SCIENCES DE L INGENIEUR
|
|
- Chantal Jolicoeur
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SCIENCES DE L INENIEUR Modéliser et représenter le réel Dnamique Fiche cours FC.0 ) Introduction : La dnamique est la partie de la mécanique qui traite des mouvements en relation avec les forces qui les engendrent. Newton fut le premier à formuler correctement le principe fondamental de la dnamique et la loi de gravitation universelle. Par la suite, Euler, d lembert, Lagrange, Laplace, Poinsot, Coriolis et Einstein apportèrent une contribution importante au développement de cette science essentielle. Il eiste trois méthodes pour traiter un problème de dnamique :. Par application du principe fondamental (loi de Newton). Par utilisation des théorèmes relatifs au travail et à l énergie (Energétique). Par utilisation des théorèmes portant sur les quantités de mouvement et le moment cinétique. ) Lois de Newton : ) Repère aliléen : Notion de repère absolu : ère loi : Dans un repère galiléen, tout objet en état de mouvement rectiligne uniforme et soumis à aucune force etérieure, conserve son mouvement. ème loi : Force = masse accélération ème loi : Tout corps soumis à une force eerce en retour une force de même intensité et de direction opposée Pour que le principe fondamental de la dnamique soit correct, l accélération a doit être une accélération absolue. Par commodité, l accélération a est généralement repérée ou déterminée par rapport à un repère fie lié à la terre (référence absolue). Cependant, la terre n est pas un référentiel absolu (ou galiléen) rigoureu mais approché. Pour la plupart des problèmes de mécanique terrestre, cette approimation suffit et amène des erreurs négligeables. Pour un certain nombre de problèmes, faisant intervenir des avions, des fusées, des missiles ou autres soucoupes volantes, il est parfois nécessaire de faire intervenir les accélérations dues au mouvements de la terre. Eemple : Pour un corps en chute libre, la rotation de la terre autour de son ae engendre une légère accélération dirigée vers l est (accélération de Coriolis) créant une perturbation du mouvement de chute libre. Le solide ne tombe pas eactement verticalement mais subit une déviation vers l est égale à : d =. avec = rad/s (vitesse de rotation de la terre) g = 9.8 m.s² (accélération de la pesanteur) h = hauteur de la chute en m = latitude nord ou sud
2 Notion de temps relatif et temps absolu : Dans l équation de Newton, le temps est considéré comme une grandeur absolue, s écoulant ineorablement d arrière en avant au rthme régulier indiqué par les pendules et les calendriers. D après Einstein, le temps n est pas absolu mais relatif et dépend de la vitesse propre de l observateur et de la position finale de celui-ci. Cependant la notion de temps relatif n est valable que pour des particules se déplaçant à très grande vitesse (proche de la vitesse de la lumière ( km/s). ) Principe fondamental de la dnamique : Cas d'un solide "unité de matière" M (S) (R) Ce solide (S) est si petit qu'il peut être considéré comme un point. Le solide (S) est soumis à des actions etérieures se réduisant à une résultante R et S. Soit : =. Son mouvement est tel que : = m. vec en N en m/s² m en Kg (masse du solide) Cas d'un solide quelconque Soit un solide (S) quelconque de masse m. Contrairement au solide précédent, celui-ci peut subir des efforts en différents points. Ceu-ci peuvent le faire tourner. Il aura donc présence de moments En appliquant la démonstration