Apiculture urbaine L art de jardiner avec les abeilles

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1 vertdeco.fr Apiculture urbaine L art de jardiner avec les abeilles L apiculture urbaine par Verdéco Crédit photographique: FlickR - JP TONN vertdéco

2 Jardinier, développeur de biodiversité 2 Dossier technique d apiculture urbaine

3 COMPRÉHENSION... De la pratique de l apiculture urbaine Jardiner avec tous les acteurs du vivant : l apiculture Vertdéco cherche à développer en qualité et en quantité le vivant et la biodiversité dans les jardins et les espaces que nous gérons pour nos clients et la planète. Nous pensons que cette approche nous permet de tendre vers un développement vraiment durable en s appuyant sur les dynamiques puissantes et pérennes du vivant. Il y a beaucoup à saisir dans la dynamique du vivant pour les jardiniers, développeurs de biodiversité, même si, eux aussi, par profession, ne sont pas ruraux mais urbains et travaillent en ville. En cherchant à imprimer une dynamique positive : Le développement du vivant est plus que la simple ré-introduction d espèces animales. Il est surtout la relance d un dynamisme positif, signe d une renaissance. Le jardinier, développeur de biodiversité fait exactement de même. Il ré-inscrit les jardins sous sa responsabilité dans la dynamique du vivant tout en étant le garant des bons services rendus à ses clients et leurs infrastructures. Le jardinier sait gérer le vivant dans le jardin pour sublimer les espaces paysagers. Créer l étalement du vivant par le droit de cité animal : Cela nous prouve la main-mise, jusque-là extrêmement sous-estimée voire simplement ignorée, du vivant sauvage et surtout des grands animaux sur la planète. Jardinier, développeur de biodiversité 3 Dossier technique d apiculture urbaine

4 Abeilles et fleurs vont de pair. Leur relation bénéfique est largement responsable de la biodiversité que nous connaissons actuellement. Les abeilles participent à prés de 80 % de la pollinisation des espèces végétales, donc contribuent, à la survie, à l évolution, à la reproduction des plantes. La découverte du rôle des abeilles, et plus particulièrement des insectes, dans la pollinisation des fleurs, est relativement récente. Et pourtant déjà, dans l Antiquité, on savait, que pour récolter des fruits, il fallait transporter manuellement du pollen de fleurs mâles à des fleurs femelles. C est à la fin du XVIIIème siècle, que Christian Sprengel, botaniste allemand, publia un ouvrage, dans lequel il décrit ses observations établies sur plusieurs années : les insectes se posaient sur les fleurs, et les fruits / graines abondaient. D où la théorie d insectes transporteurs de pollen. Sprengel constata également l importance des abeilles mellifères dans ce phénomène, ainsi que l intervention du vent. Aujourd hui avec l érosion de la biodiversité le rôle des abeilles est d autant plus important que sans leurs actions pollinisatrices, ce sont 3/4 des cultures vivrières qui ne pourraient plus être cultivés. 153 milliards d euros : C est le chiffre auquel sont parvenus des chercheurs de l Inra pour estimer la valeur économique de l activité pollinisatrice des insectes, essentiellement des abeilles (programme Alarm, ). Soit 9,5 % en valeur de l ensemble de la production alimentaire mondiale. Les cultures qui dépendent des pollinisateurs assurent plus d un tiers, en tonnes, de la production mondiale de nourriture. L étude a aussi mis en évidence que les cultures les plus dépendantes de la pollinisation par les insectes sont aussi celles qui ont la valeur économique la plus importante. Pollen, miellat et nectar des fleurs sont les fondamentaux de l alimentation des abeilles. La disparition des espèces ordinaires de fleurs liée à l artificialisation des paysages provoque de longues périodes de disette pour les pollinisateurs. Pour assurer leur protection et leur survie, il faut donc préserver la diversité des sources de pollen en recourant à des jachères florales en zones de grande culture, sur les bordures des routes, dans les jardins des particuliers... et mettre en place des stratégies de diversification des productions agricoles. Jardinier, développeur de biodiversité 4 Dossier technique d apiculture urbaine

