôpital Jean Verdier Hôpital Trousseau Comment étudier un
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailCHUTES DE LA PERSONNE AGEE. «Protection Escaliers motorisée»
CHUTES DE LA PERSONNE AGEE «Protection Escaliers motorisée» Ehpad «Les Magnans» St Martin de Valgagues Dr Sylvie Andre Allheilig Médecin coordonnateur La Chute n est pas une «Fatalité» L âge, la poly morbidité
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailde hanche Votre chirurgien vous a posé une prothèse de hanche...
Prothèse de hanche Votre chirurgien vous a posé une prothèse de hanche... Afin de limiter les risques de luxation de prothèse, vous devez éviter certains gestes, pendant une durée minimum de trois mois.
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailINTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX
INTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX F. COLAS, R. CARLIER, C. LE BRETON, D. SAFA, D. MOMPOINT, F. ROFFI, E. M. KOCHEIDA, S. MOKHTARI, S. M KAOUAR, C. VALLÉE HÔPITAL RAYMOND
Plus en détailModifications par rapport à la Version 1.56 / Release 22.07.2013:
Modifications par rapport à la Version 1.56 / Release 22.07.2013: Nouvelles décisions: Numéro 14001 : Supplément à la valeur intrinsèque de la position tarifaire 00.1325 1/37 Numéro 03033 Facturation des
Plus en détailLombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat
Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailINTRODUCTION GÉNÉRALITÉS
INTRODUCTION Le nombre de sportifs, régulier et ou occasionnel ne cesse d'augmenter, quelque soit l'age. Alors que le mode de vie est de plus en plus sédentaire et que la population vieillit, il existe
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailFRACTURES OUVERTES DE JAMBE STRATEGIE DE PRISE EN CHARGE
FRACTURES OUVERTES DE JAMBE STRATEGIE DE PRISE EN CHARGE PR R. BENBAKOUCHE ORTHOPEDIE CHU BAB EL OUED GENERALITES - DEFINITION C'est une fracture diaphysaire et métaphysodiaphysaire, extra articulaire,
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailEvaluation de la gravité et complications chez un traumatisé des membres
Evaluation de la gravité et complications chez un traumatisé des membres Dr. C. LAZERGES, Dr. B. COULET, Pr. M. CHAMMAS Service de Chirurgie Orthopédique 2 et Chirurgie de la Main CHU Lapeyronie Montpellier
Plus en détail