précédente à ce solide, il suffirait de considérer celui-ci comme une somme de points Mi de masses m i. Le principe fondamental de la dnamique peut alors s'écrire : C'est le torseur dnamique C'est la résultante dnamique C'est le moment dnamique Remarque : Le torseur dnamique contient des relations difficilement utilisables par un élève de première et/ou de terminale S SI. Nous allons donc uniquement nous intéresser au cas particuliers de la translation rectiligne et de la rotation autour d'un ae fie. -) Cas du solide en translation rectiligne / = ccélération du centre de gravité du solide en m/s² et S = et S = Somme des forces etérieures en N m = masse du solide S en Kg Trajectoire de m. et = Remarque : la résultante et doit passer par, sinon Il a mouvement plan
3 Eemples : Sphère en chute libre : Une sphère de Kg est en chute libre, la résistance de l air est négligée. z Bilan : et = (vecteur poids) a = 9.8 m/s² (accélération de la pesanteur) et = m. d où = m. MRU En projection sur l ae z : P = m. g = 9.8 = 9.8 N P = = 9,8 N Navette spatiale Une Navette spatiale est supposée à l arrêt dans l espace. Ces moteurs sont allumés, la poussée de chaque moteur est de F = 00 kn, les poussées sont parallèles et leur résultante passe par. Déterminons l accélération supportée par un astronaute, si la masse de l engin est de 00 tonnes. Bilan : et = (Poussée des moteurs) a =? m/s² (accélération de la navette) m = Kg et = m. En projection sur l ae z : F = m. a d où a = = = 69 a = 69 m/s² Principe de d'lembert : Soit environ 7g ( = 7.0). Le principe de d'lembert prend en compte la "Force d'inertie". Cette force est opposée à l'accélération et = - m.. La force d'inertie devient un effort etérieur et le principe fondamental de la dnamique peut alors s'écrire : / Câble Cabine Eemple : Cabine d ascenseur Un homme de 80 kg se tient debout sur une balance dans une cabine d ascenseur à l arrêt. Le moteur est mis en route et la tension du câble atteint la valeur de 900 dan pendant les trois premières secondes. Les frottements sont négligés et la masse de la cabine (cabine + balance) est de 70kg. Le centre de gravité de l ensemble est situé sur la verticale commune au actions et (poids de l'homme). Si l accélération est supposée constante, quelle valeur peut-on lire sur la balance? Bâti Balance
4 Résolution : ) Isolons l ensemble {cabine + homme + balance} : Remarques : Les actions des rails sur la cabine ne sont pas prises en compte car elles sont perpendiculaires à l ae z (pas de composante sur z). Le principe de d lembert s écrit : total + + = + m = Et total = Cabine + Homme En projection sur l ae z on obtient : P + T m a = 0 ) Isolons l homme seul : [-( ) 9.8] ( ) a = 0 a =. m/s² Bilan des actions etérieures : Il est soumis à actions : Son poids Homme ( = 78.8 N) On a : homme + + = En projection sur z on obtient : P h + B + F I = 0 L action eercée par la balance La force d inertie (- m h. a = - 80, = - 5, N) D'où B = ,= 900 N La masse mesurée par la balance est : = 9.7 kg (.5 son poids) Eercices -) Cas du solide en rotation autour d'un ae fie --) Premier cas : Le centre de gravité est situé sur l ae de rotation Hpothèses : - Sa vitesse de rotation en rad/s - Son accélération angulaire en rad/s² - Le centre de gravité est situé sur le centre de rotation. - et sont les actions eercées sur le palier par la liaison pivot en N - J et le moment d inertie du solide par rapport à l ae (,z) qui est aussi l ae de rotation en m².kg. (et S) = /(et S) = / et = J.