5 À leur tour, les abeilles contribuent à la biodiversité. Une étude publiée en 2006 s intéressant aux populations d abeilles sauvages solitaires et de syrphes (mouches qui ressemblent à des abeilles ou à des guêpes) a mis en évidence un déclin à la fois de l abondance et de la diversité des abeilles sauvages depuis 1980, ainsi que le déclin des plantes associées à ces pollinisateurs. Les scientifiques s accordent à constater la diminution des pollinisateurs sauvages dans le monde et redoutent la disparition en cascade de la flore et de la faune associées. Où installer des ruches? Nous nous assurons de la conformité des lieux : Présence de ressources alimentaires suffisantes dans un rayon de vol d une butineuse (environ 3 km). Pour cela la carte des environs est étudiée, pour identifier la présence de parcs, jardins, bois square ou tout autre espace paysager. L idéal étant bien sûr d avoir sur vos terrains un jardin avec une qualité et une diversité de floraison suffisante pour assurer l alimentation des abeilles pour leur production de miel. Vérification de la présence d autres ruchers dans le secteur envisagé, au risque d une saturation du milieu et donc diminution des ressources alimentaires pour l essaim. Le rucher doit être accessible sans nécessiter d équipement spécifique (nacelle, grue,..) pour les interventions de l apiculteur. Jardinier, développeur de biodiversité 5 Dossier technique d apiculture urbaine

6 Quelles abeilles utiliser? Il existe en France plus de 1000 espèces d abeilles sauvages ou domestiques, solitaires ou sociales. Les abeilles solitaires : La majorité des abeilles sauvages est solitaire : elles ne fondent pas de colonie pérenne (pluriannuelle), les abeilles femelles construisant individuellement un petit nid au sol, sous une pierre, dans des structures creuses (trou dans un arbre, coquille d escargot, etc.) Les abeilles parasites : Ce sont des insectes solitaires qui pratiquent le cleptoparasitisme en parasitant les couvains d autres espèces. Les abeilles sociales : Les abeilles sociales forment des colonies, groupes d abeilles vivant en société. La colonie est composée de trois castes : La reine, l unique femelle fertile et fécondée du groupe, mère de toute la colonie. Son espérance de vie est d environ 5 ans. Une majorité d ouvrières, femelles stériles qui assurent l entretien et le ravitaillement du nid, ainsi que les soins au couvain (sorte de maternité où se développent les futures abeilles). Elles assurent successivement toutes ces tâches au cours d une vie durant de quelques semaines à quelques mois. Des mâles (ou faux-bourdons) dont le seul rôle connu est la fécondation des futures reines. Ils meurent après l accouplement. Jardinier, développeur de biodiversité 6 Dossier technique d apiculture urbaine

7 Les abeilles à miel : La Buckfast L expression «abeille à miel» est un nom vernaculaire désignant en français des insectes sociaux parmi les abeilles qui produisent du miel en quantité significative. Ce sont les abeilles domestiques. Les abeilles domestiques sont principalement de l espèce Apis mellifera. Originaire d Europe et d Afrique, c est en effet l espèce la plus utilisée pour produire du miel. Elle a donné de nombreuses sous-espèces dont certaines, comme l abeille buckfast, sont principalement utilisée pour l apiculture. Ce sont des essaims d abeilles Buckfast qui seront utilisés dans vos essaims. Le frère Adam croisa plusieurs variétés résistantes, importées de diverses régions du monde, pour obtenir une abeille excellente butineuse, propre, peu agressive et peu essaimeuse, qualités réclamées par les apiculteurs. Son seul défaut est sa tendance à tartiner l intérieur de la ruche de propolis et à fixer les rayons ensemble. Gestion des colonies sur l année Le suivi des ruches s effectue d avril à mars. L hiver étant la saison où la ruche diminue fortement son activité et où l action de l apiculteur peut être dommageable (modification de la température). C est le cycle normal des ruches d apicultures. Au printemps, surveiller l essaimage : Autour de mai et juin, alors que la reine continue de pondre et que les ouvrières rapportent chaque jour leur cargaison de nectar et pollen, la ruche va se remplir au point qu il n y aura plus de place ni pour les œufs ni pour les stocks. C est à ce moment que se produit l essaimage. La reine va laisser la ruche à une reine qui va naître sous peu, près de la moitié des ouvrières vont se charger de nectar et vont quitter la ruche avec la reine. C est un processus naturel qui nécessite une vigilance de la part du propriétaire de la ruche comme de l apiculteur. Jardinier, développeur de biodiversité 7 Dossier technique d apiculture urbaine

8 L essaimage n est pas dangereux. L apiculteur met en place des parades pour limiter l essaimage (augmentation de la taille de la ruches par exemple) En été, prévenir de la chaleur : L ennemi des abeilles pendant l été c est la chaleur. Il faut donc qu elles disposent d un point d eau à proximité pour pouvoir s abreuver et rafraîchir l intérieur de la ruche. Jardinier, développeur de biodiversité 8 Dossier technique d apiculture urbaine

