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6 LES DROITS SEXUELS SELON L OMS. [1] «Les droits sexuels s'inscrivent dans les droits humains. Le droit de jouir du meilleur état de santé sexuelle possible grâce à l'accès à des services médicaux spécialisés en matière de santé sexuelle : le droit au respect de son intégrité physique ; le droit d'avoir une vie sexuelle satisfaisante, agréable et sans risque.. le droit au choix de son partenaire ; le droit de décider d'avoir une vie sexuelle active ou non ; le droit de décider d'avoir ou de ne pas avoir des enfants, et le moment de son choix. L exercice responsable des droits humains exige de chacun qu'il respecte les droits des autres».

7 Avoir une sexualité active a des bénéfices incontestables, qui luttent contre les effets néfastes de la maladie : Pendant l'activité sexuelle, nous libérons un grand nombre d hormones : la dopamine stimule le cœur et la circulation sanguine : anti-hypertenseur naturel, qui réduit les risques cardiovasculaires. les endorphines chassent les tensions et les douleurs : soulage les maux de tête L ocytocine apporte une sensation de bien-être : réduit le stress et l'anxiété La sérotonine : contrôle du sommeil, et de la dépression. La testostérone, permet le maintien de la masse musculaire et préviens le diabète

8 L activité physique sexuelle : Renforce les muscles pelviens : réduit les risques d incontinences. Stimule le système nerveux, sympathique & parasympathique : Améliore la mémoire et l immunité, Augmente la quantité d anticorps lga (détectable dans la salive) et aide à résister aux rhumes, ou aux infections. Préviens certains cancers A l'inverse, la frustration sexuelle représente un facteur de déséquilibre autant physiologique que psychologique.

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11 Les Freins à l abord du sujet Entre soignants Peu de symptomatologies ayant une telle prévalence souffrent d une telle négligence du monde soignant En USP, les soignants ont fait l exercice douloureux d abordés leur propre mort en miroir avec celles des patients. En matière de sexualité, la démarche est tout aussi difficile. Ils ont peur de la réciprocité dans l intime, de dévoiler «une partie d'eux-mêmes» et «leur fantasmatique sexuelle».

12 LA BANALISATION : Cela ne présente aucun intérêt, on en a parler milles fois La remise de l initiative, au patient : le matériel sexuel ne viens pas si on ne va pas le chercher LA REMISE DU PROBLEME AUX COLLEGUES Manque de temps, PEUR DE NE PAS POUVOIR REPONDRE L attitude des soignants est déterminante, et dépend, de ce que le soignant amène à penser que c est déplacé d en parler et sans intérêt.

13 Les Freins à l abord du sujet Des patients et leurs familles On comprendra que la maladie grave, par le biais de l altération de soi et du sentiment vital, altère par conséquent cette capacité à aller vers autrui. Ce qui pousse le soignant à avoir un rôle proactif. Il a l initiative, des soins de confort et d hygiène, des temps d écoute et d empathie, des thérapeutiques, des examens complémentaires proposés etc. Le patient attend qu il la prenne également sur la vie sexuelle cadenassée par des croyances, des peurs et des mécanismes de défense,d adaptation.

14 Les Freins à l abord du sujet Des patients et leurs familles Peur surtout du jugement des soignants. je pensais que ce n'était pas grave j'attends de voir si le problème disparaît le soignant est trop jeune ou trop âgé, il ne peut pas faire grand-chose, il n a pas l air très à l'aise avec le sujet, nous sommes trop proche ce n'est pas le médecin habituel, ce n est pas un problème médical J attends que le soignant voit le problème et m en parle

15 Les Freins à l abord du sujet Des professionnels de santé Les soignants, se sentent incompétents ou cela ne les intéresse pas et évitent cette problématique. Il y a aussi des croyances limitantes qui servent d excuses. Quel intérêt d aborder le sujet, tout le monde est censé «savoir»? Pourquoi aborder le sujet avec une personne âgée puisqu elle n a plus de vie sexuelle, sinon ce serait «anormal», voir «sale». La sexualité disparaît avec la maladie. De toutes manières, Il n y a pas de place pour la sexualité. C est au patient de prendre l initiative et de choisir son interlocuteur. Suis-je suffisamment au clair avec ma sexualité pour aborder le sujet? Cela ne risque t il pas d être interpréter comme un abus sur des patients?

16 Les Freins à l abord du sujet Des professionnels de santé Confusion «sexualité-intimité et promiscuité» l intimité autour de la sexualité fait peur, surtout lorsqu il y a des soins du corps et de nursing. Quelle est la perception des soignants des problématiques de sexualité en soins palliatifs? Se pose alors les questions de la sexualité «normale» «morale». La sexualité utilise t elle les mêmes moyens d expression dans la vie du patient malade? La sexualité est conçue quasi exclusivement en couple dans le cadre de la maladie, intégrant l exclusivité sexuelle et la notion de fidélité.

17 Les Freins à l abord du sujet Des professionnels de santé Un lien est fait entre perte de désir et d intérêt pour la sexualité avec l état physique. Les croyances qu avoir une sexualité nécessite des «performances» physiques, dont n est plus capable le malades en soins palliatifs. L âge du patient est un élément déterminant. La proximité de la mort est-elle à l origine de l absence de la notion de reproduction? Se pose la question de la sexualité solitaire et de la pornographie réclamé. L intimité est le «coeur» de la sexualité, voir se confond avec elle.

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19 Comment lever les freins Le cadre peut constituer une entrave à l expression de la sexualité des patients. Deux parties dans ce cadre ayant chacune une sphère humaine et matérielle: L une fait référence aux moyens mis en œuvre, pour permettre une intimité. L autre aux moyens pour permettre l expression et la communication autour de la sexualité..

20 Le cadre, en pratique En pratique, les soignants doivent encourager les patients à prendre des temps spécifiques pour leur intimité et leur sexualité. En USP : se mettre d accord sur ce temps d intimité seul ou a deux. L idéal serait des chambres individuelles, avec des lits doubles adapter au handicap, sans interruption par les soignants. Dire que le cadre ne permet pas l intime, et que sa résolution est la clé du problème, est loin de répondre à la nécessité de communication sur l intime.

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22 Quand et Comment en parler En pratique Le plus tôt possible, car c est le premier pas qui coûte. Création d une atmosphère propice au dialogue, la prise d initiative après s être assurer de la disponibilité du patient à la discussion Une attitude non jugeante, l utilisation d un langage compréhensible par les patients, l utilisation de la re-formulation, de questions ouvertes Ne pas faire de suppositions sur ce que peut être la sexualité du patient. Aborder le sujet peut amener, du «soulagement», et surtout de «l autorisation», un sentiment chez le patient d être pris en tant qu individu dans sa globalité, et surtout d être considéré en vie par les soignants.

23 Comment en parler «modèles» de phrases «Vous avez traversé tellement de choses depuis votre diagnostic tout cela a peut être affecté la manière dont vous pouvez vous percevoir en tant qu homme/femme» «Vous êtes peut être soucieux de savoir de quelle façon tout cela peut affecter ou non votre sexualité et votre inimité, nous pouvons en parler si vous le souhaitez» «Vous avez l air fatigué, et se doit être difficile de se sentir bien après tout ce que vous avez traversé. Cette maladie doit sûrement avoir eu un impact sur vos relations avec les autres et sur votre vie intime»

24 Notre expérience Formation à l abord de la sexualité de tout le personnel du pôle cancérologie Et du service de soins palliatif de l hôpital de Troyes. EHPAD DE GIRONDE

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26 Merci de votre écoute

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