5 J. Remarques : M / ( et) = M / ( ) + M / ( ) + M / ( ) + M / ( ) Pour un sstème de forces planes, on dispose de trois équations de projection : Fet / = 0 (projection des forces sur ) Fet / = 0 (projection des forces sur ) M / (Fet) /z = J (projection des moments sur z) Eemple : Essai sur véhicule Dans un laboratoire d essai de véhicule, on utilise un dispositif à tambour pour déterminer les vitesses et accélérations des véhicules. Les roues motrices de la voiture sont posées sur un tambour de raon R = m, longueur l =.5 m et moment d inertie J ajustable. La masse totale du véhicule est de 000kg, l essieu avant supporte, au repos une charge de 00 dan. Quelle doit être la valeur de J pour que le tambour se comporte comme le véhicule au démarrage ou au freinage (accélération tangentielle tambour a t = accélération véhicule a V. Résolution : ) Isolons la voiture : Hpothèses de départ : - a est l accélération du véhicule sur un sol horizontal et plat - P est le poids de la voiture - / et B sont les actions sur les roues - FI = -m. a est la force d inertie au démarrage. Le principe de d lembert donne : + + / m. = En projection sur l ae on obtient : / m.a = 0 ) Isolons le tambour : et = + + = M / ( et) = M / (- ) = J Remarque : Toutes les forces sauf passent par et ont donc un moment nul) On a : a = = = / où at est l accélération tangentielle de. L équation devient :. R = ( / (m.r)). J d où J = m. R²
6 --) Second cas : Le centre de gravité n'est pas situé sur l ae de rotation (et S) = m. vec at =.r = J. /(et S) t m. m. n n t r Remarques : J. a = a n + a t an = ².r at =.r En projection sur (ou ) : Fn = - m. ². r En projection sur (perpendiculaire à ) : Ft = m.. r L équation du moment en peut être remplacée par l équation du moment en : M/ (Fet) = J. avec J = J + m. r² Eemple : Vibreur à béton L appareil présenté sert à tasser le béton liquide. Les vibrations sont produites par la rotation d un arbre ecentré (ecentration = mm). Cet arbre est guidé en rotation par trois roulements (,, 5). La vitesse de rotation maimale est de t/min, la puissance d entraînement est de.5 kw et la masse de l arbre est de kg. Déterminons les actions supposées par les roulements en et B, à vitesse constante et le couple de démarrage si l accélération angulaire est de rad/s² Résolution : Isolons l ae : Détermination des actions en et B à tr/min = 0 ; at = 0 ; an = ².e ; = ( ) / 0 = 07 rad/s²* Fet = / + B/ = m. a = - Fi (Fi : Force d inertie sur l arbre) En projection sur : 0 = 0. En projection sur : / + B/ = m. an et B sont smétrique par rapport à, d où : / = B/ = (m.an) / = ( 07² 0.00) / = 90 N
7 Détermination du couple moteur C m si = rad/s² Ecrivons l équation de moment par rapport au point O M /O (Fet) = J O. = (J + m. e²). C m = (. m. R² + m. e²). = m ( + e²). C m = ( + 0,00²) =.5 C m =.5 Nm Calcul du moment d inertie J d un solide par rapport à un ae passant par son centre de gravité
Test : principe fondamental de la dynamique et aspect énergétique
Durée : 45 minutes Objectifs Test : principe fondamental de la dynamique et aspect énergétique Projection de forces. Calcul de durée d'accélération / décélération ou d'accélération / décélération ou de
Plus en détailLES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE
LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent
Plus en détailVoyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof
Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof
Plus en détailChap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE
Chap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE Exercice 0 page 9 On considère deux évènements E et E Référentiel propre, R : la Terre. Dans ce référentiel, les deux évènements ont lieu au même endroit. La durée
Plus en détailOscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté
Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à
Plus en détailDimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant
Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant I Présentation I.1 La roue autonome Ez-Wheel SAS est une entreprise française de technologie innovante fondée en 2009.
Plus en détailChapitre 5: Oscillations d un pendule élastique horizontal
1 re B et C 5 Oscillations d'un pendule élastique horizontal 40 Chapitre 5: Oscillations d un pendule élastique horizontal 1. Définitions a) Oscillateur écanique * Un systèe écanique qui effectue un ouveent
Plus en détail10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)
0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2
Plus en détailTS Physique Satellite à la recherche de sa planète Exercice résolu
P a g e 1 Phsique atellite à la recherche de sa planète Exercice résolu Enoncé Le centre spatial de Kourou a lancé le 1 décembre 005, avec une fusée Ariane 5, un satellite de météorologie de seconde génération
Plus en détail1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..
1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé
Plus en détailChapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide
Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence
Plus en détailChapitre 5 : Le travail d une force :
Classe de 1èreS Chapitre 5 Physique Chapitre 5 : Le travail d une force : Introduction : fiche élève Considérons des objets qui subissent des forces dont le point d application se déplace : Par exemple
Plus en détailLa gravitation universelle
La gravitation universelle Pourquoi les planètes du système solaire restent-elles en orbite autour du Soleil? 1) Qu'est-ce que la gravitation universelle? activité : Attraction universelle La cohésion
Plus en détailProblèmes sur le chapitre 5
Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire
Plus en détailMATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE
MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE Titulaire : A. Rauw 5h/semaine 1) MÉCANIQUE a) Cinématique ii) Référentiel Relativité des notions de repos et mouvement Relativité de la notion de trajectoire Référentiel
Plus en détailSEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX
SEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX 1. EXPERIENCE 1 : APPLICATION DE LA LOI FONDAMENTALE DE LA DYNAMIQUE a) On incline d un angle α la table à digitaliser (deuxième ou troisième cran de la table).