9 En automne, faire attention aux prédateurs : Dès la mi-août les guêpes, l ennemi héréditaire des abeilles font leur apparition. Les espèces que l on voit souvent au rucher sont les vespa mandarinia japonica. La guêpe va capturer les abeilles une par une pour les emporter ou s emparer des oeufs. À l automne il faudra donc faire particulièrement attention à la protection des abeilles contre leurs ennemis. À l hiver, la préparation des abeilles : Le travail de l apiculteur en hiver est d assurer que les abeilles puissent passer tranquillement la saison jusqu à la venue du printemps. Il faudra donc faire attention au froid et à l approvisionnement. Pendant l hiver il ne sera pas possible de toucher aux abeilles. La préparation pour l hiver commence dès les premiers froids de l automne. La neige n est pas un problème pour les abeilles puisqu elle contribue à isoler la ruche du froid. Etat sanitaire des colonies L état sanitaire des colonies est inspecté à chaque passage de l apiculteur. Selon les circonstances un traitement aux huiles essentielles peut être réalisé pour lutter contre le varoa. Dans tous les cas aucun traitement chimique ne sera utilisé sur un miel à destination des collaborateurs. Jardinier, développeur de biodiversité 9 Dossier technique d apiculture urbaine

10 Le Nourrissement des abeilles L apiculteur, doit se soucier des réserves alimentaires de ses colonies d abeilles tout au long de la saison et principalement au tout début de l automne mais plus précisément, dès la levée des hausses à miel. Une colonie bien équilibrée est une colonie qui dispose d un nombre suffisant de butineuses, d ouvrières, de nourricières et de mâles. Pendant toute la période de la miellée, elles se suffisent à elles-mêmes et le surplus de production sera stocké d abord dans le haut des cadres de corps puis, dans la hausse. En principe, l apiculteur n a pas à nourrir ses abeilles en cours de saison à moins que les conditions météo ne soient suffisamment mauvaises pour empêcher les abeilles de fabriquer leur propre miel. Dans ce cas seulement, l apiculteur nourrit ses abeilles avec un sirop de Glucose et le Fructose. La pose des hausses La pose des hausses s effectue uniquement sur décision de l apiculteur. Ces hausses ont pour but de permettre aux abeilles de stocker l excédent de miel dans une partie ou la reine ne pourra pas venir pondre ses œufs. Cela permet à l apiculteur de récolter un miel qui n est pas «indispensable» à la colonie. Jardinier, développeur de biodiversité 10 Dossier technique d apiculture urbaine

11 La récolte Il faudra attendre jusqu à la maturation du miel. Il faut bien considérer la période de la récolte. Ce que les abeilles rapportent à la ruche, c est du nectar de fleur. Le taux de sucre de celui-ci est encore trop faible (de 30 à 50 degrés) et ce n est donc pas accompli. En transportant le nectar dans leurs pattes ou sur leur langue, les abeilles en augmentent le taux du sucre. Après 4 ou 5 jours, il est concentré à une hauteur de 78 degrés environ, les ouvrières vont créer les opercules en cire et le miel sera bientôt prêt. L apiculteur doit attendre la création de l opercule pour la récolte. Si la récolte a lieu trop tôt, le miel n est pas assez mûr et va fermenter. La récolte d un bon miel va donc dépendre de la patience de celui qui récolte. La récolte s effectue chez l apiculteur car elle nécessite un matériel spécifique. Pour des questions de sécurité la récolte s effectue en dehors des heures de travail. Votre miel vous sera remis en pot de verre de 250 ml avec une étiquette à votre nom. Dans tous les cas la récolte s effectue sur décision de l apiculteur. Plusieurs phénomènes peuvent expliquer une non-récolte. Jardinier, développeur de biodiversité 11 Dossier technique d apiculture urbaine

12 Animation autour du rucher L animation et la sensibilisation par l apiculture permettent d amener des collaborateurs, des résidents, des clients ou toutes les personnes fréquentant un site à s interroger sur nos pratiques en place et sur leurs évolutions possibles en matière de biodiversité, de jardin, d écologie et de développement durable. L intégration des animaux comme les abeilles au cœur de l écosystème urbain redéveloppe la relation et les interactions entre l homme et l animal. Cette re-connexion, essentielle et vitale, s est perdue en ville depuis quelques dizaines d années, lorsque l on a remplacé les animaux par des machines. La présence des animaux apaise et divertit, il en est de même pour les abeilles. Pour les besoins de communication, de différenciation par les labels, ou simplement par volonté de s inscrire dans un processus vertueux, des animations peuvent être organisées pour sensibiliser sur le changement climatique ou l érosion de la biodiversité en milieu urbain. Ces animations relatives à la biodiversité sont destinées à la prise de conscience du rôle de la biodiversité et à munir les apprenants des premières compétences nécessaires à l établissement ou à l adoption de solutions favorisant la biodiversité. Vertdéco dispose d un numéro enregistrement ( ) pour la validation des animations. Jardinier, développeur de biodiversité 12 Dossier technique d apiculture urbaine