Plus en détailMOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN
MOTO ELECTRIQUE MISE EN SITUATION La moto électrique STRADA EVO 1 est fabriquée par une société SUISSE, située à LUGANO. Moyen de transport alternatif, peut-être la solution pour concilier contraintes
Plus en détailTP 7 : oscillateur de torsion
TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)
Plus en détailCONCOURS COMMUNS POLYTECHNIQUES
CONCOURS COMMUNS POLYTECHNIQUES SYSTÈME DE LEVAGE À MULTIPLES COLONNES Les sociétés de transports publics des grandes agglomérations gèrent des réseaux comportant des bus et/ou des tramways. Ces sociétés
Plus en détailChapitre 5. Le ressort. F ext. F ressort
Chapitre 5 Le ressort Le ressort est un élément fondamental de plusieurs mécanismes. Il existe plusieurs types de ressorts (à boudin, à lame, spiral etc.) Que l on comprime ou étire un ressort, tel que
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détailConcours EPITA 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette BMW K1200S
Concours EPIT 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette MW K1200S Durée : 2h. Calculatrices autorisées. Présentation du problème Le problème
Plus en détailCABLECAM de HYMATOM. Figure 1 : Schéma du système câblecam et détail du moufle vu de dessus.
CABLECAM de HYMATOM La société Hymatom conçoit et fabrique des systèmes de vidéosurveillance. Le système câblecam (figure 1) est composé d un chariot mobile sur quatre roues posé sur deux câbles porteurs
Plus en détaildocument proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015
BT V 2015 (envoyé par Frédéric COTTI - Professeur d Electrotechnique au Lycée Régional La Floride Marseille) Document 1 - Etiquette énergie Partie 1 : Voiture à faible consommation - Une étiquette pour
Plus en détailChapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites
I- Les trois lois de Kepler : Chapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites Les lois de Kepler s'applique aussi bien pour une planète en mouvement
Plus en détailTD de Physique n o 1 : Mécanique du point
E.N.S. de Cachan Département E.E.A. M FE 3 e année Phsique appliquée 011-01 TD de Phsique n o 1 : Mécanique du point Exercice n o 1 : Trajectoire d un ballon-sonde Un ballon-sonde M, lâché au niveau du
Plus en détailM6 MOMENT CINÉTIQUE D UN POINT MATÉRIEL
M6 MOMENT CINÉTIQUE D UN POINT MATÉRIEL OBJECTIFS Jusqu à présent, nous avons rencontré deux méthodes pour obtenir l équation du mouvement d un point matériel : - l utilisation du P.F.D. - et celle du
Plus en détailCorrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN.
TD 6 corrigé - PFS Résolution analytique (Loi entrée-sortie statique) Page 1/1 Corrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN. Question : Réaliser le graphe de structure, puis compléter
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif - 70 Chapitre 8 : Champ de gravitation - Satellites I. Loi de gravitation universelle : (
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailLes correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.
Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques
Plus en détailC est un mouvement plan dont la trajectoire est un cercle ou une portion de cercle. Le module du vecteur position OM est constant et il est égal au
1 2 C est un mouvement plan dont la trajectoire est un cercle ou une portion de cercle. Le module du vecteur position est constant et il est égal au rayon du cercle. = 3 A- ouvement circulaire non uniforme
Plus en détailTUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE
TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une
Plus en détailLes calculatrices sont autorisées
Les calculatrices sont autorisées Le sujet comporte quatre parties indépendantes. Les parties 1 et portent sur la mécanique (de la page à la page 7). Les parties 3 et 4 portent sur la thermodnamique (de
Plus en détailLA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile?
LA PUISSANCE DES MOTEURS Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? Chaque modèle y est décliné en plusieurs versions, les différences portant essentiellement sur la puissance
Plus en détailComment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE
Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Vous vous souvenez que tout est constitué d atomes, non? Une pierre, un stylo, un jeu vidéo, une télévision, un chien et vous également; tout est fait d atomes.
Plus en détailTENONNEUSE SIMPLE CONVERPRO REF.921 D OCCASION
TENONNEUSE SIMPLE CONVERPRO REF.921 D OCCASION Année de fabrication : Août 2008 Machine N : 03 3718 Vendeur : SCIERIE E. DUBREUIL Rue François Baron - BP 20-63390 SAINT GERVAIS D'AUVERGNE Téléphone : 04
Plus en détailBac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)
Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre
Plus en détailSYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières
Physique Générale SYSTEME DE PARTICULES DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) TRAN Minh Tâm Table des matières Applications de la loi de Newton pour la rotation 93 Le gyroscope........................ 93 L orbite
Plus en détailSCIENCES INDUSTRIELLES POUR L INGÉNIEUR. Partie I - Analyse système
SCIENCES INDUSTRIELLES POUR L INGÉNIEUR COMPORTEMENT DYNAMIQUE D UN VEHICULE AUTO-BALANCÉ DE TYPE SEGWAY Partie I - Analyse système Poignée directionnelle Barre d appui Plate-forme Photographies 1 Le support
Plus en détailBACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SESSION 2008 POSITIONNEUR DE PANNEAU SOLAIRE POUR CAMPING-CAR
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SÉRIE SCIENCES ET TECHNIQUES INDUSTRIELLES GÉNIE ÉLECTROTECHNIQUE SESSION 2008 ÉPREUVE: ÉTUDE DES CONSTRUCTIONS Durée: 4 heures Coefficient : 6 POSITIONNEUR DE PANNEAU SOLAIRE
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailSCIENCES INDUSTRIELLES (S.I.)
SESSION 2014 PSISI07 EPREUVE SPECIFIQUE - FILIERE PSI " SCIENCES INDUSTRIELLES (S.I.) Durée : 4 heures " N.B. : Le candidat attachera la plus grande importance à la clarté, à la précision et à la concision
Plus en détailLES APPAREILS A DEVIATION EN COURANT CONTINU ( LES APPREILS MAGNETOELECTRIQUES)
Chapitre 3 LES APPARELS A DEVATON EN COURANT CONTNU ( LES APPRELS MAGNETOELECTRQUES) - PRNCPE DE FONCTONNEMENT : Le principe de fonctionnement d un appareil magnéto-électrique est basé sur les forces agissant
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailCours de Résistance des Matériaux (RDM)
Solides déformables Cours de Résistance des Matériau (RDM) Structure du toit de la Fondation Louis Vuitton Paris, architecte F.Gehry Contenu 1 POSITIONNEMENT DE CE COURS... 2 2 INTRODUCTION... 3 2.1 DEFINITION
Plus en détailSystème formé de deux points
MPSI - 2005/2006 - Mécanique II - Système formé de deux points matériels page /5 Système formé de deux points matériels Table des matières Éléments cinétiques. Éléments cinétiques dans R.......................2
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailLes joints Standards COMPOSANTS LEANTEK ET UTILISATIONS. Tous nos joints standards sont disponibles en version ESD. Vis de fixation : S1-S4
COMPOSANTS LEANTEK ET UTILISATIONS Les joints Standards F-A Joint pour liaison à 90 F-A se combine avec F-B, F-A et F-C 51 mm 51 mm 90 F-B Joint d angle à 90 Il se combine à un autre F-B ou à 2 F-A. 47
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailLa médiatrice d un segment
EXTRT DE CURS DE THS DE 4E 1 La médiatrice d un segment, la bissectrice d un angle La médiatrice d un segment Définition : La médiatrice d un segment est l ae de smétrie de ce segment ; c'est-à-dire que
Plus en détailLe second nuage : questions autour de la lumière
Le second nuage : questions autour de la lumière Quelle vitesse? infinie ou pas? cf débats autour de la réfraction (Newton : la lumière va + vite dans l eau) mesures astronomiques (Rœmer, Bradley) : grande
Plus en détail2105-2110 mm 1695 mm. 990 mm Porte-à-faux avant. Modèle de cabine / équipage Small, simple / 3. Codage 46804211 46804311 46804511
CANTER 3S13 2105-2110 mm 1695 mm 990 mm Porte-à-faux avant 3500 3995 4985 Longueur max. de carrosserie** 2500 2800 3400 Empattement 4635 4985 5785 Longueur hors tout Masses/dimensions Modèle 3S13 Modèle
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailTrépier avec règle, ressort à boudin, chronomètre, 5 masses de 50 g.