13 Au programme de l animation destinée au personnel de l entreprise : Une visite du rucher (nous fournissons les équipements individuels de protection) Une explication «découverte» du fonctionnement d une ruche avec si possible identification de la reine, du couvain, des alvéoles de pollen des cellules de royales s il y en a. Une sensibilisation à la biodiversité et au rôle de l abeille dans la pollinisation Cette animation dure en moyenne 2h00 par groupe de 6 personnes maximum, en général nous organisons des sessions de 4 h00. Jardinier, développeur de biodiversité 13 Dossier technique d apiculture urbaine

14 Formation : initiation à la pratique de l apiculture Cette formation d initiation à l apiculture a pour objectif de permettre la compréhension du fonctionnement d une ruche. C est une approche de l apiculture qui elle nécessite plusieurs années d expérience et en aucun cas une formation d apiculteur. Organisation de session de formation à l apiculture comprenant des créneaux de deux heures pour 6 personnes maximum : Initiation au fonctionnement général d une ruche Présentation des composantes de la ruche et des différents types de ruches utilisées Apprentissage des préliminaires, préparation de l apiculteur, précautions à prendre, allumage de l enfumoir etc.. Initiation aux différentes manipulations de base Initiation à l identification des différents acteurs de la ruche, de leurs rôles et de leurs modes de vies et de fonctionnement Initiation à l identification des prédateurs et des maladies Initiation à la gestion d une ruche sur l année Il faut 10 sessions minimum pour boucler la phase d initiation. Vertdéco dispose d un numéro enregistrement ( ) pour la validation des formations. Jardinier, développeur de biodiversité 14 Dossier technique d apiculture urbaine

15 La mise en sécurité du rucher Il faut savoir que l abeille se nourrit exclusivement de nectar, de pollen, miellat, et d eau. Elle n ont donc aucune raison de rentrer dans les bâtiments. Si tel est le cas, il faut juste ouvrir une fenêtre le temps qu elle retrouve son chemin vers l extérieur. De même les abeilles ne viennent pas voler au dessus des assiettes à la différence des guêpes. Sécurité auprès des ruches : Personne ne doit ouvrir les ruches en dehors de la présence de Vertdéco Personnel devant intervenir auprès des ruches ( Personnel de maintenance, entretien ) Si ces personnes doivent travailler dans un rayon de moins de 5 mètres des ruches, elles doivent porter une protection complète (voile, combinaison et gants) Personnes approchant les ruches, Il ne faut venir voir les ruches que par temps calme (hors orage, vent ou forte chaleur), il faut s attacher ou se couvrir les cheveux, et ne pas se positionner face à la ruche mais sur le coté. Matériel sur site : Vous devez disposer d une tenue complète (voile, combinaison et gants) au poste de sécurité (qui vous seront mis à disposition par Vertdéco) Un extracteur à venin (Aspivenin) doit être à la disposition de tous au poste de sécurité et/ou au bureau du médecin du travail (qui vous seront mis à disposition par Vertdéco) Formalité sécurité : Si vous n êtes pas propriétaire des locaux, vous devez informer le propriétaire du projet. Vous devez informer également le médecin du travail (procédure en cas de piqûre et de réaction allergique). Le CHSCT doit valider le projet. Jardinier, développeur de biodiversité 15 Dossier technique d apiculture urbaine

16 INFORMATION... Dossier administratif Assurance Jardinier, développeur de biodiversité 16 Dossier technique d apiculture urbaine

17 Responsabilité civile Jardinier, développeur de biodiversité 17 Dossier technique d apiculture urbaine

18 Jardinier, développeur de biodiversité 18 Dossier technique d apiculture urbaine

19 Jardinier, développeur de biodiversité 19 Dossier technique d apiculture urbaine

20 Déclaration des ruchers Jardinier, développeur de biodiversité 20 Dossier technique d apiculture urbaine

21 vertdéco Chemin rural n Magny les Hameaux tél : fax : contact@vertdeco.fr

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