PHYSQ 130: Hooke 1 LOI DE HOOKE: CAS DU RESSORT 1 Introduction La loi de Hooke est fondamentale dans l étude du mouvement oscillatoire. Elle est utilisée, entre autres, dans les théories décrivant les
Plus en détailAlgorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome
Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome Frédéric Jean Unité de Mathématiques Appliquées ENSTA Le 02 février 2006 Outline 1 2 3 Modélisation Géométrique d un Robot Robot
Plus en détailL ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ
L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et
Plus en détailSommaire Table des matières
Notice de montage 1 Sommaire Table des matières I. Mise en garde... 3 II. Avant de commencer... 4 1. Préparer vos outils... 4 2. Pièces nécessaires pour le montage de votre porte Keritek... 5 III. Étape
Plus en détailSTATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE
ÉCOLE D'INGÉNIEURS DE FRIBOURG (E.I.F.) SECTION DE MÉCANIQUE G.R. Nicolet, revu en 2006 STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE Eléments de calcul vectoriel Opérations avec les forces Equilibre du point
Plus en détailEtude du SIMULATEUR DE VOL «FLY-HO»
ECOLE NATIONALE DE L AVIATION CIVILE Session 212 CONCOURS DE RECRUTEMENT D ELEVES INGENIEURS DU CONTROLE DE LA NAVIGATION AERIENNE Epreuve optionnelle obligatoire de SCIENCES INDUSTRIELLES POUR L INGENIEUR
Plus en détailLes moments de force. Ci-contre, un schéma du submersible MIR où l on voit les bras articulés pour la récolte d échantillons [ 1 ]
Les moments de force Les submersibles Mir peuvent plonger à 6 000 mètres, rester en immersion une vingtaine d heures et abriter 3 personnes (le pilote et deux observateurs), dans une sphère pressurisée
Plus en détailFonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme
Fonctions linéaires et affines 3eme 1 Fonctions linéaires 1.1 Vocabulaire Définition 1 Soit a un nombre quelconque «fixe». Une fonction linéaire associe à un nombre x quelconque le nombre a x. a s appelle
Plus en détailTravaux dirigés de mécanique du point
Travaux dirigés de mécanique du point Année 011-01 Arnaud LE PADELLEC Magali MOURGUES alepadellec@irap.omp.eu magali.mourgues@univ-tlse3.fr Travaux dirigés de mécanique du point 1/40 P r é s e n t a t
Plus en détailINBTP-TECHNOBAT-LECON_011
CIRCULATIONS VERTICALES INBTP-TECHNOBAT-LECON_011 1 PROGRAMME LECONS LECON_001 [T] Présentation Notions de Technobat LECON_002 [T] Technobat Tropicale Les classes énergétiques LECON_003 [T] Les matériaux
Plus en détailRepérage d un point - Vitesse et
PSI - écanique I - Repérage d un point - Vitesse et accélération page 1/6 Repérage d un point - Vitesse et accélération Table des matières 1 Espace et temps - Référentiel d observation 1 2 Coordonnées
Plus en détailCHAPITRE. Le mouvement en deux dimensions CORRIGÉ DES EXERCICES
CHAPITRE Le mouvement en deux dimensions CORRIGÉ DES EXERCICES Exercices. Les vecteurs du mouvement SECTION. 5. Une montgolfière, initialement au repos, se déplace à vitesse constante. En 5 min, elle
Plus en détailChapitre 7 - Relativité du mouvement
Un bus roule lentement dans une ville. Alain (A) est assis dans le bus, Brigitte (B) marche dans l'allée vers l'arrière du bus pour faire des signes à Claude (C) qui est au bord de la route. Brigitte marche
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détail(Exemple ici de calcul pour une Ducati 748 biposto, et également pour un S2R1000, équipé d un disque acier en fond de cloche, et ressorts d origine)
Analyse de la charge transmise aux roulements de la roue dentée, notamment en rajoutant les efforts axiaux dus aux ressorts de l embrayage (via la cloche) (Exemple ici de calcul pour une Ducati 748 biposto,
Plus en détailPHYS-F-104_C) Physique I (mécanique, ondes et optiques) Solutions des questions d'examens (2004-2013)
PRESSES UNIVERSITAIRES DE BRUXELLES UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES Physique I (mécanique, ondes et optiques) Solutions des questions d'examens (004-013) Pascal VANLAER Titulaire Notes rédigées par Pierre
Plus en détailD022751/01 TEXTE SOUMIS EN APPLICATION DE L ARTICLE 88-4 DE LA CONSTITUTION PAR LE GOUVERNEMENT, À L ASSEMBLÉE NATIONALE ET AU SÉNAT.
D022751/01 ASSEMBLÉE NATIONALE QUATORZIÈME LÉGISLATURE SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2012-2013 Reçu à la Présidence de l Assemblée nationale le 3 octobre 2012 Enregistré à la Présidence du Sénat le 3 octobre
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailSection «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée
EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen
Plus en détailUn système d aide aux handicapés
Olympiades de physique 2006/2007 Un système d aide aux handicapés POTHAIN Mélanie LAFRECHOUX Leslie BOUGEANT Matthieu Lycée G. St Hilaire - ETAMPES encadrés par M. LEFEVRE Sujet : Le carrousel Problématique
Plus en détail1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h)
Problèmes IPhO 2012 1 NOM : PRENOM : LYCEE : 1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h) Nous souhaitons dans ce problème aborder quelques aspects de la conception d un avion solaire autonome. Les
Plus en détailMécanique. 1 Forces. 1.1 Rappel. 1.2 Mesurer des forces. 3BC - AL Mécanique 1
3BC - AL Mécanique 1 Mécanique 1 Forces 1.1 Rappel Pour décrire les effets d une force, nous devons préciser toutes ses propriétés : son point d application ; sa droite d action, c est-à-dire sa direction
Plus en détailQuantité de mouvement et moment cinétique
6 Quantité de mouvement et moment cinétique v7 p = mv L = r p 1 Impulsion et quantité de mouvement Une force F agit sur un corps de masse m, pendant un temps Δt. La vitesse du corps varie de Δv = v f -
Plus en détailSérie T modèle TES et TER
6-8 rue des Casernes Tél. : 03.84.29.55.55 F 90200 GIROMAGNY Fax : 03.84.29.09.91 E-mail : ultralu@ultralu.com http://www.ultralu.com NOTICE DE MONTAGE ET D UTILISATION ECHAFAUDAGE ROULANT ALUMINIUM Série
Plus en détailNom : Groupe : Date : 1. Quels sont les deux types de dessins les plus utilisés en technologie?
Nom : Groupe : Date : Verdict Chapitre 11 1 La communication graphique Pages 336 et 337 1. Quels sont les deux types de dessins les plus utilisés en technologie? Les dessins de fabrication. Les schémas.
Plus en détailINTRODUCTION. A- Modélisation et paramétrage : CHAPITRE I : MODÉLISATION. I. Paramétrage de la position d un solide : (S1) O O1 X
INTRODUCTION La conception d'un mécanisme en vue de sa réalisation industrielle comporte plusieurs étapes. Avant d'aboutir à la maquette numérique du produit définitif, il est nécessaire d'effectuer une
Plus en détailPhysique: 1 er Bachelier en Medecine. 1er juin 2012. Duree de l'examen: 3 h. Partie 1: /56. Partie 2 : /20. Nom: N ō carte d étudiant:
Nom: Prénom: A N ō carte d étudiant: Physique: 1 er Bachelier en Medecine 1er juin 2012. Duree de l'examen: 3 h Avant de commencer a repondre aux questions, identiez-vous en haut de cette 1ere page, et
Plus en détailMémo. Infrastructure de charge des véhicules électriques
Mémo Infrastructure de charge des véhicules électriques Prise Genre de véhicule E-Bikes et E-Scooters Types de véhicules et comportements de charge L électricité nécessaire à la recharge des véhicules
Plus en détailSIEGE D EVACUATION. Manuel d'utilisation
SIEGE D EVACUATION Manuel d'utilisation REHA-TRANS Siège d évacuation Evacuation d'urgence Armoire de rangement Introduction Vous avez choisi d acheter un SIEGE D EVACUATION D'URGENCE. Veuillez lire attentivement
Plus en détailLe matériel d arrimage
FR Prévention des risques Le matériel d arrimage 0 Conseil pour le Développement Economique de la Construction a.s.b.l. www.aaa.lu Institut de Formation Sectoriel du Bâtiment S.A. Avec la collaboration
Plus en détailCours de résistance des matériaux
ENSM-SE RDM - CPMI 2011-2012 1 Cycle Préparatoire Médecin-Ingénieur 2011-2012 Cours de résistance des matériau Pierre Badel Ecole des Mines Saint Etienne Première notions de mécanique des solides déformables
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailCours IV Mise en orbite
Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction
Plus en détailChafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1
Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes
Plus en détailQ6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?
EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes
Plus en détailNORMES FRANÇAISES. I. Garde-corps pour bâtiments d'habitation et établissements recevant du public
NORMES FRANÇAISES I. Garde-corps pour bâtiments d'habitation et établissements recevant du public II. Garde-corps pour terrasses techniques inaccessibles au public I. Garde-corps pour bâtiments d'habitation
Plus en détailDouille expansibleécarteur
08/2011 Instructions de montage 999415003 fr Douille expansibleécarteur 15,0 Référence 581120000 Description La douille expansible écarteur 15,0 sert à l ancrage du coffrage une face dans le béton. Il
Plus en détailMoto électrique Quantya'"
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SÉRIE SCIENCES ET TECHNIQUES INDUSTRIELLES GÉNIE ÉLECTROTECHNIQUE SESSION 2009 Épreuve: étude des constructions Durée : 4 heures Coefficient: 6 Moto électrique Quantya'" AUCUN
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailCours 02 : Problème général de la programmation linéaire
Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =
Plus en détailEPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian
1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul
Plus en détailBACCALAUREAT GENERAL MATHÉMATIQUES
BACCALAUREAT GENERAL FEVRIER 2014 MATHÉMATIQUES SERIE : ES Durée de l épreuve : 3 heures Coefficient : 5 (ES), 4 (L) 7(spe ES) Les calculatrices électroniques de poche sont autorisées, conformement à la
Plus en détailI Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11. 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique... 13 1.2 Le plan... 18 1.3 Problème...
TABLE DES MATIÈRES 5 Table des matières I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique................... 13 1.2 Le plan...................................
Plus en détailSOMMAIRE MONTAGE DU COMPTEUR ET CAPTEURS...3 LE MOT DU CHEF DE PRODUIT...5 L ORGANISATION DE L ECRAN...5 LES PICTOGRAMMES UTILISES...5 LES BOUTONS...
OMMAIRE MONTAGE DU COMPTEUR ET CAPTEUR...3 LE MOT DU CHEF DE PRODUIT...5 L ORGANIATION DE L ECRAN...5 LE PICTOGRAMME UTILIE...5 LE BOUTON...5 LE MENU...5 AVANT LA PREMIERE ORTIE (ou après changement de
Plus en détailInteraction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique
PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On
Plus en détailLES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR
LES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR A partir du grade : et programme examen du grade et supérieurs 1. FONCTIONNEMENT DES RADAR : Les radars de contrôles aériens sont des instruments de télédétection utilisés
Plus en détail